Une femme ordinaire (hétéro) - Terminé - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Hétéro (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=14) +--- Sujet : Une femme ordinaire (hétéro) - Terminé (/showthread.php?tid=14) |
Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 01-10-2020 (01-10-2020, 01:21 PM)grostimido link a écrit :houaaaaa..Hello Grostimido, Oui Alice est maintenant définitivement sauvée. Elle va pouvoir reprendre une vie normale. Pour les sensations, vue que seule la peau a été préservée, il n'y a plus que la sensation du toucher. Tout ce qui gravite autour du plaisir a disparu. A+ JKF Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 01-10-2020 (01-10-2020, 04:55 PM)emmanolife link a écrit :Elle s'est bien remise de l'opération, Alice, elle a l'air en forme !Hello Emmanolife, Tu as parfaitement raison. Il faudra éviter de les toucher le temps que les cicatrices se fassent oublier. Dans ce genre d'opération, toute le sensibilité érectile du sein disparaît à tout jamais. Et effectivement, elle n'a plus ni de mamelon ni d'aréole. Ces derniers seront reconstruits dans 4 à 6 mois avec des morceaux de peau prélevés surtout au pli de l'aine. Ca reste une très lourde épreuve et Alice a beaucoup de chance de s'en sortir comme ça. A+ JKF Re : Une femme ordinaire (hétéro) - curieux - 01-10-2020 Bonjour jkf, Que du bonheur, vivement demain pour les retrouvailles. Tout est pour le mieux, mais j'espère que ça n'annonce pas une fin prochaine ; ce serait dommage, on est toujours sous le charme. Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 02-10-2020 (01-10-2020, 09:26 PM)curieux link a écrit :Bonjour jkf,Hello Curieux, Les retrouvailles, se sera probablement en début d'après-midi. Et effectivement, bien vue, l'épilogue se rapproche. A+ JKF Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 02-10-2020 Chapitre XXIII Samedi matin. Je me lève de bonne heure. Je suis heureux, j’ai le cœur léger. Ce soir, je vais retrouver ma fiancée. Le linge étendu la veille est presque sec. Je me colle au repassage. S’il y a quelque chose que j’adore, c’est de repasser les affaires de mon amoureuse. J’ai l’impression qu’elle y a laissé une toute petite partie d’elle même et j’y apporte un soin tout particulier. Lorsque je repasse l’un de ses shorts ou l’un de ses pantalons, je vois ses fesses ou son pubis. Si c’est un chandail, c’est ses seins qui s’affichent sous le tissu. Et si c’est une petite culotte, c’est son sexe qui me courtise sans pudeur. Je souris devant ce voile sensuel et du coup, j’ai encore plus hâte de pouvoir la prendre dans mes bras. Du panier à linge, il ne reste plus que mes vêtements. C’est nettement moins affriolant. Je m’attache à l’essentiel avant de déclarer forfait. Les affaires de ma petite chérie sont déposées délicatement dans le placard. En rangeant les petites culottes fraîchement repassées, il me vient une idée. Je file au centre ville, direction un magasin que je connais bien maintenant. - Hello Johanna ! Tu vas bien ? - Bonjour Pascal. Contente de te revoir. Alors les sous-vêtements de la dernière fois, ça lui a plus ? - Euh ! J’ai fais un gros flop. - Ça ne m’étonne pas. Tu m’aurais dit que c’était pour Alice, je ne t’aurais jamais conseillé ces choses là. Je ne crois pas beaucoup me tromper en disant que ce n’est pas son truc. - A y réfléchir, c’est vrai mais je ne pouvais pas savoir et ma boule de cristal m’a fait défaut sur ce coup-là. - Et qu’est ce qui t’amène aujourd’hui ? - Je voudrais un ensemble soutien-gorge et culotte de très bon goût. Tu me conseillerais quoi ? - Toujours pour elle ? - Tu es super rigolote toi ! Pour qui veux-tu que se soit ? - Hé ! Parfois avec les hommes, on est surpris... - Ben là, il n’y a aucune surprise. C’est pour ma petite chérie. Pour le soutien-gorge, c’est un