JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) (/showthread.php?tid=2) |
Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 05-10-2020 Nous nous étions déshabillés pour aller prendre une bonne douche. J’avais mon sexe qui commençait à prendre un peu de volume, tout comme celui de mon amour. Je voulais attendre d’avoir fini la douche avant d’envisager de nous câliner, de nous aimer ! Nous n’avions jamais pris de douche aussi vite. Nous avions semble-t-il tous les deux envies de nous retrouver ensemble dans le lit. Nous nous comprenions sans avoir dit un mot. Nous ressentions certaines choses sans avoir besoin de faire un long discours. Une fois séchés, Juju m’avait pris par la main pour me mener à son lit. Une fois la porte refermée, nos langues s’étaient retrouvées, nos mains parcourraient nos corps qui avaient attendu ce moment depuis déjà pas mal de temps. Nous pouvions enfin nous retrouver pour passer une nuit chaude pleine de bonheur et de sentiments partagés. Nos sexes étaient bien entendu dressés. Ils n’attendaient qu’une chose c’est qu’on s’occupe d’eux ! Bien sûr nos mains frôlaient nos protubérances, parfois elles s’y attardaient pour les quitter et se poser sur une autre partie sensible de nos corps ouverts aux caresses et aux baisers. J’aimais bien embrasser les épaules de Julien, aussi son visage mais encore ses mains et ses pieds. Il ne comprenait pas qu’on puisse avoir envie d’embrasser des pieds, mais il s’était fait à cette situation. Julien lui aussi embrassait mon corps, mes bras, mon cou, mon visage. Il est évident que pour nous deux le fait d’embrasser le gland ou le sexe de son partenaire était très excitant et nous donnait des frissons. C’est donc à la suite de ces embrassades sur nos parties intimes que nous avions commencé une fellation réciproque. Nos bouches étaient attentives à procurer de belles sensations à l’être aimé. Notre langue parcourait la hampe dressée et s’occupait aussi du gland apparent qui lui n’attendait que ça, qu’on s’occupe de lui. Nous en avions pris l’habitude de nous sucer mutuellement. C’était toujours très jouissif et nous en retirions beaucoup de satisfaction. Bien entendu nous aimions aussi nous aimer en nous donnant à l’être aimé par voie anale. Mais nous apprécions un peu plus les fellations. C’est donc dans cette optique que nous nous sucions avec délectation. Nous savions ce que faisait plaisir à notre partenaire et nous nous appliquions en vue de lui procurer plein de sensations. J’entendais Julien haleter de plaisir. Moi-même j’émettais des sons de satisfaction bien audibles. Nous nous faisions monter la pression l’un l’autre et puis c’est dans cette position bien agréable que nous arrivions à nous donner mutuellement du plaisir. Nous nous appliquions pour que notre amour puisse ressentir le meilleur. Puis bien entendu en arrivant à la limite de l’extase, nous en profitions pour diminuer le plaisir en vue de retarder l’éjaculation. Ensuite, dans un dernier mouvement appuyé de la langue et de nos lèvres, nous donnions le coup de grâce pour l’explosion de nos sens déjà fort sollicités. Nous éjaculions pratiquement en même temps et notre semence allait s’écraser au fond de la gorge de l’être aimé, qui n’attendait que ce moment libérateur pour enfin gouter à cette semence de vie ! Comme souvent nous nous embrassions pour pouvoir mélanger nos spermes, heureux, mais fourbus, de nous être ainsi donné l’un à l’autre. Et enfin nos corps s’étalaient sur le lit pour enfin retrouver un peu de quiétude. Comme à notre habitude, nous nous remercions l’un l’autre de cette échange amoureux mené jusqu’au bout, dans un plein émoi partagé ! Nous nous étions endormis, heureux ! Ce n’est que vers neuf heures un quart que nous avions été réveillés par Béatrice. Elle nous avait trouvé nus, dormant au-dessus des draps, lovés l’un à l’autre. Elle nous avait dit qu’elle nous trouvait mignon ! Nous nous étions douchés avant de descendre prendre le petit déjeuner. Pierre était déjà à table et buvait