GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. (/showthread.php?tid=19) |
Re : Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 23-07-2021 C'est pas la première fois que ton histoire 'sonne' dans ma tête, et y me traîne bizarrement... 0.0 (18-07-2021, 03:27 PM)Moloch link a écrit :Et puis, je ne sais pas pour toi, mais l'idée d'avoir un esclave sexuel docile et obéissant à dispo est assez... excitante...Dans le cadre établi d'un rapport de *relative* soumission mutuellement acceptée, qui impose au dominant de respecter (et mériter) ce que le dominé peut accepter... ou souhaite : Mais le pass' n'est pas forcément le soumis > (18-07-2021, 03:27 PM)Moloch link a écrit :comme mon blondinet est mon esclave sexuel... et comme je suis le sien...Voilà, ça, c'est parfait ! Vous avez aussi votre équilibre, le truc qui promet vaguement de durer Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Tonton Tim - 07-08-2021 eh! content de vous retrouver ici, autant pour lire les plaisirs de Burydan et Rhonin que ta conversation avec Jeremie. J’avais pas capté la migration du forum et pense que l’interruption était bien plus longue.. Au plaisir de lire la suite Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 10-08-2021 Bonjour à tous et aux autres Merci pour vos coms les zamis. Bon retour parmi nous tonton Tim. Mon petit twink chéri, ce n'est pas que je recherche les mecs aussi musclés que moi, c'est juste qu'il se trouve que mon blondinet l'est. Et vu que je n'ai connu que lui comme amant... sauf notre fuck-buddy, mais c'est l'un de mes anciens coéquipiers de rugby, avec le physique à l'avenant. Mais c'est vrai que quand mon mec et moi matons un porno (chose que nous faisons de temps en temps) voir deux minets épais comme des cerceaux se tripoter ne m'excite pas des masses... Alors que deux hommes hyper musclés se peloter comme des dingues... parce que c'est ça que j'aime chez mon petit blond : prendre ses pecs à pleine main, m'agripper à son dos noueux, voir ses abdos ciselés se contracter sous le passage de ma langue, caresser ses biceps durs comme de la pierre et saisir fermement ses fesses musclées... Mais ça m'excite aussi de voir deux mecs musclés se taper un minet... sauf que, généralement, ils le traitent comme une petite pute... alors que, perso, je suis plutôt tendre comme amant... certes, dans mes récits il y a des scènes de sexe bestial, animal, voire même brutal, mais IRL je suis doux et caressant... sauf, évidemment, quand mon blondinet passe en mode salope lubrique et qu'il me de mande de le ''baiser comme la chienne qu'il est'', mais sinon... Bref, je sais que je vais le faire avec un mec qui fait les deux tiers de mon poids... savoir quel effet ça fait de tenir dans ses bras un petit twink de 60 kilos... et je veux le partager avec mon blondinet... les dieux bénissent Grindr... Tout de suite la suite (enfin) bonne lecture. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 10-08-2021 CHAPITRE CXXX
''Post bellum'' Journal de Gershaw de Bélothie Je m'étais égaré... en revenant du Circus Maximus, j’avais voulu retourner à mon auberge par un autre chemin, et je m'étais égaré. Et, au vu des chétives masures, des ruelles étroites, je devais être dans les quartiers Est de la ville. Les quartiers les plus mal famés de toutes les villes... et la nuit venait de tomber. Et ce qui devait arriver arriva. Alors que j'essayais de retrouver mon chemin, sept silhouettes me barrèrent le chemin. L'un d'eux s'approcha. - Alors, l'ami, on se promène ? A la lueur d'une torche, je le vis. Il avait un visage émacié, un sourire édenté et un long coutelas à la main. Dans ses yeux je vis une lueur mauvaise. J'évaluais la situation. Sept hommes, ça faisait beaucoup, tout de même. Mais, quitte à mourir, plus d'un allait m'accompagner aux Enfers... Je sortis mon épée et ma dague. - Regardez ça, sire, le quidam veut jouer les héros... Dans une partie de mon cerveau, je me demandais pourquoi il avait appelé son acolyte ''sire'', mais ce n'était pas important pour l'instant. Le dénommé ''sire'' s'approcha. Il était trapu, avait les épaules larges et des bras musclés. Il tira à son tour une épée et dit : - On va voir si tu es un bon bretteur... tu vas avoir l'honneur de ferrailler contre le roi des truands... en garde... Je me campais sur mes jambes et dit d'une voix forte : - Je suis Gershaw de Bélothie ! Je savais que ça n'avait aucun intérêt. Personne ne me connaissait en Mesmera. Mais c'était une habitude. Je disais toujours mon nom avant de combattre. Il y eut un moment de flottement et le ''roi'' abaissa son épée. - Ger... Gershaw... Gershaw de Bélothie ?! Il s'avança vers moi et me regarda intensément. - Mais par les dieux, oui, c'est bien vous. Excusez moi, capitaine, mais je ne vous avais pas reconnu avec cette barbe... Le terme ''capitaine'' et le fait que tout soit dit en simérien me surpris. - On... on se connaît ? - Moi je vous connais, mais vous, vous ne me connaissez pas... - C'est à dire ? - C'est à