Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 08-04-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Belle fin de camp, entre la fierté du travail accompli et la nostalgie de la fin d’une époque puisque les scouts vont être divisés en plusieurs groupes. Mais aussi la perspective d’une vie plus sereine pour Phil, les autres l’ont accepté tel qu’il est et ont reconnu ses qualités, cela va lui redonner confiance en lui et en l’avenir. Et il va retrouver Ben qui lui a manqué. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 08-04-2021 (08-04-2021, 12:53 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui c'est une époque où les scouts s'activaient pour des projets d'utilité. Il y a aussi le changement, soit un peut de modernité, déjà dans les année 70. Séparer les plus jeunes des plus vieux est finalement une bonne idée. Avant les scouts étaient âgés de 12 ans pour les plus jeunes et de 17 ans pour les plus âgés. L'écart d'âge est assez grand et cela permet alors d'être dans une catégorie d'âge adaptée. Il en est de même dans le sport où les catégories d'âges doivent être respectées car les morphologies sont différentes de même que les aptitudes physiques. Il est certain que Phil ainsi que Ben seront plus à l'aise avec ceux qu'ils connaissent et qui les ont accepté. Phil est enfin reconnu pour ce qu'il est en faisant abstraction de son orientation sexuelle qui doit rester dans le domaine du privé! Phil va retrouver Ben pour lui annoncer le changement. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 08-04-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Très belle façon de finir le camp par des remerciements suite à la présentation du travail accompli. Phil lors de la réunion avec les chefs et les CP s'est vu octroyé le brevet scout. Il est applaudit par les gars de sa patrouille. Phil est donc reconnu pour son implication au niveau de la troupe. Phil sera prêt pour poursuivre chez les pionniers avec Ben à ses côtés. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 09-04-2021 (08-04-2021, 07:43 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui les scouts sont fiers du travail accompli. C'est pour eux important de voir qu'ils sont arrivés au bout de la tâche à laquelle ils étaient attelés. On sent aussi que Phil a été totalement accepté par les scouts de la troupe. Il s'est montré digne de la confiance qui lui a été donnée. Il obtient le "brevet scout", l'étape ultime de la vie d'un scout dans la troupe. C'est la preuve qu'il est digne de confiance et qu'il applique la loi scout au mieux. Merci Philippe de suivre le récit et à chaque fois de laisser un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 10-04-2021 TOME 5 : PARTAGE.
Chapitre 1. Le voyage de retour s’était très bien passé. Nous avions déjà discuté entre nous de ce que nous allions pouvoir faire aux Pionniers, sachant que pour cinq ou six d’entre nous ce serait notre dernier camp. C’est alors que Jean-Pierre est venu près de nous pour nous dire qu’en septembre les plus anciens allaient intégrer le clan, mais qu’il y avait une nouvelle section, section qui se nommait « JER », qui veut dire « Jeunes En Route ». Nous allions être en fait le relais entre les sections louveteaux, éclaireurs et pionniers d’une part et le clan d’autre part. Il y aurait des projets qui seraient mis sur pieds et certaines activités et formations à l’animation. Voilà nous étions déjà un peu plus au courant. A l’arrivée du train en gare à Bruxelles, nous nous étions rassemblés sur un des côté de la place. Un dernier rassemblement avait été organisé devant les parents et les familles. C’est lors ce rassemblement que les chefs de la troupe m’avaient appelé. Donc au milieu du carré, faisant face au staff de troupe, j’avais fait un salut scout impeccable. Puis c’est Bruno qui s’était dirigé vers moi. Il était très solennel, puis il me remettait le brevet scout. C’est l’ultime brevet montrant la connaissance et le respect de tous les principes scouts. Ce brevet mettait en fait un terme à l’évolution au sein de la troupe, étant arrivé à l’accomplissement complet de ma vie de scout au sein de la troupe. Toutes les personnes qui étaient présentes avaient applaudi. J’avais les yeux qui s’embrumaient, mais de larmes de joie. Je ressentais une très grande fierté et une énorme joie. Après les cris de patrouilles et les derniers saluts, nous avions rejoint nos familles. Maman était très heureuse pour moi, Jean lui aussi était fort ému. Moi de mon côté j’avais une large sourire qui en disait long sur mon état psychologique, j’étais enfin heureux. Nous étions rentrés à la maison. Il était déjà tard et papa allait rentrer, il avait été recherché Anne qui était en stage de basketball. J’avais dit à maman et à Jean que j’attendrais qu’ils soient rentés pour raconter ce que j’avais vécu à ce camp de Pâques. Maman préparait le souper. Pour me faire plaisir elle avait fait des frites maisons, soit des frites faites à partir de pommes de terre spéciales frites, précuites une première fois dans de la graisse de bœuf, avec une salade composée et bien entendu un steak. Jean avait aidé maman en épluchant les pommes de terre et en lavant la salade. J’avais de mon côté mis la table dans la salle à manger. J’avais demandé à maman s’il fallait mettre des verres à vin ou d’autres verres. La réponse a été : Mam : « Mon grand, tu peux mettre des verres à vin. Je croix qu’on a quelque chose à fêter ! Moi : Oui Maman, tu sais que ça me fait plaisir toute cette attention que vous m’accordez ! Mam : Mais Phil, c’est normal. Tu sais très bien que nous t’aimons tous et quand je vois que tu as un large sourire et que tu te sens bien mieux dans ta peau, ça me fais chaud au cœur. Moi : Merci Maman. Peux-tu me faire un gros câlin, je t’aime tellement ! Mam : Viens dans mes bras mon grand. » Maman m’avait fait un gros câlin. J’étais heureux d’être dans ses bras. Jean voyant le tableau s’était joint à nous pour me montrer que lui aussi m’aimait. Il m’aimait mon petit frère et lui aussi était heureux de me voir comme ça, radieux et plein de vie ! La porte d’entrée s’ouvrait, je savais que c’était Papa et Anne qui rentraient. C’est Anne qui la première m’avait sauté au cou. Elle me voyait radieux et elle m’avait donné des bisous sur les joues. Puis ce fut