Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 08-05-2021 Waouw, Ils sont "dé-bridés" c'est japonais... Koen serait ravi d'en prendre les mensurations ce coquin ! ;D Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 08-05-2021 (08-05-2021, 07:06 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Waouw, Oui, c’est assez étonnant, je ne pense pas qu’un concert pourrait se terminer ainsi en Europe. Ce devait être destiné à des jeunes filles hystériques plus qu'à des obsédés de la bite ou de vieux gays lubriques (je parle pour Koen et moi). Je m’aperçois que c’est assez difficile de transposer en texte les vidéos dont je m’inspire, il me faudra plus de temps que d’habitude pour écrire l’épisode suivant, ce ne sera pas avant lundi soir. En attendant, pour ceux qui ne le suivraient pas encore, je rappelle qu’il y a un autre excellent topic intitulé « À chacun son histoire » auquel j’apporte mes modestes contributions et qui est animé par le roi de la jungle en personne. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Tonton Tim - 09-05-2021 Bonjour Lange, Je viens de retrouver ce récit que tu avais portant recommencé depuis longtemps... Je me suis enfilé les 300 pages du pdf en quelques jours. La scène de la sodomie entre Koen et Frédéric est passée entre les mailles du filet... En tout cas dans la version que j’ai téléchargée via le lien au débit du récit ... Je recommence donc la lecture des suites publiées après août 2020... Tonton Tim Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 09-05-2021 (09-05-2021, 09:33 PM)Tonton Tim link a écrit :Bonjour Lange, Bonsoir Tonton Tim et merci d’avoir lu le PDF. Il me semble en effet que j’avais oublié une scène de sodomie. Dans la version actuellement en ligne, elle y est dans le chapitre 36. Koen était actif et Frédéric passif, à moins que tu ne penses à une autre. Ma mémoire n’est plus infaillible et j’oublie ce qui j’ai écrit, même très récemment. Il y a de toute façon des incohérences puisque j’ai vieilli mes personnages en quittant Doctissimo et que l’esprit du récit a aussi changé, j’ai abandonné le romantisme pour privilégier les découvertes avec de multiples partenaires. En fait chaque chapitre peut aussi être lu séparément. Cela serait trop fastidieux de tout relire et d’éliminer les incohérences. Le PDF de la première partie restera unique. Il est en vente sur Amazon, j’ai déjà reçu 4,52 € de droits d’auteur en quatre versements, dont l’un de 0,10 €. Il faudrait encore déduire ceux de l’exemplaire que j’ai acheté. Rassurez-vous, je reçois également une retraite qui me permet d’arrondir les fins de mois. Bonne lecture de la deuxième partie. Daniel Voici la scène en question : Pendant qu’ils bavardaient, Koen continuait à lubrifier l’anus de Frédéric. Il introduisit prudemment un doigt et explora méthodiquement toute la cavité avant de masser la prostate, libérant les fluides qui coulèrent par le méat. — Pas de problème, Herr Doktor ? demanda Frédéric. — Non, tout est parfait. Je vais continuer pour que vous vous habituiez. Koen retira son doigt après un nouveau massage et se plaça derrière Frédéric. Il déroula une capote sur son membre dressé. Il remit du lubrifiant et élargit l’ouverture avec deux doigts. Sans que son ami s’en aperçût, il les remplaça par son gland. Il força les sphincters, enfonça doucement la hampe, tout en s’agrippant aux hanches. — Ça va ? demanda Koen. — Génial, Herr Professor, répondit Frédéric en grimaçant. Vous faites ça à tous vos patients ? — Seulement ceux qui ont une assurance privée, ce n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Frédéric avait un peu mal, il n’osa pas le dire, il avait peur de passer pour une demi-portion face au Néerlandais, et ce n’était pas pire qu’avec... Frédéric chassa cette pensée de son esprit et se concentra sur les sensations que lui apportait la queue de Koen dans son rectum, les va-et-vient, pas trop rapides, avaient la régularité d’un métronome. — Tu me diras quand tu en au ras assez, fit Koen. — Non, continue. Frédéric aurait aimé avoir un orgasme, mais il n’était pas assez réceptif. Koen finit par s’arrêter, il laissa son pénis quelques instants dans le rectum, puis le retira. Frédéric se retourna. Koen tenait la capote remplie à la main, sa bite était encore à moitié dure. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 10-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle scène de sodomie avec Koen qui lutine Frédéric. Merci. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 10-05-2021 (10-05-2021, 09:15 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member]. Cela vaut la peine de relire d’anciennes scènes. Je me demande souvent si mon style évolue avec les années, en mieux ou en moins bien. Je pense que cela varie d’un jour à l’autre et que je ne suis pas constant. Il y aussi des situations plus difficiles à décrire que d’autres. Je te souhaite une bonne semaine, ainsi qu’à tous mes lecteurs. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 10-05-2021 (10-05-2021, 09:31 AM)Lange128 link a écrit :[quote author=Philou0033 link=topic=173.msg8957#msg8957 date=1620630924] Bonjour [member=19]Philou0033[/member]. Cela vaut la peine de relire d’anciennes scènes. Je me demande souvent si mon style évolue avec les années, en mieux ou en moins bien. Je pense que cela varie d’un jour à l’autre et que je ne suis pas constant. Il y aussi des situations plus difficiles à décrire que d’autres. Je te souhaite une bonne semaine, ainsi qu’à tous mes lecteurs. Je t’embrasse. Daniel [/quote] Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Pour moi c'est même chose, quand j'écris, cela change d'un jour à l'autre. Il m'est arrivé d'effacer une dizaine de pages après avoir relu et trouvé que c'était nul. Je pense aussi que le style change au fil du temps et en fonction des situations abordées. Très belle semaine à toi également! Je t'embrasse! Philou Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 11-05-2021 Je n’ai écrit que 500 mots ce soir, mais je ne vais pas vous faire languir plus longtemps. Un peu déjanté, je pense que vous avez pris l’habitude avec ce récit, et en plus improvisé, je n’avais pas prévu que cela se passerait ainsi. Encore une modification : j’ai supprimé le personnage du directeur dans l’épisode précédent et n’ai gardé que le chorégraphe Kaito. Chapitre 7 - Week-end japonais (2) Samedi 8 août 1964, Landiwiese, Zurich Le tambour reprit en accélérant la cadence. Les quatre spectateurs étaient comme hypnotisés par les vingt danseurs qui se branlaient. Ceux-ci étaient maintenant éclairés en rouge, à contre-jour, baignés de fumée. Ils ne se caressaient pas seulement le pénis, ils bougeaient aussi leur bassin en rythme. Koen regretta le changement d’éclairage car il ne pouvait plus observer les bites. Celle de Frédéric était à l’étroit dans son jean, il aurait aimé la libérer pour accompagner les danseurs, mais il n’osait pas. Hiroshi n’eut pas cette pudeur, il ouvrit sa braguette, extirpa son pénis dressé de son fundoshi et se leva. Le tambour le vit, il ralentit la cadence pour lui laisser le temps de s’échauffer, les danseurs eurent des mouvements encore plus sensuels. Kaito fit signe à Koen, Frédéric et Laertes de se lever et de masturber, ils ne se firent pas prier. Kaito regardait avec intérêt les trois gaijins, il n’avait jamais vu des queues d’occidentaux de si près, elles étaient belles. Ils n’avaient cependant pas la grâce et la technique de ses élèves, Hiroshi s’en sortait mieux. Le tambour augmentait de nouveau imperceptiblement la cadence. Lorsqu’il sentit que les danseurs étaient prêts, Kaito leva le bras, la musique s’arrêta, les projecteurs éclairèrent violemment la scène, les danseurs poussèrent un cri en laissant gicler leur semence. La salle fut ensuite plongée dans l’obscurité. Lorsque la lumière se ralluma, le plateau était vide. Il ne restait que les spectateurs, les pantalons sur les chevilles. Hiroshi avait joui au bon moment, il rit en voyant ses camarades qui finissaient de se branler. Kaito était en retrait, mais les matait