dire, capitaine, que j'ai servi sous vos ordres dans l'armée de mercenaires du comte Bohort. Et je peux vous dire que les camarades des autres compagnies m'enviaient. Pensez donc, Gershaw de Bélothie, le seul capitaine qui ne rognait pas sur la part de picorée de ses sergents et interdisait auxdits sergents, sous menace de la corde, de rogner sur la part de picorée de leurs soldats... - Comment t'appelles-tu ? - Morriss... Filip Morriss... Cela ne me disait rien, en effet. Mais j'avais plus de 150 hommes sous mes ordres et ne les connaissais pas tous. Filip vit que j'étais toujours en garde. Il rengaina son épée et dit à ses hommes, en mesmérien cette fois : - Rengainez les gars, cet homme est Gershaw de Bélothie, mon ancien capitaine. Quiconque lui manque de respect me manque de respect... c'est clair ? Les six hommes acquiescèrent. Filip se tourna vers moi et me sourit. Je rengainai et lui demandai : - Alors, soldat, tu es devenu roi ? - Oh la, c'est une longue histoire... Mais oui, je suis le roi des truands... - De Lutecia ? - Fi donc, non... de tout Mesmera... - Tu te gausses ? - Nenni, nenni... je suis le roi des truands de tout Mesmera... que Hodin me foudroie si je mens ! - Il faut que tu me contes cela, dans ce cas, ta majesté... Filip éclata de rire. - Soit, mais pas aujourd’hui... demain... demain vous êtes mon invité au palais... - Au palais ? - Oui. J'enverrai deux de mes hommes vous cherchez à sept heures du soir. Les mêmes hommes qui vont vous raccompagner jusqu'à votre auberge pour éviter les... mauvaises rencontres... a demain capitaine... Il claqua des doigts et deux de ses hommes me reconduisirent jusqu'à mon auberge. Plusieurs autres mauvais garçons eurent l'envie de me délester de ma bourse, voire même de ma vie, mais à la vue de mes deux gardes du corps, ils ôtèrent leurs bonnets et firent un petit salut de la tête... le lendemain, à sept heures précises, ma chambrière me prévint que deux hommes m'attendaient dans la grande salle. C'était les deux mêmes que la veille et je les suivis dans le dédale de ruelles des quartiers Est. Soudain, au détour d'une rue, je tombai interdit. Entourée de maisons chétives et délabrées, se trouvait une magnifique insula (1). Haute de six étages, elle était entourée d'une allée couverte, égayée de statues de dieux et de déesses. Mes deux gardes m’emmenèrent jusqu'à une porte monumentale. Un homme grassouillet, qui se trouvait être le majordome du ''palais'' me salua fort civilement. - Son altesse vous attend dans le salon bleu... Il frappa dans ses mains et trois jolies drôlettes m'entourèrent en riant. Elles me débarrassèrent de mon manteau, de mes gants, de mon chapeau. Un homme, grand et musculeux s'avança. - Monsieur, me dit le majordome, vous devez laisser votre arme avant d'être mené au roi... - C'est hors de question... - Mais, monsieur... - J'ai dit, c'est hors de question... Le majordome, pâle et défait, murmura quelques mots à la montagne de muscles qui me regardait d'un œil mauvais. Il disparut quelques instants dans une pièce puis revint en acquiesçant simplement. Le majordome se détendit, me sourit et me pria de le suivre dans la pièce où était entré le garde. - Monsieur Gershaw de Bélothie... dit le majordome. Dans un immense fauteuil, très semblable à un trône, se trouvait Filip, qui se leva en souriant et vint à moi. - Ah, capitaine, soyez le très bienvenu au palais du roi des truands... il m'invita à m'asseoir dans un fauteuil en face de lui. - Nous allons d'abord manger et boire à tas, et ensuite je vous raconterai mon histoire... cela vous convient-il capitaine ? - Tout à plein. Mais à la condition que tu m’appelles Gershaw et que tu me tutoies... - Si vous... euh, si tu veux. Mais dans ce cas appelles moi Filip... Nous mangeâmes des mets délicats et bûmes des picrates excellents. Nous étions servis par de jeunes filles, de 16 ou 17 ans, vêtues uniquement d'un pagne qui laissait voir leurs jambes longues et fines et leurs poitrines fermes et pommelantes. Le collier en cuir qu'elles portaient montrait leur condition d'esclave. - Elles sont appétissantes, n'est-ce pas ? me demanda Filip. - Très... - Cette petite là est une de mes dernières acquisitions. Elle s'appelle Veronica, a 16 ans et est vierge, chose rare à son âge et la raison pour laquelle elle m'a coûté tant de pécunes. Je me proposais de la déflorer à la dure avant de la prêter à mes lieutenants, mais si elle vous plaît, elle est à vous. Ce sera mon cadeau de bienvenue... J'hésitai. La jeunette semblait terrifiée et je me dis que je pourrais la déflorer beaucoup plus doucement que Filip et ses lieutenants. - Pourquoi pas, dis-je, cela fait quelques temps que je n'ai point lutiner une gueuse et cette petite est à mon goût. Je lui montrerai ce qu'est un véritable mâle pour sa première fois. Mais d'abord, raconte moi comment un de mes soldats est devenu roi... - Veronica, viens t'asseoir aux pieds de ton maître... non, pas moi, chienne, mon ami... voilà... à ses pieds, comme une bonne petite esclave... Il se racla la gorge et commença son récit. (1) Insula : maison à 7 ou 8 étages divisée en plusieurs appartements. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 10-08-2021 Tes réponses aux comm’s sont aussi excitantes que les chapitres de ton histoire, je commence à penser que tu es un (gentil, respectueux) sexopathe h24, les x heures de cours par jour doivent être une torture, et je comprends, les auditoires blindés de bg me manquent déjà, mes futurs collègues seront srmt moins fantasmables :-\ Voilà l’origine de la réputation qu’apporte l’Ouroboros, Gershaw lui avait déjà gagné le respect en Mesmeria, et celui de son successeur, visiblement, vu que le même service lui est accordé Je respecte assez la 'philosophie' de Gershaw, qui veut lui offrir une first honorable, mais qui paradoxalement lui fera comparer chacune des suivantes comme décevantes et humiliantes, et il lui en restera bien sûr le souvenir de sa première fois, comme à chacun.e, mais bon… ¯\_(ツ)_/¯ Question : si l’alternance fait une règle, le prochain Ouroboros-man sera hétéro, ça exclut définitivement Rhonin, alors qui ? :-X Sans grand rapport, vu que Gershaw et le ‘Roi’ kiffent les foufounes, le ‘Salon bleu’ m’a fait penser à Sequin in a Blue Room’, un film superbe, vous devez le regarder, tous les deux ! Seb comprend peu, je lui ai traduit, il a kiffé https://www.gay-torrents.net/torrentdetails.php?torrentid=5e57cdba32548c97bc1f4dff858d462f99a6e61bbed87567 Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 16-08-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour ton com mon renardeau. Tout de suite la suite. Bonne lecture. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 16-08-2021 CHAPITRE CXXXI
''Qui factus est rex'' - J'ai dû quitter précipitamment Simeria. Un nobliau m'a provoqué et je l'ai étendu roide sur le pavé. Je savais que ma vie ne tenait plus qu'à un fil. J'ai donc prit le premier bateau en partance pour n'importe où, et ce fut Mesmera. Heureusement j'avais quelque teinture de mesmérien, un de mes camarades étant originaire de cette île. Je ne savais que me battre et, mes pécunes fondant comme neige à Shagma, je devins brigand. J'errai de ville en ville, détroussant le bourgeois, et arrivai à Lutecia. Je trouvai une chétive chambrette et, toutes les nuits, j'allai au... travail... Un soir, cinq hommes me firent face, le couteau à la main. Leur chef me dit : - Ici, tous les truands doivent prêter allégeance au roi. Celui qui ne le fait pas est passible de la peine de mort... Mais je suis d'humeur magnanime... Viens te présenter au roi des truands et c'est lui qui décidera de ton sort... Si tu refuses, on te tue... Le choix était vite fait... je les suivis donc. Nous arrivâmes ici et je fus introduit auprès de Inkfeier, roi des mauvais garçons de tout Mesmera. Après le rapport du ''chef'', le roi me dit : - Ainsi tu rançonnes et détrousses le badaud sans m'avoir prêter allégeance... - Je ne savais pas que je devais vous... - Silence ! La punition pour ton ignorance est la mort ! Une bonne douzaine d'hommes l'entouraient, armés jusqu'aux dents. Je n'avais aucune chance. Dans mon champ de vison périphérique, je vis un quidam qui louvoyait entre les meubles essayant de passer inaperçu. Et j'intervins précisément au moment où l'homme se jetait sur le roi, un poignard à la main. Je l'envoyai valser dans un coin de la salle. Tout le monde resta interdit jusqu'à ce que je dise : - Mais saisissez vous de lui, par les dieux ! Les gardes du corps du roi sortirent enfin de leur torpeur et se saisir de l'assassin. Le roi se leva et s'avança vers lui, trémulant : - Chien ! dit-il en le giflant. Qui t'as payé pour me tuer ? Réponds ordure ! L'homme ne pipa mot. - Comme tu veux... mes hommes auront tôt fait de te délier la langue... amenez-le aux caves et faites le parler... L'homme fut amené. - Incapables ! éructa le roi. Je vous paye une fortune pour me protéger et vous n'avez pas bougé ! Étiez vous de mèche dans cette meurtrerie ? Crétins, imbéciles, bons à rien ! Il se tourna vers moi : - Quel est ton nom ? - Morriss. Filip Morriss - Filip Morriss, tu viens de sauver la vie du roi des truands, je suis à présent ton débiteur... tu as l'air de savoir te battre... - J'ai été mercenaire en Siméria... - Je vois... que dirais-tu de devenir le capitaine de ma garde ? Ils en ont bien besoin, comme tu l'as vu... Je devins le capitaine des gardes du roi, les entraînant sans relâche jusqu'à ce qu'ils deviennent les meilleurs. Par la suite je devins un fidèle conseiller du roi, qui me consultait pour chaque décision, se rangeant le plus souvent à mon avis. Je lui étais devenu indispensable. Ainsi, lorsqu'il dû choisir son successeur, comme il est d'usage, c'est moi qu’il choisit. Plusieurs de ses lieutenants grincèrent des dents, mais le choix du roi était irrévocable. Quand il mourut, de mort naturelle, je montai sur le trône. Il y eut certes une petit guerre de succession, mais je la fis réprimer dans