Papa qui était venu m’embrasser. Il m’avait lui aussi fait un gros câlin. Puis il m’avait dit : Papa :« Oh là mon grand, tu as l’air bien en forme et tout guilleret ! Je crois que tu as passé un très bon camp dans les fagnes ! Moi : Oui Papa, c’était super génial. Bon je vais vous expliquez, enfin si on a le temps Maman ! Mam : Oui Phil, on a le temps. Mais je propose que nous prenions l’apéro ensemble, en famille. Papa : C’est une excellente idée. D’autant plus que je pense que notre grand garçon a pas mal de chose à raconter. Jean : Oui, il n’a même rien dit, il voulait que nous soyons tous réunis pour nous raconter son camp. Moi : Oui, j’aime bien laisser un peu de suspens pour faire mousser ceux qui attendent que nous soyons tous réunis. Anne : Bon Phil, c’est bien beau, mais j’ai hâte de savoir comment ça s’est passé. Tu as l’air tellement heureux que ça me fait vraiment chaud au cœur. Allez mon frérot, on t’écoute ! » Je commençais donc la narration de cette épopée architecturale de cette construction de deux ponts et la vie des scouts durant ce camp hors du commun. J’avais donc raconté tout le camp. Du début à la fin, le travail de construction, le logement dans la grange, la salle de douche, les repas et la réception à l’issue de la réalisation des deux ponts. Je n’avais pas oublié de parler de ce que les chefs m’avaient dit, que j’avais l’étoffe d’un meneur, d’un chef de troupe. Puis il y avait la scission de la troupe en deux parties en fonction de l’âge. J’expliquais que j’allais être versé chez les pionniers dès la prochaine réunion. Puis à l’issue du grand camp que je serai alors durant un an dans le groupe JER. Puis il ne restait qu’une chose à raconter à Papa et à Anne, Maman et Jean savaient ce qui s’était passé, c’était le dernier rassemblement devant la gare. J’avais expliqué l’appel que Bruno avait fait à mon égard devant toute la troupe et les parents réunis. Je leur disais que j’avais été appelé et que j’avais reçu le brevet scout, brevet réservé aux meilleurs. Puis c’est mon frère adoré qui avait pris la parole : Jean : « J’étais très ému et très heureux pour toi Phil. J’avais les larmes aux yeux. Si tu savais comme je suis content pour toi ! A ses mots, des larmes coulaient sur les joues empourprées de mon frère. Il avait été si ému de voir comment j’avais été si bien traité et accepté par les scouts. J’avais été enlacé mon frère en le remerciant. Papa : Allez mes garçons, venez près de moi. Si vous saviez comme je suis fier de vous. Vous êtes deux frères qui vous aimez très fort. C’est la même chose pour votre sœur. Vous êtes unis comme les doigts d’une main, vous vous soutenez les uns les autres. Cela nous comble de joie votre maman et moi. Mam : Bon, je propose que nous passions à table pour manger. Il se fait tard et j’ai faim. Moi : Moi aussi j’ai faim. Qui veut un bon steak frites - salade ? » Nous nous étions tous mis à rire de bon cœur. Et on pouvait entendre « moi, moi ! » Le repas s’était très bien passé. Nous avions mangé de bon appétit, il faut dire que j’avais faim. Cette aventure de construction de deux ponts avait eu raison de ma force, j’étais assez fatigué. Nous parlions de choses et d’autres. Papa me demandait des renseignements sur la façon dont nous nous y étions pris pour la construction des ponts etc. Anne de son côté voulait savoir comment les autres scouts avaient réagi lorsque j’avais été proposé au brevet scout. Jean lui voulait savoir si j’avais été épargné par les scouts au sujet de ma sexualité. Bref chaque membre de la famille avait envie d’en savoir plus sur ce que j’avais vécu lors de ce camp de Pâques. A l’issue du souper j’avais téléphoné à Benoît pour savoir comment il allait, s’il était soigné et savoir si nous pouvions nous voir. Il restait encore une semaine de congé et nous pouvions en profiter. Ben allait déjà mieux. Je lui avais dit que je voulais lui parler du camp et de ce qui s’était passé. J’avais envie de le voir très vite, mais je devais attendre deux jours, car il partait avec sa famille en visite chez une tante en province. Nous nous étions donné rendez-vous pour le lundi vers 10 heures chez lui. J’avais hâte d’être le lundi matin pour retrouver Benoît. Durant le week-end j’étais allé dire un petit bonjour à Mamy et Papy. Ils étaient heureux de me voir. J’avais donc pu aussi leur raconter mon camp. Le week-end étant enfin terminé, j’étais allé me coucher assez tôt en vue d’être en forme pour retrouver Benoît. Je l’avais contacté en vue voir ce que nous allions faire et il avait été décidé d’aller à la patinoire faire du patin à glace. Mon réveil avait été réglé sur huit heures, nous étions en vacances et je n’avais pas envie non plus de me lever trop tôt. J’avais avalé mon petit déjeuner et je m’étais préparé pour aller chez Benoît. J’avais un sac car j’étais certain que j’allais loger chez lui une ou même deux nuits. J’étais arrivé chez lui assez tôt, soit vers neuf heures vingt. J’étais tellement pressé de le revoir. Ben venait de se lever et il déjeunait avec Arlette, sa maman, et sa sœur Christine. J’avais été invité à me joindre à eux pour prendre une tasse de chocolat chaud. Avant cela j’avais bien entendu été embrassé mon amour de Ben. Nous nous étions étreints très chaleureusement, cela faisait une bonne semaine que nous ne nous étions plus vus. Ben avait trouvé que j’étais bien épanoui, que j’avais du pep et que ma mine était déjà un peu halée. C’était surement le séjour dans les fagnes pour la construction des ponts, soit d’être au grand air toute la journée. Une fois le petit déjeuner terminé, Ben m’avait fait monter dans sa chambre. Nous nous étions assis sur son lit et nous nous étions embrassés avec fougue, nos bouches s’étaient enfin retrouvées, elles s’étaient ouvertes et nos langues étaient alors entrer dans la danse. Nous nous embrassions goulument presque à en perdre haleine. Puis au bout de cinq minutes, malgré la bosse dans nos slips, nous nous étions contentés de nous caresser les cheveux et la figure. Mon Ben avait toujours sa chevelure blonde, une chevelure d’un ange venu d’un pays où il fait toujours beau. (Du moins c’est ce que je croyais, tellement mon amoureux était beau.). Ses cheveux étaient encore relativement soyeux, mais cela n’allait pas durer, car avec l’âge la texture de ceux-ci