Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 12-12-2020 Chapitre 3. Bientôt la fin du camp. Le lendemain matin, avant le lever, alors que j’étais le seul à être réveillé, je me suis rapproché du sac de couchage d’Henri. Comme toutes les nuits nous dormions tous à poil, nus comme des vers, nous en avions pris l’habitude. Je regardais Henri qui dormait, je voyais son visage de jeune ado avec ce petit duvet qui naissait sous son nez, je pouvais presque deviner son sourire angélique. Je suis resté de longues minutes à observer Henri, a écouter sa respiration régulière, à rêver de ce que nous ferions après le camp. Je me posais un tas de questions, aurions-nous encore le temps de nous voir ? Où habitait-il ? Avait-il des frères ou des sœurs ? Quelle sera sa réaction si je lui avoue que je suis fou de lui ? comment pouvais-je être tombé amoureux d’un garçon comme Henri ? Bref je suis sorti de ma rêverie car Henri commençait à se retourner, signe qu’il allait bientôt se réveiller. C’est ce moment-là que j’ai choisi, alors qu’il était tourné vers moi, pour passer ma main dans l’ouverture de son sac de couchage. Je sentais la chaleur qui se dégageait du corps d’Henri, cette chaleur caractéristique au bout d’une nuit. J’ai pris peur, je me demandais si ma main n’allait pas le réveiller en sursaut, je croyais qu’elle était trop froide. Je me suis quand même mis à caresser son bras, son épaule. Je suis descendu le long de son torse, je sentais qu’il allait se réveiller. J’étais rassuré, ma main n’était pas trop froide, mon audace m’avait également donné chaud. Je me suis ensuite dirigé vers ses jambes, je remontais le long de ses cuisses, attendant avant de lui casser l’entre jambe, je suis redescendu vers ses mollets pour remonter vers ses cuisses et puis ma main s’est glissée dans son entre-jambe, elle est remontée vers ses bourses, et puis elle a rencontré son pénis déjà tendu. J’ai alors pu me rendre compte qu’Henri n’était pas insensible à mes caresses. Ma main s’est posée sur son sexe bandé et s’est mise à le caresser ; d’abord doucement et puis mes doigts se sont serrés sur ce pénis en érection et je me suis mis à faire des mouvements de va et vient. Henri a ouvert les yeux et m’a souri, ce même sourire angélique que je retrouvais, ce sourire qui m’avait fait craquer pour lui. J’ai su qu’il aimait mes caresses, j’ai su qu’il m’aimait. Nous nous sommes encore rapprochés et Henri s’est occupé de mon sexe qui ne demandait que ça. Nous nous sommes masturbés divinement, essayant de donner le maximum de plaisir à l’autre, essayant d’être le plus doux possible. Nos bouches se sont rapprochées, nos lèvres se sont ouvertes et nos langues se sont cherchées, se sont trouvées, se sont titillées. Nos mains étaient occupées à prodiguer mille caresses, nos corps étaient collés l’un à l’autre, nous étions au nirvana. Nous faisions attention de ne pas réveiller les autres qui dormaient encore. Les doigts agiles d’Henri parcouraient ma hampe dressée, et le bout de ses doigts titillait à chaque passage le gland de mon sexe qui me brûlait de plaisir. Je continuais à masturber le pénis d’Henri avec volupté, je sentais que sa respiration s’accélérait, se sentais que les battements de son cœur tout contre mon torse, Henri cherchait sa respiration, il était au bord de l’éjaculation ; moi-même je n’en étais pas loin, je prenais du plaisir à procurer du plaisir. Puis dans un râle contenu, nous avons déchargé presque en même temps. Henri s’est approché de moi et m’a dit à l’oreille « je t’aime ». C’était la première fois qu’un garçon me disait ça, je lui ai répondu doucement à l’oreille « moi aussi ». Je me mis à repenser aux pensées qui m’avaient traversé l’esprit avant de réveiller Henri. Je crois qu’Henri a senti mon trouble, il m’a souri. Nous nous sommes recouchés et nous avons encore dormi une bonne heure. Le moment tant redouté est arrivé, c’est la fin du camp. Nous avions rangé tout le matériel, tout était dans le camion. Nous, les scouts nous devions prendre le train pour rentrer chez nous. Le voyage m’a semblé long, je ne savais que dire à Henri qui avait pris place à côté de moi sur la banquette du compartiment. Au bout de deux heures nous étions arrivés à destination. Nos parents nous attendaient sur le quai de la gare. Nous prenions nos sacs à dos pour rejoindre notre famille. Nous racontions nos activités (pas toutes évidemment) avec fébrilité. Au moment de quitter la gare, Henri est venu vers moi. Il avait un bout de papier et un crayon en main. Il m’a demandé d’y inscrire mon adresse et mon numéro de téléphone. Ce que je fis, me