JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) (/showthread.php?tid=2) |
Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 30-07-2020 Bonjour emmanolife, merci de suivre le récit et de laisse un commentaire. C'est ton avis, il est possible que Phil soit parfois un peu lourd, et encore! N'hésite pas à donner ton avis! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 30-07-2020 Bonjour Ivan055, merci à toi de suivre le récit et de donner ton avis. N'hésite pas à commenter, ça me fait plaisir! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - AL gayman - 01-08-2020 Coucou Philou, Ben finalement j'ai pris l'option "mise à jour" lol le dodo dans quelques minutes. Ahhhh les questions qui n'ont pas de réponse claires et nettes……….. Ca c'est chiant tant pour un ado que pour un adulte, ça fait cogiter et échafauder tout un tas de possibilités qui tournent sans cesse dans la tête. Bon vivement les retrouvaille de ce WE et après faudra voir à crever l'abcès tout en étant délicat………. Bisous Alain Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 01-08-2020 (01-08-2020, 02:08 AM)AL gayman link a écrit :Coucou Philou,Bonjour AL gayman, merci à toi de suivre le récit et de laisser un com! Oui, ils doivent attendre pour savoir où ils en sont. Ils se reverront le week-end et ce sera l'occasion d'en savoir plus! Bon WE. Philou JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 01-08-2020 J’étais descendu du bus et je revenais vers la maison. En chemin, je m’étais dit, Phil arrête de gamberger, ce soir tu seras chez Julien et tu verras bien comment les choses se passent. Une fois à la maison j’avais fait un petit sac avec quelques affaires de rechange pour le week-end. J’avais aussi pris un paquet de capotes, on ne sait jamais. Maman était rentrée. Elle était montée dans ma chambre pour voir si j’étais prêt. Elle avait frappé à la porte et elle était entrée. J’avais juste eu le temps de planquer les capotes et le tube de lubrifiant. Ouf. J’avais dit à maman : Moi : « Enfin maman, tu aurais pu attendre que je te dise d’entrer. Tu sais bien que c’est mon domaine. » Maman : Oui Phil, je sais, je te demande de m’excuser. Moi : Oui, maman, merci. Mais la prochaine fois attend un peu, tu t’imagines si tu m’avais trouvé occupé de me branler ! Maman : Oui, c’est vrai tu as raison et de plus c’est bien de ton âge mon ado adoré ! Moi : Oui maman, je sais, mais c’est dans la nature des choses et puis c’est mon jardin secret ! Maman : Très bien Phil, d’ailleurs je le conçois très bien, tu dois avoir des moment d’intimité et c’est logique ! Moi : Merci maman, tu sais je t’aime. Maman : Moi aussi mon grand bêta ! Nous nous étions étreints. J’aimais encore, à mon âge, de faire des câlins à ma maman chérie ! Mes affaires étant prête dans le sac de sport, j’étais descendu et j’avais rejoint maman. C’était elle qui devait me conduire chez Julien. Nous avions attendu encore quelques minutes avant de partir. Et puis j’appréhendais le moment où j’allais retrouver Julien. Avait-il encore des sentiments pour moi, malgré ce qu’il me disait au téléphone l’autre soir, ou était-ce seulement pour le sexe, sans plus, qu’il souhaitait me revoir. Nous arrivions un peu avant 19h00 chez Julien. J’avais été déposé sur le trottoir juste devant la maison par maman qui était repartie aussi vite. Elle savait que je n’aimais pas les effusions devant mes copains et mes copines. Me voilà devant la porte d’entrée, j’avais à peine mis le doigt sur le bouton de la sonnette que la porte s’ouvrait. C’était Julien qui avait ouvert. Il affichait un large sourire auquel j’avais répondu en lui souriant. Julien me dit alors : Jul : Salut Phil, je suis content de te revoir, allez entre ! Moi : Salut Julien, moi aussi je suis heureux d’avoir été invité et de te retrouver. Je m’étais approché de Julien pour lui donner au baiser, mais je m’étais ravisé en voyant son regard changer. Je lui avais alors seulement fait la bise. Je m’étais alors rendu compte que les parents de Julien étaient présents. Le papa de Julien était assis dans le salon et la maman devait être dans la cuisine. Je m’étais approché du papa et je l’avais salué : Moi : Bonsoir monsieur. Pierre : Bonsoir Philippe, tu peux m’appeler par mon prénom, moi c’est Pierre. Moi : Oui, merci monsieur, oh, je voulais dire Pierre ! Pierre : Sois le bienvenu chez nous. Je