Récits érotiques - Slygame
GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Version imprimable

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Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 04-07-2021

Je peux comprendre que la faiblesse temporaire de réaction en comm' puisse sembler décourageante, mais on est enfin (un peu) libérés, on redécouvre la vraie vie dehors, voilà  ¯\_(ツ)_/¯
Il n'empêche que j'aimerais vraiment - et je ne suis pas le seul, le nombre de lectures parle - une suite aux aventures et aux découvertes sensorielles de Rhonin (et aussi un peu de Burydan, ok, booon... :o )
Des bisous, Moloch  Wink


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Tonton Tim - 05-07-2021

Bonjour à tous,
J’abonde dans le sens de Jerem…
Moi aussi j’attends une suite
Tonton tim


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Nostalgique - 06-07-2021

Ah non ! Ce n'est vraiment pas le moment d'abandonner ce récit, on a besoin de connaître la suite des aventures de nos deux héros ! Alors courage et reprends ta plume pour notre plaisir !


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 06-07-2021

Bonjour à tous et aux autres.

Merci pour vos coms my friends.

Merci mon gros chat, correction faite  Wink

Pardonnez moi de vous avoir abandonnés si longtemps mais j'ai fait un burn-out, une dépression et une tentative de suicide... J'ai corrigé les copies de philo du bac... je n'arrive toujours pas à comprendre comment des gens ont pu arriver en terminale en faisant une faute par mot. je me suis même demandé si certains ne faisaient pas exprès... bref, seul mon blondinet a réussi à me convaincre de ne pas m'immoler par le feu...

Mon renardeau chéri, l'image d'une petite goutte translucide perlant du méat de ta jolie bite (oui, à défaut de la voir, je l'imagine jolie) m'a donné la banane (dans tous les sens du terme) pendant que je maudissais la méthode globale...

Tout de suite la suite... gardez une main libre...

PS : Pinkx tv m'a permis de trouver mon Rhonin : Andrea Highx... très mignon blondinet soumis et docile...


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 06-07-2021

CHAPITRE CXXVI

''Carne vocanti''


Burydan regarda Rhonin s'affairer. Il se déshabilla et s'assit sur le lit, le dos appuyé contre le mur.

Quand Rhonin eut fini de ranger leurs affaires, il se retourna et émit un petit :

- Oh !

en voyant son maître. Il n'avait plus que son sous-vêtement et le regardait intensément.

- Déshabille toi esclave...
- Oui maître...

Rhonin se dévêtit... lentement... très lentement... et il voyait son beau mâle se caresser la bite à travers la fine étoffe au fur et à mesure qu'il s'effeuillait. Et sa bite était gonflée comme jamais...

Rhonin s'apprêtait à enlever son sous-vêtement, dernier morceau de tissu qui cachait encore son corps, quand Burydan lui dit :

- Non... garde le... viens...

Rhonin monta sur le lit et s'assit sur les cuisses épaisses de son étalon. Burydan caressa lentement ses cuisses, ses hanches, ses flancs, ses épaules, ses reins, son dos. Rhonin frissonna sous ces caresses et se pencha vers son maître.

Leurs bouches se frôlèrent furtivement, puis se butinèrent. Burydan lécha les lèvres de Rhonin et glissa sa langue dans la bouche de son minet. Ils s'embrassèrent passionnément pendant que Burydan glissait ses doigts sous la fine étoffe et prenait les fesses de Rhonin à pleine main.

Burydan fit s'asseoir son blondinet entre ses cuisses, l'attirant à lui pour qu'il pose son petit dos contre le torse puissant de son maître. Burydan reprit ses caresses du côté face cette fois. D'une main il caressait le ventre tout doux et de l'autre il agaçait les petits tétons roses, les faisant gonfler et durcir. Il embrassa Rhonin dans le cou et remonta lentement pour grignoter sa mignonne petite oreille. Rhonin émit un long gémissement, il adorait ça...

L'un des bras de Burydan serra son petit minet un peu plus fort contre lui. Rhonin tourna la tête, ses yeux réclamant un baiser, que son maître s’empressa de lui donner. Un baiser passionné, sensuel et mouillé, comme ils les aimaient. Il rompit le baiser, caressa les lèvres douces de son petit blond, et l'embrassa de nouveau. Une de ses mains se glissa dans le sous-vêtement de Rhonin et caressa sa jolie bite bien dure. Rhonin gémit, gémissement étouffé par la langue de Burydan.

Burydan s'amusa ainsi un petit moment : caresses, grignotage d'oreilles, baisers brûlants. Il glissait quant et quant sa main dans le sous-vêtement de Rhonin pour caresser sa queue ou ses couilles, ou se contentait de plaquer la fine étoffe pour en voir le contour.

Il libéra enfin la bite de son minet de son carcan de tissu, la prit dans son poing et commença à le masturber lentement. Il branlait Rhonin tout en l'embrassant comme un perdu.

- Lève toi, dit Burydan après un petit moment, et allonge toi sur le lit... sur le ventre...

Rhonin se coucha. Burydan le débarrassa du dernier morceau qui masquait encore sa nudité et le regarda. Ce blondinet avait vraiment le plus beau cul que Burydan ait jamais vu.

Burydan caressa les deux globes charnus, puis se pencha pour les embrasser, les lécher et les mordiller. Il les écarta tout doucement. Vue en gros plan sur le petit œillet qui palpitait. Burydan saliva abondamment et se jeta sur lui.

Rhonin feula en sentant la langue baveuse de son maître. Et il se mit à gémir à chaque lapement :

- Oh oui maître... oh c'est bon... c'est bon ce que vous me faites, maître... oh oui, léchez moi maître, j'ai la chatte en feu... oh mes dieux !

Burydan le lapa encore et encore. Il se recula, enfonça son majeur dans le petit cul offert, Rhonin gémit un peu plus fort, Burydan retira son doigt et repartit à son léchage.

Rhonin était en transe et gémissait pratiquement en continu. Burydan releva la tête d'entre ses fesses et dit :

- J'adore te bouffer la chatte, bébé...
- Et j'adore sentir votre langue ouvrir mon petit cul, maître.
- Mets toi à quatre pattes...

Burydan se mit à genoux sur le lit et abaissa son sous-vêtement. Sa bite jaillit, dure, raide et décalottée, son gland joufflu s'épanouissant dans toutes ses dimensions replètes.

- Suce la grosse bite de ton maître, esclave.

