Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 31-12-2020 Hello, [member=54]fablelionsilencieux[/member] ! Il est joli, ton mignon avec son gros truc entre les cuisses... et plein de bulles ! Miam ! donc. Et puis, ses fossettes au coins de la bouche... je craque ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 01-01-2021 10/ Participation, inspirée du défi : [Bart] Komen ca va, gros. [James] Sa va et toi, mon frère. [Bart] TFK. [James] Trankil. [Bart] BTG. [James] Je glande. [Bart] LOL. [James] Té un badass, toi. [Bart]Va donc, boloss. Ca marche toujours pour ce soir. [James] J’espère bien. [Bart] Cé tout bon. Jé fait la résa tout à l’heure. A kelle heure on s’arrache ? [James] Passe chez wam vers 21 heures, ce serait bien. On aura graillé, les vieux seront devant la téloche, je pourrai me tirer soum-soum. [Bart] OK, je te mettrai un caillou dans la fenêtre, comme dab. Tu les as prévenus que tu seras pas là ce soir. [James] Tu rigole ? Et toi, tu l’as dit à ton daron. [Bart] Moi ca va passer crème, il sera déjà bourré, il s’en rendra même pas compte. J’aurai eu le temps de faire la bouffe et la vaisselle. [James] Miskine. Cé poche. [Bart] A+. Jtm. [James] Moi aussi je t’aime. Quelques heures plus tard... Je rentre dans la chambre, où je retrouve James en train de se faire une partie de Minecraft en mode survie sur la console. Il frappe un creeper à l’épée, puis il met sur pause et me demande : — Eh bé, dis donc, t’as été vachement long. T’as fait des mauvaises rencontres ? — Ouais, ben, tu crois pas si bien dire. J’ai croisé un mec bizarre dans le couloir. Il portait une espèce de grenouillère rouge et verte, une sorte de déguisement, et il m’a fait des remarques un peu cochonnes sur la taille de ma bite ! — Putain, c’est pas vrai ? Un pédophile, tu crois ? — Peut-être bien. Il me disait qu’il avait déjà baisé avec mon daron et, si j’ai bien compris, il aurait bien aimé faire pareil avec moi. Alors j’ai couru m’enferme dans les gogues, et quand je suis sorti il avait disparu. — Tu le connaissais pas ? Il était comment ? — J’l’avais jamais vu. C’était un adulte, pas trop vieux, plus jeune que mon père, en tout cas. — Il avait une barbe ? — Non, pas de barbe, il n’était pas si vieux, et il avait encore des cheveux sur la tête. Je me demande ce qu’il voulait. — Tu crois que c’était un cambrioleur ? — Ca ne donnait pas l’impression. Il n’avait pas un grand sac pour mettre ce qu’il aurait chouré, et puis il n’avait pas l’air trop stressé. A son tour, James est allé faire un tour aux toilettes. Il n’a vu personne. Alors on a fermé à clé la porte de la chambre, et on n’a plus pensé à ce pervers. On s’est serré l’un contre l’autre, et on s’est endormis ensemble. C’était une bonne soirée de Noël pour moi, la meilleure depuis des années. Mon père se bourrait la gueule tous les soirs, ma mère s’était barrée parce que qu’elle en avait marre de se faire tabasser, et j’essayais juste d’éviter de prendre des coups. Je faisais la cuisine, le ménage, la lessive, j’étais un vrai garçon modèle. Chez James, ce n’était pas pareil. C’était plus pernicieux, on ne le frappait pas, mais on profitait de toutes les occasions pour l’humilier et me faire comprendre qu’il n’était vraiment qu’un petit crétin, sa mère comme son père : ils se détestaient, tous les deux, on se demande pourquoi ils restaient ensemble, mais ils détestaient leur fils encore plus. Alors, évidemment, il faisait tout son possible pour les faire chier, et, semblait-il, il ne se débrouillait pas mal. J’avais gagné un peu d’argent, auprès d’un vieux voisin sympa qui me payait pour tondre la pelouse ou laver la voiture. Alors, j’ai proposé à James qu’on passe cette soirée ensemble, et il a tout de suite accepté. Passer une soirée tranquille, loin de chez soi, c’était le rêve, pour lui comme pour moi, et puis on était bien ensemble. Heureusement, les chambres n’étaient pas chères pour la soirée de Noël, ils faisaient une réduction, je m’en suis sorti pour 32 €. J’ai fait la réservation et payé par internet. On s’est éclipsé discrètement après