sais que ma fille Stéphanie est très amie avec ta sœur Delphine, je suis heureux de te connaître aussi. Moi : Merci Pierre, de même pour moi. Jul : Viens Phil, on va saluer maman, elle est à la cuisine, elle prépare le dîner. Une fois à la cuisine la maman de Julien se retourna vers nous. Elle me dit alors : Béa : Bonsoir Philippe, moi c’est Béatrice et tu peux m’appeler par mon prénom. Moi : Bonsoir Béatrice. Je m’étais avancé et j’avais fait la bise à la maman de Julien, Béatrice. C’était une femme qui approchait de la cinquantaine mais qui avait encore un physique très agréable. Elle avait les cheveux blonds et longs. On voyait qu’elle aimait être à son avantage. Pierre lui aussi était un homme qui avait la bonne cinquantaine, cheveux grisonnants, une fine barbe foncée sous forme de collier, ce qui lui allait très bien. Il avait un allure de sportif bien dans son corps et dans sa tête comme on dit ! Une fois les présentations terminées, Julien m’a proposé de voir sa chambre. Nous étions donc montés à l’étage. Il ouvrit une porte et de suite j’avais vu une chambre d’ado avec des posters aux murs, beaucoup de couleurs, une installation hifi pour écouter de la musique, bref tout ce que j’aimais. Une fois la porte fermée, Julien s’est approché de moi. Il avait posé ses lèvres sur les miennes et nous nous étions embrassés fougueusement, nos langues s’étaient trouvées, elles s’étaient retrouvées et elles allaient dans nos bouches en se mêlant. Nous avions les yeux fermés et nos corps étaient sensibles à nos caresses, nous nous retrouvions. Nos retrouvailles avaient duré un bon quart d’heure. J’étais enfin en partie rassuré, Julien était encore amoureux de moi. Nous nous étions ensuite couchés sur son lit. Nous nous étions regardés, les yeux dans les yeux sans parler. Nos mains étaient collées l’une à l’autre. J’avais alors ouvert la bouche en disant à Julien : Moi : Tu ne peux t’imaginer combien tu m’as manqué ! Jul : Toi aussi Phil, tu m’as manqué ! Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nos bouches étaient constamment l’une sur l’autre, nos langues se titillaient l’une l’autre, nous étions juste bien, le moment présent était très plaisant. Nous nous étions rajustés pour descendre et ainsi rejoindre la famille de Julien pour le dîner. Nous avions rejoints dans le salon Béatrice et Pierre, les parents de Julien ainsi que sa sœur Stéphanie. J’avais fait la bise à Stéphanie, qui venait de rentrer. Nous nous étions installés dans les fauteuils pour prendre l’apéro. Pierre me demandait ce que je voulais boire, je lui avais répondu qu’un soft c’était très bien. Pierre m’avait dit : si tu veux tu peux avoir autre chose, mais ce n’est pas moi qui te forcerait à boire. J’avais alors opté pour un pastis. Julien avait lui aussi demandé la même chose, de même que sa sœur. Les jeunes étaient unanimes concernant les boissons. Nous avions discuté de tout et de rien. Après cet apéro, nous étions passés à table. Béatrice avait préparé du melon accompagné de jambon italien et ensuite nous avions pu déguster des côtes d’agneaux avec haricots princesses et pommes de terre en chemises. C’était délicieux. A l’issue du repas, Pierre, le papa de Julien, avait servi une mousse au chocolat surmontée d’un peu de crème fraîche. Julien et moi nous avions ensuite donné un coup de main à Béatrice pour débarrasser la table et l’aider à faire la vaisselle. La soirée s’était déroulée assez calmement, devant la télévision. Nous avions regardé une émission de variétés. Vers 23 heures, nous nous étions regardés Julien et moi et nous nous étions compris, nous nous étions levés en même temps et nous avions salués la famille. Nous étions remontés dans la chambre de Julien pour aller dormir. Une nouvelle fois la porte de la chambre fermée, Julien m’avait embrassé. Nos bouches s’ouvraient pour laisser nos langues s’enlacer. Nous nous étions déshabillés, et nus, nous nous étions couchés sur le lit de Julien. Nous nous étions caressés, nous étions embrassés, nous nous cajolions. Nos anatomies s’étaient réveillées, nos sexes étaient bandés, nous avions tous nos sens en éveil. C’est moi qui avais commencé par poser ma main sur les attributs de Julien. Je m’étais mis à flatter ses bourses et son sexe bandé. Julien de son côté fit de même, sa main s’était aventurée sur mon sexe dressé. Nous nous masturbions