GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. (/showthread.php?tid=19) |
Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 04-01-2021 Rhonin n’était pas… plus la ‘marchandise’ qd le roi l’a… ok, achetée, il était redevenu un humain, avec un statut temporairement convenu d’esclave, bien sûr, mais en de bien meilleures conditions :o Mais dans sa tête, son statut reste inchangé, il est soumis à l’acceptation de son nouveau ‘maître’… C’est du moins ce que Burydan pense. Et il pense… au pire, puis p-ê au mieux pour le garçon Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 15-01-2021 Mmmmmmmm il se fait attendre j'espère que la suite va être bien chaude Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Tonton Tim - 17-01-2021 Un joli chapitre de transition où l’on apprend que Burydan et son mignon petit esclave sont mutuellement tombés amoureux. C’était prévisible... c’est le début de la prise de conscience départ et d’autre. La différence c’est que Burydan a bien plus d’expérience et à peur de recommencer une relation amoureuse à cause des échecs de ses précédentes relations. Rhonin, quant à lui, n’imagine même pas que c’est possible et pour l’instant, il n’envisage même pas de se libérer de son état d’esclave ... faut dire aussi qu’après le dressage qu’il a subi, ce sera un très long cheminement pour redevenir un homme libre... Je me disais bien qu’il y avait un fond de vrai dans cette histoire de dressage... finalement, je ne sais pas si c’est préférable que cela vienne d’un récit de prostituée au 21e siècle ou de l’imagination de l’auteur.... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 18-01-2021 Eh bien, Sire Moloch, tu es séquestré par Blondinet dans un donjon sans wifi ? Ô.o Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 23-01-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms les zamis. Par les dieux ça fait longtemps que je n'ai pas posté ! Pour me faire pardonner je vous livre deux chapitres d'un coup... bonne lecture... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 23-01-2021 CHAPITRE CVII
''Amicus amico'' Burydan se réveilla quelques heures plus tard. Il regarda sa montre horloge : 4 heure 42. Il fallait se lever et s'habiller. Rhonin était toujours couché sur lui, la tête posée entre ses pectoraux. Sa respiration régulière montrait qu'il dormait toujours. Burydan posa ses mains sur ses jolies petites fesses et commença à les caresser tout doucement. Il remonta lentement, caressa la belle chute de reins, qu'il aimait tant voir se cambrer quand son minet voulait l'accueillir encore plus profondément, le dos frêle, les épaules rondes. Une main caressa la nuque de Rhonin et fourragea dans ses mèches blondes pendant que l'autre main reprit ses caresses encore et encore. Le blondinet poussa un petit gémissement de dépit quand son maître arrêta ses caresses. - Encore maître, s'il vous plaît. C'est si bon... Burydan sourit. - Que tu as la peau douce, bébé, et que j'aime la sentir frémir sous mes doigts... - Que vous avez les mains douces, maître, et que j'aime les sentir courir sur mon corps... Burydan mit deux doigts sous le menton de Rhonin et lui fit relever la tête. Il planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus. - Embrasse moi, bébé, je l'aime trop ta petite langue rose... Rhonin approcha ses lèvres de celles de son maître et ils s'embrassèrent. Un long baiser langoureux, profond et sensuel. Rhonin sentit la bite de Burydan durcir. Il se tortilla pour frotter la sienne tout contre, pour lui montrer que lui aussi était excité. Un seul baiser les mettait dans tous leurs états. Rhonin décolla ses lèvres de celles de son maître et murmura : - Faites moi l'amour, maître, s'il vous plaît... - Tu as envie de me sentir aller et venir en toi ? - Oh oui maître... - Tu as envie que je te fasse crier de plaisir ? - Oh oui maître... - Tu as envie de sentir le plaisir te submerger et noyer ton cerveau ? - Oh oui maître... Burydan l'attira pour un nouveau baiser brûlant et dit : - - Ce soir, bébé. Je