quatre vingt bonnet ‘B’. et peut-être plus un string pour la culotte, c'est ce que je préfère. - J’ai ce modèle là. Ce n’est pas un string mais ça souligne tellement bien les formes que tu ne le regretteras pas. Et comme elle a un joli p’tit cul ta chérie, ça va même faire sensation. En revanche, c’est un peu cher mais là, sans me tromper, je suis sûre qu’elle aimera. Par contre, tu es certain de vouloir prendre le soutien-gorge aussi ? - Oui, évidemment. Quelle question ! Tu peux me faire un papier cadeau ? - Bien sûr Pascal. Je te fais ça tout de suite. Je suis seule ce midi et je ferme dans deux minutes. Si tu veux on peut déjeuner ensemble ? - Avec plaisir Johanna, seulement si c’est moi qui t’invite ? - Marché conclu Pascal. Je réserve une table à la Dune aux loups, juste en face du centre équestre. - Je suis contente. D’habitude, je mange toujours toute seule. Quand ma patronne n’est pas là, je prends un en-cas que je grignote dans l ‘arrière boutique mais quand elle est là, elle est trop chieuse alors je préfère mieux aller manger tranquillement dans ma voiture. Alice travaille aujourd’hui ? - Non elle est en déplacement à Paris pour quelques jours. - Je vous aime bien tous les deux. Vous êtes vraiment bien assortis. Elle est méconnaissable ta chérie. Avant elle était beaucoup plus renfermée, moins souriante. Elle donnait le sentiment d’être constamment préoccupée. Elle ne cherchait pas spécialement la compagnie, toujours dans son coin, un peu tristounette parfois. Euh … Elle a un soucis avec sa poitrine ? - Oui, comment tu sais ? - Sublimer le corps des femmes, c’est mon cœur de métier et lorsqu’il y a une anomalie, ça me saute aux yeux. Elle ne porte jamais de soutien-gorge et lorsqu’elle est en chandail, je vois bien que les formes sont différentes. Et puis généralement, les femmes aiment bien mettre en avant leur poitrine et elle, elle fait tout pour la cacher. - Elle t’en a parlé ? - Non. J’ai essayé une fois mais elle a éludé le sujet. Elle ne parle jamais d’elle. Elle ne se plaint jamais. Et maintenant depuis qu’elle te connaît, elle ne voit que par toi. C’est rigolo parce que tu es son seul univers avec « Voie-Lactée ». Je l’aime beaucoup Alice. Elle est simple, honnête avec les autres et avec elle même. C’est quelqu’un sur qui je peux compter. Tu sais qu’elle m’a épaulée lorsque je me suis séparée de mon copain ? - Elle m’a juste dit que vous vous étiez séparés il n’y a pas très longtemps. - Quand j’ai voulu le quitter, il est devenu intransigeant, méprisant, méchant même et encore plus agressif, presque violent. Il me faisait peur. Elle m’a trouvé un petit appartement qui donne sur le port d’Étaples et elle m’a aidée à déménager. Je lui suis profondément reconnaissante. Sans elle je n’aurais jamais pu. - Je sais qu’elle t’apprécie énormément. Je ne sais pas si elle t’en a parler mais on vit ensemble depuis un peu plus d'une semaine. On envisage de faire une petite fête pour la crémaillère. Tu viendras ? - Oui, avec plaisir et ça m’évitera de me morfondre toute seule dans mon deux pièces. - Super. Je t'estime beaucoup moi aussi. On profite qu’on est juste en face du centre équestre pour aller rendre visite à « Voie-Lactée » et à "Belle-de-Jour" ? - Très bonne idée. Je n’ai pas pu aller la voir hier soir. - Alors c'est parti. On fait un saut au centre équestre. Les juments sont paisibles dans leur box. Je prends une photo de Johanna tout sourire à côté de « Voie-Lactée » et je l’envoie à Alice. La réponse ne se fait pas attendre : « Grrrr ! Incorrigible. Toujours avec les jolies filles toi ! Merci quand même mon cœur pour la photo. Viens vite mon chéri. Je t’aime. ». Je raccompagne Johanna à son magasin et je repasse à l’appartement chercher mes affaires avant de prendre la route. Je sors du parking de l’immeuble. Je suis tout guilleret