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Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable

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Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 06-05-2021

(06-05-2021, 05:17 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Phil et les pionniers vont participer à un camp international. Je pense qu'ils vont découvrir une belle région et qu'il vont pouvoir venir en aide à cette famille.
Une nouvelle attaque homophobe envers Phil et maintenant les deux filles. Quand cela s'arrêtera-t-il?
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Phil, Ben les pionniers vont effectivement participer à un camp international en Suisse.
Il est certain qu'ils vont vivre une belle aventure en aidant une famille dans le besoin.
Oui, Phil est une nouvelle fois pris à partie dans une attaque homophobe.
Comme tu le dis, ce serait bien qu'on laisse Phil et ses amis tranquille.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 08-05-2021

Monsieur Martin avait fait s’asseoir tous les élèves présents. Puis il avait pris la parole :

M. Mar : « Je suis scandalisé par ce que je viens d’apprendre. Comment peut-on tomber si bas ! C’est si facile de s’en prendre aux autres quand ils sont différents. Le directeur est occupé de voir ce qu’il va faire concernant vos quatre condisciples. Je pense que pour deux d’entre eux ce sera l’exclusion. Quel dommage à moins de six semaines de examens !

J’avais levé le doigt pour prendre la parole. Mr Martin me donna alors l’autorisation de parler :

Moi :  Je suis désolé Mr Martin, mais je devais défendre Justin et me défendre. J’espère que vous en êtes conscient. Puis je veux ajouter que Maximilien et Romuald n’ont rien fait, leur seul tort c’est d’avoir suivi les deux autres.

M. Mar : Je n’en doute pas Philippe, je sais ce qui s’est passé, le surveillant de la cour m’a déjà tout expliqué. Puis je suis content de voir que tu parviens à te défendre et que tu es resté très correct. Puis maintenant tu défens deux gars qui t’avaient rejeté. Là, je ne te suis plus.

Moi : Monsieur Martin, je suis certain qu’il y a quelque chose d’autre qui font que Max et Romuald sont comme ça ; je pense qu’ils sont sous l’influence de Didier et de Marius.

M. Mar :  C’est bien possible, mais ils devraient un jour comprendre qu’on peut aussi avoir ses opinions et ne pas suivre les autres même s’ils sont dominateurs ! Merci Philippe pour ton intervention. Les filles, comment allez-vous ?

Mar : (en pleurs)  Nous n’avons rien fait, nous étions là tranquillement et c’est Didier qui nous a attaqué. Heureusement que les trois garçons étaient avec nous.

M. Mar :  Je ne sais pas exactement le pourquoi de cette agression verbale dont je n’ai pas eu beaucoup d’écho, mais si j’ai bien compris cela fait partie de votre vie privée !

Isa :  Oui Monsieur Martin, cela ne regarde que Marie et moi.

M. Mar :  J’entends bien et je vous laisse tranquille. Je pense que l’incident est clos. »

Monsieur Martin avait alors commencé son cours. Il avait distribué une feuille d’exercices en vue d’évaluer le niveau de la classe avant les examens. Nous étions donc occupés à faire les exercices de math quand le directeur, accompagné de Maximilien et Romuald, est entré dans la classe. Le directeur avait demandé à Marie et Isabelle si elles voulaient parler de ce qui s’était passé. Elles n’avaient pas envie de parler des injures reçues. Puis le directeur avait dit à la classe que Max et Rom pouvaient réintégrer la classe suite aux informations qu’ils avaient communiqué. Puis il avait ajouté que si l’un ou l’autre voulait s’expliquer, qu’il était temps pour que toute la classe sache de quoi il retournait.

Maximilien avait alors pris place devant la classe. Il était rouge et semblait trembler. Puis d’une voix roque il avait dit :

Max : « Je suis désolé pour ce qui s’est passé ce matin. Puis pour ce qui s’est passé avec Phil. En fait j’avais peur de Didier et de Marius. Je voulais être avec eux et être leur ami, car si non, s’ils avaient su que je suis…que je suis gay, ils s’en seraient pris à moi comme il l’on fait avec Phil. Je suis tellement désolé !

Max s’était effondré en larmes devant nous. Il était anéanti, sans réaction, complètement vulnérable. Romuald, lui aussi était rouge, il était fébrile. De mon côté, je savais ce qu’il allait dire, j’en étais convaincu, c’était le petit ami de Max. Rom s’était alors avancé devant la classe et il avait pris la parole :

Rom :  Bon voilà, je suis aussi désolé que Max. Pour moi c’était la même chose. En deux mots, je suis gay et mon petit ami c’est Max !

Dans la classe on pouvait entendre un murmure du style « oh ». J’avais donc eu raison, je savais que ces deux-là n’étaient pas si mauvais. Ils avaient seulement peur du regard des autres, d’avouer qu’ils étaient homos et surtout sous l’emprise des deux autres. Monsieur le directeur avait ajouté que les deux autres avaient eu une sanction, soit un renvoi de dix jours pour comportement agressif et injurieux. Puis il laissa le soin à Monsieur Martin de reprendre son cours.

M. Mar :  Voilà, ce qui devait arriver est effectivement arrivé. Vous me connaissez bien et vous savez que je n’ai jamais ma langue en poche, quand j’ai quelque chose à dire et bien je le dis. Vous avez eu du courage Maximilien et Romuald d’avouer à toute la classe que vous étiez homosexuels. Vous avez été influencés par deux autres camarades qui sont, on peut le dire, homophobes. Vous aviez peur d’eux. J’en connais un autre qui lui évolue et qui prend de plus en plus d’assurance. Il a très bien agi aujourd’hui, chez votre camarade Philippe. Il m’impressionne, dieu sait qu’il a eu difficile, qu’il a dû faire face à beaucoup de problèmes et de situations. Mais il assume.

Moi :  Merci Monsieur Martin. Puis-je encore ajouter quelques mots ?

M. Mar :  Pas de problème Philippe.

Moi :  Je me doutais bien depuis pas mal de temps que vous étiez ce qu’on appelle « différents ». Vous êtes comme moi, vous êtes homos. Ce n’est pas une tare, c’est seulement la nature qui a voulu ça. Vous n’en êtes nullement responsables, ni même vos parents. Ne l’oubliez jamais. Pour les autres, ceux qui se pensent être « normaux », n’oubliez jamais que vous aurez probablement des enfants et que si plus tard, un jour, vous allez avoir votre fils ou votre fille qui vous annonce qu’il est homosexuel ou qu’elle est homosexuelle, qu’allez-vous faire ! Vous allez le ou la rejeter, ou alors vous allez l’aimer tel qu’il est ou telle qu’elle est !

J’avais à peine fini de parler que mon visage était inondé de larmes ! J’étais tellement présent et impliqué dans cette annonce que je ne m’étais même pas rendu compte que j’avais été au-delà de ce que je voulais dire, de ce que je voulais exprimer. Puis c’est toute la classe qui avait applaudi. J’étais comme hors du temps, sur un nuage, planant au-dessus de la classe. C’étaient mes tripes qui avaient parlé !