te promets que ce soir tu demanderas grâce... mais, pour l'heure, nous avons une visite à rendre. Allez, debout... Il lui mit une petite tape sur les fesses. Rhonin gémit de dépit et se leva, la bite raide. Ils se lavèrent avec application, s'habillèrent et descendirent. - Alors, bien dormi ? demanda Fab avec un sourire en coin. - Tu n’as même pas idée... dis moi, comment on fait pour aller rue des Sept Pucelles ? - Oh là... je vais te faire un plan, c'est pas tout près. Burydan prit le plan et, accompagné se son minet, ils cheminèrent un petit. Ils trouvèrent enfin la rue des Sept Pucelles et arrivèrent devant le numéro 24. La porte en fer forgé était ouverte. Ils entrèrent en suivant une allée bordée d'un jardin impeccable, jusqu'au porche à six colonnes tout en carrara... ''eh bien, se dit Burydan, le sieur Dietriech n'est pas dans le besoin...'' Burydan avisa le heurtoir sur la porte richement ouvragée. Il frappa trois coups et, après quelques secondes, elle s'ouvrit sur un faquin de laquais, la mine hautaine. - Bonjour monsieur. - Bonjour. Est-ce bien la demeure de monsieur Dietriech ? - Oui monsieur. - Est-il céans ? - Oui monsieur. - Puis-je le voir ? - Qui dois-je annoncer, monsieur ? - Burydan de Malkchour. Le valet acquiesça et lui referma la porte au nez. ''Eh bien, quel accueil''. Deux minutes plus tard la porte s'ouvrit de nouveau. Un homme, la cinquantaine flamboyante, une petite bedondaine prouvant qu'il était un bon vivant, les cheveux noirs un peu grisonnants aux tempes, richement vêtu et des binocles sur le bout de son nez observa attentivement Burydan. - Bonjour, dit-il d'une voix grave. - Bonjour. Êtes-vous monsieur Dietriech ? - Oui, c'est je. Ai-je l'honneur de vous connaître, monsieur... monsieur ? - ...de Malkchour Burydan de Malkchour. Non, nous ne nous connaissons pas, mais nous avons un ami commun... - Ah. Quel ami ? - Olive. Olive Anders. Un immense sourire barra la face de Dolf. - Olive Anders ! Ce vieux brigand ! Mais entrez, monsieur, entrez ! Les amis d'Oli' sont mes amis ! Qui est donc ce garçon ? - Mon page. - Eh bien qu'il entre aussi. Vous êtes céans chez vous... Allons nous installer au salon. La maison était richement meublée et le salon un peu chargé de bibelots de prix. Dolf montra à Burydan un fauteuil extrêmement confortable où il prit place, Rhonin s'asseyant sur une petite escabelle à ses côtés. Dolf agita une petite clochette et une soubrette arriva dans la seconde. - Monsieur a sonné , dit-elle. - Marion, demande au majordome de nous servir une bouteille de mon meilleur picrate et préviens madame que nous avons des invités... - Bien maître... La soubrette fit une petite révérence en jetant un coup d’œil friand à Burydan et à Rhonin. Surtout à Rhonin, à vrai dire... - Alors, monsieur de Malkchour, comment se porte note ami Oli' ? - Très bien. Du moins il allait bien lorsque je suis parti de Malienda. Et vous pouvez m'appeler Burydan. - Dans ce cas, appelez moi Dolf... et sa femme, reprit-il à voix basse, était elle toujours aussi belle ? - Belle est encore en dessous de la vérité dit Burydan, lui aussi à voix basse, elle est époustouflante... Dolf sourit d'un air entendu. Une femme entra. Pimpelochée à ravir, dans une robe blanche parsemée de fils d'astrium, elle n'avait rien à envier à Esméralda. Elle était beaucoup plus jeune que son mari et regarda Burydan et Rhonin avec un immense sourire. - Ah, Esmée, ma douce. Je vous présente monsieur Burydan de Malkchour et son petit page. Monsieur de Malkchour est un ami de Olive Anders. - Oh, ce cher Olive. Soyez le bienvenu céans, monsieur de Malkchour. Burydan effleura de ses lèvres la petite main qu'elle lui tendait et dit : - Madame, je suis honoré de vous rencontrer et ai vergogne à vous déranger ainsi... - Nul dérangement, monsieur, les amis de ce cher Olive sont les bienvenus ici... Ils parlèrent un long moment, les époux posant une foule de questions à Burydan. Rhonin se désintéressait complètement de la conversation et se perdait dans la