le sang... et me voilà, roi incontesté de tous les truand et mauvais garçon de Mesmera... - Eh bien, dis-je, voilà un récit épique... Puis-je te demander une faveur ? Voire même deux... - Tout ce que tu voudras... Je tirai mon épée. Les gardes se précipitèrent vers moi mais Filip les arrêta d'un geste. - Vois-tu cette épée, demandai-je, et sa garde si particulière ? - Oui. Cet Ouroboros est de très belle facture... - Je voudrais que tu me promettes que quiconque portera cette épée sera intouchable... - Luccio ! Un jeune garçon d'une vingtaine d'années s'approcha. - Luccio est très dextre au crayon, me dit Filip. Fais un dessin précis de la garde de cette épée... Luccio prit un écritoire et dessina en tirant la langue. Il regarda son œuvre, sourit, et la tendit à son roi. Filip l'examina, hocha la tête et me montra le dessin. Il était parfait, à un détail près. Je me piquai le doigt de la pointe de mon épée et déposai la goutte de sang au niveau de l’œil. - Très bien. Luccio fais plusieurs copies de ce dessin. Ary, convoque dés demain nos meilleurs cavaliers et que ces dessins soient envoyés à tous les gouverneurs de Province. Que tous sachent que quiconque s'en prendra au porteur de cette épée, aujourd'hui ou demain, sera passible de la corde. - Bien sire... - Et qu'on fasse inscrire cette obligation dans la loi des truands... - Bien sire... - Et ta deuxième faveur ? - Cette mignote... Je la voudrais... officiellement... - Ah, elle est belle, hein ? Tu auras son acte de propriété dés demain. Et tu es obligé de dormir ici cette nuit. Tu verras, nos lits sont très confortable et il y a plein de jouets dans les chambres avec lesquelles tu pourras t'amuser avec cette petite chienne. Je souris. Je montai dans ma chambre avec mon esclave qui sanglotait. Une fois à l'intérieur elle me dit : - Pitié maître, ne soyez pas brutal avec moi... je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me battez pas... pitié... - Comment t'appelles-tu ? - I... Izaïa... - Je ne vais pas te battre... ni même te déflorer... nous allons dormir ensemble mais je ne te toucherai pas... Et, une fois que tu seras à moi, je t'affranchirai et te trouverai un endroit où tu pourras travailler et trouver un bon mari... - Oh, maître... vous gaussez-vous ? - Nenni ma douce, nenni... - Pourquoi... pourquoi faites-vous ça ? - Parce que ma bonté me perdra... allez, au dodo. La mignote vint se pelotonner contre moi pendant la nuit, et je la serrai très fort dans mes bras. Je restai quelques jours au palais puis prit congé. J'affranchis Izaïa et la plaçai au temple de Zia où, comme je l'appris plus tard par la grande prêtresse, elle trouva un fort beau garçon qui était raffolé d'elle. Quelques temps après, je vis que la nouvelle que le porteur de mon épée était intouchable était bien passée. Six truands voulurent me soulager de ma bourse quand je leur montrai mon épée. Ils rengainèrent aussitôt, enlevèrent leurs bonnets et s'excusèrent. *
* * Burydan referma le journal de son maître et le posa sur la table de chevet. Rhonin releva la tête et planta ses yeux dans ceux de son maître. - Et c'est pour ça que tu m'as abandonné, me laissant au désespoir ?! Burydan remarqua le ''tu'' mais ne dis rien. Après tout ils savaient tous les deux que leur relation de maître à esclave était un jeu entre eux. - Il fallait que je sache, bébé. - Il fallait que tu saches ?! Il fallait que tu saches ?! Et si tu n’étais pas revenu ? Si ces hommes t'avaient tué ? Que serais-je devenu ? Tu y as pensé à ça ? - C'est pour ça que j'ai écrit cette lettre à mon ami Oli. Il t'aurait affranchi et tu aurais hérité de ma maison et de mon astrium. J'ai amassé suffisamment de pécunes pour que tu puisses vivre confortablement jusqu'à la fin de tes jours. Rhonin le regarda en ouvrant des yeux ronds : - Tu n'as toujours rien compris, hein ? Je me fous d'être affranchi, je me fous de ta maison, et je me contre-fous de tes pécunes. C'est toi que je veux, uniquement toi. Tout le temps et pour toujours... Il se retourna en tournant le dos à Burydan. Celui-ci s'en voulu. Il avait fait de la peine à son petit minet et c'était la dernière chose dont il avait envie. Il se colla à son dos, passa un bras autour de son torse et saisit un de ses jolis petits pecs. Il piqua des petits poutounes sur l'épaule et dans le cou de son blondinet. - Me fais pas la tête, bébé, je te donne ma parole que je ne remettrai plus jamais ma vie en danger... pardonne moi... dis moi ce que je dois faire pour que tu me pardonnes... De son pouce il agaça le petite téton rose de Rhonin qu'il senti durcir et gonfler. Il savait parfaitement que son minet adorait ça. Rhonin se retourna et le regarda. Un petit feu brillait dans ses beaux yeux bleus et il avait un sourire grivois aux lèvres. - Embrasse moi, dit-il. Burydan se pencha et lui déposa un petit bisou sur les lèvres. - Embrasse moi vraiment.... comme si ta vie en dépendait. Burydan sourit et vint se caler entre les cuisses de son minet. Il se pencha en avant et embrassa Rhonin langoureusement... comme si sa vie en dépendait... et c'était d'ailleurs le cas... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 17-08-2021 Roooh ! Le petit chantage affectif avec les yeux humides, je connais ça, je pratique (¬‿¬) Sauf que Rhonin semble parfaitement sincère, là. Il y a juste un truc que je n’ai pas entièrement capté, il fallait qu’il sache quoi ? Si l’histoire de la protection accordée par l’Ouroboros était vraie ? Il a déjà dû s’en apercevoir, puis pq Gershaw aurait-il menti, il a eu sa période… moins honnête, mais dans son genre, il avait des valeurs de chevalier, la preuve avec Izaïa ¯\_(ツ)_/¯ Le baiser langoureux ne va suffire qu’en partie à rassurer le garçon, puis bon, on soupçonne un peu à quoi mènent forcément les poutounes baveuses avec les pointes de langue sur les glottes J'adooooore :-* :-* :-* Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Siriux - 18-08-2021 Salut maitre Moloch super ton récit j'ai hate de connaitre la suite. j'ai eu peur qu'il n'ai complètement disparu mais finalement je l'ai retrouvé. a bientôt pour la suite Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 22-08-2021 Bonjour à tous et aux autres. Salutations Siriux, bon retour parmi nous. Mon petit twink chéri, non, ouroboros n'est pas le nom de l'épée ni de son possesseur. C'est juste un symbole qui date de la nuit des temps ésotérico-mythologico-alchimico etc... c'est que j'ai l'épée de Burydan sous les yeux alors que j'écris ces lignes. Depuis que j'ai découvert dans le grenier familial (alors que je cherchai je ne sais plus quoi... un raccourci que jamais je ne trouvai...) une épée d'officier de cavalerie d'un de mes aïeux, j'en fais la collection. J'en ai une trentaine et celle de Burydan, avec l'ouroboros, est l'épée maçonnique de mon arrière grand-père. Burydan n'a pas douté du récit de Gershaw, il voulait juste savoir si l'impunité du porteur de l'épée était toujours respectée... et en effet le baiser langoureux ne va pas suffire. Tout de suite la suite. Bonne lecture. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 22-08-2021 CHAPITRE CXXXII
''Vincula a voluptate'' En appui sur ses bras musclés, Burydan regardait Rhonin. Son minet caressa ses biceps durs comme de la pierre, ses épaules larges et rondes et prit ses pecs à pleine main. Il les caressa et les pelota comme un dingue. Burydan adorait sentir ses tétons glisser entre les doigts fins de son minet et le laissa le tripoter tout son saoul. Il se pencha de nouveau vers lui et l'embrassa passionnément. Ses lèvres migrèrent dans le cou mollet et, remontant d'un grand coup de langue le long de la carotide, il mordilla la mignonne petite oreille droite, tout doucement, lentement, la grignotant du lobe jusqu'à tout le pavillon avant de plonger sa langue à l'intérieur. Rhonin poussa un long soupir de plaisir. Et un autre, quand Burydan s'attaqua à l'oreille gauche. Il lui sourit et l'embrassa de nouveau à pleine bouche. Il descendit sur son petit torse et le lécha lentement. Il agaça les tétons roses de sa langue avant de les suçoter et de les mordiller, arrachant ses premiers gémissements à Rhonin. Il passait inlassablement de l’un à l'autre jusqu'à ce que la peau de lait de son minet brille de salive. Il arriva sur le ventre tout doux et tout chaud. Il frotta son visage contre la peau veloutée et y déposa de gros baisers mouillés. Il lécha lentement cette peau frémissante, tournoya autour du petit nombril joliment retroussé et plongea à l'intérieur, arrachant un long gémissement plaintif à Rhonin qui creusa le ventre. Burydan le lécha un long moment, passant du nombril au ventre et du ventre au nombril. Burydan descendit encore et se retrouva en face de la bite de Rhonin, emprisonnée dans l'étoffe de son sous-vêtement, déformé par une phénoménale érection. Il joua avec la queue dure de la pointe de son nez, frotta son visage et se mit à la lécher et à la mordiller tout doucement. Les gémissements de Rhonin s'intensifièrent. Burydan lécha encore et encore, insistant sur la petite trace humide au niveau du gland. Il releva la tête. L'étoffe était devenue presque transparente tellement Burydan l'avait léchée et on devinait la queue de son minet. Il mit les mains sous la ceinture du sous-vêtement. Rhonin leva les jambes et son beau mâle lui enleva le dernier morceau de tissu qui couvrait encore son corps. Burydan envoya valser le sous-vêtement d'un geste théâtral dans un coin de la chambre. Rhonin, en riant, reposa ses jambes et Burydan le regarda. '' Qu'y a-t-il de plus beau qu'un corps de garçon nu, se demanda-t-il. Surtout quand ledit corps est celui de Rhonin''. Il se cala confortablement et s'occupa d'abord des jolies couilles de son blondinet. Elles étaient toutes rondes et toutes douces. Il huma la délicieuse fragrance qui s'en dégageait et les explora de la pointe de sa langue, s'y attardant quand un gémissement de Rhonin était un peu plus fort. Une fois découvertes toutes les parties les plus sensibles