Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 20-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Journée consacrée à des visites, puis Ben et Phil se retrouvent au lit. Belles déclarations d’amour réciproques. Encore un ange… Ben relève cependant la part de Phil un peu floue, ils ont peut-être encore un peu de chemin à faire pour mieux se connaître. Je pense par contre qu’ils connaissent parfaitement les organes entre leurs jambes, ce qui ne les empêche pas non plus de les redécouvrir très souvent. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-05-2021 (20-05-2021, 06:07 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, visite à J-P et Christophe, ensuite à Marie et Isabelle, avec une invitation à manger à la clef. Oui les deux ados s’aiment et se le disent. Effectivement Phil a toujours une part secrète qu'il n'a pas encore dévoilée à Ben. Ils doivent poursuivre leur découverte de l'un et l'autre! Il y a des anges qui se promènent dans les récits actuellement! Tu as raison Daniel, ils connaissent bien les organes qu'ils ont entre les jambes et ils aiment aussi y revenir en vue de les redécouvrir régulièrement! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 22-05-2021 TOME 6 : ATOUT « CŒUR ».
Partie 1: Grand camp Pi. Chapitre 1: Départ Il était grand temps de se préparer pour le grand camp pionnier. Nous devions faire nos sacs et préparer les tentes, les malles de matériels et tout le nécessaire pour le camp. Il fallait aussi prévoir quelques outils en vue de pouvoir exécuter les travaux pour lesquels nous nous étions engagés. Il fallait creuser une tranchée en vue d’amener le courant et l’eau à une partie de la ferme d’un couple avec enfants qui avait des difficultés financières. Bref nous étions tous au local l’avant-veille du départ. Tous les pionniers avaient à cœur de préparer au mieux le matériel, le tout sous la houlette de Jean-Pierre et de Fabrice son assistant. A la maison c’était aussi le moment de préparer mon sac. J’avais demandé à maman de laver certains vêtements que je comptais prendre avec moi. Puis j’avais étalé sur mon lit ce que je comptais emporter, vêtements, de quoi écrire, de quoi participer aux activités tel que canif, et autres matériels. J’avais pensé à prendre aussi une petite trousse de secours, on n’était jamais à l’abri d’un petit accro. Puis il y avait le sac de couchage, le matelas pneumatique, la lampe torche, etc. Bien entendu le chansonnier avait été mis en bonne place pour ne pas l’oublier. Je savais que pour Benoît c’était la même chose, il devait lui aussi tout préparer chez lui avec l’aide éventuelle d’Arlette, sa maman. Je pense que mon chéri était capable de se passer de son aide d’ailleurs. (Je rigole, mais il était évident que quand j’avais dû faire mon sac pour mon premier camp scout, je n’en menais pas large car j’aurai oublié la moitié de mes affaires !) Mais nous étions assez grands pour savoir faire un sac pour un camp. Nous étions début juillet et nous allions partir au camp pionnier pour la première fois. Effectivement c’était une nouvelle troupe pionnier qui venait d’être mise sur pied et donc s’était le premier camp de cette troupe tant pour les scouts que pour les animateurs. Je savais que Gabriel était souvent en contact avec les animateurs comme deux autres pionniers. Ils avaient pris en main l’avenir de cette section et ils voulaient que le camp se passe au mieux. La veille du départ j’avais reçu un coup de téléphone de Gaby, il voulait que je passe chez lui pour le dîner. Il m’avait dit que Benoît était lui aussi invité. Je me demandais pourquoi Gaby nous avait réuni la veille du camp. Bref je trouvais que c’était sympa de se voir avant d’aller ainsi à l’aventure, soit au camp pionnier. J’avais accepté et le rendez-vous avait été fixé vers onze heures le lendemain. J’avais hâte d’y être. J’avais téléphoné à Benoît en vue de savoir ce qu’il en pensait. Il était comme moi un peu intrigué par cette invitation. Nous allions donc savoir le pourquoi à onze heures le lendemain. J’avais ressassé tout cela dans ma tête durant tout ce début d’après-midi. Ben m’avait retéléphoné en vue de savoir ce que j’en pensais. Je lui avais dit que j’étais intrigué. Ben à son tour m’avait aussi dit qu’il se demandait pourquoi il souhaitait nous voir, il se demandait si cela avait quelque chose à voir avec notre orientation sexuelle ou alors il y avait autre chose. J’avais proposé à Ben de venir loger à la maison ou alors que j’aille chez lui. Finalement Ben avait accepté de venir à la maison pour passer la nuit. Nous irons ensemble chez Gaby depuis la maison. C’est