doucement, profitant du moment présent, savourant d’être à nouveau réunis. Nous nous étions donnés du plaisir durant une bonne demi-heure avant d’accélérer les choses, nous nous étions placés tête bêche et nous avions commencé à nous sucer mutuellement avec délectation. Nous savourions le pénis de l’autre avec envie. Nous nous étions cambrés presque en même temps, nous savions que nous allions arriver à un point de non-retour, puis dans un râle commun, nous avions laissé s’échapper notre semence dans la bouche de notre partenaire. Nous nous étions relevés et nous avions échangé un baiser en mélangeant nos semences. Moi : Merci Julien, j’ai adoré ! Jul : Moi aussi, j’ai bien aimé ; merci ! Nous nous étions endormis, dans les bras l’un de l’autre, fourbus ! Le jour était levé, le soleil brillait déjà et ses rayons éclairaient la chambre en passant au travers de l’espace laissé entre les tentures. Julien et moi étions encore dans les bras de l’autre. Nous avions donc passé la nuit unis, dans les bras de l’être aimé. Ayant entendu du bruit, je m’étais un peu reculé et j’avais relevé la couette sur nos deux corps nus. Julien dormait toujours. Je m’étais mis dans une position me permettant de voir s’il y avait du mouvement à l’entrée de la chambre. J’avais vu la porte s’ouvrir lentement. J’avais vu passer la tête de Béatrice, elle regardait en direction du lit et elle voyait que nous étions encore endormis. J’avais évidement fait semblent de dormir. Heureusement que je m’étais rendu compte que quelqu’un était déjà réveillé pour remonter la couette sur nous, je n’osais imaginer être surpris à poil dans les bras de Julien au petit matin ! Quelle honte cela aurait été pour nous deux. Béatrice avait alors murmuré : Béa : Il est temps les garçons, il faut se lever ! Moi : Ah, oui. Bonjour Béatrice. Je vais réveiller Julien, je crois qu’il dort encore. Nous allons descendre dans cinq minutes le temps de nous rafraîchir. Béa : Oui, ça va, mais ne trainez pas trop. Moi : Pas de problème. J’avais alors réveillé Julien. Je lui avais expliqué la venue de sa maman et ma réaction avant qu’elle n’ouvre la porte de la chambre. Moi : Julien, je ne veux rien dire, mais je suppose que tes parents ne sont pas au courant au sujet de notre relation. Jul : Non Phil, ils ne sont au courant de rien. Si mon père apprend ça je ne sais pas ce qu’il peut faire, j’ai peur de sa réaction. Moi : On l’a échappé belle, je te signale que mes parents ne sont également pas au courant pour nous ! Jul : Il faut qu’on fasse gaffe ! Moi : Je ne te le fais pas dire ! Nous nous étions levés. Nous avions été prendre une douche, ensemble dans la salle de bain. Nous nous étions habillés pour descendre prendre le petit déjeuner. Béatrice et Pierre étaient déjà attablés, Stéphanie n’était pas encore descendue. Nous avons fait la bise à Béatrice et Pierre puis nous nous étions donc installés, pour partager ce repas avec la famille de Julien. Stéphanie était alors arrivée, elle avait salué ses parents et nous avait fait la bise, avant de s’asseoir avec nous. Béatrice nous a demandé si nous avions bien dormi. Nous lui avions répondu que oui, que la nuit avait été bonne. J’avais remarqué que Stéphanie affichait un petit sourire à ses lèvres. Elle savait, à son regard, que nous avions passé une excellente nuit, entre garçons qui s’aiment. Je supposais que les parents de Julien n’étaient pas au courant de sa relation avec ma sœur Delphine. Voilà justement Pierre qui me demande comment va Delphine. Je lui avais répondu qu’elle allait bien et qu’elle préparait la rentrée universitaire. Bref rien de particulier. Puis il me demanda comment j’allais, ce que je faisais comme étude, en quelle année j’étais, etc. C’était un véritable interrogatoire. J’avais compris ce que Julien m’avait dit concernant son père et du fait qu’il avait peur de sa réaction. Béatrice était un peu en retrait, elle ne parlait pas beaucoup. Selon moi elle était soumise à son mari et n’avait pas voix chapitre ! Je me demandais pour quelle raison elle avait été voir ce qui se passait sans la chambre de Julien au réveil. Avait-elle des doutes, ou alors avait-elle quelque chose à dire et qu’elle n’osait pas. J’allais devoir poser la question à Julien quand nous serions seuls. Re : JULIEN (ado - gay) - Ivan055 - 01-08-2020 Salut Philou ! Super suite, phil est prévoyant dis