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Re : Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 02-08-2020 (02-08-2020, 06:43 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour Daniel, Merci [member=19]Philou0033[/member]. Dans « À chacun son histoire » on doit privilégier l’érotisme à la description de relations sexuelles et les récits ne sont pas très longs. Une relation dans le cadre du travail peut arriver, c’est peut-être plus délicat quand c’est entre le chef et son employé. J’ai pensé à un endroit peu peuplé, à la campagne, où les possibilités de rencontre sont plus restreintes que dans une grande ville. Il faut donc profiter de chaque occasion. Dans la suite que j’imagine, les deux hommes sont très respectueux l’un de l’autre et tout se passe bien. Je t’embrasse. Daniel Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 06-08-2020 Photo au musée — C'était bien cette visite au musée Städel ? demande Mila à son frère Martin. — Bof, un peu barbant d'entendre les explications de la conservatrice, et un gardien m'a engueulé parce que j'ai fait une photo, c'est interdit paraît-il... — Tu devrais le savoir, tu as photographié quoi ? — Qui, plutôt. Thibault, devant le tableau de la jeune demoiselle, peint par Ernst Deger. — Connais pas. — Le peintre ou Thibault ? — Les deux, tu me montres la photo ? Martin prend son smartphone, sa sœur regarde et dit : — Il est chou avec ses cheveux longs. — Tiens, je n'avais pas pensé, toi tu ressembles un peu à la jeune damoiselle quand tu boudes. — On irait bien ensemble, tu crois qu'il a une copine ? — J'en sais rien. Mila éclate soudain de rire. — Je me demande si ses poils pubiens sont aussi longs que ses cheveux. Tu l'as vu nu ? — Non, on ne fait pas le même sport, je ne me suis jamais douché avec lui. Je vais lui demander. — Lui demander quoi ? — S'il se rase le pubis, c'est bien ça que tu voudrais savoir, non ? Avant que sa sœur ne réponde, Martin est déjà en train d'écrire. « Ma sœur me demande si tu as une copine et si les poils de ta bite sont aussi longs que tes cheveux » — T'es fou, fait Mila, il va penser quoi ? — T'inquiète, il a le sens de l'humour. La réponse ne tarde pas : « Je peux passer vous montrer. OK ? Tu me rappelles l'adresse. » — Ah oui, j'avais oublié, dit Martin. Il habite tout près. « On t'attend. Sophienstraße 152. » — Ça alors, s'étonne Mila, mon frère entremetteur. Tu penses qu'il va vraiment nous la montrer ? Martin informe ses parents de la venue de son camarade pour faire des révisions, ceux-ci l'écoutent à peine, c'est l'heure du Tagesschau (journal télévisé). Thibault sonne à la porte 10 minutes plus tard, il est habillé comme au musée, tout en noir, un bonnet sur la tête. Il salue poliment les parents puis les trois ados se retirent dans la chambre de Martin qui lui présente sa sœur. — C'est quoi cette histoire ? demande Thibault à Mila. Tu veux voir mon zizi ? — Euh, c'était une plaisanterie, excuse-moi. Mon frère m'a prise au mot. — C'est bien ce que je pensais. Ça ne me dérange pas de vous le montrer. Thibault décroche lentement la ceinture de son jeans noir, ouvre sa braguette. Il a mis un slip blanc qui contraste avec ses autres habits. Il le baisse avec le jeans. Sa bite est longue, pâle, avec un prépuce recouvrant entièrement le gland. Ses couilles sont enfouies dans une abondante toison noire. — Voilà, fait-il, tu as la réponse à la seconde question. — Merci, dit Mila, gênée. — Et tu n'as pas répondu à la première question, fait Martin en riant. Tu as une copine ? — Non, pas de copine. Thibault n'a pas remonté son pantalon, Mila a toujours les yeux fixés sur ses génitoires. — Il est beau ton zizi. Euh, tu aimerais que je fasse la même chose