Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 26-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Deuxième nuit à Venise et deuxième leçon d’éducation sexuelle « gay » pour les filles. Première nuit dans le train où ils dorment mal, mais cela valait la peine pour arriver en Suisse, beau pays, n’est-ce-pas ? Troisième nuit à Val-d’Illiez, il est temps d’aérer les organes qui se trouvaient à l’étroit dans les pantalons de ski. Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 27-03-2021 (26-03-2021, 08:05 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Les deux couples se sont une nouvelle fois donner chacun dans leur lit. Une éducation sexuelle gay pour les filles. Elles remarquent combien ils s'aiment les deux garçons! Le voyage en train de nuit n'est pas évident et très fatiguant! Oui le troisième soir est propice pour libérer la tension dans les slips et les combis de ski. Oui la Suisse est un très beau pays. J'ai pu y aller à plusieurs reprises. Merci pour ton humour Daniel, merci de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je te souhaite un très bon week-end. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 27-03-2021 Lors de notre séjour, certains de mes condisciples avaient leur anniversaire. Puis vient le jour où c’était à mon tour. Pour le dessert du repas de midi, c’était le gâteau, le grand gâteau pour plus de soixante personnes. J’avais ce jour-là dix-sept ans ! J’étais très heureux d’être fêté par les élèves qui étaient avec moi en classe de neige. Marie était venue vers moi pour me donner une bise et elle était suivie par Isabelle. Les garçons sifflaient en disant « Ils sont amoureux, ils sont amoureux ! » lorsque Marie m’avait fait la bise. Bref c’était une très belle journée. Puis cerise sur le gâteau, nous avions après-midi libre. J’en avais profité pour prendre un passe pour les remontées mécaniques. D’autres élèves dont Marie et Isabelle avaient fait de même. J’avais donc passé l’après-midi à faire du ski, j’enchainais les descentes, ivre de bonheur et de liberté ! Fourbu après cette journée pleine de belles choses et surtout de grandes descentes avec Marie et Isabelle, nous avions été nous couchés assez tôt le repas du soir et la veillée organisée par les monitrices terminés. J’avais vite pris ma douche et je m’étais mis en pyjama. Je m’étais alors couché sur mon lit, pensant discuter quelques minutes avec les autres. Peu de temps après, j’étais tombé dans les bras de Morphée. Je faisais un très beau rêve à ce que je me souvienne. Puis j’avais entendu rire aux éclats près ce moi. Je m’étais réveillé en sursaut. Je m’étais alors rendu compte que je m’étais pissé dessus. Puis en y regardant de plus près, il y avait un bol plein d’eau à proximité de ma main gauche. J’avais compris que cela avait été fait exprès, volontairement. Puis c’est Emmanuel qui disait à qui voulait l’entendre : Emm : « Oh Phil, le pédé de service s’est pissé dessus ! Moi : Tu vas voir espèce de taré, je vais t’apprendre ! C’est alors que Romain entrait dans la chambre. Emmanuel, ce con, et Justin qui était dans un coin, riaient. Emm : Oui, t’es qu’un sale pédé. Romain s’est alors énervé, il avait gueulé sur Emmanuel, en disant : Rom : Mais t’es un malade, tu fous la honte à Phil et en plus tu te marres, mais tu n’es qu’un bouffon. Tu oses emmerder un gars super sympa, le jour de son anniversaire, mais tu n’es qu’un connard ! Emm : Oui, mais c’est quand même un pédé ! Rom : Comment tu le sais, il t’a sucé, il t’a fait des propositions ? Emm : Non, c’est mon ami Gabriel qui est aux scouts avec lui qui me l’a dit. Rom : Tu n’es qu’un gros connard ! Si tu savais pauvre con ! Marie qui avait entendu crier dans le couloir était venue voir ce qui se passait. Elle avait alors vu mon état, le bol plein d’eau et la tête hilare d’Emmanuel. Marie avait compris de quoi il retournait. Elle avait foutu une gifle dans figure d’Emmanuel en lui disant : Mar : Tu n’es qu’une pauvre tache, une grosse merde ! Rom : Oh oui Marie a raison, tu n’es qu’une raclure ! Je savais que Phil était homo, je n’en ai jamais fait état et de plus je l’apprécie. Et mes infos viennent aussi des scouts, mais moi je sais tenir un secret. Je peux te dire que tu vas morfler, on ne va pas te laisser tranquille. Tu es foutu mon gars ! Une monitrice qui arrivait dans le couloir avait entendu les éclats de voix. Elle était entrée dans la chambre. Elle avait assisté aux échanges verbaux entre Romain, Emmanuel et Marie. Mar : Moi aussi je savais que Phil était gay, et puis alors, ça te dérange. Lui au moins sait se tenir. J’étais prostré, sur mon lit et des larmes coulaient sur mes joues. Ce devait être un jour de bonheur, le jour de mes dix-sept ans, mais ce con avait tout fait foirer ! Marie était venue près de moi et m’avait serré dans ses bras. Je voyais qu’elle était en rage. Puis c’est Isabelle qui était arrivée après avoir entendu des rumeurs. Elle entendait les paroles prononcées de part et d’autre. Et d’un coup elle avait flanqué sa main droite à la figure d’Emmanuel. C’était la seconde qu’il avait reçu de la part des filles. Isa : La prochaine fois, ce n’est pas une gifle que tu vas avoir, mais c’est mon poing dans la gueule ! Mais tu es inconscient ou quoi ; qu’est-ce qu’il t’a fait Phil. C’est juste parque qu’il est différent ! Mais tu n’es qu’une pauvre tache ! La mono : Bon c’est fini, on se calme ! Que s’est-il passé ? Rom : Voilà, Phil a 17 ans aujourd’hui. Il a skié toute l’après-midi et il est crevé. Il s’est endormi sur son lit. Emmanuel n’a rien trouvé de mieux que de lui placer un bol d’eau près de sa main en vue de la plonger dedans. Phil à la suite cette connerie s’est pissé dessus en dormant. Une fois réveillé, Emmanuel a traité Phil de « pédé ». Il insistait et le répétait, il disait que Phil était « pédé ». C’est pour cette raison qu’il y a tout ce chambard. La mono : Pourquoi tu dis ça Emmanuel, pourquoi tu traites Phil de « pédé » ? Emm : Parce que c’est vrai, c’est un copain qui est aux scouts avec lui qui me l’a dit ! La mono : ‘Et tu trouves ça juste de le dire à tout le monde. Sais-tu si c’est vrai. Et même si c’était vrai, est-ce que cela te regarde ? Emm : Effectivement je ne sais pas si c’est vrai. Mais Romain semble en savoir plus ! La mono : Romain, peux-tu nous dire ce que tu sais ? Rom : Oui, je vais le dire, mais tous les autres dehors ! La mono : Oui, OK, allez, dehors ceux qui ne sont pas de cette chambrée ! Moi : Je veux que Marie et Isabelle restent, s’il vous plait ! La mono : Bon, les filles vous restez ! Une fois le calme revenu, il ne restait que Romain, Emmanuel, Justin, Marie, Isabelle et moi dans la chambre. La monitrice s’était assise sur un lit et elle demandait alors à Romain d’expliquer de quoi il retournait exactement. Rom : Voilà, j’ai un copain qui est chez les scouts. En discutant avec ce copain j’ai appris que Phil était dans sa patrouille. Comme Phil est dans ma classe on parlait de lui. J’avais dit à mon copain qu’il me semblait que Phil était gay, sans plus. Ce copain n’a jamais dit oui ni non. J’en ai déduit que Phil était effectivement homo. Pour moi, cela n’avait aucune importance. Moi : Romain, merci pour ce que tu viens de dire. Tu copain c’est qui, ce n’est pas Alex par hasard ? Rom : Oui Phil, c’est Alex. Je sais ce qu’il vit. Il ne m’a rien dit sur toi, c’est moi qui ai deviné et je ne t’en ai jamais parlé, car je te respecte et que c’est ton affaire. Moi : Merci Romain. Oui je suis…. je suis homo ! Rom : Pour moi tu restes et tu resteras un copain de classe, et je t’apprécie !» Mar : Tu vois Emmanuel, Phil est mon ami depuis très longtemps. Qu’il soit homo ou pas, pour moi ça ne change rien. Mais quand tu t’en prends à lui, c’est à moi aussi que tu t’en prends. Je ne suis pas prête d’oublier ce que je viens de voir et d’entendre ! Isa : Tu sais, pour moi c’est la même chose, tu n’es plus rien pour moi ! La mono : Je pense que notre cher Emmanuel va devoir changer de chambre. Moi : Je ne comprends pas pourquoi il faut encore et encore me détruire. Je ne t’ai jamais rien fait Emmanuel, pourquoi m’as-tu fait ça ? Pourquoi ? ’ Rom : Je le dis ici, si tu dis quoi que ce soit sur Phil aux autres élèves de l’école tu auras à faire à moi et je te garantit que tu vas passer un mauvais quart d’heure. La mono : Emmanuel, tu prends tes affaires et tu viens avec moi. » Marie et Isabelle m’avaient fait un gros câlin. Puis elles avaient rejoints leur chambre. J’étais là, dans la chambre avec Romain et Justin. J’étais mal à l’aise. Personne n’était censé être au courant de mon orientation sexuelle. Je ne m’étais jamais fait remarquer, je n’avais jamais eu d’attitude équivoque. Je redoutais le fait que tous les élèves soient maintenant au courant que j’étais gay. Je m’étais effondré en larme, le froc plein de pisse ! C’est Justin qui était venu me consoler. Il m’avait pris dans ses bras et contre toute attente il m’a susurré à l’oreille qu’il était comme moi. J’en avais alors déduit qu’il était lui aussi homo. Romain fulminait, il n’en revenait pas que son copain Emmanuel se soit conduit comme ça. Il s’était rapproché aussi de moi et il m’a dit qu’il s’excusait de tout ce qui s’était passé. Je lui avais dit qu’il n’avait rien à se reprocher, c’est seulement Emmanuel qui avait déconné. Moi : « Tu sais Romain, le coup du bol d’eau pour me faire pisser, finalement je m’en branle, mais c’est ce qu’il a dit. Tu connais Alex, il est avec moi à la troupe et c’est un gars super sympa. Puis l’autre, Gabriel, qui va raconter ça à Emmanuel et puis maintenant toute l’école va savoir que je suis gay ! Merde, merde, merde ! Jus : Je suis désolé Phil, j’aurai pu te défendre, mais j’avais trop peur. Moi : Mais je ne t’en veux pas Justin, la blague du bol d’eau, je m‘en fout ! Mais ce sont les propos d’Emmanuel qui me mettre mal à l’aise. Jus : Tu sais Phil, ça fait déjà quelques semaines que je sentais que tu étais homo ! Moi : Pourtant je ne m’affiche pas, je me tiens et je fais gaffe ! Jus : Mais tu sais Phil, ceux qui sont comme nous le sentent tout de suite ! Moi : Je ne le savais pas. Rom : Tu sais Phil, tu vis ta vie comme tu veux, tu es mon copain et nous le resterons, il n’y a pas de problème pour moi. Dis, si je ne suis pas indiscret, tu es avec un gars ou tu es toujours seul ? Tu n’es pas obligé de répondre. Moi : Je ne vais pas te mentir où te le cacher, je suppose d’ailleurs que ce con d’Emmanuel le sait aussi, oui je suis avec un gars. Rom : Félicitations, et je te remercie de me l’avoir dit. Je te promets de faire attention à ce que personne ne vienne t’emmerder ! Moi : Merci Romain, merci à toi. Tu sais ce n’est pas facile de s’assumer en tant qu’homo, j’ai déjà tellement souffert, je ne supporte plus d’être humilié par des homophobes.» Jus : Dis Phil, je ne veux pas te forcer, mais il est comment ton ami ? Moi : Écoutez les mecs, il est super, il est blond aux yeux bleus. Je l’aime et il m’aime et en plus il est aux scouts avec moi et dans la même patrouille ! Jus : Ouah. C’est géant. Moi : Tu sais aux scouts j’ai été accepté par tous les scouts, du moins je le croyais jusqu’à ce soir. Emmanuel m’a dit que c’était Gabriel, je ne le sentais pas, mais bon, je n’avais pas le choix. Rom : Tu sais Phil, je connais Alex et je sais pour son père, je sais aussi qu’il ne supporte pas les homophobes. Je me suis douté, moi aussi, que tu étais gay. Je te l’ai déjà dit ce soir, pour moi tu restes mon copain de classe. Puis j’ai vu que même les filles t’apprécient. Moi : Tu sais Romain, Marie je la connais depuis les maternelles, alors tu vois nous sommes de véritables amis. Elle sera toujours là pour me défendre, comme ce soir et moi aussi je suis là pour la protéger. Je ne peux rien dire, mais je suis là pour la défendre ! J’étais allé prendre une douche et je m’étais changé. J’étais revenu dans la chambre. Romain et Justin n’étaient pas encore au lit, ils discutaient ensemble. On entendait frapper à la porte, c’était la monitrice. Elle était là avec un jeune de notre classe. C’était Thibaut ! Il avait pris avec lui sa valise et ses affaires. Thibaut était un gars qui était assez affable, toujours souriant et qui ne se mêlait pas des affaires des autres. C’était un chouette copain, quoi qu’un peu effacé devant les meneurs. Rom : Salut Thibaut, tu viens loger avec nous ? Thib : Oui, je vais remplacer Emmanuel. Je ne sais pas ce qui s’est passé et je ne veux pas le savoir. La nomo : Bon, vous vous connaissez, alors je vous souhaite une très bonne nuit. Philippe, si tu veux nous pouvons parler de ce qui s’est passé demain. C’est toi qui choisit, tu n’es pas obligé, mais moi je souhaite avoir une conversation avec toi. Moi : Merci, je verrai après la nuit. J’espère que je pourrai dormir. Thib : Salut Phil, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je suis de cœur avec toi mon pote. Moi : Merci Thibaut, je vais te le dire, Emmanuel m’a traité de « pédé » ! Je te le confirme, je suis homo ! Thib : Oh mais quel con. Je te l’ai dit, je suis avec