donc, effectivement ils ont passés une bonne nuit, Délphine à peut-être eu écho de la petite soirée que les deux garçons ont eut qui sais ? Béatrice parait effectivement soumise, à vrai dire je l'avais senti rien qu'a la description du père ! D'ailleurs ça ne m'étonnerai pas qu'il soit homophobe... Phil et sa mère on une relation assez fusionnel, car peu de mère et de fils ont des conversations telle que celle-ci, c'est un point plutôt positif! Merci pour ce beau récit ! Bisous Ivano Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 01-08-2020 (01-08-2020, 03:45 PM)Ivan055 link a écrit :Salut Philou !Coucou Ivano, Beau résumé de cette suite. Oui la maman de Phil semble très fusionnelle avec son fils. Les parents de Julien sont accueillants mais on ne les connait pas trop. Le père de Phil lui aussi, on ne sait pas trop ce qu'il pense! Les suites pourraient bien éclairer nos idées, bonnes ou fausses! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - Lange128 - 01-08-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Je découvre la première partie de ton récit que je n’avais pas lu, ayant pris le train en marche. C’est comme si quelqu’un me racontait ses premiers émois, sa première fois, avec un peu de nostalgie car ce sont déjà des souvenirs qu’on ne pourra jamais revivre. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 01-08-2020 (01-08-2020, 06:48 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonjour Daniel, merci de découvrir le début du récit. Oui, les première fois, le début, la découverte de l'amour! Bon week-end! Je t'embrasse Philou Re : JULIEN (ado - gay) - AL gayman - 02-08-2020 Mais que voilà des retrouvaille bien douces et agréables. Les doutes de Phil peuvent partir au placard ils sont bien tous les deux AMOUREUX et c'est trop mignon ce 1er Amour et la façon dont tu l'écrits et le décrits (toujours le coté visuel en plus). Phil et sa mère sont très complices (remarque c'est le petit dernier je sais ce qu'il en est de cet état fusionnel). Pierre est l'alpha par excellence et Béatrice aurait besoin de sortir de sa chrysalide (mais reste très attentive à son fils, aurait elle senti comme pour beaucoup de mère que son Julien avait plus qu'un ami en la personne de Phil?). Super complicité avec Delphine (vu ce qu'ils ont déjà vécu, au moins ils ont une alliée dans la maison……..). Bref une excellent suite Bisous Alain Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 02-08-2020 (02-08-2020, 12:35 AM)AL gayman link a écrit :Mais que voilà des retrouvaille bien douces et agréables. Les doutes de Phil peuvent partir au placard ils sont bien tous les deux AMOUREUX et c'est trop mignon ce 1er Amour et la façon dont tu l'écrits et le décrits (toujours le coté visuel en plus).Bonjour Alain, merci pour ton commentaire. Les choses vont évoluer bien entendu au fur et à mesure de l'évolution de l'amour entre les deux ados. Il y aura aussi des peines, mais ça c'est autre chose, nous en saurons plus au fur et à mesure des suites à venir! Très bon dimanche. Je t'embrasse! Philou JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 02-08-2020 Une fois le petit déjeuner terminé, Pierre, le papa de Julien, nous proposa d’aller faire un tour au parc pour nous détendre et jouer au ballon. J’avais regardé Julien qui de son côté évitait de me regarder. Ah merde, que se passe-t-il, Julien semble sous l’emprise de son père, il n’était comme ça quand il était venu passer quelques jours chez moi. Ne sachant pas quoi dire, j’avais alors dit : Moi : Julien, on fait quoi, on va au parc ? Jul : Je ne sais pas, c’est comme tu veux. Pierre : Bon, les gars, on ne va pas rester des lustres à attendre, vous vous décidez ! Moi : Julien, c’est comme tu veux, on peut aller au parc, c’est toi qui vois ! Jul : OK, bon, ça va, on va aller au parc faire quelques passes ! Pierre : Très bien les gars, qui m’aime me suive ! J’étais de plus en plus interloqué par la façon dont Julien réagissait. Je savais que de mon côté, Papa n’était pas aussi intrusif. Lorsque nous voulions faire une activité ensemble, c’était de commun accord, tous les membres de la famille étaient partants. Si l’un d’entre nous ne voulait pas y participer, libre à lui. Nous avions suivi Pierre jusqu’au parc en ayant bien entendu pris un ballon pour pourvoir faire quelques passes et quelques tirs. La matinée m’a parue assez longue, à