Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 01-05-2021 (30-04-2021, 11:03 PM)KLO7514 link a écrit :Ohhh, non seulement dans le plat mais encore ...dans le "potager" si Kœn continue comme ça. Il va finir rôti, le gaillard, pis que grillé! J'en connais un qui va sentir le rouge de la honte l'investir pour un sacré bout de temps à ce train-là! Vite, un trou de souris pour s'y cacher... ou sous la table de bon bois bien épais! Merci [member=156]KLO7514[/member]. Koen devrait s’appeler Koen Lagaffe plutôt que Grotelul (grosse bite). Mais est-ce vraiment une gaffe ou le fait-il consciemment, dans le but d’aider Stefan à prendre la décision de faire son coming out ou de ne pas le faire ? Au départ c’est la mère qui a tendu la perche puisque c'est elle qui a abordé le thème de l’homosexualité. Je n’ai pas encore décidé si Stefan profitera de cette occasion ou pas. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 01-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Koen est incorrigible! Il doit toujours arriver à poser la question qu'il ne faut pas. Il met bien entendu les pieds dans le plat. Comme [member=156]KLO7514[/member] le dit, ce n'est peut-être que pour laisser la voie libre à Stefen pour qu'il puisse faire son coming-out entouré d'amis, ou pas! La maman a t-elle des doutes car c'est elle qui a abordé le sujet de l'homosexualité! Merci pour cette suite. Très bon week-end. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 01-05-2021 (01-05-2021, 03:11 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Contrairement aux tiens, les coming outs de mes récits se déroulent assez bien, je n’aime pas faire souffrir mes personnages, mais Stefan ne sait pas comment ses parents vont réagir et il hésite. On verra ce qu’il décide dans l’épisode suivant et sa mère donnera son point de vue à ce sujet. On verra aussi si Koen se fait « passer un savon » ou si, au contraire, on le remerciera pour sa franchise. Je ne vais pas en dire plus pour le moment pour ne pas gâcher le suspense. Je te souhaite un bon week-end moins pluvieux qu’ici. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 02-05-2021 Chapitre 6 - Soirée chez Stefan (2) Jeudi 6 août 1964, Zweilütschinen Réactions diverses autour de la table : Stefan avait l’air catastrophé, Frédéric secoua la tête, Klaus et Dagmar sourirent. Le père éteignit son cigare. La mère ne perdit pas contenance : — Vous savez, Monsieur Grotelul, nous sommes au courant de ces choses même dans un petit village, j’ai récemment lu un article à ce sujet dans Annabelle et j’en ai discuté avec mon mari. D’un côté, cela m’arrangerait qu’un de mes fils sorte avec un garçon, j’ai toujours eu peur qu’ils engrossent une fille à la sortie d’un bal, sur un coup de tête. — Nous prendrons nos précautions, dit Klaus. — Et la date du mariage est fixée au printemps prochain, ajouta Dagmar, ce ne serait pas si grave que ça. — Il y a toujours des gens dans le village qui comptent le nombre de mois depuis le mariage jusqu’à la naissance d’un bébé, dit la mère. — Il peut y avoir des prématurés, fit Koen. — Oui, mais pas trois mois après l’union. Quelqu’un m’a déjà dit que j’avais un fils homosexuel. — Moi ? fit Stefan, étonné. — Non, elle pensait à Klaus parce qu’il apprend le métier de coiffeur. — C’est certainement la mère Stirnimann, dit l’intéressé, quelle pipelette ! Elle ferait mieux de balayer devant sa porte. — Pourquoi ? — Son fils est homosexuel. — Le Küse ? Comment le sais-tu ? — Les salons de coiffure sont le lieu idéal pour les ragots, mais je n’ai pas contrôlé si c’est vrai. — Dommage, dit Dagmar, il est mignon le Küse, il était dans ma classe et toutes les filles étaient folles de lui. Il y eut un moment de silence, tous attendaient que Stefan dît quelque chose. Peter lui prit la main sous la