Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 06-03-2021 (05-03-2021, 11:58 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Merci [member=19]Philou0033[/member]. Fin mystique avec un ange qui annonce le destin d’Adso. Je ne pense pas que je raconterais toute sa vie jusqu’à ce moment-là, mais nous les retrouverons certainement soit au château du prince, soit à l’abbaye du novice, ou aux deux endroits, pour prendre de leurs nouvelles en compagnie de Koen et Frédéric. Une idylle vient de naître, en effet. Ces nouveaux personnages me permettent de varier mon récit, tout en restant dans le même contexte. Bon week-end ! Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 07-03-2021 Cette séance d'initiation et de Première fois pour Adso est vraiment contée par petites touches à la fois délicates et presque discrètes. Il est bon de commencer doucement, de n'aller pas trop vite en besogne afin que "l'impétrant" soit pénétré...de bons sentiments et de doux plaisirs. Il est parfois dommage qu'un pénis ne soit pas doué de la parole : il pourrait en étonner plus d'un-ou d'une. Tiens, ce serait un thème : «Les mémoires d'un pénis». Mon cher Lange, je te laisse trouver un sous-titre : tu en es bien capable, me semble-t-il. Merci pour ce petit moment en compagnie bien agréable de ces deux jeunes personnages attachants à défaut d'être, pour le moment, attachés ; ce qui ne saurait tarder, je pense. KLO. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 07-03-2021 (07-03-2021, 01:34 AM)KLO7514 link a écrit :Cette séance d'initiation et de Première fois pour Adso est vraiment contée par petites touches à la fois délicates et presque discrètes. Il est bon de commencer doucement, de n'aller pas trop vite en besogne afin que "l'impétrant" soit pénétré...de bons sentiments et de doux plaisirs. Il est parfois dommage qu'un pénis ne soit pas doué de la parole : il pourrait en étonner plus d'un-ou d'une. Tiens, ce serait un thème : «Les mémoires d'un pénis». Mon cher Lange, je te laisse trouver un sous-titre : tu en es bien capable, me semble-t-il. Merci [member=156]KLO7514[/member] pour ton appréciation. Ces scènes de sexe sont toujours difficiles à écrire, j’ai tendance à faire des descriptions trop cliniques et pas assez romantiques, surtout dans un lieu où l’on pratique le sexe de groupe. C’est pour cela qu’ils se sont retirés seuls dans la chambre. Cela sera différent pour Stefan et Peter qui se trouvent toujours dans le Temple de la Volupté et qui auront des conseils plus ou moins avisés du guru Krishna. Hyacinthe et Adso vont certainement s’attacher, la question qui se posera comme toujours, vont-ils rester entre eux ou accepteront-ils de partager de temps en temps leur intimité avec d’autres, par exemple lorsque Koen et Frédéric viendront les trouver ? En attendant les mémoires d’un pénis, un texte de 200 mots écrit en décembre 2015 : — Bonjour mon petit oiseau. — Bonjour mon gros bébé. — Tu as bien dormi ? — Pas mal, et toi ? — Aussi. Dis-moi, tu es bien paresseuse ce matin. — Pourquoi ? — Toute molle. N’as-tu jamais entendu parler des érections matinales ? — Ce n’est pas de ma faute, c’est de la tienne. — De ma faute ? — Oui, hier il a encore fallu que tu me caresses. — C’est ton travail. — Tous ces frottements, c’est irritant. — J’avais mis du gel. — Encore heureux, et le soir d’avant j’avais dû explorer les entrailles de ton ami. — J’avais mis un préservatif. Tu étais bien emballée. — Oui, mais ce n’est quand même pas très agréable. Il fait tout noir et ça ne sent pas la rose. — Tant pis pour tes états d’âme. J’ai envie de bien commencer la journée, allez au boulot. — Je refuse. — Tu refuses ? C’est qui qui commande ici ? — Toi, mais j’ai des droits syndicaux. Je fais grève. — Tu fais grève ? — Oui, j’exige un jour de repos par semaine, et une augmentation de 10%. — Une augmentation, tu ne te trouves pas assez longue ? Tu ne m’impressionnes pas, je vais casser la grève. — Et comment vas-tu faire ? — Regarde ce j’ai acheté hier. — Encore des pilules ? Qu’est-ce que c’est ? — Du sildénafil. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 07-03-2021 Grand merci, cher ami Lange pour ce "petit poulet" que tu viens de nous envoyer en supplément inattendu. J'en prends bonne note et, pour clore ce doux chapitre, je chanterai presque comme ton célèbre compatriote qui a trouvé un séjour meilleur en laissant se dépatouiller les héritiers : «Les portes ♫♫ du ♪♪ pé♫énis entier ♫ vont bientôt se re♪♪efermer...» Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 07-03-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Superbe ces 200 mots pour "Les mémoires d'un pénis". J'ai apprécié ce dialogue qui m'a d’ailleurs fait sourire! Bonjour [member=156]KLO7514[/member] ! Pas mal cette allusion aux portes ... "du pénis entier".... Merci pour ce bon moment! Je vous embrasse! Philou Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 07-03-2021 Merci de vos commentaires. Le pénis est effectivement un organe un peu spécial qui ne réagit pas toujours comme on le désirerait. Quand j'étais enfant, nous avions décidé d'utiliser les mots "petit oiseau" pour le désigner, en concertation avec ma mère et mon frère. Pour le reste, je ne vous dirais pas ce qui est autobiographique et ce qui ne l'est pas. Je me suis tout d'abord demandé pourquoi [member=156]KLO7514[/member] parlait d'un compatriote qui aurait chanté les portes du "pénis entier" puis je me suis rappelé qu'il a habité dans le même canton que moi (ou il a fait semblant d'habiter). J'ai écrit 150 récits de 200 mots pendant 6 ans, en m'inspirant d'un mot tiré au sort chaque jour au mois de décembre. Ils se trouvent ici si vous désirez les (re)lire : http://www.gai-eros.org/w/index.php/Calendrier_de_l%27Avent_(1) Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 08-03-2021 J'aime beaucoup, KLO7514, ton petit commentaire. L'idée de "mémoire d'un pénis" est excellente et, d'une manière très modeste, rejoint mon nouveau récit, tout en son début, que j'ai nommé "la valse des slips". Pénis et slips sont des voisins très proches, je dirais même très intimes. Le premier donne les émotions, les seconds peuvent les recevoir et tous les deux en gardent des souvenirs excitants qui incitent à se retrouver. Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 08-03-2021 (08-03-2021, 12:17 PM)Nostalgique link a écrit :J'aime beaucoup, KLO7514, ton petit commentaire. L'idée de "mémoire d'un pénis" est excellente et, d'une manière très modeste, rejoint mon nouveau récit, tout en son début, que j'ai nommé "la valse des slips". Pénis et slips sont des voisins très proches, je dirais même très intimes. Le premier donne les émotions, les seconds peuvent les recevoir et tous les deux en gardent des souvenirs excitants qui incitent à se retrouver. Merci [member=146]Nostalgique[/member]. J’attends avec impatience la suite de ton récit, tu m’as mis l’eau à la bouche (pas encore au bout du gland…). Je trouve un slip érotique, plus qu’un boxer ou un caleçon. Ce n’est cependant pas un objet unique, on s’en débarrasse rapidement quand il est sale. Peut-être qu’autrefois on le gardait plusieurs jours avant de le changer, c’est du moins ce que j’ai vécu durant mon enfance. On pourrait imaginer que le pénis qui raconte ses mémoires dialogue avec les sous-vêtements, il pourrait avoir des préférences, ou deviner où son propriétaire va aller en fonction du choix du slip. Le titre « Mémoires d’un pénis » suggère un très long récit qui raconterait toute la vie de cet organe, je crains de ne pas être en mesure de commencer un deuxième long récit maintenant, je dois d’abord terminer « Deux cousins » et cela pourrait durer encore très longtemps, si je continue avec environ 25’000 mots pour la description d’un seul week-end… Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 14-03-2021 Merci Lange ! "de gustibus et coloribus non disputandum", cet adage se vérifie en l'occurrence car personnellement je trouve le boxer beaucoup plus excitant car dans le slip tout est comprimé alors que dans le boxer ce même tout peut s'étaler à loisir ce qui permet d'imaginer un tas de variantes, tant du point de vue position, volume... et j'en passe, sans parler du confort, secondaire dans le cas qui nous occupe ! Je t'embrasse et bon dimanche. Nost. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-03-2021 (14-03-2021, 01:20 PM)Nostalgique link a écrit :Merci Lange ! Merci [member=146]Nostalgique[/member]. Il faut que les boxers n’aient pas d’élasthane, je préfère le coton pur. J’en ai mis pendant quelques années, je trouvais les slips ringards. J’ai changé d’idée et en suis revenu aux slips classiques de mon enfance, en général blancs et avec une braguette. Cela m’arrange donc de situer ce récit dans les années 1960. Bon dimanche ! Je t’embrasse. Daniel PS J’ai un peu de peine à terminer l’épisode suivant, assez « technique ». Le mauvais temps aidant, j’espère le finir d’ici ce soir. Comme souvent, je suis piégé car j’annonce mes intentions avant d’avoir écrit la suite et je ne peux plus renoncer si cela ne fonctionne pas comme je l’avais pensé. Merci donc de votre patience (c’est peut-être une erreur de penser que les lecteurs sont impatients d’avoir la suite de mon récit, mais il me semble qu’il y a peu de publications inédites sur Slygame en ce moment, j’espère que le site ne finira pas comme Docti). Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 14-03-2021 Salut cher ami ! Tout à fait d'accord avec ton PS, je suis exactement dans la même situation avec "la valse des slips", je ne vois pas encore comment poursuivre cette histoire, avec la complication que je suis beaucoup moins expérimenté que toi (et de tous ceux qui me lisent régulièrement !). Donc patience... Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-03-2021 J’ai quand même réussi à finir cet épisode, il vaudra ce qu’il vaudra. Quelques explications avant : ce récit est basé sur l’apprentissage, la découverte, l’initiation, d’où son côté parfois (trop ?) didactique. J’essaie d’imaginer des personnages et des lieux différents pour faire ces découvertes afin de ne pas écrire toujours la même chose. Je me suis inspiré pour ce Temple de la Volupté d’une vidéo intitulée évidemment « Kamasutra ». Ce qui paraît facile pour des « acteurs » expérimentés ne l’est probablement pas pour des débutants comme Peter et Stefan, même avec l’aide d’un coach. Je ne vais donc pas leur faire essayer toutes les positions comme je l’avais tout d’abord prévu, ce serait trop fastidieux, pour eux comme pour moi. Encore quelques mots sur l’utilisation des préservatifs. Il n’en auraient probablement pas eu en 1964, mais nous sommes en 2021 et nous savons malheureusement ce que sont les épidémies, n’oublions pas le sida et les autres MST. Je les dispense cependant du port du masque… Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (24) Samedi 25 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil Pendant qu’Adso et Hyacinthe se connaissaient au sens biblique du terme dans la chambre, Peter et Stefan étaient restés dans le Temple de la Volupté avec Krishna qui s’était assis en tailleur sur le matelas noir. Il leur demanda : — Qui est actif dans votre couple ? Les deux jeunes gens se regardèrent, ils n’avaient jamais réfléchi à cette question. Krishna remarqua leur hésitation et précisa : — Ou qui désire d’abord être actif ? Vous pourrez changer en cours de route. — Je pourrais commencer, fit Stefan. — Je vous laisse choisir la position qui vous convient. Stefan et Peter examinèrent attentivement les dessins contre le mur, se concertèrent et se décidèrent pour « la fusion ». Krishma leur dit : — Voici du lubrifiant pour assouplir la rosette de Peter. Puisque tu ne veux pas de gode, ce sera avec tes doigts. — Euh, je crois que je préférerais un gode. Krisha n’avait pas rangé la boîte, il la présenta à Stefan. — Quel est le plus ressemblant ? demanda-t-il. — Le numéro 4, je pense. — Vantard, fit Peter, le 3 est largement suffisant. — Alors le 3. Peter, qui se rappelait le massage matinal, se mit spontanément à quatre pattes. Stefan s’appliqua à assouplir l’anus de son ami en enfonçant très prudemment le jouet sexuel copieusement enduit de lubrifiant. Il le fit coulisser plusieurs fois jusqu’a la garde. — Ça va ? s’enquit Stefan, je ne te fais pas mal ? — On dirait que tu as fait ça toute ta vie, je pensais que les cuisiniers s’occupaient de l’entrée plutôt que de la sortie du tube digestif. Après quelques minutes, Krishna les interrompit : — On va continuer, pose le gode dans le lavabo. Ensuite chauffez-vous, prenez votre temps. Les deux amis s’assirent l’un en face de l’autre, ils hésitaient, se tournèrent du côté de Krishna, mais celui-ci avait les yeux fermés et méditait. Ils se rapprochèrent, échangèrent des timides baisers, des légères caresses sur tout le corps. Peter prit le pénis circoncis de Stefan dans sa main, il léchouilla le gland, caressa les couilles. L’engin se dressa rapidement. Krisha sortit de sa transe. — Très bien, fit-il, je vois que le lingam de Stefan est prêt. Couche-toi sur