Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 14-05-2021 (14-05-2021, 02:16 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Les deux familles s'entendent très bien. Phil est invité à partir en vacances avec la famille de Ben. Les deux garçons non seulement vont aller au camp ensemble, en Bretagne ensemble mais ils vont aussi faire leur job d'étudiant ensemble! Les hormones travaillent très bien chez les deux ados! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 15-05-2021 [size=10pt]Bonjour à mes lecteurs et lectrices, merci pour le 10.000 vues sur le récit, cela me fait vachement plaisir. N'hésitez pas à laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir. Très bon week-end! Bonne lecture des nombreuses suites à suivre! Je vous embrasse! Philou[/size] Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 15-05-2021 Il devait être seize heures, j’avais entendu du bruit. J’avais ouvert les yeux et je m’étais rendu compte que j’étais dans les bras de Benoît, dans son lit. A peine réveillé, j’avais entendu frapper à la porte de la chambre de Ben. A peine quinze secondes plus tard, la porte s’ouvrit, c’était Arlette qui passait sa tête par l’entrebâillement. Je lui avais fait un petit signe, elle avait compris. Elle savait que son fils Benoît dormait encore et que j’étais à ses côtés, nu tout comme lui. Arlette avait dû voir nos vêtements allant du hall d’entrée jusqu’à la chambre de Ben. Pour moi, je n’avais aucune honte à avoir. J’étais certain que la maman de Ben avait compris ce qui s’était passé. Bref Ben et moi nous nous étions aimés ! Nous allions passer le week-end ensemble. Une fois que Ben fut réveillé, je l’avais avisé de ce qui s’était passé avec sa maman, sa venue à la porte de la chambre et bien entendu nos vêtements étalés dans les escaliers et le hall. J’avais vu le visage de Ben changé mais je l’avais rassuré. Nous nous étions levés, nous étions allés voir Arlette qui était dans la cuisine. Nous étions nus, évidemment, car nos vêtements avaient été ramassés par Arlette. Elle nous avait demandé si nous nous étions bien retrouvés. Cette remarque était à double sens, oui nous nous étions retrouvés tant visuellement que physiquement. Elle le savait et elle ne nous avait fait aucun reproche. Finalement nous avions pris le gouter dans le plus simple appareil. Après ce goûter, j’avais téléphoné à la maison pour avertir mes parents. Je savais qu’ils souhaitaient être au courant de mes allées et venues, non pour me surveiller, mais seulement en cas de souci avec des personnes mal intentionnées ! Ils savaient que j’étais en fin de compte encore assez fragile. Maman avait accepté que je reste dormir chez Ben mais que je devais être à la maison le lendemain pour midi au plus tard ; Ben était lui aussi le bienvenu. J’avais confirmé à maman que je serai présent vers les onze heures. Nous avions passé la soirée ensemble avec la famille de Benoît. C’est d’ailleurs lors de cette soirée que la sœur de Ben, Christine, était revenue avec un garçon, son ami Denis. En fait c’était un gars que j’avais déjà vu à l’école, c’était un gars de rhéto de mon école. Dès qu’il fut entré, il m’avait bien entendu reconnu. Il avait d’ailleurs déjà vu Benoît lors d’un de ses visites. Nous nous étions salués. Benoît m’avait présenté. Ben : « Je te présente Phil. Je suppose que tu le connais ! Den : Oui, bonjour Phil, tu es dans la même école que moi. Moi : Oui Denis. Je suis en poésie. Den : Je m’en doute, j’ai entendu parler de toi. Ben : Tu sais Denis, Phil est mon ami. Den : Voilà, les choses sont claires. Pour moi, il n’y a pas de souci. Tu sais Phil, que tu sois hétéro, homo ou autre, peu m’importe, je n’en ai rien à faire. Chri : Tu sais Denis, mon frère Benoît est tout pour moi. Tu le sais qu’il est homo et son petit ami c’est Phil. Je te dis tout de suite que Phil est un super gars, je l’apprécie car il fait partie de la famille. Den : Mais pour moi cela n’est pas un problème. Je n’ai rien contre les homos. De plus si Ben et Phil sont homos, et bien je vais les accepter tels qu’ils sont. Ben : Merci Denis, merci de ton ouverture d’esprit. Tu connais Phil et je peux te dire que c’est un gars génial ; et en plus je l’aime. Den : Pas de souci Benoît. Je vous respecte. Moi : Merci Denis. Je suis heureux de te connaître. Puis je suis heureux pour vous deux, Christine et toi. Den : Merci Phil. Tu sais que tu es, selon ce que j’ai entendu, un gars super. Alors n’ait crainte, je suis heureux de te connaître. Je pense que nous allons nous revoir souvent. Chri : Merci les gars, vous êtes géniaux. Cela me fait chaud au cœur. Vous êtes tous les trois importants pour moi. Ben et moi nous nous étions éloignés. Et alors que nous allions passer la porte du salon, j’avais entendu Christine dire à Denis : Chri : Je t’en dirai plus Denis, mais Ben et Phil sont des anges pour moi. Ce sont des êtres exceptionnels, remplis de sensibilité. Den : Ne t’inquiètes pas, je me doute bien qu’ils sont très importants pour toi mon amour ! Chri : Merci mon Denis d’amour. J’avais compris que Denis allait lui aussi être un allié pour nous. C’est à ce moment-là que la maman de Benoît était arrivée. Elle avait dit : Arl : Bon