toi. Merci de me l’avoir dit. Tu sais que tu sois gay, hétéro ou quoi que ce soit, ça te regarde et je le respecte. Je suppose que c’est pour cette raison qu’on m’a demandé de venir dans votre chambre. Moi : C’est qui, qui te l’as demandé ? Thib :« C’est monsieur Martin qui m’a demandé de venir dans votre chambre. Il m’a dit qu’Emmanuel devait changer et que je le remplaçais chez vous. Moi : Merci Thibaut. Je ne sais pas pour vous les gars, mais je vais tenter de dormir. Bonne nuit. Tous : Bonne nuit Phil. » Romain avait éteint la lumière de la chambre et plus aucun d’entre nous ne parlait. Je ne sais pas après combien de temps, mais j’avais finalement pu m’endormir. J’avais rêvé durant la nuit, j’avais rêvé de Benoît. Je ne sais pas pourquoi mais je voyais que Benoît me défendait face tous les élèves de l’école et qu’il saignait à la suite des nombreux coups qu’il avait reçu. Je m’étais réveillé en sursaut et en transpiration. Romain m’avait alors dit que j’avais eu le sommeil assez mouvementé. Il m’avait dit que j’avais appelé à deux ou trois reprises un certain « Benoît ». J’avais alors dit qu’il s’agissait de mon petit ami. Après le petit-déjeuner, j’avais été trouvé la monitrice, son prénom c’était Agnès, et je lui avais expliqué ce qui s’était passé depuis les vacances d’été jusqu’à l’épisode de la veille. Elle m’avait écouté sans m’interrompre. J’avais des larmes qui coulaient sur mes joues. J’étais content d’avoir pu parler à Agnès, ça m’a un peu apaisé. J’avais ensuite rejoint les autres qui avaient cours de math avec monsieur Martin. Après le repas de midi, monsieur Martin m’avait dit que s’il y avait encore le moindre problème durant le séjour, ou même par la suite à l’école que je devais lui en parler. Savait-il que j’étais gay, je n’en savais rien, mais j’avais entièrement confiance en lui ! Le séjour au ski s’était terminé sans problème. Le retour en train couchette m’avait paru plus long qu’à l’aller. Bref j’étais content de rentrer et de pouvoir embrasser Benoît qui m’avait tant manqué ! Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 27-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Dommage que cette journée d’anniversaire ait été gâchée par la bêtise d’Emmanuel, mais c’est un comportement tout à fait possible dans le cadre d’un séjour en groupe, cela me rappelle des souvenirs. Phil a heureusement plus d’amies et d’amis qui le comprennent et le soutiennent. Je te souhaite un bon week-end. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-03-2021 (27-03-2021, 06:29 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement quel dommage que cette journée d’anniversaire se terminée de cette façon là. Ce n'est pas le fait que cet acte de faire pisser un gars en trempant sa main dans un bol d'eau soit en soit méchant, peut-être à la limite, mais compréhensible, ce sont les paroles prononcées qui ne sont pas acceptables! Phil peut compter sur ses amies et ses amis pour le soutenir. C'est pour lui difficile d'envisager que toute l'école soit au courant qu'il est gay! Merci de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Très bon dimanche Daniel. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 28-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] C'est l’anniversaire de Phil lors des classes de neige. Ce jour là, le jour de ses 17 ans, c'est un gros gâteau qui est partagé avec tous les élèves. Phil est heureux, il a pris un passe pour skier tout l'après-midi avec Marie, Isabelle et certains élèves de sa classe. Puis c'est la soir, le repas est pris et les jeunes sont en chambre pour passer la nuit. Quel dommage qu'Emmanuel gâche cette journée, non seulement il s'arrange pour placer un bol d'eau pour y placer une main de Phil pour qu'il se pisse dessus alors qu'il est endormi, fourbu de cette journée, mais pour couronner le tout, il le traite de "pd". Bien heureusement il est défendu par Romain, Marie et Isabelle. Emmanuel change de chambre. Le reste du séjour se passe bien. Phil rentre à la maison après une nuit dans le train couchette. On peut supposer que Phil a vraiment peur que toute l'école soit au courant du fait qu'il est gay! Bon après-midi! Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-03-2021 (28-03-2021, 04:09 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé de cette suite. Effectivement Phil se retrouve une nouvelle fois à un homophobe. Le fait qu'Emmanuel se soit amusé à faire involontairement pisser Phil sur lui, n'a que peu d'importance, se sont les paroles prononcées qui sont offensantes. Phil a des amis pour l'aider et le soutenir. Bien entendu que Phil a peur que tous les élèves de son école soient au courant du fait qu'il est homo! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-03-2021 Nous étions arrivés à la gare vers neuf heures trente. Maman était là sur le quai, elle m’attendait. J’étais heureux de la revoir. La maman de Marie était à côté de maman. J’avais embrassé maman et ensuite Henriette. Marie avait fait comme moi, d’abord sa maman et ensuite maman. Isabelle était un peu plus loin et je pouvais voir que c’était son papa qui été venu la reprendre. Une fois arrivé à la maison, soit un jeudi vers dix heures, j’avais préparé un chocolat chaud pour maman et moi. Puis une fois installé à la table de la cuisine, j’avais raconté mon séjour en classe de neige. J’avais parlé de l’épisode où Emmanuel m’avait traité de « pédé ». Ensuite de l’attitude des filles et celle de monsieur Martin le prof de math. Maman ne savait pas trop quoi me dire, elle m’avait dit qu’elle espérait que toute l’école ne serait pas au courant de mon orientation sexuelle ! Elle avait ajouté que j’avais un peu plus d’amis de mon côté pour faire pression sur les homophobes éventuels. Il était onze heures quand j’avais dit à maman que j’allais faire un petit somme car je n’avais presque pas dormi dans le train couchette. Mais maman m’avait alors dit : Man : « Phil, il faut d’abord que je te souhaite un très bon anniversaire mon grand. Félicitations pour tes 17 ans ! Moi : Merci maman, c’est gentil. Mam : En fait il y a un cadeau dans ta chambre pour ton anniversaire. Moi : Ah, et c’est quoi ? Mam : Viens on va le découvrir ensemble. Moi : Et les autres (pensant à mon père et à ma sœur et mon frère) ? Mam : Ils ne diront rien, ne t’inquiète pas ! Nous étions montés dans ma chambre, une fois la porte ouverte, j’avais senti une odeur de peinture fraîche. Ma chambre avait été repeinte ! Les couleurs étaient celles que j’avais déjà demandées il y a des mois à mes parents. J’étais super heureux du résultat. J’avais sauté au cou de maman en lui disant merci et en lui donnant des bisous. J’étais heureux d’avoir un nouveau décor. Mam : Voilà mon fils, voilà le cadeau pour ton anniversaire. C’est moi qui ai peint ta chambre. Moi : Oh merci maman, merci. Mam : La seule chose c’est que tu fais ce que tu veux pour décorer les murs, j’ai mis tous tes posters et autres photos dans l’armoire du hall de nuit. Moi : Tu as bien fait maman. Tu es une véritable fée ! » J’avais enlacé ma maman et lui avait donné un gros bisou. Maman avait quitté ma chambre pour me laisser me reposer. Je m’étais allongé sur mon lit et je m’étais endormi jusqu’à quatorze heures. J’avais passé le reste de l’après-midi à remettre mes affaires en place et les autres dans la salle de bain pour que maman puisse faire une machine à laver. J’avais écouté un peu de musique, j’avais mis un disque de Genesis « Selling England By The Pound ». Ensuite j’avais donné un coup de main à maman pour le souper. Vers dix-sept heures, arrivées d’Anne et de Jean. Ils étaient heureux de me voir. Ils me posaient mille questions et je leur ai dit qu’il fallait attendre papa, car je n’avais pas envie de répéter deux ou trois fois la même chose. Eux de leur côté avaient expliqué ce qu’ils avaient fait durant les dix jours où j’étais absent. Ding, dong, c’était la sonnerie de la porte d’entrée. Maman était allé ouvrir la porte. Puis deux minutes après c’était Jean-Pierre accompagné d’Alex et de Romain qui entraient dans le salon. J’étais estomaqué de les voir. J’avais les larmes qui montaient aux yeux, mais je me retenais. Maman sachant de quoi il s’agissait avait demandé à Anne et à Jean d’aller dans leur chambre. Je m’étais assis car j’avais les jambes en coton. Je ne me sentais pas bien. Maman a demandé aux visiteurs de s’asseoir eux aussi. Puis c’est Romain qui avait pris la parole. Rom : « Phil, je suis désolé, mais je ne pouvais pas me taire, car le coup que t’a fait Emmanuel durant les classes de neige m’a fortement heurté. J’en ai parlé à Alex dès qu’il est rentré chez lui. Puis il m’a demandé si j’étais d’accord de venir chez toi maintenant. Alex : Oh Phil, je suis désolé de ce qui t’es arrivé. Mon ami Romain m’a expliqué ce que tu avais dû subir à cause de Gabriel. Il a remonté la tête à Emmanuel et puis voilà les conséquences. Moi : Merci d’être venu. La seule chose dont j’ai peur c’est que toute l’école soit au courant que je suis homo ! Si ça ce sait je vais vivre un enfer ! Je ne le supporterai pas, je ne le supporterai plus. Ce n’est pas possible. Des larmes coulaient sur mes joues. J’étais mal, très mal. C’est maman qui s’était approchée de moi pour me prendre dans ses bras. Je n’avais même pas entendu que la sonnette de la porte d’entrée avait retenti. Maman avait crié à Anne d’aller ouvrir. Deux minutes après Anne entrait dans le salon suivie de Benoît. Benoît me voyant pleurer se posait des questions, il s’était directement rué vers moi pour m’enlacer. Anne ne savait pas si elle devait sortir ou pas, elle hésitait et puis elle avait rejoint sa chambre. C’est Jean-Pierre qui avait pris la parole. J-P : Phil, je vois que tu souffres à nouveau à cause de personnes qui n’ont rien compris. Quand Alex m’a contacté et qu’il m’a expliqué ce qui s’était passé, je n’ai pas hésité à venir te voir. Puis il y a ton copain de classe Romain qui a pris l’heureuse initiative d’en parler à Alex. Moi : Je ne serai jamais tranquille, jamais ! J-P : Ne dis pas ça Phil, nous sommes là pour t’aider à aller mieux et pour tenter d’empêcher certains de te nuire. Ben : Qu’est-ce qui s’est passé, pourquoi il est comme ça. Je pense avoir compris ce qui s’est passé, et j’ai la boule au ventre, je suis en rage de voir mon ami comme ça. Jean-Pierre tu sais ce que c’est, j’ai la rage. Puis il s’agit d’un scout alors ! Moi : Oui Ben, c’est Gabriel ! Ben : Oh merde, je m’en doutais, je ne le sens pas ! Alex : Ben oui c’est Gabriel qui connait un gars de la classe de Phil qui l’a dit. Puis il y a eu un incident lors des classes de neige. Il a traité Phil de « pédé » alors Phil a très peur que toute l’école soit au courant ! Ben : Oh merde. Oups, désolé Jacqueline. Mam : Je suis au courant de ce qui s’est passé. Phil ne peut plus subir d’autres attaques homophobes comme cella là, c’est trop ! Moi : Maman, arrêté, je vais faire face, mais il ne faut pas que l’école soit au courant. Mam : Non Phil, tu vas avoir besoin d’aide ! Moi : Je sais maman, je peux compter sur Ben bien sur puis sur Alex et Jean-Pierre à la troupe puis il y a Romain qui m’a défendu ainsi que Marie et Isabelle qui sont aussi intervenues. Je pense que si l’affaire ne s’ébruite pas à l’école, que ça va aller. Mam : Je l’espère Phil, car je ne vais pas pouvoir supporter une nouvelle fois te voir souffrir et te détruire ! Ah ça non ! Moi : Je sais maman. Je vais vous expliquer, il y en a qui sont aux courant et d’autre pas, c’est Alex et Romain, je vais vous expliquer. J’avais raconté mon histoire depuis le camp d’été, Henri et son décès, Roland et ma tentative de suicide, Benoît et les scouts. Maintenant Alex et Romain savaient tout ce que j’avais vécu et subi les six - sept derniers mois ! Moi : Voilà vous savez de quoi il retourne. Il faut que je puisse enfin être un peu tranquille. J-P : Au niveau de la troupe, je vais m’occuper de Gabriel. Je vais de ce pas le trouver. Pour le reste Phil, si tu as le moindre problème, tu as des amis qui t’aiment, alors de grâce fait appel à eux ! Moi : Merci Jean-Pierre. A dimanche à la réunion. J-P : Oui Phil et tu prends soin de toi ! Jean-Pierre était parti, il allait trouver Gabriel. Je voyais que Romain et Alex avaient l’air affecté par ce que je venais de leur dire. C’est Romain qui avait pris la parole : Rom : Oh Phil, si j’avais su, j’aurai fait plus attention à toi. Je ne sais que te dire. Si, tu es mon ami et je vais te dire que tu resteras toujours mon ami. Alex sait de quoi je parle. Moi : Merci Romain, merci pour tout, merci mon ami. Alex : Phil, comment peux-tu encore faire confiance aux gens après tout ce qui t’es arrivé ! Je ne savais pas et j’en suis désolé. Tu sais que tu peux compter sur moi. Puis tu sais Benoît, c’est la même chose pour toi aussi. Moi : Merci Alex, merci. Ben : Merci Alex. » Romain et Alex avaient quitté la maison. Romain avait pu faire la connaissance de Benoît, il avait trouvé que j’avais très bien choisi mon petit ami. Benoît était resté avec nous un bon