le dîner hier soir. Moi j’ai fait semblant d’aller dans ma chambre, mon père était déjà bien avancé, vu le nombre de canette vides, normalement il ne se sera même pas rendu compte de mon absence. Le lendemain matin, on s’est réveillé à peu près ensemble. Il m’a dit « Joyeux Noël, Bart » et je lui ai répondu « Joyeux Noël, James ». J’ai dit qu’on n’avait pas de cadeaux à se faire, il m’a répondu que le cadeau c’était cette nuit ensemble. Alors on s’est serrés l’un contre l’autre et on s’est fait des bisous. Je lui ai dit : « tu sais, je vais avoir 16 ans le mois prochain, alors je finis l’année scolaire et puis je me barre. Je trouverai un poste en apprentissage, à partir de 16 ans, c’est possible. Je gagnerai de l’argent, j’aurai une chambre en foyer, et tu pourras venir me voir ». Il n’a rien dit, mais j’ai bien vu que les larmes commençaient à venir, parce que lui, ses parents ne seront jamais d’accord pour qu’il s’en aille, alors que moi je ne demande rien à mon père, je me barrerai sans même le prévenir. On s’est serrés un peu plus l’un contre l’autre. Et puis j’ai mis mes lèvres sur les siennes, et puis comme il fermait les yeux sur ses paupières, et je lui ai dit de ne pas être triste, qu’on s’en sortirait tous les deux. Il bandait, moi aussi, on a commencé à se caresser la queue. On s’était déjà branlés trois fois hier soir, mais ça n’empêchait pas. Il m’a sucé, c’était sympa. Moi, j’ai envie de lui faire aussi, mais je trouve ça un peu dégoûtant, alors je me suis contenté de le branler. Et puis on a joui tous les deux, et on est encore restés comme ça, ensemble. Il s’est peut-être même un peu rendormi, ses yeux étaient fermés et sa respiration régulière. Je le regardais. Et puis un moment il a ouvert les yeux, et il m’a souri et on s’est encore faits un baiser. Et puis on est sortis pour prendre une douche. Ils avaient de grandes cabines, toutes en plastique. Nous sommes allés tous les deux dans la même. Il y avait un distributeur mural pour le savon. Nous avons passé un bon moment à nous savonner, nous champouiner, nous caresser, sa peau était douce avec le savon. Nous nous sommes essuyés avec la petite serviette qu’ils nous avaient donnée dans la chambre, elle n’était pas beaucoup plus grosse qu’un torchon de cuisine, c’était un peu juste, mais on en avait chacun une. Et puis on est descendu dans la salle où on pouvait prendre le petit déjeuner. Je n’en n’avais réservé qu’un seul, mais comme tout était à volonté on en a profité tous les deux. Je ne sais pas si la dame qui était là a vu qu’on resquillait, mais elle avait l’air sympa, elle n’a rien dit. On a revu le père Noël dans la salle du petit déjeuner. Il passait des coups de fil. Apparemment, il était sorti de prison la veille, il cherchait quelqu’un qui pourrait l’héberger. Ça n’avait pas l’air facile pour lui. On s’est regardé avec James et on s’est dit que nous au moins on savait où aller, même si on n’en avait pas très envie. On est parti vers 8 heures. Il ne faisait pas chaud, mais il ne pleuvait pas. On est passé à la boulangerie, je devais prendre du pain pour la maison, et puis on est rentrés chez nous. On a marché pendant 30 ou 40 minutes. J’avais envie de prendre la main de James, mais je n’osais pas trop, à cause des voisins. Alors on a marché sans trop dire grand-chose. Tous les deux on était un peu tristes de revenir à la maison. J’ai vu que James stressait un peu en arrivant devant chez lui. Par chance, la fenêtre de sa chambre était juste poussée, il a pu rentrer discrètement, mais je me suis dit qu’il allait se prendre une grosse avoinée quand ils verraient qu’il était revenu. Et je suis retourné chez moi en traînant les pieds. On avait vraiment passé une super soirée de Noël, mais là c’était le retour à la réalité… Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 01-01-2021 Hôtel «1ère Classe» apparemment d'après la description de la douche et de la salle du "petit-déjeuner" servant aussi de réception. Ces deux pauvres gars : on ne peut leur souhaiter que du bonheur futur car leur situation actuelle n'est guère enviable. Ils peuvent au moins se rencontrer de temps à autre, c'est déjà ça. Belle histoire quand même malgré l'atmosphère un peu irréelle mais les dernières phrases remettent, hélas, les pendules à l'heure. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 01-01-2021 Je dirais : Jérémie ? Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 01-01-2021 Coucou les gens, Je livre l'ordre des auteurs par récit du défi (et j’imagine la tête de certains), ce qui donne : 01/ [member=168]lelivredejeremie[/member] 02/ [member=54]fablelionsilencieux[/member] 03/ [member=87]Louklouk[/member] 04/ @Gaétan 05/ [member=54]fablelionsilencieux[/member] 06/ [member=28]Lange128[/member] 07/ [member=54]fablelionsilencieux[/member] 08 / [member=156]KLO7514[/member] 09/ [member=54]fablelionsilencieux[/member] 10 / @Anonymous ACSH continuera demain avec la photo : le petit train ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 02-01-2021 Pour le 10è, le street talk, toussa, j’aurais parié sur GaetanBG, mais aurait-il écrit deux récits ? Après, [member=54]fablelionsilencieux[/member]@ en a bien posté quatre ! Noël t’inspire, dis donc Anonymous veut le rester, soit, un visiteur discret du forum, mais en tout cas, il a le sens du drame, pas la version classique, celui du quotidien de trop de jeunes, j’imagine, qui ne trouvent pas leur place dans leur famille, dans leurs études et pas trop dans la société ??? Mais ce qui est p-ê encore plus triste, c’est que leurs attentes de l’autre ne correspondent pas vraiment, et que les promesses qu’ils se font ne seront probablement que cela, leur relation va lentement se déliter avec le temps et l’éloignement, pcq les vies divergent, et que les engagements que l’on prend à 16 ans… :-\ Malgré la relative assurance de Bart, ils ne sont encore que des oiseaux pour le chat, sans vrmt beaucoup de perspectives de bonheur. C’est d’un réalisme tellement froid que je suis resté calé qq secondes sur le point final sans savoir quoi penser, mais un texte qui bouscule autant est forcément bien écrit, et malgré le sujet terriblement triste, limite déprimant, je l’ai trouvé très beau Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 02-01-2021 Cinquième train : «Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine et malgré vous nous resterons Français ...» —Jean! Ça suffit comme ça ! Arrête de hurler cette chanson ! —J'arrêterai si je veux Pierre ! Tu n'es qu'un couard ! —Mais enfin ça ne t'a pas suffi la dernière fois ? On a failli se faire tuer et j'en ai encore mal aux fesses et au cul ! Pierre et Jean sont deux cousins qui habitaient un petit village d'Alsace quand L'Alsace et la Lorraine étaient encore françaises. Mais après le désastre de Sedan en 1870 et l'annexion de ces territoires, ils ont décidé de fuir en France. Déjà, les aînés sont partis en emportant la fortune familiale et ils se sont installés juste derrière la nouvelle frontière pour attendre le reste de la famille. Les deux garçons sont grands et musclés pour leur âge. À 17 ans, ils ont la vie devant eux ! Enfin, si Jean décide de se tenir tranquille bien sûr. Tous les deux sont blonds aux yeux bleus, ils venaient d'obtenir leur baccalauréat. Puis la guerre a éclaté et la France a été écrasée et vaincue. Ils auraient dû reprendre leurs études mais maintenant qu'ils étaient «germaniques», il faudrait qu'ils le fassent en allemand ! Et ça, ils ne le veulent pas pour tout l'or du monde. Les cousins voyageaient par de petits chemins pour éviter les grands axes qui étaient surveillés et ils risquaient d'être réquisitionnés par les allemands pour divers travaux et ça ils ne le voulaient pas non plus ! —Des chevaux arrivent ! On doit se planquer ! Ils coururent jusqu'à une haie qui bordait un champ et se cachèrent derrière. Peu après un régiment de Uhlans passa. Ça rappela de mauvais souvenirs aux cousins. Trois jours plus tôt. Il faisait chaud, très chaud ! Au loin ils virent une rangée d'arbres et en s'approchant, ils entendirent le clapotis de l'eau, une rivière coulait derrière. Comment résister à une telle