les jeunes, je vous compte pour le souper, j’espère que vous restez manger. » Denis et Christine avaient dit oui, Ben aussi bien entendu et moi également, j’allais rester loger. Puis c’est Yves qui venait de rentrer de son travail. Nous étions alors tous debout dans le salon. C’est Yves qui s’étant rendu compte que c’était la première fois que ses deux enfants étaient réunis, en famille, chacun avec son amoureux. Yves avait alors invité tout le monde à prendre l’apéritif. Nous avions pris l’apéro ensemble ainsi que le souper. De plus Denis était resté logé. Il allait passer la nuit avec Christine. Ben et moi nous allions passer la nuit aussi ensemble. Je pense que Yves devait être heureux ainsi qu’Arlette. J’aimais bien mes « beaux-parents ». Effectivement Arlette et Yves étaient heureux de voir leurs deux enfants bien entourés. Cela se voyait. Au dessert Arlette avait souhaité aux deux couples de s’aimer mais en faisant toujours attention au partenaire, de ne pas le contrarier et aussi de se parler, de dire ce qui n’allait pas et bien sûr de dire ce qui allait bien. Nous en étions très conscients. Puis nous étions restés en famille pour la soirée. Nous avions continué à papoter. Benoît revenait sur ce qui nous attendait durant les vacances. Puis il avait trouvé super génial de pouvoir faire le même job d’étudiant dans le même supermarché que moi. Il me disait encore de remercier maman. A l’issue de cette soirée familiale nous étions montés dans les chambres. Nous nous étions tous souhaités une bonne nuit. Ben et moi nous étions passés par la salle de bain pour prendre une douche et nous laver les dents. Ensuite nous avions regagné la chambre. Une fois la porte refermée, il n’avait pas fallu dix secondes pour nous nous soyons mis à nous embrasser. Nos langues une nouvelle fois s’en donnaient à cœur joie. Elles y allaient de plus en plus belle. Nos mains n’étaient pas restées sans rien faire, je caressais les cheveux blonds de mon amour, j’allais dans sa nuque et ensuite dans son dos. Les mains de Ben s’attardaient au niveau de mes fesses. Mon pénis commençait à prendre de l’ampleur. Bref la température commençait à monter ! Nous étions partis pour nous donner l’un à l’autre. Ma bouche avait quitté celle de Ben pour redescendre vers son torse. J’aimais bien passer ma langue sur ce torse imberbe, cela me donnait des sensations assez spéciales. Puis ma bouche s’était arrêtée au niveau du pubis de mon Ben. De jolis poils blonds ornait le dessus de ce service trois pièce, de fort belle allure par ailleurs. L’élément le plus important pointait son gland vers le haut. Il n’en fallait pas plus pour ma bouche vienne se positionner au-dessus de cette hampe tant désirable. Mes lèvres s’étaient entrouvertes pour enfin se placer sur ce gland déjà luisant. L’attrait devenant de plus en plus précis et incontrôlable, mes lèvres s’étaient mises à enserrer cet appendice dressé. Ma bouche entamait alors des mouvements d’aller et retour. Ben m’avait demandé de cesser mon activité pour me demander d’aller sur le lit. J’avais accepté à regret de laisser mon opération bénéfique en plan. Mais cela n’allait être que partie remise. Ben me demanda de nous sucer ensemble. Nous avions alors pris notre position tête bêche, position que nous n’avions plus prise depuis un certain temps. C’était une excellente idée. Nos sexes étaient tous les deux dans le même état. Nos glands étaient luisants et nos phallus n’attendaient plus que nous nous en n’occupions. Nous n’avons pas hésité une seconde. Nos bouches allaient et venaient sur la tige de notre partenaire. Nous savions comment nous y prendre, bien que nous ne voulions pas adopter tout à fait la même technique. Ben avait l’art de me donner des sensations toujours de plus en plus puissantes. Il savait y faire. Je n’étais plus dans mon état normal. J’étais comme déposé sur un nuage de bonheur. Je commençais à râler de bonheur et de satisfaction. Je tentais de rester concentré pour procurer le maximum de plaisir à mon Ben d’amour. Je sentais qu’il commençait à monter en jouissance. Mes lèvres alternaient la pression et la vitesse le long de sa colonne de chair. Ben râlait lui aussi de plus en plus fort. Il s’était aussi mis en tête de me donner encore plus de plaisir, plus de jouissance physique. Nous nous entendions bien à ce niveau-là. Nous cherchions chacun à donner un maximum de sensations à notre partenaire. Je sentais que Ben allait arriver au point culminant, proche du point de non-retour. J’avais ralenti et presque arrêté mes mouvements. Ben semblait approuver ce traitement, sachant que dans les secondes qui suivraient, j’allais reprendre ma fellation. Puis moi-même je sentais que j’allais moi aussi monter, monter dans les tours. Ben l’avait senti. Puis de comme un accord, sentant l’autre dans le même état, nous avions repris ce soixante-neuf brûlant. Nous savions que nous allions aller jusqu’au bout, aller jusqu’à la jouissance extrême, à l’orgasme tant attendu et désiré. Nos bouches allaient de plus en plus vite le long de nos bâtons, le long de nos virilités bandées. Puis j’avais senti que ma sève allait monter, qu’elle allait venir, qu’elle allait sortir telle un jet de