de son petit blond, il lécha ses couilles d'une langue baveuse. Bien lubrifiées, il les goba et les suçota. Il en berçait une du plat de sa langue, la recrachait, infligeait les mêmes délicieux tourments à l'autre, avant de revenir à la première, encore et encore. Rhonin gémissait comme un perdu. Gémissements entrecoupés de : - Oh oui... oh oui, bouffe moi les couilles... oh encore... oh qu'est-ce que c'est bon... oh mes dieux ! Burydan releva la tête. Les couilles de Rhonin dégoulinaient de salive. Il regarda son minet, en transe. Il savait qu'il voulait qu'il prenne sa jolie queue dans sa bouche, mais Burydan décida de le faire languir un peu. Il le connaissait par cœur et savait pertinemment comment l'exciter comme jamais. Il déposa des gros baisers mouillés sur toute la longueur de sa bite, de la base jusqu'au sommet. Il tira un peu sur la peau pour que son gland s'épanouisse dans toute sa largeur plantureuse. Il le lapa à petits coups de langue baveuse, en insistant bien sur le frein. Puis, sans crier gare, il se jeta sur l'aine gauche de Rhonin. Il la lécha d'un grand coup de langue. Rhonin gémit intensément en se tortillant. Cette caresse mouillée déclencha un énorme vague de frissons dans tout son corps. C'était divin. Burydan lécha encore, aspirant la peau entre ses lèvres, et se jeta comme un affamé sur l'aine droite, avant de revenir à la gauche, encore et encore et encore. Il sourit en voyant son blondinet se tortiller. Il prit la bite de Rhonin dans son poing, la maintint bien droite et laissa tomber de longs filets de salive dessus. Il l'étala avec sa main et avala le gland rose et joufflu de son minet. Rhonin gémit de plus belle. Les acrobaties de la langue de Burydan autour de son gland étaient indicibles. Son bel étalon commença à avaler sa queue de plus en plus profondément et Rhonin poussa un petit hoquet quand il sentit sons gland comprimé dans la gorge de Burydan. Celui-ci déglutit pour resserrer l'étau. Il remonta lentement le long de la queue dure, s'occupa un petit moment du gland dodu et repartit à l'assaut de la jolie bite. Alors qu'il gémissait comme un perdu, Rhonin plaqua ses deux mains sur la tête de Burydan. Celui-ci pensa que son minet voulait prendre les choses en main et lui baiser la bouche. Et il n'avait rien contre. Mais Rhonin lui fit relever la tête, sa bite poisseuse venant claquer contre son ventre, et attira Burydan vers lui. Yeux bleus hallucinés, bouche entrouverte, respiration hachée, Rhonin réclamait un baiser que Burydan s'empressa de lui donner. Un baiser long et profond. Rhonin remonta ses genoux et glissa la ceinture du sous-vêtement de Burydan entre ses orteils. Il le fit descendre doucement, libérant la grosses queue de son maître de son carcan de tissu. Burydan envoya sons sous vêtement dans un coin de la chambre d'un coup de pied. Il étaient nus, l'un contre l'autre, peau contre peau. Burydan cala sa queue dure contre la bite tendue de Rhonin et se déhancha. Sans cesser un seul instant de l'emballer à pleine bouche, il se frottait dans une joute lascive et Burydan adorait entendre Rhonin gémir contre sa bouche quand leurs glands se frôlaient. La bite de Burydan lui faisait presque mal tellement elle était dure. Il avait envie de son petit minet. Il avait envie de lui faire l'amour longtemps, lentement, amoureusement, de le posséder intensément jusqu'à ce qu'il pleure, hurle et s'évanouisse de plaisir. Il se remit à genoux, la respiration heurtée et dit : - Tourne toi, bébé, et donne moi ton petit cul. Tu n’imagines même pas à quel point j'ai envie de te bouffer la chatte. - Attends, dit Rhonin, j'ai une autre idée... Burydan leva un sourcil interrogateur. Rhonin lui sourit et se leva. - Allonge toi sur le lit, sur le dos... allez, obéis... Burydan sourit et s'allongea. - Mets toi bien au milieu... oui, bon garçon... Burydan sourit de nouveau. Son petit esclave voulait jouer au maître ?... pourquoi pas... Rhonin, de sa démarche gracile, sa jolie bite se balançant à chaque pas, se dirigea vers leurs bagues. Il fouilla et revint vers le lit avec, dans la main gauche une grande serviette blanche et, dans la main droite, les quatre morceaux de corde que Burydan avait utilisé pour l'attacher. Tiens, se dit-il, il a pris goût à ce petit jeu ?... Rhonin se mit à califourchon sur lui et dit : - Donne moi tes poignets... - Quoi ?! dit Burydan, interloqué. - Donne moi tes poignets... allez, obéis ! Burydan était perplexe mais tendit ses poignets à Rhonin. - Bon garçon... Rhonin noua une extrémité d'une corde autour du poignet de Burydan et l'autre autour du bois du lit. Il fit la même chose avec l'autre poignet. - Écarte largement les cuisses... Il attacha les chevilles de Burydan et se remit à califourchon sur lui. Ainsi entravé et soumis aux envies de son minet, Burydan était... dubitatif. Qu'allait-il donc lui faire ou lui faire faire. Le plus inconcevable, c'est que Burydan trouvait ça plutôt excitant. - Tu es mon prisonnier, dit Rhonin. Tu es à moi et je