tentation ? Mais en s'approchant ils virent trois chevaux attachés à l'ombre et un peu plus loin trois tas d'habits. Jean murmura à Pierre : —C'est des Uhlans ! Viens , on va leur piquer leurs affaires ! Mais tu es fou Jean ! Si on se fait prendre on va se faire fusiller ! Mais c'était déjà trop tard ! Jean avait en mains les habits de deux Uhlans. Alors qu'il allait ramasser le troisième tas, sortit d'on ne sait où, un Uhlan nu comme un vers l'attrapa par le col de sa chemise et le redressa d'un coup. —Alors petit voleur ! Comme ça tu voulais nous prendre nos vêtements ? Toi là-bas tu approches sinon lui va mourir sous tes yeux ! —Non Monsieur, ne lui faites pas mal, j'arrive ! Le Uhlan cria quelque chose et les deux qui se baignaient arrivèrent en courant. L'homme qui tenait toujours Jean leur parla et bien vite on se retrouva nus attachés à un arbre. Le premier coup de ceinture me fit hurler . —Sois fort Pierre, serre les dents ! Je fis comme il me disait et les coups redoublèrent. Je pleurais de rage et de douleur. De l'autre côté j'entendais aussi les coups de ceinture pleuvoir. Jean lui aussi devait serrer les dents et de temps à autre l'un de nous lâchait un gémissement. Lassés de nous battre on les entendit parler entre eux à voix basse. Ils nous détachèrent pour nous attacher les mains plus bas, le corps à l’équerre. Puis à grands coups de pieds ils nous firent écarter les jambes auxquelles ils attachèrent des cordes nous obligeant à rester bloqués comme ça. Puis, chacun, on entendit un bruit de pas qui s’arrêta derrière nous et là ce fut des cris de douleur et d'horreur qui sortirent de nos bouches ! Deux de ses salops venaient de nous enfoncer leurs queues d'un seul coup. On eut beau les supplier d'arrêter mais rien n'y fit. Et ce n'est qu'après avoir reçu une dose de sperme de chacun d'eux qu'ils partirent nous laissant comme ça attachés à notre arbre les jambes écartées. Jean réussit avec ses dents à détacher une de mes mains. Une fois libre, on alla à la rivière se laver des traces de sperme qui avaient coulé le long de nos jambes et de la honte qu'on venait de subir mais on eut beau frotter ,elle, elle ne partit pas. Jean marmonna ! —Je me vengerai ! Et ça faisait trois jours qu'il ruminait sa rancune ! Cette nuit on allait pouvoir dormir en sécurité. Et si tout se passait bien demain on serait en France. On arrivait en vue de la ferme qui devait nous servir d'étape. On frappa à la porte et une femme nous ouvrit. On donna le mot de passe et elle nous fit entrer. Soyez les bienvenus jeunes gens. Je vais vous donner à manger et après mon fils va vous conduire ailleurs, parce qu'ici il n'y a plus de place pour vous cacher. Antoine, viens ici. Un garçon de notre âge arriva. Il portait un gros pain. Sa mère déposa sur la table deux assiettes qu'elle remplit d'une soupe épaisse qu'on mangea de bon appétit. Puis Antoine nous conduisit dans une grange toute proche. On venait d'y entrer quand trois Uhlans arrivèrent et entrèrent dans la ferme. On entendit crier et bientôt on entendait des bruits de verre et un peu plus tard des chansons à boire. Puis petit à petit se fut le silence. Il avait fallu qu'on retienne Antoine mais là, même nous, on devenait inquiets à cause de ce silence. On approcha prudemment et on vit les Uhlans ivres morts qui dormaient écroulés sur la table de la ferme tandis que la mère d'Antoine était prostrée dans un coin. En approchant plus on reconnut les hommes qui nous avaient violé. Jean sauta sur le premier et commença à le déshabiller. Antoine lui demanda pourquoi il faisait ça. On lui expliqua ce qu'on avait subi et il nous aida. On les chargea sur leurs chevaux et on alla dans un coin très tranquille. On les attacha et on attendit qu'ils se réveillent. Comme ils hurlaient qu'on les libère, on les bâillonna. Et comme ils nous avaient fait, on commença par une longue série de coups de ceinture. Et quand leurs fesses et cuisses furent suffisamment rouges à notre goût, on les sodomisa tous les trois et on les féconda... trois fois, changeant de cul ! Les délaissant