allait quelque peu changer, ils allaient devenir un peu plus épais et donc un peu moins soyeux. Puis ayant enfin fini nos retrouvailles, j’avais pris un air un peu plus sérieux et j’avais raconté à Ben le déroulement du camp, sans omettre aucun détail, même la branlette dans le sac de couchage. Puis j’avais expliqué que j’avais reçu le brevet scout et bien entendu je lui avais dit que j’aurais bien aimé qu’il fut lui aussi présent lors ce camp. J’avais bien vu que Ben faisait la moue. Puis s’étant repris il m’avait enlacé pour me féliciter. Je savais que Ben s’attendait lui aussi à recevoir le brevet scout, mais comme il n’était pas présent au camp, il n’avait donc pas pu être évalué et donc de ce fait avoir ce brevet. Puis ayant pris une nouvelle fois un ton très sérieux, je lui avais expliqué les changements qui allaient être opérés à la reprise après les vacances de Pâques. La troupe allait être scindée en deux troupes, l’une, la troupe éclaireur et l’autre, la troupe pionnier. Ben ouvrait de grands yeux, il en avait entendu parler, mais il pensait que cela se serait fait en septembre, mais si tôt. Puis j’avais parlé de la suite, c’est-à-dire de l’année JER (Jeunes En Route). J’avais expliqué à ben ce qu’il allait en advenir des scouts qui voulaient poursuivre. Certains d’entre eux après un an de JER et en fonction des formations suivies, pouvaient alors devenir chef dans les sections, louveteaux, éclaireurs ou pionniers. Ben savait donc que dans quinze jours, soit pour la réunion de reprise, nous allions être des « pionniers ». Puis bien vite, soit en septembre, nous serions alors dans notre année de JER. Cela allait quelque peu changer nos habitudes. Puis nous ne savions pas trop ce que notre orientation sexuelle allait avoir comme incidences aux pionniers et ensuite au JER. Nous n’y avions jamais pensé. Nous étions très bien acceptés aux scouts (12 – 17) et nous ne savions pas si ce serait la même chose par la suite. Ben ayant regardé sa montre, il m’avait proposé de faire quelques parties de cartes avant de dîner. Nous irions faire du patin à glace l’après-midi. Le temps était passé assez vite. Nous nous étions proposés à mettre la table, ce qu’Arlette avait bien entendu accepté. Nous avions mangé du pain avec de la charcuterie et du fromage, nous allions manger au soir. Ben m’avait dit qu’il avertirait ses parents lors du repas du soir sur les changements qui allaient se faire au niveau des scouts. Arlette m’avait d’ailleurs prévenu que je pouvais rester loger deux nuits si je voulais ; j’avais bien sûr accepté bien volontiers, Ben étant lui aussi très ravi de cette proposition. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 10-04-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. C’est le retour à la maison après la fin du camp, Phil est accueilli par sa famille qui est fière de lui, il a un bon souper. Il manquait Ben, je pense qu’il devait encore se reposer après sa maladie et il n’aurait peut-être pas voulu venir à la gare pour ne pas attirer l’attention sur leur relation. Les deux amis se retrouvent le lundi matin et se préparent à passer quelques jours ensemble. Phil peut raconter le déroulement du camp en n’omettant aucun détail et expliquer à Ben tous les changements à venir. Je te souhaite un bon week-end et t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 10-04-2021 (10-04-2021, 05:13 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui le retour du camp se clôture par la remise officielle du "Brevet Scout" à Phil, devant toute la troupe réunie et également devant les parents! Ben n'est pas là, mais Phil le reverra plus tard, soit dans un jour ou deux. Phil a droit à un très bon souper. Il raconte son camp à sa famille. Les deux garçons se retrouvent et parlent de leurs prochaines activités. Bien entendu Phil raconte à son chéri tout ce qui s'est passé durant ce camp. Il n'omet pas les transformations au niveau de la troupe. Merci Daniel de suivre le récit et à chaque fois de laisser un commentaire! Très bon week-end à toi aussi! Je t’embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 11-04-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Très belle suite. C'est une surprise pour tous les scouts et les familles rassemblées à l'issue de ce camp de Pâques. En effet c'est la remise à Phil du brevet scout, ultime brevet dans la vie d'un scout. En sent que Phil est bien mieux dans sa peau. Il sait qu'il est totalement intégré dans la troupe et qu'il est apprécié à sa juste valeur. Phil retrouve son chéri pour l'embrasser mais aussi pour lui donner les détails du camp et des changements à venir au niveau de l'unité et plus précisément au niveau d la troupe. Merci Philou pour ton super récit. Bon dimanche Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-04-2021 (11-04-2021, 09:52 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Très beau résumé de cette suite. Rien à ajouter. Oui Phil se sent mieux dans sa peau. Ce camp de Pâques a été pour lui le moyen de relativisé et d'aller de l'avant. Il s'est investi dans la construction des deux ponts avec toute la troupe. Il sait qu'il a été accepté mais aussi apprécié pour ce qu'il était, soit un scout qui se donne à fond pour les autres, pour la troupe. Merci Philippe de suivre le récit et de chaque laisser un commentaire. Bon Dimanche! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-04-2021 C’est juste avant de quitter la maison que Ben avait fait une proposition, c’est d’inviter Jean et sa sœur Christine à venir avec nous patiner. J’avais bien sûr accepté. J’avais téléphoné à la maison et maman avait décroché. Je lui avais fait part de la proposition d’inviter Jean à faire du patin à glace avec nous. Puis Maman m’a dit qu’Anne était revenue et qu’elle ne savait que faire cette après-midi. Je lui avais qu’elle était elle aussi la bienvenue. J’en avais fait part à Ben qui avait approuvé. Nous allions être cinq pour nous amuser sur la glace de la patinoire de Forest. Nous nous étions donné rendez-vous devant les portes de la patinoire. Nous étions les premiers, Benoît, Christine et moi. C’est ensuite ma sœur et mon frère qui étaient arrivés. Nous étions entrés ensembles. Nous avions eu des entrées « groupe », nous avions dit être de la même famille. Une fois les patins placés aux