Marie s’était alors levée. Elle avait dit :

Mar :  Merci Phil. Merci à toi mon ami, mon confident, comme moi qui suis ta confidente. Comme Monsieur Martin l’a souligné, tu évolues, tu grandis mon super ami. Je vais vous confier à vous tous ceci : oui je suis lesbienne, oui ma petite amie c’est Isabelle ; désolé ma chère, mais je dois vider mon sac. Phil était au courant depuis des mois et jamais, au grand jamais il n’en a parlé à personne, il a toujours gardé mon secret. Lui, lui c’est un véritable ami et je vous souhaite à tous d’en avoir un comme lui. Je l’ai soutenu dans les moments difficiles et lui aussi il a été d’un réconfort indéniable pour moi et pour Isabelle. Voilà, vous savez tout sur moi. Puis Phil vous a expliqué, on ne devient pas homo, on nait comme ça !

M. Mar :  Merci Marie, si tu veux, ce n’est pas une obligation, tu peux toujours prendre contact avec moi, mais je crois que Phil, comme vous l’appelez, est d’un grand secours pour vous !

Isa :  Désolé de prendre la parole, mais je confirme ce que Marie vous a dit. Oui je suis lesbienne et j’aime Marie. Phil qui est dans la même classe a toujours gardé le secret, il a été d’une gentillesse pour nous. Je vais même vous dire que nous connaissons son petit-ami, lui aussi est une personne très attachante. Nous avons passé, tous ensemble un très beau séjour à Venise. Alors, si vous croyez que c’est facile de vivre ce que nous vivons, prenez, ne fusse qu’un jour, notre place dans la vie.

Max :  Je suis tellement désolé les filles, je m’en excuse. Je sais que c’est impardonnable !

Mar :  Mais je ne t’en veux pas Max, le tout c’est que tu intègres bien qu’être différent implique beaucoup de sacrifice et d’attention pour ne pas choquer les gens et je dois le reconnaitre c’est plus difficile pour vous les garçons.

La sonnerie de fin des cours venait de retentir. Contrairement aux habitudes, tous les élèves étaient restés assis à leur place.

Rom :  Je sais ce que tu veux dire Marie. J’avais tellement peur que si Didier et Marius apprennent que je suis homo, qu’ils s’en prennent à moi et en plus à Max. Je suis tellement désolé.

Moi :  Mais Rom, tu sais que je me doutais que tu étais gay. Tu sais ce genre de chose se ressent, ne te fait pas d’illusion. C’est la même chose pour toi Max. La seule chose maintenant c’est que vous devez faire attention à votre attitude en société. Ne surtout pas vous exhiber en public, il y un homophobe qui peut surgir de n’importe où. Je sais de quoi je parle. Si vous avez besoin de conseil, je suis là, disponible pour vous aider.

Rom :  Merci Phil. Je viens de découvrir que tu étais un mec super sympa. J’ai vraiment été con de m’en prendre à toi. Désolé mec !

Moi :  Mais de rien, le tout c’est que vous tous, hétéros, homos ou même bi, vous puissiez comprendre et admettre que votre voisin, votre ami, votre frère ou votre sœur puisse être « différent ». Le tout c’est de pouvoir accepter et aimer ceux qui sont différents, comme des frères.

M. Mar :  Merci Philippe pour ton intervention. Les cours sont finis depuis près d’un bon quart d’heure. Je vois que vous êtes tous impliqués dans ce qui vient de se dérouler. Vous êtes maintenant un peu plus informés sur les choses de la vie et vous savez qu’il y a des personnes qui sont confrontées quotidiennement aux regards désapprobateurs des autres. Je me tiens à votre disposition si vous rencontrez le moindre problème. Bonne soirée à vous !

Tous :  Merci Monsieur Martin ».

Nous avions une chance inouïe d’avoir un prof comme Monsieur Martin. Nous ne le connaissions pas plus que ça, nous ne savions rien sur sa vie, mais nous savions qu’il était ouvert aux autres et toujours prêt à rendre service.

A la sortie de la cour de l’école, beaucoup de mes camarades de classe restaient auprès de nous, soit auprès de Marie, Isabelle, Justin et moi. C’est Max qui m’avait fait un signe de venir près de lui. Je l’avais rejoint.

Moi : « Oui Max, tu voulais me parler ?

Max :  Je voulais m’excuser pour tout le mal que je t’ai fait et ensuite te dire merci pour ce que tu as dit.

Moi :  Tu sais Max, ne soit pas désolé. Je sais qu’être homo n’est pas une sinécure. Il faut faire attention à ce qu’on dit, à ce qu’on fait, … etc.

Rom était venu nous rejoindre. Il était au bord des larmes. Il était rouge comme une pivoine, il était assez bouleversé. Il avait alors dit :

Rom :  Je ne sais quoi te dire. La seule chose, c’est merci pour ce qui tu nous as dit en classe.

Moi :  Mais ça venait du fond du cœur Rom. Tu ne me connais pas assez, mais j’espère que nous pourrons être un jour amis ! »

Max et Rom s’étaient rejoints, ils s’étaient donné un petit bisou sur la bouche. Puis je les avais rejoints pour leur faire un câlin. J’avais été suivi par Marie, Isabelle et Justin. Nous étions à six, enlacés, occupés à nous consolés l’un l’autre. Nous nous en foutions des autres élèves, au moins ils avaient pu se rendre compte des liens qui peuvent se tisser entre des personnes « différentes ».

J’étais rentré plus tard que d’habitude à la maison. Maman se demandait ce qui était arrivé de même que Jean. Je voyais qu’ils étaient inquiets. Pour les rassurer j’avais un large sourire aux lèvres. J’avais déposé mon cartable dans le hall d’entrée et j’avais pris place avec eux à la table de la cuisine. Jean avait déjà pris son goûter. Maman m’avait donné deux parts de cake et une tasse de cacao. J’avais alors expliqué ma journée et les incidents qui s’étaient produits. Jean ouvrait des yeux grands comme des soucoupes et maman restait bouche bée. Ils étaient tous deux étonnés de la façon dont les événements s’étaient déroulés et les réponses y apportées. Enfin ils étaient rassurés quant à mon état d’esprit et ma persévérance à aller de l’avant. Ils voyaient enfin que j’allais bien mieux depuis quelques temps.

J’étais monté dans ma chambre pour être un peu seul et ainsi faire le point sur ma journée. J’avais à peine pris le temps de m’installer sur mon lit que maman frappait à la porte de ma chambre pour me dire qu’un élève de ma classe avait téléphoné et qu’il attendait au bout du fil. J’étais allé prendre le combiné dans le hall d’entrée de la maison. C’était Max qui était au bout du fil. Il souhaitait encore s’excuser et me demander pardon. Il était avec Romuald et lui aussi était très mal dans sa peau. J’avais bien dit que je ne leur en voulais pas et qu’ils devaient aller de l’avant. Max m’avait demandé s’il pouvait me voir en dehors de l’école et que Rom était lui aussi intéressé à me rencontrer. Je ne savais quoi leur dire. Puis j’avais eu l’idée de demander à maman s’ils pouvaient venir souper à la maison. J’avais exposé rapidement mes intentions à maman, qui avait tout de suite été d’accord. J’avais donc invité Max et Rom à venir souper. Une fois mon adresse communiquée, ils m’avaient dit qu’ils seraient là dans une bonne demi-heure.