un moment Antoine nous questionna : —Vous savez monter à cheval ? —Oui bien sûr mais pourquoi ? —Je connais un passage gardé par de vieux territoriaux. C'est juste à côté d'un tunnel. Et quand le train passe, il rentrent dans la cabane pour ne pas respirer les odeurs de fumée de charbon. On passera à ce moment-là. Le temps qu'ils réagissent on sera en France. —Oui mais toi ? Tu vas faire comment pour rentrer ? —Je ne rentre pas, je vais rester en France. —Mais ta mère et ta famille ? —Il ne reste plus que ma mère et moi à la ferme et ce soir on devait aussi partir après avoir mis le feu. —On fait quoi d'eux ? C'est Jean qui venait de dire ça. Antoine caressait son sexe à travers son pantalon. —Et si on leur en remettait une dose ? J'ai encore la queue raide. Lui et Jean recommencèrent. Ça m'excita et je me joignis à eux. Mais bon la quatrième fois ça a été long à venir ! Et j'avoue que de voir mon cousin et Antoine qui baisaient ces mecs, ça m'excitait autant que de baiser comme j'étais en train de le faire. On décida de changer de fesses et je vis de près la queue longue et fine d'Antoine et celle plus courte et large de mon cousin. Mais celle-là je la connaissais déjà depuis longtemps . Alors que je limais le cul du plus jeune, une idée me traversa l'esprit. Antoine jouit dans son Uhlan et bien vite, Jean le suivit. Moi ça voulait pas venir et le petit jeune gémissait. Je changeais une nouvelle fois de cul et finalement je retournais dans celui du plus jeune où j'envoyais la méga dose. On se rhabilla et prenant les chevaux par la bride on s'éloigna. Les laissant là, bâillonnés, attachés, du sperme débordant de leurs anus. —les gars, j'ai eu une idée. Si on retourne à la ferme et qu'on enfile les uniformes des Uhlans. On pourra traverser avec le maximum de personnes. Personne ne nous poserait de questions en nous voyant escorter des civils. Ça ne sera pas la première fois que des soldats escortent des civils pour les déplacer. —Oui c'est une bonne idée. Allons en parler à ma mère. Sa mère accepta notre idée et Antoine partit au galop dans les fermes environnantes récupérer les candidats à l'exil volontaire. Et après avoir revêtu nos uniformes, on escorta une cinquantaine de personnes. On leur expliqua notre plan. Au loin le train arrivait. Les territoriaux rentèrent dans la cabane et on traversa. Le temps que la fumée sortant du tunnel se dissipe on était en France et des Dragons vinrent en nous chargeant sabre au clair . Il fallut que certains s'interposent entre eux et nous pour qu'ils stoppent leur charge. On nous conduisit devant des officiers qui, mis au courant, nous félicitèrent de notre courage et de notre ingéniosité. On décida de recommencer l'opération plusieurs fois qui réussirent elles aussi. Mais la chance nous abandonna finalement et Antoine – dont la monture venait de tomber - n'eut la vie sauve que grâce au courage de Jean qui fit demi-tour et le prit en croupe in extremis. Ce fut notre dernier exploit militaire ! Mais de temps en temps on menait des raids. On s'en prenait aux sentinelles ou aux soldats isolés qu'on abusait jusqu'au jour où je demandais à Antoine et à Jean de me prendre comme on prenait les Allemands. Bien que surpris, ils acceptèrent et moi je jouis comme jamais. Quelques jours après ce fut Antoine qui demanda à me remplacer alors que je me faisais prendre. Puis ce fut au tour de Jean. Et finalement on cessa aussi nos raids, devenu trop dangereux. Mais cela nous avait ouvert à la bougrerie et on continua à le faire entre nous. Quelques années plus tard, on était mariés et, tous les trois, père de famille. Mais avant cela on avait profité de notre jeunesse pour faire le tour de France et voir toutes les beautés de ce fantastique pays… Et on continua à se voir aussi souvent que possible ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 03-01-2021 Coucou les gens, Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" : 1 - [member=206]gaetanbg[/member] 2 - [member=28]Lange128[/member] 3 - [member=168]lelivredejeremie[/member] 4 - [member=156]KLO7514[/member] 