une tasse de café. Julien et moi avions été saluer Pierre avant de nous mettre à table. Ensuite c’est Pierre qui nous avait demandé : Pie : « Alors mes enfants, avez-vous bien dormi ? Jul : Oui Papa, très bien. Moi : Merci Pierre, oui j’ai très bien dormi ! Pie : Je te propose Phil, après avoir déjeuner, d’appeler chez toi en vue de savoir si tes parents ont déjà prévu quelque chose pour tes dix-huit ans. Moi : Oui, comme ça nous pourrons envisager ensemble, Julien et moi, et avec vous bien entendu, ce que nous pourrions organiser. Pie : C’est bien Phil. Nous avions pensé, Béatrice et moi, de vous laisser faire une liste de ce que vous avez envie de faire et aussi une liste des invités et tout ce qui va avec, carton d’invitation, … etc. Jul : Merci Papa, vous êtes géniaux ! Moi : Merci Pierre, cela me touche beaucoup ! Béa : Mais c’est tout naturel mes enfants, avoir dix-huit ans est une étape et il convient de passer ce cap dans la joie et la bonne humeur afin d’en garder de très beaux souvenirs ! Jul : Merci Maman, je vous adore tous les deux ! Moi : Je ne sais que vous dire, … merci, merci pour ce que vous faites pour nous ! » Nous nous étions mis à rire. Béatrice et Pierre étaient heureux de nous voir comme ça. Nous avions terminé de déjeuner dans la bonne humeur et le sourire aux lèvres. J’avais alors téléphoné à la maison. C’est Delphine qui avait décroché. Je lui avais demandé comment ça allait à la maison. Puis j’avais demandé à avoir maman ou papa en vue de demander quelque chose. C’est maman qui avait pris le cornet et qui me disait : Mam : « Bonjour Phil, tu as bien dormi. Tu voulais demander quelque chose à ce que nous a dit ta sœur ! Moi : Bonjour Maman, oui nous avons bien dormis. Hier soir chez Julien nous discuté avec ses parents au sujet de nos dix-huit ans. Je voulais savoir si vous aviez prévus d’organiser quelque chose pour mon anniversaire. En fait j’aimerai que Julien et moi nous puissions faire une fête commune et inviter nos amies et nos amis ! Mam : Oh là mon fils. Mais tu as raison de vouloir fêter ton anniversaire avec Julien, je le comprends très bien. Avec ton père nous en avions déjà discuté mais nous n’avons encore rien prévu. Nous comptions t’en parler d’ici quelques jours et nous avions aussi envisagé de faire une fête pour vous deux, Julien et toi ! Moi : Oh Maman, vous êtes super, je suis si heureux de voir que vous aviez aussi pensé à Julien. Je vous adore, je vous aime, vous ne pouvez pas savoir combien ça me rend heureux. Mam : Je croix nous allons vous demander de prévoir sur papier ce qui vous ferait plaisir et aussi que vous établissiez une liste d’invités. On vous laisse carte blanche, mais il faut aussi que vous restiez dans une marge raisonnable. Puis dix-huit ans c’est un moment important et un passage vers le monde des adultes. Moi : Je ne sais que dire Maman. Je crois que nous allons nous concerter Julien et moi, et vous demander, ainsi qu’aux parents de Julien, votre avis ! Merci, merci. Mam : Je t’embrasse mon fils ainsi que Julien. Bisous à vous deux ! » Des larmes de joie coulaient sur mes joues. J’avais rejoint Julien et ses parents. Ils se demandaient ce qui se passait, mais ils comprirent en voyant mon large sourire que c’étaient des larmes de joie. J’avais du mal à parler. Julien m’avait fait un énorme câlin et une fois remis de mes émotions j’avais pu expliquer que mes parents étaient partants, eux aussi, pour nous laisser organiser une fête commune tout en restant raisonnable. Béatrice et Pierre étaient quant à eux content de voir que notre rêve de faire une fête commune pour nos dix-huit ans allait se concrétiser ! Le reste de la matinée Julien et moi nous avions pris chacun deux feuilles de papier pour y noter sur la première ce que nous avions envie d’organiser et l’autre sur laquelle nous faisions la liste des invités. Nous allions ensuite mettre le tout en commun et faire une liste conjointe pour l’organisation. Nous avions le temps de penser à ce que nous voulions faire, mais nous