toujours. — Continuez, leur dit-il, ils attendront que vous ayez fini. Koen se demanda si les danseurs avaient vraiment éjaculé, il n’avait pas vu car les projecteurs l’avaient ébloui. Il posa la question au chorégraphe qui répondit : — Nous irons voir après s’il y a des traces. Quant à eux, Koen, Frédéric et Laertes laissèrent des traces sur le sol. Huit danseurs étaient revenus, toujours nus, quatre d’entre eux portaient des coupelles en céramique remplies d’eau chaude et les quatre autres des serviettes. Avec des gestes très doux, ils nettoyèrent puis séchèrent les pénis des spectateurs qui avaient de la peine à débander et dont le méat suintait toujours. Kaito montra ensuite à Koen les traces qu’avaient laissées les danseurs, la plupart avait effectivement joui au moment où le tambour s’était arrêté. Koen fut impressionné par le contrôle éjaculatoire de ces jeunes gens, il devrait absolument en parler au professeur Latte. Hiroshi fit une courbette à Kaito en lui disant : — Merci, Maître, d’avoir autorisé mes amis à faire don de leur semence alors qu’ils ne sont pas initiés au shudō. C’est un grand honneur. — Nous en ferons une offrande à Fukurokuju, le dieu de la virilité protecteur de notre troupe. Tant pis s’ils n’ont pas été purifiés avant par un prêtre shintō, nous n’en avons pas avec nous. Au même moment, quelques danseurs revinrent avec des bols et des cuillères, il nettoyèrent le plancher sans laisser une seule goutte de sperme. Le dieu serait satisfait et les ferait bander jusqu’à cent ans. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 12-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Oups, tes personnages ont bien profité de cette ambiance particulière qui leur était offerte sur cette scène. Ils n'ont pas hésité et ont accepté de sortir leur phallus pour se masturber au son et au rythme du tambour. C'est aussi une découverte pour Kaito de voir des queues d'occidentaux. Les trois garçons étaient un peu en retard, ils n'avaient pas encore éjaculé au moment où tous les danseurs avaient laissé leur semence s’échapper de concert. Un petit nettoyage de bite est nécessaire pour nos quatre spectateurs. Une nouvelle fois je retrouve le style de "Lange" et je n'ai pas pu m'empêcher de sourire. Merci pour cette suite mon cher Daniel. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 12-05-2021 (12-05-2021, 09:32 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire. Les spectateurs deviennent soudain acteurs et participent à l’action. Contrairement aux danseurs qui doivent avoir répété très souvent ce spectacle réservé aux initiés, ils prennent un peu de retard. Lorsque je vais au théâtre, je m’assieds toujours au premier rang, places particulièrement exposées lorsque les acteurs ont des interactions avec le public. Je n’ai cependant jamais eu l’occasion de me masturber… Ces échanges culturels favorisent l’amitié entre les peuples et la découverte réciproque, et le week-end ne fait que commencer, tout comme celui de l’Ascension que je te souhaite déjà très bon, ainsi qu’à tous mes lecteurs. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - emmanolife - 12-05-2021 Bonjour Lange. Normalement je ne commente pas ton texte. Je lis souvent, un peu en diagonale, les histoires de zizi et de branlette ne sont pas trop ma tasse de thé. Mais j'ai bien aimé ce chapitre ! La masturbation collective des danseurs comme support d'un spectacle de danse contemporaine, il fallait y penser, bravo, c'est très réussi ! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 12-05-2021 (12-05-2021, 10:33 AM)emmanolife link a écrit :Bonjour Lange. Bonjour [member=67]emmanolife[/member] et merci de lire mon texte même si tu ne commentes pas chaque fois. C’est certainement le spectacle que j’aimerais voir un jour sur une scène et que je ne verrai jamais. Une ou deux personnes qui se masturbent est possible, en simulant, mais vingt en même temps et sans simuler… J’aime bien voir les corps presque nus des danseurs, je suis moins réceptif à la danse en elle-même, c’est souvent plus un exercice de style qu’un spectacle qui pourrait m’émouvoir. Le théâtre parlé et l’opéra ont plus de chances de me toucher (sauf en streaming qui permet cependant de découvrir des spectacles en ces temps encore troublés). Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-05-2021 Chapitre 7 - Week-end japonais (3) Samedi 8 août 1964, Landiwiese, Zurich Les Japonais revinrent sur la scène et s’alignèrent de nouveau sur deux rangs, cette fois le dos tourné aux gradins. Kaito expliqua aux spectateurs que c’était pour qu’ils matassent aussi les fesses galbées de ses protégés. Frédéric dit en riant que cela ressemblait à un marché aux esclaves et demanda s’il pourrait en acheter un pour l’emporter. Kaito rétorqua qu’ils étaient totalement libres de leurs mouvements et que ce n’étaient pas des Soviétiques qui faisaient défection lors de tournées en Occident. La discipline quasi militaire servait seulement à atteindre la perfection dans le spectacle. Les places dans sa troupe étaient très recherchées, la sélection était sévère, il examinait personnellement chaque candidat sous toutes les coutures. En particulier celle du scrotum, pensa Koen. Kaito leur ordonna de faire une vingtaine de pompes au son du tambour, Frédéric se dit que cet exercice manquait à leur gymnastique matinale à l’école de Hinterhoden, il devrait en parler à Franz. Ils se replacèrent ensuite de face. Un assistant leur distribua à chacun un fundoshi rouge qu’ils mirent tous en même temps, toujours en rythme avec le tambour. Koen fut stupéfait de leur rapidité, lui qui avait eu mille peines à mettre le sien après l’exposé d’Hiroshi. Ils s’entraînèrent ensuite au combat, d’abord à mains nues, puis avec un bâton. Les coups étaient maîtrisés et ils ne frappaient jamais leur adversaire. Il y eut une pause, l’assistant distribua du thé à tout le monde. Koen en profita pour aller poser des questions aux danseurs au sujet de leurs bites, ce qui détendit l’atmosphère et provoqua une hilarité générale. Certains l’exhibèrent à nouveau pour faire plaisir au pénisologue, le nouveau surnom que donnait Frédéric à son ami. La répétition continua par le filage du spectacle, sans interruption, avec les lumières et les décors très sommaires, composés essentiellement de plantes artificielles suggérant la nature. Kaito avait expliqué que c’était basé sur des faits historiques, à la manière d’une comédie musicale. Les Européens ne comprirent rien à l’intrigue. Il y avait des scènes parlées, d’autres chantées par des solistes ou en chœur, des combats singuliers improvisés et des combats de groupe chorégraphiés. Les danseurs étaient vêtus d’habits traditionnels au début, ils les ôtèrent progressivement pour se retrouver en fundoshi. Tout à la fin, ils les enlevèrent avec les derniers battements de tambour mais les lumières s’éteignirent pour ne pas choquer le public conservateur qui verrait le spectacle le soir. Les danseurs revinrent saluer en kimono. Les quatre amis se levèrent spontanément pour les applaudir. Ils prirent ensuite congé du chorégraphe, Hiroshi leur révéla qu’il l’avait invité le lendemain à l’ambassade et qu’ils le reverraient. Il était bientôt 13 heures lorsqu’ils se retrouvèrent à l’air libre dans le parc, éblouis par le soleil. Il y avait des restaurants temporaires, ils optèrent pour l’American Saloon et commandèrent des hamburgers et des frites, accompagnés de Vivi Kola, imitation suisse de la célèbre boisson. Laertes dit : — En Amérique, il y a des restaurants qui servent des hamburgers à chaque coin de rue, cela viendra aussi en Europe. — Tu penses que ça prendra chez nous ? fit Frédéric, nous sommes trop attachés aux cuisines locales. — Es-tu déjà allé en Amérique ? demanda Koen à Laertes. — Non, et toi ? — J’ai prévu d’y aller l’année prochaine avec Frédéric. — Je pourrais venir avec vous ? — Et moi aussi ? ajouta Hiroshi. — Je pourrais bientôt affréter un charter, dit Frédéric en riant, avec tous ceux qui veulent nous accompagner. — Je paierai ma place, dit Laertes, je gagne mon argent de