pieds, nous nous étions élancés sur la glace. Il n’y avait pas trop de monde, nous pouvions donc patiner sans soucis. Les filles étaient entre elles, elles préparaient des figures avec des pirouettes etc. Nous les garçons, de notre côté, nous faisions des concours pour celui qui allait le plus vite. Bref nous avions passés une excellente après-midi entre nous. C’est vers dix-sept heures que nous avions repris nos chaussures pour sortir de la patinoire. Les filles s’étaient arrangées entre elles et Anne avait invité Christine à la maison pour la soirée et pour rester loger. Jean savait très bien que j’allais loger chez Benoît et bien entendu que nous allions en profiter pour nous faire des câlins. Il avait donc suivi les filles pour rentrer à la maison. Benoît et moi avions repris un tram pour revenir chez lui. Dans ce transport en commun nous avions l’habitude de voyager, il est vrai que si nous avions un abonnement, nous pouvions avoir accès au réseau complet de trams et de bus, nous en profitions pour aller de temps en temps au centre-ville. C’est d’ailleurs au centre-ville que j’avais constitué ma collection de disques des Beatles ! Une fois arrivés chez Ben, c’est Arlette qui nous avait accueillis. Elle voyait que nous étions très heureux, nous avions le sourire aux lèvres. Elle été contente de voir que Benoît avait retrouvé la pêche. Elle nous avait demandé ce que nous voulions manger pour le souper. Je ne savais pas quoi répondre. Puis c’est Ben qui avait dit à sa maman : Ben : « Et si nous mangions un bon steak ! Arl : Je ne sais pas si j’en ai au congélateur ! Moi : Si non, je vais avec Ben chercher de l’américain nature et nous ferons un américain préparé avec des frites et de la salade et des tomates ! Ben : Mais c’est une bonne idée ! Arl : Oui Phil, c’est une excellente idée. Bon les garçons, je vous propose d’aller chez le boucher du quartier et vous prenez environ 800 grammes d’américain nature. Puis si vous voulez, prenez aussi du boudin blanc pour manger à l’apéro. Tiens Ben voici un peu d’argent. Ben : Merci maman, nous y allons de ce pas ! Moi : OK, super. On y va ! » Nous étions en route vers la boucherie. Durant le trajet je faisais part de mes appréhensions d’avoir Gabriel avec nous aux pionniers. Ben m’avait rassuré en me disant qu’il était avec moi et que s’il y avait le moindre problème qu’il interviendrait. J’étais à moitié rassuré. Une fois nos achats effectués, nous étions rentrés chez Ben. Nous avions préparé la table. Nous avions aidé Arlette à faire les frites maisons. C’est vrai que j’adorais les frites faites à la main aux frites industrielles. Ben était lui aussi d’accord avec moi. Yves venait juste de rentrer de son travail. Il était venu salué Arlette en premier, ce qui était tout à fait normal, puis il était venu nous saluer Ben et moi. Yves avait trouvé que j’étais quelque peu transformé, il me trouvait plus sûr de moi. Il avait demandé à Ben d’aller chercher une bouteille de vin dans la cave. Puis en me regardant il me disait : Yves : « Tu sais que je suis fier de toi. Ben m’a dit que tu avais passé un très bon camp. J’espère que nous en parlerons durant l’apéro. Moi : Merci, oui j’ai passé un très bon camp, mais c’est dommage que Ben ait été malade, car je pense qu’il avait très envie d’y participer ! Yves : Je sais Phil, mais bon, on ne sait rien y changer. Moi : Je pense que je vais tout faire pour que cela se passe au mieux pour la suite de notre vie scoute. J’en dirais un mot tantôt. Yves : Je n’en doute pas Phil, je sais que tu aimes Benoît et je sais qu’il t’aime, alors je suis certain que ce que tu ferras pour lui ce sera au mieux de ses intérêts ! Moi : Mais justement mon intention, c’est de le rendre heureux. Yves : Je le sais Phil. Tu sais que je t’adore, tu es comme mon fils, comme mon second fils ! Ben : Alors on a parlé de moi derrière mon dos ! Moi : Mais non Ben, c’est juste ton papa qui me posait des questions.» Ben : Oui c’est cela !!! Yves : Tu sais Benoît, Phil est très gentil, je suis certain qu’il n’aura jamais de mauvaises intentions vis-à-vis de toi ! Ben : Mais je le sais papa. Si tu savais comme je l’aime mon Philou ! » Bon, assez plaisanté, je propose que nous prenions l’apéro. Ben va chercher ta maman, moi je prépare les verres et le mousseux. » Voilà, nous étions tous ensembles autour de la table de salon. Un bon verre de mousseux et quelques chips en guise d’apéro. Puis je savais qu’Arlette et Yves mourraient d’envie de connaître le déroulement du camp de Pâques. J’avais alors dit à Ben que j’allais tout raconter, comme cela il n’y avait pas de mal entendu. Une fois assis dans le divan avec Ben à mes côtés, j’avais raconté ce qui s’était passé au camp, la construction des ponts, le logement dans la grange, les douches, les repas et la réception donnée par les autorités. Puis il y avait eu les explications concernant la scission de la troupe. C’est Yves qui était le plus embarrassé, je voyais qu’il se posait des questions sans vouloir en dire plus. Puis c’est Benoît qui avait lui aussi remarqué l’embarras de son papa. Je voyais bien que Benoît était un peu déboussolé par l’attitude de son papa. J’avais alors pris la parole : Moi : « Yves, je vois que tu te poses des questions ! Yves : Oui Phil, je vois que tu es très attentif et j’ai vu que Ben lui aussi avait vu que je n’étais pas très en accord, j’étais très pensif ! C’est que je me demande comment cela va se passer pour vous deux ! Moi : Tu sais Yves, nous allons voir comment cela va évoluer. C’est Jean-Pierre qui sera le chef de troupe de pionniers, alors je suis certain que cela va bien se passer. Ben : Oui papa, Phil a raison, nous en saurons plus lors de la prochaine réunion. Yves : Oui, je veux bien, mais il reste le scout, je ne sais plus son prénom, celui qui avait révélé au copain de classe de Phil que Phil était gay ! Moi : C’est Gabriel. Je sais Yves, nous en avons parlé Ben et moi. Je verrai bien comment ça va se passer. Je sais que Jean-Pierre sera là pour nous. Yves : J’espère pour toi Phil. Tu sais combien je souhaite que cela se passe au mieux pour vous deux et aussi, principalement pour toi ! Tu sais que je t’aime comme si tu étais mon second fils ! Ben : Arrête papa, Phil le sait très bien, il a seulement besoin d’avoir confiance en l’avenir. Puis