étions pressés d’avoir quelque chose de plus ou moins abouti assez vite. Nous avions gardé nos feuilles car nous n’avions pas terminé d’y apposer ce que nous voulions comme activités pour cette fête et la liste des invités que nous voulions rencontrer ! C’est donc vers midi que Béatrice nous avait demandé de lui donner un coup de main pour le repas. Nous avions donc mis la table, préparé les légumes, peler les pommes de terre, etc. Après l’apéro nous nous étions tous placé à table. Stéphanie était revenue avec ma sœur Delphine. Nous étions donc six à table. Les discussions allaient bon train. Les filles voulaient savoir ce que nous avions déjà décidé pour fêter nos dix-huit ans. Julien et moi nous leurs avions répondu qu’il était trop tôt pour que nous puissions dire quelque chose à ce sujet. Béatrice ainsi que Pierre étaient tous deux intrigués par notre attitude de ne rien dévoiler, du moins pour le moment. Bref nous ne savions pas encore si nos désirs allaient oui ou non être pris en considération. Nous avions déjà assez bien d’idées en tête mais fallait-il encore que ces idées soient réalisables ! Après le repas nous avions Julien et moi pris nos vélos pour faire un tour en forêt. Nous avions besoin de nous aérer l’esprit. Puis c’est en roulant à gauche et à droite que nous avions découvert un coin assez sympa, un peu reculé des chemins forestiers. Nous nous étions arrêtés pour y faire une pause. C’était en fait une clairière dont le sol était couvert d’herbe. Le soleil y pénétrait au travers des branches les plus élevées des arbres. Les oiseaux chantaient et le calme y régnait. C’est donc dans cette atmosphère feutrée que nous nous étions embrassés. Nos langues s’étaient enfin retrouvées. Elles se connaissaient, mais elles allaient pourtant se livrer à une sarabande mystérieuse nous apportant beaucoup de bonheur. C’est donc durant plusieurs minutes que nous étions comme en suspension, hors du temps, en extase, bien en communion l’un avec l’autre. Puis nous nous étions regardés les yeux dans les yeux. Nos mains vagabondaient alors sur nos corps, caressant nos vêtements. Nos slips et nos shorts semblaient trop étroit pour contenir nos protubérances gorgées de sang. Nous bandions si fort que les tirettes de nos shorts allaient pratiquement sauter. J’avais alors pris l’initiative et j’avais ouvert la ceinture et la tirette du short de Julien. Je pouvais alors voir la forme oblongue de son sexe bandé dans son slip. Le gland allait pratiquement sortir au niveau de l’élastique du slip. La pression était déjà plus supportable pour mon Juju. Julien de son côté avait entrepris de ma libérer aussi de cette pression désagréable. Une fois la tirette de la braguette de mon short ouverte, je m’étais enfin senti plus à l’aise. Nos mains caressaient alors nos verges bandées au travers du tissus. Nos bouches s’étaient une nouvelle fois retrouvées. Nos langues dansaient entre elles comme au premier jour. Puis enfin j’avais laissé ma main passer entre le slip et le bas ventre de Julien. Elle pouvait alors s’emparer de cet attribut dressé. Julien avait lui aussi calqué ses mouvements sur les miens. Nous avions chacun le sexe de l’autre en main. Nous nous étions ensuite débarrassés de nos vêtements, nous étions nus, là au milieu de cette clairière, occupé à nous branler mutuellement. C’était divin, c’était la première fois que nous nous donnions du plaisir en pleine nature. Puis c’est couché, tête bêche que nous nous sucions enfin. Nos sens étaient décuplés, nous ressentions tellement de bonnes choses, tellement de sensations bienfaisantes. Nous savourions le gland bien humide de notre amoureux. Nous nous délections de ce membre bandé coulissant entre nos lèvres. Nous laissions entendre quelques râles de bonheur. Puis nous sentions chacun la pression monter chez notre amour. Nous nous arrangions pour nous procurer un maximum de plaisir. Puis je sentais que j’allais arriver au point de non-retour. Julien l’avait senti et il avait ralenti la pression exercée