le dos. As-tu déjà essayé de mettre une capote anglaise ? — Koen m’en a mis une lors de sa conférence, c’était la première fois. — Tu sais que c’est obligatoire ici. — Moi, je n’oserais pas en acheter, dit Peter, la pharmacienne se demanderait pourquoi je les utilise alors que je suis seul avec un homme sur l’alpage et tout le village sera au courant. Il doit déjà y avoir assez de ragots sur les mœurs dissolues des armaillis. (NDA Chef d’une exploitation fromagère sur l’alpage et maître fromager. Définition tirée du Dico romand, Éditions Favre, 2020) — Je pourrais m’en procurer à Grindelwald, dit Stefan, personne ne me connaît. — Tenez, fit Krishna, en voici une. Peter la déroula sur le pénis dressé de Stefan, puis la lubrifia et regarda sur le dessin comment se placer. Il tourna le dos à Stefan qui l’aida à s’empaler sur son pénis dressé. Peter réalisa que ce serait à lui de donner le rythme à sa convenance. Le membre s’enfonça sans problème, il n’était pas plus gros que le gode. Peter débuta ses mouvements d’abord lentement, puis plus rapidement. Il se tourna vers Krishna, l’air interrogatif. — Tu pourrais te tourner pour regarder ton partenaire, dit celui-ci. Peter suivit les instructions du guru qui l’aida à faire face à Stefan et à remettre le membre dans ses entrailles. Les deux amis pouvaient maintenant se voir et c’était plus agréable. — Je vais jouir ! cria soudain Stefan. Son corps fut secoué de spasmes. Il se retira ensuite, sa bite se ramollit, il enleva le préservatif. Krishna le prit, regarda son contenu et fit la moue : — Tu as déjà éjaculé, tu as encore du chemin à parcourir. Il n’est pas bon que l’homme disperse sa semence trop souvent. — Je ne savais pas, fit Stefan, penaud. — Allons, ne t’en fais pas, je plaisantais, je sais bien que ce n’est pas si facile et qu’il faut faire des années d’exercices tantriques pour y arriver. Vous voulez aller dormir maintenant ? — Non, dit Peter en souriant, j’ai bien envie de pénétrer mon ami, position « la possession ». — Parfait, sinon j’aurais été déçu, un petit assouplissement avant ? — Oui, le gode numéro 5. — Le 4 suffira, fit Stefan, tu es aussi vantard que moi. — Vous semblez bien connaître vos mensurations, il y a longtemps que vous vous connaissez ? — Non, depuis hier après-midi seulement. — Eh bien, vous n’avez pas perdu votre temps. — C’est l’endroit idéal, ici. Suivant les instructions de Krishna, Stefan se positionna au bord du matelas, les jambes écartées et relevées. Peter enduisit la rondelle et le gode de lubrifiant, il évalua la souplesse de l’anus avec le doigt puis enfonça le jouet dans le rectum, assez brusquement. Stefan poussa un gémissement : — C’est bon, j’aime, continue ! Il ferma les yeux, savourant les mouvements du gode. Krishna se rapprocha sans faire de bruit, prit la queue de Peter dans sa main, la décalotta et le caressa pendant que le pâtre continuait à goder son ami. Une fois le membre bien durci, il déroula un préservatif. Peter n’eut plus qu’à remplacer le jouet par sa bite. Stefan le remarqua, il ouvrit les yeux, sourit, puis les referma. Suivant les conseils du guru, Peter releva Stefan et le prit dans ses bras, celui-ci fit de même et mit ses jambes derrière les fesses. Ils étaient ainsi serrés l’un contre l’autre. Peter sentait le membre se Stefan qui était de nouveau bandé, il essaya de tenir le plus longtemps possible. Il se fatiguait et se laissa aller après avoir chuchoté à son ami qu’il allait jouir. Stefan eut plusieurs orgasmes au même moment, sans éjaculer. — Bravo ! fit Krishna, pas mal pour des débutants. Encore 20 ans de travail et ce sera encore mieux. — Tu penses qu’on sera toujours ensemble dans 20 ans ? demanda Stefan en riant. — Je sépare l’Amour avec un A majuscule et la sexualité. L’Amour est dans la tête et le sexe dans la bite. Bien sûr, on peut combler l’être aimé, mais on peut se perfectionner et apprendre avec d’autres. Enfin, ce n’est que mon avis, vous ferez ce qu’il vous plaira, ce n’est pas à moi de vous donner des conseils. — Mais tu le fais quand même. Merci de nous avoir accueillis dans le Temple. — Tout le plaisir était pour moi. J’ai aussi eu des orgasmes en vous regardant baiser. — Sans te toucher ? — Le métier… Peter et Stefan retournèrent au Sensorium sans se rhabiller, leurs habits sur le bras, ils les déposèrent au vestiaire, pissèrent et se couchèrent