à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (/showthread.php?tid=23) Pages :
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Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont les miennes (g@y-tous styles) ) - fablelionsilencieux - 09-08-2020 Le morpion Cet été, je passe les vacances en Camargue au camping, la caravane parentale est mise à notre disposition, je suis avec mon frère Juan et son best David avec qui je m’entend… moyen on va dire, son humour ne me fait pas toujours rire. Il n’est pas méchant mais, même quand mon frangin me défend celui-là m’asticote toujours, me traitant avec son air canaille de gentil morpion. Il est vrai que mon aspect encore juvénile et mes dix-sept ans et demi n’aide pas à m’affirmer face à eux… *** Le narrateur, jeune garçon ayant toujours manifesté de l’intérêt pour les activités physiques et sportives, un mètre soixante-six, cheveux courts bruns foncé, des yeux marron clair, joliment dessiné, ni gros ni maigre. Toujours souriant et serviable en général. Ses hormones se bousculent à tout vas, encore quasi imberbe corporel, seuls ses poils pubiens ont montré leurs nez, formant une petite touffe broussailleuse. Tony, pour le nommer, est accompagné de son frère aîné. Celui-ci, Juan, du haut de ses vingt ans (il en parait un peu plus) remplace l’autorité parentale, pas loin du mètre quatre-vingt-cinq, le corps massif, dus au travail fourni en salle de sport. La peau mate, des yeux d'ébène, les cheveux noir corbeau en bataille et une courte barbe soignée. Tony jalouse les poils de son frère lorsque qu'il exhibe son torse. Sur sa musculature de rugbymen, quelques poils entre ses pectoraux forment une traînée qui part se perdre dans ses jeans bien tendus. Il n'est pas en couple et chasse presque tous les jours la gueuze avec son ‘’best friend’’. L’ami justement, David, jeune homme mince d'apparence, dix-neuf ans, légèrement plus petit que son pote, du genre à paraître maigre sous ses vêtements, les filles craquent rapidement pour sa gueule d'ange au regard hypnotique. Les cheveux brun foncé, toujours courts, le visage bien raser, des yeux noisette, un sourire coquin et le caractère espiègle. Son teint mat en été lui donne un bronzage très soutenu, le corps presque imberbe, quelques poils se battent en duel autour de ses tétons quand il est torse nu, avec la petite ligne de poils fins, naissant sous son nombril et qui finit par se cacher sous l'élastique de son boxer ou caleçon dépassant constamment de ses pantalons. *** … La semaine suivant notre arrivée, David, durant le weekend, se laisse entraîner dans de mauvais lieux par des copains de virée, et tout bêtement, y a choppé ses premiers morbacs auprès d’une belle de nuit chez qui il est resté dormir. Grosse panique !!! A la première pharmacie de garde, le dimanche matin, il a acheté les produits nécessaires et s'en est badigeonné, avant de reprendre la route du retour. Le temps du trajet lui permet de dédramatiser et au spray d'agir. (Mode d’emploi et instructions sont appris par cœur) Juan est à la mer ce jour-là, sa copine du moment repartant fin de journée et il profitait de sa présence, peu farouche, aussi longtemps que possible. Moi, j'étais allé faire un foot avec des copains du camp et revenais prendre une douche, vu ma forte suée, alors que je n’ai sur moi qu’un short large au filet intégré. Je passe, sans le remarquer, un sac poubelle près de la porte. Je rentre dans notre caravane, tirant sur le cordon retenant mon short et, le laisse tomber en même temps que j’ai la main sur la clenche de la porte de la salle d'eau, pressé de me rafraichir... Surprise ! David est dans la douche, il tient à la main un rasoir jetable et il est couvert de crème à barbe… pas