Une fois le combiné raccroché, Maman m’avait donné un bisou sur le front. Je savais que cela voulait dire qu’elle m’aimait mais que j’étais une nouvelle fois le bon samaritain. Elle savait que c’était important pour moi. Elle avait compris que j’avais besoin de faire attention aux autres et que je voulais m’impliquer dans le bienêtre de mes amis et de ceux qui avaient besoin de soutien.

Mes deux camarades étaient arrivés vers dix-huit heures trente. Maman les avaient accueillis comme elle le faisait d’habitude. Nous nous étions installés au salon. C’est alors que ma sœur Anne rentrait après sa journée de cours. Elle fut étonnée de voir les deux gars, mais elle était habituée de certains imprévus, elle les avait salués tout simplement.

Pendant que maman préparait le souper, j’avais discuté avec Max et Rom. Ils étaient un peu perdus, ils ne savaient plus où ils en étaient. J’avais expliqué que c’était normal de se poser un tas de questions. Je tentais de leur apporter des réponses à leurs interrogations. Je les rassurais autant que possible. Puis j’avais eu l’idée d’inviter Ben pour souper. Ils auraient alors pu se rendre compte que vivre en tant qu’homosexuel n’était pas évident mais qu’il fallait mettre en place un modus vivendi pour ne pas déraper.

J’avais demandé à maman si je pouvais inviter Ben en plus, qu’il était important qu’il soit là lui aussi. Je m’étais inquiété de savoir si maman avait assez pour donner à manger à autant de monde. Maman m’avait alors donné un baiser sur le front, c’était pour moi un signe très fort. J’avais ensuite téléphoné à Ben, je lui avais fait un topo de la situation et de suite il avait accepté. Dix minutes plus tard Ben était là, en âge après avoir foncé à vélo pour nous rejoindre.

Avant que papa ne rentre, maman nous avait laissé tranquille. Ben, qui avait été mis au parfum, avait exposé son point de vue, lequel n’était pas si éloigné du mien. Nous avions parlé de beaucoup de choses, de sexualité bien entendu, mais surtout de la vie affective, de bonheur, de complicité, de tendresse et d’autres choses. Nos deux comparses étaient contents d’entendre ce que nous pensions, ce que nous ressentions. Ils avaient compris le sens de ce que c’était l’amour au sens noble du terme. Qu’il n’y avait pas que le sexe, mais bien plus et que ce plus était en fait le ciment d’une relation durable ; c’étaient la confiance, la tolérance, la sensibilité, le respect et la patience qui importaient avant le sexe. Bien entendu qu’il fallait de l’amour physique dans toute relation, qu’elle soit hétéro ou homo, et c’était normal. C’est alors Max qui avait expliqué qu’aucun des parents n’étaient au courant de leur liaison naissante. J’avais alors demandé où ils en étaient et comme réponse Rom m’avait dit qu’ils en étaient au début, soit des bisous et même des baisers avec la langue, des caresses et quelques masturbations mutuelles, mais rien de plus. Ils ne savaient pas trop où ils en étaient !

Papa était rentré vers dix-neuf heures. La table avait été apprêtée par maman et Anne. Comme à son habitude papa était d’abord passé par la cuisine. Il avait salué les filles. (Maman était considérée comme une fille. Mdr.). Maman lui avait dit qu’il y avait de la visite, deux élèves de la classe de Phil et Benoit. Papa était entré dans le living. Il avait dit bonjour à mes deux compagnons et à Ben.

J’avais alors présenté mes deux camarades de classe à papa et j’avais aussi précisé qu’ils étaient homos. J’avais aussi expliqué dans les grandes lignes l’incident qui s’était déroulé durant la matinée à l’école. Papa avait son air dubitatif. Il avait attendu un moment avant de prendre la parole.



Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 08-05-2021

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Monsieur Martin discute avec sa classe et laisse les élèves parler.
C'est alors l'arrivée de Maximilien et de Romuald. Les deux élèves s'excusent devant toute la classe pour leur comportement.
Phil a vu juste, ils sont tous les deux gays et étaient sous l'influence des deux autres, Didier et Marius. Ils avaient peur d'être pris à partie par ceux-ci.
Les deux filles finissent par faire leur coming-out devant la classe, c'est Marie qui est à l'origine.
Phil tient de propos très juste qui font mouche.
De retour à la maison Phil est contacté par Maximilien. Phil invite les deux garçons à venir discuter avec lui. Une fois encore Phil est ouvert aux autres.
Phil invite Ben pour le super et pour rencontrer les deux copains de classe.
Phil est resté droit tout au long de cette journée. Il s'est ouvert aux autres et je pense que c'est déjà une avancée vers un peu plus de calme et de sérénité.
Très bon week-end
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 08-05-2021

(08-05-2021, 04:54 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Monsieur Martin discute avec sa classe et laisse les élèves parler.
C'est alors l'arrivée de Maximilien et de Romuald. Les deux élèves s'excusent devant toute la classe pour leur comportement.
Phil a vu juste, ils sont tous les deux gays et étaient sous l'influence des deux autres, Didier et Marius. Ils avaient peur d'être pris à partie par ceux-ci.
Les deux filles finissent par faire leur coming-out devant la classe, c'est Marie qui est à l'origine.
Phil tient de propos très juste qui font mouche.
De retour à la maison Phil est contacté par Maximilien. Phil invite les deux garçons à venir discuter avec lui. Une fois encore Phil est ouvert aux autres.
Phil invite Ben pour le super et pour rencontrer les deux copains de classe.
Phil est resté droit tout au long de cette journée. Il s'est ouvert aux autres et je pense que c'est déjà une avancée vers un peu plus de calme et de sérénité.
Très bon week-end
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Effectivement Phil est ouvert aux autres.
Ce qui s'est passé dans la cours de récréation a apporté beaucoup de bouleversement dans la classe de Marie, Isabelle, Justin et Phil.
Phil se montre une nouvelle fois attentif à ceux qui ont besoin d'aide.
L'invitation à discuter avec Max et Rom est aussi une belle preuve d'ouverture.
Nous verrons comment les choses vont évoluer.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser à chaque fois un beau commentaire !

Très bon week-end à toi aussi!
Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 08-05-2021

Merci [member=19]Philou0033[/member].

De nouveau une journée mouvementée pour Phil, heureusement que M. Martin et le directeur mettent les choses au point. Max et Rom osent faire leur coming out, il fallait du courage.

Tout et bien qui finit bien, comme le dit le proverbe, et je me demande si Max et Rom ne vont pas passer la nuit chez Phil qui n’oublie jamais les articles d’hygiène indispensables aux dépucelages, mieux que dans un hôtel cinq étoiles. Désolé, je me laisse emporter par mes fantasmes, comme d’habitude.