part le fait d’avoir pu jouer un peu au ballon, je voyais Julien être dominé par son père. Avait-il vraiment peur de lui. Pourtant à le voir, il n’avait pas l’air si menaçant que ça. Nous étions revenus chez Julien pour le déjeuner. Béatrice avait préparé un succulent repas. Pierre avait ouvert une bonne bouteille de vin, mais nous n’avions le droit de boire qu’un verre et demi, pas plus. Quand je pense que Papa n’y regardait pas trop, mais il avait l’œil et il pouvait nous dire qu’on avait déjà bu deux ou alors trois verres et que c’était assez, sans en y rajouter. Je me posais une nouvelle fois un tas de question. Il fallait que j’en parle avec Delphine, pour voir ce qu’elle en pense. Je me sentais mal à l’aise. J’avais l’impression d’être oppressé, de ne pas pouvoir respirer à mon aise. Nous avions terminé le repas. J’avais donné un coup de main à Béatrice pour débarrasser la table, je voulais laisser une bonne impression. Pierre demanda à Julien ce qu’il comptait faire durant l’après-midi. Je savais que nous avions envisagé d’aller nager à la piscine, j’avais d’ailleurs pris mon maillot de bain (chose très rare). Julien avait dit à son père que nous avions envisagé d’aller nager à la piscine. Pierre a de suite été d’accord ! Pour moi du moment que Julien et moi quittions cette ambiance, tout m’allait. Mous prîmes donc nos affaires de bain et nous nous dirigions vers la piscine. En chemin, j’avais difficile à regarder Julien dans les yeux. J’étais inquiet, je ne comprenais plus rien. Je pensais que Julien était affranchi, qu’il était assez libre qu’il avait une certaine autonomie, mais j’avais pu constater qu’il n’en était rien. J’avais de la pitié pour lui. N’y tenant plus, je lui avais posé quelques questions : Moi : Dit Juju, ça n’a pas l’air d’aller avec ton père ! Si tu veux on en parle ! Jul : Tu sais Phil, ce n’est pas si facile, il est très, très exigeant. Je ne suis pas libre comme toi ! Moi : J’ai pu le voir, mais il me semble qu’il y a autre chose ! Jul : Non, pourquoi tu demandes ça ! Moi : C’est une impression que j’ai, tu as peur de ton père ? Jul : Non Phil, arrête, ne me pose plus de question s’il te plait. Je voyais que Julien était sur le point de pleurer. Avais-je le droit de pousser plus loin dans mes questions. Je n’en savais rien. Je ne voulais pas brusquer les choses. Mais je ne savais plus quoi faire. Nous avions l’après-midi pour nous et nous devions en profiter. Moi : Aller Juju, ne fait pas cette tête, on est nous deux et puis on va en profiter. Tu veux ! Jul : Oui Phil, tu as raison, ça nous fera du bien, (puis plus bas, entre ses dents) ça me fera du bien ! J’avais entendu ce que Julien avait murmuré. J’étais de plus en plus inquiet quant à la relation que Julien avait avec son père et sa famille. Il fallait absolument que j’en parle avec Delphine dès mon retour à la maison. Nous étions arrivés à la piscine. Nous avions payé le droit d’entrée et nous nous étions dirigés vers les vestiaires. J’avais repéré une double cabine à l’entrée du couloir. J’avais pris Julien par la main et je l’avais entraîné dans cette grande cabine. Une fois la porte verrouillée, j’avais embrassé Julien sur la bouche, nos lèvres se cherchaient, puis s’écartaient et se recherchaient à nouveau. Nos attributs prenaient beaucoup de place dans nos slips. J’avais ouvert la tirette du short de Julien et je tâtais son sexe au travers du tissu de son slip. Julien fit de même avec mon short, il avait baissé mon slip et il empoignait directement mon sexe. Nous nous étions masturbés l’un l’autre en nous regardant droit dans les yeux. Je pouvais lire dans le regard de Julien qu’il était heureux à cet instant précis. Nous continuions à nous donner du plaisir réciproquement, en laissant le temps au temps. Nous avions l’après-midi devant nous et nous ne voulions pas brusquer les choses. Au bout d’un bon quart d’heure nous avons jouis presque en même temps dans un râle contenu pour ne pas alerter les autres nageurs qui se changeaient. J’avais le sperme de Julien dans ma main et de suite je l’avais portée à ma bouche et j’avais avalé la semence. Julien m’ayant vu faire, fit de même de son côté, il avait porté à sa bouche sa main remplie de mon sperme et il l’avait avalé également. Nous nous sommes alors embrassés. Nous avions enfilé nos maillots de bain pour ensuite apporter à la consigne