table, la serra, ils échangèrent un regard. — Ben oui, je le suis, finit par dire Stefan très doucement, les larmes aux yeux. Et Peter est mon ami. — Tu vois, Trudi, j’avais raison, pour une fois, dit le père en se levant. — Je suis content pour toi, dit la mère, mon seul souhait est que tu sois heureux, que vous soyez heureux plutôt, il me semblait bien qu’il y avait quelque chose qui te tracassait ces derniers temps, je pensais que c’était le stress de l’apprentissage. Tu as eu raison de nous le dire. — J’ai presque été forcé… dit Stefan en regardant Koen. Le père sortit une bouteille de vin mousseux du frigo. — J’ai bien fait de la mettre au frais, elle vient du Val-de-Travers, de chez Mauler, la dernière excursion avec les contemporains. La mère rinça les verres dans l’évier en s’excusant car ils n’avaient pas de cüpli, le père ouvrit la bouteille et les remplit. Ils se levèrent pour trinquer à la santé des deux amoureux. (NDA Cüpli : mot suisse alémanique pour petite coupe, on l'utilise pour le champagne) — On se tutoie tous, dit le père, je suis le Fredy. Stefan était soulagé, il rayonnait. Peter lui fit la bise, imité par Dagmar. Sa mère le serra dans ses bras. Ils ne restèrent pas longtemps à table car ils devraient se lever tôt le lendemain. Les jeunes insistèrent pour aider la mère à laver la vaisselle. Ils sortirent ensuite prendre l’air. — Tu es soulagé ? demanda Peter à son ami. — Oui, et tout ça à cause de Koen. — Ou plutôt grâce à lui. Tu as fait exprès de demander ça à sa mère ? — Oui, je pensais qu’il y aurait 80% de chances que cela se passe bien. — Je me demande comment je pourrais te remercier, dit Stefan. Koen chuchota quelque chose à l’oreille de Stefan qui rit. — Que désire-t-il ? demanda Klaus. Stefan le lui dit en chuchotant également. — Je me serais attendu à n’importe quoi d’autre que ça. On verra demain matin. Dagmar et moi avons d’autres projets pour ce soir. Euh, j’ai dit à maman qu’on prendrait des précautions mais je n’ai pas pensé… — Ne t’en fais pas, je vais t’en filer une boîte. Dans ma table de nuit. — Tu n’en auras pas besoin ? — Je suis sûr que Koen en a une réserve pour un bataillon. Stefan et son frère dormaient d’habitude dans la même chambre, il avait laissé son lit à Dagmar, les fiancés prirent congé. La nuit était tombée. Koen demanda où étaient les toilettes. — Tu peux pisser dehors, les porcs le font sans nous demander notre avis. Les quatre amis se soulagèrent dans l’herbe en faisant de nouveau un concours de celui qui pissait le plus loin. Koen gagna. — On se lavera dans la fontaine demain matin, dit Stefan, il fait trop froid et il se fait tard. — Et l’eau froide ratatine les bites, ajouta Koen. Stefan avait une lampe de poche, il conduisit ses amis dans la grange où ils avaient déposé leurs affaires et installé les sacs de couchage sur la paille avant le souper. — On dort à poil dans les sacs ? demanda Koen. — Je ne pense pas qu’ils les lavent chaque fois, dit Frédéric, tu feras attention de ne pas mettre du foutre partout. — Je ferai attention, t’inquiète. Je peux voir quand vous vous branlez ? — Qui t’a dit qu’on se branlerait ? demanda Peter. On peut aussi faire autre chose. — Pas de problème, cela ne me choque pas. — Passe-moi plutôt les préservatifs au lieu de barjaquer. (NDA Helvétisme pour bavarder) Koen dut prendre la lampe de poche pour les chercher dans son sac. Il dirigea ensuite le faisceau vers les bites de ses amis et constata avec plaisir qu’elles étaient déjà dressées. — Ton frère est d’accord ? questionna Koen. — Il a dit demain matin, j’espère que cela ne va pas t’empêcher de dormir. Koen et Frédéric se contentèrent de quelques câlins et d’une branlette mutuelle tandis que Stefan et Peter firent des figures plus acrobatiques. Koen ne les vit pas puisque la pile de la lampe de poche avait rendu l’âme. NDA Cela m’arrange, je n’ai pas envie de décrire des relations sexuelles dans chaque épisode. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 02-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Encore une belle suite. Stephan s'est enfin confié, il a osé dire qu'il était gay et que Peter était son petit ami! Le père et la mère ont très bien pris la chose, ils s'attendaient déjà à ce genre de déclaration de la part de leur fils. C'est un soulagement pour Stefan, de même que pour Peter qui est accueilli à bras ouverts par se "beaux-parents"! Je te comprends Daniel, pas toujours aisé de narrer une nouvelle des relations sexuelles. En faut-il dans chaque suite, personnellement je pense que non! Merci pour ce bon moment de lecture! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 02-05-2021 (02-05-2021, 08:45 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci de commenter chaque fois. Le coming out s’est bien déroulé, le contraire aurait été étonnant dans l’un de mes récits. Les parents connaissaient bien leur fils et ils n’ont pas été étonnés. Ils ne sont probablement pas aussi naïfs que je l’ai suggéré et ils ont compris que le week-end chez les architectes était réservé aux gays. À leur âge, mes personnages ont au minimum une branlette ou un autre acte sexuel chaque jour, ce serait lassant de tout raconter, mais je peux au moins suggérer une situation érotique dans chaque suite en essayant de varier le contexte (voir ci-dessous). Je t’embrasse. Daniel PS J’ai essayé de faire une classification des scènes dans mon récit : — exhibitionnisme/voyeurisme — baignade/naturisme — visite médicale — massage — jeu uro — branlette — fellation — sodomie On pourrait encore rajouter l’évocation des sous-vêtements des personnages et de la circoncision, avec aussi de l’échangisme. Il faudra que je songe à rajouter quelques catégories, mais cela devra rester dans le contexte du récit. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 03-05-2021 Chapitre 6 - Soirée chez Stefan (3) Vendredi 7 août 1964, Zweilütschinen Le lendemain matin, Klaus ouvrit la porte de la grange à 5h30 et entra. Le soleil venait de se lever, la lumière réveilla Koen qui se frotta les yeux et eut l’heureuse surprise de constater que le frère de Stefan était entièrement nu, à part des socques aux pieds. Celui-ci dit : — Bonjour ! Debout les paresseux ! Koen réalisa qu’il avait une érection matinale, ce qui le contraria car il aurait préféré que ce fût Klaus qui bandât plutôt que lui. Frédéric ouvrit le sac de couchage de son ami en disant : — Tu n’as pas entendu ? C’est l’heure de se lever si tu ne veux pas rater le début des cours de Frau von Känel. — Attention ! dit Koen, ne me coince pas le prépuce dans la fermeture éclair. — Je suis sûr que ton prépuce est déjà rétracté derrière la couronne. C’était bien le cas, Klaus sourit en voyant le membre dressé. — C’est moi qui te fais bander ? demanda-t-il. — Non, c’est une réaction physiologique tout à fait normale le matin. — Tu nous expliqueras une autre fois, l’interrompit Frédéric. Levons-nous, j’ai la vessie qui va éclater. — On met un slip ? demanda Peter à son ami. — Ce n’est pas nécessaire, tu as vu la tenue de mon frère. On est à l’abri des regards de ce côté de la ferme. — Je pensais que c’était juste pour faire plaisir à Koen que Klaus était à poil. Les quatre amis se levèrent et allèrent pisser au même endroit que la veille. La mère arriva à ce moment-là avec des linges, des lavettes et du savon. — Bonjour Messieurs, je suis désolée, mais vous devrez faire votre toilette à l’eau froide dans la fontaine. La fiancée de Klaus se lave dans une bassine à la cuisine et elle préfère être seule. — Pas de souci, dit Frédéric, on en verra d’autres au service militaire. La