moment. J’avais raconté ce qui m’était arrivé à cause de Gabriel par l’intermédiaire d’Emmanuel. Puis c’est papa qui rentrait. Papa me trouva dans le salon en compagnie de maman et de Benoît. Tout de suite il avait vu que j’avais pleuré. Il m’a enlacé. Puis il m’a dit : Papa : « Oh Phil, je vois que ça ne va pas, tu peux tout me dire mon grand. Moi : Oui papa, je vais tout te raconter, mais il faut que Anne et Jean soit présents eux aussi, il faut qu’ils sachent. C’est maman qui avait appelé ma sœur et mon frère. Une fois toute la famille réunie dans le salon en compagnie de Benoît, je m’étais mis à raconter le séjour en classe de neige, je ne voulais pas seulement parler de ce que j’avais vécu à cause d’Emmanuel. Bref j’avais fait le compte rendu du séjour. Au moment où j’avais parlé de l’épisode du bol d’eau en vue de me faire uriner dans mon pantalon, par la faute d’Emmanuel, ma voix avait changé, elle était devenue plus grave. Papa ainsi qu’Anne et Jean commençaient à fulminer, ils ne disaient rien mais je voyais qu’ils avaient la rage qui montait. Ben lui aussi, qui savait depuis peu de temps avait lui aussi la rage. Ayant fini ce passage délicat, je m’étais arrêté pour me reprendre. J’avais envie de pleurer mais je me retenais. Papa m’avait une nouvelle fois pris dans ses bras. Puis j’avais repris un peu d’assurance et j’avais poursuivi mon récit en signalant que plus aucun incident n’avait eu lieu jusqu’au retour des classes de neige. Papa : Et bien mon grand, je n’en reviens pas de la méchanceté de certains. Tu peux d’un autre côté être content que ton ami Romain et les deux filles se soient trouvés près de toi pour te défendre et t’apporter leur aide. Comme tu viens de le dire aussi, tu as Alex et Jean-Pierre qui vont pouvoir t’aider à aller mieux. Puis je vois que Benoît est mal aussi, je sens qu’il est en rage et je le comprends. La seule chose que je peux dire c’est que vous devez faire encore plus attention à vous, dans vos comportements, dans vos paroles etc. Moi : Je sais papa que nous devons faire plus attention, mais pour ce qui est de l‘école, je n’avais jamais, au grand jamais montré quoi que ce soit, au contraire, certains élèves pensent que je suis amoureux de Marie. Papa : Si ceux qui sont au courant savent se taire, j’espère que cela n’aura aucun incidence à l’école pour toi. Moi : Je l’espère aussi, car je ne pourrai plus supporter ce que j’ai vécu, c’est trop, je n’en peux plus ! Je suis à bout, il ne faut pas que ça recommence. » Je m’étais pourtant interdit de pleurer, mais des larmes coulaient sur mes joues. Il n’en fallait pas plus pour faire pleurer Benoît. Je voyais que ma sœur et mon frère avaient eux aussi les yeux humides. Anne et maman s’étaient mises à mes côtés pour me consoler. Voilà, j’étais à nouveau très mal dans ma peau. Je ne savais plus quoi faire. Benoît avait dû quitter la maison car il avait encore cours le lendemain, il n’était pas dans la même école que moi. Moi j’avais un jour de repos pour me remettre du voyage et du séjour ; puis c’était vendredi. J’étais quand même heureux d’avoir revu Benoît, nous n’avons même pas eu le temps de nous faire un câlin. J’avais juste pu embrasser Ben au moment de son départ. Ce n’était que partie remise, car nous allions nous revoir le samedi fin d’après-midi, soit la veille de la prochaine réunion chez les scouts. Maman et Anne s’étaient occupées de préparer le souper. Papa et Jean était resté auprès de moi. Nous parlions maintenant de ce qui s’était passé à la maison durant mon absence. Puis j’avais dit à papa que j’étais très content de ma chambre et de la nouvelle peinture. C’est alors que Jean m’a fait un bisou en me souhaitant un bon anniversaire, Anne ayant entendu c’était elle aussi venue me souhaiter plein de bonnes choses pour l’avenir. Jean s’était approché de moi et m’avait pris les mains dans les siennes et il m’avait dit : Jean : « Phil, mon grand frère, n’oublie jamais que je suis là pour toi, je suis ton petit frère et je t’aime, alors si ça ne va pas, que tu n’as pas le moral ou si quelque chose te chagrine, je t’en supplie, vient m’en parler, je ne veux pas te perdre. Papa : Jean, merci pour ces belles paroles ! Phil, n’oublie jamais ce que ton frère vient de te dire. Et puis tu sais que la famille est là aussi pour t’épauler dans tous les moments joyeux et difficiles de la vie. Moi : Oui je sais ! Merci Jean, merci mon frère, tu sais que je t’aime aussi. Merci à toi aussi papa, je vous aime tous ! Papa : Bon sur ces belles paroles nous allons manger, car je commence à avoir faim. » Nous avions mangé ensemble en parlant d’autre chose. La soirée s’était mieux terminée qu’elle n’avait commencé. Je savais que les personnes les plus chères à mes yeux étaient fort attentionnées et étaient prêtes à m’aider quoi qu’il arrive ; je savais qu’elles m’aimaient ! Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 30-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Phil est de retour chez lui, mais il doit raconter ce qui s’est passé en classe de neige pour les amis qui sont venus le soutenir, il espère que cela ne s’ébruitera pas à l’école. Dommage qu’il n’a pas eu plus de temps à consacrer à Ben. Phil n’a vraiment pas de chance avec tous les homophobes qu'il croise. Je t’embrasse. Daniel Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 30-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil est rentré à la maison. Il découvre sa chambre remise à neuf comme cadeau d'anniversaire. C'est ensuite le moment de raconter son séjour en classe de neige. Il parle aussi de cet épisode avec Emmanuel. J-P, Alex et Romain viennent voir Phil pour voir comment ça et parler de l'incident avec Emmanuel, à cause des infos communiquées par Gabriel. Ben arrive et est aussi mis au courant il en est de même pour sa sœur, son frère et son père. Phil a peur que toute l'école soit au courant qu'il est gay. Comme le mentionne [member=28]Lange128[/member] , Phil n'a vraiment pas de chance avec tous les homophobes qu'il croise! Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-03-2021 (30-03-2021, 06:09 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil est de retour à la maison. Il raconte ce qui s'est passé lors de son séjour en classe de neige. Ses mais lui rendent visite et sont alors au courant de ce qui s'est passé. Ben est lui aussi venu et il est mis au courant des faits. Les deux garçons n'ont pas eu de temps pour être ensemble. Comme tu le dis Daniel, Phil n'a pas de chance, il est souvent ennuyé par des homophobes! Il faut espérer que cette série s'arrête pour qu'il puisse enfin vivre tranquille avec Ben et les deux familles! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-03-2021 (30-03-2021, 07:24 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Un très beau résumé de la suite. Phil reçoit des amis et il raconte se qui s'est passé lors de son séjour en classe de neige. Il parle de l'incident avec Emmanuel. Ben lui aussi est mis au courant. Phil a bien peur que son homosexualité soit révélée à toute l'école. Nous verrons ce qui se passera lors de la reprise des cours le lundi qui suit les classes de neige. Effectivement Phil n'a pas eu beaucoup de chance, il est souvent tombé sur des homophobes! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 01-04-2021 Une fois le repas terminé j’étais monté dans ma chambre. Je me préparais pour passer la nuit dans mon nouvel environnement coloré. J’avais pris ma douche et je m’étais ensuite couché, nu, dans mon lit. En effet cela faisait plus de dix jours que je mettais un pyjama, question de ne pas heurter les autres élèves de ma chambrée et aussi d’éviter toutes les questions parfois embarrassantes. J’avais envie de me donner du plaisir malgré tout. Mon sexe était déjà bien bandé et j’entrepris donc une lente masturbation. J’en profitais étant seul pour me faire plaisir, j’enfonçais aussi un doigt dans mon anus en vue de titiller ma prostate. Cela me donna de très bonnes sensations. Puis après dix bonnes minutes j’avais pu jouir sans retenue, six jets de semences s’étaient étalés sur mon ventre. Je me sentais un peu moins stressé après toute cette agitation de la soirée. Je m’étais endormi assez vite. Après cette nuit de sommeil, j’en avais profité pour passer une journée calme. J’avais remis certains de mes posters aux murs de ma chambre. D’autres photos plus récentes avaient remplacé des plus anciennes. Je me sentais bien mieux depuis que je savais que ma famille était avec moi et qu’elle m’aimait. La journée ainsi que la soirée s’étaient très bien déroulées. J’avais eu mes grands-parents au téléphone, ils voulaient connaître mes souvenirs de glisse sur les pentes enneigées des classes de neige. Je n’avais pas fait allusion aux problèmes que j’avais rencontrés. J’adorais mes grands-parents. J’avais hâte d’être chez Benoît pour passer la nuit de samedi à dimanche avant de nous rendre à la réunion. Je me demandais ce qui allait se passer avec Gabriel. Jean-Pierre avait-il pu le rencontrer et mettre les choses au point avec lui. Gabriel serait-il à la réunion. Je me posais des questions, mais je savais que les autres scouts m’appréciaient. Bref je devais attendre d’y être. J’étais enfin arrivé chez Benoît vers les quinze heures, soit bien en avance et nettement plus tôt que les autres fois, j’avais hâte de me trouver dans les bras de mon ange blond aux yeux bleus. J’avais à peine sonné à la porte que déjà celle-ci s’ouvrait. C’était mon amour qui m’ouvrait. Je n’avais même pas attendu qu’il referme la porte pour l’embrasser avec fougue, j’en avais une furieuse envie. Nous avions fait une de cette salade de langue digne d’en faire rougir les témoins éventuels. Une fois entré, j’avais salué les parents de Ben. Puis direction la chambre de mon amour. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nous nous étions couchés sur le lit et nous étions restés enlacés une bonne heure. Puis nous avions rejoint le reste de la famille pour le gouter. Au soir, après une bonne douche nous nous étions couchés nus dans le lit de Ben. Il n’avait pas fallu plus d’une minute pour que nos phallus soient bandés. Nous nous étions caressés, embrassés, sucés avec frénésie. Puis j’avais vu dans le regard de mon cher blondinet une lueur que je commençais à très bien reconnaitre. Il voulait m’aimer, il voulait se donner aussi. Ben avait alors pris dans sa table de nuit deux préservatifs ainsi que le lubrifiant. Ben avait pris l’initiative, il me préparait l’anus avec un et puis deux doigts. Puis après avoir enfilé la capote sur son sexe bandé, il avait approché son sexe de ma grotte. Il avait exercé une petite pression pour commencer la pénétration en douceur de mon fondement. Il y allait centimètre par centimètre, sans forcer puis étant bien ancré dans mon corps réceptif, il avait entamé des mouvements de va et vient variés, à la fois lents et rapides. J’étais en pleine osmose avec mon amant entreprenant. Je commençais à gémir de plaisir, ce qui donna encore plus d’entrain à Ben, il s’appliquait à me donner de plus en plus de sensations. Puis je sentais que mon amour allait bientôt arriver à un point de non-retour, son corps se cambrait et puis dans un dernier assaut, mon bel amant jouissait dans un râle de bonheur ! Nous nous étions embrassés avant de prendre quelques minutes de repos avant la suite de nos ébats. Nous bouches étaient régulièrement en contact entre elles, nous nous donnions des petits bisous tendres ! Nous avions repris nos caresses et bien entendu mon phallus avait repris de sa superbe, il était à nouveau dressé et tendu à mort. Mes doigts s’attardaient au niveau de la rondelle de Ben. Puis ils pénétraient doucement l’entrée tant convoitée en vue de la préparer à l’entrée de mon membre bandé. Puis après avoir enfilé le latex de protection, j’avais avancé ma protubérance à l’entrée de l’antre convoitée. J’y introduisais alors mon boute-joie et doucement j’investissais les lieux. Ben avait déjà émis des râles de bonheur et j’en profitais pour alors limer comme il se doit ce fondement si accueillant. J’y allais avec volupté et ensuite avec frénésie ; Ben n’était pas insensible et m’aidait en tortillant de l’arrière-train. Puis je sentais que je n’étais pas loin d’arriver au bout de l’exercice et dans une ruée finale mon sexe avait lâché sa semence au fond de la capote tandis que nous gémissions de bonheur en même temps. Je m’étais alors rendu compte que Ben avait éjaculé lui aussi. Le drap était plein de sperme. Juste le temps d’essuyer nos semences pour pouvoir profiter du lit, et une fois couché sur le dos, nous nous étions complimentés sur ce corps à corps tant attendu depuis des jours et des jours. Fatigués et fourbus, nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre. Le matin nous nous étions levés assez tôt pour être prêt pour la réunion chez les scouts. Nous avions pris notre douche, nous nous étions habillés en uniforme et nous étions à table pour prendre le petit-déjeuner. Je me posais des questions concernant