sur mon membre viril. De mon côté je ralentissais l’allure pour laisser à Julien le temps de se reprendre. Nous nous comprenions de plus en plus. Nous ressentions les désirs et les souhaits de notre partenaire. Nos corps étaient couverts de sueur, il faisait déjà chaud en extérieur et ajouté à nos ardeurs physiques, cela avait fait monté la température. Puis reprenant cette fellation féérique, nous savions que nous n’allions plus nous arrêter avant l’extase finale, l’explosion de tous nos sens et la libération de nos semences au fond de la gorge de notre très cher amour. C’est donc moi qui m’étais cambré le premier, qui avais dans un râle profond, laissé partir en toute force mon sperme chaud par jets. Julien avalait en partie ma contribution et de son côté Julien laissait lui aussi éclater sa jouissance tout au fond de ma bouche. Une fois l’explosion terminée, et enfin à nouveau tête à tête, nous nous étions embrassés, mélangeant avec volupté nos semences. Puis fourbus, nous nous étions couchés côte à côte pour savourer ce moment de béatitude partagé et ressenti. Nous étions les plus heureux du monde. Nous étions comme sur un nuage blanc, immaculé balloté par une petite brise bien venue qui rafraichissait nos corps encore chauds de nos ébats. Nous nous étions quelque peu assoupis. C’est une bonne heure plus tard que nous avions été réveillés par une petite brise un peu plus fraîche. Nous nous étions embrassés puis ensuite nous avions ré enfilé nos vêtements. Nous avions repris nos vélos pour prendre le chemin de retour. Nous étions heureux d’avoir passé un bout de temps, en dehors de toute contrainte, avec seulement l’envie d’aimer et d’être aimé par celui qui emplissait notre cœur à chacun. C’était une sensation assez nouvelle que de s’aimer en pleine nature. Pour ma part j’en retirais une très bonne expérience que j’avais déjà envie de refaire. Tout en roulant je pensais à Lucas et à un coin de nature comme celui que je venais de quitter avec Julien. Il me fallait donc trouver un endroit assez discret pour être tranquille avec Lucas pour qu’il puisse être à l’aise et ainsi se confier plus facilement que chez l’un ou chez l’autre. Je me demandais si Lucas avait pu avoir Mathieu au téléphone pour en savoir plus. Pourquoi n’avait-il pas pu être avec Lucas durant le week-end ? Son père se doutait-il de quelque chose ? Sa maman avait-elle expliqué à son père ce qui se passait ? Bref je me posais un tas de question. Il fallait donc attendre d’être lundi matin pour que je puisse en savoir plus. Une fois à la maison, Béatrice nous avait proposé de manger un bout, il était déjà plus de dix-sept heures. Nous n’avions pas vu le temps passer. Nous avions alors mangé une tranche de cramique avec du beurre salé, un délice ! Bien entendu nous avions pris une tasse de cacao chaud. C’est Stéphanie qui nous avait fait une remarque sur nos visages angéliques. Elle se demandait pourquoi nous étions si radieux et en même temps remplis de douceur et de paix. C’est Julien qui avait fait un signe à sa sœur pour lui demander d’attendre d’être un peu plus tranquille pour lui parler. C’est donc dix minutes plus tard que nous nous étions retrouvés dans la chambre de Stéphanie en compagnie de Julien et de Delphine. Sté : « Alors les garçons, vous avez l’air si émus et à la fois réjouis. Il s’est passé quelque chose de particulier ? Jul : Bon, enfin, Phil et moi nous avons fait un tour à vélo et nous étions arrivé dans une clairière très sympa. Nous nous y sommes arrêtés et nous n’avons plus fait attention au temps qui passe ! Del : Stéphanie a raison, il n’y a pas que ça. Allez, vous avez fait quoi les gars ! Moi : Bon, les filles, cela ne vous regarde pas ! Sté : Oui, c’est ça. Je pense que vous vous êtes branlés au milieu de cette clairière ! Jul : Mais non, pourquoi tu dis ça ! Del : Je suis comme Stéph, vous vous êtes aimés dans cette clairière. Moi : Oui, nous nous sommes aimés. Nous étions en pleine nature avec les chants des oiseaux, un rayon de soleil qui nous