disant "il veut me revoir". Je lui ai demandé aussi son adresse et son numéro de téléphone. Puis pour prendre congé l’un de l’autre, nous nous sommes serrés la main d’une façon étrange, nous avions difficile à nous séparer. Nous ne pouvions faire autrement devant nos parents. Nous aurions bien voulu échanger un baiser, mais ce n’était pas possible. Il me restait l’espoir de revoir Henri, je pensais le revoir dans quelques jours le temps de laisser le temps faire son œuvre. Henri penserait-il encore à moi dans quelques jours ? Quelle sera mon attitude envers Henri après quelques jours sans le voir ? Le soir dans mon lit, je me suis mis à penser à Henri et je me suis masturbé en ayant son visage en tête. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 12-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Les deux ados s'aiment, cela ne fait plus aucun doute. La fin du camp sera-t-elle la fin de leur amour? Tout laisse supposer qu'ils poursuivront leur idylle par la suite. Merci pour ce récit. Très bon week-end Philou Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 12-12-2020 (12-12-2020, 02:51 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement les deux ados s'aiment. Ils se sont découverts durant le camp. Poursuivront-ils leurs découvertes de l'amour après de camp? Je pense bien que oui, ils sont sur la bonne voie! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser une commentaire à chaque fois! Très bon week-end à toi aussi! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 12-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Très beau chapitre, ils se sont dit « je t’aime » pour la première fois. Ce n’est pas que du sexe, c’est de l’amour. Mais en même temps c’est une plongée dans l’inconnu pour Phil, il faudra gérer cet amour au quotidien. Il a déjà peur qu’Henri l’oublie après quelques jours. Bon week-end ! Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 12-12-2020 (12-12-2020, 07:50 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement les deux ados scouts se sont dits: "je t'aime" ! L'amour a commencé son chemin entre eux. Bien entendu il y a le sexe, amis aussi de l'amour entre eux! Les deux garçons vont plonger dans l'inconnu. Comment vont-ils reprendre leur relation? Phil redoute que Henri "l'oublie"! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 15-12-2020 La partie « camp scout » est à présent terminée. Elle est suivie d’une autre partie dénommée « Henri ». Je vais donc poursuivre ici le récit étant donné que les deux récits sont liés ! Encore merci d’avoir suivi la première partie et je vous souhaite une bonne lecture pour la seconde. TOME 2.
Henri
Chapitre 1 : Confessions A l’issue du camp scout, à la sortie de la gare, Henri m’avait demandé de lui inscrire mon adresse et mon numéro de téléphone. J’avais de mon côté noté ses coordonnées sur un bout de papier. Nous nous étions quittés en nous donnant une poignée de main qui nous avait paru saugrenue, nous aurions préféré nous donner un baiser ou nous quitter avec une marque d’affection plus physique que cette poignée de main faite dans le but de ne pas jeter le trouble dans nos familles respectives et pour ne pas monter notre attachement aux autres scouts de la troupe. Dès le lendemain je suis parti avec mon frère chez mes grands-parents pour passer quelques jours à la campagne. Les premiers jours loin de chez moi et de ma ville m’ont paru interminables. J’avais toujours en pensée les moments vécus au camp avec Henri. Je ne parvenais pas faire sortir l’image de ce jeune ado de ma tête. Son sourire et son regard restaient gravés dans ma mémoire. Après une semaine chez mes grands-parents, j’allais enfin pouvoir rentrer à la maison. J’étais à la fois soulagé et inquiet. J’étais soulagé car je pouvais peut-être rencontrer Henri dans les jours qui allaient suivre et j’étais inquiet car je ne savais comment Henri allait réagir à nos retrouvailles. Je finis par me dire qu’advienne que pourra, on verrait bien ce que les jours suivants allaient nous réserver. Une fois rentré à la maison, ma maman m’a dit qu’elle avait reçu un appel téléphonique d’un scout de ma patrouille. Je lui ai demandé qui avait appelé. Elle m’a répondu qu’il s’agissait de Marc, il demandait comment j’allais et si je m’étais reposé après le camp. Une fois que je me suis retrouvé seul j’ai pu enfin prendre de téléphone et former le numéro d’Henri. J’ai eu son frère au téléphone. Il m’a dit qu’Henri était absent encore pour deux jours et qu’il était parti chez sa marraine. J’ai téléphoné deux jours après chez Henri. J’ai de nouveau eu son frère. Il m’a dit : « je vais appeler Henri, patiente un peu ! ». Ayant entendu cette phrase, mon cœur s’est mit à battre plus fort, j’allais enfin pouvoir parler à Henri, entendre sa voix, j’allais pouvoir l’inviter chez moi, j’allais… « Allô, Phil c’est toi », c’était Henri qui me parlait. « Oui, c’est moi. » Henri me dit alors « comme je suis heureux de t’entendre, ça fait si longtemps. » J’étais heureux d’entendre cette phrase-là, elle me faisait à la fois plaisir et elle me confortait dans le fait qu’Henri tenait à moi, qu’il avait aussi envie de me revoir. Finalement nous nous sommes donnés rendez-vous pour le lendemain. Henri m’a dit que je pouvais venir chez lui car son frère allait partir en fin de journée chez une de ses tantes et qu’ainsi nous serions seuls chez lui, ses parents seraient au travail. J’attendais ce moment avec impatience. Je voulais déjà être le lendemain. Durant toute la nuit je me suis retourné des dizaines de fois dans mon lit. Je me suis levé tôt, vers six heures. J’étais impatient, j’attendais notre entrevue. La matinée a passé lentement, les minutes me semblaient des heures. Enfin après le repas de midi, je suis parti. J’ai pris le bus pour me rendre chez Henri. Je me suis arrêté devant sa maison. Il s’agissait d’un immeuble à appartements. J’ai trouvé la sonnette ; « ding - dong ». Une voix, celle d’Henri m’a dit, monte c’est au premier. L’ouvre porte, les escaliers ; hop ! deux volées d’escalier ; le palier, une porte entre ouverte. Je suis sur le pas de la porte. Henri l’ouvre. Je le revois, il est heureux, il sourit, il montre ses dents blanches, il a les yeux pleins d’étincelles, il a son regard angélique. Je suis heureux, je lui souris, je deviens rouge, je sens que la chaleur m’envahit le visage. Henri me dit « entre ». J’entre dans son appartement. Il me fait faire le tour, il y a le hall, un grand living, une cuisine, deux chambres à coucher, une salle de bain et les toilettes. Henri m’offre une limonade. Nous parlons de nos séjours dans nos familles à l’issue du camp. Puis Henri me dit de venir voir sa chambre, la chambre qu’il partage avec son frère André. C’est une grande chambre avec deux lits, deux garde-robes, deux bureaux et deux bibliothèques. Henri me montre son lit, c’est celui qui est à droite de la fenêtre. Sur les murs il y a des posters, des images d’avions et de voitures de courses. A ce moment-là, nous nous sommes embrassés sur la bouche. C’était délicieux ! Nos langues se sont trouvées, elles se sont titillées, nos salives se mêlaient, nos mains se posaient sur nos corps, nous nous caressions au travers de nos vêtements. Ensuite, nous nous sommes déshabillés puis encore caressés partout. Nos mains se sont occupées de nos corps, elles se promenaient partout, elles montaient, descendaient le long de nos torses, de nos bras, de nos fesses et enfin, nous nous sommes branlés mutuellement. Nous étions couchés sur le lit d’Henri, nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes redécouverts. Et puis ce fut moi qui, le premier, proposai de faire une pipe. J’ai lâché la main qui tenait son sexe, ma bouche a parcouru son torse, elle est descendue jusqu’à son nombril, elle a poursuit jusqu’à sa hampe dressée. C’était la première fois, je n’avais jamais sucé une bitte, j’ai ouvert la bouche, ma langue s’est posée sur le dessus de son gland, j’ai sucé son gland comme on suce un sucre d’orge, j’ai mis un peu de salive sur son gland. Je voyais qu’Henri aimait ce que je lui faisais, il gémissait. Puis j’y suis allé, j’ai ouvert grand la bouche et j’ai enfourné son sexe. Je me suis mis à faire des mouvements de va et vient avec ma bouche sur son sexe. Son sexe grossissait encore, Henri respirait de plus en plus fort, je sentais qu’il allait venir, d’un geste il m’a tiré les cheveux pour se dégager, pour qu’il puisse retirer son sexe de ma bouche. Henri s’est cabré, il a ensuite éjaculé sur mon visage et dans mes cheveux. C’était la première fois que je faisais une pipe à un garçon, je n’étais pas déçu, c’était une chose que je rêvais de faire, mais que je n’avais pas osé faire au camp, pourtant ce n’est pas l’envie que me manquait. Il faut dire aussi que je n’avais pas envie d’être pris pour une « tapette » par les autres scouts. Nos jeux de branlettes et de baisers pouvaient être considérés comme des choses de la vie faites entre garçons et qui n’avaient pas de lendemain. J’étais cependant heureux d’avoir connu ça avec Henri. Henri m’a regardé et m’a dit qu’il n’était pas encore prêt à me faire la même chose. Il s’est alors occupé de moi, il m’a masturbé d’une divine façon. Il avait fait d’énormes progrès et il avait la manière de s’y prendre voluptueusement. Il m’a fait monter au ciel, j’ai déchargé comme je n’avais jamais déchargé auparavant, Henri avait mis deux doigts dans mon anus et il m’avait titillé la prostate, ça m’avait procuré un orgasme super génial. J’ai déchargé six à sept jets à plus d’un mètre de distance, il y en avait partout sur le lit d’Henri. Nous nous sommes encore embrassés et nous sommes restés coucher l’un à côté de l’autre durant un bon moment. Nous avons ensuite gagné la salle de bain pour y prendre une douche ensemble. Nous nous sommes lavés mutuellement le dos et bien évidement tout le corps. Une fois séchés nous nous sommes ensuite rhabillés. Je suis alors rentré chez moi, non sans regret ! J’aurai tant aimé rester encore avec Henri. Nous avions convenu de nous revoir le lendemain chez moi. Henri est donc resté seul chez lui, son frère André devait rentrer dans les minutes qui suivaient. Henri avait allumé la télévision et commençait à regarder un film lorsque son frère André est rentré. Henri embrassa son frère sur la joue, comme ils avaient l’habitude de la faire. André était l’aîné, il avait 17 ans, presque 18, 1m78 pour 74 kg, cheveux bruns et un visage ou apparaissaient quelques poils au menton ainsi qu’une toute fine moustache qui apparaissait sur le dessus de la lèvre supérieure. André se rendit dans la chambre qu’il partageait avec Henri. En entrant il vit le lit défait de son frère et senti alors une odeur si particulière de foutre qui emplissait encore la pièce. Il appela alors Henri en lui demandant de venir dans la chambre. Henri entra et vit directement qu’il avait oublié de refaire son lit (où les taches de sperme étaient encore visibles) et surtout d’aérer la chambre. André lança alors Tu ne t’emmerdes pas mon cochon. Henri devint alors rouge pivoine. Henri : Désolé André lança-t-il ! André : Je vois que tu ne t’es pas embêté, je dirais même vous ne vous êtes pas embêtés toi et ton copain. C’est lui que j’ai vu quitter l’immeuble il y a deux minutes ? Henri, toujours aussi rouge : Oui. André : C’est le scout qui était avec toi au camp et avec lequel tu t’es lié d’amitié. Henri : Oui André, c’est bien lui, c’est comme je t’ai dit, c’est Phil. André : C’est avec lui que tu as découvert la branlette mutuelle alors ! Henri : Oui, c’est bien Phil …Tu ne diras rien aux parents ! André : Bien sûr que non, petit con ! Henri : Bien oui, on s’est branlé Phil et moi, et en plus Phil m’a taillé une pipe ; j’ai adoré ! André : Mais mon petit frère a viré homo comme je vois. Henri, pour moi ça n’a pas d’importance, je t’aime comme tu es, tu es mon frère et tu le resteras toujours. Henri : Dit André, tu ne dis rien à personne ! André : T’inquiètes pas petit frère, viens faire un gros câlin avec ton grand frère. André et Henri se sont alors étreints ; Henri laissant quelques larmes couler sur ses joues ; larmes qu’André s’empressait d’essuyer avec ses mains. Henri avait donc parlé à son frère André de ce qu’il avait vécu lors du dernier camp scout. Il lui avait raconté l’épisode de l’averse, le hike, la BA avec la piscine chez Alexandre, les masturbations mutuelles sous la tente, les toilettes dans la rivière, des nuits passées nus dans les sacs de couchage, etc. André adore son petit frère Henri, et il est certain qu’il ne dira rien aux parents. Depuis quelques mois les deux frères, alors qu’ils se trouvaient dans leur chambre, se masturbaient ensemble en même temps, chacun sur son lit. Ils prenaient souvent leur douche ensemble et se voyaient régulièrement à poil. Bref ils s’entendaient très bien. Henri est arrivé vers 14h00. Il avait un short beige assez moulant, un polo bleu et il portait des sandales ouvertes en cuir brun. Il avait toujours son sourire angélique. Je lui ai fait faire le tour de la maison. Je lui ai montré ma chambre. J’avais ma chambre à moi tout seul, mon frère Jean avait la sienne et ma sœur Anne elle aussi. Henri s’est mis sur mon lit. Il me regardait d’un air malicieux. Je ne savais pas ce qu’il voulait, mais j’allais le découvrir assez vite. Je me suis mis à ses côtés. Henri m’a alors déshabillé, je me suis laissé faire. Il m’a ôté mon polo, mon short. J’étais en slip. Je me suis mis de côté à déshabiller Henri, hop le polo, ensuite le short. Henri était aussi en slip. En fait de slip on aurait dit la tente d’un cirque avec le mat central qui pointait vers le ciel. Moi de mon côté c’était la même chose. Henri a enlevé mon slip et j’ai fait de même avec lui. Henri s’est mis à me couvrir de baiser, il me donnait des baisers sur tout le corps. Je faisais de même avec lui. Puis Henri, en me regardant dans les yeux a descendu sa tête vers mon ventre, ensuite vers l’entre jambe. Il est ensuite remonté vers mon sexe qui n’attendait que ça. Il a ouvert la bouche et il s’est mis à lécher mon sexe. Sa langue parcourait mon sexe dressé, elle titillait mon gland en partie décalotté. Puis il enfonça mon sexe dans sa bouche jusqu’à la garde. Il se mit à faire de mouvement de va et vient le long de ma hampe. On me tortillant, je me suis mis de façon à pouvoir être tête bêche et ainsi en vue de savourer avec Henri un bon 69. J’ai de mon côté pris son sexe dans ma bouche. Henri calquait ses mouvements sur les miens, nous varions la pressions de nos lèvres au niveau de nos glands, nous alternions aussi avec des mouvements de la main, ma salive coulait le long du sexe d’Henri, elle se logeait dans ses poils pubiens, je pouvais sentir ses boules près de mon nez, sentir cette odeur de sexe assez particulière. Henri de son côté s’y prenait de mieux en mieux, il s’appliquait à me sucer et à me donner du plaisir. Nous avions chaud, nous commencions à transpirer. Nous sentions la chaleur monter en nous. Je ralentissais mes mouvements pour que cela dure le plus longtemps possible, Henri faisait de même pour ne pas me faire jouir trop vite. Puis nous sentions que nous allions venir, mais je ne voulais pas faire comme la veille, je voulais goûter à se sève, et je n’ai pas bougé quand Henri à déchargé, j’ai reçu toute sa sève dans le fond de la gorge, j’ai avalé une partie, ça avait un goût suave, à la fois amer et sucré. Henri lui avait fait de même il avait avalé une partie de mon sperme. Nous nous sommes regardés et nous avons échangé un baiser en mélangeant nos salives et nos spermes. C’était notre première pipe partagée. Henri m’a dit au creux de l’oreille «je t’aime ». Moi je lui ai répondu aussi «je t’aime ». Nous nous sommes une nouvelle fois embrassés. Nous sommes restés coller l’un à l’autre pendant une bonne heure. Nous avons savouré ce moment vécu. Henri me raconta alors ce qui c’était passé lorsque son frère André était rentré la veille. Henri ajouta tout de suite qu’André ne dirait jamais rien à qui que ce soit. J’ai alors su que le garçon que j’avais croisé à la sortie de l’immeuble était André, le grand frère d’Henri. Je savais que j’aimais Henri et que de son côté Henri m’aimait aussi. Je n’avais plus de doute, j’étais « homo ». Durant la fin des vacances nous nous sommes revus presque tous les jours. Nous nous donnions l’un à l’autre. On a dû tout apprendre mais, comme on se disait tout, on sut très vite ce que l’autre aimait ou pas. On a tout découvert ensemble mais jamais, en ce temps-là, nous ne nous sommes sodomisés ; on avait trop peur de la douleur. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 15-12-2020 Merci Philou. Ce sont les retrouvailles avec Henri après le camp scout, d’abord chez lui, puis chez Phil. Le frère d’Henri a deviné qu’ils sont homos, mais il ne dira rien. Ils vont donc découvrir tout ce que deux hommes peuvent faire ensemble, ou plutôt presque tout. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 16-12-2020 (15-12-2020, 09:39 PM)Lange128 link a écrit :Merci Philou. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Phil et Henri se sont retrouvés après le camp. Ils passent du temps chez l'un ou chez l'autre. Ils poursuivent leurs découvertes de ce que deux garçons peuvent faire ensemble. André, le frère aîné d'Henri, a découvert que son petit frère était gay et qu'il s'est lié d'une profonde amitié avec Phil. André accepte cette situation et dit qu'il aime son frère et qu'il ne dira rien à leurs parents. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 16-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Les deux ados se retrouvent après le camp. Henri n'a donc pas oublié Phil et Phil non plus n'a pas oublié Henri. Ils poursuivent leurs découvertes de l'attachement et de ce qu'est "l'amour" entre garçons. Belles scènes de découvertes partagées. Je t'embrasse. Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 16-12-2020 (16-12-2020, 04:12 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement les deux garçons se retrouvent à l'issue du camp pour poursuivre par des rencontres charnelles. Ils découvrent en fait un peu de sexe entre garçons. André a bien pris la chose en découvrant que son jeune frère était homo. Les parents ne sont pas encore au courant. Merci pour tes compliments. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 17-12-2020 Chapitre 2. Ouvertures. Nous nous sommes souvent retrouvés Henri et moi pour parler de chose et d’autre ; et du fait que son frère André était au courant de notre « relation » et qu’il ne dirait rien à personne. Nous nous étions épris d’une amitié que je qualifierais de particulière. Nos sujets de conversations étaient portés sur l’amitié, sur les copains et sur le sexe évidemment. Nous ne parlions jamais de filles. C’est comme si elles ne nous concernaient pas. Nous passions des heures ensemble, et quand nous étions seuls, nous échangions de petits baisers. Nous partions faire des balades à vélo, nous nous promenions dans les parcs. C’était les vacances, et nous étions souvent livrés à nous-mêmes. J’ai alors proposé à Henri d’aller à la piscine. Comme André, le frère d’Henri était lui aussi seul, Henri m’a demandé si nous pouvions inviter André à venir avec nous nager à la piscine. Pour ma part je n’y voyais aucun inconvénient. Nous avions alors pris rendez-vous pour le lendemain matin. Nous nous sommes retrouvés devant l’entrée de la piscine, Henri, son frère André et moi. Nous sommes entrés, Henri et moi, ensemble dans une cabine ; André étant lui entré dans une autre cabine, seul ! Nous nous sommes déshabillés. Nous avons mis nos slips de bain et nous sommes allés nous baigner. Tout le temps qu’a duré la séance de natation nous avons nagé à trois les uns près des autres, nous nous effleurions, nous passions nos mains discrètement sur nos corps et le plus souvent sur la bosse que faisait notre sexe dans le slip de bain ; il faut dire que André n’hésitait pas lui non plus. Nous nagions sous l’eau pour venir voir nos sexes bandés dans nos slips. Une fois cette baignade terminée, nous nous sommes douchés. Ensuite nous avons été, Henri et moi, dans la même cabine pour nous changer. Nous avons enlevé nos slips de bain. Une fois nus, nous nous sommes regardés dans les yeux et c’est moi qui ai avancé ma main vers le sexe bandé d’Henri. Henri fit de même avec moi, il me prit le sexe dans une main et nous nous sommes masturbés en regardant dans les yeux et en nous embrassant. Nous avons laissé monter en nous le désir, nous avons laissé la chaleur de nos corps nous envahir, nous nous sommes fait plaisir l’un à l’autre, nous avons joui presque en même temps. Le sperme d’Henri coulait dans la paume de ma main et mon sperme coulait entre les doigts d’Henri. Nous nous sommes essuyés dans nos mouchoirs. Nous avons encore une fois échangé un baiser fougueux. Une fois hors de la cabine, André nous attendait à l’extérieur dans le couloir des vestiaires. André nous dit alors : Vous auriez pu être un peu plus discrets !!! Henri et moi nous étions rouges de honte à la suite des paroles d’André. Nous avons quitté la piscine pour nous retrouver dans le parc attenant. Là nous nous sommes assis sur un banc. Nous avons bavardé tous les trois. André était un peu soucieux. Puis d’un coup il me regarde et me dit : Phil, tu as intérêt à ne pas faire souffrir mon petit frère Henri, sinon tu auras à faire à moi et je ne blague pas ! Je me sentais d’un coup très faible, je me serai caché sous terre. Et puis, dans un sursaut, une larme sur chaque joue, le rouge aux pommettes, regardant André dans les yeux, je lui ai répondu : Je ne te connais que depuis peu, tu me sembles avoir compris que j’aimais ton frère Henri et que lui aussi m’aimait ; je ne compte pas le faire souffrir, je te garantis que je l’aime et qu’il n’est pas question de le faire souffrir ; je l’aime trop pour ça…, et je me suis mis à pleurer. Henri et moi nous nous sommes alors regardés. Henri s’est approché de moi et m’a donné un baiser sur la bouche. Ce seul geste voulait tout dire. André s’est alors approché de moi et m’a donné un bisou sur la joue ; geste au combien important pour moi, André prenant conscience de l’amour qui unissait son frère Henri à moi-même était déjà assez fort. Dans la foulée de la discussion, j’ai alors expliqué à Henri que je devais partir quelques jours chez un oncle et que je pouvais venir avec un copain. J’ai demandé à Henri et à André si leurs parents seraient opposés à ce qu’Henri vienne avec moi chez mon oncle. Henri m’a dit que normalement ses parents ne refuseraient pas et qu’il leurs en parlerait le soir même. André de son côté approuvait ce que son frère venait de dire. J’ai insisté pour connaître la réponse le plus tôt possible pour avertir mon oncle. Le soir même vers 20 heures, Henri donnait un coup de téléphone. A sa voix j’ai tout de suite compris que ses parents avaient accepté qu’il puisse venir avec moi chez mon oncle. Ma mère a parlé avec celle d’Henri pour mettre les détails au point. J’étais impatient d’être en vacances chez mon oncle avec Henri. Henri et moi nous avons été conduis chez mon oncle par ma mère. Une fois sur place mon oncle nous a montré la chambre d’ami dans laquelle nous allions dormir en compagnie d’un cousin, Stéphane, le fils d’une autre tante à ma maman. Dans la chambre il y avait trois lits d’une personne, une grande garde-robe, trois tables de nuit et deux chaises. L’après-midi a très vite passé, nous avons joué avec mes cousins dans le grand jardin. Nous étions assez fatigués après le repas du soir. Nous avons encore regardé la télévision avant d’aller nous coucher. Dans la chambre nous nous sommes mis au lit après être passé chacun à notre tour dans la salle de bain. Les trois lits étaient séparés par une table de nuit. Mon cousin Stéphane avait pris le lit près du mur, je m’étais mis dans celui du milieu et Henri était dans celui près de la fenêtre. Dans la chambre nous avons commencé à bavarder de chose et d’autre. Mon cousin Stéphane qui avait un an de moins que moi, a lancé la conversation sur le sexe. Il disait avoir reçu d’un de ses copains une revue porno. Il nous racontait de mémoire les images qu’il avait tant et tant regardé, les images qui selon lui l’avait fait bander. J’ai demandé à Stéphane s’il s’était masturbé devant les images de la revue porno. Il nous a répondu qu’effectivement il s’était plusieurs fois branlé en regardant les images de femmes nues. Stéphane nous dit alors qu’il avait « la gaule » et qu’il avait de plus en plus envie de sa branler. Il faut dire que moi aussi j’avais le sexe en érection, et que mon lit ressemblait plus à une tente de cirque, le mat central étant bandé au maximum. Moi-même n’y pouvant plus j’ai placé ma main sur mon sexe bandé et je me suis mis à faire de mouvements de va et vient. Mon cousin et Henri ne pouvaient ne pas voir que je me masturbais. Stéphane et Henri firent la même chose que moi, nous étions tous en train de nous branler sous nos draps. C’était la première fois que je me masturbais en présence de mon cousin. Après cette partie de branlette nous nous sommes endormis. Le lendemain nous avons joué dans le jardin, nous sommes allés faire une balade dans les bois. Au soir après le repas et la soirée nous nous sommes vite retrouvés dans la chambre d’ami. Nous avions décidé de jouer au strip-poker. J’avais apporté mes dès et nous nous sommes mis à jouer. Assez vite Henri s’est retrouvé en slip. Stéphane n’avait lui non plus grand chose sur lui. Finalement Henri s’est retrouvé à poil. Nous avons alors décidé de lui donner un gage. Stéphane avait proposé qu’Henri se masturbe devant nous. Moi, de mon côté j’ai proposé qu’Henri masturbe Stéphane. Stéphane n’étais pas très chaud, il n’avait visiblement pas envie de se faire masturber. J’ai alors proposé à Henri de venir me masturber. Henri ne demandait pas mieux, il m’a ôté les derniers vêtements un à un et puis Henri et Stéphane ont pu voir que je bandais déjà, tout comme Henri qui ne pouvait plus le cacher depuis quelques minutes. Stéphane a dit que j’avais une belle queue et qu’il avait déjà eu l’occasion d’en voir dans la revue porno qu’il avait reçu. Henri a pris mon sexe en main et s’est mis à me branler. Stéphane de son côté bandait comme une bête, son sexe pointait à le verticale dans son slip où il était à l’étroit. Stéphane a finalement baissé son slip pour commencer à se branler, le spectacle que nous offrions Henri et moi, avait mis Stéphane dans tous ses états. Voyant la queue d’Henri qui n’attendait qu’à être prise par une main secourable, j’avançais la mienne et je me suis mis à masturber Henri. Stéphane ne manquait rien du spectacle, il était lui aussi aux anges. Nous avons joui presque en même temps. Nous étions épuisés tant par la journée au grand air que par cette partie de masturbation. Nous nous sommes mis au lit à poil. Au matin, j’entendais un bruit de frôlement de tissus. Je me suis retourné et j’ai vu que mon cousin Stéphane étais en train de se branler sous ses draps. Je lui ai dit, « déjà la queue en de bonnes mains ». Stéphane est devenu tout rouge et il m’a murmuré, « j’avais la gaule en repensant au spectacle que tu m’as donné avec ton copain Henri ». Stéphane a ajouté « parfois rien que de voir des hommes nus, je bande ». Stéphane a joui en me souriant. Durant la journée mon oncle nous a appris que deux cousins devaient arriver fin de journée. C’était deux jeunes cousins, les enfants d’un frère de maman. Mon oncle nous a demandé à Henri et à moi si ça ne nous dérangeaient pas de loger dans une tente dans le jardin. J’ai répondu à mon oncle qu’il n’y avait pas problème puisque nous étions scouts et que nous avions l’habitude de loger sous tente. Ni une ni deux, nous avons monté la tente dans le jardin à 40 mètres de la maison. C’était une tente de trois personnes. Mon oncle nous dit que les duvets seraient près le soir. Dans le courant de l’après-midi mes deux jeunes cousins sont arrivés. Ils se sont installés dans la chambre d’ami dans les lits que nous occupions Henri et moi. Le soir venu, au moment d’aller dormir, Stéphane nous a souhaité de passer une bonne nuit, je voyais qu’il avait envie de venir avec nous mais mon oncle avait insisté pour qu’il reste dans la chambre avec ses deux jeunes cousins. Henri et moi nous nous sommes installés dans la tente. Deux duvets nous y attendaient. Nous nous sommes mis nus dans nos duvets. Nous nous sommes rapprochés, nous nous sommes regardés et puis nos visages se sont rapprochés, nos lèvres se sont rejointes, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont enfin titillées. Nous avons échangé un baiser tant désiré depuis des jours. Puis nous avons accroché les deux duvets pour ne plus en faire qu’un. Ma main s’est glissée sur le torse d’Henri, elle parcourait sa poitrine, passait sur ses bras, elle descendait vers son nombril et descendait le long des cuisses, elle remontait doucement dans l’entre jambe et s’arrêtait sous les bourses. Henri avait pris lui aussi sa main pour me caresser le corps, il me faisait bander de plus en plus fort, il s’attardait dans l’entre jambe et s’arrêtait aussi juste sous mes bourses. Puis de mon côté je me suis mis à remonter le long de son sexe bien dur. J’ai mis mes doigts à hauteur du gland et je me suis mis à caresser le gland sous la peau du prépuce, je faisais des mouvements circulaires au niveau du gland en modifiant de temps à autre la pression exercée, je sentais Henri respirer assez profondément. De son côté Henri me masturbait, il me donnait les mêmes caresses, il me masturbait de la même façon. Nous nous sommes donnés du plaisir durant une bonne demi-heure, voluptueusement, doucement en prenant le temps de vivre pleinement le moment présent, tout en volupté, en savourent et en vivant le plaisir qui montait en nous, en sentant la sève qui petit à petit voulait venir et puis ce fut l’explosion, le feu d’artifice, notre semence se répandait dans nos mains. Nous nous sommes essuyés. Après quelques minutes, le temps de reprendre nos esprits, nous avons échangé un long baiser. Pris par le sommeil nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Re : Au camp scout (reprise Docti) - Bouffondelalune - 17-12-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Belle conversation sur le banc du parc entre Phil, Henri et André. Phil promet de choyer Henri le petit frère d'André. Les jeunes n'arrêtent pas, ils sont chauds comme tout. Tout est bon pour se donner du plaisir. Ils changent un peu et font un strip-poker. Que de souvenirs me remontent à l'esprit. Merci pour ce moments insouciance. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 17-12-2020 (17-12-2020, 12:27 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui André discute avec Phil et Henri. Il accepte cette la relation entre Phil et son petit-frère Henri. Il veut seulement que Phil fasse attention à Henri, qu'il ne le déçoive pas! Effectivement les garçons (Phil, Henri et le cousin) sont chauds, chauds! Ils débordent d'hormones! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser à chaque fous un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (reprise Docti) - Lange128 - 17-12-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. André s’inquiète de l’amour naissant entre Phil et Henri, il faut le rassurer. Ensuite c’est le séjour chez Stéphane. Celui-ci semble très intéressé par la masturbation entre hommes. Serait-il aussi gay ? On n’a pas le temps de s’ennuyer dans ce début de récit… Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (reprise Docti) - Philou0033 - 17-12-2020 (17-12-2020, 07:51 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! André, le grand frère d'Henri a peur qu'il souffre si la situation avec Phil se détériore. Phil explique que ce n'est pas une passade, qu'il aime Henri et qu'Henri l'aime aussi. André semble rassuré. Le séjour chez l'oncle, avec la venue de Stéphane, le cousin a donné l'occasion aux trois jeunes de passer de bons moments en branlettes et autres jeux érotiques. On ne sait pas si Stéphane est gay, mais il semble avoir apprécié les moments d'intimité. Comme tu le dis, on ne s'ennuie pas avec les jeunes ados pleins d'hormones ! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire! Je t'embrasse! Philou |