sur le menton, non… mais sur sa queue et ses couilles, je n'ose bouger, le short sur mes sneakers, personne ne parle, je fixe sa queue en érection, dix-sept beaux centimètres, et il me fixe aussi. Je sens ma verge qui fait des soubresauts au vu du spectacle. C'est moi qui brise la glace en disant, désinvolte au possible : —Putain, qu’es-tu fout Dave, on dirait que t'as un gros problème entre les jambes ! Il me répond qu’ils ne sont pas aussi gros que ça ‘’les problèmes", mais nombreux et m'explique la situation, racontant ses " squatteurs ", le traitement choc et ses fringues dans le sac poubelle. On part en fou rire tous les deux à son évocation de « la salope de compète qui distribue ses morbaks comme bonus ‘’pubiscitère’‘, en souvenirs de visite ». —Par contre, j'ai vachement peur de me couper, je vois pas ce que je fais. —Je peux te le faire, si ça ne te dérange pas ! Je lui offre spontanément, avant de rougir de mon audace. —Heu... Ok Tony, merci ! C’est sympa de ta part. Je vire mes shoes et enjambe le tissu à mes pieds, pour le rejoindre. —En tous cas, la situation ne t’empêche pas de bander grave ! —Non, ça c’est sûr ! Se manipuler la nouille fait son effet, bien que ce soit pour me la rasée, elle réagit automatiquement ! —Mais en même temps c’est pratique, raide ainsi elle tend la peau et facilitera le taf ! Je me saisis de son coupe-chou trois lames d'une main, l'autre s'occupant de tenir ses trésors. Je manipule sa queue avec douceur et je réussis à ne pas (trop) bander. Avec prudence, je fais glisser les lames sur son épiderme et vois sa peau réapparaître, blanche et douce. J’avais l’impression de le voir revenir petit garçon, avant sa puberté. David, constatant que j'avais fini la partie rasoir. —Tu m'aide aussi pour le reste ? et, avec un clin d’œil, il me tend un pot à pompe. Etiqueté : Veet homme. Crème d’épilatoire —Okayyy Dave, donc si j'ai bien compris c'est les grandes manœuvres ! —Tout à fait Toto, c'est la chasse... aux totos ! hi, hi ! Et tondu pour tondu, autant voir grand, ça fera culturiste. —Sauf que toi t’es plus cul-touriste ! hi, hi ! —Pas faut ! Se marre-t-il. Et il se positionne jambes écartées mains sur la tête. J’étale la crème épilatoire sur ses aisselles ainsi que sous ses couilles et le pourtour de sa bite. Même le petit duvet à l'entre-fesses disparaît, jambes et bras inclus. Le "reste" étant déjà sans pilosité. Bref, je l’épile total. Aucune parcelle de son corps n’est oubliée, du cou au orteils. —Tu bouge-pas, dans trois minutes je te racle et on te rince. Dans les égouts tes visiteurs vont pouvoir faire du surf sur tes poils ! Lol ! —Ils s’en font des couvertures s’ils le veulent, du moment qu’ils partent loin de moi. Avoir des locataires qui ne payent pas le loyer… très peu pour moi ! hi, hi ! Une bonne douche fait disparaître le tout. J’avais devant moi un beau et lisse jeune homme, sa queue mise en avant plan, n'en est que plus en valeur. Une fois l'œuvre achevée. Le grand garçon, effleure son torse glabre, son ventre, ses fesses. Une de ses mains glisse entre ses cuisses et caresse les bourses sans poils, le périnée si doux puis remonte doucement le long de la verge, qui n'a pas débandée de la séance, la décalottant peu à peu par ses attouchements. —Ouah, c’est super doux… la sensation est géniale ! —David, tu es encore plus beau, comme cela ! lui dis-je, ému malgré moi. Il s'avance vers le miroir, se regarde de face, de profil, de dos. Un grand sourire sur les lèvres, il me dit que l'effet est superbe et que maintenant il se rasera régulièrement, vu qu’en plus, elle parait bien plus longue sans poil. Avec un sourire désarmant et coquin, David m'envisage. —À ton tour, Tony ! —Co-comment, t’es ouf toi !! j’y tiens ! —Tu