à l ‘idée de retrouver ma petite fiancée. De la serrer dans mes bras, de choyer ses jolies lèvres, de sentir son odeur enivrante, de la caresser, de découvrir aussi sa toute nouvelle poitrine, et surtout de voir sur son visage son magnifique sourire éclairer notre amour. J’allais m’engager sur la route lorsque mon téléphone retentit. J’apprends que Jean a été détecté positif au coronavirus. Il m’est demandé de me faire dépister moi aussi et de me placer en quarantaine le temps d’obtenir les résultats, de prévenir Gaétan, Marie, Manon, le directeur du site de Reims et toutes les personnes que j’ai pu côtoyer depuis pour qu’ils effectuent un test préventif sans délai. Je suis effondré. Je comprends que mon voyage parisien est annulé, que je ne serai pas dans les bras de mon amoureuse ce soir. - °° -
Re : Une femme ordinaire (hétéro) - curieux - 02-10-2020 Si ce n'était pas si affligeant ce serait risible " un tout petit virus, plus inquiétant qu'une grosse opération " Re : Une femme ordinaire (hétéro) - grostimido - 02-10-2020 bonjour, A la tuile, Qu'elle belle M...e ce COVID. Je suis triste pour Pascal et Alice. Mais c'est juste une question de temps pour qu'ils se retrouvent A+ jkf Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 02-10-2020 (02-10-2020, 02:02 PM)curieux link a écrit :Si ce n'était pas si affligeant ce serait risible " un tout petit virus, plus inquiétant qu'une grosse opération "Hello Curieux, Oui c'est vrai. Et le tout petit virus microscopique cause quand même pas mal de soucis à la société. Mais bon, on va s'en sortir. A+ JKF Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 02-10-2020 (02-10-2020, 02:20 PM)grostimido link a écrit :bonjour,Hello Grostimido, La tuile, tu l'as dit. Mais Pascal a plus d'un tour dans son sac et il saura rebondir si d'aventure il n'est pas contaminé. La suite peut-être cette nuit si j'ai le temps. A+ JKF Re : Une femme ordinaire (hétéro) - emmanolife - 02-10-2020 C'est un peu moche qu'il ne puisse pas aller voir Alice, mais ce n'est que partie remise, il la verra à son retour... :-[ Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 02-10-2020 (02-10-2020, 03:22 PM)emmanolife link a écrit :C'est un peu moche qu'il ne puisse pas aller voir Alice, mais ce n'est que partie remise, il la verra à son retour... :-[Hello Emmanolife, Alice a prévu d'aller passer une semaine chez ses parents dans le Cantal juste après son opération. Ils ne sont donc pas prêt de se revoir sauf si ... A+ JKF Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 03-10-2020 Chapitre XXIII (suite) Alice m’a communiqué l’adresse d’un centre de dépistage avec lequel elle travaille régulièrement. Elle a contacté le secrétariat en leur demandant de nous passer en procédure d’urgence. Quoi qu’il en soit dans le meilleur des cas, les résultats ne seront pas disponibles avant lundi matin. De mon côté, j’ai averti Marie et Gaétan. J’ai également contacté Manon qui tout comme moi présente le plus de risque et Johanna par sécurité puisse qu'on vient de déjeuner ensemble. Je leurs ai donné rendez-vous au centre de dépistage à 17h00 de telle sorte qu’elles puissent elles aussi bénéficier de la même procédure accélérée. Tout comme moi, Alice a été immensément déçue mais on a convenu ensemble qu’il ne fallait prendre aucun risque. Je vais donc patienter jusqu’à lundi. Au téléphone, elle m’a paru beaucoup plus inquiète pour moi que pour elle, même si elle n’en a pas fait cas. A l’hôpital où Alice est hospitalisée, j’avais envisagé cette nuit, qu’elle me fasse discrètement une toute petite place pour que je puisse venir me glisser dans sont lit, juste pour partager la chaleur de son corps, être avec elle, lui prendre sa main, la serrer contre mon cœur, la regarder heureuse et complice en même temps. La faire rire de son rire enfantin dont je