5 - [member=206]gaetanbg[/member] [member=206]gaetanbg[/member], c'est ton tour, nous attendons ta photo ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - gaetanbg - 03-01-2021 voilà l'image que j'ai choisi https://www.pexels.com/fr-fr/photo/homme-arbres-herbe-parc-4652250/ Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 03-01-2021 https://www.pexels.com/fr-fr/photo/homme-arbres-herbe-parc-4652250/ Si quelqu'un peut m'expliquer comment faire apparaitre la photo, ici, quand le lien n'est pas accepté ! Merci d'avance Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 04-01-2021 Eh ben… Quand un malheur ouvre paradoxalement la perspective d’autres plaisirs qu’ils n’auraient jamais imaginés, un mal pour un bien, au final. Enfin, on dira… Après, bah, avec amusement, on mettra sur le compte de la licence littéraire le fait que les trois soldat allemands *et* les trois garçons se positionnent tous au moins aux niveaux 3-4 sur l’échelle de Kinsey. Ou alors, c’est le truc d‘à la guerre comme à la guerre… N'empêche que l’Alsace et la Lorraine… ¬_¬ Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 08-01-2021 Premier coureur, Peu après le retour à la paix dans les années 1950, Jonnass KARLSSON a été nommé vice-consul du royaume de Suède en poste à Paris. Bien sûr, il avait connu Raoul Nordling qui joua un si grand rôle en août 1944. Il avait donc emménagé rue Gazan, dans le XIVe arrondissement, dans un petit hôtel particulier face au Parc Montsouris. Son épouse, Mariata Voïvodescu, d'origine princière de Roumanie, rencontrée en 1930 à un congrès médical à Bucarest, est très avancée dans les recherches sur l'embryon et surtout la fécondation multiple de l'ovule chez les mammifères. Elle continue de s'y consacrer dans le célèbre labo d'un institut parisien renommé. Piotr, leur grand fils sorti de l'adolescence, a pu s'inscrire à la fac de droit dans le Ve près du Panthéon. Très sportif, élancé, au "pelage" blond en brosse, visage assez fin et grands yeux bleus, la seule chose toute noire qu'il porte sur sa personne -reste maternel- n'est pas visible habituellement en conditions normales. Seul leur médecin de famille a pu observer cette particularité en vérifiant si "tout allait bien de ce côté-là!" Ce dimanche matin de printemps, par un temps idéal, Piotr franchit le petit portail du parc face à son domicile. Un léger sac de toile en bandoulière porte une petite gourde : il faut bien songer à s'hydrater, comme le lui rappelait sa maman. Il porte un short plutôt ample qui permet un mouvement quelque peu régulier de ses "attributs personnels" car Dame Nature ne l'avait pas oublié en distribuant ses cadeaux. Le voilà donc parti au pas de course en prenant la droite de l'allée secondaire parallèle à la rue. Il atteint le lac et s'engage sur le chemin longeant la pièce d'eau. Mais voilà : d'autres garçons en tenue de gymnastique font une pause près du théâtre de guignol inoccupé à cette heure matinale. Est-ce le mouvement des "petites choses" de Piotr? Son aspect général de "BG"? Toujours est-il que les deux gars reprennent leur course à sa suite, à environ une vingtaine de mètres. Furtivement, arrivé près de la cascade où des marches de ciment permettent de gravir le dénivelé, Piotr se retourne et aperçoit ses deux poursuivants. Il continue maintenant en longeant la ligne de chemin de fer dite "de Sceaux" en tranchée à la station "Cité Universitaire". Et voilà qu'un troisième garçon, pas mal fait non plus, prend sa course en se joignant aux deux poursuivants. «Décidément, pense Piotr, j'ai du succès ce matin. Et puis, ils ne sont pas vilains du tout ces trois-là. Mhhh, j'ai une idée : on va bien voir ce qu'ils me veulent et ce que ça va donner.» Le jeune étudiant avait eu le temps, depuis au moins deux ans, d'explorer les environs. Il savait où trouver des coins tranquilles derrière la Maison Internationale, de l'autre côté du Boulevard Jourdan, dans l'enceinte de la Cité Universitaire. Aucune auto ne passant à ce moment, il sort du parc et, sans coup férir toujours au pas de course, pénètre