Gabriel. Serait-il présent ou pas, Jean-Pierre n’avait-il pas eu le temps d’aller le trouver, etc. C’est Arlette qui avait vu que je n’étais pas dans mon état normal. Elle me demandait ce qui n’allait pas. Je n’avais pas envie de raconter une nouvelle fois les problèmes que j’avais eus durant mon séjour aux classes de neige. C’est Benoît qui avait expliqué dans les grandes lignes qu’un élève de ma classe, sous l’influence d’un scout, avait raconté à ma chambrée que j’étais un « pédé ». Arlette et Yves étaient outrés d’apprendre ce qui s’était passé. J’avais alors dit que je n’avais pas envie de voir ce scout. Les parents de Ben avaient très bien compris. Yves nous avait déposés près du local. Il m’avait dit qu’il resterait là un moment pour voir si tout allait bien. Je l’avais remercié pour cette très belle attention. Dès la rentrée dans le local, je m’étais rendu compte que l’atmosphère était très détendue. J’avais, comme à l’accoutumée, salué tous les scouts et les chefs, un à un. Je n’avais pas vu Gabriel. Une fois l’heure du début de la réunion bien sonné, Bruno, le chef de troupe, avait demandé aux scouts de bien vouloir faire silence et de rester assis. Puis il avait passé la parole à Jean-Pierre. J-P : « Bon, c’est une chose qui n’est pas facile à dire, mais il faut bien y faire face. Voilà vous connaissez maintenant très bien Phil. La semaine passée Phil n’était pas là car il était en classe de neige avec son école. Durant son séjour il a été pris à partie verbalement par un élève de sa classe, celui-ci l’avait traité de « pédé » devant ses copains de chambre. Cet élève avait été mis au courant de son orientation sexuelle par un de ses amis, et cet ami c’est un scout de notre troupe ! Certains scouts :« Ah merde alors, quel con. C’est qui ? J-P : Vous le saurez dans quelques instants. C’est Alex qui m’a averti de ce qui s’était passé, il m’en a touché un mot, car fort heureusement un ami d’Alex était aussi présent dans la chambre de Phil et c’est lui qui a pris la défense de Phil. Raph : Heureusement pour Phil ! J-P : Le scout qui a ainsi divulgué que Phil était gay, c’est Gabriel ! Certains scouts : Ah mais quel con, mais c’est dégueulasse ! J-P : Du calme. J’avais dit que s’il y avait un seul d’entre vous qui avait des attitudes ou qui tenait des propos homophobes, qu’il se verrait exclu de la troupe. Ce que Gabriel a fait est impardonnable. Je suis allé le voir jeudi en soirée. Il m’a dit qu’il avait fait car il s’était senti humilié lors de la dernière réunion où les choses avaient été mises au point concernant l’incident de la salle de bain au mini camp ! Il m’a dit avoir agi par vengeance sachant qu’un de ses ami était dans la classe de Phil. Alex : Je confirme bien que mon ami m’a rapporté les faits également. Phil est très mal car demain il retourne en classe et qu’il a peur que toute l’école soit au courant qu’il est homo. Ben : Vous savez tous que Phil sait se tenir ici aux scouts et à l’école aussi. Je ne vois pas pourquoi il faut toujours s’en prendre à lui. Alex est au courant de tout ce qu’il a vécu et de tout ce qu’il a souffert, alors je ne sais pas quelle décision a été prise pour Gabriel, mais je ne veux plus le voir, du moins pour le moment ! Alex : Merci Ben. Oui Phil m’a expliqué ce qu’il traversait depuis des mois, je connais ce qu’il a vécu. Je n’ai pas le droit d’en parler, mais sachez qu’il a beaucoup souffert. Je n’en dirai pas plus ! J-P : Bon, calmons-nous. En ce qui concerne Gabriel, il est exclu de la troupe pour une période de deux mois. Il ne sera donc pas là au camp de Pâques. Après nous verrons en staff, ce qu’il sera décidé sur son sort. Moi : À la suite de cet incident je me suis fait de nouveaux amis. Ici vous êtes tous mes amis. Je ne sais pas si vous me considérez comme votre ami. Mais sachez que ce que j’ai encore vécu je m’en passerai volontiers et je ne le souhaite pas à mon pire ennemi. Vous ne savez pas ce que c’est que d’être ainsi humilié en public ! Voilà, je n’ai plus rien à dire. Non, encore une chose, merci Alex et merci à toi aussi Jean-Pierre ! » Tous les scouts avaient applaudi. Certains s’étaient spontanément levés pour venir me serrer la main ou me dire un petit mot. Je me sentais très apprécié par les scouts de la troupe. Une fois le calme revenu, Bruno avait alors demandé aux scouts de se préparer pour une sortie en forêt. Nous nous étions tous rendus en forêt de Soignes pour un grand jeu de piste. La journée s’était très bien passée, nous nous étions tous très bien entendus. A la fin de la réunion, nous avions tous chanté le cantique des patrouilles. De retour à la maison, j’avais le sourire aux lèvres. Toute ma famille était heureuse d’apprendre que tout s’était très bien déroulé. J’avais raconté ce que nous avions fait comme jeu, et je n’avais pas oublié de raconté l’intervention de Jean-Pierre au début de la réunion. Nous avions terminé de souper et j’avais donné un coup de main à maman pour débarrasser la table. J’étais allé prendre ma douche avant d’aller me coucher dans ma chambre. Je repensais à la journée que je venais de vivre et à la soirée d’hier avec Ben. J’étais heureux. Il me restait cependant encore une appréhension, et de taille, c’était mon retour à l’école. Les élèves savaient-ils ce qui s’était passé et savaient-ils que j’étais homo. J’avais eu difficile à trouver le sommeil. De retour à l’école après deux semaines d’absence dues aux classes de neige, nous avions retrouvés nos copains et nos copines. J’avais cependant une certaine appréhension, quant à savoir si les autres élèves étaient au courant de ce qui s’était dans la chambre lors du séjour. J’avançais dans la cours avec une grosse boule au ventre. Marie m’attendait déjà dans la cours de récréation, près du préau. Elle fut rejointe par Isabelle. Nous nous étions fait la bise. Puis je voyais arriver au loin Romain. Il s’était directement dirigé vers notre petit groupe. Il m’avait demandé comment j’allais et il m’avait assuré de son soutien. Puis j’avais vu Justin venir vers nous. Il me dévisageait, je pense qu’il voulait savoir dans quel état d’esprit j’étais. Je lui avais fait signe de s’avancer. Il s’était mis près de moi et m’a demandé à pouvoir me parler. Je m’étais un peu éloigné du groupe avec Justin. Puis j’avais écouté ce qu’il avait à me dire. Jus : « Phil, je suis désolé pour ce qui s’est passé avec Emmanuel. Je t’avais dit que j’étais comme toi, tu t’en souviens ! Moi : Oui Justin, je m’en souviens. J’ai très bien compris que tu me disais