poche et fais des économies en travaillant pendant les vacances dans l’usine que dirige mon père. — Et cette usine produit quoi ? — Des préservatifs, la fameuse marque Enculis. — C’est ceux que je préfère, dit Koen, ceux qu’on nous donne à l’école. — Je sais, dit Laertes en souriant, on en a envoyé quelques caisses pour en faire la promotion. — Tu sais alors comment on les fabrique, dit Frédéric, c’est avec du latex, je crois. — Oui, mais je ne travaille pas à la production, je travaille au département R & D. — Qu’est-ce que cela veut dire ? demanda Hiroshi. — Recherche et développement, je suis chargé de tester les nouveaux produits. — Ça m’intéresse, dit Koen, on fait comment pour les tester ? — Tu ne sais pas ? On bande et on les déroule sur sa queue, ensuite on se branle. À la fin, on note nos appréciations sur un questionnaire. — Intéressant, vous cherchez des nouveaux testeurs ? — Reviens sur terre, dit Frédéric, tu n’habites pas en Angleterre. La serveuse apporta les hamburgers, ce qui mit fin à leur conversation. Samedi 8 août 1964, Ambassade du Japon, Berne Après le repas, le chauffeur les attendait pour les conduire à Berne. Il n’y avait pas encore d’autoroute à cette époque, le trajet leur prit environ deux heures. L’ambassade du Japon était un bâtiment moderne en béton situé près de l’Aar. Le portail était fermé, un garde de de sécurité prit leurs passeports et cartes d’identité avant de l’ouvrir. La voiture se gara devant la porte d’entrée, le concierge sortit leurs bagages du coffre et les déposa sur un chariot. L’ambassadeur et sa femme sortirent au même moment du bâtiment. Hiroshi leur présenta ses amis qui étaient assez intimidés. L’ambassadeur les mit à l’aise en leur souhaitant la bienvenue, avant de monter dans la voiture qui les emmènerait à Zurich pour le spectacle. — Voilà, dit ensuite Hiroshi, nous serons seuls ce soir, personne pour nous déranger. — Ce sera à la bonne franquette, dit Frédéric. — Quand même pas tout à fait seuls, il y aura une geisha pour nous servir le thé. — On doit coucher avec ? demanda Koen, tu sais que je ne suis pas trop porté sur les femmes. — Toujours aussi insortable, dit Frédéric, si tu continues je te donnerai le Guide du Savoir-Vivre pour les demeurés à Noël au lieu de l’Encyclopédie du Pénis en vingt volumes. — Il y aura aussi le cuisinier, ajouta Hiroshi, la gouvernante et encore Atsushi, le responsable du sentō où nous allons nous rendre dès maintenant. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 15-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Le spectacle continue et les quatre spectateurs sont ravis de ce qu'ils peuvent voir. Bien entendu ils ne comprennent pas certains passages, mais ils apprécient ce qu'ils voient. Koen est toujours au taquet, il s'entretient avec les danseurs et certains montrent leur pénis pour le plus grand bonheur du "bitologue" de service. C'est ensuite le moment de quitter la troupe et d'aller se sustenter. L'arrivée à l'ambassade du Japon est très particulière, et c'est normal, contrôle des passeport et des cartes d'identité. Koen est incroyable, il n'en rate pas une. Très beau cadeau que le "guide du savoir vivre pour les demeurés"! Merci Daniel pour les pointes d'humour qui jalonnent cette suite! Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 15-05-2021 (15-05-2021, 09:01 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Koen n’en rate pas une et il est très effronté lorsqu’il se consacre à sa passion. Le fait-il consciemment ? Peut-être. Le livre fait allusion à la collection « … pour les nuls » qui n’existait pas encore à cette époque. Je n’en achète pas car mon auto-ironie ne va pas jusqu’à me considérer comme nul. J’ai pensé à l’ambassade actuelle du Japon à Berne, je ne sais pas si elle existait déjà en 1964. Elle ne se trouve pas dans le quartier des ambassades qui est également gardé par la police. La description de l’intérieur sera imaginaire et probablement très différent de la réalité. Je te souhaite un très bon week-end et t’embrasse. Daniel |