et que je te montre mon... ? — Non, l'interrompt Thibault je n'aimerais pas être accusé de viol dans 50 ans. Par contre, j'aimerais bien voir le zizi de ton frère. Si je n'ai pas de copine, c'est parce que je suis gay. — Tu le savais... dit Mila à son frère, surprise et fâchée. — Non, je ne le savais pas, je t'assure. Mila sort en claquant la porte. — Désolé, fait Thibault, j'aurais mieux fait de rester chez moi. — Bah, elle va bouder un moment et ressemblera à la gonzesse du tableau. — Tant pis, tu me la montres, ta queue ? — Tu n'as pas peur que je t'accuse de viol ? Martin descend le pantalon de son survêtement et baisse son boxer. Re : Textes courts (gay) - Philou0033 - 06-08-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] , Toujours super tes récits courts. Super moment dans la chambre où les explications sont données! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 06-08-2020 (06-08-2020, 02:52 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] , Bonjour [member=19]Philou0033[/member]. Je trouve en effet mes récits courts souvent meilleurs que les longs. Et c’était un peu une variation sur un thème connu puisque cette fois la sœur était impliquée, mais le narrateur ne pouvait pas savoir que Thibault était gay, il pensait vraiment rendre service à sa sœur en l’invitant. Et c’est lui qui va probablement en profiter, je laisse mes lecteurs imaginer la suite… Je t’embrasse ! Daniel Re : Textes courts (gay) - fablelionsilencieux - 06-08-2020 Plus réaliste que certaines de tes mini "dingueries" fantasmées, mais pas moins agréable à lire !! C'est la photo (du 20/09/1019) qui m'avait fait publier ma first story... Des bizous Re : Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 07-08-2020 (06-08-2020, 11:45 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Plus réaliste que certaines de tes mini "dingueries" fantasmées, mais pas moins agréable à lire !! Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member] . Ce n’est pas toujours facile de distinguer entre les fantasmes et la réalité. Je vais peut-être écrire deux récits en parallèle, l’un le plus réaliste possible et l’autre déjanté dans un monde imaginaire. Mais même dans le récit réaliste il y aura des fantasmes… L’essentiel est d'avoir du plaisir à écrire, et tant mieux si quelqu’un a du plaisir à nous lire, c'est aussi ce que je te souhaite. Bisous. Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 08-08-2020 Nouveau texte expérimental que je viens d'écrire pour un défi sur un site concurrent. Je le publie aussi ici pour ne pas faire de jaloux. Il fallait avoir une personne non-binaire. Non-binarité Camille devait se rendre à l’évidence, iel était tombé amoureux·se de Hyacinthe. Dès qu’iel l’avait vu·e la première fois à l’internat, iel avait su qu’iel serait l’amour de sa vie. Il y avait encore un problème à résoudre : les nouvelles lois sur la non-binarité interdisaient de désigner quelqu’un·e par les anciens mots homme ou femme devenus tabous, seuls les prénoms et le langage épicènes étaient autorisés. Or Camille préférait faire l’amour avec une personne qui avait un pénis et des testicules, et iel ne savait pas si Hyacinthe en avait. Ce n’était plus possible de regarder dans quelles toilettes Hyacinthe entrait, c’étaient les mêmes cabines pour tou·te·s. On ne pouvait plus se mater sous la douche, elles n’étaient plus collectives. Pas d’habits différents, ils étaient amples afin de cacher les contours du corps. Et les chambres n’accueillaient qu’un·e interne. Un soir, Camille et Hyacinthe se promenaient dans le parc, discutant d’un devoir de mathématiques. L’air était doux, le soleil se couchait. Camille osa franchir le pas. — Hyacinthe, que ressens-tu pour