Je te souhaite un bon week-end ensoleillé.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 09-05-2021

(08-05-2021, 06:04 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

De nouveau une journée mouvementée pour Phil, heureusement que M. Martin et le directeur mettent les choses au point. Max et Rom osent faire leur coming out, il fallait du courage.

Tout et bien qui finit bien, comme le dit le proverbe, et je me demande si Max et Rom ne vont pas passer la nuit chez Phil qui n’oublie jamais les articles d’hygiène indispensables aux dépucelages, mieux que dans un hôtel cinq étoiles. Désolé, je me laisse emporter par mes fantasmes, comme d’habitude.

Je te souhaite un bon week-end ensoleillé.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Effectivement une journée mouvementée pour Phil, mais surtout pour Marie et Isabelle.
Mr Martin, le prof de Maths, est au taquet, il refuse toute attaque raciste, homophobe ou autre dans sa classe!
Ron et Max ont fait leur coming-out après s'être excusé auprès des filles et de Phil.
Phil ouvre son cœur à Max et Rom. Il y associe Ben pour rassurer les deux garçons qui se découvrent gays!
Je ne sais pas s'ils vont rester loger chez Phil, mais il est certain qu'ils seront soutenus!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois!

Merci pour tes traits d'humour, ça fait plaisir!
Bon dimanche!
Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-05-2021

Papa : « Je vois très bien ce qui s’est passé. Je vois, surtout que cela a dépassé les paroles et que maintenant il y a des effets plus durs, plus physiques, soit presque des coups !

Moi :  Tu sais papa, si cela n’avait été que moi, j’en ai l’habitude, j’aurai tout laissé passer sur ma carapace, mais pas en s’attaquant aux filles et ensuite à nous, Justin et moi, c’était la limite à ne pas dépasser !

Papa :  Mais en venir aux mains, c’est du délire !

Moi :  Tu sais que j’en ai marre de me faire insulter, de me faire rabaissé par les autres. Je suis moi et je ne supporte plus ça ; et si en plus ils s’en prennent à mes amies, c’est trop !

Ma voix avait changé, elle était pleine de haine. Papa ne m’avait pas encore vu comme ça. Je voyais dans ses yeux une lueur de peur ou alors de force domptée. Puis j’avais baissé le ton et j’avais pris sur moi. Je voyais Maximilien qui trépignait, il voulait intervenir. Puis c’était Romuald qui semblait de plus en plus nerveux.

Papa :  Je t’entends bien Philippe, mais je n’aime pas la violence et encore moins à l’école !

Max :  Excusez-moi, mais Phil a eu raison de réagir. C’est grâce à lui que j’ai enfin pu m’affirmer devant le directeur de l’école et devant la classe. Votre fils est un gars super et je suis tellement désolé de l’avoir blessé durant autant de jours !

Rom :  Oui, je ne peux qu’approuver, ce que Max a dit, et c’est aussi valable pour moi. Si tu savais comme je m’en veux Phil !

Papa :  Finalement ton action a été bénéfique. C’est l’essentiel !

Moi :  Au départ, ce n’était que pour me défendre, Mr Martin, le prof de math que tu connais, peut en témoigner, je n’ai fait que me défendre, rien de plus !

Papa :  C’est tout à ton honneur mon fils. Si le directeur et Mr Martin sont derrière toi et tes amis, c’est que tu as bien fait.

Moi :  Merci Papa.

Papa :  Tu sais Phil, je te charriais un peu, ta mère m’avait déjà prévenu !

Moi :  Mais tu es…, non je ne vais rien dire !!!

Papa était venu m’enlacer ! Je voyais la tête de Ben, je me demandais ce qu’il en pensait. Puis Papa avait tout de suite changé la conversation, il avait demandé à mes deux copains de classe comment ça allait depuis cette « altercation ». Ils avaient été super contents d’être soutenus par Phil, bien sûr ils ne s’attendaient pas à ça et ce bien après ce qu’ils m’avaient fait subir.

Papa :  Je vois que tu as encore le cœur sur la main. Je te reconnais bien là mon fils, « le sauveur de l’humanité ! »

Moi :  Mais non, j’ai seulement fait ce qui me semblait juste !

Papa :  Je n’en doute pas ! Bon je pense qu’il est temps de passer à table »

Nous étions tous passés à table. Ben avait fait connaissance avec deux gars de ma classe qui avaient eu peur de s’affirmer ou du moins de se désolidariser de Didier et de son acolyte. Ils avaient pu se rendre compte qu’il y avait moyen de vivre son homosexualité sans pour autant se mettre en danger, se monter aux autres, mais juste à deux et bien entendu soutenu par un entourage ouvert et compréhensif.

A l’issue du repas mes deux camarades de classe avaient pu faire le point. Il ne leur restait qu’à évoluer, à accepter ce qu’ils étaient, des homos. Ils devaient encore le dire à leur famille. Mais ça, c’était à eux à le faire !

En fin de journée, après une bonne douche, alors que j’étais coucher sur mon lit, je m’étais mis à repenser à mes deux camarades de classe. Je comprenais un peu leur démarche. En fait, nous n’étions pas très loin des évènements de Mai 68 ; quelques années après. Mai 68, c’était entre autres la révolution des mœurs et aussi la révolution sexuelle et de la promulgation de l’amour libre. Il est vrai que nous en parlions dans les cours de récréation. Certains frères ou sœurs aînés en parlaient à table avec leurs parents. Puis il y avait déjà eu en France des fronts d’actions homosexuels. Bref c’était dans l’air du temps. Mais, mes deux amis de classes n’étaient qu’aux préliminaires. Il me semblait qu’ils allaient un peu vite. Ils devaient encore se connaître plus et non superficiellement. Il y avait peut-être quelque chose de fort entre eux, mais il fallait voir si ça allait durer.

Bref le temps avait passé. Nous étions fin du mois de mai. Max et Rom avaient été acceptés dans la classe comme étant tous les deux homos mais aussi « en couple ». Cela n’avait choqué personne. Les mœurs avaient évolué. Ils étaient souvent auprès de nous, soit auprès de Marie, Isabelle, Justin et d’autres. Ils avaient évolué. Nous étions aussi heureux d’apprendre que Didier avait été renvoyé définitivement et que Marius avait été mis à l’écart pour trois semaines ; à son retour il s’était retrouvé seul, sans ami !

Concernant les pionniers, les réunions suivantes avaient été assez fructueuses, nous allions pouvoir aider cette famille pour l’alimentation en eau et en électricité durant notre camp. L’eau était destinée à alimenter l’étable et l’électricité c’était pour tirer une nouvelle ligne vers leur habitation. Puis nous avions déjà rendu un grand service à une vielle dame qui ne parvenait plus à renter ses courses et à ranger ses effets. De plus elle devait remettre sa salle de séjour en couleur. Ben, moi et deux autres pionniers nous avions repeint sa salle de séjour.