lave brûlante pour venir s’écraser au fond de la gorge de Ben. De mon côté je sentais que Ben était au même stade, son sperme était lui aussi en ébullition et allait devoir trouver l’échappatoire le plus directe, soit le fond de ma gorge. Puis dans un énorme râle commun nous avions joui ensemble, nous avions laissé la soupape de sécurité faire son office et nous avions déchargé en même temps. Quelle jouissance partagée, attendue et tellement souhaitée. Le sperme de Ben était là dans ma bouche, j’en avais avalé une partie. Ben avait dû faire de même, comme à son habitude. Et enfin nous pouvions nous embrasser en mélangeant nos semences. Nous étions heureux ! Enfin revenu « sur terre », enfin plutôt sur le lit, nous nous regardions dans les yeux sans rien dire. Un large sourire ornait nos visages qui exhalaient la plénitude du moment passé. Je me laissais couler dans le bleu des yeux de mon Ben, de mon Ben d’amour. Lui aussi me fixait et semblait à la recherche de mes pensées. Puis voulant en savoir un peu plus, plus que les étincelles de ses yeux, j’avais demandé à Ben : Moi : « Dis-moi Ben, tu pensais à quoi il y a quelques instants ? Ben : Tu sais Phil je pensais à deux choses, la première c’est que je suis si heureux avec toi et du moment que nous venons de vivre, mais aussi que nous allons avoir beaucoup de temps à passer ensemble pour les vacances. Moi : Oh merci mon Ben. Tu sais moi aussi j’ai pensé la même chose. Puis il y a encore une chose que je voudrais te dire, mais je ne sais pas si, enfin bon. Ben : Mais tu peux me le dire Phil. Je crois savoir, mais c’est toi qui dois me le dire, c’est toi qui a commencé. Moi : Tu sais Ben, ne te fout pas de moi, tu sais que j’ai envie de vivre toute ma vie avec toi ! Ben : Oh mon Philou d’amour, j’ai eu la même pensée. Je n’osais pas te le dire. Moi aussi j’ai envie de vivre ma vie avec toi. Moi : Merci Ben. Je sais que tu me rendras heureux et que je ferais tout pour que toi aussi tu le sois, heureux ! Ben : C’est promis mon Philou, je te rendrai heureux, comme tu le feras pour moi. » Nous nous étions fait un énorme câlin et ensuite nous nous étions embrassés, heureux d’être ensemble. Bien entendu il y avait encore beaucoup de chemin à parcourir avant de pouvoir vivre ensemble. Nous en étions conscients. Mais nous devions retenir ce moment particulier qui nous avait été offert, nous avions pu être en osmose tous les deux, nous voulions le meilleur pour notre amour. Il fallait donc prendre le temps d’encore mieux se connaître pour arriver à une entente harmonieuse entre nous. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 15-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member] et bravo pour les 10’000 vues. Phil et Ben devaient être en manque pour s’offrir une sieste coquine et laisser leurs vêtements traîner partout. Arlette n'aurait pas dû les ramasser et laisser les amoureux le faire eux-mêmes. Présentation du nouvel amoureux de Christine qui s’appelle Denis, vont-ils faire l’amour pour la première fois ? Nous ne le saurons pas puisque le narrateur est Phil est qu’il doit s’occuper une nouvelle fois de l’appendice de Ben, ce qu’il fait avec grand plaisir, également pour celui de tes lecteurs. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 15-05-2021 (15-05-2021, 09:59 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member] et bravo pour les 10’000 vues. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, déjà 10.000 vues! Bon on verra pour la suite. MDR! Les deux garçons ont été fort ce coup-ci! Ils se sont dévêtus depuis le hall d'entrée jusqu'à la chambre. Petits coquins!!! Phil découvre le petit copain se la sœur de Ben. C'est Denis. Il découvre que Phil est le petit copain de Ben. Denis s'en accommode et les accepte tels qu'ils sont! Laissons les couples s'aimer, Christine et Denis d'un côté et, Ben et Phil de l'autre, qui savent ce qu'ils font! Heureux de savoir que tu apprécies les rapports entre Phil et Ben. Je suis certain que les lecteurs eux aussi sont heureux de lire leur ébats! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 17-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Il y vont fort les deux garçons. Ils avaient besoin de se revoir au point de se dévêtir tout en montant rejoindre la chambre, lieu de leur retrouvaille. Phil fait la découverte de Denis, le petit-ami de Christine. Il sait qu'ils sont gays et ensemble. Il les accepte tels qu'ils sont. Merci pour cette suite mon cher Philou. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 17-05-2021 (17-05-2021, 03:14 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, les deux garçons étaient en manque de l'un de l'autre! L'effeuillage depuis le hall d'entrée jusqu'à la chambre le montre bien. Phil découvre Denis, c'est le petit ami de la sœur de Ben. Il accepte sans problème le fait que Phil soit gay. Il sait aussi qu'il est le petit ami de Ben. Tout se passe très bien dans les deux familles. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-05-2021 Chapitre 4. Bonnes nouvelles et petits bonheurs. Alors que nous étions sur le point de nous endormir, nous avons entendu de petits cris. Ceux-ci étaient étouffés et semblaient venir du hall de nuit, de la chambre située en face de celle de Benoît. C’était la chambre de Christine. La sœur de Ben devait prendre son pied avec Denis. Elle était en pleine jouissance. Les râles de bonheur s’étaient estompés après cinq minutes. Ben avait dit : Ben : « Et bien ils en profitent les deux amoureux ! Moi : Tu sais Ben, ils ont raison. Nous nous sommes aussi aimés, alors je ne leurs souhaite que le meilleur. Ben : Oui, c’est vrai. Tu as raison, nous nous sommes aussi aimés. » Je me demandais si les parents Ben avaient entendu nos ébats, soit ceux de Ben et moi et ceux de Christine et Denis. J’étais certain d’en savoir plus au petit-déjeuner. Je voulais faire part de ma réflexion à Ben, mais il s’était endormi. Il avait son visage d’ange blond qui montrait une certaine quiétude. J’allais moi aussi me lover dans les bras de Morphée. J’avais éteint la lampe de chevet en donnant un baiser sur le front de mon amour en lui murmurant « Bonne nuit Ben ». La nuit avait été réparatrice. J’avais ouvert les yeux et j’avais une nouvelle fois cette d’image de mon Benoît qui me regardait. Ses yeux bleus étaient pour moi comme des diamants, ils brillaient de mille feux. Sa tignasse blonde lui donnait l’air d’un ange. J’avais alors souri à mon ange blond en lui murmurant « Bonjour mon ange ». Puis j’avais approché mes lèvres des siennes et nous nous étions embrassés. Après une bonne douche nous nous étions habillés pour aller prendre le petit déjeuner. Les parents de Ben étaient à table et nous attendaient. Une fois assis c’était au tour de Christine et de Denis de faire leur entrée dans la salle à manger. C’est Arlette qui nous avait demandé si nous avions bien dormi. Ben avait dit que de notre côté nous avions profité d’un bon sommeil réparateur. Christine avait elle aussi signalé qu’ils avaient bien dormi. Je le pressentais, je voulais le dire à Ben la veille au soir, mais il s’était endormi, Arlette allait parler des ébats des deux couples. Donc, j’attendais, et puis : Arl : « Je suis contente d’apprendre que vous avez passé une très bonne nuit. Pour ma part j’ai bien dormi aussi. Mais bien entendu il a fallu que j’attende un moment avant de trouver le sommeil. Vous n’avez aucune idée du bien fait du silence pour trouver le sommeil. Moi : Nous sommes désolés Arlette. Je pense que nous n’avons pas été très discret hier soir ! Arl : Mais ce n’est rien Phil, vous avez le droit de vous aimer. Chr : Oh maman, tu nous as aussi entendu ! Arl : Oui ma fille, je vous ai aussi entendu. Mais soyez rassurés, je trouvais cela assez charmant d’entendre mes enfants et leur amoureux s’aimer. Ben : Merci Maman. La prochaine fois on fera attention. » Den : Je suis désolé. Arl : Ne t’inquiète pas Denis. » Nous nous sommes tous mis à rire. Puis c’était Yves qui avait ajouté qu’il n’avait rien entendu car il s’était déjà endormi. Après le petit déjeuner nous étions allés faire un tour en forêt de Soignes. Ce n’est que vers midi que nous avions rejoint la maison de Ben. J’avais salué tout le monde et j’avais repris mon vélo pour rentrer comme promis à la maison. Mes parents étaient là, ma sœur et mon frère aussi. Je l’avais tous salué. Ils me demandaient tous si j’avais bon espoir d’avoir réussi mon année du premier coup. J’avais dit que j’étais très confient. J’avais ajouté que Ben lui aussi était certain de passer en rhéto en septembre. Il était dix-huit heures bien passé et Papa m’avait demandé de préparer avec lui l’apéro. Maman était à la cuisine avec Anne et Jean, ils s’occupaient du repas. Puis la sonnette de la porte d’entrée avait retenti. Papa m’avait demandé d’aller ouvrir. Je me demandais qui pouvait bien venir à l’heure du repas. J’ouvris donc la porte et à ma grande surprise mes grands-parents se tenaient là devant moi. Comme un cri du cœur j’avais dit : Moi : « Oh Mamy et Papy que je suis si heureux de vous voir. Ça fait si longtemps ! Entrez. Mamy : Merci Phil pour ton accueil débordant de joie. Ça me fait aussi plaisir de te voir, c’est la même chose pour Papy. Moi : Mais quelle bonheur de vous avoir à la maison. Papy : Tu sais mon enfant, c’est aussi un grand bonheur pour nous. J’avais enlacé mes grands-parents, heureux de le revoir, mes yeux s’étaient un peu embrumés, mais je ne voulais pas pleurer bien que l’envie me démangeais, c’était un réel bonheur de les voir. Puis j’avais crié dans le hall d’entrée : Moi : C’est Mamy et Papy ! Jean : On les attendaient Phil, nous savions qu’ils venaient dîner avec nous. Moi : Petit cachotier va ! » Toute la famille se congratulait et s’embrassait. Nous étions tous très contents de les voir. Nous étions alors allés prendre l’apéro sur la terrasse, il faisait très beau et nous profitions pour rester le plus longtemps possible à l’extérieur. Mamy et Papy nous parlaient de leur dernier voyage. Puis lors de la conversation c’est Papy qui nous demandait comme avaient été les examens. Nous étions tous certains d’avoir réussi. Nous allions pouvoir passer en année supérieure. Puis ma chère Mamy m’a demandé comment allait Benoît. Je lui avais dit qu’il allait bien et que je revenais de chez lui. C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée avait une nouvelle fois retenti. C’est