peux te faire ou te faire faire tout ce dont j'ai envie. Et si tu n'obéis pas, je te laisse ainsi pendant des jours... La phrase, dite sur un ton espiègle, fit sourire Burydan : - Bien, maître, dit-il. Rhonin se tortilla pour nicher la grosse bite de son maître entre ses fesses toutes douces. Il caressa les abdos noueux, adorant les voir tressaillir sous son passage, saisit les pecs à pleine main, pinça tout doucement les tétons durs et gonflés, et se pencha pour se coller au corps chaud de Burydan et l'embrasser à pleine bouche. L'embrasser vraiment. La plupart du temps c'était Burydan qui engouffrait sa langue dans la bouche de Rhonin pour le galocher. Mais là, Burydan sentit la petite langue rose et frétillante de son minet se faufiler entre ses lèvres et venir à la rencontre de sa copine. Et c'était bon... tellement bon... Après un long baiser torride, Rhonin commença à lécher le corps offert de son mâle. Gros baisers mouillés dans son cou, grignotage des oreilles, contour des énormes pectoraux de la pointe de la langue, longue léchouille dans le profond creux entres ses pecs jusqu'à la gorge, agacerie, suçotement et mordillement des tétons durs, contour de la pointe de la langue des abdos noueux et caresse du ventre du plat de la même langue, léchage du nombril, des aines et des grosses couilles bien pleins de son maître. Rhonin releva la tête et regarda son maître, en transe, poussant des gémissement rauques à chaque fois que la langue de son tortionnaire atteignait un point particulièrement sensible. Il mourrait d'envie de sentir sa queue dure comme la pierre bien au chaud dans la bouche de son minet. Elle palpitait de désir. Mais apparemment Rhonin avait vraiment envie de le faire se consumer. Rhonin se remit à califourchon sur Burydan et nicha la grosse bite de son supplicié entre ses petites fesses. Il commença à faire aller et venir son bassin, branlant son homme par la même occasion. - J'ai le cul en feu, dit-il. T'as envie de le lécher, hein ? T'as envie de me bouffer la chatte ? Burydan hocha la tête. - Dis le ! - J’ai envie de te bouffer la chatte. Rhonin sourit. Il plia la serviette et la mit sur les yeux de Burydan. - Eh, mais qu'est que tu fais ?! - Laisse toi faire, tu vas voir, tu vas adorer. Burydan n'était pas sur d'adorer. Il aimait tellement voir le corps nu de son minet. Il sentit Rhonin se déplacer sur le lit. Et il entendit : - Lèche ! Burydan releva la tête et sortit sa langue, qui se retrouva directement dans la raie de Rhonin accroupit au dessus de lui. - Oh oui, lèche moi bien... Burydan ne se fit pas prier. Il lécha le sillon de son blondinet un long moment, puis tâtonna pour trouver son œillet. Et il le lapa encore et encore. Rhonin se mit à gémir au fur et à mesure que la langue de Burydan caressait son intimité. Et il couina quand il sentit cette même langue vaincre la faible résistance de son œillet et le pénétrer. C'était bon... tellement bon... Burydan se rendit compte que, privé d'un de ses cinq sens, les autres semblaient s'être intensifiés. Et de ce côté là, il était comblé. Les gémissements de son petit bond quand il le léchait ; l'odeur de sueur de mâle en rut qui flottait dans la pièce ; le goût du petit cul de son minet ; la douceur des fesses de Rhonin quand il délaissait son petit trou pour les embrasser et les lécher. Rhonin, gémissant, se pencha en avant. Tête bêche par rapport à son mâle, il lui tendit encore plus complaisamment son petit cul et lécha lentement la grosse queue palpitante de Burydan. Il la prit dans son poing et commença à la sucer avidement. Burydan ne savait pas ce qui lui plaisait le plus. Cette sensation de ne rien maîtriser, d'être complètement soumis au désir de son minet, le goût du petit cul qu'il léchait comme un dingue, ou la bouche chaude et moite qui lui dévorait la queue. Et il se dit que les trois ensemble, c'était à ça que devait ressembler le Tiantang. Le silence n'était plus troubler que par les bruits de lapement et de succion. Et par les gémissements des deux amants qui se procuraient mutuellement des caresses humides. Burydan s'emballa soudain. - Je vais jouir, dit-il, je vais jouir ! Aussitôt Rhonin sortit sa bite de sa bouche, laissant redescendre la pression. Burydan gémit de frustration. - Déjà ? demanda Rhonin. Burydan ne répondit pas, tout à ses léchouilles baveuses. Rhonin se laissa ainsi dévorer et se pencha, se contentant de lécher la grosse queue palpitante de son étalon, savourant les vagues de plaisir que la langue de Burydan déclenchait en lui. Il brûlait de désir littéralement. Il priva Burydan de son petit cul, lui arrachant un grognement de dépit. Il cracha dans sa main et se lubrifia son petit trou. Il se rendit compte que c'était inutile, il dégoulinait littéralement de la salive de son beau brun et restait entrouvert. Il laissa tomber de gros paquets de salive sur la queue de Burydan et l'étala de sa main. Il se remit à califourchon et enleva la bandeau des yeux de son mâle. Burydan papillonna des yeux