raffole. Au lieu de tout cela, je vais me glisser ce soir dans un lit tout froid, avec Camille pour seule compagnie. Je retrouve Johanna et Manon à la porte du laboratoire. Les jeunes femmes ne se connaissent pas. Je fais les présentation. Ici, c’est l’effervescence. La queue pour se faire dépister est énorme. Il y a cinquante personnes devant nous, dehors et je ne sais pas combien à l'intérieur. Je me présente au secrétariat et on nous dirige dans une tente à l’écart. Elle a bien fait les choses ma petite chérie. A peine cinq minutes après, une laborantine harnachée comme un cosmonaute me fait passer en premier. Bon, que les choses soient claires, pour être désagréable, c’est désagréable. On a l’affreuse sensation que l’écouvillon qu’on vous glisse dans le nez va chercher les traces du virus jusque dans le cerveau. Heureusement, ça ne dure pas très longtemps et je cède ma place toute chaude à Johanna qui revient bientôt toute aussi dubitative que moi. C’est au tour de Manon et à priori, ça c’est beaucoup moins bien passé. Manon est furieuse. Elle revient le nez en sang. Johanna nous quitte à la porte du laboratoire pour aller se confiner chez elle. Je reste avec Manon, conscient que si l’un de nous deux a été contaminé, l’autre le sera aussi ; le retour de Reims ayant été effectué en voiture, sans nos masques. - J’ai prévenu mon copain. Il va devoir gérer le déménagement tout seul. Il n’est pas très content mais de toutes façons, on n’a pas le choix. Je vais retourner dans mon dix mètres carrés. Jusqu’à lundi, ça ne va pas être la joie. - Tu veux passer la soirée chez moi ? On se commandera une pizza. - Oh oui, très bonne idée. J'adopte avec plaisir Pascal. - °° -
Re : Une femme ordinaire (hétéro) - curieux - 03-10-2020 Bonjour, Attention Pascal, Johanna est très belle, pas trop de confinement à deux. Re : Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 03-10-2020 (03-10-2020, 11:53 AM)curieux link a écrit :Bonjour,Hello Curieux, Parfois, on a beau faire attention ... PS : Il s'agit de la jeune Manon et non pas de Johanna. A+ JKF Re : Une femme ordinaire (hétéro) - jkf - 03-10-2020 Chapitre XXIII (suite) La soirée avec Manon a bien débuté. On a pris l’apéritif sur la terrasse, en regardant le coucher de soleil. Manon est enthousiaste. Elle parle de tout et de rien. Elle a plein d'humour. Et le premier verre de whisky, ne lui fait même pas peur. J’avais sorti des alcools doux mais elle a préféré mon whisky tourbé, trente ans d'‘âge. Le deuxième verre est avalé sans même sourciller en attendant la pizza qui se fait désirer. Le troisième verre fut engloutit avec la même conviction. Peut-être le verre de trop mais elle a tellement insisté que je me suis laisser convaincre. Avec la fraîcheur de la soirée, on s’est retranchés tous les deux dans le salon. Manon a faillit trébucher en se levant mais elle s’est bien rattrapée. On a fait qu’une bouchée de la pizza et la bouteille de rosé qui l’accompagnait n’a pas résisté. Manon a exigée un trou chtimi de circonstance et par chance, il me restait un fond de Genièvre. Je suis éberlué devant cette jeune femme qui me défie par alcool interposé. - Tu peux m'aider à m’asseoir sur le canapé, s’il te plaît Pascal. Je crois que j’ai un peu trop bu. Je viens soutenir Manon qui s’affale sur le canapé. Elle n’a même plus la force de croiser les jambes et j’ai une vue magnifique sur sa petite culotte blanche, toute en dentelle à peine voilée par sa mini jupe. - Je crois qu’on voit ma culotte mais je m’en fous et d’ailleurs, je vais la retirer comme ça, on ne la verra plus dit-elle euphorique. Et mêlant le geste à la parole, Manon lève difficilement ses fesses du canapé et tente de retirer sa petite culotte. - Même ça, je n’y arrive plus. Je suis faite. Je suis bourrée comme un coing. Le spectacle est autant gênant