J’étais heureux de voir comme nous avions été tout de suite intégrés Ben et moi au sien de cette troupe de Pionniers. Parfois Jean-Pierre venait nous voir pour savoir comment ça allait. Il était lui aussi content de voir que tout allait comme sur des roulettes.

Un jour à la fin d’une réunion, Jean-Pierre nous avait demandé à Ben, Gabriel et moi de passer chez lui. Nous l’avions accompagné. Il habitait dans un immeuble à appartements, c’était au sixième étage. C’était chez ses parents. En entrant nous avions été surpris de voir que cet appartement était si vaste. J-P nous avait installé au salon. Puis il était revenu après cinq bonnes minutes. Il était accompagné de son frère, Christophe. Il fit les présentations. Tout de suite j’avais su que c’était son frère homo, dont il m’avait parlé. J’ai vu que Ben lui aussi avait tilté. Gaby, n’en savait rien.

J-P avait proposé de boire un verre. C’était de la limonade pour tous ! Puis il avait présenté Christophe. On pouvait voir qu’il n’était pas trop bien dans sa peau. J-P nous présenta Ben et moi comme un couple d’homos. Il avait ensuite présenté Gaby comme étant un de nos nouveaux amis. Je ne savais pas pourquoi nous étions là, mais j’avais compris que J-P voulait venir en aide à son frère. J’avais alors exposé une bonne partie de ma vie, sans pour autant entrer dans les détails et j’avais fait allusion au bien fait d’avoir des amis et de la famille qui me soutenait.

Christophe semblait un peu plus réceptif qu’à son arrivée dans le salon. Le fait d’avoir parlé à Christophe l’avait un rassuré sur notre présence. Jean-Pierre avait-il prévenu Christophe de notre visite ou alors il n’avait rien dit pour voir comment il allait réagir. Je me demandais si j’allais lui poser cette question plus tard. Puis Christophe avait demandé à Gaby pourquoi il était ami avec deux homos. Gaby lui avait expliqué sa prise de conscience à la suite des problèmes qu’il avait généré malgré lui et qui m’avait porté préjudice ainsi qu’à l’ensemble de la troupe. Il avait dit avoir découvert deux gars de son âge qui ressemblaient à tous les autres gars et que c’est seulement l’orientation sexuelle qui faisait la différence et que cela n’avait aucun impact car nous savions nous comporter normalement en public. Puis nous avions parlé de choses et d’autres, d’activités extra-scolaires, de nos amies qui elles aussi avaient paris une part importante dans la vie sociale que nous vivions. Il n’est pas normal de rester dans un « ghetto », mais qu’il faut s’extérioriser et voir d’autres personnes, d’autres jeunes, etc.

Jean-Pierre était content de nous avoir fait venir. Il savait que nous aurions les mots qu’il fallait pour venir en aide à son frère Christophe. Nous avions quitté Jean-Pierre pour rentrer chez nous.

Nous étions déjà début juin, les examens étaient prévus à partir du 10 juin. Il nous restait donc une dizaine de jours, je disais qu’il nous restait une semaine pour bien réviser nos cours. Pour nous laisser l’occasion de bien étudier, les réunions chez les pionniers se déroulaient seulement un samedi sur deux ; il n’y avait plus de réunion le dimanche. C’est vrai que passer ne fusse que quatre heures au grand air, au milieu des révisions et des examens, ne pouvait que nous faire bien.

De commun accord nous nous étions arrangés Ben et moi de nous voir seulement lors des deux réunions et la soirée de celles-ci. Le reste du temps c’était étude, étude, étude ! Nous voulions absolument réussir notre avant dernière année d’humanité pour être sûr d’avoir de bonnes bases pour la suite de nos études. Nos parents étaient très heureux de voir comment nous avions établi notre emploi du temps.

C’est lors de la réunion, juste avant la session d’examens que Jean-Pierre nous avait dit que son frère allait déjà un peu mieux. J’avais alors dit à J-P qu’à l’issue des examens je comptais, avec Ben, revoir Christophe et passer un moment avec lui. J-P avait été très touché par cette proposition. Ce soir-là, j’avais pu loger chez Ben. Il est évident que nous avions profité de ce moment pour nous aimer. Nous nous étions retrouvé têtes bêches pour pouvoir goûter nos membres dressés. C’était toujours avec plein de délicatesse que nous nous sucions avec volupté. Aucune brusquerie, tout dans la sensualité. Je savais très bien que Ben aimait avoir mon phallus entre les lèvres. Et moi aussi j’adorais la façon dont il me suçait. Il savait y faire le bougre. Sa langue allait le long du frein pour finir par lécher mon gland, ou alors c’était dans l’autre sens, sa langue allait du gland en direction des deux valseuses en passant sur le frein et toute ma hampe dressée. De mon côté je me concentrai pour rendre la pareille à mon amour de Ben. Nous avions maintenant l’habitude de savoir où en était notre partenaire pour tenter d’arriver à la jouissance en même temps. C’était donc le cas ce soir-là. Nous n’avions pu éviter de presque crier notre bonheur. Comme souvent nous avions gardé en bouche le sperme de notre amour pour ensuite nous embrasser en mélangeant nos semences. Quelle délectation. Nous n’avions pas de tabou particulier et donc tout se passait pour le mieux.

C’est donc après ces ébats que nous nous étions endormis. Le matin, alors que j’étais réveillé, je contemplais mon Benoît qui dormait encore. Sa tignasse blonde comme les blés était étalée sur l’oreiller, sa respiration était régulière et apaisante. J’attendais le moment où j’allais découvrir ses yeux bleus pour m’y plonger avec le regard. Je n’avais pas dû attendre trop longtemps. J’étais à chaque fois subjugué par le regard et les yeux de mon Ben d’amour. C’était un enchantement, un éclair de lumière qui allait illuminer toute la journée. J’avais alors déposé un baiser sur le front de mon amant. Puis nous nous étions embrassés à pleine bouche, heureux d’être ensemble, heureux de nous aimer, heureux d’avoir chacun le cœur qui bat pour l’être aimé.

Après le petit déjeuner, nous nous étions installés dans le living et nous nous étions mis à réviser nos cours. J’avais effectivement pris avec moi les cours que je devais revoir pour les examens du lendemain. Yves et Arlette étaient contents de voir comment nous avions pris à cœur d’étudier. D’ailleurs, Christine, la sœur de Ben révisait elle aussi mais dans sa chambre. Il n’y avait pas de bruit dans la maison de Ben. Ce n’est que vers midi trente que nous avions faire une pause pour manger. Puis nous nous étions remis au travail le reste de l’après-midi.

J’étais rentré à la maison pour le souper. Mes parents me posaient plusieurs questions en vue de savoir si j’avais pu revoir mes cours sans problème. J’avais pu leur dire que je m’étais même avancé pour les examens du mercredi. Jean lui aussi révisait. Il était resté seul avec nos parents à la maison durant tout le week-end.