Jean qui s’était levé pour aller ouvrir la porte. Trente secondes plus tard : Jean : « Phil, c’est quelqu’un pour toi ! Moi : Pour moi, mais c’est qui ? Jean : Viens, tu verras ! Je m’étais levé pour voir qui avait sonné et donc qui voulait me voir. J’arrivais dans le hall d’entrée et j’avais tout de suite reconnu la tignasse blonde de Ben. Moi : Mais que viens-tu faire maintenant Ben. Ben : Surprise Phil. C’est Jacqueline qui m’a demandé de venir vous rejoindre. Elle m’avait demandé de tenir le secret. Alors me voilà ! Moi : Je suis étonné, mais viens entre, mes grands-parents sont là. Ben : Je le savais Philou, c’était une surprise. Moi : Cachotier. Allez viens m’embrasser idiot ! Ben : Idiot, moi, tu vas voir. Benoît m’avait roulé une de ses pelles. Jean et Anne nous regardaient en souriant. Puis une fois remis de mes émotions, Ben et moi étions arrivés sur la terrasse. Ben avait été salué la famille. Je n’avais pas pu m’empêcher de dire : Moi : Vous voyez Mamy et Papy, mon Ben va bien, il m’a fait la surprise de se joindre à nous. Mamy : Ça me fait vraiment plaisir de vous voir mes deux anges. Je pense souvent à vous et je vous souhaite de vous aimer de plus en plus. Moi : (la voix un peu roque) Oh merci Mamy, merci à vous deux. Je vous adore ! Ben : Je ne …je ne sais…merci. Ben venait de laisser deux larmes couler sur ses joues. Il était ému d’avoir entendu Mamy parler de nous comme ça. Puis Mamy l’avait pris dans ses bras, en lui disant : Mamy : Ne pleure pas Benoît, un ange ça ne pleure pas, ça doit sourire et même rire ! Ben : Merci, euh Mamy. » Nous nous étions tous mis à rire. J’étais stupéfait que mes parents aient invité Benoît à venir dîner à la maison avec mes grands-parents. Ils se connaissaient déjà, c’était lors des fêtes de fin d’année. Puis Mamy ainsi que Papy nous avaient très bien accepté, Ben et moi, ils avaient accepté notre différence et pour eux Ben était comme un de leurs petits-enfants. Ben s’était placé à mes côtés pour l’apéro qui venait juste de commencer. A peine installés, mamy m’avait demandé de venir auprès d’elle avec Ben. J’avais bien entendu répondu à son appel. Nous voilà Ben et moi assis à côté de mes grands-parents. Ma mamy me demandait comment ça allait, si je me sentais mieux, si Ben était toujours mon ami, si ma sœur ou mon frère allait bien, et j’en passe. J’avais dit à ma chère mamy que tout allait pour le mieux. Pour lui montrer combien j’étais heureux avec Ben, nous nous étions embrassés devant mes grands-parents. Maman se demandait ce qui se passait, mais mamy avait tôt fait de lui dire de se taire. Une fois notre baiser terminé, Mamy nous avait fait signe de s’approcher tout près d’elle. Elle nous avait alors déposé un baiser sur le front. Ben était assez ému, moi j’avais l’habitude des marques de tendresse de ma grand-mère. Le souper s’était déroulé dans une ambiance très décontractée. Nous savions que la proclamation des résultats était prévue dans les jours suivants, mais nous étions confiants. A l’issue de souper, Ben m’avait dit qu’il pouvait dormir avec moi. Puis ayant appris que mes grands-parents restaient eux aussi loger dans la chambre d’amis, nous avions Ben et moi eus un petit sourire ! Nous savions que nous devions tout faire pour ne pas importuner mes grands-parents. Nous étions tous montés nous coucher vers vingt-trois heures. Ben et moi, après avoir pris notre douche nous étions revenus dans ma chambre. Nous nous étions embrassés et ensuite nos mains avaient pris le relais s’occuper de nos corps et de nos proéminences dressées. Nous nous étions restreints à nous masturber l’un l’autre pour ne pas monter dans les tours. Nous nous étions endormis après avoir déversé nos semences dans des râles contenus. Au lever du jour, il devait être sept heures quarante, Ben et moi nous nous étions douchés avant le reste de la famille. Une fois séchés, nous avions traversé le hall de nuit non sans croiser Mamy et Papy. Inutile de vous dire que nous étions nus. Mamy ayant eu comme réflexion : Mamy : « Je vois que vous avez adopté le style nature comme vos parents, ce n’est pas plus mal. Moi : Désolé Mamy et Papy. Mamy : Mais je préfère vous voir nus et en bonne santé, que maigre et malade. Ben : Merci Mamy. Mamy : Puis, vous êtes beaux les garçons ! » Moi et Ben avions le rouge aux joues. Mamy et Papy étaient tellement ouverts d’esprit. Je suis certain que dans leur jeunesse ils avaient eu l’occasion de faire du naturisme entre eux. Il est vrai que cela devait être le début de cet art de vivre, libre en communion avec la nature. Nous avions pris le petit déjeuner en famille. L’atmosphère était à la détente après cette période d’examens. Le reste de la journée s’était passé dans une très bonne ambiance emprunte de légèreté et de bonne humeur. Finalement nous étions le lundi à sept heures trente. Mon réveil avait sonné. Je m’étais rendu compte que nous étions déjà le lundi matin, jour de remise de résultats des examens. Je m’étais levé en hâte, vite ma douche et ensuite après avoir mis un beau pantalon et une belle chemise, j’étais allé prendre mon petit déjeuner. Je m’étais limité à une tasse de café et à une croute de pain. Je n’avais pas faim