contemplation de son maître, en imaginant ce qu'il allait lui faire cette nuit, et se tortilla pour replacer plus confortablement l'érection que ces pensées lubriques avaient déclenchée. Deux verres de picrate plus tard, Dolf demanda : - Et vous êtes à Inst'Agramm pour affaires ? - Oui et non. J'ai d'ailleurs un service à vous demander. - Je vous écoute. - Avez-vous vos entrées au palais ? - Oui da. Mon frère est le capitaine de la garde prétorienne de Sa Majesté le roi, dit Dolf avec un once de fierté. - Parfait. Voilà, je suis épéiste, et, comme mon maître en son temps, je voyage à travers tout Genesia pour me mesurer aux plus grands bretteurs. Et j'aimerais me mesurer au maître d'arme du roi... - Ouh la, Burydan, êtes-vous bon ? Messire Comte de Murville est l'un des plus grands épéistes de Siméria. Seuls des bretteurs de la trempe de Arthas, le maître d'arme du roi de Mik'Rosoft, pourraient le battre... - J'ai vaincu Arthas. - Pardon ? - J'ai combattu et ai vaincu Arthas. Burydan sortit la lettre de recommandation du roi Bilgaitz et la tendit à Dolf. - Eh bien, eh bien... cela change tout... je crois savoir que Son Altesse est très friand des belles passes d'armes. Je vais en toucher un mot à mon frère dés demain... - La grand merci à vous, Dolf. J'ai aussi une lettre de recommandation du duc de Brittania... - Je vous conseillerai de la garder. Je crois savoir que son Altesse ne considère pas le duc comme légitime et ne l'aime guère... Burydan se contenta d'un petit sourire. - Et où gîter vous ? demanda Esmée - A l'auberge ''Le Lion Silencieux''. - Très bien. Dés demain vous viendrez vous installer ici... - Madame, je vous remercie mais je vous assure que l'auberge... - Babille bahou, le coupa Esmée, les amis d'Oli' sont nos amis et nos amis gîtent céans. Nous avons une belle chambre d'amis qui n'attend que vous et une petite chambrette dans les communs pour votre petit page. Et ceci n'est pas négociable, monsieur de Malkchour, sinon je me fâche... - Dans ce cas, madame, je cède à la violence. Puis-je y mettre deux conditions ? - Bien sûr. - Tout d'abord, de grâce appelez moi Burydan... - Très bien, dans ce cas appelez moi Esmée... et la seconde ? - Que mon petit page dorme dans la même chambre que moi... - Fi donc, monsieur, les chambrettes des serviteurs sont très confortables. Dolf voulu intervenir, comprenant très bien pourquoi Burydan voulait ''dormir'' avec Rhonin, mais son invité le devança : - Il se trouve, madame, qu'une vieille blessure me fait quelques fois m'étouffer et seul mon petit page sait me masser le gorge pour m'éviter une mort horrible... - Ah, dans ce cas, nous installerons un petit lit d'appoint dans la chambre... Comment avez-vous eu cette blessure ? - J'étais chasseur de prime et un de mes prisonniers m'a surpris... - Chasseur de prime ?! Comme c'est pittoresque... Monsieur... euh, Burydan, de grâce, restez avec nous pour dîner et vous nous conterez quelques une de vos aventures. - Vos désirs sont des ordres, Esmée... Rhonin fut gracieusement invité à se joindre à eux par Dolf, ce qui lui évita de manger à l'office avec le personnel et surtout lui permit de couver des yeux son maître. Burydan raconta de bonne grâce certaines de ses aventures. Esmée buvait se paroles et leur fille, Candela, 12 ans, ouvrait de grands yeux et frémissait quand Burydan se trouvait dans les bas fonds de Britania Après un délicieux repas, Burydan prit congé et, avec Rhonin, retourna à son auberge. - Ah, vous revoilà, dit Fab, j'ai failli appeler la milice... - Fab, ton inquiétude pour tes clients force l'admiration, dit Burydan en souriant. Mais, hélas, nous partons demain. - Oh, déjà. - Eh oui. Une dame m'a forcé la main... - Une... dame... vraiment ? dit Fab en jetant un coup d’œil à Rhonin. - Oui, une dame. Pourrais-tu me préparer ma note pour demain matin ? - Aucun souci... bonne nuit... - Bonne nuit. Burydan avait à peine refermé le verrou de leur chambre que Rhonin se jeta à son cou. - Oh maître, je n'ai cessé de bander comme un gaidaro durant cet interminable repas. Je suis tellement excité que ma bite me fait presque mal. Prenez moi, maître, baisez votre petit esclave... je veux être votre jouet et que vous me fassiez hurler de plaisir... Je brûle, maître, et seule votre énorme queue peut éteindre ce feu... Burydan aimait assez quand Rhonin devenait un peu salace. Il l'attira à lui et sentit en effet une belle érection sous son pantalon. - Je vais faire en sorte que tu n'aies plus de voix demain, petit minet lubrique. Je vais te faire gueuler ton plaisir comme un dingue... - Oh, chic alors... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 23-01-2021 CHAPITRE CVIII
''Clamoribus et voluptatem'' Burydan enlaça son petit minet et l'embrassa langoureusement. Il lui enleva sa chemise, révélant son joli torse fluet. - Assieds toi sur le lit... Rhonin s'assit. Burydan s'approcha et se mit à genoux. ''L'esclave assis et le maître à genoux, c'est pas banal'' se dit Rhonin. Burydan lui enleva chaussures et chaussettes. Il enleva sa chemise, révélant son torse viril et musclé et vu les yeux de son esclave se poser sur ses pecs. Il sourit et prit le pied droit de Rhonin. Il se caressa les pectoraux avec, puis le mit face à lui. Il le couvrit de baisers mouillés, arrachant ses premiers soupirs à Rhonin. Puis il les lécha lentement, du talon à la naissance des orteils, passant sa langue juste en dessous. Rhonin se mit à gémir. Gémissements qui s'intensifièrent quand Burydan commença à les suçoter. Il les prenaient en bouche, passant sa langue dessus, dessous et entre, encore et encore, ses yeux gris plantés dans les yeux bleus brillants. Il reposa le pied droit et refit son petit manège avec le pied gauche. Burydan déboucla la ceinture de son blondinet, dégrafa son pantalon et le fit glisser le long de ses jambes. Sa jolie bite était là, sous ses yeux, dure et palpitante. La petite trace visqueuse juste au dessus de son gland décalotté prouvait qu'il n'avait pas menti en disant qu'il avait bandé toute le journée en pensant à ce qu'allait lui faire son maître la nuit venue. Burydan caressa sa queue du bout des doigts et fit rouler ses belles couilles, toutes lisses et toutes rondes, dans la paume de sa main. Il se releva, enleva chaussures et chaussettes, et s'approcha de son minet. Il mit une main derrière sa tête et l'attira vers lui. Rhonin se mit à lécher avec application son ventre bosselé. Il dessina de la pointe de sa langue les reliefs abrupts des abdominaux avant de plonger dans le nombril. Burydan gémit en sentant la petite langue rose tournoyer à l'intérieur. Burydan le ventre brillant de salive, repoussa gentiment son petit esclave et dégrafa son pantalon. Tombant à ses chevilles, il révéla son sous-vêtement déformé par sa phénoménale érection, couchée contre sa hanche et son gland luttant pour se libérer. Il attira de nouveau Rhonin vers lui, et il se mit à frotter son visage contre cette belle colonne de chair encore emprisonnée dans son carcan de tissu. Il se mit à la lécher et à la mordiller. Quand Burydan le repoussa, le tissu était devenu presque transparent. Il se remit à genoux et caressa l'intérieur des cuisses de son minet, son ventre tout chaud, ses jolis pecs en pinçant doucement ses tétons roses, puis se pencha en avant. Il lécha lentement la petite trace visqueuse et embrassa la bite de son blondinet sur toute sa longueur, du gland vers ses couilles, puis de ses couilles jusqu'à son gland, encore et encore. Ses gros baisers mouillés déclenchaient des vagues de plaisir dans le corps de Rhonin, qui attendait fébrilement que son maître le prenne en bouche. Burydan poussa Rhonin pour qu'il se couche sur le lit, maintint la bite bien droite et avala son gland joufflu. Il commença à sucer son minet avec application, variant la cadence de ses hochements de tête et la profondeur de la fellation. Rhonin gémissait en caressant les cheveux de son maître. Burydan recracha la queue dégoulinante de salive et se jeta sur les couilles de son minet. Il les goba, les suçota et les