et regarda Rhonin Il y avait une telle lueur de luxure dans ses yeux bleus ! Rhonin détacha ses chevilles et ses poignets. - Baise moi, Burydan de Malkchour, prends moi comme une bête, fais moi miauler comme un chaton, fais mois japper comme une petite chienne, fais moi couiner, déglingue moi, bourre moi, démonte moi comme une brute ! Burydan enlaça son minet, l'attira à lui, donna une impulsion et se retrouva entre les cuisses de Rhonin. - Ça t'a plu de me voir ainsi, soumis, hein ?... Oui ça t'a plu... mais maintenant je vais me venger... je vais te faire gueuler de plaisir... tu as joué avec moi, mais maintenant ça va être toi mon jouet... je vais te défoncer, bébé, comme jamais je ne t'ai encore défoncé, jusqu'à ce que tu implores ma clémence ! Burydan pénétra Rhonin d'un coup de reins sec, faisant claquer son bas ventre contre ses petites fesses. Et il le baisa intensément. Ce fut animal, bestial et torride comme le Diyu... Rhonin miaula, jappa, couina, et cria : - Fais moi jouir ! je t'en supplie fais moi jouir ! J'en peux plus ! Pitié, maître, pitié, faites jouir votre petit esclave ! Oh oui... plus vite... plus fort... oh non, ne t'arrête pas ! Grâce maître, grâce... oh oui, comme ça... juste là... oh mes dieeeeeeeeeeuuuuuuuuux !!! Rhonin jouit comme un dingue. Le plaisir avait été tellement violent qu'il eut l'impression de tomber dans les appurus. Et Burydan le rejoignit, la tête dans son cou, dans un grand cri rauque, trois coups de bite plus tard. Ils restèrent ainsi, les corps emmêlés, la respiration heurtée, les cœurs battant à leur rompre les côtes, des étoiles pleins les yeux et le cerveau noyé de plaisir. La bite de Burydan sortit d'elle-même des confins du corps de Rhonin, et il eut l’impression de perdre quelque chose de vital. Le visage de son beau mâle apparu au dessus du sien. Les cheveux collés à son front par la sueur, les yeux gris brillants et un immense sourire aux lèvres. - Oh bébé, c'était... c'était... - Génial... tout simplement génial... - Je t'aime blondinet... - Je t'aime, beau brun... Ils s'embrassèrent langoureusement. - Je suis pardonné ? - Tout à plein mon amour. - Tant mieux. Parce que... j'ai envie de... recommencer... - Quoi... maintenant ?! - Oui. - Mais tu es insatiable... - Je sais, merci. Mais pour me faire totalement pardonner, je vais m'amuser avec ta petite glande à étincelles - Oh... chic alors... - Prêt à prendre un pied phénoménal, bébé ? Rhonin sourit, plia un oreiller en deux et le cala sous ses reins. Il écarta largement les cuisses et Burydan le fit jouir intensément, sans qu'il ait même besoin de se toucher. Puis Rhonin prit Burydan dans sa bouche jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour. Ils s’enlacèrent, s'embrassèrent, se caressèrent et s’endormirent dans les bras l'un de l'autre. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - fablelionsilencieux - 22-08-2021 '' Qu'y a-t-il de plus beau qu'un corps de garçon nu, (de) demanda-t-il. Surtout quand ledit corps est celui de Rhonin''. - se Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 22-08-2021 Je connaissais le symbole, le serpent qui s’avale la queue (la chance d’être assez souple…), je l’avais juste étendu à l’épée Et mon papy aussi ‘bâtit des temples à la vertu et de sombres geôles au vice’ mais il conserve ses artefacts au temple, jamais vus. Tu racontes vrmt trop bien la relation hunk/twink pour un amateur de carrures, le fantasme soi-disant discret (ou distrait) est plus que ça, je me dis que ça ne durera pas trop avant que tu suggères l’inclusion d’un Rourke dans votre couple vrmt trop exclusif, non ? (¬‿¬) Surtout que là, le garçon retourne son top, et avec talent, en plus, j’ai jamais pu faire venir le mien rien qu’à la bouche 0.0 C’est torride à crever, j’ai eu l’impression de sentir les parties de corps contre le mien, c’est tjs excellent Puis aussi, Rhonin m’inspire des ambitions que je ne pensais pas avoir… (¬‿¬) A creuser, tout ça, mais au figuré, quoique... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 23-08-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci mon rô minet, correction effectuée... Non, mon renardeau. Jamais je n'intégrerai un troisième dans mon couple, aussi mignon soit-il. Il n'y a que mon blondinet qui mes fait de l'effet. Je ne suis gay que pour lui. Certes, j'ai le fantasme de le faire avec un minet, mais juste comme ça, pour voir... et surtout le partager avec mon mec... mais, tout comme Burydan, je ne partage pas ma friandise... j'ai déjà eu assez de mal à voir mon beau blond sucer notre pote de 3some... J'ai pas bien compris, ton mec accepte uniquement de te sucer la ... ou même pas ? Re : Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - fablelionsilencieux - 23-08-2021 (23-08-2021, 04:27 PM)Moloch link a écrit :Bonjour à tous et aux autres. ??? Perso j'avais compris que son mec n'avais jamais jouit sous une simple turlute de sa part... aussi savamment eut-elle été faite ! Aurai-je mal interprété ses lignes ? :-\ |