je serai avec lui et je saurai très bien le protéger car moi aussi je tiens à lui, et tu le sais ! Yves : Oui tu as raison Ben. Excuse-moi Phil, mais tu sais bien que je tiens à toi ! Moi : Merci Yves, mais ça devait très bien se passer. Je sais très bien que je suis bien accepté dans la famille et j’en suis le premier très heureux. Il faut que je puisse aussi savoir me défendre et pour cela je t’assure j’ai pris du poil de la bête ! Yves : Je suis très heureux de te l’entendre dire. S’il y a le moindre problème, tu sais que je suis là. Moi : Oui je le sais. Merci Yves, je t’aime aussi comme mon second père ! Ben : Arrête Phil, tu vas nous faire pleurer. Je sais que mon papa t’aime, que toute la famille nous aime. Bon viens me donner un gros bisous mon Philou d’amour ! » Ben était venu vers moi et nous nous sommes embrassés devant ses parents. Nous étions heureux et de plus sur la même longueur d’onde. Je pouvais être très heureux de mon côté, d’être ainsi aimé et choyé par les parents de mon amour ! Nous avions presque terminé l’apéro quand Yves m’avait demandé de l’accompagner pour prendre une bouteille de vin au cellier. Arlette avait demandé à Benoît de lui donner un coup de main dans cuisine. Lorsque j’étais avec Yves au cellier, je lui ai signalé que j’avais pris contact avec Bruno le chef de troupe en vue de savoir si Benoît pouvait prétendre lui aussi à recevoir le brevet scout. Bruno m’avait signalé qu’il en avait parlé avec les autres chefs et que c’était prévu. Yves semblait très heureux d’apprendre cela. J’avais ajouté que cela devait rester pour Ben une surprise. Puis Yves m’avait glissé à l’oreille qu’il me reconnaissait bien là comme ami et toujours soucieux des autres. Il m’avait donné un bisou sur le front et nous étions remontés comme de rien n’était ! Une fois passés à table nous avions poursuivi en discutant de tout et de rien. J’étais content qu’on ne parle plus de Gabriel. Il restait une petite semaine pour en profiter avant de reprendre les cours et les réunions chez les scouts, ou plus tôt chez les pionniers ! Nous mangions de bon appétit, les frites étaient excellentes, elles avaient été précuites à la graisse de bœuf et ensuite repassée dans cette même graisse, ce qui leur donnaient ce gout si caractéristique. Le filet américain avait été préparé minute par Arlette et Ben lorsque j’étais avec Yves occupé à chercher du vin ! Le vin choisi par Yves était lui aussi délicieux, bref nous étions très heureux de ce repas que nous avions choisi Ben et moi ! Nous avions débarrassé la table et mis la vaisselle dans le lave-vaisselle pour donner un coup de main à Arlette. Ensuite nous avions regardé la télévision en famille. La soirée s’annonçait assez calme mais honnêtement j’attendais qu’il soit l’heure d’aller dormir, enfin dormir était pour moi un terme qui n’aurait peut-être pas le sens attendu par les parents de Ben ! Nous étions montés à l’étage et sur le palier Benoît m’avait saisi par la taille. Il avait plaqué ensuite ses mains sur mes fesses. Puis j’avais rapproché mes lèvres des siennes, nos bouches se touchaient, nos lèvres se faisaient plus hardies et puis elles s’étaient enfin ouvertes pour laisser nos langues entrer dans la danse. Nous étions comme entrés dans un cocon d’où nous n’avions plus de notion du temps et de ce qui se passait autour de nous. Nous nous étions retrouvés, nous nous cajolions. Je sentais déjà que nos sexes étaient nettement plus proéminents qu’il y avait quelques minutes. Benoît desserrait alors l’étreinte et me prenait par la main pour rentrer dans sa chambre. Une fois la porte fermée nous avions repris notre baiser où nous l’avions laissé. Nous langues dansaient, elles se taquinaient et se tournaient l’une autour de l’autre. Nous étions très heureux. J’avais ensuite commencé à défaire les boutons de la chemise de Ben. Lui aussi de son côté fit de même, mais assez vite. J’avais convaincu Ben d’y aller doucement, que nous avions le temps de profiter de chaque instant. Je défaisais ensuite la ceinture du pantalon de mon amour, tandis qu’il calquait se mouvements sur les miens. Une fois torse nu, je m’étais attaché à baisser le pantalon après avoir défait la braguette. Je pouvais sentir le vit de Ben déjà très tendu. Ben en profitait aussi pour s’attaquer à mon pantalon, au passage il avait passé sa main sur la bosse bien développée qui ornait l’avant de mon slip. Une fois en slips et toujours en chaussettes, nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nos sexes avaient encore pris plus d’ampleur. Déjà une tache d’humidité auréolait le devant de notre slip. Nous étions bien entendu très excités par ce déshabillage très lent et assez lascif. Une fois assis sur le lit de Ben, j’avais ôté ses chaussettes, de son côté, il fit de même. Nous nous étions couchés sur le lit, nos mains caressaient nos corps avec volupté, elles s’attardaient au niveau de nos pectoraux, de nos épaules et du dos. Puis elles se posaient sur les fesses encore couvertes de ce mince tissu qu’offrait le slip. Puis c’étaient nos langues qui avaient repris du service, elles passaient de nos bouches vers le cou, le tétons, et le haut du buste. Elles se faisaient de la concurrence, elles allaient jusque sous les aisselles, elles descendaient ensuite vers le nombril de l’être tant désiré. Puis, une fois à proximité de nos attributs bandés, elles parcouraient le vit bandé au travers du tissu du slip. Puis nos mains s’étaient elles aussi attaquées à ce tissu pour pouvoir enfin libérer nos bites gorgées de sang. Le gland de nos sexes était très humide, il n’attendait qu’une chose c’est que nous nous occupions de lui. Puis tête bêche nous avions commencé à lécher la barre de chair de notre amour. Puis comme par magie, nos bouches avaient pris le relais. Nous pouvions gouter au sexe de l’être aimé. Nous étions partis dans une fellation tout en délicatesse et en douceur. Il était important de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il était hors de question d’aller trop vite pour arriver à une relation emprunte de bestialité. Raison pour laquelle nous voulions rester dans un cocon où nous étions nous deux, hors du temps et de toute pression extérieure. Je salivais et de ce coup la queue de Ben coulissait d’autant mieux entre mes lèvres qui l’enserraient. Je