viens de me dire que c'était beau, et il paraît que ça repousse plus fourni (totalement faux), alors c'est d'accord ? Et, qui sais, ils n’étaient peut-être pas tous clamsés quand tu étais à côté de moi ? dit David, un peu plus sévèrement. Je frémi à l'idée, ne sait plus quoi dire ou faire. M’imaginant envahi d’une horde de ces vampires minuscules, canines sanguinolentes en avant.... Brrrrrrrrrr ! —Alors, Toto, on y va pour ce ratiboisage ? Passant par toutes les couleurs et après un moment de silence, je réponds : —Oky ! Vas-y fais-le ! David, étend du gel sur ma petite toison chérie. Au contact de ses doigts, mon porte-étendard se hisse instantanément, (presque) à l'identique du sien. Mes quinze centimètres, trois millimètres (je vérifie régulièrement) visent le plafond. Je jouis de la lame sur ma peau mate, David tient ma queue pour effectuer son boulot et en une quinzaine de coups de rasoir, c'est complètement clean. Nous sommes deux "totalement" nus cette fois, les zgegs raides, dur à casser des planches de Jatoba tropical d’un coup et larmoyants le trop plein de nos glandes de Cowper. Une tension sexuelle flottant dans l'air, palpable. David, les yeux vitreux, a encore mon zob en main, et me masturbe lentement. J'attrape le sien et calque son mouvement de plus en plus rapide. Trois minutes, et ma queue est prête à juter, je sens les contractions annonciatrices, je me vide les couilles à fond, en gémissant de bonheur. Poissant nos corps. Et, au rythme de mes spasmes, resserre ma prise sur la barre bouillante de David, qui rugit peu après en déchargeant à son tour sur mon torse. On repasse tous les deux sous la douche, les jambes flageolantes, savonnages et caresses toutes amicales, puis rinçage et essuyage. Des étoiles encore présentes dans nos yeux. Enfin, application mutuelle d'une crème hydratante, riant de rebander à moitié des effets produits par le toucher de notre épiderme sensible et, sans besoin de se concerter, nous restons nus le temps de bien laisser sécher. Une nouvelle complicité venait de naitre… Dans la conversation : —MON cher Tony, si besoin, tu m’aiderais encore une prochaine fois ? —Tout à ton service, MON grand, ce sera avec un immense plaisir, promis, mais seulement si tu me le fais aussi ! Finalement j’aime mieux comme ça ! —Ok deal ! Tope la ! Une quinzaine de minutes plus tard… Juan rentre de sa virée, et nous trouve jouant aux cartes vautré sur la banquette, à poils (surtout sans) et en pleine discussion. Sans nous chamailler et riant à gorges déployées de nos couillonnades, copains comme cochons ! !?? — Z’avez fumé les mecs où quoi ??! L’œil soupçonneux. David, omettant le passage branlette, lui fournit les explications. Juan, un sourire au début, fini l’écoute se retenant de rire, lèvres pincées à l’extrême et les yeux plus écarquillés que ceux d’un grand-duc. À l’instant où David termine sa narration par : —Oh con… J’t’ai pas dit le pire dans toussa, le pharmacien…ben c’était une jeune pharmacienne ! Il craque l’escogriffe et part en fou rire, s'écroule au sol, se tient le ventre, pleure, hoquette, vire au cramoisi, s’étouffe, nous regarde et repart de plus belles, hilare. Par la fenêtre nous voyons tous les promeneurs tourner la tête en passant devant notre emplacement, son rire leurs amenant la banane tellement sa voix porte. —On l’a perdu cet abruti, c’est sûr qu’il va en crever ! Me souffle à l’oreille David, mi-figue mi-raisin. Plus de dix minutes, pour que ce grand couillon de la lune reprenne sa respiration et arrive à se redresser. Il est en nage, les bronches en feu, le visage rubicond et en tremble. Ses yeux toujours larmoyants rient de concert. Et c’est avec le bas de son tee-shirt qu’il s’éponge la figure entre deux