moi ? — Nous sommes de bon·ne·s ami·e·s, même un peu plus. — Accepterais-tu de me dire ? — Te dire quoi ? demanda Hyacinthe en riant. — Si tu en as… — Mais oui, j’en ai, une bite et des couilles. Camille était aux anges. — Alors je peux enfin te le dire, je t’aime, Hyacinthe ! — Je t’aime aussi, Camille, mais j’aimerais être sûr·e, j’ai aussi mes préférences. Au lieu de répondre, Camille prit la main de Hyacinthe et la plaqua sur son entrejambe. Iel fut satisfait, iels échangèrent un long et doux baiser. Iels se marièrent et vécurent heureux. Le conte ne dit pas si iels eurent beaucoup d’enfants. Re : Textes courts (gay) - Philou0033 - 08-08-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Toujours et comme d'habitude c'est super bien écrit et de plus très amusant à lire. J'ai bien souris lorsque je lisais cette petite nouvelle. Merci pour ce moment particulier mon cher Daniel. Très bon week-end ! Je t'embrasse ! Philou Re : Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 08-08-2020 (08-08-2020, 10:04 AM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci [member=19]Philou0033[/member] . J’ai réfléchi à un récit avec une personne non-binaire. Je suis arrivé à la conclusion que l’amour repose sur d’autres mécanismes, en particulier sur l’orientation sexuelle et l’aspect physique. Je ne pense pas que le fait d’être non-binaire ou pas ait une influence et j’ai essayé d’en faire une démonstration par l’absurde. Ce texte est en effet particulier et je suis content qu'il t'a plu, je n'avais pas le but d'écrire quelque chose qui soit très érotique. Je t'embrasse et te souhaite un bon week-end. Daniel Re : Textes courts (gay) - fablelionsilencieux - 08-08-2020 Petite parenthèse douce et poétique. C'est un bel inclassable du genre, ou presque puisqu'on découvre vers la fin des breloques à l'un des protagoniste. "iels" ne peut donc être un duo lesbien. Sinon, !?! mixte ou duo masculin ?!? à chacun ses espoirs ! Re : Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 08-08-2020 (08-08-2020, 06:45 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Petite parenthèse douce et poétique. Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member]. Je ne me souviens pas avoir décrit une relation sexuelle entre lesbiennes, je devrais avoir un atlas anatomique pour le faire, le sexe féminin est pour moi un territoire inconnu. PUB Ce n’est pas tout à fait exact puisque j’ai révélé dans l’avant-dernier épisode d’ « Immunité » qu’une des sœurs de Patrice a une amie. Comme elles sont aussi invitées à la soirée qui conclura ce récit dans la joie et la bonne humeur, il est possible qu’elles se prodiguent quelques caresses pendant que les hommes se… Prochainement sur vos écrans. FIN DE LA PUB Mon texte pouvait aussi bien être homo ou hétérosexuel. Je le fais rarement, mais on peut s’en sortir avec des prénoms épicènes. Dans un autre texte il n’y avait qu’une lettre qui indiquait que Dominique était un homme, l’accord d’un participe passé. J’ai lu ce texte et on n’entendait pas cette différence. Quelqu’un qui m’écoutait a spontanément pensé que c’était une femme. J’ai aussi utilisé la première personne sans jamais indiquer si c’était un narrateur ou une narratrice qui faisait un massage à un homme. Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 08-08-2020 Et voici les deux textes dont j’ai parlé. La chambre 128 — Vous verrez, Monsieur, vous serez bien ici, me dit la jeune femme qui m'a conduit jusqu'à la chambre. Le bâtiment est ancien, plus d'un siècle, style « Belle Époque ». Les noms des entreprises et des mécènes qui ont contribué à sa rénovation il y a quelques années sont gravés sur une plaque de marbre à l’entrée. La chambre est petite, elle n'a pas de salle de bain. — Ce n'était pas possible d'en construire, le bâtiment est protégé, explique la jeune femme. Vous trouverez une baignoire et des toilettes dans le couloir. Je vous laisse, n'hésitez pas à m'appeler si vous avez besoin de quelque chose. Elle sort. Je regarde machinalement mon visage dans le miroir au-dessus du lavabo. Suis-je si pâle ou est-ce la lumière blafarde de l'ampoule économique ? Les volets sont déjà fermés, la nuit tombe tôt en ce mois de novembre pluvieux. La météo annonce du beau temps pour demain, j'espère pouvoir redécouvrir le parc, et même faire le tour du petit lac à pied. En attendant de descendre à la salle à manger pour le souper, je vide ma valise. Je range soigneusement mes habits dans l'armoire de bois peinte en gris. Je n'en ai pas pris beaucoup. Je me suis renseigné, on peut les faire laver. Je sens le matelas du lit, il est de bonne qualité, mon sommeil sera paisible. Je n'étais pas revenu ici depuis ce mois de juillet, j'étais en vacances avec mes parents et mon petit frère. Nous faisions de longues randonnées, nous nous levions très tôt le matin, alors que j'aurais préféré faire la grasse matinée. Que ne donnerais-je pas pour revivre ce temps de l'insouciance et des premiers émois ? J'ai fait la connaissance de Dominique, nous jouions ensemble. Je suis allé dans sa chambre un soir après le repas pour lui montrer une bande dessinée. Nous avons découvert nos corps, tendrement et innocemment. Nous avons ri après avoir fait l'amour. Je ne l'ai jamais revu après la fin des vacances. Je me suis toujours rappelé du numéro de la chambre de Dominique, c'était la 128, et c'est celle où je suis en ce moment. C'est ici que je passerai les derniers jours qui me restent à vivre. Massage thérapeutique (écrit en 2015) J’habitais dans une ville où un célèbre chorégraphe avait fondé une troupe de ballet. M’intéressant beaucoup à la danse, j’avais proposé une sorte de mécénat en offrant des massages gratuits pour les danseurs. C’étaient des massages à but thérapeutique, afin de soulager les corps malmenés par les efforts. Le chorégraphe avait décidé d’ouvrir une école destinée aux jeunes danseurs et c’est tout naturellement qu’on m’avait demandé si je pourrais aussi masser les élèves. J’avais accepté avec plaisir. Le premier élève vint vers moi un jeudi à 17 heures. Je ne vais pas vous donner son vrai nom, appelons-le Tadzio. J’exerçais mon métier à domicile, il sonna à l’heure exacte et je lui ouvris. — Bonjour, lui dis-je. — Bonjour, me répondit-il. — Tu es Tadzio, je pense. — Oui, et vous ? Je n’aurais pas dû le tutoyer, mais il avait encore l’air si jeune. Je l’avais vu sur la scène d’un théâtre quelques jours avant, l’enthousiasme et l’énergie de ces jeunes danseurs m’avaient impressionné. Ils avaient fait un triomphe. — Tu peux me tutoyer, lui répondis-je, je m’appelle Dominique. — Enchanté. — Tu veux boire quelque chose, passer aux toilettes ? — Oui, et je prendrais bien de l’eau. Je lui montrai le chemin et j’allais chercher un verre à la cuisine. — Tadzio, es-tu venu pour te faire masser une partie spécifique de ton corps ? — Non, pas vraiment. — Alors je te masse tout le corps ? — Si tu veux. Nous passâmes dans la pièce où se trouvait la table de massage. Je lui dis de se déshabiller et de se coucher sur le ventre. Comme c’étaient des massages thérapeutiques, mes clients gardaient toujours leur sous-vêtement, je ne pensai pas à le préciser à Tadzio. Je sortis et j’attendis deux minutes. Je frappai à la porte et je lui demandai si il était prêt. Il l’était, j’entrai. Je vis tout de suite qu’il était entièrement nu. Je ne dis rien, je le recouvris avec une serviette. Je lui massai les jambes et le dos, en