sentais que Ben s’appliquait lui aussi à donner le plus de sensations, mais des sensations à chaque fois remplies de douceur et aussi de fermeté. Je commençais à sentir que ma sève allait bientôt monter dans ma verge dressée et bien au chaude dans la bouche de Ben. De son côté Ben commençait lui aussi à gémir, il devait lui aussi se trouver près de l’extase. Nous poursuivions langoureusement cette fellation en vue de nous donner un maximum de plaisir. Étant arrivé à un point de non-retour, Ben s’en était aperçut et s’était préparé à recevoir ma semence. Je pensais qu’il allait laisser ma queue sortir de sa bouche, mais dès le premier jet, il s’était arrangé pour qu’elle reste en entre ses lèvres, il avait quand même laissé mon sexe sortir après le troisième jet pour que j’inondasse son menton et sa figure ! Ben lui aussi était arrivé à la tension maximum, et j’avais fait comme lui, j’avais gardé son membre viril dans ma bouche et j’avais senti au moins six jets de sperme inonder mon palais. Je m’étais alors couché aux côtés de Ben et nous avions alors ensuite échangé un baiser avec son sperme et une partie du mien. Je devais avouer que je trouvais que la semence de Ben avait très bon gout, et puis avec la mienne mêlée, j’adorais. Nous étions restés ainsi sans bouger, le temps de redescendre de notre petit nuage. Nous avions joui comme jamais. Nous étions franchement à l’unisson, en harmonie, sur la même longueur d’onde. Ce n’est que près de dix minutes plus tard que nous étions enfin revenus sur « terre ». Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 13-04-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Phil est maintenant bien accepté par les parents de Ben et se sent très bien chez eux, c’est comme une seconde famille. Quelques inquiétudes au sujet de la réorganisation des scouts, mais Phil a plus confiance en lui et saura se défendre. Phil et Ben sont patients, ils regardent sagement la télévision en famille jusqu’à l’heure du coucher, avant de jouer à des jeux pour grandes personnes, ils ont découvert toutes les possibilités de leurs attributs… Je t’embrasse. Daniel Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 13-04-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Belle suite. Phil et Ben organise une sortie patinoire. De retour chez Ben les deux garçons restent avec la famille et regardent la télévision tous ensemble. Après cette soirée, ils vont se coucher. Ils en profitent pour se donner du plaisir. On sent que Phil a de plus en plus confiance en lui. Le changement au niveau des scouts sera peut-être une bonne chose pour lui et Ben. Merci pour ton récit. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-04-2021 (13-04-2021, 06:32 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil est très bien accepté par la famille et les parents de Ben. C'est comme sa seconde famille. Phil est quelque peu inquiet concernant la restructuration lancée au niveau des scouts. Il est certain que Phil et Ben trouveront leur place dans cette nouvelle organisation. Les deux garçons restent au salon et passent la soirée en famille. Il est temps ensuite d'être plus "sexe" et de passer à la partie pratique de la rencontre entre deux hommes! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-04-2021 (13-04-2021, 07:55 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé de cette suite. Patinoire, accueil dans la famille de Ben, discussions concernant la nouvelle organisation des sections de l'unité scoute, repas et soirée en famille. Puis c'est "tabou", c'est "privé", c'est le moment tendresse et sensuel pris par les deux garçons. Laissons les s'aimer! Merci Philippe de suivre et de laisser à chaque fois un commentaire au récit. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 15-04-2021 Après avoir repris nos esprits nous étions allés prendre une bonne douche. Nous étions heureux de nous être retrouvés. L’eau bien chaude qui coulait sur nos corps semblait quelque peu poursuivre les bien faits que notre relation pouvait avoir sur notre moral et notre bonheur. Nous nous étions ensuite essuyés avant de regagner, nus, la chambre de Ben. Sur le palier nous avions croisé Yves et Arlette qui eux aussi allaient dans leur chambre. C’est Yves qui nous avait fait un clin d’œil tandis que Arlette avait dit : Arl : « Alors les jeunes, la vie est belle ! N’oubliez pas de vous reposer. Ben : Merci maman, oui la vie est belle pour nous ! Yve : Bonne nuit les amoureux. Moi : Merci. Bonne nuit à vous aussi. Ben : Bonne nuit ! Nous étions rentés dans la chambre et Ben me disait : Ben : Tu as vu comme mon père avait l’air ravi, il a fait un clin d’œil, on dirait qu’il savait que nous avons pris du bon temps à deux avant la douche ! Moi : Oui Ben, ton père est incroyable. Il est super compréhensif. J’allais oublier, ta maman aussi est très gentille avec nous. Ben : Oui Phil, mais tu sais que tes parents eux aussi sont super pour nous. Je crois que nous avons tous les deux des familles formidables. Nous nous devons d’être alors à la hauteur. Moi : Tu as raison Ben, nous devons tout faire pour qu’ils soient contents de nous et nous devons rester attentif à ne pas les décevoir, ils nous ont fait confiance et nous ne devons en aucun cas leur causer le moindre souci. Tu sais que j’ai déjà eu l’occasion de leur en causer bien malgré moi, il ne faut plus que cela arrive. Ben : Je sais Phil, mais à deux nous sommes plus fort. Tu sais que je t’aime et moi je sais aussi que tu m’aimes, alors notre amour sera pour nous une source de bonheur et de force. Moi : Merci Ben, oui je t’aime et je sais que c’est la même chose pour toi. Allez, vient dans mes bras ! » Nous nous étions serrés l’un contre l’autre, nous nous comprenions et nous savions que la vie ne pouvait plus que nous sourire et nous apporter encore plus de bonheur. J’étais très heureux dans les bras de mon ami, de mon amour. Ben lui-même semblait très heureux. Puis Ben s’était reculé un peu pour pouvoir poser ses lèvres sur les miennes. Nous nous faisions de petits bisous répétés. Puis en regardant Ben dans les yeux, j’avais ouvert doucement la bouche pour que ma langue puisse rejoindre la sienne. Ben avait compris et voilà que nos langues partaient dans une folle farandole. J’avais les yeux mi-clos et je savourais ce moment. Une fois notre chaud baiser terminé, j’avais fait un pas en arrière et en prenant les deux mains de Ben dans les miennes, je regardais le visage de mon amour. Il était beau mon Ben avec ses cheveux mi-longs, blond comme les blés, avec ses yeux bleu intenses, ses pommettes toujours un peu rosées et sa belle bouche aux lèvres appétissantes. Je fixais cette image dans mon esprit pour toujours. Ben se demandait ce qui se passait, mais il ne disait rien. Puis je voyais au travers ce visage, l’âme d’une très belle personne. Cette personne c’était Ben qui avait su m’aimer, qui m’avait accepté avec mes défauts, Ben qui était mon âme sœur, il était ce que j’avais de plus précieux au monde. Puis inondé par tous ces sentiments mêlés, deux larmes coulaient sur mes joues. Ben me fixa alors en me regardant dans les yeux. Il me dit alors : Ben : « Oui Phil, oui tu es et tu resteras mon amour. Je ressens la même chose que toi, tu es mon âme sœur, tu es ce que j’ai de plus beau dans la vie. Moi : Je t’aime. » Des larmes coulaient aussi sur les joues de Ben. Nous pleurions de bonheur, nous savourions notre union, notre vie qui commençait. Nous étions revenus sur ce nuage que nous avions quitté peu avant, et nous ressentions quelque chose de plus physique, quelque chose de plus fort, de plus intense, en fait de plus spirituel. Nous étions à l’unisson, nos esprits avaient compris que nous étions faits l’un pour l’autre. J’avais séché les larmes de Ben avec mes pouces, Ben fit alors de même. Nous nous étions une nouvelle fois enlacés, sans dire un mot. J’avais remarqué que de plus en plus nous nous comprenions sans échanger aucun mot. Ben m’avait pris par la main pour me conduire sur son lit. Nous nous étions alors couchés dans les bras l’un de l’autre pour nous endormir, heureux et comblés. Nous allions passer une nouvelle nuit ensemble. Allions nous rêver ? Ou alors allions-nous penser à ce que nous avions déjà vécu ensemble ? Aurions-nous d’autres pensées, des idées un peu plus farfelues ? Nous avions rejoint le pays des rêves dans les bras de l’être aimé ! Le lendemain matin j’avais le large sourire angélique de Benoît comme première vision. Il m’avait regarder dormir les dernières minutes. Je lui avais également répondu par un sourire pleine de tendresse. Nous nous étions alors embrassés, toujours heureux d’être ensemble. Le petit-déjeuner s’était très bien passé. Arlette était présente dans la cuisine tandis que Yves était déjà parti au travail. Après avoir fait un bisou à Arlette, nous nous étions assis à la table qui était déjà dressée. Nous avions droit à des tartines de pain, une petite brioche, un yaourt aux fruits, du jus d’orange et du café ou du chocolat chaud, au choix ! C’était une table de petit-déjeuner super sympathique. Arlette quant à elle, prenait son café du matin à son aise. Elle s’était assise près de nous et nous discutions d’un peu de tout. Nous avions parlé des activités envisagées pour la journée, sachant que je logeais encore une nuit avec eux. Bref le planning était fixé. Nous étions allés faire des achats pour les prochains repas avec Arlette. Puis nous avions pris nos vélos pour nous balader dans le quartier. En passant devant la maison de Marie, nous avions pu voir qu’elle était déjà rentrée de vacances, elle était occupée à nettoyer les parterres situés sur le devant de la maison. Nous nous étions arrêtés en vue de la saluer et de parler avec elle. Elle semblait heureuse elle aussi. Elle avait passé une semaine avec Isabelle au bord de la mer. Je lui avais expliqué le déroulement du camp, sans Benoît et ensuite que j’étais chez lui pour deux jours. Bref, mon amie, ma confidente allait bien et elle était visiblement très heureuse. Nous avions poursuivi notre balade jusqu’à midi. Une fois de retour chez Benoît nous avions dressé la table pour le dîner. Il y avait du pain, du fromage et de la charcuterie, le tout avec des salades vertes ou de tomates. Bref le reste de l’après-midi s’était très bien passé. Nous étions allés à la piscine et ensuite nous avions regardé des bandes dessinées dans la chambre de Ben. Le soir, le souper était à nouveau succulent, Arlette était un très bon cordon bleu. Yves était de bonne humeur, sa journée de travail s’était bien passée. Il racontait quelques blagues. Le repas terminé, Yves nous demandait si une séance de cinéma nous intéresserait ! Ben et moi avions bien entendu accepté avec enthousiasme. C’est en famille que nous étions allés voir le film « Le Parrain » de Francis Ford Coppola. Quel film assez violent par moment avec des scènes de tir à la mitraillette fort bien rendues. Nous avions apprécié ce bon moment au ciné, les parents de Ben étaient heureux eux aussi de nous voir avec le sourire aux lèvres. C’est dans le véhicule, lors du retour, que Yves nous avait dit : Yve : « Je ne vous cache pas les garçons que je suis fier de vous. On voit que vous savez vous tenir en public. Vous êtes restés très sage, pas de main tenue, pas de signe trop voyant, rien pour vous faire remarquer. Ben : Tu sais papa, nous ne ressentons pas le besoin de nous cajoler tout le temps. Il faut que nous fassions attention à ne pas montrer que nous sommes gays. Il y a déjà assez d’homophobes que c’est inutile de les tenter ! Arl : Bien dit Benoît, je t’approuve. D’autant que nous savons ce que Phil a subi il n’y a pas si longtemps de que cela. Moi : Merci Arlette, vous savez que Ben et moi on ne veut pas heurter les gens. On s’aime, mais cela doit rester très discret. Nous n’avons pas besoin de montrer que nous nous aimons et si nous le montrons, ce n’est qu’en famille. Yve : Je le sais Phil. Je vous souhaite d’être heureux. Je voulais seulement vous dire combien j’étais fier de vous ! Ben : Merci papa. Moi : Merci Yves. Arl : Rien ne vous empêche non plus de vous tenir par la main sur la banquette arrière de la voiture quand il fait nuit bien sûr !" Éclat de rire général. C’était dans cette très bonne humeur que nous arrivions chez Ben. Nous étions directement allés prendre notre douche avant de rejoindre la chambre de Ben. Nous nous baladions nus dans la maison, comme à notre habitude et c’est en tenue de peau que nous avions regagné la chambre de Ben. A peine la porte fermée, nous nous étions embrassés langoureusement. Nous nous étions ensuite couchés