à côté de Frédéric et Koen qui ne dormaient pas encore. Koen leur demanda en chuchotant : — Vous ne dormez pas dans la chambre ? — Nous l’avons laissée à Adso et Hyacinthe, répondit Stefan, en fait ils sont plus timides que nous. — Normal pour un Bénédictin, fit Frédéric, il doit respecter la règle de modestie, surtout s’il a une grosse bite. — Vous glandiez où depuis que vous avez quitté la plage ? demanda Koen. Stefan parla du Temple de la Volupté et de Krishna, du Kāmasūtra et des positions qu’ils avaient essayées. — Est-il encore en bas ? On y va ? fit Koen en se tournant vers Frédéric. — Tu n’as pas assez baisé sur la plage ? Tu t’es dopé ? Il y aura un contrôle anti-dopage demain matin, tu devras pisser dans une éprouvette devant tout le monde. — Krishna décide lui-même qui il invite, expliqua Stefan, je ne sais pas s’il te trouvera ta queue assez belle. — Il est magnifique mon Koen, dit Frédéric, si Krishna n’en veut pas je le garderai pour moi, mais je suis vraiment épuisé et vidé, bonne nuit ! — Bonne nuit ! firent les autres avant de sombrer rapidement dans un sommeil sain et profond. Ä tüüfä gsundä Schlaaf®. (NDA Célèbre slogan d’une marque de literie en suisse allemand). Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 14-03-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Très belle suite. Peter et Stephan sont donc dans le Temple de la Volupté. Ils vont découvrir des positions du kamasutra. Ils sont aidés par Krishna, qui les guide pour qu'ils profitent au maximum de leurs découvertes. D'abord c'est l'usage du gode pour préparer l'anus avant la pénétration. Il est fait usage de lubrifiant. Ensuite c'est l'acte qui est pratiqué en ayant enfilé un condom pour éviter les MST. L'un après l'autre les deux garçons se sont aimés. Stéphan a joui assez vite, tandis que Peter a fait durer le plaisir plus longtemps. Les deux garçons rejoignent Koen et Frédéric. Ils s'endorment tous en même temps après avoir passer une journée pleine de beaux souvenirs! Merci Daniel pour cette suite ! Encore l'une ou l’autre allusions amusantes! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-03-2021 (14-03-2021, 07:28 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire rapide. Je suis content que cette suite t’a plu. Des découvertes pour Peter et Stefan qui ont ainsi l’occasion de faire leur « première fois » avec les conseils avisés d’un expert. Je ne pense pas que ce soit très réaliste, mais pour moi la littérature doit permettre la fantaisie et ne pas n’être qu’une copie de la réalité. Une journée bien remplie qui restera un bon souvenir pour les invités. L’épisode suivant, le 25ème, sera le dernier de ce chapitre-fleuve, mais les aventures de Koen et Frédéric vont se poursuivre. Il est même possible qu'ils revoient une fois Daniel, le cousin qui donne le titre au récit, ce pourrait être dans le chapitre suivant, les parents des cousins rentrant d'Amérique le 1er août, l'occasion de les accueillir le jour de la Fête nationale suisse, chapitre « familial » qui pourrait ressembler à ceux de tes récits. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-03-2021 (14-03-2021, 05:36 PM)Nostalgique link a écrit :Salut cher ami ! Salut [member=146]Nostalgique[/member] ! L’expérience ne fait pas tout, je me retrouve chaque fois devant un écran blanc, que ce soit pour un chapitre de mon roman ou une courte nouvelle. Pour prendre l’exemple de ACSH, certaines photos m’inspirent tout de suite alors que pour d’autres je cherche pendant plusieurs jours et ne trouve rien. Quand j’écris un récit court, j’essaie toujours de trouver une chute avant de le commencer, je connais ainsi au moins le début et la fin, il ne reste plus qu’à trouver ce qui va se passer entre les deux. Ce n’est pas grave si tu ne peux pas continuer ton nouveau récit, tu n’as pas écrit beaucoup. C’est plus ennuyeux pour un roman, mais cela m’est arrivé d’en interrompre alors que j’avais déjà écrit une dizaine ou une vingtaine d’épisodes. Une idée qui paraît très bonne peut s’avérer décevante par la suite, c'est inutile d'insister. L’expérience c’est aussi la tentation d’écrire toujours la même chose, de reprendre les idées qui ont bien fonctionné. J’essaie d’éviter cet écueil, mais les scènes de sexe permettent peu de variations, surtout si l’on a des personnages débutants, ce qui est souvent le cas dans mes récits. |