lécha un long moment. Puis, il prit Rhonin par les genoux et lui fit relever les jambes. Il se mit à lécher son périnée puis sa langue slaloma dans la raie de son blondinet. Rhonin émit un petit hoquet quand il sentit la langue fouineuse de son maître s'attarder sur son œillet. La langue baveuse lissa les plis de son petit trou et se délecta de la chair rose tendre qui se cachait dessous, avant de l'écarter lentement et de pénétrer en lui. Allant et venant elle fit gémir Rhonin de plus belle. Burydan tartina de salive son majeur et, en quelques secondes, son doigt se retrouva bien au chaud. Le cul de Rhonin était vraiment brûlant. Allant et venant dans son petit minet, Burydan lécha de nouveau son périnée, ses couilles et reprit sa bite en bouche. Rhonin poussait des petits cris de plaisir. Burydan recracha de nouveau la queue de son esclave et retira ses doigts de son petit cul. Il regarda Rhonin qui était en transe. Il le prit par les aisselles et le jeta littéralement au milieu du lit comme s'il ne pesait rien. Il se débarrassa de son sous-vêtement, libérant enfin sa bite endolorie. Il se glissa entre les cuisses de Rhonin, se coucha de tout son long sur son esclave et l'embrassa à pleine bouche. Il frotta son érection contre celle de son minet et les deux bites se cajolèrent et se câlinèrent pendant que les deux corps ondulaient l'un contre l'autre. Burydan se redressa sur les genoux et cracha dans sa main en regardant son esclave dans les yeux. Il tartina sa bite d'une bonne couche de salive et s'allongea de nouveau sur Rhonin. Il se tortilla pour que sa bite soit pile à l'entrée de l'antre brûlant de son minet et le pénétra d'un lent mouvement régulier. Le cul de son esclave ne se rebiffa même pas et Rhonin émit un long feulement. Enfoncé jusqu'à la garde, Burydan resta ainsi un petit moment. Il sentit les cuisses de Rhonin s'enrouler autour de ses reins et ses talons appuyer sur ses fesses. Et Burydan commença à le limer lentement. Il allait et venait en lui en l'étouffant de baisers langoureux. Il accéléra le rythme et l’amplitude des ses va-et-vient. Il mit ses bras autour du cou de Rhonin et le pénétra aussi profondément que possible. Rhonin léchait son épaule et son cou en geignant et en disant : - Oh oui, maître... oh c'est bon... c'est trop bon... baisez moi, maître... baisez votre petit esclave... oh maître.. Burydan se laissa aller et se mit à pilonner son blondinet. Il sentit la main de Rhonin se glisser entre leurs deux ventres pour saisir sa queue. Burydan lui saisit les poignets et les épingla autour de la tête de son esclave. Burydan ralentit lentement sa cadence, revint à des coups de reins plus lents, puis repartit de plus belle, amenant de plus en plus son petit minet aux portes de l'orgasme. Il se basait sur ses cris pour retarder le plaisir ultime le plus longtemps possible. Rhonin était à deux doigts de jouir quand Burydan ressortit sa queue. - A quatre pattes esclave... Rhonin obéit. Burydan se mit à genoux dernière lui et le pénétra en le tenant par les hanches. Il le lima en accélérant régulièrement. Rhonin criait comme un perdu pendant que les couilles de Burydan giflaient son cul. Rhonin passa sa main sous son ventre pour attraper sa queue en feu, mais Burydan le poussa entre les omoplates. La tête enfoncé dans l'oreiller, l'esclave sentit son maître emprisonner ses poignets dans une de ses mains. - Oh oui maître ! Plus fort ! Encore plus fort ! Oh mes dieux ! Oui ! Oui ! Ouiii ! Burydan se coucha sur lui et donna une impulsion. Il se retrouvèrent en petite cuillère et Burydan ralentit ses coups de reins. Il mit un bras autour du torse de son minet, tint sa jambe écartée de l'autre et il le martela de plus en plus vite et de plus en plus fort, le forçant à tourner la tête pour l'embrasser à pleine bouche. De nouveau Rhonin voulu saisir sa bite et de nouveau Burydan l'en empêcha. Une douleur de frustration commença à faire gémir Rhonin. Il voulait jouir. Il voulait que son maître le laisse se branler, sinon ses bourses