dans le domaine estudiantin. Il prend à droite, toujours suivi des trois autres gaillards à petite distance. De là, il se dirige en petites foulées sur les pelouse du jardin, vers la cheminée d'aération pour le tunnel ferroviaire joignant les stations de Gentilly et celle nommée précédemment. Il sait que le solide grillage obturant le large conduit est entouré d'une très épaisse haie de thuyas, isolant des regards cet utile aérateur : lors du passage d'un train au-dessous, un courant d'air sort en force puis, après son passage, une aspiration procure d'étranges sensations. Piotr pénètre donc en se baissant et attend cinq ou six secondes. Il voit alors se profiler la partie supérieure du premier poursuivant, légèrement interloqué ; le second suit et enfin le troisième. Piotr leur sourit largement. À ce moment, un train passe et les shorts des garçons en sont tout agités...et pas seulement les shorts mais encore leurs contenus! L'aspiration qui s'ensuit les fait frissonner. Sans se départir, Piotr passe les bras autour du cou de deux d'entre eux et avance la tête vers celle du gars à sa gauche. Un solide baiser commence la fête ; puis celui de droite a droit au même cadeau. Quant au troisième, en plus du bisou, il est gratifié d'une caresse bien douce quelque part sous la ceinture de sa "culotte de sport." Des mains s'aventurent alors autour de la taille des garçons, s'ingéniant à un abaissement synchronisé de ce qui cachait encore pour quelques dixièmes de secondes le plus joli spectacle que Piotr attendait depuis longtemps. Ah, mes aïeux! Quelle...tournée générale! On se "bouche", on s'abouche et même on forme ...une chaîne, un peu comme pour les chaises musicale où celui qui est en tête de file passe, si j'ose dire, en queue à chaque courant d'air d'une rame du métro et ainsi de suite une bonne dizaine de fois. Comme cela, pas de jaloux et chacun en profite tout à son aise. Enfin, après une bonne heure de ce régime, un peu fourbus quand même et aussi très satisfaits, tels les Trois Mousquetaires qui étaient quatre, les garçons recueillent les reliquats de leurs ébats dans leurs mouchoirs, reprennent leurs légers vêtements et conviennent de se retrouver le samedi suivant au même endroit. En repartant vers le Parc Montsouris, Piotr révèle alors à ses nouveaux camarades de plaisir que sa mère étudie les relations de multiples spermatozoïdes sur un seul ovule et leur dit, en forme de plaisanterie, qu'ils viennent d'en expérimenter les formes les plus évoluées. Et il conclut, dans un grand éclat de rire au moment de se séparer, qu'il en communiquerait les résultats prochainement à l'Académie des Sciences. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 08-01-2021 Le jogging est une technique de drague aussi efficace qu’une autre, mais un short ample n’est pas l’équipement optimal pour le pratiquer Ô.o Après, l’exercice n’est clairement pas une fin en soi pour lui (¬‿¬) Si sa mère savait où finissent les petits têtards de junior, ça la découragerait un court instant de continuer ses recherches, avant que sa passion la rattrape, bien sûr. Les miennes – enfin, surtout mon imagination - ne m’ont pas dit quelle est la ‘petite chose toute noire’ héritée de maman. Une bonne proportion de la promo ’55 de la fac de droit a pu le découvrir, mais Piotr et ses camarades doivent avoir dans les 90 ans, peut-on compter sur la mémoire des survivants… ¯\_(ツ)_/¯ Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 10-01-2021 Deuxième coureur, Dans un slasher hollywoodien, le joggeur androgyne, maigrichon et potentiellement faible dans le parc déserté dont il ne sort pas vivant, c’est un scénario vraiment trop rebattu, mais on n’est pas aux Etats-Unis, puis s’il me manque bien quelques centimètres en hauteur, je suis un mec, un vrai ! Check rapide de la main sur mes attributs… Yep ! Tout est bien en place, confortablement calé dans un sous-vêtement adapté à la course, mais c’est important, hein ! Si le matériel balance trop librement, ça finit par irriter localement et ensuite, même la plus douce des caresses me met la grimace… Résultat, Jonah est brimé, je suis brimé, on se résout à mater un film, où une joggeuse trottine dans un parc au crépuscule, trébuche bêtement sur un caillou et… Bref, la soirée est pourrie. 