du tout. J’avais la boule au ventre ! J’avais pris le bus pour me rendre au bahut. Dans la cours j’avais rejoint Marie qui était avec Isabelle. J’avais fait la bise à mes deux amies. Mes autres amis Chloé, Murielle, Charles, Jean-Mathieu et Roger avaient rejoint notre groupe. Nous parlions des examens et bien entendu des vacances qui allaient débuter. Puis c’était la sonnerie de reprise des cours, ce qui équivalait à la remise des résultats de l’année. C’est le préfet accompagné du directeur qui avait débuté cette remise des résultats par un discours qui n‘en finissait pas. Puis enfin ce fut le tour du directeur qui lui était chargé de la proclamation des résultats. Comme d’habitude, il avait commencé par les petites classes. Et au fur et à mesure il allait en montant de classes en classes. Nous attendions avec impatience les résultats de notre année. Puis enfin, le directeur avait dit : Dir : « Voici les résultats de la classe de cinquième scientifique B : premier Philippe S… (moi) je n’en revenais pas. Deuxième : Marie D…, etc… » Isabelle était cinquième et ensuite Justin dixième et Romain treizième de classe. J’étais super heureux. Je ne m’attendais pas à être premier de classe. Bien entendu je voyais certains élèves faire la moue car j’étais à nouveau devant eux et en sus premier de classe. Je m’attendais encore à avoir des réflexions sur ma position de leader de la classe, mais j’en avais l’habitude. J’avais été féliciter Marie qui avait elle aussi très bien travaillé. Elle me félicitait également. Nous étions amis et il n’y avait donc pas de jalousie entre nous. Elle était parfois première et moi second ou même troisième. Une fois cette proclamation terminée, nous avions pu rentrer chez nous. J’avais pris le premier bus en vue d’arriver assez vite à la maison. Je voulais savoir si Benoît lui aussi avait réussi son année. En fait je n’en doutais pas, mais je devais savoir. Puis, enfin, le téléphone a sonné. C’était mon Ben, il criait au téléphone et j’avais compris qu’il avait réussi son année. J’étais fou de joie pour lui. Puis à sa question de savoir si moi j’avais réussi, je lui avais crié « oui ». Nous étions tous les deux super heureux d’avoir réussi notre année scolaire. Nous allions être tranquille durant les deux mois d’été. Le camp, les vacances en Bretagne et ensuite le job d’étudiant au supermarché du quartier. Enfin de belles vacances nous attendaient ! Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 18-05-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Des visites imprévues, celles des grands-parents et de Ben. Phil est comblé. Ils devront quand même ne pas faire trop de bruit. La grand-mère est un peu coquine et apprécie la nudité des petits-enfants. C’est ensuite la proclamation des résultats, Phil est premier de classe, certains sont sûrement jaloux. De belles vacances en perspective. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-05-2021 (18-05-2021, 01:19 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui deux visites pour Phil et sa famille. La première c'est l'arrivée des grands-parents. Ensuite c'est l'arrivée de Ben alors que les deux garçons viennent de se quitter. Tous on su se taire pour que ce soit une surprise pour Phil. La grand-mère est effectivement "coquine", elle apprécie la nudité de ses petits-enfants! Phil est premier de classe. Il a réussi ses examens et il est certain de passer de bonnes vacances! Il est évident qu'être premier de classe suscite la jalousie, mais cela ne semble pas affecter Phil. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 19-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Discussion amusante lors du petit déjeuner. Oui des bruits ont été entendus en début de nuit. C'est ça l'amour! Phil est rentré à la maison. C'est la fin de l'après-midi et l'arrivée des grands-parents. Ce n'est que du bonheur. C'est ensuite l'arrivée de Ben, Phil n'en revient pas, ils viennent de se quitter il y a quelques heures seulement. C'est la cerise sur le gâteau. La mamy est heureuse de revoir Ben. Elle est contente de voir les deux garçons passer devant elle, nus. Elle sait qu'ils profitent des bienfaits du naturisme tout comme les parents. C'est la proclamation des résultats scolaires, Phil est premier de classe! Merci Philou pour cette belle suite. On sent que Phil va de l'avant et qu'il positive. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 19-05-2021 (19-05-2021, 12:03 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Très beau résumé plein d'humour. Tout est dit. Phil se sent effectivement mieux. Toute sa famille est avec lui et il est premier de classe. Il va pouvoir passer de bonnes vacances avec son Ben chéri! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-05-2021 Ben et moi nous nous étions donné rendez-vous le lendemain vers dix heures devant chez Christophe. Nous allions voir comment il allait et s’il avait eu ses résultats d’examens. Nous l’avions promis à Jean-Pierre et nous tenions à respecter notre promesse. Nous étions tous les deux arrivés dix minutes avant dix heures. J’avais l’habitude d’être en avance quand j’avais un rendez-vous. Je m’étais rendu compte que c’était la même chose pour Ben. Nous avions directement sonné à la porte de l’immeuble. C’était justement Christophe qui avait demandé qui c’était au parlophone. Nous nous étions présentés et il nous avait ouvert. Nous nous étions alors rendu au sixième étage. En sortant de l’ascenseur nous avions vu que Christophe nous attendait sur le pas de la porte de l’appartement. Il nous avait alors fait entrer. Il nous conduisit au salon et il nous avait proposé un verre de limonade. Une fois installés avec notre limonade j’avais demandé à Chris comment s’était passé sa session d’examens. Il nous avait confié qu’il avait deux examens à représenter début septembre, soit math et histoire. Je lui avais proposé de l’aider pour les maths durant la dernière quinzaine du mois d’août. Il avait accepté. Par la suite Chris avait parlé de son attirance envers les garçons et en particulier d’un ami de sa classe. Ben et moi lui avons donné les conseils utiles tant pour lui que pour l’ami en question. Bref Chris avait été heureux de nous avoir vu. Il semblait plus apaisé que lors de notre première visite. Il nous avait demandé des nouvelles de Gaby en vue de savoir si notre amitié était toujours intacte vis-à-vis de lui. Il se demandait toujours comment un hétéro pouvait avoir un ou des amis homos. Nous lui avons dit que c’était dans l’ordre des choses et que cela se retrouvait aussi avec des filles. Certaines filles aiment bien avoir des amis homos, c’est en fait une question de sensibilité et d’atomes crochus. Nous avions quitté Chris qui affichait un large sourire lorsque nous l’avions quitté. Nous étions ensuite allés rendre visite à nos amies Marie et Isabelle. Les deux filles étaient chez Marie. Nous avions papoté ensemble de nos activités prévues durant les grandes vacances. Puis nous avions décidé de nous retrouver durant deux ou trois jours vers la fin des vacances. Nous nous entendions bien et ce depuis le séjour à Venise. Les filles étaient emballées à l’idée de se retrouver durant deux semaines à elles deux avec les parents de Marie à la côte d’azur. Bref tout allait pour le mieux étant donné que nous n’avions pas de souci au niveau étude, nous avions tous réussi nos examens. Henriette, la maman de Marie nous avait invité Ben et moi à rester dîner avec les filles. Nous avions bien entendu accepté cette belle invitation. J’avais averti maman par téléphone du changement de programme. Elle l’avait très bien accepté en précisant que j’avais été invité à rester loger chez Ben, Arlette ayant fait cette demande. J’étais heureux de l’apprendre à Ben. Le repas servi par Henriette était succulent. Nous avions tous très bien mangé. Nous avions d’ailleurs donné un coup de main pour faire la vaisselle. Nous avions ensuite passé l’après-midi entre nous quatre à blaguer et à écouter de la musique. J’avais donc accompagné Ben jusque chez lui. Nous étions arrivés vers seize heures trente. C’était justement l’heure du goûter. Christine était là ainsi que Denis, son petit-ami. Nous avions mangé des crêpes qu’Arlette avait cuit en début d’après-midi. Nous étions tous très heureux d’apprendre que Christine et Denis avaient eux aussi réussis leurs examens. Nous allions pouvoir passer des vacances en toute tranquillité. Nous avions tous mangé le souper préparé par Arlette. Yves était très heureux d’avoir ses deux enfants à table, chacun d’eux avec son compagnon. Nous avions parlé de beaucoup de choses, de nos futures études, des vacances, de l’actualité, etc. Finalement ce repas s’était terminé vers vingt et une heures. Nous avions ensuite été regarder la télévision où un spectacle de variété était diffusé sur la première chaîne. Nous avions ensuite gagné les chambres à coucher pour la nuit. Une fois notre douche prise et nos dents lavées, Ben et moi avions pris place dans le lit. Nous nous étions embrassés, enfin. Il est vrai que nous ne voulions pas tout le temps nous montrer en train de nos bécoter. Nous laissions cela pour des moments où nous n’étions qu’à nous deux. Notre baiser langoureux ayant pris fin, nous nous regardions les yeux dans les yeux. Ben avait toujours son regard bleu océan aux des reflets lumineux. Ses yeux brillaient et montraient tout le bonheur de me regarder. Enfin sa tignasse blonde lui donnait l’air d’un ange, d’un ange protecteur, qui de son regard avait l’art d’apaiser toutes les tensions. C’était ce Ben que j’aimais avec ce sourire qui illuminait lui aussi ce visage que je ne me lassais pas de regarder. Ben : « Hello Phil, tu rêves ! Moi : Oh oui, je vis un rêve éveillé ! Ben : Ah bon, j’ai l’impression que tu es plongé dans mon regard et même dans mon visage en entier ! Moi : Tu as parfaitement raison Ben. Je ne me lasse pas de te regarder. Tu sais que tu es un ange pour moi et ce depuis que nous nous sommes rencontrés à l’hôpital. Ben : A ce point-là ! Moi : Oui Ben, tu ne peux pas t’imaginer. Ben : Tu sais que toi aussi j’adore te regarder. Ton regard un peu gris donne envie de regarder au-delà, d’aller plus profond et d’entrer dans ta tête pour savoir ce que tu penses, ce qui te fait peur ou rire, enfin regarder la profondeur de ton être ! Moi : Tu exagère Ben. C’est vrai que je suis un peu mystérieux et que je ne dis pas tout, mais