les deux paniers contenant nos vêtements. Nous avions nagé durant près d’une bonne heure et nous étions un peu fatigués. Nous nous étions alors allongés sur la pelouse extérieure qui servait de solarium. Ensuite nous avions fait un concours de salto au plongeoir. C’est Julien qui faisait les plus beaux. Vers 17h00 nous avions décidé de quitter la piscine. Nous avions repris nos paniers et avions repris une cabine double. Nous nous étions essuyé le dos l’un l’autre. Puis une fois secs nous nous étions rhabillés. Une fois dehors, sur le trajet de retour vers la maison de Julien, je m’étais une nouvelle fois hasardé à poser quelques questions à Julien. Moi : Dis Juju, tes parents sont-ils au courant pour la relation entre nos sœurs ? Jul : Non, ils ne savent rien non plus. Et les tiens ? Moi : Je ne pense pas. Jul : Connais-tu la réaction que pourraient avoir tes parents s’ils apprenaient pour nous ou nos sœurs ? Moi : Oh chez nous, je ne sais pas ce qu’ils diraient. Jul : Ce ne me dit rien qui vaille ! Moi : C’est pourquoi nous devons faire attention ! » « Et ta maman, elle le prendrait comment ? Jul : Je ne sais pas, mais je pense qu’elle n’en parlerait pas ! Moi : Pour ma mère, je ne sais pas non plus, pour mon père c’est autre chose, je pense qu’il est un peu homophobe, mais ce n’est pas certain ! Jul : Pour mon père, les homos, c’est au bagne qu’ils doivent aller ! Alors tu vois, il vaut mieux qu’il ne sache rien ! Moi : OK, comme ça c’est clair. On sait à quoi s’en tenir ! Une fois arrivé chez Julien, nous avons mis nos draps de bain à sécher. Nous étions en suite montés dans la chambre de Julien. Nous avions écouté de la musique sur son installation stéréo. C’était une très bonne installation, les baffles étaient supers et le son extra. Nous avions lu quelques bd avant de rejoindre la famille pour la dîner. Ce soit c’était repas pizzas ! Tout le monde était heureux de pouvoir ainsi manger des pizzas avec les doigts. Pierre avait ouvert une bouteille de vin italien et nous avons eu droit à un verre et demi. Une fois le repas terminé, nous nous étions installés au salon en compagnie des parents. Au bout d’une heure, voyant que l’émission de télévision ne nous fascinait pas, Béatrice nous avait donné la permission de monter dans la chambre à condition de ne pas faire trop de bruit avec la musique. Nous avions été saluer les parents avant de monter dans l’antre de Julien. Une fois dans la chambre Julien avait remis de la musique, mais pas trop fort pour ne pas s’attirer des ennuis de la part de ses parents. Vers minuit, Julien avait coupé la musique et nous avions décidé de dormir. Nous nous étions dévêtus pour nous retrouver nus. Nous nous étions couchés sous la couette. Il n’avait pas fallu deux minutes que je sentais les mains de Julien parcourir mon corps. De mon côté je m’étais aussi attaqué à son corps. Nous nous caressions doucement avec toute la sensibilité voulue pour ne pas brusquer les choses. Nos bouches s’étaient trouvées, elles s’étaient ouvertes et laissaient passer nos langues qui se titillaient. Nos sexes avaient évidement pris de l’ampleur. Nos mains s’étaient aventurées vers les colonnes de chair dressées. Nous nous masturbions lascivement, profitant du moment présent. Puis Julien me demanda : Jul : Phil, tu veux qu’on fasse l’amour, j’ai vraiment envie de toi.» Moi : Moi aussi Julien, mais si tes parents s’en aperçoivent ! Jul : Je pense qu’ils dorment, et j’ai très envie de t’aimer. Moi : Si tu veux, mais il faut faire gaffe alors, pas trop de bruit, faisons ça sans crier. Jul : OK, c’est bon, j’ai des capotes et du gel lubrifiant. Moi : Juju, je te laisse commencer, tu en a tellement envie, prends-moi ! Je m’étais couché sur le lit, les jambes bien écartées laissant ma rondelle bien vue. Julien avait enduit ses doigts de gel et titillait ma rondelle, il me pénétrait doucement avec un doigt puis deux. J’étais prêt à recevoir le pénis de Julien dans mon fion. Julien avait placé une capote sur son sexe bandé. Il avait aussi mis du gel sur la capote avant de présenter son sexe à l’entrée de ma caverne. Il me pénétrait doucement et lentement. Il avait si bien préparé le chemin que je n’ai presque pas eu mal. Puis Julien me laboura, accélérant les mouvements puis en les ralentissant. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier tellement je me sentais bien, tellement les sensations étaient supers. Puis j’avais senti Julien se cabrer et éjaculer cinq jets au fond de la capote. Il s’était ensuite couché à mes côté, pour se remettre de ses émotions. Un moment après, Julien était venu masser mon pénis pour qu’il prenne de l’ampleur. Puis j’avais demandé à Julien de se placer pour que je puisse à mon tour lui faire l’amour. J’avais lubrifié l’entrée de son anus avec mes doigts. J’étais parvenu, in fine, à mettre trois doigts tellement sa rondelle était bien dilatée. Puis ayant placé la capote sur mon sexe bandé, je m’étais mis à faire l’amour à Julien. J’entrais mon pénis doucement dans son anus, j’y allais progressivement pour ne pas lui faire mal. Julien gémissait un peu tellement il savourait l’étreinte. J’avais enfoncé mon sexe jusqu’à la garde et j’avais ensuite limé son anus durant dix minutes pour enfin jouir. J’avais laissé partir cinq jets de sperme au fond de la capote. Puis une fois remis de mes émotions, j’avais quitté le fondement de Julien. Je m’étais couché à côté de mon amant. Nous étions en sueur tous les deux. Julien avait fait le rangement, pour ne laisser aucune trace de nos ébats. Nous nous étions endormis, dans les bras l’un de l’autre, heureux de nous être ainsi donnés. Nous étions le dimanche matin. J’avais entendu du bruit dans le hall de nuit et j’avais bien vérifié que la couette était bien sur nos deux corps nus. Voilà qui était fait. Julien dormait encore. Je ne voulais pas le réveiller, je l’avis donc laissé dormir encore quelques instants. Finalement Julien avait ouvert les yeux. J’avais alors avancé ma bouche vers la sienne et je lui avais posé délicatement un baiser. Julien avait répondu à ce baiser en laissant ma langue s’introduire dans sa bouche. Nos salives se mélangeaient et nos langues s’en donnaient à cœur joie. Nous avions ensuite décidé d’aller prendre une bonne douche avant d’aller prendre le petit-déjeuner avec la famille de Julien. Nous nous étions rendus à la salle de bain, nus comme des vers. Nous avions donc investis la douche italienne. Nous nous savonnions généreusement en nous amusant. Nous nous lavions réciproquement le dos. Nos anatomies n’étaient pas en reste non plus. Nos sexes étaient au garde à vous. Nos mains allaient sur le sexe de l’autre, nous nous donnions du plaisir. Puis la porte de la salle de bain s’était ouverte, la maman de Julien venait voir si nous avions fini ! Béatrice n’avait rien raté du spectacle auquel nous nous livrions. Julien n’avait pas vu que sa maman était à la porte ! Julien continuait à me dire : Jul : Oh oui, Phil, vas-y, plus vite je vais jouir ! J’avais arrêté ma masturbation. Mais pour ma part c’est à cet instant j’avais éjaculé 4 jets de sperme qui se sont répandus dans la main de Julien. Moi : Juju, arrête, ta maman est là !» Jul : Arrête tes bêtises. Continue, vas-y je veux jouir ! Moi : Non c’est vrai ! Julien tournait alors la tête et il voyait sa maman dans l’ouverture de la porte. Il était devenu blanc comme la neige fraîchement tombée. Moi j’étais devenu rouge pivoine ! Béa : Oups, pardon, désolée ! Béatrice avait alors refermé la porte de la salle de bain, nous laissant pantois ! Jul : Merde, Phil. Qu’est-ce qu’on va faire ! Moi : Arrête Juju. On se sèche, on s’habille et puis on va voir ta mère. Jul : Et mon père alors. Elle va tout lui dire ! Moi : Non, on n’en sait rien, parle lui d’abord à ta mère et puis on sera fixé ! Jul : C’est bon, on fait ça, mais je ne suis pas tranquille ! Moi : Laisse-toi aller Juju. Tout n’est pas perdu ! Julien était venu se réfugier dans mes bras. Il s’était mis à pleurer. Je tentais de la consoler. Je n’osais pas le dire à Julien, mais je ne savais que penser. Béatrice allait-elle tout raconter au papa de Julien. S’il l’apprenait, qu’allait-il faire. Je ne savais que penser. Je tentais toujours de calmer Julien. Puis au bout de cinq minutes Julien s’était enfin calmé. Nous avions ensuite regagné sa chambre pour nous habiller en vue de descendre à la salle à manger. Je sentais Julien assez fébrile, il avait gros sur le cœur, ne sachant pas comment la situation allait tourner. En arrivant dans la salle à manger, seule la maman de Julien était présente. Tout de suite elle nous dit : Béa : Écoute Julien, ton père est à la boulangerie, il va bientôt revenir. Ce que j’ai vu, il faut que ça reste entre nous. Je