chauffait et nous qui nous aimions ! Ça vous va ! Sté : Oh là, mais ça devait être chouette. Moi : Oui, c’est une sensation très particulière de s’aimer ainsi en pleine nature. Je rêve de pouvoir le refaire dès que possible. Del : Mais vous êtes fous, vous auriez pu vous faire surprendre ! Jul : On n’y a pas pensé, on était trop bien ! Sté : Je comprends maintenant pourquoi vous étiez si « zen » mes loulous ! Moi : Il ne faut rien dire aux parents ! Del : Compte sur nous, on saura se taire. Dit Stéph, nous n’avons pas encore fait ce genre de chose. J’ai bien envie d’une fois tenter l’aventure ! Moi : Vous devriez, vous allez voire c’est géant ! Sté : Et pourquoi pas. Faudra qu’on y pense. » Nous nous étions tous mis à rire. La conversation s’était poursuivie ainsi jusqu’au souper. Nous avions parlé de tout et de rien mais aussi de nos couples et du fait que nous avions des parents en or. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 05-10-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Phil et Julien se sont aimés dans la nature pour la première fois. Les filles ont remarqué qu’il s’était passé quelque chose de spécial et sont très curieuses. À leur place je le serais aussi, elles aimeraient peut-être voir une fois par curiosité les garçons en pleine action... Ce ne sont que mes fantasmes que tes personnages ne sont pas obligés de partager. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 05-10-2020 (05-10-2020, 12:52 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui, Phil et Julien se sont aimés en pleine nature. Je dois dire que c'est quelque chose de magique à vivre ! Il y a eu quelque chose de magique ce qui fait que pour les deux sœurs, leurs frères sont comme métamorphosés. Je te reconnais bien là, tu imagines déjà les deux filles qui regardent les deux ados se donner l’un à l'autre dans une clairière en pleine nature ! Note, je peux très bien le comprendre mais je pense qu'elles et qu'ils vont restés sages ! Merci Daniel de suivre le récit et de le commenter! Je t'embrasse ! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 07-10-2020 La soirée et la nuit avaient été assez calmes. Nous nous étions quelque peu reposés, le souvenir de la clairière était encore vivace dans mon esprit. Il fallait que je trouve un endroit pour pouvoir parler avec Lucas, mais autre que celui de cet après-midi. Je ne voulais pas que cet endroit, que la clairière, serve à autre chose qu’à éventuellement revenir avec Julien pour une nouvelle fois nous aimer ! Au matin Julien m’avait réveillé doucement en couvrant mon visage de baisers. Quel réveil. Puis ayant bien remarqué la gaule qui comme chaque matin, ou presque, déformait le drap, Julien avait posé sa main sur mon mât de cocagne. Julien était lui aussi bandé comme jamais. Ma main n’avait pas tardé à se poser elle aussi sur son membre dressé. Nous nous masturbions mutuellement avec volupté et délicatesse. C’était en nous regardant les yeux dans les yeux que nous nous donnions du plaisir. Nous alternions les mouvements lents et rapides comme nous en avions l’habitude. Nous savions très bien ce que notre partenaire aimait et chacun nous nous efforcions de rendre ce moment des plus agréable. La tension montait au fur et à mesure de nos caresses. J’avais envie de prendre le sexe de mon Juju en bouche, mais il m’avait demandé de ne s’occuper de son phallus qu’avec ma main, il disait qu’il ne voulait qu’une masturbation. J’avais accepté et je m’efforçais de faire cette masturbation avec amour et la volonté de lui procurer un maximum de sensations. Son gland était bien humidifié et était recouvert et puis découvert par son prépuce au grès des mouvements appliqués. De son côté Julien arrivait à me donner des sensations sublimes et très magiques qui me faisaient râler de bonheur. De son côté mon amour gémissait par moment. Puis sentant que nous n’étions pas loin de l’explosion, nous avions d’un commun accord accéléré la cadence pour enfin arriver à l’orgasme tant attendu, déversant le flot