allaient exploser. Mais Burydan continua à le torturer, faisant refluer le plaisir à chaque fois. Et quand Rhonin tentait de saisir son sexe, il lui mettait une petite tape sur la main en disant : - Touche pas, c'est à moi ! Burydan, à genoux entre les cuisses de son minet l'empalait sur sa grosse queue, leur deux corps ruisselants de sueur exhalant une odeur de mâles en rut qui grisaient leurs sens. Burydan se coucha sur Rhonin qui pleurait presque de frustration. - Tu aimes, bébé, tu aimes ce que je te fais ? - Oh oui maître... - Vraiment ? - Oh oui maître... - Tu veux que je m'arrête encore ? - Oh non, maître... je vous en supplie... faites moi... faites moi jouir... - Tu es sûr ? - Oh oui maître... pitié... j'en peux plus... - Demande grâce... - Oh grâce maître... grâce... faites moi hurler de plaisir... Burydan sourit et l’embrassa. - Tant mieux, bébé, parce que là, de toute façon, je ne peux plus m'arrêter... Burydan se remit à genoux, martela son minet et commença à le masturber frénétiquement. Rhonin était tellement excité que quelques mouvements de poignet suffirent à le faire jouir. Et Burydan fut surpris de la quantité de sperme qui fusa de sa queue. Il se coucha de nouveau sur lui et le rejoignit au Tiantang en trois puissants coups de reins. Ils restèrent ainsi un long moment, savourant les répliques de leur orgasme, leurs corps collés l'un à l’autre par leur sueur et les abondantes giclées de foutre de Rhonin. Burydan déposa une kyrielle de bisous dans le cou de Rhonin et planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus. - Ça va ? - Oh, maître... jamais je n'ai jouit comme ça... j'ai cru que j'allais mourir de frustration... jamais je n'ai crié aussi fort... jamais mon sperme ne m'a semblé aussi brûlant... - Tu ne m'en veux pas trop de t'avoir torturé ainsi ? - Vous en vouloir... oh, maître, c'était... merveilleux... - Dans ce cas nous ferons l'amour ainsi tous les jours... Yeux exorbités, Rhonin le regarda... Et Burydan éclata de rire. - D’accord, de temps en temps seulement... petit joueur... Il lui donna un petit poutoune tout tendre et se coucha à côté de lui. Rhonin regarda le torse de son maître et le sien, tous deux maculés de son sperme. Il bondit sur ses pieds, alla jusqu'à la salle d'eau et en revint avec un linge humide pour débarbouiller son maître. Mais celui-ci retint son poignet et dit : - Lèche d'abord... Rhonin sourit. Il se rappela que, lors de leur première fois, chez dame Alduine, il lui avait ordonné la même chose. Rhonin lécha donc le torse de son maître, en insistant, évidemment, sur ses sublimes pectoraux. Il se remit à genoux et Burydan le saisit par les hanches en disant : - Viens... et son maître lécha son corps avec application, en insistant sur ses petits tétons roses. Enfin débarbouillés, Rhonin posa sa tête sur l'un des pecs de Burydan Ils se câlinèrent, se cajolèrent et se mignonèrent un long moment et ils s'endormirent, enlacés et heureux. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 24-01-2021 Putains trop chaud ??????????????? Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 25-01-2021 Douce torture, qui commence dès l’après-midi, à détailler le plaisir qu’il donnera à Rhonin… mais plus tard Amusant qu’après un moment (souvent court), plus grand monde ne croie que la garçon n’est que son page, mais ses yeux qui brillent trop et les sourires lubriques qd il regarde son grand mec, j’imagine : L’edging poussé trop loin peut devenir contre-productif, mais bien équilibré, et comme ici élevé au rang d’art, selon qu’on le provoque ou qu’on le subit, c’est un ego booster ou une frustration qui semble sans fin mais fait encore plus apprécier le plaisir 8) Encore un chapitre très… efficace, je fais plus que soupçonner une légère viscosité à l’orée de mon petit capuchon, moi aussi, merci-pas-merci, hein ! Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 02-02-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms les zamis. Merci mon rô minet, correction effectuée. Mon petit vicieux sohaibe, j'étais sûr que ça te plairait... Mon renardeau, c'est vrai que personne n'a de doute sur le véritable rôle de Rhonin. Page, esclave, jouet sexuel etc... mais Burydan s'en moque un peu, il apprécie un royaume où il n'a pas à se cacher s'il a envie d'enlacer, d'embrasser ou de prendre par la main son petit minet chéri... Quant au edging, mon blondinet et moi pratiquons ce genre de jeux de temps en temps... et ça n'a jamais été contre productif... Tout de suite la suite. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 02-02-2021 CHAPITRE CIX