que toi aussi tu étais homo. Je n’en ai parlé à personne et tu peux être sûr que je ne dirai jamais rien. Jus : Merci Phil, j’avais un peu peur, mais je te remercie. Tu t’en doutes, ce n’est pas facile pour moi. Mes parents ne savent rien non plus. Tu es le seul, je ne sais même pas pourquoi je te l’ai dit ce soir-là. Moi : Ne t’en fait pas Justin, je sais ne rien dire. Je suppose que ce sera la même chose de ton côté et que tu ne diras rien aux autres. Jus : Tu peux compter sur moi Phil. C’est une promesse que je te fais. Moi : Merci Justin. Si un jour tu as des soucis surtout n’hésite pas à te confier, à quelqu’un de confiance ou même à-moi si tu veux. Puis tu sais que Romain, je peux te l’assurer, c’est un gars super qui peut te venir en aide s’il le faut ! Jus : Merci Phil, merci, grâce à ce que tu viens de me dire, j’ai un énorme poids qui me pesait qui vient de s’envoler. Merci mon ami. Moi : Mais de rien Justin. » J’avais rejoint le groupe avec Justin. Marie et Isabelle m’avaient regardé en se demandant pourquoi Justin venait auprès de nous. Je leur avais fait un clin d’œil ! Elles avaient directement compris que Justin avait lui aussi besoin d’être entouré. Je savais qu’elles ne poseraient pas de question ! Je crois que c’est ça l’amitié, c’est d’accepter la décision d’un ami, sans poser de question, car ce que fait cet ami est important pour lui et ce l’est peut-être pour le groupe. La sonnerie du début des cours avait retenti. Nous nous étions placés en rang comme d’habitude devant la porte d’entrée du bâtiment de gauche. Nous avions cours de math les deux premières heures de la matinée. Je n’avais pas vu Emmanuel, il n’était pas présent. Monsieur Martin nous fit enter en classe. Les élèves étaient assez disciplinés. Nous nous étions installés à nos places habituelles. Monsieur Martin préparait ses livres et nous demandait de sortir la calculatrice, notre cahier de math ainsi que je livre de géométrie. Puis c’est Monsieur le Directeur qui était entré en classe. Nous nous étions de suite levé à son entrée, comme il ça devait se faire. Il nous a demandé de nous rasseoir. Il avait alors pris la parole : Dir : « Bon, vous avez pu voir que votre camarade Emmanuel n’est pas présent dans la classe. En effet votre camarade a été exclu de l’école pour une semaine. C’est relatif à un incident qui s’est passé durant les classes de neige. Certains d’entre vous sont au courant de ce qui s’est passé. Je vous demande de ne révéler à personne, je ne dis bien à personne, ce qui s’est passé. Si j’apprends qu’un des élèves, qui était au courant, a divulgué ce qui s’est passé, il sera exclu définitivement de l’établissement. Ai-je bien été compris ! Tous : Oui Monsieur le Directeur. Dir : Voilà Monsieur Martin, je vous laisse à votre cours. Merci. » Nous nous étions levés pour la sortie de Monsieur le Directeur. J’étais soulagé, j’avais un poids qui s’envolait. J’espérais que personne n’avait dit à d’autres élèves se qui s’était passé. Romain m’avait fait un clin d’œil, les deux filles avaient retrouvé le sourire. Monsieur Martin avait alors pris la parole pour expliquer que certains incidents ne devaient pas être dévoilés sur la voie publique et claironnés à tout va, que cela relavait de la sphère privée et que cela ne regardait personne et qu’il valait parfois mieux que cela se résolve en petit comité. Les cours de la matinée s’étaient déroulés normalement. A midi nous étions assis à une grande table, les deux filles, Romain, Thibaut, Justin et moi. Nous parlions de tout et de rien. Puis nous avions vu Monsieur Martin venir vers notre table avec son plateau repas. Il nous avait demandé s’il pouvait s’asseoir auprès de nous. Nous l’avions bien entendu accueilli avec le sourire ; c’était un prof génial, toujours prêt à aider les élèves qui en avaient besoin et il avait l’habitude de manger à midi à des tables à chaque fois différentes en vue d’être à l’écoute les élèves. Monsieur Martin nous demandait si tout allait bien et si nous avions une question, qu’il était là pour y répondre. C’est Romain qui lui avait demandé ce qu’il allait advenir avec Emmanuel quand il reviendrait la semaine prochaine. Monsieur Martin nous avait confié qu’Emmanuel devait faire très attention car l’étape suivante pour lui c’était l’exclusion définitive de l’école. Monsieur Martin nous avait alors dit que ce qui avait été dit ne s’adressait pas nous, et qu’il comptait sur nous pour accompagner les élèves qui avaient besoin d’être aidés à tout point de vue. Une fois notre repas terminé, j’avais souhaité demander à Monsieur Martin, en privé, ce qu’il savait de l’incident. Il m’avait alors expliqué avoir eu une conversation avec Emmanuel et que celui-ci m’aurait traité de « pédé » devant les élèves de ma chambrée, raison de son exclusion. Monsieur Martin m’avait dit que tout cela resterait secret et que personne ne devait en parler dans l’école. Puis il avait ajouté qu’il savait que j’étais homo et que cela ne regardait personne. Il avait dit aussi que s’il y avait le moindre problème, que je devais lui en parler. Je l’avais remercié pour sa gentillesse. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 01-04-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil est très heureux de se retrouver chez Ben la veille de la réunion des scouts. Ils se donnent du plaisir, il y avait déjà deux semaines qu'ils n'en avaient pas eu l'occasion. La réunion chez les scouts s'est bien passée. Une mise au point a été faite concernant les incidents dû à Gabriel qui avait informé Emmanuel de l'orientation sexuelle de Phil. Le retour à l'école s'est bien passé. Justin en profite pour remercier Phil et être sûr qu'il ne dira rien aux élèves de la classe. Mr Martin, le prof de math, s'est placé à la table de Phil et de ses amis pour le repas de midi. C'est pour lui l'occasion de prendre le pouls en discutant avec les élèves. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 01-04-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. On sent bien l’impatience qu’avaient Phil et Ben de se retrouver, ils ont quand même attendu le soir pour se prouver leur amour. Aux scouts et à l’école, les personnes concernées par l’incident à la classe de neige ont été sanctionnées, ainsi Phil se fera moins de souci. Espérons qu’elles feront des excuses pour leur comportement par la suite. Je te souhaite un bon week-end prolongé de Pâques, en Suisse le Vendredi saint est déjà férié, je ne sais pas si c’est le cas en Belgique. Je t’embrasse. Daniel |