larmes. Nous n’osons plus dire quoi que ce soit de peur de relancer la machine ! —J'ai failli me pisser dessus, bande d'andouilles, hi hi... mais ne comptez pas sur ma solidarité, hi hi !! ... Je garde ma moquette, moi ... Pfff, Y a deux préados, maintenant ! hi hi hi ... c'est largement suffisant ! hi hi hi ... Et soudain il détalle comme une fusée en criant "PIPI !" se soulager contre un arbre à côté de la caravane. C'est notre tour de nous marrer... en voyant son jet d'urine qui suit le mouvement ondulatoire dû à son nouveau fou rire... Plusieurs heures pour qu'il puisse se remettre vraiment car chaque fois qu'il nous regarde son fou rire le reprend. Fin
&
Petit bonus, Raser les poils du pénis et des testicules, épiler à la cire/ crème dépilatoire le pubis, les aisselles, les cuisses, etc... Quel que soit la méthode, après, toujours appliquer sur la zone épilée une crème hydratante, apaisante. Eviter tous gels ou produits contenant de l’alcool. Ça piqueuuuuh ! +_+
VERIDIQUE Morpions : Le pou adulte peut pondre au niveau de la base des poils de son hôte jusqu’à 25 œufs (lentes) par jour. Leurs nouveau-nés éclosent six à huit jours après la ponte. Le traitement s'effectue en 2 fois : la première application élimine les morpions adultes ; la seconde application, 8 jours plus tard, éradique les larves qui viennent d'éclore. Le rasage total n’évite pas le traitement. En effet les lentes sont souvent à la base du poil, mais les adultes doivent être éliminés avant, afin d'éviter le risque de migration vers d'autres régions pileuses. Conseil : Faites le premier traitement et le lendemain attaquer l'opération poils. Sachez que ces poux ne peuvent survivre plus de deux jours hors contact avec l'homme. Vous n'avez pas besoin de jeter tous vos meubles, bruler vos couvertures ou acheter de nouveaux vêtements (sauf en cas de soldes) puisque le pou du pubis meurt au bout de 48 heures s'il ne trouve pas d'hôte humain. Si vous arrivez à traiter toutes les personnes infectées, laver votre literie et suivre les directives thérapeutiques, vous préviendrez facilement le risque d'infection. Avoir les ongles courts et bien propres (au cas où ça gratte) ; Changer de vêtements, de draps et de serviettes tous les jours et les laver à au moins 60 °C pendant une période de 10 jours ; Conserver les vêtements qui ne peuvent pas être lavés à au moins 60 °C dans un sachet plastique fermé pendant quelques jours (72 heures min) ; Passer l'aspirateur énergiquement sur les tapis et les coussins. + O +
Et comme pénitence à vos turpitudes (souvent black-roomesque) faites le ménage de printemps, carreaux compris, même si c'est en plein hiver ! oOoOo Rasage et autres éliminations pileuses ; Au début, on doit parfois affronter les picotements, les démangeaisons ou les microcoupures… ou rien du tout pour les plus doués. Mais, comme pour tout, on apprend de ses erreurs. Après quelques temps -où il faut faire très attention- on prend l’habitude et ça devient de plus en plus facile et ça plaît bien en général. Alors, en m'appuyant sur d'autres en plus de mon expérience personnelle : Comment se raser les parties intimes ? Ce dont vous avez besoin : Une tondeuse à barbe ou à cheveux Une paire de ciseaux (pas trop grand) Un rasoir (lames neuves de préférence) Une huile de rasage (ou mousse) Une huile ou un soin d’après rasage (sans alcool) Une baignoire ou d’une douche Les étapes pour se raser les parties intimes : 1 – Taillez vos poils avec une tondeuse électrique à barbe ou à cheveux en utilisant un sabot de 1mm. Ceci facilitera le rasage car les poils longs ne se bloqueront pas dans les lames du rasoir, ce qui vous évitera de passer des moments très douloureux ! (sabots de 3mm à 5mm conviennent si c'est juste