''Cacohetes scribendi'' Burydan se réveilla avant l'aube. Il réussit à sortir de son lit sans réveiller son petit blond. Il le regarda. ''Bordel qu'il est trognon quand il dort'' se dit-il. Il sourit et pensa ''et qu'il est beau quand il est éveillé''. Il alla silencieusement s'asseoir à la petite table et sortit son journal. Il tailla son crayon et transcrivit l'horrible histoire que son petit minet lui avait raconté. Puis ses pensées face à cette atrocité. Et ses sentiments pour Rhonin. Lui qui s'était promis, après Raven, de ne plus jamais tomber amoureux, aimait un petit blond tout mignon. Lui, le viril Burydan, dont le seul nom faisait trembler les plus vils scélérats de tout Britania, complètement sous le charme d'un petit mec aux grands yeux bleus. Et le plus inconcevable c'est que, non seulement il n'en avait pas honte, mais même il adorait ça. Il aimait et ça le rendait heureux. ''Dois-je le lui dire ? Et si ce n'était pas réciproque ? Si je lui dis que je l'aime et qu'il ne répond rien ? Me laissant ainsi, vergogné... S'il n'est avec moi que parce qu'il n'a pas le choix ? Parce qu'il est mon esclave et que je suis son maître... qu'il m'appartient...'' Burydan était perdu. Il aimait Rhonin, ça il le sentait dans chaque fibre de son être, mais avait peur. Peur de ce que Rhonin pourrait lui répondre. Ou ne pas lui répondre. Physiquement, c'était l'osmose parfaite. Il prenait du plaisir avec son petit minet et le lui rendait bien. Mais une relation ne pouvait prendre ses fondations que sur le plaisir physique. Burydan n'aimait pas que le petit corps offert de Rhonin. Il aimait être avec lui, le regarder rire, s'étonner, rosir, rougir... le regarder... vivre en fait... Il reposa les yeux sur lui. Il avait repoussé les draps et exposait son petit corps à l'abandon. Et Burydan se mit à bander. Il chassa toutes ses pensées et se dit qu'il devait profiter de l'instant. Il y reviendrait dans quelques temps, mais pour le moment il avait envie de son petit minet. Il rangea son journal et se dirigea vers le lit. Il avait l'impression que sa bite durcissait, grossissait et s'érigeait à chaque pas. Il s'assit au bord du lit et tira complètement le drap. Il se plaça au bout le la couche et entreprit de léchouiller les mignons petits pieds de son blondinet. Rhonin sursauta. - Oh maître... - Désolé bébé, j'ai pas pu résister... tu veux que j'arrête ? - Par les dieux non... continuez... s'il vous plaît... Burydan s'occupa donc des petits petons de son blondinet puis remonta lentement le long de son corps, en baisers mouillés et en coups de langue. Ils se caressèrent un long moment et, tête bêche, se sucèrent avec application, rivalisant d'impétuosité pour faire gémir l'autre. Burydan partit le premier, inondant la bouche de Rhonin de sperme chaud dans un grand cri rauque. Rhonin le suivit, noyant la bouche de Burydan de foutre tiède. Ils se nettoyèrent d'une langue agile et s'embrassèrent langoureusement. Longue séance de caresses et de baisers brûlants. Ils se levèrent, se lavèrent, empaquetèrent leurs affaires et quittèrent l'auberge. Burydan s'arrêta dans les boutiques où il avait commandé des vêtements pour Rhonin pour changer l'adresse de livraison. Ils arrivèrent chez Dolf, remirent leurs chevaux au palefrenier et furent accueillis par le maître de maison et sa jolie épouse. - Voilà votre chambre, dit Dolf. Grande chambre qui donnait sur le jardin à l'arrière de la maison. Un grand lit, une armoire, une