évitant les fesses, puis je lui demandai de se retourner en cachant mes yeux avec la serviette, même si j’avais fortement envie de regarder son sexe. Je lui massai à nouveau les jambes, les bras et enfin le ventre. Je le laissai se reposer deux minutes, puis je lui dis : — Voilà, c’est fini. Tu as apprécié ? — Déjà fini ? — Euh, oui. — Je pensais que… — Que quoi ? — Que c’était un massage complet, enfin si tu vois ce que je veux dire. — Mais je t’ai massé tout le corps. — Tu as oublié un endroit. Je compris alors ce qu’il voulait dire. Cela m’était parfois arrivé qu’un client me fasse cette demande mais j’avais toujours refusé. Cette fois c’était différent, ce jeune homme avait un si beau corps. Je tentai de gagner du temps pour réfléchir et lui dis : — Je n’aimerais pas qu’il y ait de malentendu entre nous, dis-moi clairement ce que tu désires. — Je crois que ça s’appelle « avec finition ». — Je vois. Je ne suis pas d’accord d’habitude. Je pourrais faire une exception, à une condition. — Laquelle ? — Cela reste entre nous, je ne veux pas que tous tes camarades me demandent la même chose. — D’accord, c’est promis. Je vis déjà une bosse sous la serviette, je la retirai lentement. Son pénis était totalement dressé. Il avait une belle taille, surtout en rapport avec son corps maigre et fragile. Il semblait que toute son énergie était maintenant concentrée dans son sexe. Il ferma les yeux. J’avais tout le temps, je n’avais plus d’autre client. J’enduisis mes mains d’huile et le massai très lentement, j’avais peur qu’il n’éjacule trop vite, il avait déjà beaucoup mouillé. Il put se retenir assez longtemps, puis il finit par exploser, projetant son sperme jusque sur sa poitrine. Je le nettoyai, le recouvrai avec la serviette et sortis quelques minutes de la pièce. Lorsque je revins, il finissait de s’habiller. — Déjà prêt, lui dis-je. Tu aurais pu encore rester un peu. — Je ne veux pas te déranger plus longtemps. J’ai un peu abusé. — Tout le plaisir était pour moi. Tu as aimé ? Il me fit la bise au lieu de me répondre et partit rapidement. Il ne tint pas sa promesse, d’autres élèves de son école ajoutèrent le mot « finition » à leur vocabulaire. Re : Textes courts (gay) - bech - 08-08-2020 Pour le non binarité, au départ, je pensais que Hyacinthe était un prénom féminin (comme la fleur nommée jacinthe). Il m'a fallu voir la page de wikipedia pour apprendre qu'il était à l'origine masculin. Pour Camille, je savais que les 2 genres sont possibles. Et la remarque sur le nombre d'enfants qu'ils ont eu laisse le suspense entier. Et l'idée du massage thérapeutique est pas mal non plus. Re : Re : Textes courts (gay) - Lange128 - 09-08-2020 (08-08-2020, 11:42 PM)bech link a écrit :Pour le non binarité, au départ, je pensais que Hyacinthe était un prénom féminin (comme la fleur nommée jacinthe). Il m'a fallu voir la page de wikipedia pour apprendre qu'il était à l'origine masculin. Merci [member=27]bech[/member]. J’ai aussi regardé sur Wikipedia pour trouver des prénoms originaux. Et je ne résiste pas au plaisir de mettre un lien sur le tableau de Jean Broc, La Mort d’Hyacinthe, que j’aime beaucoup. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mort_d%27Hyacinthe_(Broc)#/media/Fichier:The_Death_of_Hyacinthos.gif Re : Textes courts (gay) - Philou0033 - 09-08-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ces deux "nouvelles". J'aime bien la première, car c'est une chose particulière, "une première fois". Ce sont des souvenirs qui restent marqués à vie dans la mémoire! La seconde nouvelle est assez dans ton style "médico-découverte-sexo- ..." J'aime bien, comme d'habitude! Merci Daniel ces deux moments de lecture! Bon dimanche! Je t'embrasse! Philou |