Nous étions donc au début de cette période assez stressante, la période des examens. La première journée s’était très passée. Je n’avais pas eu de problème particulier. J’avais ensuite étudié durant la journée de mardi, pour les examens du mercredi. Et c’était ainsi de suite jusqu’au vendredi fin de matinée. Je savais que Ben allait venir à la maison durant le week-end pour que nous étudions ensemble, malgré le fait que nous n’étions pas dans le même établissement scolaire. Mais pour nous c’était une sorte d’émulation que de pouvoir étudier ensemble en vue de nous stimuler, que de rester seul devant ses cours. J’avais donc hâte de retrouver mon cher Benoît.



Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 11-05-2021

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
La rencontre entre Phil, Ben et les deux garçons de la classe de Phil se passe bien.
Phil est remonté contre les deux autres gars qui s'en sont pris à Marie et Isabelle.
C'est la période des révisions et les deux amoureux décident de ne se voir qu'à l'issue des réunions pionniers du samedi.
J-P invite Phil, Ben et Gaby a prendre un verre chez lui. Il présente Christophe son jeune frère. Phil  sait qu'il est homo et que cela ne se passe pas trop bien. Les trois garçons discutent avec Chris et décident de se revoir à l'issue des examens.
Il est évident pour eux de réussir leurs examens, ils seront alors parés pour la dernière année d'humanités.
Merci Philou pour cette belle suite et l'ouverture aux autres de la part de Phil et Ben.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-05-2021

(11-05-2021, 12:10 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
La rencontre entre Phil, Ben et les deux garçons de la classe de Phil se passe bien.
Phil est remonté contre les deux autres gars qui s'en sont pris à Marie et Isabelle.
C'est la période des révisions et les deux amoureux décident de ne se voir qu'à l'issue des réunions pionniers du samedi.
J-P invite Phil, Ben et Gaby a prendre un verre chez lui. Il présente Christophe son jeune frère. Phil  sait qu'il est homo et que cela ne se passe pas trop bien. Les trois garçons discutent avec Chris et décident de se revoir à l'issue des examens.
Il est évident pour eux de réussir leurs examens, ils seront alors parés pour la dernière année d'humanités.
Merci Philou pour cette belle suite et l'ouverture aux autres de la part de Phil et Ben.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Une nouvelle fois tu as bien résumé cette suite.
Phil accepte Rom et Max qui se sont platement excusés de l'avoir ainsi embêtés car il est gay. Les deux garçons le sont aussi, ils ont osé faire leur coming-out devant la classe.
Ben est lui aussi invité par Phil pour discuter avec les deux gars de sa classe.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 11-05-2021

Merci [member=19]Philou0033[/member].

J’étais un peu trop pressé, les camarades de classe de Phil n’étaient pas encore prêts ce soir-là. Mais les tensions se sont apaisées et les homos sont mieux acceptés, du moins dans cette classe et certainement pas partout.

Le temps passe et c’est bientôt les examens, il faut plutôt penser aux révisions, cela n’empêche pas Phil et Ben de réviser également d’autres branches pas au programme.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-05-2021

(11-05-2021, 05:15 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

J’étais un peu trop pressé, les camarades de classe de Phil n’étaient pas encore prêts ce soir-là. Mais les tensions se sont apaisées et les homos sont mieux acceptés, du moins dans cette classe et certainement pas partout.

Le temps passe et c’est bientôt les examens, il faut plutôt penser aux révisions, cela n’empêche pas Phil et Ben de réviser également d’autres branches pas au programme.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui, les deux copains de la classe de Phil commencent à se découvrir, laissons leur le temps, inutile de brûler les étapes !

Les examens approchent et il est plus que temps de penser aux révisions.
Les deux garçons font aussi d'autres révisions qui sont bien entendu hors programme des cours. Puis rien de tel que les exercices pratiques!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-05-2021

La suite des cours et des révisions s’était très bien passée. Nous étions prêts pour la session d’examens. Nous étions donc le lundi 10 juin, premier jour des examens. Nous commencions par math. Monsieur Martin nous avait bien préparé et Lucas était venu à la maison trois soirs de suite pour être lui aussi au top. L’examen se déroulait en matinée. A midi nous devions remettre nos copies. L’après-midi était consacré à l’étude du cours de français. Puis après, pour le mercredi c’était histoire et néerlandais. Jeudi nous avions anglais et géo. Vendredi il n’y avait pas d’examens pour notre classe.

C’était Ben qui était venu à la maison le samedi pour aller à la dernière réunion chez les pionniers. Nous avions reçu un fascicule avec toutes les modalités pour le camp en Suisse. Nous étions allés faire un jeu de piste dans les bois en vue de nous délasser. C’était important de pouvoir ainsi avoir un moment où nous ne pensions pas aux examens. Nous étions heureux Ben, Gaby et moi de nous retrouver dans la même équipe et de plus nous avions gagné le jeu de piste.

En rentrant à la maison mes parents nous avaient accueilli en nous demandant de prendre une douche et de nous changer. Je me demandais ce que nous allions bien pouvoir faire. Bref nous étions allés nous doucher et nous avions enfilé un short et une blouse ; et aux pieds, des sandales. Nous étions redescendus au salon et nous avions vu que Anne et Jean étaient eux aussi apprêtés. Puis la sonnerie de la maison avait retenti. C’est maman qui était allée ouvrir. En fait c’était Arlette, Yves et Christine qui arrivaient. Ben avait lui aussi l’air étonné. Nous leur avions souhaité la bienvenue. Puis c’est papa qui avait pris la parole.

Papa : « Voilà, nous sommes réunis ce soir, nos deux familles pour vous Ben et Phil. Il fallait que nous trouvions un moment pour faire le point. C’est pour cela que nous allons d’abord aller manger un morceau à la pizzéria. Ensuite nous discuterons de ce que nous allons faire durant les vacances et d’éventuelles activités à suivre.

Moi :  Merci Papa, mais je ne sais pas ce que vous avez prévus, en tout cas moi je n’y avais pas pensé. Je sais juste pour le camp.

Papa :  Moi qui pensais que tu avais quelque chose en vue avec Benoît.

Moi :  Non Papa, tu sais je n’ose plus trop faire de projets à long terme. Je suis heureux maintenant et je savoure le moment présent, je n’en demande pas plus !

Mam :  Mais Phil tu as le droit d’avoir des projets ! Il le faut, il faut que tu ailles de l’avant.

Moi :  Je sais Maman, mais c’est dur, il y a tellement de choses qui me reviennent.

Ben :  Écoute Phil, je sais que ce n’est pas évident pour toi, mais il faut que tu puisses aller de l’avant, que tu puisses avoir des envies à long terme. Je sais que ce n’est pas facile, mais je serai à tes côtés. Je t’aime Phil, ait confiance en moi, ait confiance en nous !

Arl :  Phil, je suis d’accord avec ce que Jacqueline et Ben t’ont dit. Tu dois pouvoir surmonter cette période. Nous sommes tous avec toi.