commode, une petite table avec deux chaises. A côté du lit, une paillasse avec un oreiller et un drap. - Cette paillasse est pour votre petit... page... dit Dolf. Burydan vit au petit sourire et au brillement de son œil que Dolf savait que Rhonin était un peu plus que son page, et que cette paillasse ne servirait sans doute pas souvent. - Vous avez votre propre salle d'eau et des commodités. - La grand merci à vous, Dolf. - De plus, reprit le maître de maison, cette chambre est éloignée des autres, vous pourrez donc y ''dormir'' tout votre saoul sans être dérangés par mes ronflements. Il entendit les guillemets à ''dormir'' et sourit. - Quant à moi, je ne ronfle pas. Je suis certain que nous ''dormirons'' très bien dans cette belle chambre... et, au pire, rajouta Burydan, je demanderai à Rhonin de mordre l'oreiller... Rhonin rougit, Dolf également, puis explosa d'un grand rire. Il redevint sérieux tout d’un coup et dit : - Peux-je vous demander une faveur, Burydan ? - Évidemment. - Pourriez vous être quelque peu... discret... avec votre petit page, veux-je dire... non que nous n'ayons quoi que ce soit contre ce genre de... complexion... mais j'ai peur que ma femme et ma fille soient troublées dans leur colombine innocence... - Ne vous inquiétez pas, Dolf, je vous promets de ne point lutiner Rhonin en dehors des murs de cette chambre... Dolf sourit et fit un petit signe de tête. - Très bien, je vous laisse vous installer. S'il vous faut quoi que ce soit, tirez sur ce cordon et la soubrette accourra. Vous pourrez rejoindre ma femme et ma fille au salon. Quant à moi, je vais de ce pas au palais pour voir mon frère. Je vais voir s'il peut quelque chose pour vous... - La grand merci à vous, Dolf. Dolf sortit et Burydan et Rhonin rangèrent leurs affaires. Burydan passa dans le dos de Rhonin et l'enlaça. - Dés cette nuit, bébé, nous étrennerons cette chambre et ce grand lit... - Très bien, maître... devrais-je mordre l'oreiller ? - Non, j'étoufferai tes cris de plaisir par des baisers brûlants... - Oh, chic alors... Burydan retourna Rhonin, l'enlaça tendrement et lui donna un long baiser profond. Il rejoignirent Esmée et Candela au salon. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 02-02-2021 Je souris de + en + souvent à la description de pratiques, disons… moins habituelles, je réalise qu’indifféremment de leur réalisabilité (ou de l’envie que j’en aurais) il y a différents degrés de plaisir dans leur lecture, c’est flagrant dans ton récit et un autre que je lis en parallèle sur Scribay entre – aux extrêmes – le léchage d’orteils et le bdsm soft, et sans que ça dépasse probablement jamais – respectivement - l’intérêt amusé un une étrange curiosité… : Leurs statuts croisés empêchent clairement d’éclaircir leurs sentiments l’un pour l’autre… Un adage dit que si l’on aime quelqu’un, il faut la/le laisser partir, s’iel revient, iel était à nous, sinon iel ne l’a jamais été. S’il 'libèrait' Rhonin de son état officiel d’esclave, il aurait p-ê la réponse… Les sous-entendus de leur hôte sont amusants, mais slmt justifiés si sa femme et sa fille sont les oies blanches qu’il imagine... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 04-02-2021 Mmmmmmmmm la suite va être ??????? Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 04-02-2021 Et c'est quoi sa pas faire de bruit moi je veux faire entendre tout l'hôtel Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 08-02-2021 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms mes petits chéris... Je sais mon renardeau que le léchouillage des orteils n'est pas ta came. Mais tu sais que c'est un gimmick dans mes récits. Le bdsm soft, on y viendra bientôt... irl j'ai toujours aimé ça... mais extrêmement soft... mais je dois avouer que un bandeau sur les yeux et menotté au lit... cette sensation de ne rien maitrisé, d'être complètement à la merci de mon blondinet... les bruits dont on essaie d'imaginer la provenance... les sens décuplé par la perte de la vue... Tout de suite, la suite. |