de semence sur nos doigts et sur nos abdomens. Ayant un peu de sperme de Julien sur mes doigts, je les avais portés à la bouche pour y gouter. Julien avait de même. Nous nous étions ensuite embrassés, heureux et comblés de bonheur. Nos langues s’étaient retrouvées et s’en donnaient à cœur joie. Une fois ce baiser fougueux terminé, nous étions allés prendre une douche pour effacer les traces de nos ébats. En sortant de la salle de bain, nus comme d’habitude, nous avions croisé Béatrice qui sortait de sa chambre où elle était allée refaire son lit. Elle avait le sourire et elle nous salua. Nous lui avions à notre tour donné un bisou sur la joue en guise de bonjour. Une fois habillés, nous avions gagné la cuisine où nous attendaient les deux filles devant le petit-déjeuner. C’est Delphine qui avait commencé pour nous dire : Del : « Alors les garçons, vous vous êtes fait une petite gâterie ce matin ! Jul : Mais enfin, comment savez-vous ça ! Sté : Vous n’avez pas été fort discret. On a entendu des gémissements caractéristiques ! Moi : Bon, mais vous savez le matin parfois avec la gaule et l’excitation, et bien on ne peut pas s’empêcher, enfin bon vous devinez ! Del : Oh oui on devine très bien ! Béatrice venait d’entrer dans la cuisine et en nous regardant tous les quatre elle nous avait dit : Béa : Je ne veux pas savoir ce que vous faîtes dans vos chambres, cela ne regarde que vous. Jul : Oui maman, on n’en dira pas plus. Sté : Désolé maman, mais nous avons des oreilles alors ! Béa : Je sais Stéphanie, mais bon je ne veux rien savoir de plus. Terminez votre petit déjeuner, après nous irons faire une balade à pied dans la forêt ! Jul : Très bonne idée, papa sera là lui aussi ? Béa : Oui, nous serons à six pour prendre l’air avant le dîner. » Voilà le programme de ce dimanche matin bien établi. Je savais qu’après le repas je devrais rentrer à la maison pour revoir certains de mes cours. Les examens arrivaient au pas de course, alors plus question de trop trainer. C’était la même chose pour Julien, étude et révision des cours principaux ! Il est vrai que nous voulions terminer l’année scolaire en beauté et réussir notre rhétorique haut la main. Le repas était toujours aussi délicieux, Béatrice nous avait une nouvelle fois gâté. C’était sans compter sur le dessert, comme on dit, une « tuerie », une de ces mousses au chocolat maison à tomber par terre ! J’avais dit au-revoir à toute la famille et j’avais embrassé mon amour, Julien, en lui souhaitant une très bonne semaine ! J’avais donc repris le chemin de retour vers la maison. A mon arrivée, mes parents m’attendaient. Ils m’avaient demandé de rester un moment avec eux. Ils souhaitaient m’entretenir de l’anniversaire de nos dix-huit ans. Ils m’avaient bien confirmé qu’ils étaient heureux que je fête cela avec Julien et nos amis. Papa avait ajouté qu’il serait heureux de participer au paiement de cette journée à concurrence de cinquante pour cent ! J’étais très content de cette nouvelle. Je les avais embrassés avant de monter dans ma chambre pour revoir certains cours. C’est au soir que j’avais eu la visite de ma sœur Delphine. Elle venait de rentrer et m’avertissait que le souper était presque prêt. Nos parents nous attendaient pour manger. A l’issue du repas j’avais regagné ma chambre pour terminer la révision de deux cours en vue de poser des questions sur certains points de la matière aux profs qui seraient présent le lendemain au bahut. Au moment de me coucher, j’avais réfléchi à ce week-end et à tout ce qu’il avait apporté comme bonheur à Julien, à nos familles et à moi aussi ! J’avais été si heureux lorsque nous étions dans cette clairière où nous nous étions donnés du plaisir. Rien que d’y penser mon membre avait pris du volume, il était mi bandé ! Je n’avais pu m’empêcher de place ma main sur mon bâton d’amour. Puis lascivement j’avais commencé une lente masturbation. J’étais une nouvelle fois comme sur un nuage. Je nageais dans le bonheur, j’étais si heureux avec Julien, lui aussi était