vers dix-huit heures que Ben était arrivé à la maison. Maman était heureuse de le voir. Elle m’avait dit qu’elle voulait lui dire de faire attention à moi. Maman ne voulait rien me cacher. Elle avait encore la hantise que je sois pris à partie pour ma différence. J’avais beau lui dire que maintenant je n’avais plus peur et que j’allais être entouré d’amis tel que Ben, Gaby, Alex et d’autres encore. J’avais embrassé Ben car cela faisait deux jours que nous ne nous étions plus vus. Jean et Anne avaient salué Ben, ils étaient contents eux aussi de le voir avant notre départ pour le camp. Avant de passer à table Ben m’avait accompagné dans ma chambre. Nous nous étions assis sur mon lit et nous avions discuté ensemble de l’invitation de Gaby. Nous étions étonnés mais nous pensions que Gaby voulait peut-être mettre les choses au point avant le départ. C’était une des possibilités que nous avions envisagées. Puis j’avais pensé que Gaby avait peut-être un souci et qu’il voulait nous en faire part avant le camp. Bref nous n’en savions pas plus. Maman et Anne avait préparé un très bon souper. Papa venait de rentré du travail et il était étonné de voir Benoît. Je lui avais expliqué que Gaby nous avait invité chez lui le lendemain à onze heures et que nous allions manger avec lui. J’avais ensuite servi à Papa un apéro ainsi qu’à Maman bien entendu. Le repas était excellent. Maman avait préparé des tomates crevettes, des pêches au thon ainsi que des roulades de jambon avec des asperges ainsi que des légumes tels que de la salade, des carottes rappées, des betteraves rouges et bien entendu des pommes de terre froides. Papa avait sorti une bouteille de vin rosé. Exceptionnellement nous avions pu avoir un verre de vin durant le repas. Nous étions très heureux d’être réuni en famille. J’avais mon Ben à mes côtés, c’était le principal. A l’issue du souper nous avions été au jardin pour profiter de ce début de soirée lumineuse. Nous nous étions assis sur un muret de la terrasse et nous avions repris notre discussion concernant l’invitation de Gaby. Maman étant assise près de nous nous avait dit que c’était surement pour resserrer les liens avant le camp. Elle n’y voyait aucune raison que celle-là. Nous avions dès lors pensé qu’il n’y avait rien de particulier qu’un lien d’amitié éventuel. Finalement nous avions décidé d’aller nous coucher. Une fois dans mon lit nous nous étions regardés Ben et moi, les yeux dans les yeux. Puis d’un coup Ben s’était relevé sur ses coudes et d’une voix troublée il avait dit : Ben : « Oh Phil, tu sais quoi, pour le camp je n’ai plus de capotes ni de gel. Moi : Quoi, Ben t’es sérieux là ou quoi ! Ben : Non je te jure, je n’ai plus rien. Moi : On va faire comment alors ! Ben : Je ne sais pas, il faut qu’on aille en chercher demain. Moi : Ohé Ben, j’ai tout préparé dans mon sac, préservatifs, gel et mouchoirs en papier. Ben : T’es un malin. Tu te crois comique de me faire flipper comme tu le fais. Moi : Non Ben, c’était pour te faire mousser. Non je ne blague pas, j’ai tout ce qu’il faut. Ben : Je ne sais pas si nous aurons la possibilité de nous aimer, on verra bien avec Gaby, s’il est d’accord de nous laisser un peu de temps libre ! Moi : Je crois qu’on peut lui en parler demain quand on sera chez lui. Ben : Oui c’est juste. De toute façon on ne risque rien à lui demander. Moi : Voilà une bonne chose de réglée. Ben : Je suis enfin rassuré. Bon, je propose qu’on dorme, je suis fatigué et un peu excité d’une part parce que nous allons aller au camp et d’autre part par cette invitation de Gaby. Moi : Oui moi aussi je suis fatigué et à la fois exciter pour les mêmes raisons que toi. Ben : Bonne nuit mon Philou d’amour. Moi : Merci, bonne nuit mon ange blond. » Nous nous étions embrassés tendrement. Je ne savais pas si Ben allait rester sage ce soir, mais moi j’avais envie de lui procurer un peu de plaisir. J’attendais cinq minutes avant de commencer à agir. Nous étions nus donc aucun obstacle entre nous. Ben s’était retourné, ses fesses étant tournées vers moi. Ma main droite s’était mise à caresser doucement les deux lobes de son fessier. Ben avait gémi deux fois. J’avais poursuivi mes massages subtils sur ses fesses. Mon autre main s’était alors aventurée de l’autre côté de son corps, elle s’était directement posée sur le membre dressé de mon amour. J’entreprenais alors une lente masturbation de cette colonne de chair déjà bien chaude. Il n’avait pas fallu trente secondes pour que Ben se retourne vers moi et vienne enserrer ma bite dressée. Il entreprit lui aussi une branlette délicate. Nous nous donnions