pour élaguer) 2- Au niveau des testicules prenez une paire de ciseaux car la peau du scrotum est très fine et lâche. Si vous passez avec la tondeuse, vous risquerez également de vous faire mal. En effet, la peau étant très détendue à cet endroit, le risque que la tondeuse tire votre peau est fort et presque inévitable ! (le fait d'être en érection aide à tendre la peau) 3 – Une fois vos poils tondus, il est conseillé mais pas obligatoire, de prendre un bain chaud ou une douche chaude. Ceci permet de rendre le poil pubien plus souple et facilitera le rasage. 4 – Vous pouvez vous rasez dans votre bain ou sous la douche. Si vous ne souhaitez pas le faire à ces endroits, trouvez un lieu où vous pourrez être à l’aise. Allongé ou assis sur un lit, sur une chaise, sur la cuvette des toilettes etc. 5 – Utilisez une huile de rasage plutôt qu’une crème à raser ou une mousse à raser. Il est préférable de voir là où vous allez vous raser, ce qui sera très difficile à faire avec une crème à raser ou une mousse. Mettez donc quelques gouttes d’huile dans votre main et massez-la sur vos poils dans le sens inverse de la pousse. 6 – Munissez-vous de votre rasoir et rasez-vous les poils pubiens en tirant sur votre pénis : vers le bas, lorsque vous rasez la partie supérieure. Vers la droite, lorsque vous rasez à gauche et vers la gauche lorsque vous rasez à droite. Prenez soin de toujours vous raser dans le sens de la pousse du poil pour éviter les poils incarnés ! 7 – Au niveau des testicules, tendez la peau des scrotums lorsque vous passez le rasoir. Le rasage sera plus sûr et plus facile à cet endroit ! 8 – Après avoir fini le rasage de vos parties intimes, n’oubliez pas d’utiliser un soin après-rasage non-alcoolisé ! Ceci permettra d’hydrater et de nourrir votre peau ainsi que de prévenir les irritations. Bien évidemment, si vous ne souhaitez pas vous raser à blanc le pubis et les testicules, vous pouvez directement vous arrêter à la deuxième étape ! oOoOoOoOo Les crèmes dépilatoires sont un autre choix, mais toutes les peaux ne les supportent pas. Cependant, si vous faites d’abord un test cutané et que vous suivez les instructions à la lettre, vous trouverez peut-être que les crèmes dépilatoires sont la meilleure option pour vous, que ce soit pour la région pubienne ou le SIF (sillon inter fessiers) utiliser la formule pour peaux sensibles pour une protection supplémentaire, en raison de la nature sensible de la zone. Bon après, si vous n’y arrivez pas seul et que demander à votre partenaire (ou ami(e) ?) vous fait trop honte, n’oubliez pas qu’il existe les esthéticien.ne.s et leurs offres multiples ! Et au moins, aucun risque d’erreur ! P.S. : On entend souvent ; … a la repousse, ça repousse plus épais, ... Faux ! ce n'est qu'une impression de plus dru, après la sensation peau de bébé. Bon essai (ou non) suivant vos choix. Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont les miennes (g@y-tous styles) ) - Lange128 - 09-08-2020 Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member] pour ces intéressantes précisions. Si j’avais su cela lorsque j’étais à l’armée, je ne n’aurais pas eu besoin de demander à un autre soldat ce que c’était. Je ne sais pas pourquoi il s’était confié à moi pour me parler de l’envahissement de son pubis, alors que je ne le connaissais pas car il venait d’une autre unité. Il n’y avait pas eu de contagion et nous n’avons (mal)heureusement pas eu de désinfection collective par un soldat sanitaire, en rang et le slip baissé. Il y également l'épilation à la cire chaude. Si on la fait dans un institut, je ne sais pas si le conseil au sujet de l’érection s’applique aussi… Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont les miennes (g@y-tous