heureux avec moi, je le sentais. Les sensations au niveau de mon sexe étaient de plus en plus fortes, je m’efforçais de ne pas accélérer le mouvement pour laisser ainsi monter le désir de plus en plus, pour arriver à avoir un orgasme puissant, libérateur, pour enfin lâcher toute la pression et éjaculer avec force. J’étais comme sur un nuage, l’esprit libre et comblé de bonheur tant physique que moral. Je m’étais endormi comme cela. J’avais fait de très beaux rêves où mon Julien m’apparaissait lui aussi très heureux. Nous étions ivres de bonheur ! La vie nous souriait et nous étions aimés par nos familles et nos amis. C’est alors que je m’étais réveillé au son du « bip-bip » de mon réveil. Il était l’heure de se lever pour retourner aux cours. J’étais allé prendre une douche avant de descendre pour prendre mon petit déjeuner avec Maman. Delphine elle était encore dans sa chambre, elle devait sans doute encore dormir, Papa était déjà parti au travail. Arrivé au bahut, j’étais allé rejoindre Amandine et Joseph qui étaient déjà là. Puis ce fut Lucas qui était venu nous rejoindre. Il avait l’air bien éveillé, sûr de lui. Je n’avais pas envie de le déranger si tôt avec des questions relatives à son week-end et à son ami Mathieu. A la sonnerie nous étions allés nous placer dans le rang pour entrer en classe. La matinée s’était très bien déroulée. Le prof de science avait répondu aux questions posées concernant les parties de matière qui avaient été mal comprises par certains élèves. Nous commencions à y voir plus clair et c’était important pour que nous puissions aborder la session d’examens avec sérénité. A midi nous avions pris notre table habituelle. Nous discutions de tout et de rien ainsi que de notre week-end. J’avais parlé de cette balade en forêt avec la famille de Julien. Je n’avais pas parlé de notre passage dans la clairière, cela faisait partie de mon jardin secret ! Lucas m’avait dit qu’il avait été invité par son ami Mathieu, chez son papa, pour passer l’après-midi de dimanche, et que cela s’était bien passé. Je ne savais pas pour autant si le papa de Mathieu savait, oui ou non, que son fils était homo et que Lucas était son petit ami ! J’allais probablement avoir l’occasion d’en parler avec Lucas dans le courant de la journée ou de la semaine. L’après-midi avait été consacrée à réviser le cours de math. Le prof avait déjà fait un questionnaire en vue d’évaluer le niveau des élèves, pour savoir quelles parties de matières il allait devoir approfondir. J’étais heureux de cette initiative. Les profs semblaient mettre un point d’honneur à aider leurs élèves à bien se préparer à affronter les examens. Puis les profs nous donnaient des conseils pour bien organiser notre travail de révision et d’étude. Je pense qu’ils se rendaient compte qu’ils avaient une très bonne classe et que chacun des élèves avait le potentiel pour réussir. Je m’étais réveillé assez tôt, soit vers les six heures. J’avais préparé mes affaires de cours, mes notes où j’avais inscrit les questions, de nouvelles questions pour les autres cours, tels que physique et chimie. Puis il restait aussi des questions au sujet du cours de philo. J’avais pris ma douche avant le reste de la famille. Une fois habillé j’avais préparé le café. C’est alors que j’étais en train de mettre la table que maman était entrée dans la cuisine. Elle fut étonnée de me voir si tôt debout. Bref je lui avais dit que je ne savais plus dormir et que je voulais être en pleine forme pour les derniers cours et les révisions qui en découlaient. J’avais pris une tasse de café avec maman et elle me demandait : Mam : « Phil, tu es très volontaire et je vois que tu veux réussir ton année et ainsi être prêt à entamer des études supérieures. Moi : Oui Maman, je veux que vous soyez fiers de moi. Tu le sais, je vous aime et je ne veux pas vous décevoir ! Mam : C’est tout à ton honneur. Je sais très bien que tu nous aimes et que c’est la même chose pour Julien. Moi : Oui Maman, tu as raison. Mais tu vois, je pense que