Moi :  Merci. Je vais faire l’effort de faire des projets à plus long terme. Et je sais que Ben sera toujours auprès de moi. Merci à vous tous.

Jean :  Tu sais Phil, je suis là aussi. Tu pourras toujours compter sur moi. Puis je t’aime mon grand frère, ne l’oublie jamais.

Moi :  Merci Jean. »

J’avais été embrassé Jean ainsi que les quatre parents présents. Anne elle avait les larmes aux yeux. Elle était elle aussi très sensible. Puis j’avais embrassé mon Ben d’amour à pleine bouche. Puis j'avais affiché un très beau sourire en criant tout haut "Alea jacta est ». Ils s’étaient alors tous mis à rire avec moi bien entendu.

J’avais été dans la voiture de Yves avec Ben pour aller au restaurant italien. Je savais que papa avais en tête d’aller à la trattoria située au centre-ville où nous avions parfois fêté quelques événements. Cette sortie était un gage de bons présages. Je sentais que les choses allaient s’arranger, que je pourrais pouvoir vivre un peu plus sereinement. Je devais positiver d’autant plus que j’avais deux familles formidables qui étaient à mes côtés et également des amis sur qui je pouvais aussi compter.

Nous étions bien entendu arrivés à la trattoria. Papa avait réservé une grande table. Après un bon apéro nous avions mangé de succulentes pizzas, et pour clôturer le repas une bonne glace pleine de crème chantilly. Pour les parents il y avait en sus un amaretto avec le café.

Entre le repas et le dessert c’est Yves qui avait proposé que je l’accompagne avec sa famille en vacances au bord de la mer, dans le sud de la Bretagne. Bien entendu à l’issue du camp. J’étais super content de cette proposition. Je voyais Ben qui souriait, il le savait et il ne m’avait rien dit. Ensuite Papa m’avait dit que ma demande de travail en temps qu’étudient avait été acceptée pour les quinze premiers jours du mois d’août. J’étais encore plus content d’apprendre aussi cette bonne nouvelle. Puis c’est Maman qui avait alors ajouté que Ben avait lui aussi été repris dans le même magasin pour la même période comme étudiant jobiste.

Je n’avais jamais vu Ben sauter de joie comme il l’avait fait. Il ne s’y attendait pas, il pensait que sa demande avait été refusée. C’est Arlette qui avait expliqué que sa demande avait été rejetée mais que Jacqueline, maman, avait appris qu’il y avait encore une place libre pour un étudiant et elle l’avait réservée pour Ben. Il s’agissait du super marché où nous allions faire nos achats. Nous allions pouvoir être ensemble pour faire ce job d’étudiant. Je n’avais jamais vu Ben pleurer avant, mais cette fois c’était plus fort que lui. Non seulement nous allions au camp ensemble, puis en vacances avec sa famille et en plus, cerise sur le gâteau, nous allions travailler ensemble comme étudiants jobistes. Je voyais mon Ben si heureux. Moi aussi je voyais que je pouvais aller de l’avant, les vacances allaient être très spéciales avec mon Ben à mes côtés.

Les examens étaient terminés. Nous étions contents que cela finisse. Nous devions recevoir les résultats le lundi dans le courant de la matinée. Pour ma part j’étais confient, j’avais réussi mon année scolaire et j’allais pouvoir enter en dernière année d’humanité, soit en rhéto. J’allais pouvoir profiter des vacances car j’étais presque certain d’avoir eu au moins la moitié des points pour tous les examens. J’attendais des nouvelles de Benoît, car il lui restait encore un examen à passer.

C’est donc ce vendredi vers midi que Ben avait téléphoné à la maison. Il venait de passer enfin son dernier examen. Il m’avait dit qu’il était lui aussi assez confient et qu’il en saurait plus le mardi début d’après-midi après les délibérations. Nous allions nous retrouver l’après-midi même. J’avais demandé à Ben de venir à la maison, mais il préférait que je vienne chez lui. Vers quatorze heures, j’avais donc enfourché mon vélo pour me rendre chez mon amoureux. En fait c’était une bonne idée car il m’avait dit que sa sœur n’était pas présente, elle était chez une de ses amies et elle passerait la nuit chez elle.

Une fois arrivé chez Ben, je n’avais pas eu le temps de descendre de mon vélo que déjà il me sautait dessus. Il me couvrait de baisers. Puis une fois la porte d’entrée refermée, nous nous étions embrassés avec fougue. Une véritable pelle d’enfer. Nous avions dû attendre depuis la fin du week-end précédent. Ben m’avait pris la main, je savais qu’il allait me faire aller dans sa chambre. Je n’étais pas contre, mais je voulais prendre une bonne douche car j’avais sué en venant à vélo chez lui. Je lui avais donc demandé de venir d’abord avec moi prendre une bonne douche. Ben avait accepté. Nous nous étions dévêtus entre le hall d’entrée et la salle de bain à l’étage. Nous étions déjà entièrement nus dans le hall de nuit. Ben avait son sexe qui était déjà à l’horizontal. Pour ma part le mien était lui aussi semi bandé.

Une fois sous la douche nous nous étions embrassés, nos langues s’étaient enfin retrouvées. Elles étaient entrées dans une belle sarabande. Elles se touchaient pour ensuite se séparer et sans attendre pour mieux se rejoindre. Nous nous étions bécotés plusieurs minutes, comme un peu hors du temps. Nous nous étions lavés mutuellement en n’oubliant pas l’anatomie de notre chéri.

C’est donc le sexe au garde à vous que nous avions rejoint la chambre de Ben. Une fois couchés sur le lit nous avions repris nos embrassades, nos langues étaient à la fête. Puis nos s’étaient aussi mise à nous prodiguer de subtiles caresses. Ma bouche allait d’un téton à l’autre sur le corps de mon Ben d’amour. Puis elle s’était attaquée à ses abdominaux et à son nombril. Curieusement mon Ben était assez passif, il m’avait laissé, carte blanche, pour s’occuper de lui. J’en profitais donc pour tourner autour de son attribut bandant. Je savais qu’il voulait que je le prenne entre mes lèvres, mais je voulais qu’il patiente un peu. Je souhaitais qu’il prenne beaucoup de plaisir, qu’il soit en demande de sensation. J’en étais devenu quelque peu « bourreau » de son plaisir.