styles) ) - bech - 09-08-2020 Pour les vêtements, en relisant le texte, j'avais pensé plutôt à les mettre quelques heures dans un congélateur. Si les vêtements sont bien secs, un tour dans le four à micro ondes peut aussi être un truc à essayer. Mais ne pas le faire avec du cuir. Et sinon, rester un bon moment dans l'eau (baignoire), le plus immergé possible, ça ne permet pas de noyer ces petites bêtes ? Re : Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont les miennes (g@y-tous styles) ) - fablelionsilencieux - 12-08-2020 (09-08-2020, 07:46 PM)bech link a écrit :Pour les vêtements, en relisant le texte, j'avais pensé plutôt à les mettre quelques heures dans un congélateur. Congélateur ou micro- onde, aucune idée du résultat ! L’immersion dans l’eau ne va pas noyer les lentes et ces bestioles peuvent aller se réfugier dans les sourcils, la barbe ou les cheveux ! Donc à moins d’être un triton… Re : Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont les miennes (g@y-tous styles) ) - fablelionsilencieux - 12-08-2020 (09-08-2020, 08:44 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member] pour ces intéressantes précisions. [member=28]Lange128[/member], En instituts, suivant la personne et son doigté, il arrive que des érections (plus ou moins forte) se produisent. Mais elles ne sont pas nécessaires au processus, en bon professionnels, les praticiens ont la technique nécessaire pour tendre la peau et, sauf cas particulier, ne se formaliseront pas pour une réaction mécanique de la chose. C’est généralement le client qui est le plus dans l’embarras, surtout si c’est sa première visite. Soit : il abandonne, change de technique, change de salon en cherchant à trouver une personne qui ne l’attirera pas du tout (pas forcément efficace, si on est sensible aux manipulations) ou alors, si il a été mis en confiance et que ‘l’anecdote’ ait été dédramatisé, il devient un client fidèle de l’esthéticien.e ! Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont les miennes (g@y-tous styles) ) - fablelionsilencieux - 13-08-2020 Roméo et Julio, Année 1593. William Shakespeare crée les amants de Vérone Roméo et Juliette. Année 1993. Une représentation de la pièce, modernisée, est donnée : Roméo et Julio ! L'un des acteurs principaux pose devant la peinture représentant Juliette -son rôle-, mais dans sa tête la fiction est-elle si loin de la réalité ? Son "Roméo" lui semble accessible et si loin en même temps ... Et si, pour la dernière de ce soir, quand ils sont nu sur scène dans la pénombre, avant leur séparation forcée, à la place de mimer et faire semblant de lui prodiguer une fellation puis de lui offrir ses fesses fictivement… "Oui, ce soir j'ose !" Pensa-t-il, déterminé du haut de ses 18 ans. Rentré chez lui il avait préparé son corps avec minutie, vérification tatillonne de son épilation intégrale, douche aux senteurs de vanille, hydratation de sa fine personne au lait corporel à base d'huile de monoï, lui laissant ce toucher satiné d'une peau de bébé. Lavement approfondi et enfin, bien lubrifié, port d'un plug préparatoire jusqu'au moment du fameux acte. — Ce soir je meurs sous la dague de son refus ou je vis pourfendu de son glaive ! Fit-il face à son reflet alors qu'il poussait la porte vitrée du théâtre. Durant l'acte lll scène 3. (Une musique baroque, douce et romantique en léger fond). Sur scène un lit trône, sur eux, comme seule parure, un projecteur "de nuit" se promène. Leurs nudités voilées en un halo bleuté, splendeurs juvéniles transcendées par ce clair-obscur. Assombrissement complice de nos amoureux. 