mutuellement du plaisir. Nous ne savions pas quand nous pourrions nous aimer lors du camp, j’avais alors voulu profiter de cette nuit pour nous câliner. Il n’avait pas fallu cinq minutes pour arriver à l’orgasme. Nous avions éjaculé presque en même temps dans la main secourable qui nous avait branlé. J’avais pris des feuilles d’essuie-tout pour effacer les traces de sperme. Nous nous étions ensuite encore embrassés avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre. C’est donc vers neuf heures que nous nous étions levés. Nous avions pris notre petit déjeuner avec Jean et Anne. Maman était partie avec son amie faire les magasins, c’était le début des soldes d’été. Bref nous parlions entre nous et j’avais discuté du fait que Gaby nous avait invité chez lui sans motif particulier. Anne avait pensé que c’était pour que nous soyons sur la même longueur d’onde pour le camp, Jean lui pensait qu’il voulait nous tester pour savoir si nous allions le suivre durant le camp. Bref je n’étais toujours pas certain de savoir de ce que notre présence chez Gaby allait apporter au camp que nous allions vivre. Nos bavardages avaient continué avec ma sœur et mon frère. Nous parlions des vacances qui commençaient et d’un tas de choses. Puis ma sœur Anne nous avait regardé Ben et moi. Elle avait alors dit : Ann : « Les garçons, c’est déjà demain que vous partez au camp ? Moi : Oui, nous allons au camp demain. Pourquoi ? Ann : Vous avez pensez à tout pour partir ? Moi : Oui, on a chacun fait notre sac avec toute nos affaires. Ann : Donc vous avez tout, même des capotes et du gel ! Ben : Oh Anne ! Oui, j’en ai parlé à Phil et il m’a dit qu’il avait tout préparé. Jean : Je n’en doute pas. Connaissant mon frère, il a tout prévu ! Moi : Oui Jeannot, même des mouchoirs en papier ! Nous nous étions tous mis à rire de bon cœur. Ben avait un peu rougi, mais ça ne se voyait pas trop. Je savais que ma sœur et mon frère étaient aux petits soins pour moi. Ils ne voulaient pas que je sois pris au dépourvu. Puis Anne avait ajouté : Ann : Faites quand même attention aux autres et à leurs réactions. Je n’ai pas envie de vous revoir avec des traces de coups ou autres ! Moi : Non Anne, ne t’inquiète pas. Nous allons voir Gaby dans moins d’une heure et nous comptons mettre les choses au point avec lui pour qu’il ne soit pas lui aussi embêté. Ann : C’est très bien Phil. Mais prenez soin de vous s’il vous plait ! Ben : Pas de souci Anne, nous allons tout faire pour ne pas avoir de problème. Merci de penser à nous comme tu le fais ! Ann : Mais c’est parce que je vous aime mes deux anges. Jean : Moi aussi je tiens à vous. Je .. Jean n’avait pas su poursuivre sa phrase. Il était très ému. Il avait peur qu’il nous arrive quelque chose. Je voyais que ses yeux étaient déjà humides. Je m’étais levé pour lui faire un câlin. Je lui avais dit : Moi : Ne t’inquiète pas mon petit frère, je sais que tu nous aimes Ben et moi. Je te jure que nous allons faire très attention à nous. Ann : Oui Jean, je suis certaine que tout va bien se passer. Tu sais bien que Phil fait tout pour éviter d’avoir des problèmes. Moi : Merci Anne. Oui Jean, je te le promets on va faire très attention à nous. Jean Merci, je vous aime mes deux tantouses préférées ! » Une fois de plus nous nous étions mis à rire. Il était déjà temps de prendre le chemin de la maison de Gaby. Je savais où il habitait. Benoît avait salué Anne et Jean, car il ne les verrait plus avant notre départ pour le camp. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 22-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. C’est le stress avant le départ au camp pionnier, surtout après la mystérieuse invitation de Gaby, nous en saurons certainement plus avec la suite. Je m’imaginais que les scouts recevaient une liste d’habits et d’autres affaires à prendre pour un camp, peut-être les plus jeunes. Si les mouchoirs en papier (ou en étoffe, c’est aussi agréable pour se branler si la personne qui les lave n’est pas trop curieuse) figuraient certainement sur cette liste, ce ne devait pas être la cas des capotes et du gel. Je pense pas non plus que le « Manuel des Castors Juniors », souvenir de mes lectures du « Journal de Mickey », en parlait. Auront-ils un moment d’intimité pour les utiliser ? Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 22-05-2021 (22-05-2021, 12:17 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! L'invitation faite par Gaby intrigue les deux ados amoureux! Qu'y a-t-il de spécial dans cette invitation? Nous en saurons plus dans la prochaine suite! Les scouts ont pris l'habitude depuis qu'il sont louveteaux a faire leur sac. Ils savent qu'il y a une liste qui leur permet de ne rien oublier. A cette époque il y avait des liste pour les élèves qui partaient en classe de neige, pour ceux qui allaient en colo, ... etc. Il est clair que cette liste n’incluait pas les préservatifs et le gel qui va avec! Phil a pensé à tout et il a déjà mes ce qu'il fallait dans son sac à dos. Reste à savoir s'ils auront des moments d'intimité pour utiliser le matériel emporté! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 23-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil fait son sac et Ben aussi. Phil a tout prévu pour s'aimer, gel et capotes. Une visite chez Christophe comme promis à J-P. Visite chez Marie et Isabelle où les deux garçons restent pour le repas. Une invitation à passer est adressée aux deux garçons de la part de Gaby. Que veut-il? Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 24-05-2021 (23-05-2021, 06:58 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Très beau résumé, court, mais tout y est. Que veut Gaby? Nous le saurons dans la prochaine suite. Mystère! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-05-2021 Nous étions arrivés chez Gaby, il était presque onze heures. J’avais appuyé sur la sonnette. C’est Gaby qui était venu nous ouvrir. Il avait l’air souriant. Je décelais quand même comme un peu de malaise dans ses yeux. Nous sommes arrivés dans le living où nous avions été accueillis par sa maman. Il y avait aussi son petit frère Léon, il était chez les scouts depuis plus d’un an. C’est la maman de Gabriel qui avait dit : Dan : « Bonjour les garçons, vous êtes les amis scouts de Gaby, je suis heureuse de vous voir. Moi et Ben : Bonjour madame. Dan : Vous pouvez m’appeler Danielle, ce sera bien plus convivial ! Moi : Oui, merci Danielle. Moi c’est Philippe, Phil pour les intimes, soit pour presque tout le monde d’ailleurs ! Ben : Pour moi aussi c’est une bonne idée. Moi c’est Benoît ou alors plus court Ben. Gab : Au fait voilà mon frère Léon, vous le connaissez. Ben : Oui, bien sûr, on le connait. Salut Léon. Moi : Salut Léon ! Léo : Bonjour les gars ! Dan : Très bien les garçons. Gaby m’a souvent parlé de vous. Il vous apprécie et c’est lui qui souhaitait vous voir avant le camp. Je vous propose d’aller dans sa chambre pour être plus tranquille. Gab : Vous venez, on va dans mon antre. » Nous avions suivi Gaby à l’étage. Il nous fit entrer dans sa chambre. C’était une belle chambre avec divers posters aux murs. Il y en avait un des « Rolling-Stone », un de « David Bowie », un autre encore de « Deep-purple », et encore un de « Led Zeppelin ». Une installation hi-fi était placée sur un meuble bas lequel était entouré de deux gros baffles. Gaby nous nous proposa de nous asseoir sur son lit tandis que lui s’était assis sur un pouf. Enfin Gaby avait pris la parole. Gab : « Bon les gars, vous vous demandez pourquoi j’ai souhaité vous voir. Il y a plusieurs raisons. Bon la première c’est que je me suis rendu compte que j’avais été trop loin lorsque je m’étais permis de parler de votre orientation sexuelle à Emmanuel. Je croyais que cela n’aurait pas d’incidence, mais ce ne fut pas le cas et je veux encore m’en excuser. Moi : Tu sais Gaby, pour moi c’est oublié, je te considère comme un copain, je dirais presque comme un ami. Gab : Merci Phil. Puis je vous apprécie tous les deux. Nous allons nous trouver dans la même équipe et donc dans la même tente. Le camp va durer presque deux semaines et je me doute bien que cela ne va pas être facile pour vous, en fait pour avoir un peu d’intimité. Ben : Tu veux en venir où Gaby ? Gab : Je pensais qu’on pourrait trouver un arrangement. Je suis sûr que nous aurons un hike durant le camp et peut-être d’autres moments, où nous ne serons que nous trois, je vous laisserai du temps pour que vous puissiez vous aimer alors que moi j’irai faire un tour plus loin. Moi : Oh Gaby, c’est incroyable. Je ne savais pas comment nous allions faire Ben et moi pour avoir un moment d’intimité à deux et c’est toi qui le propose. On comptait t’en parler ! Gaby tu es un très chic gars. Ben : Merci Gaby, tu es génial ! Gab : Je vous dois bien ça. Puis moi aussi je voudrai aussi avoir quelques moments d’intimité pour, enfin vous voyez ce que je veux dire. Nous avions éclaté de rire. Bien entendu que nous savions très bien que la majorité des ados se branlaient régulièrement pour ne pas dire tous les jours ! Nous étions tout à fait rassurés par les propos tenus par Gaby. Puis Gaby nous avait regardé. Il semblait un peu plus embêté, comme s’il devait prendre sur lui pour poursuivre notre conversation. Il avait les yeux qui indiquaient qu’il cherchait un point d’appui ou quelque chose à quoi se raccrocher. Voyant que Gaby n’était pas très bien je lui avais demandé : Moi : Gaby, ça n’a pas l’air d’aller. Il y a quelque chose que tu voudrais dire et tu ne trouves pas les mots, c’est ça ! Gab : Oui Phil, je voulais vous dire aussi que, enfin bon… j’ai l’air costaux comme ça mais je dois reconnaître que j’ai comme qui dirait le mal de l’altitude. Ben : Le mal de l’altitude ! Gab : Oui Ben, parfois j’ai des troubles lorsque je suis en altitude. Je voulais vous en parler car j’ai confiance en vous deux. J’aurai probablement besoin de votre soutien lors du camp en Suisse. Moi : Mais pas de problème mon pote, on sera là à tes côtés. C’est ça qui te chagrinait ! Gab : Oui, c’est bête de ma part. Moi : Non Gaby ce n’est pas bête de ta part. Tu as très bien fait de nous en parler. Gab : Merci, vous êtes de véritables amis pour moi. Ben : Mais de rien Gaby. Je crois qu’on va passer un très bon camp ! Moi : Alors si tu as le moindre problème, tu pourras compter sur nous. » On entendait Danielle, la maman de Gaby, appeler depuis le rez-de-chaussée « A table ! ». Nous nous étions alors levés pour nous rendre tous les trois dans la salle à manger. Léon était déjà à sa place. Danielle avait préparé un macaroni jambon-fromage avec une sauce béchamel. Nous nous étions placés en face de Gaby et de Léon. Une fois servi nous avions commencé à manger tout en continuant à discuter. C’est Danielle qui avait repris la parole : Dan : « Voilà les jeunes, vous avez pu vous entendre concernant le camp et vous avez aussi appris l’angoisse de Gabriel concernant sa phobie de l’altitude ! Moi : Oui, il n’y a aucun souci à avoir, nous savons que Gaby sera là pour nous et que nous aussi, on sera là pour aider Gaby en cas de besoin. Dan : Je suis heureuse de l’apprendre. Gab : Tu sais maman je suis très heureux de partir au camp avec Phil et Ben, ce sont de véritables compagnons sur qui on peut compter. Dan : Je te l’avais dit Gaby, qu’il te serait plus facile pour toi de mettre les choses à plat, cartes sur table, que de ne rien dire et peut-être d’être mal perçu par les autres. Tu sais maintenant que tu auras du soutien. Moi : Nous serons toujours présents pour Gaby, le passé est derrière nous et nous devons aller de l’avant. Dan : Tu fais allusion à ce qui s’est passé avec son copain Emmanuel, enfin ancien copain ! Moi : Oui Danielle, pour moi l’affaire est close et nous sommes partis sur de nouvelles bases. Dan : J’en suis très heureuse Phil. Ce que tu es, tout comme Ben, ne regarde que vous et Gaby l’a très bien compris. De plus il m’a dit que vous étiez toujours très corrects et très sérieux. Je vous en félicite ! Ben : Merci Danielle. Je ne savais pas que Gaby avait été si loin dans les explications nous concernant. Mais cela ne nous dérange pas du tout. Gab : Vous savez que c’est vous qui nous donnez des leçons. Vous êtes disponibles pour rendre service, vous avez le souci de l’autre et c’est par votre attitude que vous m’avez ouvert les yeux. Léo : Gaby parle souvent de vous avec nos parents. Ce que je sais c’est que vous êtres deux amis pour mon frère. Puis si vous êtes homos, cela ne me dérange pas, ça vous regarde ! Dan : Mais enfin Léon, on ne parle pas comme ça ! Moi : Ce n’est rien Danielle. Je te remercie Léon. Tu peux remarquer que nous sommes des ados comme les autres. Le reste, comme tu le dis, c’est notre affaire. Gab : C’est vrai ce que dit Phil, pour moi c’est un ami comme n’importe quel autre et c’est valable aussi pour Ben. Léo : Je sais, mais je voulais que tes amis sachent que j’étais au courant et qu’ils sont super géniaux, et je l’avais déjà remarqué à la troupe. Dan : Bon, je pense qu’il est temps de passer au dessert. » Je savais que les scouts étaient au courant de notre homosexualité à Ben et à moi. Je me doutais que Gaby avait dû en parler à ses parents puise qu’il avait été privé de camp de Pâques pour l’affaire d’Emmanuel. Il était donc tout à fait logique que Léon ait été mis au courant. Danielle avait elle aussi l’esprit très ouvert. Ce repas avec la famille de Gaby avait pu encore nous rapprocher un peu plus, tissant une amitié véritable entre deux homos et un hétéro. Mais nous savions Ben et moi que nous devions toujours rester sur nos gardes. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 25-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Nous savons maintenant ce que Gaby voulait dire Ben et Phil. Il propose de laisser de temps à autre du temps aux deux amoureux pour qu'ils puissent se retrouver pour s'aimer. C'est donc une délicate intention, ça vient d'un ami. Autre chose aussi, Gaby annonce qu'il souffre du trouble de l'altitude. C'est important que ses deux coéquipiers soient au courent de ce fait. Ils devront donc être attentif à Gaby tout au long du séjour. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 25-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Les scouts savent s’entraider : Gaby va laisser Phil et Ben seuls lorsqu’ils auront envie de faire l’amour, Phil et Ben vont soutenir Gaby s’il se sent mal en altitude. Même hétéro, Gaby se laissera peut-être tenter par des moments d’intimité à trois. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-05-2021 (25-05-2021, 05:01 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Gaby a devancé la demande qu'aillaient faire Ben et Phil. Ils auront donc des moments d'intimité pour se retrouver et s'aimer! Gaby lui souffre du mal de l'altitude. Ben et Phil vont donc le soutenir. Nous verrons comment cela va se goupiller entre les trois garçons. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-05-2021 (25-05-2021, 05:58 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement les scouts savent s'entraider. Gaby va laisser des moments où Ben et Phil vont pouvoir se retrouver et s'aimer, et de l'autre côté les deux amoureux vont aider Gaby qui souffre du mal de l'altitude! Assisterons-nous a des moments intimes à trois sous la tente? Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire si régulièrement! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 27-05-2021 Nous étions rentrés chacun chez nous pour rester dans nos familles respectives. Nous partions au camp le lendemain matin en car en direction de la Suisse. Nous avions vérifié nos sacs et notre matériel. Les malles avec les tentes et le matériel pour effectuer les travaux de terrassement et d’aménagement des tranchées en vue d’apporter une nouvelle conduite d’eau et d’électricité avaient été contrôlées par les chefs. Maman avait préparé pour le souper des raviolis avec des baguettes. Ensuite nous avions passé la soirée en famille avec mes parents, Anne et Jean. C’est alors que j’avais profité de ce moment d’intimité familiale pour expliquer notre visite chez Gaby. Tous étaient heureux d’apprendre que cela s’était très bien passé. J’avais expliqué notre arrangement pour avoir un peu d’intimité. Puis j’avais parlé du souci de Gaby concernant son mal de l’altitude. Nous allions nous épauler les uns les autres. Tout était en ordre pour que nous passions un très bon camp. J’étais allé dormir plus tôt que d’habitude. Je savais que le voyage serait long et fatigant. Je n’avais pourtant pas su m’endormir tout de suite. Je repensais à ce que Gaby nous avait dit, de ce que le mal de l’altitude pouvait avoir comme effet sur l’équilibre et autres symptômes. Puis il y avait cette discussion concernant notre sexualité. Ben et moi nous n’allions pas faire l’amour tous les jours non plus. Nous aurions des jours où se serait très calme. Puis nous avions l’intention de ne pas nous montrer trop l’un près de l’autre ; nous devions tenir nos distances. Les autres savaient que nous étions ensemble mais ce n’était pas une raison pour nous frôler, nous toucher et j’en passe, devant eux. Finalement j’avais trouvé le sommeil. C’est Jean qui avait frappé à la porte de ma chambre pour me réveiller. Il était entré et il s’était mis à me caresser les cheveux pour me réveiller. Une fois les yeux ouverts, j’avais vu la frimousse de mon frère. Jean avait lui aussi l’air d’un ange, mais différent de Ben, Jean avait les cheveux châtains-clairs et les yeux plutôt verts. Une fois réveillé Jean m’avait donné un bisou sur la joue. Pour le remercier, j’avais moi aussi donné un bisou à mon charmant petit frère. Nous avions alors été en même temps dans la salle de bain pour nous doucher. Une fois séchés et habillés nous avions rejoint Maman et Anne pour le petit déjeuner. C’est Maman, accompagnée de Jean, qui m’avait conduit au local où le bus attendait devant l’entrée. Certains pionniers étaient déjà occupés à charger le matériel et les sacs à dos. Je m’étais empressé d’aller un coup de main. J’avais vite fait un câlin à Maman et à Jean. Puis Ben était arrivé et il avait fait comme moi, il avait vite embrassé Arlette, sa maman, pour venir nous aider à charger le car. Les pionniers avaient le sourire aux lèvres, on voyait qu’ils étaient contents de se préparer pour partir au camp. Les autres parents étaient aussi restés. Un dernier rassemblement pour la forme et après un dernier aurevoir, nous montions tous dans l’autocar. Nous avions tous fait signe de la main lors du départ. Durant les premiers kilomètres nous discutions entre nous de ce que nous allions pouvoir faire durant le camp comme autres activités. Jean-Pierre en entendant un tas chose aussi farfelues les unes que les autres avait pris la parole en usant du micro de l’autobus. J-P : « Merci les gars, je vais vous éclairer un peu sur les activités qui nous pourrions faire, j’insiste, que nous pourrions faire si vous êtes d’accord et partant ! Tous : Super, on t’écoute ! J-P : Voilà, vous savez qu’il y a l’aide à apporter à cette famille de cultivateur, cela prendra environ trois jours. Il faut que je vous signale qu’il y aura six troupes pionniers. Tous : Oh, chouette ! J-P : Puis il y aura un atelier « presse » qui rédigera tous les jours une édition sous forme de deux feuilles A4 des activités diverses qui se sont réalisées jour après jour. Il y aura aussi un repas pris tous ensemble offert par la municipalité. Bien entendu il y aura, si mes souvenirs sont bons, quatre veillées avec les six troupes réunies. Vous aurez la possibilité de faire du rocher, et même du glacier avec logement en refuge. Tous : Oh, c’est génial ! J-P : Voilà en gros ce qu’il y aura comme activités. Je compte sur vous pour que vous soyez attentifs et respectueux envers les autres postes pionniers. Il y va de la réputation de l’unité. Tous : Tu peux compter sur nous ! » Les discussions allaient bon train entre les pionniers. Chacun parlait de ce qu’il avait envie de faire, d’extrapoler sur l’une ou l’autre option, de parfois tirer des plans sur la comète. Bref cela permettait de voir le temps du voyage passer. Comme lors de voyage en autocar, il y a toujours des moments de calme, plus personne de parle et certains bien entendu s’assoupirent. C’est lors de ces moments de calme que je prenais la main de Ben ou même l’inverse, nous nous prenions mutuellement la main. Nous pouvions nous regarder les yeux dans les yeux sans que personne ne puisse dire quoi que ce soit. Un arrêt avait été programmé d’un part pour changer de chauffeur mais aussi pour nous dégourdir les jambes et manger le casse-croute que nous avions emmené. Nous en profitions également pour aller satisfaire quelques besoins assez naturels. Puis nous avions repris nos places dans le bus. Nous nous étions mis à chanter des chants scouts et aussi des chansons du hitparade du moment. Le voyage touchait à sa fin. Les paysages traversés étaient somptueux. On pouvait déjà apercevoir les flèches indiquant le camp international pionnier. Enfin l’autobus s’était arrêté. Nous étions à l’entrée du camp. Le portique d’entrée était fait en Wood kraft. Il faisait trois mètres cinquante de haut sur plus ou moins cinq mètres de large. Au sommet il y avait la croix scoute et la fleur de lys. A peine le temps de se regrouper devant le portique que déjà un animateur cantonal s’était présenté à nous. Il avait un accent germanique mais il parlait très bien le français. Il se prénommait Alexander, il devait avoir dans les trente ans. Il nous fit entrer dans l’enceinte du camp. Nous arrivions tout de suite devant la tente de l’administration du camp. Puis plus loin un grand chapiteau avait été monté. C’était le lieu réservé aux activités communes du camp, veillée, briefing, … etc. Puis plus loin encore, sur la grande prairie, il y avait déjà des tentes montées par groupe, nous avions pu compter quatre groupes. Nous avions suivi Alexander qui nous indiqua le lieu où implanter nos tentes. Il avait profité de l’occasion pour nous expliquer qu’il y avait deux postes pionniers de Suisse alémanique, un poste pionnier français, un poste pionnier du Valais et il attendait encore un autre poste pionnier venant lui aussi de Belgique, de la région de La Louvière. Il ajouta que dès que le dernier poste serait arrivé qu’il y aurait une présentation sous le chapiteau, au plus tard à vingt heures et que la présentation serait suivie par un grand repas offert par les autorités locales. Nous avions alors pris nos affaires et les malles du bus pour conduire le tout à notre emplacement. Nous avions directement monté les tentes et placé nos affaires dedans. Notre tente avait été placée à l’extrémité droite de l’emplacement. Les tentes étaient distantes d’environ cinq mètres. La tente intendance était quant à elle placée au centre. Une fois toute l’installation terminée, nous étions allés nous étendre sur nos couchages. J’avais alors demandé à Gaby comment il se sentait. Il m’avait dit que ça allait car il y avait beaucoup d’espace. Gaby était placé à ma gauche tandis que Ben était à ma droite. Il n’avait pas fallu cinq minutes pour nous endormir. Vers dix-neuf heures trente nous avions tous été réveillés par Fabrice, l’animateur assistant. Il était temps de se préparer pour la présentation sous le chapiteau. Nous nous étions installés sur les banquettes lorsque nous vîmes entrer des pionniers. C’était un poste pionnier mixte, il devait y avoir autant de filles que de garçons. Ils parlaient français et c’étaient les Suisses du Valais. Nous avions directement sympathisé. Nous étions placés les uns à côté des autres. Puis deux autres groupes étaient rentrés, il s’agissait des deux postes pionniers de la partie Suisse germanophone. Les pionniers avaient l’air très sérieux, directement nous avions pu voir que leur mentalité n’était vraiment pas le même que la nôtre. Puis les pionniers français suivis par le poste de La Louvière ont fait leur entrée. Une fois tous les pionniers et leurs animateurs installés, Alexander avait commencé l’accueil dans les deux langues. Une présentation des différents postes pionniers avait été faite. Les animateurs s’étaient aussi présentés devant l’assemblée. Ensuite il avait expliqué le travail qui devait être réalisé durant le camp. Le planning était affiché sur le panneau de la tente administration. Ensuite il expliqua qu’un pionnier par poste était invité chaque jour, en fin de journée pour alimenter la « gazette du camp ». C’était alors l’occasion d’avoir une idée sur les activités faites par les autres. Puis après les questions réponses, nous avions pu manger le buffet qui avait été préparé. Ce fut l’occasion de faire connaissance avec les autres pionniers. J’avais pu voir qu’Alex parlait un peut l’allemand et donc il conversait avec les pionniers Suisses germanophones. Le repas étant terminé, Alexander avait souhaité une bonne nuit à tout le monde. Nous avions alors quitté le chapiteau pour remonter vers notre endroit. Lors de ce trajet les pionniers valaisans nous avaient invité à passer à leur campement pour une courte veillée. L’ambiance était des plus amicale, nous chantions les chants proposés par les deux unités. Puis voyant l’heure, les animateurs avaient clôturé la veillée par le cantique des patrouilles. Quel moment, au milieu de cette nature, au milieu de la montagne et sous les étoiles ; quel merveilleux moment. J’en fis part à Ben et Gaby lorsque nous entrions dans la tente. On pouvait entendre le bruit d’une mouche tellement il faisait calme, personne ne parlait après cette veillée formidable en émotion. Nous avions entendu des chants que nous ne connaissions pas. Puis qu’est-ce qu’ils chantaient bien les Suisses. Il faisait déjà plus froid, c’était dû à l’altitude. Je me demandais si j’allais dormir nu ou conserver un polo. Ben me regardait et je me doutais qu’il devait avoir la même pensée que moi. J’avais alors demandé à Gaby : Moi : « Dit Gaby, puis-je te demander si cela te dérange si je dors nu, et je crois que Ben voudrait le savoir aussi ! Gab : Dit Phil, vous faites comme vous voulez. Cela m’arrive aussi de dormi à poil donc pour moi il n’y a aucun problème. Ben : OK Gaby, merci. » Nous nous étions tous les trois retrouvés nus avant d’entrer dans nos sacs de couchage. Nous nous étions souhaités une bonne nuit. J’avais seulement déposé un petit bisou sur les lèvres de mon Ben d’amour. J’avais vu Gaby sourire, il n’avait fait aucune remarque. Finalement nous nous étions directement endormis. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 27-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Suite intéressante pour découvrir comment se déroulait un camp international. Les scouts vont bien s’entendre même s’ils ne parlent pas tous la même langue, ils ont des valeurs communes. Je ne fais pas partie des Suisses qui chantent bien, par contre mon père a chanté dans une chorale jusqu’à son décès à plus de 85 ans. L’air frais des Alpes n’empêche pas les scouts de dormir nus, cela permettra une meilleure irrigation des corps caverneux. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 27-05-2021 (27-05-2021, 07:36 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, j'ai vécu ce camp international en Suisse à Wimmis près d'Interlaken ! J'en garde d'ailleurs un excellent souvenir! J'ai aimé chanter chez les scouts, car personne ne s'offusquait quand ça chantait parfois faux! Ils sont courageux les jeunes, car il fait froid durant les nuits dans les Alpes! Comme tu le dis si bien, cela ne peut que leur faire du bien point de vue circulation sanguine. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser si régulièrement un commentaire! Je t'embrasse! Philou |