mère regarda attentivement le pénis de Peter, puis ceux de Frédéric et Koen. — Je vois que vous n’êtes pas circoncis, vous n’avez jamais eu de problèmes ? — Non, répondit Koen, il suffit de se décalotter pour se laver. Joignant le geste à la parole, il montra son gland à la mère. — Je me demande si j’ai eu raison de les faire opérer. — Tu n’as pas de regrets à avoir, dit Koen, tu as fait ce que tu pensais être bien pour eux, compte tenu des informations que tu avais et des conseils que tu as reçus. — J’aime assez les pénis circoncis, dit Peter en décalottant le sien, celui de Stefan ne me dérange pas du tout. — Je suis heureuse de parler de cela librement avec toi, Koen, qui es un spécialiste. Jusqu’à présent, je n’avais jamais osé le faire avec mes fils. — Avec Koen vous saurez tout le zizi, dit Frédéric. — Je vous laisse, dit la mère, prenez votre temps, je dois encore préparer le petit déjeuner. Les jeunes gens se lavèrent dans la fontaine. — Que voulait dire ta mère en disant que nous devions prendre notre temps ? demanda Peter. — Je ne sais pas, répondit Stefan. — Je pense qu’elle disait qu’on devrait se branler, fit Koen. — Ma mère n’a jamais évoqué la branlette devant moi. — Elle doit quand même savoir ce que c’est, dit Koen. Ne t’inquiète pas si on rate le train, la directrice n’ose pas nous réprimander à cause du père de Frédéric. Koen commença à caresser sa bite. Les autres rirent et l’imitèrent, sauf Klaus qui paraissait gêné. Il dit : — J’ose aussi ? Je ne suis pas gay, moi. — J’espère bien que tu oseras, dit Koen, ta copine ne te verra pas, la cuisine donne de l’autre côté. — Puisque tu me prends par les sentiments… Koen fut intéressé de voir que les deux frères avaient la même taille en érection et des queues presque identiques. — Vous êtes jumeaux ? questionna-t-il. — Non, dit Stefan, Klaus est plus âgé. — Dommage, j’aurais bien aimé étudier des jumeaux. Ils ne firent pas durer le plaisir trop longtemps, ils éjaculèrent dans la fontaine, puis allèrent s’habiller. La mère avait réchauffé le reste des röstis de la veille et fait des œufs brouillés. Il restait aussi du fromage d’alpage. Il y avait encore des confitures maison, du beurre et de la tresse, ainsi que du café au lait. Ils prirent leur temps pour déjeuner et ratèrent le train. La mère les invita à revenir manger un dimanche à midi. À la gare, ils discutèrent en attendant le train suivant. — Ta mère est très sympathique, dit Peter, je crois qu’elle nous a déjà adoptés. — Je pense que c’est à cause de nos bites, dit Koen, elle les a trouvées belles. — On t’a déjà dit que tu étais un obsédé sexuel ? demanda Frédéric. — Non, jamais, pourquoi ? Lorsque Koen et Frédéric entrèrent dans la salle de cours avec une heure de retard, il y eut des murmures parmi les élèves. La directrice n’osa pas les réprimander. Elle avait reçu un virement de la fondation du père de Frédéric la veille et Koen était son meilleur élève, en plus il avait une belle bite, mais la directrice ne couchait jamais avec les élèves. D’ailleurs ils étaient presque tous homosexuels et même les hétéros auraient eu de la peine, à moins qu’ils fussent des masochistes amateurs de dominatrices. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 04-05-2021 Il m'est arrivé, un beau matin, de décider de "rater exprès" mon train "du soir". J'étais jeune militaire et devais rentrer de telle sorte d'être à mon poste un lundi matin. Je me suis "accordé" une journée de plus en téléphonant depuis le village situé à 450 km de mon "travail officiel", signalant que le train suivant" du matin" ne me permettait pas d'être à mon poste même au minimum 15 mn, la journée "de travail" étant achevée quand j'arriverai. Par contre, le soir suivant, j'étais bien dans le compartiment où je passais la nuit pour me rendre directement là où j'aurais dû être la veille au matin! Le seul mécontent fut mon collègue qui dut assurer ma permanence "du soir" entre 17 et 19 heures...alors que c'était son tour de partir "de bonne heure!" Bref, merci de me faire souvenir, grâce aux "retardataires", de ces moments de jeunesse assez insouciante. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 04-05-2021 (04-05-2021, 12:52 AM)KLO7514 link a écrit :Il m'est arrivé, un beau matin, de décider de "rater exprès" mon train "du soir". J'étais jeune militaire et devais rentrer de telle sorte d'être à mon poste un lundi matin. Je me suis "accordé" une journée de plus en téléphonant depuis le village situé à 450 km de mon "travail officiel", signalant que le train suivant" du matin" ne me permettait pas d'être à mon poste même au minimum 15 mn, la journée "de travail" étant achevée quand j'arriverai. Par contre, le soir suivant, j'étais bien dans le compartiment où je passais la nuit pour me rendre directement là où j'aurais dû être la veille au matin! Le seul mécontent fut mon collègue qui dut assurer ma permanence "du soir" entre 17 et 19 heures...alors que c'était son tour de partir "de bonne heure!" Merci [member=156]KLO7514[/member]. Je suis content de savoir que mon récit te rappelle ta jeunesse insouciante. À l’école cela s’appelait « arrivées tardives », elle étaient sanctionnées si elles se répétaient trop souvent. J’ai aussi eu l’honneur (?) d’être soldat en Suisse, mais une caserne ne m’a encore jamais inspiré pour un récit. Pourquoi pas accompagner Frédéric à cet endroit dans une hypothétique quatrième partie du récit ? Cela signifierait cependant quatre mois d’infidélités à Koen et le nombre de gays au mètre carré n’y est pas très élevé, personne n’a jamais fait son coming out. Il y avait bien des officiers qui couchaient avec leurs ordonnances, mais ils ont passé devant un tribunal quelques années plus tard. À l’heure actuelle il y a un train toutes les demi-heures sur cette ligne. En 1964 ils circulaient de manière irrégulière et moins souvent, mais je n’ai pas d’indicateur de cette époque. En général il y a deux trains accouplés au départ d’Interlaken Ost et ils se séparent à Zweilütschinen pour desservir les deux branches de la ligne, Grindelwald et Lauterbrunnen. En changeant, on peut se rendre ensuite au Jungfraujoch (3463 m d’altitude). Le dernier trajet en tunnel ressemble (ressemblait devrais-je dire) au métro de Tokio, cela tombe bien puisque le prochain épisode nous permettra de retrouver le Japonais Hiroshi. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 04-05-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Super cette suite. Dés l'aube, Klaus ouvre la grange, il est nu comme il l'avait promis à Koen. C'est le moment du réveil pour nos amis. Il est temps de vider les vessies qui sont pleines. Cela me rappelle certains matins chez les scouts lorsque tous les membres de la patrouille étaient en ligne, nus, pour satisfaire un besoin matinal urgent. Que de souvenirs! La maman de Klaus et de Stefan est très ouverte, Koen et Frédéric sentent qu'ils sont les bienvenus dans cette famille. C'est maintenant le retour à l'école et bien sûr pas de remarque pour le retard, le papa de Frédéric ayant grassement fait un don à l'école. Merci Daniel pour cette belle suite qui m'a fait sourire et m'a fait revenir quelques dizaines d'années en arrière! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 04-05-2021 (04-05-2021, 11:42 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire. Comme pour KLO je suis content que mon récit te rappelle des souvenirs. Je m’étais aussi baigné une fois nu dans la fontaine de la ferme de mes grands-parents et j’avais beaucoup hésité avant de le faire, par pudeur. Le plaisir de la baignade l’avait emporté. Souvenir aussi pour la remarque de la mère, la mienne m’avait fait la même et j’avais été très surpris, je n’avais pas su que lui répondre. La réponse de Koen est celle que je lui aurais donnée. Elle l’aurait malheureusement oubliée car elle était déjà âgée et malade. Frédéric est le fils à papa qui peut tout se permettre, ce doit être un problème de faire régner la discipline dans certaines écoles privées où le prix de l’écolage est exorbitant. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 05-05-2021 Quelques précisions avant de commencer ce nouveau chapitre : Je ne fantasme pas particulièrement sur les fils d’ambassadeurs, mais Hiroshi sera le troisième dans mon récit après Daniel et Theo, il y en aura peut-être d’autres. J’aurais préféré que Koen et Frédéric pussent passer un week-end au Japon, ce n’est matériellement pas possible, c’est donc le Japon qui viendra à eux et quoi de mieux qu’une ambassade, endroit mystérieux, surtout s’il est entouré de hauts murs et gardé en permanence. Ma vision des Japonais sera imaginaire, toute ressemblance avec la réalité serait fortuite. Je suis allé une fois au Japon, j’avais l’impression d’être sur une autre planète. Chapitre 7 - Week-end japonais (1) Samedi 8 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald Hiroshi avait invité Koen et Frédéric pour le week-end suivant, ainsi que Laertes, son compagnon de chambre et plus si entente, ce qui n’était pas pour déplaire à Koen, toujours intrigué par les rouquins. Le fait qu’ils n’eussent pas d’âme ne le gênait pas, l’âme n’étant pas un concept démontré scientifiquement, par contre ils avaient une bite, c’était plus important. Il aimait bien celle de l’Anglais, bien qu’elle fût assez courte. Une Nissan Cedric 1900 Deluxe noire, avec le macaron « CD » indiquant qu’elle appartenait au corps diplomatique, les attendait devant le perron de l’école à 7h30. Le chauffeur aux gants blancs fit une profonde courbette, Hiroshi se pencha légèrement, Koen l’imita. — Tu n’es pas obligé, Koen-kun, fit Hiroshi en riant. — Je ne voudrais pas passer pour un malpoli. — Ne t’inquiète pas, on sait que tu es un gaijin. — Tu veux dire que je suis gay ? — Non, cela signifie que tu es un étranger et que tu ne connais pas nos coutumes. — C’est une voiture japonaise ? demanda Frédéric. — Oui, une Nissan. — J’ai entendu dire qu’elles tombent toujours en panne. — Détrompe-toi, dans quelques années elles seront les plus fiables et envahiront le monde entier. Hiroshi n’avait pas dévoilé le programme de la journée, Frédéric fut étonné lorsqu’ils prirent la direction du Col du Brunig. — Nous n’allons pas à Berne à l’ambassade ? demanda-t-il à Hiroshi qui était assis à l’avant. — Non, nous allons à Zurich, nous reviendrons à Berne cet après-midi. Les jeunes gens somnolèrent pendant le trajet, ils manquaient de sommeil, les nuits étant trop courtes, Franz leur rappelait souvent de cesser leurs masturbations et plus si entente après l’extinction des feux. Samedi 8 août 1964, Landiwiese, Zurich Ils arrivèrent à Zurich vers 10 heures, le chauffeur les déposa à la Landiwiese, un parc situé au bord du lac, où s’était tenue l’exposition nationale précédant celle de Lausanne, c’était en 1939, peu avant le début de la guerre. En été, un festival de théâtre, le Theater Spektakel, était organisé. Hiroshi leur expliqua : — Une troupe de jeunes danseurs japonais est invitée cette année et se produira ce soir. Mon père, l’ambassadeur, sera présent avec ma mère, mais il n’a pas pu se procurer de billets pour nous, c’est complet. Nous pouvons cependant assister à la générale ce matin. Le chorégraphe de la troupe n’est autre que Takahashi Kaito, mon maître de shudō. Ils entrèrent dans la tente qui abritait la scène provisoire. Hiroshi fit une profonde courbette devant le