ne veux rien entendre, je ne veux rien savoir. Jul : Mais maman, je… Béa : Tu sais Julien, je n’en doutais qui tu étais gay. Ton père n’en sait rien, du moins je le suppose. J’ai peur de sa réaction. Je t’en parlerai plus tard. Moi : Je suis désolé ! Béa : Phil, je ne t’en veux pas, tu es un si gentil garçon. Puis mon fils, Julien, semble t’apprécier, alors pour moi tu es toujours le bienvenu à la maison et ce à la seule condition c’est que tu restes muet sur ce qui s’est passé et que vous fassiez attention à l’avenir. C’est bien compris ! Moi : Oui Béatrice, je ne dirai rien. Jul : Oui maman. Voilà le papa de Julien qui revient avec les croissants, les petits pains au chocolat et de la baguette bien fraîche et croustillante. Nous nous étions installés autour de la table. Je ne savais pas où me mettre, je serai resté invisible que j’aurai préféré. Mais comment allions nous affronter cette situation. Voilà que la maman de Julien était au courant de l’orientation sexuelle de son fils et bien sur j’étais partie prenante vu que j’étais en plein ébat avec Julien. Je me demandais ce qu’il allait advenir de ma relation avec Julien. Était-ce raisonnable de poursuivre cette relation en fonction de l’attitude de son père. Je ne voulais en aucun cas être au milieu d’une tourmente dont je me serai bien sur passé ! Bref, je ne savais que faire. Nous avons pris notre repas en affichant des figures de circonstance. Mais que j’étais mal dans ma peau ! Il était difficile d’avoir une conversation avec Pierre le papa de Julien. Il était assez fuyant, il n’aimait pas regarder ses interlocuteurs en face. Que j’étais mal à l’aise. Je m’étais aussi aperçu que Julien était aussi tiraillé par l’attitude de son père et celle de sa maman qui elle savait de quoi il retournait au point de vue de l’orientation sexuelle de son fils. Finalement la tension s’était apaisée au fur et à mesure de ce repas. Je m’étais également aperçu que Pierre aimait sa famille mais qu’il y avait quelque chose dont il ne voulait pas qu’on soit au courant. A l’issue de ce petit déjeuner nous avions Julien et moi regagné la chambre. Je voyais que Julien n’était pas au top, il avait quelque chose sur le cœur, mais il ne voulait rien dire. Au peu avant midi, j’avais signalé à Julien que je devais songer à rentrer chez moi, car je devais réviser les cours avant de revenir en classe le lendemain. Je m’étais donc préparé pour retourner à la maison. Julien me demanda si je comptais revenir chez lui. Je lui avais répondu que oui, mais qu’on verrait plus tard. Puis, Pierre m’a souhaité un bon retour en ajoutant que j’étais très sympathique et que je pouvais revenir quand je voulais. Puis il avait regardé Julien en lui disant que j’étais nettement mieux que Charles, avec qui il avait eu un froid. Mais qui était donc ce Charles ? Je me demandais ce que Pierre avait voulu dire ou même insinuer ! Ne sachant que dire, j’avais remercié les parents de Julien pour ce week-end passé chez eux. J’avais dit à Julien que je le contacterai par téléphone par la suite. J’étais rentré chez moi, enfin chez mes parents. Je ne savais que penser de week-end qui m’était apparu comme surréaliste ! Mais quel jeu jouait Julien, son père avait-il un telle influence sur l’attitude des membres de la famille, Julien était-il amoureux de moi comme il le laissait très peu voir ? Re : JULIEN (ado - gay) - Ivan055 - 02-08-2020 Suite intéressante, Béatrice n'a rien dit à Pierre ce qui est une bonne chose, on ressent beaucoup l'emprise de pierre sur ça famille. Un question demeure, qui est Charles, et est ce que Pierre ne serait il oas légèrement au courant pour les deux garçons Merci Philou pour cette suite Bisous Ivano Re : Re : JULIEN (ado - gay) - Philou0033 - 02-08-2020 (02-08-2020, 12:07 PM)Ivan055 link a écrit :Suite intéressante,Bonjour Ivano, merci pour ton com! Oui Béatrice n'a rien dit au père de Julien. Elle sait que Julien et Phil s'aime. Une mère sent très bien ce qui se passe avec ses enfants! Charles semble être le premier "petit-ami" de Julien! Pierre est-il au courant pour les deux ados? Nous verrons par la suite. Bon dimanche. Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) - emmanolife - 02-08-2020 Elle est sympa, la maman de Phil. Le père a l'air d'une vraie terreur, par contre. > On imagine bien que ça va mal se passer... :'( Merci Philou0033. |