Puis, n’y tenant plus et voulant goûter à son sucre d’orge, j’avais avancé ma bouche vers cet appendice qui n’attendait que ça. Ma langue avait titillé le gland semi découvert. Du liquide séminal perlait déjà au niveau du méat. Puis mes lèvres avaient alors entouré ce gland merveilleusement offert. Je pouvais goûter ce liquide avec délectation. J’avais ensuite décalotté ce dôme rougeoyant avec mes lèvres, pour enfin le saisir entre mes lèvres et le faire ainsi entrer dans ma bouche en demande. Ben râlait déjà de bonheur. Les sensations que je lui prodiguais avaient ouverts tous ses sens. Il haletait et commençait à respirer assez fort. Ma langue, bien en forme, s’était alors attaquée au frein de cette colonne de chair. Ben réagissait de plus en plus. Puis j’avais fini par engloutir littéralement le bâton d’amour de mon amant. J’avais alors entrepris des mouvements buccaux le long de son pénis en goûtant toujours son liquide séminal. Moi de mon côté, je continuais à bander, mon appendice commençait à me faire mal. Mon gland était à peine dévoilé, il voulait sortir de ce prépuce qui l’enserrait. J’avais alors senti la main secourable de Ben prendre enfin mon phallus et lui offrir un peu de sensation. De mon côté j’accentuais mes mouvements buccaux pour donner encore plus de sensations à mon amour. Je sentais que Ben appréciait le traitement que je lui imposais. Il haletait de plus en plus. Ben avait lâché mon phallus, il était comme hors de lui, hors du temps. Je savais que mon amoureux allait bientôt arriver au point de non-retour ; c’est ainsi que j’avais diminué l’intensité de mes mouvements buccaux. Il fallait faire baisser la pression. Ben devenait de plus en plus récepteur de mon traitement varié. Il avait les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres. Puis cette tignasse blonde éparpillée sur l’oreiller, que du bonheur ! Ben commençait à suer, il avait de plus en plus chaud, je savais qu’il avait atteint un niveau de jouissance exceptionnel, jamais je n’avais pu le faire monter en jouissance comme à ce moment ci. Puis, enfin, j’avais repris ma masturbation buccale de manière prononcée, sachant que mon ami allait atteindre l’orgasme dans les secondes qui allaient suivre. Et ensuite, dans un râle sonore et très bestial, Benoît avait laissé échapper six jets de se semence au fond de ma gorge. Je n’avais jamais ressenti aussi fort une éjaculation aussi intense de la part de mon Ben. C’était incroyable. Ben était aux anges et moi aussi car j’avais su lui prodiguer énormément de sensation, de bonheur.

Nous nous étions embrassés, partageant sa semence. Et mon amour s’était affalé, fatigué du traitement qui lui avait été infligé. Moi aussi j’étais en sueur, le sexe toujours bandé. J’étais moi aussi en attente de caresses, d’attention, d’amour ! Je savais que je devais laisser à Ben le temps de se reprendre, avant de penser à moi.

Une fois remis de ses émotions, Ben s’était tourné vers moi, il avait laissé ses mains se balader sur mon corps. Puis sa bouche avait parcouru mon cou, mes joues, ma bouche, me tétons et elle s’était aventurée vers mon appendice mis bandé. Il avait suffi de quelques secondes pour lui donner du ressort, du volume. Ben avait alors entrepris une fellation douce et lascive de mon pénis. Puis il avait été pêcher dans le tiroir de sa table de nuit le tube de gel lubrifiant et une capote. Je savais que mon amoureux de Ben avait envie de me sentir en lui, de lui faire l’amour. Il allait donc s’offrir à moi. Il voulait poursuivre son rôle de passif et ainsi me laisser l’aimer. J’avais alors pris le gel pour ainsi préparer l’entrée de sa grotte d’amour. De son côté Ben m’avait déjà placé le préservatif sur mon anatomie bandée. Sans un mot, en toute confiance il me laissait libre l’entrée à son corps en attente. Je savais que j’allais pouvoir aimer mon amour de Ben. J’avais placé mon sexe à l’entrée de cette antre accueillante. Puis une fois mon gland dans le passage anal, j’avais entendu Ben crier « Oui, oui, vas-y ! » Cet appel avait été entendu et j’entrais alors dans cette caverne. J’y allais doucement, centimètres par centimètres. Puis une fois arrivé à la garde que j’avais entrepris des mouvements de va et vient. Mes bourses claquaient sur les fesses de Ben, le tout en rythme. J’étais super heureux d’avoir ainsi planté mon bâton d’amour dans ce fourreau si accueillant. Je continuais à limer le fondement de mon Ben avec application. Mes mouvements alternatifs avaient fait monter la pression, je savais que j’allais arriver au point crucial, au point de non-retour. J’avais alors ralenti mes mouvements. Puis ne pouvant plus attendre, sachant que j’allais arriver à la jouissance, j’avais accéléré mes mouvements pour ainsi éjaculer dans le préservatif, sic jets puissants. Ben de son côté criait de bonheur et moi je râlais, comblé par cette forte jouissance.

Le temps d’ôter le préservatif et de m’affaler sur le lit, mon Ben m’avait dit à l’oreille, « Merci ». Moi-même j’avais susurré à Ben, « Je t’aime. ». Nous nous étions endormis durant une bonne heure, dans les bras l’un de l’autre.



Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 13-05-2021

Merci [member=19]Philou0033[/member].

D’abord des vacances où Phil et Ben vont découvrir le travail dans un supermarché. Cela me rappelle que j’ai vécu la même expérience et reçu le premier salaire de ma vie, soit 500 francs suisses pour trois semaines si ma mémoire est bonne. Ce n’était peut-être pas beaucoup, une de mes collègues m'avait dit que nous étions exploités, mais déjà mieux payé que d’écrire des récits sur Slygame… C'était encore l'époque où les jeunes rêvaient des idéaux du communisme. Suivront des vacances en Bretagne, j’espère qu’il y aura des plages naturistes dans la région.

Ensuite Phil et Ben s’entraînent pour le service militaire avec le garde-à-vous.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-05-2021

(13-05-2021, 11:37 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

D’abord des vacances où Phil et Ben vont découvrir le travail dans un supermarché. Cela me rappelle que j’ai vécu la même expérience et reçu le premier salaire de ma vie, soit 500 francs suisses pour trois semaines si ma mémoire est bonne. Ce n’était peut-être pas beaucoup, une de mes collègues m'avait dit que nous étions exploités, mais déjà mieux payé que d’écrire des récits sur Slygame… C'était encore l'époque où les jeunes rêvaient des idéaux du communisme. Suivront des vacances en Bretagne, j’espère qu’il y aura des plages naturistes dans la région.

Ensuite Phil et Ben s’entraînent pour le service militaire avec le garde-à-vous.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Effectivement les deux garçons vont découvrir le job d'étudiant. Ce que je raconte dans cette suite et les suivantes concernant le job d’étudiant, je l'ai vécu moi aussi, dans les grandes lignes!
C'était les premiers francs belges que je gagnais!
Les vacances en Bretagne vont plus que probablement conduire les garçons sur des plages naturistes! Les suites en diront plus!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois!

Je t'embrasse!
Philou


Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 14-05-2021

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Réunion des deux familles au resto. C'est l'occasion pour Yves d'inviter Phil à passer des vacances avec eux en Bretagne. Phil saute de joie.
La maman de Phil annonce aussi à Ben qu'il est repris pour le job d'étudiant dans le même commerce que Phil et pour la même période. Inutile de dire qu'il saute lui aussi de joie.
Les deux garçons se retrouvent après les examens pour se donner l'un à l'autre. Ils s'aiment ces deux là.
Merci Philou pour cette suite.
Je t'embrasse
Philippe