qu'improbable. Manon hilare, à moitié avachie sur le canapé, sa petite culotte descendue à mi-cuisse qui découvre un sexe à la pilosité abondante. Si Alice voyait ça... je n’ose à peine imaginer. - Je crois que je vais rentrer chez moi. Oulala, ça tourne. - Tu vas rester dormir ici, Manon. Tu n’es pas en état de reprendre la route. - Tu crois ? - Oui. Allonge toi, je vais te préparer ton lit. Dans la chambre, sous le regard de Camille interloquée, je change les draps, j’ouvre la couette et je pars récupérer Manon sur le canapé. - Pipi, pipi, vite. Je vais faire dans ma culotte. - Y a pas trop de risque, elle est déjà à moitié descendue lui dis-je en riant. - Oui mais, je vais faire par terre. Vite ! Vite ! Vite ! Je retire le petite bout de tissu et je soutiens péniblement Manon jusqu’au toilette. Je la fais asseoir sur la cuvette où elle se soulage à grand bruit. - Il faut essuyer mon minou. - Tiens voilà une feuille de papier toilette. Manon essaye et la feuille s’échappe dans le fond de la cuvette. - J’y arrive même pas. Tu peux m'aider s’il te plaît ? Je prends un nouvelle feuille et je lui essuie le minou. Le papier tout mouillé se déchire et mes doigts sont en contact direct avec sa chatte trempée. J’essaye de contenir l’érection naissante dans mon boxer mais peine perdue. La situation est si excitante que je me surprends à avoir envie de caresser cette chatte insolente. Une autre feuille subit le même sort. - Oh, c’est bon. Continue encore. Manon, c’est avancée sur le bord de la cuvette, son corps jeté en arrière et ses jambes écartées. - Viens me lécher. Vite, ne me laisse pas comme ça. S’il te plaît. J’ai envie. Son sexe est luisant à travers ses poils bruns collés à son minou. J’ai envie de me mettre à genou, d’écarter les poils et de goûter la liqueur de ce sexe offert. Mon cœur bat à cent à l’heure. Je sens mon pouls sur mes temples, sur mon sexe. Manon caresse la bosse qui s’est formée dans mon pantalon. Elle commence à déboutonner ma braguette. Je sais que si elle sort mon sexe, elle le prendra en bouche et il sera trop tard, je n’arriverai plus à résister. Sa main s’est faufilée dans mon slip, un doigt remonte jusqu’à mon gland. - Manon ! Arrête. On n’est pas dans nos états normaux. On va regretter tous deux. - Tu as raison Pascal. C’est plus sage même si j’avais une de ces envies. Tu as vue mon minou alors est-ce que je peux voir ton sexe, juste pour savoir ce que j’ai raté ? et après je ne t’embête plus. j’acquiesce de la tête. Manon dégrafe ma ceinture, baisse mon pantalon. Elle regarde presque émerveillée la forme tonique à travers mon boxer. Elle saisi les bords et elle baisse lentement le tissu jusqu’à ce que mon sexe se retrouve entièrement libre. - Waouh ! Je peux lui faire un bisou ? - Non Manon. On a dit qu’on s’arrêtait là. - Mon copain en a une toute petite. Avec une comme la tienne j’ose même pas imager le pied que je pourrais prendre. Je remonte slip et pantalon. J’aide Manon à se relever et je l’emmène dans ma chambre. Je l’aide à la déshabiller. - Mon soutien-gorge aussi s’il te plaît. Je dors toujours nue sauf quand j’ai mes règles. Je dégrafe son soutien-gorge. Manon est dans son plus simple appareil. Elle est absolument ravissante. Je l’allonge sur le lit et je recouvre son joli corps avec la couette toute douce. - Tu ne dors pas avec moi ? - Non, je te laisse ici. Je vais me reposer dans la pièce à côté. - Sans regret ? - Sans regret Manon. Dors bien et à demain. - Merci toi aussi Pascal. Trois minutes après, Manon s'est mise à ronfler. Je m’étends sur le canapé dans le salon, un plaid jeté sur mes épaules, en pensant à ma petite chérie seule dans sa chambre médicalisée et je me suis endormi comme un bébé, emportant son joli sourire partout dans mes rêves. - °° -
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