sur le lit, question de poursuivre nos câlins. Nos bouches se cherchaient sans cesse, nos baisers se faisaient de plus en plus chaud. Nos langues enfin se retrouvaient, elles se connaissaient et semblaient s’apprécier. Je ne pouvais me détacher du visage de Benoît, mon ange blond qui m’apportait tant de joie et de bonheur. Nous étions tous les deux en union tant au niveau physique qu’au niveau sentiment. Nous étions complémentaires, nous étions pour chacun l’être aimé, l’âme sœur, la personne la plus précieuse dans la vie. Nous n’avions pas besoin de nous parler pour ressentir ce que l’autre pensait, ce que l’autre aimait ou ce qu’il attendait ! Il n’a fallu qu’une fraction de seconde pour que Benoît prenne dans le tiroir de sa table de nuit le paquet de préservatifs et le tube de gel lubrifiant. Benoît avait compris que je voulais l’aimer, que je voulais aussi, me donner à lui, que nous allions nous aimer. J’avais fait un large sourire à mon ami, à mon amant, à mon amour. Comme réponse, j’avais eu droit à une grand sourire plein de malice, les yeux de Ben brillaient, ils étaient pour le reflet de son âme, je pouvais lire à livre ouvert au travers de ses yeux d’un bleu immense, un bleu océanique empreint de mystères à peine dévoilés. Je savais qu’il m’aimait et lui savais aussi que je l’aimais. C’est Benoît qui avait pris l’initiative. Il m’avait doucement caressé les fesses en vue de me préparer à l’aimer et lui à m’aimer. Il m’avait ensuite positionné sur le lit pour ainsi avoir accès à ma caverne. Nous bandions déjà depuis quelques minutes, mais ces caresses avaient accentué la pression au niveau de mon vit. Je pouvais voir que Benoît était lui aussi bien bandé, son sexe était droit, il pointait vers mon anatomie. Puis prenant le tube de gel, Ben avait commencé à enduire ma corolle avec le gel. Il y allait avec un doigt puis je sentais qu’il y allait avec deux doigts. Je sentais, déjà pas mal de sensations, sensations auxquelles je m’attendais. Benoît avait décidément pris beaucoup d’assurance. J’avais l’anus « en feu », j’étais prêt à recevoir son engin de plaisir, son vit d’amour dans ma grotte déjà chaude. Benoît avait enfilé le préservatif sur son sexe dressé. Puis s’avançant doucement, j’avais senti poindre, au niveau de l’entrée convoitée, le gland de Ben. Avec une pression délicate il avait introduit petit à petit son membre dans mes entrailles. Je sentais la progression dans mon anus. Puis une fois bien installé, Ben commençait à me limer, je ressentais son membre qui coulissait dans mon antre. Ben savait alterner la vigueur des mouvements de va et vient. Je sentais son souffle dans mon cou et j’entendais ses râles étouffés. Parfois je me cambrais pour ressentir encore plus la pression exercée par mon amant. La pression montait effectivement, je commençais moi aussi à émettre des râles de plaisir. Ben lui de son côté me disait qu’il m’aimait et je lui répondais que moi aussi je l’aimais, qu’il était mon amour. C’est ainsi que Ben me lutinait amoureusement, il exerçait sa « domination » en parfait amant, prêt à se donner au maximum pour me faire sentir qu’il m’aimait. Je sentais que la pression avait encore monté d’un cran, les râles de plaisir de Ben s’était transformés en petits cris de jouissance. Ben commençait à arriver au point de non-retour, il allait arriver à la jouissance. Puis dans un grognement presque bestial, Ben avait laisser passer six jets de sperme qui étaient venus s’écraser au fond de la capote. Ben était en sueur, il avait donné tout ce qu’il avait comme réserve pour m’aimer. Il s’était affalé à côté de moi, exténué mais heureux de m’avoir aimé. Moi aussi j’étais en sueur. J’avais vécu cette sodomisation avec entrain, j’avais savouré chaque moment depuis cette pénétration de mon anatomie anale. Puis cette explosion des sens au moment de la jouissance, moment suprême tant attendu et tant aimé par les amants. Après vingt bonnes minutes de repos bien nécessaire, j’avais à mon tour caressé le beau corps de Ben. Mes mains allaient et venaient sur son abdomen, s’attardant au passage aux pectoraux pour ensuite revenir vers ce visage d’ange blond. Puis enfin ma main s’était arrêtée au niveau du pubis blond de mon amoureux. Je sentais que son membre viril avait déjà repris vigueur. Inutile de parler de mon sexe, il était déjà bandé, les sensations faites avec mes caresses sur le corps de Ben m’avait fait bandé. J’étais prêt à aimer mon amour. J’avais pris du gel lubrifiant et j’enduisais la corolle anale de mon Ben. Je massais l’entrée de l’antre, l’entrée de son puits d’amour. Déjà Ben laissait entendre qu’il appréciait ce traitement. Il était détendu et semblait attendre que j’envahisse son anus dilaté. J’avais bien entendu enfilé le préservatif, comme c’était l’usage. Puis j’avais approché mon bâton d’amour de cette cavité accueillante. Mon gland entrait doucement, petit à petit, sans forcer dans cet orifice tant convoité. Puis me voilà installé, bien au chaud entre les fesses de mon amant, au fond de son puits d’amour. Par des mouvements de va et vient lents et parfois un peu plus appuyés, le ramonais donc le conduit dilaté. Puis j’accélérais de temps à autre la cadence. Les râles de Ben étaient de plus en plus forts, Ben ressentait la pression exercée au niveau de son anus et de ses entrailles. Moi-même de mon côté je sentais que ma sève allait bientôt monter. J’allais pouvoir enfin arriver à la jouissance tant attendue. J’avais dit à mon Ben d’amour que je l’aimais. De son côté il me disait aussi qu’il m’aimait. Puis dans un sursaut j’avais laissé partir ma semence, six jets de sperme s’étaient étalés au fond de cet étui de latex. Ben lui aussi avait ressenti toute la pression finale se déverser. Il avait lui aussi laissé échapper des râles de bonheur. C’est exténué que je m’étais affalé à côté de Ben. J’avais pris le temps de l’embrasser avant de reprendre mes esprits. Nous étions heureux, heureux de nous être aimés, heureux de nous connaître. Nous nous regardions avec tendresse, nos yeux dévoraient le visage de l’être aimé, nos yeux étaient le reflet de notre âme et par ceux-ci nos sentiments avaient l’occasion de s’exprimer sans parole et sans faux fuyant. Nous nous montrions tels que nous étions, nous étions chacun à livre ouvert pour l’être adoré ! |