je crois que tu lis à livre ouvert en moi au travers de mon regard. Ben : Tu n’as pas tort. C’est d’ailleurs ça qui fait ton charme, c’est cette part de toi qui est un peu floue et qui mérite d’être découverte. Après un moment sans parler, toujours en se regardant l’un l’autre dans les yeux : Moi : Oh Ben si tu savais combien je t’aime ! Ben : Oui je le sais Phil. Puis je t’aime aussi et tu le mérites. » Il fallait que nous arrêtions de nous dire toutes ces choses-là, car nous allions nous mettre à pleurer. Déjà mes yeux s’étaient humidifiés, tout comme ceux de Ben. J’avais alors embrassé une nouvelle fois mon ange blond. Nos langues avaient passé la barrière de nos lèvres et pouvaient donc danser entre elles. Nos salives se mêlaient, nos respirations s’étaient calquées l’une sur l’autre de même que nos cœurs. Nous entrions en communion. Nous avions déjà ressenti ce sentiment quelques fois, mais cela devenait de plus en plus courant. Alors nos pénis avaient eux aussi pris de l’ampleur. Ils s’étaient dressés tels des pieux vers le ciel. Nos glands étaient déjà tout humide. Puis nos mains venaient caresser le dos de l’être aimé. Elles allaient et venaient sur nos corps déjà brûlants, sur nos fesses. Nos doigts ensuite s’attardaient au niveau de nos tétons tandis que notre baiser se poursuivait de plus belle. Enfin, lorsque notre étreinte buccale s’était achevée, j’avais entrepris de mordiller tendrement le lobe de l’oreille gauche de Ben. Puis ma bouche et mes lèvres s’attardaient au niveau du cou de Ben. Ensuite c’est Ben qui avait pris le dessus. Sa bouche allait sur mon torse ainsi qu’au niveau de mon cou. Nos mains poursuivaient elles aussi leur ballet de caresses voluptueuses. Puis enfin, sexe contre sexe, les yeux dans les yeux, nos mains s’étaient placées sur nos protubérances bandées. Chacun de nous avions une main posée sur les deux bâtons d’amour réunis. Sans aucun mot nous avions entamé une lente masturbation mutuelle de nos phallus réunis. C’était divin. Cette sensation de chaleur qui montait au travers de nos appendices était merveilleuse. Nous étions concentrés afin de maintenir le rythme ni trop lent ni trop rapide pour avoir des sensations en pleines évolutions. Nos glands étaient déjà très humides et se montraient puis disparaissaient au fur et à mesure de nos mouvements, ainsi couverts et découverts par nos prépuces. Nos respirations s’accéléraient, nos râles se faisaient de plus en plus entendre, nos corps étaient toujours en accord et nos mouvements en harmonie. Une nouvelle fois nos bouches se rencontraient et se séparaient au grès des petits bisous échangés. Je sentais que Ben n’était pas loin de l’orgasme, il n’exerçait plus la même pression sur nos colonnes de chair, j’avais moi aussi calqué mes mouvements sur les siens en vue de retarder les éjaculations. Cela faisait déjà dix bonnes minutes que nous nous branlions de concert et d’un clignement de paupières nous avions repris un rythme plus soutenu en vue d’arriver à ce moment libératoire qu’est l’éjaculation. Nous commencions à nous cambrer, nos respirations s’étaient faites plus rapides et nos râles étaient de plus en plus sonores. Puis à un moment, en même temps, à l’unisson nous avions déchargé nos jets de semences en alternance. Nous n’avions pas encore connu d’orgasme comme celui que nous vivions ensemble, d’une telle intensité. Nos spermes étaient mêlés et dégoulinaient le long de nos membres encore dressés. Nous reprenions notre respiration doucement. J’avais alors laîché mes doigts avant de procéder au nettoyage de la verge de Ben. J’avais en bouche le goût mêlé de nos spermes. Ben lui aussi avait fait la même chose que moi. Nous étions restés unis durant ce moment magique ainsi partagé. Nous nous étions ensuite affalés côte à côte sur le lit de Ben, heureux. Oui nous étions heureux d’avoir pu nous aimer comme nous venions de le faire. Heureux d’avoir des parents si aimants ainsi que des familles formidables. J’avais tourné la tête vers Ben et je lui avais dit : Moi : « Merci Ben, merci pour ce merveilleux moment ! Ben : Merci à toi Phil. J’ai adoré, c’était divin. » Nous nous étions mis à rire. Nous étions vraiment heureux et nous nous étions embrassés pour la x-ième fois sur ce lit qui avait accueilli nos ébats. Nous nous étions regardé les yeux dans les yeux le temps de trouver le sommeil. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 20-05-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil et Ben n'oublient pas la promesse faite à J-P de voir Christophe de temps en temps. Les deux amis vont ensuite dire bonjour à Marie et Isabelle. Ils sont invités à manger. Ils se sont aimés avant de rejoindre les bras de Morphée. Ils s'aiment les deux ados amoureux. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-05-2021 (20-05-2021, 10:50 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui Ben et Phil n’oublient pas les promesses faites! Une visite à Christophe comme promis. Très bonne idée que d'aller saluer Marie et Isabelle; ils sont même invités pour le repas! Il est normal pour des ados de se donner du plaisir et de s'aimer. Ah les hormones ! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou |