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Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 09-03-2021 MYTHOLOGIE UTOPIENNE 20
Petit précis de mythologie utopienne. Vingtième partie. PATTONE (1/2) Fils de Hodin et de Zia, dieu de la guerre et de la destruction. Pattone n'était pas un gentil garçon... dés sa naissance ses divins parents se rendirent compte que son éducation n'allait pas être de la tarte. Contrairement à tous les bébés qui gazouillent et son trop mignons, Pattone hurlait à longueur de journée. Ses premiers furent : ''du sang''. On l'envoya donc en Thrace. Mais ces terres hostiles ne l'assagirent pas pour autant. C'était même pire. A l'adolescence, Pattone devint une kaïra. Le genre de celui qui vous vole votre goûter, vous rackette votre argent de poche, vous déculotte en cours de sport devant les filles qui jouent au volley ou vous fourre la tête dans les WC... Mais les bad boys plaisent aux femmes... du moins à certaines... et pas les plus moches... Sa maîtresse la plus connue est, excusez du peu, Angelina, la sublime déesse de l'amour. Mariée à Kagutsuchi, le difforme et infirme dieu des forges, Angelina s'abandonnait dans les bras musclés de son amant, se promenant avec lui au-dessus des champs de bataille, en écoutant, tendrement enlacés, les gémissements d'agonie des blessés. Quoi de plus romantique, hein ? Je ne reviendrai pas sur Kagutsuchi emprisonnant les amants sur le lit conjugal, ni sur la mort d'Adonis, tué par un sanglier, animal sacré de Pattone. Même s'il était le dieu de la guerre et de la destruction, il était un brin lâche. Il fuit face à Typhon, un géant qui faillit détruire l'Olympe, et lorsqu'il reçu une lance à la guerre de Katre, il repartit en pleurnichant voir son divin paternel : - Bouhouhou, c'est pô juste.... - Si tu n'étais pas mon fils, grogna Hodin, je t'aurais depuis longtemps dépouillé de ta divinité et chassé d'ici à coup de pieds au... Pattone alla bouder dans son château fort. Oui, Pattone, outre son appartement sur l'Olympe où il culbutait Angelina, avait un château fort. Tout en fer noir, c'est là qu'il entreposait ses butins de guerre et les sacrifices qu'on lui faisait. Ce château était gardé par diverses divinités mineures, avec des noms bucoliques, genre Tête-de-Mort, Hache-Sanglante, Massacreur... Sur la porte, un écriteau ; ''Chien gentil... attention au maître !''. Les Utopiens n'aimaient pas trop Pattone. Trop brutal à leur goût. Sauf, évidemment quand il fallait gagner une guerre... Quelques peuplades lui vouaient tout de même un culte important : Les Spartiates, par exemple. Sparte était une cité guerrière dont les garçons étaient, dés leur plus jeune age, formés au métier des armes. Un immense temple dédié à Pattone se dressait en plein milieu de la ville où on lui faisait des sacrifices humains. Ce qui, évidemment, ne favorisait pas le tourisme local. Les Amazones, tribu de femmes guerrières farouches, lui vouaient également un culte. Il faut dire que leur première reine était une fille de Pattone et avait fait ériger un temple à son papounet sur une île, gardée par des milliers de corbeaux aux ailes d'airain capables de percer la coque d'un navire. Plusieurs animaux étaient des attributs du dieu de la guerre : le sanglier, le vautour (l'oiseau qui dévore les cadavres sur le champ de bataille) et le serpent. Très sensible au charme reptilien, Pattone engendra même deux dragons. Comment un dieu peut il engendrer des dragons ? Et surtout, qui était la mère ? Aucune idée (et, à vrai dire, je préfère ne pas le savoir) mais ils eurent tous les deux un destin... funeste. Mais ça, c'est une autre histoire... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 10-03-2021 Burydan est assez psychologue pour comprendre qu'avec le roi (et les autres monarques légitimes), la franchise fonctionne mieux que les génuflexions, pari osé et finalement remporté, autant auprès du précédent, qui avait racheté Rhonin pour lui, qu'avec Zuk'Henberg qui étend son intérêt à l'entourage de l'épéiste, au bénéfice de Dolf, échange de bons procédés pour l'avoir introduit à la cour Et au prix de l'admiration déjà grande de son page, à n'en pas douter, qui voit son 'maître' à sa place dans un monde qu'il n'aurait jamais pensé fréquenter, au milieu d'ados et de jeunes hommes de bonne famille, auxquels il préférera tjs son petit blond Bon, reste à savoir pq le roi lui demande de prolonger son séjour ??? Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 12-03-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour ton com mon renardeau. Merci mon rô minet, correction effectuée. Tout de suite, la suite et un peu de mythologie. Bon week-end. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 12-03-2021 CHAPITRE CXV
''Ab imo corpe'' Burydan, uniquement vêtu de son sous-vêtement, était assis au bord du lit. Il regardait Rhonin se déshabiller lentement. Son petit corps n'était plus couvert qu'un morceau de tissu blanc qui enserrait ses reins. Il allait l'enlever mais Burydan l'arrêta : - Non, garde le... Viens... Rhonin sourit et se plaça debout entre les cuisses épaisses de son maître. Burydan prit son esclave par les hanches et se pencha en avant. Il couvrit de gros baisers mouillés le ventre tout doux et tout chaud, avant de le lécher avec application, en insistant sur le mignon petit nombril de son minet qui se mit à gémir doucement. Burydan releva la tête et entreprit de grignoter les petits tétons roses de son blondinet. Il les léchait et les mordillait en passant de l'un à l'autre. Les gémissements de Rhonin s'intensifièrent et il ne pu retenir un petit hoquet quand il sentit les mains de son maître passer sous l'étoffe et saisir fermement ses petites fesses. Burydan se mit à les malaxer et à les pétrir de ses doigts cupides. Une fois la poitrine de Rhonin brillante de salive, Burydan dénuda entièrement son joli petit cul, mais sans lui retirer le sous-vêtement qui emprisonnait encore sa queue dure et raide. Il appuya sur ses épaules pour que Rhonin s'agenouille devant lui. Il posa ses mains sur ses joues et embrassa son esclave à pleine bouche. Un baiser humide et sensuel. Il quitta les lèvres de son blondinet avec trois coups de langue vorace et lui dit d'une voix rauque : - J'ai envie de toi, bébé... tu n'imagines même pas à quel point... - Moi aussi j'ai envie de vous, maître... j'ai tellement envie... - Abaisse mon sous vêtement... Tu vois à quel point ma bite est dure... oui, c'est ça, caresse la tout doucement... du bout des doigts... tu la sens palpiter... tu sens à quel point elle est chaude... prends la dans ton poing... oui, sert la bien... oh oui, comme ça... branle moi bébé... doucement, prends ton temps... oui, comme ça, c'est parfait... embrasse mon gland... humm... lubrifie ma queue... oui... bon garçon... allez, esclave, suce la grosse bite de ton maître... Rhonin avala le gland joufflu de Burydan. Celui-ci poussa un profond gémissement rauque et s'allongea sur le lit en laissant son minet s'approprier sa grosse queue. Rhonin s’appliqua. Il se goinfra littéralement de la belle colonne de chair de son maître. Il aimait la sentir palpiter dans sa bouche, et les gémissements de Burydan l'excitaient indiciblement. Il sentait ses doigts fourrager dans ses mèches blondes. D'une main l'esclave caressait les couilles bien pleines de son bel étalon pendant que, de l'autre, il caressait les abdos noueux, sa main s'aventurant quant et quant vers les sublimes pectoraux qu'il pelotait comme un dingue, adorant sentir ces muscles fermes et compacts sous ses doigts. Burydan appuya doucement sur la tête de son minet. Rhonin comprit qu'il devait le prendre plus souvent en gorge profonde. Il s'empiffrait de la grosse bite, la gardait aussi longtemps et aussi profondément que possible, avant de remonter lentement en serrant bien les lèvres. Il reprenait une goulée d'air et repartait à l'assaut de cette belle queue. A chaque fois que Burydan sentait son gland comprimer dans la gorge de son minet, il poussait un long feulement. C'était tellement bon. Il passait de la langue douce, au palais rugueux puis à la gorge gluante. Et Burydan se laissa aller à ce plaisir de dingue. Sentant qu'il n'allait pas tarder à jouir si Rhonin continuait à le sucer avec autant de dextérité, il repoussa la tête de son blondinet. Il releva son buste, regarda sa bite toute poisseuse de salive et lécha les lèvres écumeuses de son minet, puis l'embrassa à pleine bouche. Il reprit les fesses de Rhonin fit glisser un de ses mains devant. Il saisit la belle bite toute dure de son esclave et commença à le masturber lentement. Rhonin se mit à gémir, gémissements étouffés par la langue de son maître emmêlée à la sienne. Burydan le prit par les aisselles, le fit se remettre debout et lui retira son sous-vêtement, l'envoyant valser dans un coin. Il se leva à son tour, souleva son minet comme s'il ne pesait rien et le jeta sur le lit. Rhonin rit et écarta immédiatement les cuisses. Burydan sourit et se cala sur lui, collant sa queue contre celle de son minet. Il commencèrent à se frotter l'un contre l'autre en s'embrassant comme des malades. Le corps en sueur, Burydan se mit à quatre pattes au dessus de Rhonin, tête bêche. Le petit blond pensa que son maître voulait un 69 en guise de préliminaires, mais comprit vite qu'il avait une autre idée quand il le vit mettre un oreiller plié en deux sous ses reins. Burydan releva les jambes de son esclave et se jeta sur son œillet. Rhonin gémit et se prépara à sucer son maître mais vit que celui-ci avait envie d'autre chose. Il s'était avancé et présentait son cul à Rhonin. Celui-ci resta interdit. - Lèche moi bébé... Rhonin n'avait qu'une fois prodigué cette caresse à son maître. Il caressa les fesses fermes de son bel étalon et plongea se langue entre elles, lapant le petit cratère onctueux d'une langue baveuse. Et Burydan gémit. Ils se léchèrent mutuellement un long moment. Rhonin se laissa guider par Burydan. Quand celui-ci enfonça sa langue dans l’intimité de Rhonin, Rhonin enfonça sa langue dans l’intimité de Burydan, ils se doigtèrent mutuellement, passant de un à deux, puis trois doigts. Ça faisait bizarre à Rhonin de s'occuper de cette partie de l'anatomie de son maître. Il pensait que c'était à lui, le passif, de se faire ainsi triturer le cul, mais les gémissements que poussaient son maître lui indiquèrent que lui aussi adorait ça. Burydan mourait d'envie de demander à Rhonin de le prendre. Mais il se brida. Il sentait bien que ça l'avait un peu surpris quand il lui avait dit de lui bouffer le cul, alors s'il lui demandait de lui enfiler sa bite... on verrait ça plus tard... pour l'instant Burydan avait une autre idée... Il se dégagea de Rhonin et se mit à son côté. Ils étaient tous les deux hors d'haleine et Burydan commença à caresser son blondinet du bout des doigts, adorant voir ses petits muscles tressaillir sous son passage. Il prit la jolie bite de son esclave, le branla lentement en le fixant dans ses beaux yeux bleus. Il se pencha et avala le gland rose et joufflu et commença à sucer son minet avec lenteur. Rhonin gémit doucement en laissant aller ses doigts fins dans les mèches brunes de son maître. Il sentit un doigt appuyer sur son petit trou. Il ne pu retenir un long gémissement quand il sentit l'index se frayer un chemin en lui. Il le sentit aller et venir, et ces allers-retours couplés à la bouche de son beau mâle étaient incroyables. Puis il se figea. Il sentit le doigt de Burydan... fouiller son cul. Un peu perplexe, Rhonin attendit et soudain : - Oh ! Le doigt de son maître venait de toucher une partie tellement sensible de son fourreau que le plaisir qu'il avait ressenti l'avait prit au dépourvu. Burydan sourit intérieurement. Il commença à décrire des mouvements circulaires autour de la protubérance du muscle, puis la caressa quant et quant. Rhonin n'en revenait pas. Son maître lui faisait découvrir quelques chose de nouveau. Un nouveau plaisir inouï. Les sensations étaient démentielles. Il ressentait tellement de plaisir... totalement différent du plaisir qu'il prenait en se masturbant, totalement différent du plaisir que son maître lui donnait avec sa grosse queue... là, avec juste un doigt fouineur, Burydan lui donnait un plaisir incommensurable. Les vagues de sensations divines devenaient de plus en plus fortes. Il gémit, gémit plus fort, se mit à pousser des petits cris de bête blessée, ses yeux se fermèrent et un tsunami de plaisir remonta du plus profond de ses entrailles, renversa tout sur son passage, et noya sa conscience. Son cri de plaisir mourut au fond de sa gorge et son cerveau explosa. Il n’était plus qu'une masse de chair palpitante et gémissante. Le plaisir avait été tellement violent qu'il avait eu l'impression de tomber dans les appurus et, le plus inconcevable, c'est qu'il n'avait toujours pas éjaculé. Il avait pris un pied indicible mais n'avait pas jouit. Du moins pas encore... Burydan avait bien vu Rhonin prendre son pied. Il retira son doigt et suça son minet comme un affamé. Il voulait sentir son sperme chaud gicler au fond de sa gorge. Le corps de Rhonin se tendit et il jouit dans la bouche de son maître, en gémissant. Burydan le suça aussi longtemps que possible, nettoya consciencieusement sa queue et crapahuta jusqu'à lui. Il se mit à se branler frénétiquement. - Ouvre la bouche, bébé, ouvre la bouche... Rhonin ouvrit la bouche et sortit sa langue, et quand Burydan sentit qu'il allait jouir, il enfouit sa queue dans la bouche chaude de son esclave, noyant sa gorge de sperme chaud. Burydan s'affala à côté de son esclave, le souffle court et le cœur battant. Il regarda Rhonin qui souriait béatement. Il se pencha vers lui et déposa un baiser tout tendre sur ses lèvres. Deux yeux bleus les fixèrent. - Je vous aime, maître... - Et je t'aime, bébé... Ils s'embrassèrent passionnément, s'enlacèrent et s'endormirent. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 12-03-2021 MYTHOLOGIE UTOPIENNE 21
Petit précis de mythologie utopienne. Vingt et unième partie. PATTONE (2/2) Les dragons-fils de Pattone gardaient chacun un bois sacré. L'oracle de Delphes avait dit à un certain Cadmos de suivre une vitula et que là où elle s'effondrerait de fatigue, il devrait bâtir une cité. Personnellement, un type qui file le train d'une vitula, je me serais méfier, mais bon, passons... La vache s'arrêta enfin. - Parfait, dit Cadmos, c'est ici que nous allons bâtir la nouvelle cité. Mais avant tout nous allons sacrifier cette vitula aux dieux. ''J'aurais du l'attirer dans un ravin'' se dit l'animal. Une fois la meuh-meuh sacrifiée, un des compagnons de Cadmos dit : - Yo, patron, j’ai soif... t'as pensé à prendre une glacière . Mais Cadmos avait oublié de prendre une glacière et ils n'avaient croisé aucun Starbucks sur le chemin. Il avisa un bois un peu plus loin. - Les arbres ont besoin d'eau. Il doit y avoir une source dans ce bois. Allez remplir quelques seaux et essayez de trouver un KFC tant que vous y êtes... Cinq hommes partirent et trouvèrent en effet une source d'eau claire. Ils avaient à peine commencer à remplir leurs seaux qu'un énorme dragon surgit d'une grotte et les dévora. Un seul réussit à s'enfuir et couru vers Cadmos en hurlant : - UN DRAGON !!! UN DRAGON !!! IL A BOUFFÉ LES AUTRES !!! Cadmos prit ses armes. - Euh, dit un prêtre, les dragons sont des animaux sacrés de Pattone. Il ne serait peut-être pas judicieux de s'attirer le courroux du dieu de la guerre... - Je ne vais pas laisser un lézard dévorer mes hommes. Sais-tu à quel point c'est difficile de trouver des ouvriers qualifiés de nos jours ? Et en plus nous aurons besoin de ces arbres pour construire notre ville. La vitula nous l'a indiqué. Tu ne veux pas aller contre la volonté d'une vitula, n'est-ce pas ? Le prêtre se tu et Cadmos et ses compagnons pénétrèrent dans le bois et tuèrent le dragon. Une brume argentée scintilla et une très belle femme apparue : Métis, dans toute sa gloire... - Bravo, tu viens de tuer l'un des dragons de Pattone... - Je vais avoir des ennuis ? demanda Cadmos - C'est peu de le dire. Mais maintenant, tu es sous ma protection. Tu me dédieras ta cité que tu appelleras Thèbes. Et, comme il te faut une armée pour défendre ladite cité prends ces dents de dragon et plantes les, comme des graines. Arrose les d'un peu de sang et tu verras... Cadmos planta donc les dents, les arrosa de sang et une armée de squelettes surgit de terre. Pattone, apprenant la mort d'un de ses dragons, entra dans un colère dont il a le secret et voulu châtier le meurtrier. Mais les dieux s'y opposèrent et allèrent même jusqu'à donner en mariage à Cadmos Harmonie, fille de Pattone et d'Angelina. Tout se passa pour le mieux pendant quelques années, Harmonie allant même jusqu'à renoncer à son immortalité pour partager la vie de son époux. Alors qu'il se promenait dans le bois où il avait tué le dragon de son beau-père, Cadmos vit apparaître Pattone. - Que fais-tu ici ? Tu reviens sur les lieux de ton crime ? Ça te plaît de tuer des reptiles ? Et bien tu vas en devenir un ! Et Cadmos se transforma en serpent. Harmonie, qui avait tout vu, arriva : - Papa ?! Qu'est-ce que tu as fait ?! - Il a eu ce qu'il méritait... - C'est mon mari et je l'aime. Retransforme le immédiatement en humain ! - Tu prends le parti de ce mortel plutôt que celui de ton père ! Tu partageras donc son sort ! Et Pattone changea sa fille en serpent. Ouais, il n'était pas trop famille... Le deuxième dragon de Pattone avait été donné à un certain Éétès. Il était chargé de garder la Toison d'or, peau de mouton magique qui protégeait le royaume d'Éétès de l'invasion de sauterelles, de la sécheresse, du mildiou, de la myxomatose, des concerts de Justin Bieberbach et tout autre catastrophe naturelle. Un certain Jason tua ce dragon pour s'emparer de la Toison, mais ça c'est une autre histoire... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 21-03-2021 Je n'ai que l'excuse de la reprise légère de cours en présentiel et mon petit job, mais tout de même, une semaine de retard... :-\ Surtout pour un chapitre aussi chargé en émotion - et en sensations - pour mon chouchou Rhonin, qui en plus n'en est pas au bout, si Burydan pousse la curiosité, ou quelle que soit sa motivation, jusqu'à offrir l'accès à son intimité au 'gland rose et joufflu' de son minet mignon, mais ce sera pour plus tard... Pour l'heure, c'est la découverte de la lente montée d'un autre plaisir, distinct, généralement noyé dans l'ensemble des sollicitations sensorielles de la sodo mais qui, isolé, et pour peu que la caresse soit bien pratiquée, est la découverte d'une jouissance différente, qu'on serait probablement beaucoup à vouloir revivre pour la première fois, pour la surprise (puis un peu, juste un peu, pour l'impression d'innocence relative) : Tes chapitres mythologiques sont svt légèrement cruels mais tellement amusants que je ne les voudrais jamais différents ;D Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 26-03-2021 J'espère qu'il va bien baisé le petit Rhonin et que la suite va être bien chaud pour nous faire attendre Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 26-03-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms les zamis. Merci à toi mon rô minet. J'arrive toujours à trouver les fautes d'orthographe ou de grammaire de mes élèves (certains me donnant même l'envie de m'immoler par le feu) mais, malgré mes relectures, je ne trouve pas toujours les miennes... heureusement que tu es là... Pas de souci mon renardeau chéri. Mon petit (vicieux) Sohaibe, pas de sexe dans le chapitre suivant... mais dans quelques temps... Tout de suite, la suite. Bonne lecture et bon week end Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 26-03-2021 CHAPITRE CXVI
''Voluptatem offerat'' Le lendemain matin, Rhonin se réveilla en battant des cils. A côté de lui, son maître le regardait en souriant. - Bonjour maître... - Bonjour bébé... -Vous êtes réveillé depuis longtemps ? - Depuis un petit moment. J'aime bien te regarder dormir... tu es tellement trognon... Rhonin fit une moue adorable. - Alors que quand je suis éveillé, je ne ressemble à rien... - T'es bête, dit Burydan en déposant un petit bisou sur ses lèvres. Burydan le regardait avec tellement d'amour que Rhonin se sentit tout chose. Rhonin le regardait avec un telle adoration que Burydan se sentit encore plus amoureux de lui. Ils s'embrassèrent puis se prodiguèrent de suaves caresses qui les menèrent à un 69 endiablé. Repus de caresses et de baisers, débarrassés, du moins pour un temps, de l'envie irrépressible qu'ils avaient l'un de l'autre, ils se lavèrent et descendirent pour le petit déjeuner. Ils saluèrent Dolf, Esmée et Candela et ils avaient à peine commencer à manger que le valet entra. - Maître, monsieur votre frère est à la porte... - Qu'il entre donc... - J'ai bien essayé de l'inviter à entrer, mais il dit qu'il veut vous parler... - Allons bon... Dolf se leva et alla accueillir son frère... - Alors, Conan, qu'est-ce qui se passe ? - Monsieur mon frère, je vous salue... - Allons bon, te voilà bien sérieux... - C'est que je suis ici en mission officielle. Je viens de la part du roi... - Du roi ?! Et que me veut sa majesté ? - De vous, monsieur mon frère, rien. Je viens céans pour monsieur Burydan de Malkchour... Burydan, entendant son nom, se leva et alla à la rencontre de Conan. - Avez-vous à faire à moi, monsieur le capitaine ? - Oui monsieur. J'ai quelque chose à vous remettre de la part de sa majesté... Il claqua des doigts et un de ses hommes amena un paquet qu’il tendit à Burydan. Il le réceptionna et fut surpris par son poids. - Euh, merci. - Je vous en prie... - Eh bien, dit Dolf, merci à vous monsieur le capitaine. Pourriez-vous me rendre un immense service ? - Bien sûr. - Dites à monsieur mon frère, si vous le croisez, qu'ils sont invités, lui et sa charmante épouse, ainsi que son fils, à venir partager notre repue du soir, à 7 heures précises... - Si je croise monsieur votre frère, dit le capitaine en souriant, je lui transmettrai le message et suis sûr qu'il acceptera du bond du cœur... Monsieur de Malkchour, je suis votre dévoué serviteur... Profonds saluts des deux côtés et les gardes remontèrent en selle et départirent. Tous les yeux de la famille et de Rhonin étaient fichés sur le fameux colis. Tous brûlaient de curiosité de savoir ce qui se cachait sous l'étoffe noire. - Dolf, je me permets de me retirer dans ma chambre, ce paquet est extrêmement lourd... - Bien sûr, dit Dolf, bien sûr... Burydan remonta dans sa chambre, Rhonin sur ses talons. Il posa le paquet sur la table et retira l'étoffe. Elle renfermait un petit coffret en bois très ouvragé. Le bois avait été sculpté avec art et dextérité. Mais ce qui surpris le plus Burydan et Rhonin, c'étaient les trois poignées. Celle de droite représentait un corps féminin entièrement nu. Les détails de cette femme étaient extrêmement bien représentés : la taille fine, les hanches étroites, les jambes longues et les seins pommelants. La poignée de gauche représentait un corps d'homme entièrement nu. Les détails de l'anatomie de cet homme étaient tout aussi précis que ceux de la femme : épaules larges, pectoraux bombés, ventre noueux, cuisses épaisses et mollets puissants. Et le sexe lourd de l'homme, reposant sur son ventre, avait été sculpté avec une étonnante précision. La poignée du dessus, elle, représentait les deux corps dans une étreinte passionnée. Le corps de l'homme était tendu entre les cuisses de la femme, comme si les deux sujets avaient été surpris en plein orgasme.. - Ho, c'est... chaud... dit Rhonin en rosissant. - Beaucoup moins chaud que ce que nous faisons toutes les nuits, bébé... Et Rhonin rosit de plus belle. Burydan sourit. Qu'il était trognon quand il rougissait... Il tourna la minuscule clef dans la serrure. Il prit la poignée du dessus du coffret et l'ouvrit. Trois lettres se trouvaient au dessus d'une seconde étoffe noire. Burydan ouvrit la première. Elle était écrite de la main du roi, ou d'un de ses secrétaires, mais portait en tous cas la signature de Zuk'Henberg. Messire de Malkchour,
nous avons été enchanté de votre passe d'arme avec Malikaï et avec nous. Vous voir ainsi virevolter était un pur ravissement et une vraie leçon d'escrime. Veuillez, messire, accepter ce petit présent de notre part pour preuve de notre estime. Sachez, messire, que vous serez toujours le très bien venu à notre cour et, si vos pas vous ramènent dans notre royaume, nous espérons vous revoir. S.A.R. Zuk'Henberg, roi de Faisse'Boucq. - Qu'est-ce que... qu'est-ce que ça dit, maître ? Burydan lui tendit la lettre. - Je... je ne sais pas lire, maître... - Vraiment ? - Oui. On n'apprend pas aux esclaves à lire. On pense qu'il sont trop sots pour y arriver... - Je suis certain que tu es loin d'être sot. Je t'apprendrai, mon amour. Au ''mon amour'' Rhonin rosit et eut un immense sourire. Burydan lui lu donc la lettre. Les trois autres papiers étaient la lettre d'introduction du roi de Ween'Doz et une nouvelle lettre d’introduction, quasiment identique, de Zuk'Henberg, avec signature et sceau. Burydan les mit à l'abri dans son journal et déplia l'étoffe. Lui et son esclave restèrent stupéfaits. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 28-03-2021 La journée peut bien commencer ainsi, sous réserve de petits bisous avant le 69 endiablé (que j’imagine difficilement, trop habitué à la douceur, mais il y a p-ê une technique bis à explorer là, ok Puis bon, une 'élémentaire' caresse buccale, ça peut suffire, on ne peut pas faire l’amour tous les jours… Comme quoi l’intimité est dans les plaisirs simples, aussi ¯\_(ツ)_/¯ Comme là, je pense régulièrement à la vie de Rhonin avant leur rencontre, et ce qu’elle aurait été si ce n’était pas arrivé, il aurait fini comme viande à soldats dans une garnison éloignée, ignoré comme un sac à sperme pas digne d’apprendre à lire ! Et s’il n’est pas le kohaï de Burydan, l’épéiste peut au moins le lui apprendre Le contenu du coffret, maintenant ! Je ne sais pas où ils en sont de l'évolution des armes, mais pq pas une paire de mousquets à pierre entièrement gravés (c'est tjs une industrie à la limite de l'artisanat de ma petite ville ) Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Siriux - 29-03-2021 Bonjour maitre Moloch, je te lis toujours avec un immense plaisir. Mais que cache donc ce coffret, une jolie paire de dagues ou des jouets plus coquin? vite la suite stp bises et a bientôt (désolé de ne pas commenter a tous les chapitres :'( ) Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 29-03-2021 J'espère des jouets bien coquin qui feront hurlé l'esclave Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 05-04-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms mes lapins. Merci infiniment mon rô minet. Par les dieux que de fautes... toutefois je ne vois pas de quelle ''confusion'' tu veux parler. Le frère de Dolf devient le capitaine parce qu'il est le capitaine des gardes du roi... Mon renardeau chéri, les Genésiens ne connaissent pas encore la poudre noire. Donc pas d'armes à feu dans le coffret... Hello Siriux, ce n'est pas grave si tu ne commentes pas à chaque fois, un petit message de temps en temps fait toujours plaisir. Donc ni arme ni jouet sexuel (désolé sohaibe) mais quelque chose de beaucoup plus... terre à terre... Bon, je vais me goinfrer de tous les chocolats que le lièvre m'a laissé pour Pâques avant de me jeter sur mon blondinet pour me goinfrer de sa grosse .... j'ai rempli mon attestation en disant que c'est un besoin impérieux... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 05-04-2021 [b]CHAPITRE CXVII ''Adamantinae duritiae'' [/b] Sous leurs yeux, des dizaines de pièces d'astrium brillaient. Burydan les sortit et les mit en petites piles sur la table. Il fut encore plus surpris quand, sous les pièces, il vit des barrettes d'astrium rangées les unes à côté des autres. Il les compta, il y en avait 98. 98 barrettes d'astrium et 200 pièces. Le ''petit présent'' du roi représentait 10 000 simeris. - Vous... vous êtes riche, maître ! C'est un... trésor... - Je préfère le cadeau du roi Bilgaitz, dit Burydan. Il attira Rhonin à lui et l'enlaça tendrement. Il planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus et dit : - C'est toi mon plus beau trésor, bébé... Il se pencha et embrassa son petit blond. Un long baiser langoureux, passionné, profond et humide. Et Rhonin fondit entre ses bras. Burydan réfléchit. Ce coffret était fort beau et il avait envie de le conserver. Mais il n'allait pas s'en encombrer durant le reste de son voyage. Il fallait qu'il voit avec Dolf. Il mit les deux cents simeris dans ses bagues et une partie dans son escarcelle, il mit les barrettes dans sa besace et s'apprêtait à refermer le coffret quant il vit, tout au fond, une petite bourses en velours. Il tira les cordons et fit glisser le contenu dans sa paume : un adamantin (1), de la taille d'un grain de raisin, et deux perles de forme oblongue. - Bébé, nous devons sortir cet après-midi... Ils retournèrent à la salle du petit déjeuner. Dolf, Esmée et Candela brûlaient de curiosité mais eurent la délicatesse de ne lui poser aucune question. - Dolf, demanda Burydan, auriez vous par hasard un moyen de faire parvenir un paquet à Oli' ? - Pour sûr. Avec la nouvelle affluence de grands seigneurs dans ma boutique, il va falloir que je me réapprovisionne rapidement. Et j'ai déjà prévu d'envoyer un de mes commis en Utopia. Il pourra, sans problème, livrer un paquet à Oli'. Burydan le remercia, empaqueta le coffret et le lui remit, avec une lettre pour Olive Anders lui demandant de lui garder le coffret jusqu'à son retour. Accompagné de Rhonin, ils se rendirent en ville. - Bon, direction Grinn'Gotts.. Ils entrèrent dans la banque et allèrent jusqu'à un guichet. - Bonjour monsieur, dit le préposé, puis-je vous aider ? - Je voudrais déposer un peu d'astrium sur mon compte. - Mais certainement... quelle somme ? - 9 800 simeris... - Pardon ?! - 9 800 simeris... - Ah... c'est une somme assez... inhabituelle... sous quelle forme se présente-t-elle ? - 98 barrettes.. - Ah, parfait... si vous voulez bien me suivre... Il entrèrent dans une pièce où un homme se trouvait derrière un bureau sur lequel était posée une petite balance, appelée trébuchet. Burydan sortit les barrettes et l'homme pesa, palpa, fit sonner et vérifia. Il notait à chaque fois sa remarque sur une feuille de papier, puis passait à la barrette suivante. Au bout d'un long moment, il tendit la feuille au préposé. - Parfait, monsieur, vos barrettes ont toutes le bon poids. Il tira sur un cordon. Deux hommes géantins arrivèrent en poussant un chariot. - Mettez ces barrettes au coffre... Messieurs, si vous voulez bien me suivre à mon bureau. Arrivé devant le dit bureau, le guichetier demanda : - Avez vous votre lettre de change ? Burydan lui donna le papier. Le guichetier lui en fit un nouveau avec le nouveau solde. Burydan remercia et ils sortirent. Ils se dirigèrent vers la boutique du joaillier. - Messire de Malkchour, que je suis aise de vous revoir... il n'y pas de problème avec votre chaîne et votre pendentif, au moins... - Nullement, ils sont... parfaits... - Ah, à la bonne heure. Alors, que puis-je faire pour vous ? - Je voudrais une expertise de ceci, dit Burydan en déposant l'adamantin et les perles sur le comptoir. - Voyons cela, dit le joaillier en mettant un œilleton. Il examina l'adamantin et les perles un long moment, les tournant et les retournant entre ses longs doigts fins, les pesant, les présentant de différentes manières à la lumière, se contentant de murmurer des : - Hummm hummm de temps en temps. - Eh bien, dit-il enfin, cet adamantin est une très belle pierre. Il n'y a pas de crapauds et de minuscules inclusions. De plus, la taille en est parfaite. Le nombre de facettes et la minutie est l’œuvre d'un grand maître. Monsieur de Malkchour, puis-je vous demander où vous avez eu cette pierre ? - C'est un cadeau du Roi... - Ah, je comprends. On dit en effet qu'un certain Burydan de Malkchour a littéralement humilié le maître d'arme du roi... et je comprends aussi pourquoi cet adamantin est si bien taillé, le roi ayant pour joaillier le grand Vanclifé Arpells. J'estime cette pierre à... 3000 simeris. - Diantre, dit Burydan, tant que ça... - La qualité se paye, messire - Et les perles ? - Elles sont sublimes et surtout d'une forme atypique et très recherchée. De plus, on les dirait sœurs. Il est rare d'avoir deux perles si identiques. Je les estime à... 2000 simeris. - Tant que ça ? Pour deux perles. - Je vous l'ai dit, il est rare d'avoir des perles si semblables. Séparément, elles en auraient valus à peine 500, mais les deux ensembles... Burydan hocha la tête. Le ''petit présent'' du roi se montait donc à 15 000 simeris... - Et d'ailleurs, reprit le joaillier, si vous êtes vendeur, je suis acheteur... et au meilleur prix... Burydan réfléchit un petit et dit : - Pourriez vous me faire un pendentif de l'adamantin et deux pendants d'oreille avec les perles. - Bien sûr messire. - Avec le collier assorti pour le pendentif. Et le tout en astrium... - Certes, messire, certes... pour quand vous les faut-il ? - Euh... demain ? - Oh, messire, vous n'y pensez pas... trois jours, je ne peux pas moins... - Deux... - Soit, soupira le joaillier, mais c'est bien parce que c'est vous. Et aussi parce que ce sera un plaisir de travailler sur de si belles pièces... Deux jours plus tard, juste avant le dîner, Burydan passa chercher sa commande. Le pendentif et les pendants d'oreille était superbes. Il lui en coûta 500 simeris. Après la repue du soir, Burydan dit : - Mes amis, merci infiniment de nous avoir reçus, mon petit page et moi, avec tant de gentillesse... - Oh, je vous en prie, Burydan, c'était un plaisir, dit Dolf. - Un véritable plaisir, dit Esmée Candela opina. - Et, dit Burydan, veuillez accepter ces modestes présents en guise de mes remerciements... Quand Esmée vit l’adamantin en pendentif et quand Candela vit les pendants d'oreille en perles, elles poussèrent des cris à déboucher un sourd, se perdirent en remerciements allèrent même jusqu'à piquer quatre poutounes sur les joues de Burydan. Le lendemain, à la pique du jour, Rhonin, Burydan et un nouveau cheval destiné à porter leurs bagages, se dirigeaient vers le Nord Est. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - fablelionsilencieux - 05-04-2021 Coucou Moloch. Voici de quoi combler ta(tes) gourmandise(s)… À lécher jusqu’à ce que toutes traces chocolatées soient disparues. Pour d’autres envies, tu vois avec ton blondinet – ou pas – pour le partage. Joyeuses Pâques ! Ps : tu écrits « toutefois je ne vois pas de quelle ''confusion'' tu veux parler. » J’avoue que moi non plus, cette partie ne doit pas m’être destinée. Des bizoux |