'Encore cent mètres et je ralentis, toujours finir au pas' me suis-je dit en approchant du tunnel piétonnier sous l’avenue. J’y ai directement remarqué le SUV stationné en sens inverse, hayon levé, avec ce mec qui fait de grands gestes du bras gauche, le droit posé dans une atèle. - J’ai besoin d’un coup de main, tu peux te servir des deux, toi. - Putain, mec, tu sais pas qu’il ne faut jamais arrêter un joggeur ? Enfin bon, c’est quoi, le problème ?" ai-je soufflé, ma grogne vite radoucie à la vue de la belle bête, la petite trentaine, la barbe de trois jours, près des deux mètres et du quintal de testostérone… Sauf que j’ai plus rien dans les jambes, là. - Il y a un truc qui brimballe à l’arrière, tu peux m’aider à le fixer ? - OK", ai-je soupiré, avant d’avancer vers le coffre ouvert, pour y découvrir la banquette rabattue, et un espace entièrement vide. "Qu’est-ce que…". Une main s’est posée sur ma nuque et m’a écrasé le torse sur la moquette, et la seconde, décidément bien valide, a fait glisser mon pantalon de survêt’. - Un jockstrap ? Avec la douce odeur de transpiration, c’est juste un appel au viol, ça" a-t-il grogné en poussant un doigt intrusif entre mes fesses, très vite remplacé par une autre partie de son anatomie, qu’en à peine quelques mouvements, il avait entièrement enfoncé, malgré mes cris, mes gémissements et mes 'Non, pitié, pas ça' pathétiques qui semblaient juste l’exciter encore plus. Après trois… cinq minutes – comment dire ? – de ce traitement, sa main qui me muselait m’a fait me redresser à quarante-cinq degrés, j’ai pu porter la mienne à mon membre douloureusement dressé pour le libérer et entamer des gestes rapides qui m’ont étonnamment vite amené à la jouissance… - Les véhicules sont interdits dans le parc" a crié une voix assez loin derrière nous, "et aussi ce que vous êtes en train de faire, pas de ça dans… Woputain ! Marcel, c’est des mecs, en plus" On s’est retourné sur deux ouvriers communaux éberlués, armés d’un balai et d’un râteau. - Avance, rentre dans la voiture, on se tire, magne !" a dit Jonah, avant de claquer le hayon et de se précipiter au volant, pour démarrer dans une volée de graviers. - Eh ben, c’était chaud ! La mise en scène t’a plu ? Dis, euh… Je t’ai pas fait trop mal ? C’était méchamment serré au début, mais tu as une maîtrise de ton corps qui m’étonne chaque fois, ton sphincter est ton deuxième muscle que tu domines le mieux sur ton petit corps malingre. - Tu le kiffes assez, je pense. Puis vingt kilos de plus, et même toi, tu ne pourrais plus me caler le dos au mur et me bourriner debout. Oh ! Et aussi, je vois à quoi tu penses pour le premier, mais c’est pas un muscle, techniquement. Si j’avais su que c’était pour aujourd’hui, j’aurais prévu un truc, mais d’habitude, je ne cours pas avec un butt-plug. Après, c’est bon, j’ai eu le temps de me faire plaisir, t’inquiète. - Moi pas, a-t-il gémi, "Ils nous a interrompus trop tôt… Tu me suces ?" - Jonah, pas pendant que tu conduis ! Puis t’avais pas de capote, c’est pas trop appétissant, là. Mais sitôt rentrés à l’appart', je file sous la douche et on peut se faire un film, disons… la scène de Psycho, tu m’y rejoins et tu pourras me poignarder aussi sauvagement que Norman Bates. - Bon plan, a-t-il grimacé. "Tu auras rechargé ? J’aime bien voir ton plaisir… physiquement, quoi" - Comme tu as dit, j’ai une excellente maîtrise de mon corps, et des réserves presque inépuisables. Mais sinon, le problème à ta caisse et le bras en atèle… Ted Bundy, sérieux ? - Ben, tu kiffes les jeux de rôle, non ? - Ouais mais bon, si on se refait les serial killers célèbres, épargne-moi au moins John Wayne Gacy, je déteste les clowns. - Tu veux un animal en baudruche, mon petit garçon ? Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 10-01-2021 Ça sent son [member=168]lelivredejeremie[/member] , non ? |