500 personnes en salle attendaient le point d'orgue du spectacle, selon les critiques, la simulation parfaite de l'amour charnel au masculin. L'instant est crucial, assis sur le lit et attirant son partenaire face à lui, fini les simulacres, Julio avance les lèvres et les referment sur le Saint Graal. Il se mit à téter ce gland, à exercer une succion, à aspirer ce piston de chair. Qui s'épanouit instantanément... Malgré la surprise de ce passage à l’acte réel, l’acteur en herbe ne perd pas son sang-froid -si j’ose dire- et, reprenant la trame de la fiction, réalise devant le public ce qu’ils imaginaient être des ‘jeux d’acteur’ très bien mis en scène… Il bascule Julio sur le dos, les fesses au bord du matelas, réalisant de visu que celui-ci bande roide tout comme lui ! Roméo se place à l’entrée du conduit de Julio, après avoir mis ses jambes sur ses épaules puis entre comme dans du beurre dans le fondement de son ami. (Peu étonnant, vu le traitement préparatoire que celui-ci lui a fait subir.) Pendant de longues minutes ce -new style- Montaigu encule son ami et commence réellement à ressentir de l’amour pour ce jeune homme androgyne au visage angélique. Il lâche les chevilles de Julio et l’embrasse fougueusement tout en continuant de le ramoner fougueusement. Le voleur de son cœur continuant de le sodomiser avec de plus en plus d’entrain, la situation prêtant à l’excitation ! (587 spectateurs, machinistes et acteurs en coulisse compris) Julio, lui, perdu dans un autre monde continue de savourer la plénitude rectale qu’il est en train de subir, son amour le possède maintenant avec de grand « Han » de bucheron, il ne vit plus que pour la colonne de chair qui lui pourfend le fondement. Son fantasme de toujours se réalise enfin et il ne voudrait pas que cela se termine. Roméo le posséde au plus profond de son être, il sort sa lance entièrement de sa cible pour la replonger la seconde suivante jusqu’à la garde. Ils changent de position pour se mettre en levrette, la sensation n’en est que plus forte et l’assaillant continue de le posséder par son membre, l’ambiance sur le décor devenait bouillonnante, nonobstant les faibles lumières froides, ils étaient depuis un moment trempés de sueur et dégoulinait tous deux. Se sentant sur un ile déserte et pourtant en pleine vue d’un parterre et balcons aux yeux tous rivés sur eux. L’enculade se prolonge pendant de longues minutes et, fiché au plus profond, le chevaucheur finit par éjaculer en feulant dans les entrailles de son ami. Le contact du gland vibrant sur sa prostate en crachant ses fluides spermatiques dans son réceptacle déclenche un orgasme foudroyant à notre jouvenceau, il se cambre au maximum pour accentuer la pénétration puis retombe comme une masse sur le lit entrainant avec lui son ami qui, réellement à présent, était devenu son amant. Le lit craque une dernière fois et des gorges de ces tourtereaux, un dernier gémissement rauque résonne. Tombé du rideau, sous les applaudissements nourris du public enthousiaste ! Ils repartiront ensemble ce soir-là... et beaucoup d'autres par la suite. NB : La tournée à eu un succès fou -Suisse, Belgique, Québec,...- et énormément de prolongation. Chaque soir ils étaient repartis pour un nouveau numéro d’exhibitionnistes. (À leurs corps défendant… bien sûr) Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) - bech - 13-08-2020 Je ne me souvenais plus que cette histoire était en relation avec le tableau. Re : Re : à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) - fablelionsilencieux - 13-08-2020 (13-08-2020, 12:28 PM)bech link a écrit :Je ne me souvenais plus que cette histoire était en relation avec le tableau. Il faut dire que le sujet date de septembre 2019 et a inspiré quelques auteurs : [member=87]Louklouk[/member] , [member=28]Lange128[/member] , françois18480, toi [member=27]bech[/member] et finalement moi ! |