chorégraphe, Koen se contenta de lui serrer la main. Ils s’assirent au premier rang, Kaito resta avec eux pour leur donner des explications en anglais : — Le début sera consacré à l’échauffement. Ils répéteront ensuite quelques phases du spectacle avant de faire un filage. Les danseurs ne tardèrent pas à entrer, accompagnés de quelques musiciens. Ils étaient vingt, entièrement nus. Frédéric s’étonna : — Ils vont danser nus ? — Non, fit Kaito, cela provoquerait trop de réactions, dans 50 ans ce sera peut-être possible. Les danseurs se mirent sur deux rangs, les mains le long du corps. Le chorégraphe les passa en revue, corrigeant leur posture. Koen était très intéressé et comparait la taille de leurs bites. — Dommage qu’ils ne bandent pas, dit-il. J’aurais pu mettre à jour mes statistiques. — S’il te plaît, fit Frédéric, nous sommes invités et ils ne sont pas venus en Europe pour satisfaire tes caprices. — Cela vous plairait-il ? demanda le chorégraphe. C’est un exercice qu’ils font couramment, nous n’osons d’habitude pas le présenter en public, mais ils le feraient volontiers pour remercier l’ambassade qui a contribué à financer le déplacement. Kaito donna quelques ordres brefs. Le joueur de tambour se leva et battit la cadence, d’abord très lentement. Les danseurs prirent leurs pénis dans la main et commencèrent à se masturber en synchronisant leurs mouvements avec la musique. Après quelques minutes, le tambour s’arrêta, ils mirent les mains derrière le dos. Kaito invita Koen à se lever et à venir sur la scène observer de plus près les bites bandées des danseurs. Ceux-ci étaient impassibles. Après son inspection, Koen retourna s’asseoir, il fit un sourire narquois à Frédéric. Le tambour reprit en accélérant la cadence. NDA Le festival de théâtre évoqué est un anachronisme puisqu’il n’a débuté qu’en 1980. Quant au spectacle présenté dans cet épisode, il n’existe malheureusement que dans l’imagination débridée de l’auteur. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 05-05-2021 Bonjour @lange! TRès belle suite. Oui, j'aime bien l'imaginaire de l'auteur. Il existe effectivement depuis quelques années des spectacles avec des danseurs nus. Koen est aux anges il a pu avoir une idée du pénis de chaque danseur; il a donc eu ce qu'il souhaitait voir. Merci Daniel pour cette super suite qui m'a bien fait sourire! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 05-05-2021 (05-05-2021, 10:10 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour @lange! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. Je suis dans une période où il y a beaucoup d'humour dans mes récits. J'espère qu'il est assez discret pour ne pas devenir envahissant. J’ai effectivement vu un spectacle de danseurs (et danseuses) nus à ce festival à Zurich environ 50 ans plus tard, je dois en avoir déjà parlé à d’autres occasions. Ce n’étaient pas des Japonais, c’était le ballet du Nord. Koen est vraiment mon personnage préféré et je lui passe tous ses caprices qui sont d’ailleurs aussi un peu les miens. Vingt bites bandées, il doit être aux anges ! Dans la réalité, les jeunes Japonais n’hésitent pas à se produire en sous-vêtements et c’est aussi érotique. Je vais m’inspirer de quelques vidéos, sans que je sache si c’est de la danse ou du sport. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 08-05-2021 Petite modification dans l’épisode précédent : le maître de shudō d’Hiroshi est le chorégraphe Kaito et pas le directeur, cela me semble plus logique. Je me suis laissé emporter par mes fantasmes avec ces 20 danseurs nus qui se masturbent, mais, sans aller jusque là, les Japonais ont quand même des idées assez étonnantes pour terminer leurs concerts, voici une vidéo pour vous faire patienter (à partir de 08:30) : https://www.youtube.com/watch?v=9t_WMv57l0k |