Rhonin ouvrit grand la bouche et suça la grosse queue. Il suçotait le gland comme un beau fruit mûr, prenait Burydan en gorge profonde, encore et encore. Il plantait ses yeux bleus luisant de plaisir dans les yeux gris de son maître. Burydan poussait des gémissements rauques entrecoupés de :

- Oh oui ! Oh putain ! Qu’est-ce que tu suces bien, bébé ! Vas-y, prends la bien à fond ! Oui, continue, empiffre toi, je veux sentir mon gland au fond de ta gorge ! Oh oui, je veux t'étouffer avec ma grosse bite ! T'aimes ça, hein, t'aimes sucer ma grosse queue ?!

Rhonin suçait son mâle comme un malade, mais, apparemment, ce n'était pas encore assez pour rassasier les appétits de Burydan. Celui-ci saisit la tête de Rhonin entre ses mains, le maintint ainsi, et lui baisa la bouche. Il s'enfonçait en lui, restait ainsi un petit moment et ressortait sa grosse queue quand Rhonin commençait à s'étouffer. Il la ressortait entièrement, la regardait toute dégoulinante de salive et adorait voir un filet de bave partant de son gland poisseux à la bouche écumeuse de Rhonin.

- Allonge toi sur le ventre... écarte les cuisses... oui, bon garçon...

Burydan se jeta de nouveau sur le magnifique petit cul de son blondinet. Il écarta de nouveau les belles petites fesses toutes douces et se mit à laper son petit trou encore plus fougueusement. Il enfonçait sa langue aussi loin que possible, la remplaçait par ses doigts, avant de la lui enfoncer de nouveau.

- Mmmm mmmm, dit Rhonin.

Burydan releva les yeux et vit que Rhonin était en train de mordre l'oreiller. Burydan le tira par les cheveux et dit, d'une voix rauque :

- Mords pas l'oreiller, esclave, j'aime trop t'entendre gémir...

Rhonin lâcha donc l'oreiller et se mit à pousser des petits cris en empoignant les draps.

Burydan avait enfoncer trois doigts dans le petit cul de son minet, les faisant aller et venir, préparant son blondinet à recevoir sa grosse bite. Il la fit claquer contre ses fesses pour lui montrer à quel point elle était dure.

- Je vais te faire l'amour, bébé... Je vais te faire l’amour comme un perdu jusqu'à ce que tu implores ma clémence... je vais te faire l'amour  parce que tu m'aimes et que j'aime que tu m'aimes... je vais te faire l’amour parce que je t’aime et que j'aime t’aimer... je vais te faire jouir, bébé... je vais nous faire jouir... mets toi à quatre pattes mon amour...

Burydan appuya doucement son gland dodu contre le petit trou entrouvert de son minet et poussa. Le muscle ne fit même pas mine de résister. Burydan s'enfonça en Rhonin lentement, morceau par morceau, pouce par pouce. Rhonin émit un long gémissement en sentant la grosse bite de son maître le pénétrer et un plaintif :

- Oh mes dieux !

quand le bas ventre de Burydan s'écrasa contre ses fesses bien rebondies.

Burydan resta planté en lui, appréciant la douceur et l'étroitesse de son fourreau, et adorant sentir la chaleur de son ventre tout autour de sa queue. Il poussa entre les omoplates de son blondinet pour qu'il se cambre et commença à aller et venir en lui.

Rhonin gémit. Son maître était en train de le limer avec douceur et il adorait ça. Sa grosse queue qui le remplissait déclenchait en lui des sensations indicibles. Mais il en voulait plus. Il voulait que son maître le prenne aussi fougueusement que possible. Et il commença à se tortiller comme une petit salope, venant lui-même à la rencontre de la grosse bite de son étalon.

Burydan se figea. Il voyait Rhonin s'empaler lui-même sur sa queue. Il sourit.

- Oui, vas-y bébé... t'aimes ça, hein... tu frétilles comme un clébard en chaleur... ce que j'aime quand tu fais ta petite salope... empale toi bien sur ma queue ma jolie petite chienne lubrique...

Et Rhonin, grisé par les paroles salaces de son maîtres, s'empala sur sa queue en gémissant encore plus fort.

Burydan varia les rythmes et la profondeur des coups de reins, puis il fit s’allonger Rhonin sur le lit. Il s'allongea sur lui et le pilonna, le martela en prenant appui sur ses bras musclés. Rhonin gémissait presque en continu et Burydan sentait l'orgasme se rapprocher. Il se retira du petit cul chaud et, sans laisser à Rhonin un instant de répit, il le prit en petite cuillère, enserrant son torse d'un bras pendant qu'il le branlait de sa main libre. Rhonin écarta largement les jambes pour accueillir son beau mâle aussi profondément que possible.

Burydan se coucha sur le dos et dit :

- Viens, esclave, viens t'empaler sur ton maître...

Et Rhonin s'empala sur lui, prenant sa grosse bite aussi profondément que possible, en prenant appui sur les énormes pectoraux de son étalon qu'il chevaucha comme un malade.

Ils changèrent ainsi de positions pour retarder le plaisir ultime le plus longtemps possible.

Rhonin était en transe et à bout de souffle, Burydan ruisselait de sueur et avait la respiration chaotique. Il se mit à genoux, attira Rhonin contre lui et l'empala sur sa grosse bite.

- Branle toi, bébé, branle toi !

Rhonin saisit sa queue et se mit à se branler frénétiquement. Burydan posa les mignons petits pieds de son blondinet contre ses pecs et en saisit un pour le lécher comme un dingue avant de suçoter les petits orteils. Rhonin gémit un peu plus fort et, dans un râle d'agonie, son cul convulsa sur la bite de Burydan et il jouit intensément. Un jet de foutre l'atteignit en plein visage, un autre au menton, plusieurs autres striant son torse et son ventre. Burydan le regarda, fasciné, puis sortit sa bite, se branla comme un dingue et jouit dans un grand cri rauque, son foutre venant rejoindre celui de Rhonin sur son petit corps en sueur.

Burydan s'assit sur ses talons et regarda son blondinet. Yeux fermés et sourire béat aux lèvres. Burydan se pencha et lécha le sperme qui maculait le corps de son petit minet. Rhonin ouvrit les yeux, surpris, et émit un petit rire. Burydan le regarda, avala tout sans en perdre une goutte.

- Tu veux goûter, bébé ?

Rhonin hocha la tête en souriant, et Burydan l'embrassa à pleine bouche.

Il planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus, caressa tendrement la joue de son blondinet et dit :

- Je t'aime Rhonin...
- Je... je t'aime... Burydan...

Ils s'enlacèrent, se câlinèrent et se cajolèrent pendant un long, un très long moment.




Re : Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 07-07-2021

Hey ! Mais faut pas prendre ton job trop à cœur, tu ne changeras pas le monde, ni ne règleras seul le problème généralisé d’inculture (j’imagine que la grammaire païenne n’était que la partie émergée de l’iceberg de désolation qui t’a presque fait naufrager  ¬_¬ )  Dépose une poutoune de ma part sur l’endroit le plus sensible des 2m² de peau et de muqueuse de ton blondinet  (¬‿¬)
J’ai googlé Andrea en long, en large et en profondeur (pu***n ce qu’il prend, lui  ⚆_⚆ ), clairement le plus cute de la team CrunchBoy, et il est tout ce que tu dis, mais bon…  ¯\_(ツ)_/¯

Après le traitement légèrement directif qu’il a imposé à son ‘esclave’ pour le rangement des bagages, je m’attendais un peu à ce que Burydan prenne son dû avec plus de… brusquerie, disons. Mais tu es rarement là où je t’attends, et c’est terriblement tendre, en fait  Smile  Puis si ça devient plus hard, c’est à la demande de Rhonin, pour un parfait équilibre de douceur et de passion  Smile  Et ça finit en douces déclarations réciproques, que demande le peuple ?  <3 <3 <3


(06-07-2021, 04:33 PM)Moloch link a écrit :Rhonin (...) suçotait le gland comme un beau fruit mûr, prenait Burydan en gorge profonde (...) plantait ses yeux bleus luisant de plaisir dans les yeux gris de son maître.
Là, j’ai eu un flash sur Rourke qui levait innocemment les yeux vers Zilv, un des trucs qui font que j’aurai tjs un faible pour lui, voilà  ¯\_(ツ)_/¯


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 10-07-2021

Bonjour à tous et aux autres.

Merci pour ton com, mon renardeau chéri.

Merci mon 'rô minet, correction effectuée.

Ce n'est pas tant la grammaire barbaresque qui m'a piqué les yeux (je fais des fautes moi aussi, et ça la fout mal pour un prof de philo, j'admets...) mais l'orthographe, par les dieux !

hier : yère

aujourd'hui : ojourduis

outil : houti

espèce : est-ce paisse

et j'en passe. mais je ne peux pas leur en vouloir... pour le bac de français les élèves ont eut droit à la consigne de ne pas ''agrapher'' (sic!) leurs brouillons...

Ce n'est pas un faible que tu as pour Rourke, mais un gros crush  ;D le petit nouveau (Kai, je crois) est pas mal non plus. Mais il fait un peu trop ''ado'' pour moi. Et Zilv l'habille lui aussi en fillette comme il le faisait pour Rourke... mais j'adore sa façon de dominer son minet, et celui-ci se donne à fond pour son beau mâle... et Zilv est quand même plutôt bien gaulé... ses pecs gonfléset son sublime cul musclé... miam !

J'essaie toujours de savoir ce qui plairait à mes fidèles lecteurs. Une baise tendre et sensuelle ou quelque chose de plus... bestial... animal... brutal même. Mais Burydan aime son petit blond et aime lui donner du plaisir. Parce qu'il concoure au sien, évidemment, et parce que... parce que c'est Rhonin, quoi...

Juste pour info, tu as déposé un énorme baiser mouillé sur le gland rose, dodu et joufflu de mon blondinet, il a adoré ça et te remercie.

Tout de suite la suite. Bonne lecture.


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 10-07-2021

CHAPITRE CXXVII

''Suus multo melius in mane''



Comme à son habitude, Burydan se réveilla avant l'aube. Son petit minet était toujours couché sur lui, sa jolie frimousse entre ses deux énormes pectoraux. Burydan commença à caresser tout doucement son petit blond, partant de ses épaules à ses reins, puis ses mains épousèrent le galbe de ses magnifiques petites fesses toutes douces.

Rhonin poussa un long soupir de plaisir en sentant les caresses de son maître. Il leva la tête et deux grands yeux bleus se plantèrent dans ceux, gris, de Burydan.

- Bonjour, maître...
- Salut bébé... bien dormi ?
- Oh oui... vous êtes très confortable... vous êtes chaud, ferme et votre respiration et les battements de votre cœur sont une douce mélopée...
- Mon cœur ne bat que pour toi, mon amour...
- Oh, que c'est beau... et le mien est tout à vous, maître... mon cœur, mon âme et... tout le reste...

Rhonin eut un petit sourire et se tortilla. Il sentit l'érection matinale de son beau mâle contre son ventre et eut envie de la sentir... dans son ventre. Il commençait déjà à couvrir le torse massif de Burydan de gros baisers mouillés quand son maître l'arrêta.

- Pas encore, petit minet lubrique, d'abord exercices. Une petite heure de course et quelques pompes, tractions, etc...
- Oh, maître, j'ai tellement envie d'autre chose... tout aussi physique mais tellement plus agréable...
- Je sais très bien de quoi tu as envie, petit obsédé, et je te promets un sublime cadeau après nos exercices...
- Oh, un cadeau ! Chic alors ! Qu'est-ce que c'est ?
- Tu verras bien... et je t'assure que tu vas adorer...

Ils descendirent. La grande salle était déserte. Ils se dirigèrent vers le parc le plus proche et coururent pendant une petite heure.

- Allez bébé, bouge moi ce joli petit cul... non, pas comme ça petit blondinet lubrique... allez encore un peu de courage...

Ils revinrent dans leur chambre et commencèrent leurs exercices. Et Burydan avait trouvé comment les motiver tous les deux.

Il se déshabilla et déshabilla son petit esclave. Il le fit s'allonger sur le dos, à même le sol. Quelques gros baisers mouillés et quelques coups de langue sur sa belle queue suffirent à faire bander son petit blond comme un gaidaro. Rhonin maintint sa queue bien droite d'une main et Burydan se mit à faire des pompes au dessus de lui. Il enfonçait sa queue dans la bouche chaude de Rhonin tout en prenant sa jolie bite au fond de sa gorge.

Burydan maintenait les pieds de son minet au sol pour les séances d'abdominaux, et il se penchait en avant pour un petit bisou tout tendre à chaque fois que Rhonin se relevait.

Ils étaient ruisselants de sueur quand ils finirent leurs exercices. Et Burydan adorait ça. Le corps humide de son esclave et cette odeur de mâle qui flottait dans la pièce... Il s'approcha de Rhonin, lui caressa tendrement la joue, l'embrassa passionnément, le colla contre son corps brûlant pour lui faire sentir sa phénoménale érection et l'attrapa par les hanches.Il le souleva comme s'il ne pesait rien et le jeta sur le lit.

Il vint se mettre à son côté.

- Écarte les cuisses, bébé...

Rhonin obéit et Burydan commença à caresser l'intérieur de ses cuises en remontant lentement. Il prit les belles petites couilles et les fit tourner  dans le creux de sa  main. Rhonin gémit.

Burydan prit un oreiller et le glissa, plié en deux, sous les reins de son minet. Il sourit et dit :

- Prêt pour ton cadeau, bébé ?
- Oh oui maître...

Burydan fit sucer son majeur à Rhonin, le suça à son tour et le couvrit d'une bonne couche de salive. Il plongea la main entre ses cuisses et commença à caresser le petit œillet de son blondinet. Il y enfonça son doigt, arrachant un petit couinement à son esclave. Il se pencha en avant et grignota les petits tétons pendant que son doigt allait et venait.

Rhonin geignait. Il adorait ça. Et venait lui même à la rencontre du doigt de son maître. Burydan fouilla son cul et soudain :

- Oh !... Oooh Ouiiiii !

Burydan venait de trouver la petite glande à étincelle de son petit chéri. C'était ça son cadeau. Il le lui faisait seulement de temps en temps pour que ça soit toujours un moment  inouï pour son petit blond. Burydan commença à caresser le petite protubérance de chair qui palpitait sous son doigt tout en prenant la bite de Rhonin profondément dans sa gorge.

Rhonin se mit à pousser des petits cris. Le plaisir du doigt de son maître dans son petit cul et de sa bouche chaude autour de sa bite étaient... indicibles. Et il se laissa aller à ce plaisir.

Rhonin jouit intensément. D'abord son cul convulsa sur le doigt de Burydan puis sa bite explosa en un véritable geyser de foutre dans la bouche gourmande de son maître.

Burydan avala tout sans en perdre une goutte, suça Rhonin aussi longtemps que possible pour prolonger son orgasme au maximum, puis sortit la jolie bite de sa bouche. Il la nettoya consciencieusement des dernières traces de sa jouissance et se mit à califourchon au dessus du torse de Rhonin.

- Ouvre la bouche, esclave

Rhonin ouvrit la bouche et tira sa petite langue rose. Ses yeux bleus brillaient et il caressait les cuisses épaisses de son mâle.

- Prêt à recevoir le sperme chaud de ton maître sur ta jolie petite gueule, bébé ? Je sais que tu aimes ça... et moi j'adore voir mon foutre gicler sur toi... maculer ta belle petite frimousse... et te voir te lécher les lèvres pour ne pas en perdre une goutte... oh, bébé, ce que tu m'excites...

Et Burydan jouit comme un dingue, dans un long cri rauque. Son sperme gicla comme de la lave en fusion de sa grosse queue, brûlant agréablement son gland à chaque salve. Il s'écrasa en longue traînées sirupeuse sur le visage, la langue et au fond de la gorge de son minet. Rhonin avala tout et se lécha les lèvres. Burydan sourit et, avant même d'avoir reprit son souffle, il se pencha et lécha son propre foutre sur le visage de Rhonin avant de l'emballer à pleine bouche.

Il se recouchèrent et se caressèrent pendant deux heures. Deux heures de caresses sensuelles et de baisers brûlants.

Passage dans la salle d'eau. Ils se lavèrent mutuellement avec application et s'habillèrent.

- Prêt, bébé ?
- Prêt maître...
- Tant mieux. Petit déjeuner, surtout pour toi, ventre sur pattes, et visite de la plus belle et plus grande ville de Genesia. Et si tu ne te plains pas que nous marchons trop, qu'il fait trop chaud, ou ce genre de choses, je te promets une fabuleuse partie de jambes en l'air ce soir... tu verras, tu imploreras ma clémence...

Rhonin eut un grand sourire et après un baiser torride, ils descendirent.



Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 10-07-2021

Rourke est entre ce que j’aimerais avoir, et ce que j’aimerais tellement plus être, pour lui…  ¯\_(ツ)_/¯ 

Et je pense que tu as très bien cadré ce qui plait à tes lecteurs, en tout cas à moi, l’équilibre de tendresse et de virilité, qui correspond pas mal à la mise au point que j’ai enfin faite (sans estimer dans quelle mesure Rhonin m’a inspiré)

Mais je ne courrais jamais 1h dans un parc sans la promesse d’une rétribution à la mesure de l’effort  :o

Pas de sodo cette fois, pcq il y a évidemment tant d’autres moyens de se faire plaiz’  Smile  On peut regretter l’époque pas connue où on pouvait être insouciant sans latex ni PrEP, tu crois ? ⚆_⚆


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 14-07-2021

Bonjour à tous et aux autres.

Merci pout ton com mon renardeau.

Je n'ai pas connu cette époque insouciante... dés que mes parents ont compris que j'allais plus loin que des bisous baveux avec mes petites camardes de jeu (ouais, c'était des filles à l'époque) ils m'ont glisser un préservatif dans mon portefeuille et une boite dans ma table de chevet. Mon père, dans son laboratoire d'analyses, a dû tellement de fois apprendre à des jeunes qu'ils étaient positifs au VIH que ça le terrifie...

Je sais, mon chéri, que tu aimerais que je te fasse un récit twinkxtwink, mais je n'ai pas assez d'imagination pour ça. il faudrait que je m'imagine avec 20 kg de moins et que je sois attiré par un garçon où il n'y a rien à peloter. Difficile pour moi quand j'adore tripoter les muscles gonflés de mon blondinet...

Mais me taper un petit minet devient un réel fantasme. Et en trouver un qui accepte de se retrouver dans un 3some avec deux mecs musclés et un brin dominant n'est pas aussi ardu que je le pensais (vive Grindr). Mais c'est mon blond que j'ai du mal à convaincre. Il me dit avoir déjà fait et que ce n'est pas son truc, vu qu'il adore lui aussi peloter mes muscles, mais je le soupçonne d'avoir peur que j'y prenne goût ou, pire, que je préfère. Comme si c'était possible... je suis raide dingue de ce mec et son corps de rêve me subjugue...

Je te souhaite de trouver ton Zilv (peut être un peu plus tendre et qui ne te demande pas de mettre des bas et un string pour femme, à moins que ce soit ton truc) ou de te retrouver dans les bras d'un petit blond tout mignon. A défaut de t'avoir dans les miens, de bras.

Tout de suite la suite...


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 14-07-2021

CHAPITRE CXXVIII

''Lutecia erit semper Lutecia''

Ils prirent le chemin du centre ville. Lutecia était immense et noire de monde. On était le matin et les marchés étaient en effervescence.

On vendait de tout à Lutecia. Tout ce que produisait Mesmera, évidemment, mais aussi toutes les denrées des autres îles qui arrivaient dans les ports et venaient à Lutecia par bateau, ces immenses bateaux marchands qui encombraient le Tibert.

Rhonin, qui n'avait jamais vu autant de monde, et était un peu effrayé, se blottissait contre son maître. Burydan lui saisit la main et emmêla ses doigts aux siens, en les serrant tout doucement. Rhonin se détendit. Aux côtés de son maître, il savait qu'il ne lui arriverait rein de fâcheux.

Il avisa une femme richement vêtue suivie par quatre hommes qui portaient des paquets et des paniers. Ce qui surprit Rhonin c'était que ces hommes, musculeux, portaient un large collier en cuir autour du cou. Et il vit que beaucoup d’autres en portaient... une mode ?

- Maître, pourquoi ces hommes portent-ils un collier en cuir ?
- Ce sont des esclaves, bébé...
- Oh...
- Oui. Ces colliers sont les symboles de leur asservissement. Ils n'ont pas le droit de les enlever... sauf s'ils veulent recevoir le châtiment donné aux esclaves récalcitrant...
- Lequel ?
- Ils seront fouettés jusqu'au sang... voire pire...
- Je suis ravi d'avoir un maître comme vous, qui ne me force pas à porter ces horreurs... ça doit être très inconfortable... et puis les porter tout le temps...
- D'abord, mon amour, même si tu es toujours mon petit esclave sexuel, tu es beaucoup plus pour moi. Mais, si tu demandes à l'un des ces hommes, ils t'affirmeront que ces colliers sont une très bonne chose...
- Bonne, maître ?
- Bonne, bébé. Avant ces colliers, on marquait au fer rouge les esclaves au monogramme de leur maître...
- Au... au fer rouge ?!
- Oui... comme du bétail...
- Heureusement que cette barbarie à pris fin...
- Raison strictement pratique, bébé... les esclaves étant vendus, revendus et marqués à chaque fois, il arrivait qu’on ne sache plus qui appartenait à qui. D'où le collier. Il porte une plaque où est inscrit le nom du maître.

Rhonin regardait la foule des hommes, femmes et même enfants avec un collier.

Arrivés à une petite place, Rhonin se figea. Sur cinq croix en X des cadavres aux dos en charpies.

- Qui est-ce maître ? demanda Rhonin d'une voix blanche.
- Des esclaves qui on essayé de s'enfuir... des récidivistes sans doute...
- Comment le savez-vous ?
- Parce qu'un esclave coûte cher, bébé, et qu'on ne le fouette à mort que s'il tente de s'enfuir plusieurs fois... pour l'exemple...
- Êtes... êtes-vous déjà venu à Lutecia, maître ?
- Jamais. Mais mon maître y a résidé un bon bout de temps... j'ai tout appris dans son journal...

A midi le ventre de Rhonin se mit à grogner. Ils s'arrêtèrent à une taverne et prirent un bon déjeuner. Rhonin, comme à son habitude, dévora le tout à dents aiguës... ''mais où met-il tout ça ?'', se demanda Burydan.

Ils gravirent la petite colline où étaient placés les temples. Il y en avait un pour chaque divinité et le plus majestueux, le plus coloré, le plus grand : celui de Hodin.

Ils entrèrent. Burydan avait pris soin d'acheter une jarre de bon vin en guise d'offrande. Et ils la virent enfin. La statue de Hodin. La plus grande statue du roi des dieux de tout Genesia. Grandeur nature. Du moins, grandeur nature pour un dieu, c'est à dire 10 pieds... il était représenté, comme le voulait la tradition, entièrement nu assis sur son trône. Toute la statue était en carrara sauf la couronne et l'éclair, en astrium. D'immenses tables servait d'autel où les fidèles déposaient leurs offrandes. Burydan y déposa sa jarre de vin sous l’œil d'un prêtre, novice à en croire sa robe non blanche mais noire. Il fit un immense sourire quand il vit, au cou de Rhonin, l'oudjet.

Burydan sourit en voyant Rhonin fixer avec de grands yeux le sexe monumental de la statue.

- Ça te fait rêver hein, petit blondinet lubrique...
- Ce qui me fait fantasmer, maître, est le monstre que vous avez entre les jambes... et que je meurs d'envie de sentir en moi...
- Ce soir, bébé. Ce soir tu seras mon jouet...
- Il me tarde, maître...

Ils contemplèrent un long moment les temples et redescendirent. Ils se dirigèrent vers les bains publics. Burydan avait lu leur description dans le journal de Gershaw et ils avaient l'air de valoir le détour. De plus, Burydan ne s'était pas baigner depuis un long moment et ça lui manquait.

Les thermes de Lutecia étaient gigantesques. Construits par l'empereur Octave, ils furent agrandis et perfectionnés par les empereurs successifs. On les repérait de loin à cause des grands panaches de fumées qui proviennent des systèmes de chauffage de l'eau.

Entourés d'une immense muraille, on doit faire la queue pour y entrer. Il y a de tout, hommes, femmes, enfants, soldats, riches bourgeois ou gens mécaniques (1), esclaves.

On paye 10 jumeliers à un esclave pour entrer. Mais à l'intérieur, tout est payant. Sauf pour les esclaves, pour qui tout est gratuit.

La première chose que l'on voit en entrant est un immense bassin à ciel ouvert. C'est le premier palier du parcourt thermal. Profond de deux pieds, on s'y détend, ou on y trempe les pieds en papotant, on se promène entre les immenses arcades en carrara, en dessous des mosaïques ou à côté des statues des dieux.

Burydan et Rhonin flânèrent au bord du bassin croisant des hommes et des femmes, habillés ou pratiquement nus, les thermes étant mixtes.

Ils arrivèrent aux vestiaires. Il fallait payer quelques pièces pour avoir un casier fermant à clef, et quelques autres pièces pour un esclave qui allait garder lesdites clefs vu que, nu, où les mettre ?

Burydan et Rhonin entrèrent dans le premier bassin. L'eau y était tiède et on s'y détendait. Ils flanèrent autour des bassins. Des hommes s'y baignaient seuls, d'autres avec leur femme ou maîtresse, d'autres encore, riches patriciens, y discutaient entourés d'une armée d'esclave.

Burydan remarqua que de nombreuses jeunes femmes le regardaient, l’œil friand. Et certaines regardaient également Rhonin. Il était tellement craquant.

Ils changèrent de pièce et arrivèrent dans la partie la plus chaude des thermes. Il y avait tellement de vapeur qu'on avait du mal à voir très loin. Burydan et Rhonin s'installèrent contre le rebord du bassin. Ils poussèrent à l'unisson un soupir de plaisir en entrant dans l'eau brûlante.

Adossés à l'une des parois, ils se laissaient porter par l'eau. En face d'eux, deux très belles femmes les regardaient en gloussant. L'une d'elle devait avoir la trentaine, l'autre à peine vingt ans. Elles regardaient les deux hommes en face d'elles en les jaugeant. Puis elles se décidèrent et s'approchèrent. Burydan su ce quelles avaient en tête. Il se tourna vers Rhonin, lui caressa tendrement la joue et l'embrassa à pleine bouche. Rhonin fut surpris mais succomba aux acrobaties de la langue de son maître et les deux femmes s'éloignèrent, déçues.

Burydan et Rhonin évitèrent le frigidarium, cette partie des thermes à l'eau glacée censée refermer les pores de la peau. Ils se dirigèrent vers les salles de massage. En chemin, ils passèrent par une grande salle remplies de petites alcôves avec des rideaux en guise de portes. Et les gémissements qui provenaient de ces alcôves ne laissaient aucun doute sur ce qui s'y passait. Burydan sourit, Rhonin rougit, mais espéra secrètement que son maître l'entraîne dans une de ces alcôves pour le besogner tout son saoul. Burydan eut la même idée, mais se brida. Il voulait se réserver pour cette nuit.

Ils se fient masser et raser, se rhabillèrent et reprirent le chemin de l'auberge.

- Alors, bébé, comment trouves-tu Lutecia ?
- Oh, c'est magnifique maître...
- Et nous n'en avons vu qu'une petite partie... il nous faudra plusieurs jours pour tout voir...

Après le dîner ils montèrent dans leur chambre. A peine la porte refermée, Rhonin se colla à Burydan :

- Maître, ai-je été un bon esclave ce jourd'hui ?
- Un parfait petit esclave mon cœur...
- Je ne me suis pas plaint que nous marchions trop, qu'il faisait trop chaud...
- Non, en effet...
- Aussi, maître... faites moi implorer votre clémence... s'il vous plaît...

Burydan sourit. Il déshabilla Rhonin pendant que Rhonin le déshabilla. Ils s'enlacèrent et s'embrassèrent langoureusement. Burydan souleva son minet comme s'il ne pesait rien et l'allongea dans leur lit. Ils se caressèrent jusqu'à ce que leurs corps brûlent de désir et que, d'une petite voix plaintive, Rhonin dise :

- Oh faites moi l'amour, maître, je vous en supplie... je suis en feu...

Et Burydan lui fit l'amour, avec une infinie douceur et une infinie tendresse. Puis il le tortura en faisant refluer le plaisir à plusieurs reprises juste avant l'orgasme, ralentissant le rythme de ses coups de reins, variant les positions.

Rhonin n'en pouvait plus et implora la clémence de son maître. Burydan se remit à genoux entre ses cuisses. Le corps ruisselant de sueur il regarda son minet tout mignon. Yeux fiévreux, petite bouche entrouverte, respiration heurtée et rouge aux joues. Il lui sourit et s'enfonça en lui d'un long mouvement régulier. Il saisit la jolie bite bandée à fond de son esclave et commença à le limer, de plus en plus vite, calant la vitesse de son poignet sur celui de ses hanches.

Rhonin était en transe et criait en continu. Tout d'un coup son corps se tendit et, dans un râle d'agonie, sa bite explosa dans le poing de Burydan. Plusieurs puissants jets de foutre vinrent strier son ventre et son torse.

Burydan le lima encore un petit moment, savourant les convulsions du cul de son blondinet sur sa bite, puis la ressortit précipitamment et se branla. Sa queue explosa et son sperme vint rejoindre celui de Rhonin.

Burydan prit à peine le temps de reprendre son souffle et se pencha sur son esclave. Il lécha le mélange de spermes en remontant le long du corps de son petit blond.

Son visage apparu au dessus de celui de Rhonin. Et Rhonin comprit... Il ouvrit la bouche et Burydan y recracha le mélange de leurs deux foutres en embrassant son blondinet à pleine bouche.

Ils se débarbouillèrent puis Rhonin vint se coucher sur son maître qui le serra fort dans ses bras musclés.

- Je vous aime, maître...
- Je t'aime bébé...

Denier bisou et ils sombrèrent dans le sommeil.


(1) Gens mécaniques : personnes exerçant une activité manuelle (charpentier, charcutier...)




Re : Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 15-07-2021

Plains-toi, ton père ne s’est pas rappelé à tes 20 ans qu’il avait zappé le conv’ sur les abeilles et les fleurs, et imagine mon regard incrédule :o  Grand moment de solitude pour lui et moi… Et j’ai déjà mon ‘pas-Zilv’, volume idem, mais infiniment plus gentil et respectueux, tkt  Big Grin
Bah non, c’est juste l’un de mes petits fantasmes, mais je ne veux pas forcément d’un récit twinkXtwink, déjà pcq tu es chez toi, et tu fais bien ce qui te (et me) plait  ¯\_(ツ)_/¯  Après, je me demande si, perso, tu n’aurais… vous n’auriez pas intérêt à dépasser le cliché du twink où… ‘il n’y a rien à peloter’  :o  Je peux déjà te citer un IMC de 27 qui kiffe assez un 19, et qui apprécie qu’il soit léger et souple :p  Mais ça reste votre choix, hein ! Mais il faut être curieux, cherchez, découvrez…  Wink

C’est tellement triste que Rhonin se considère tjs comme l’esclave de Burydan, mais aussi, s’il lui a svt rassuré, il ne l’a jamais clairement libéré de son statut, mais p-ê y est-il bien  ¯\_(ツ)_/¯ 

(14-07-2021, 05:37 PM)Moloch link a écrit :    ''mais où met-il tout ça ?'', se demanda Burydan.
C’est pas tant le problème que par où ça ressort, et là, au moment où…  ⚆_⚆  Mais il semble que les persos de récits ne souffrent jamais ce genre de détails, en fiction, c’est tjs ‘élégant’  Smile 

Mouaaah ! Les filles qui qui viennent gratter ton mec à la piscine, je sais, ouais… Big Grin


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 18-07-2021

Bonjour à tous et aux autres.

Merci mon rô minet, corrections effectuées.

Mon renardeau, je suis heureux que tu aies trouvé ton ''pas Zilv''. Bon, certes, j'aurais préféré que ce soit moi... et mon blondinet, mais bon... IMC idem que ton mec, mais je me tape un  homme qui a également un IMC de 27, alors passer à un 19... mais j'ai envie d'essayer... j'ai envie de savoir quel effet ça fait d'avoir dans mes bras un minet tout mignon et épais comme un cerceau... être doux, tendre, prévenant et attentionné pour ne pas le briser... même si je suis doux, tendre, prévenant et attentionné avec mon petit blond alors qu'il n'y a aucun risque que je le brise...

Je sais mon petit twink, je sais... évidemment le ''rinçage'' est obligatoire. Mais ce n'est pas la partie le plus glamour du sexe entre garçons... J'ai privilégié la passion à la physiologie... et je me voyais mal écrire :

Burydan se jeta sur Rhonin, puis s'interrompit et alla jusqu'à la salle d'eau pour prendre clisthère...

Et c'est vrai, Rhonin est toujours le petit esclave de Burydan. Officiellement. Et tellement plus. Burydan est tiraillé entre l'envie qu'il a de faire de son blondinet un homme libre, et la peur que, une fois affranchi, il ne le quitte. Et puis, je ne sais pas pour toi, mais l'idée d'avoir un esclave sexuel docile et obéissant à dispo est assez... excitante... comme mon blondinet est mon esclave sexuel... et comme je suis le sien...

Toute de suite la suite. Bonne lecture.


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 18-07-2021

CHAPITRE CXXIX

''Periculosa idea''

- Oh maître ! Oh c'est bon ! Oh oui, prenez moi... prenez moi comme une bête !

Burydan était en train de bouffer la chatte de son minet comme un affamé, comme si sa vie en dépendait.

A peine le dîner achevé, ils étaient remontés dans leur chambre. Sans crier gare Burydan avait quasiment arraché les vêtement de son esclave et l'avait jeté sur le lit. Il s'était déshabillé en un tournemain et s'était vautré sur Rhonin. Il l'avait léché un long moment.

Ce n'était pas la première fois que Burydan caressait son blondinet de sa langue, mais jamais aussi avidement. Et jamais avec une langue aussi baveuse. Le corps entier de Rhonin brillait de salive, de la plante de ses mignons petits pieds à la racine de ses beaux cheveux dorés.

Burydan retira la tête d'entre ses fesses.

- Allonge toi sur le dos bébé...

Rhonin s'allongea et écarta les cuisses. Burydan l'attrapa par les chevilles et maintint ses jambes en l'air. Il positionna son gland sur le petit trou entrouvert de son minet et poussa sa grosse bite bien lubrifiée de salive. Long feulement de son blondinet et petit hoquet quand Burydan lui mit les trois derniers pouces de sa bite d'un petit coup de reins.

Il commença à limer son esclave avec fougue en se tortillant jusqu'à ce qu'il trouve l'angle parfait.

- Oh oui, maître ! Juste là ! Oh ouiii c’est booon !!

Il accéléra et rossa la prostate de son minet encore et encore jusqu'à ce que Rhonin jouisse intensément. La jolie bite de son esclave expulsa un quantité impressionnante de sperme et Burydan lui fourra sa queue dans la gorge et lui noya la bouche à plusieurs reprises. Exsangue, il s'affala à côté de Rhonin en reprenant son souffle. Rhonin respirait avec peine, cela faisait longtemps que son maître ne l'avait pas baisé avec une telle fougue.

Burydan se releva et alla vers la salle d'eau. Il essuya la sueur qui collait à son corps et, avec un linge humide, débarbouilla son blondinet. Il se pencha sur lui et l'embrassa. Un long, profond et sensuel baiser. Il lui caressa tendrement la joue et se releva. Il s'habilla.

- Vous... vous sortez, maître ?
- Oui.
- A... à cette heure... mais Lutecia, à une heure aussi avancée de la nuit est un véritable coupe gorge...
- Je sais bébé...
- Très bien, je m’habille tout de suite maître...
- Inutile, je sors seul...
- Seul, maître ?
- Oui, seul...

Burydan prit une bourse et y glissa quelques pièces avant de l'attacher à sa ceinture. Il déposa sur la table son autre bourse, bien garnie, un pli cacheté et sa lettre de change. Il s'assit au bord du lit et caressa la joue de Rhonin

- Si je ne reviens pas, bébé...
- Oh maître, je...
- Ne me coupe pas la parole. Écoute moi. Si je ne reviens pas, pars... retourne à Londinium et prends le premier bateau en partance vers Utopia. Ma bourse est assez garnie pour te prendre un billet. Je te laisse ma lettre de change. Le mot de passe est ''Darren'' si tu as besoin de plus de pécunes. Arrivé en Utopia tu vas à Malienda et tu vas voir Olive Anders. Tu n'auras qu'à demander où se trouve son échoppe, tout le monde le connaît. Tu lui remettras ce pli et il s'occupera de tout...
- Mais, maître, je... vous...
- Uniquement si je ne reviens pas... tu as tout compris ?

Burydan fit répéter à son minet ce qu'il devait faire. Et il eut un petit pincement au cœur quand il vit les beaux yeux bleus de Rhonin tout embués de larmes.

- N'oublie jamais que je t'aime, bébé, et que tu es la plus belle chose qui me soit jamais arrivée...

Rhonin allait protester mais Burydan s'était déjà levé et dirigé vers la porte. Il ceignit son épée et sortit. Il voulait savoir...

Il sortit par l'écurie, seule porte encore ouverte à cette heure tardive. La porte ne s'ouvrait que de l'intérieur. Il mit une petite pierre pour la laisser entrouverte.

Burydan chemina par les rues désertes et s'enfonça dans les quartiers Est. Et ça ne tarda pas. Il passait dans une ruelle étroite, à peine éclairée par des braseros, quand cinq silhouettes lui barrèrent le chemin. Cinq hommes avec un rictus mauvais lui faisaient face.

- Alors, l'ami, on se promène ? demanda un homme chauve avec une voix aigrelette.
- Il y a un droit de passage ici... ta bourse, pour commencer, poursuivit un autre.

Burydan les jaugea. Ils avaient tous un long poignard à la main. Il pouvait gérer et les envoyer ad patres, mais il avait une autre idée. Alors qu'il réfléchissait, l'homme du milieu s'avança. Il devait être dans le milieu de la vingtaine et tira un longue épée.

- Tu as entendu ? Ta bourse...

Burydan ne bougea pas.

- Je suis Melchior, reprit l'homme, chef de ce quartier, et si tu ne nous donnes pas ta bourse, je te tue. Tu n'as pas de chance tu es tombé sur le meilleur épéiste de Lutecia...
- Je voudrais voir le roi, dit Burydan.
- Rien que ça ? ricana Melchior. Et qu'est-ce que tu lui veux au roi ?
- Peux-tu lui faire passer un message ?
- Ai-je une tête de messager ? Allez, donne nous ton astrium et on te laissera passer sans t'amocher... enfin, pas trop...
- Peux-tu faire passer un message au roi, oui ou non ? s'entêta Burydan.
- Et c'est quoi ce message ?

Burydan tira son épée. Melchior se mit en garde et se campa sur ses jambes.

- Dit au roi que Ouroboros est de retour à Lutecia...

Melchior pâlit. Son regard passa des yeux gris de Burydan à la garde de son épée. Une garde ouvragée qui représentait un serpent se mordant la queue, des écailles vertes et bleus en céramique cloisonné et un beau rubis rouge sang en guise d’œil.

- Où... où as-tu... où as-tu eu cette épée ?
- Mon maître me l'a donné sur son lit de mort...
- Et... et qui... qui était ton maître ?
- Gershaw. Gershaw de...
- Bélothie, finit Melchior.

Il rengaina son épée pâle comme un linge.

- Qu'est-ce qui se passe, chef ? demanda l'homme à la voix aigrelette.
- Ouroboros dit simplement Melchior.

Les quatre hommes pâlirent et se regardèrent.

- Comment t'appelles-tu ?
- Burydan de Malkchour...
- Et où gîtes-tu ?
- A ''La Sole Pleureuse''.

Melchior acquiesça.

- -Zinedine, Zidane, raccompagnez Burydan de Malkchour jusqu'à son auberge et faites en sorte qu'il ne lui arrive rien... il faut que je vois le roi...

Les deux hommes raccompagnèrent Burydan jusqu'au logis en silence et en lui lançant des coups d’œil curieux. Ils disparurent aussitôt qu'ils arrivèrent sur la petite place. Burydan entra par la porte de l'écurie, monta les escaliers et pénétra dans sa chambre.

Rhonin était prostré sur le lit, en larmes. Quand il vit son maître il poussa un petit couinement et se jeta dans ses bras.

- Oh maître, j'étais terrorisé... je pensais ne plus jamais vous revoir...
- Tout va bien, bébé, je suis là...
- Ne me faites plus jamais, jamais cela... dit-il en tambourinant de ses poings sur le torse de son maître. Plus jamais...
- Je te le promets, mon amour, dit Burydan en enlaçant son blondinet.
- Jurez le...
- Je te le jure, bébé...
- Sur le Styx ?
- Sur le Styx...

Rhonin se laissa aller dans les bras de son maître. Burydan essuya ses larmes et l'embrassa tendrement.

- Où étiez-vous, maître, et pourquoi aviez-vous peur de ne pas revenir ?
- Allonge toi, bébé...

Rhonin s'allongea sur le lit. Burydan se déshabilla, prit le journal de Gershaw et s'allongea aux côtés de son petit blond. Rhonin vint se pelotonner contre le corps chaud de son beau mâle, mit sa tête dans le creux de son épaule pendant que Burydan cherchait la page.

- Ah, voilà, écoute mon cœur... Mon maître, Gershaw de Bélothie, avait été capitaine dans l'armée de mercenaires du comte Bohort, en Siméria. C'était une époque trouble où les grands seigneurs se livraient des batailles  acharnées pour un rien. Mais un roi, un peu moins sot que les autres, mit fin à ces guerres incessantes. Gershaw fut donc désoccupé et, comme moi, se mesura aux plus grands épéistes de Simeria. Après les avoir tous vaincu, et grâce à la grande picorée qu'il avait amassé, n'étant ni joueur, ni buveur, il décida de voyager dans tout Utopia pour tirer le fer contre les meilleurs bretteurs. Il arriva en Mesmera, comme nous débarqua à Londonium... Il ne s'y attarda pas, n'ayant pas, lui, un mignon petit blond à lutiner tout son saoul pendant 5 jours et 5 nuits... et arriva à Lutecia. Après l’avoir visité en long en large et en travers... c'est là que commence ce que je vais te lire à présent...

Rhonin se cala encore plus confortablement contre son maître et écouta sa belle voix grave, en jouant avec la petite ligne de poils qui partait de son nombril et disparaissait sous l'étoffe de son sous vêtement.




Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 21-07-2021

Je sais, les IMC de 27 se recherchent généralement, ils y trouvent leur image, et ça les (vous) satisfait, mais l’apparente fragilité des twinks cache parfois une volonté inattendue de mériter leur plaisir avec un supposé macho (déstabilisé, du coup)  Tongue
J’ai tellement visualisé les petits poings désespérés du garçon sur le torse de son mec, et là, je trouve juste adorable que Burydan ait tant de délicatesse envers Rhonin, qu’il n’a eu d’agressivité juste assez retenue envers les sbires du 'roi' local  ;D

Après, la réputation de Burydan le précède, et si ce ne sera p-ê pas le cas pour celui qu’il veut rencontrer, les intermédiaires savent déjà assez de lui pour le craindre  ;D

Orouboros, c’est autant le nom de l’épée que celui de chacun des épéistes dans la longue lignée de ses possesseurs, alors ?

Et Bohort, ça vient de Kaamelott ? Bon, c’est pas le plus moche de la série, mm si j’ai un plus gros faible pour Gauvain  :-*