ma situation a dû vous perturber un peu. Mam : Tu sais Phil, c’est comme avec ta sœur, nous avons compris qu’il était plus important que vous soyez heureux en étant homos que malheureux pour faire bonne figure. Ne va pas croire que nous t’en voulons et idem pour ta sœur. Je suis si heureuse de vous voir heureux. Moi : Merci Maman, merci de tout cœur. Tu ne peux pas t’imaginer comme cela me donne du baume au cœur ! Mam : « Mais je n’en doute pas Phil. Vous êtres toi et ta sœur nos enfants et nous avons l’obligation de vous rendre heureux même en acceptant vos différences ! Moi : (les yeux pleins de larmes) « Oh merci Maman de nous aimer comme tu nous aimes. » Je m’étais levé et je lui avais fait un énorme câlin. Puis au moment de desserrer l’étreinte, Maman m’avait donné un gros bisou sur le front. Puis elle avait essuyé les larmes qui coulaient sur mes joues. J’avais alors donné deux gros bisous, un sur chacune de ses joues. C’est à ce moment-là que Papa était entré dans la cuisine. Il n’a rien dit, mais il semblait très bien savoir de quoi il s’agissait. Il savait que Maman et moi avions discutés et que nous étions en parfaite harmonie. Une fois le petit déjeuner englouti ; c’est vrai que quand on a presque dix-huit ans, on meurt tout le temps de faim ; j’avais salué Papa qui s’apprêtait à partir travailler. Je lui avais aussi donné deux bisous sur les joues en lui disant simplement « Merci ». Pour toute réponse, Papa m’avait, tout comme Maman, donné un baiser sur le front. Puis c’est avec un large sourire qu’il me donna une tape dans le dos. Je pouvais être très heureux d’avoir des parents comme les miens. Je suis certain que Julien pouvait lui aussi vivre ce genre de situation avec des parents aussi compréhensifs que les miens ! J’étais gonflé à bloc pour passer une très belle journée. J’avais pris mon bus et j’avais retrouvé mon amie Amandine et son cher Joseph dans la cours du bahut. Lucas arrivait ensuite près de nous. Nous nous étions tous fait la bise. Nous parlions de tout et de rien, mais j’étais tellement heureux ce matin que j’avais expliqué à mes amis combien mes parents comptaient pour moi et combien ils m’aimaient. J’avais vu le regard de Lucas s’émerveiller. Je lui avais alors demandé : Moi : « Tu sais Lucas, j’ai des parents en or. J’espère que c’est la même chose pour toi. Je ne les connais que depuis peu, mais je pense qu’ils t’aiment et qu’ils aiment aussi Mathieu. Luc : Merci Phil, oui mes parents m’aiment et je le sais, je le sens. Pour Mathieu, bien sûr que mes parents l’aiment aussi, mais je ne sais pas si le papa de Mathieu est sincère avec lui. Je t’en toucherai un mot plus tard. Moi : C’est comme tu veux Lucas. Luc : Merci Phil. Moi : Au fait, si tu veux demain après-midi je peux te donner un coup de main en math avant la dernière révision. Luc : Oh, merci Phil, c’est sympa de ta part. Je viens chez toi ? Moi : Pour moi pas de problème, on dit demain vers 14 heures. Luc : Ça marche. » C’est la sonnerie du début des cours qui avait mis fin à notre dialogue. Nous nous étions placés en rang en vue d’enter en classe. Nous avions tous la pêche car nous étions tous désireux de finir en beauté notre dernière année secondaire. Les cours s’étaient bien déroulés, nous avions tous pu poser les questions qui nous tenaient à cœur pour avoir les idées un peu plus claires dans les matières abordées. C’était vraiment sympa de la part des profs. Sur le temps de midi j’avais discuté avec Amandine. Je lui disais que je me demandais ce qu’il se passait avec Lucas. Je l’avais trouvé un peu anxieux durant toute la matinée. J’avais dit à Amandine que j’allais l’aider en math et que j’en profiterai pour en savoir un peu plus sur ce qui chagrine ainsi Lucas. Amandine m’avait conseillé de ne pas trop le brusquer. La fin de la journée s’était passée tout comme la matinée, réponses aux questions des élèves sur les matières de cours. J’avais quitté le bahut et j’étais dans mon bus. Je repensais à ce que mon amie et confidente Amandine m’avait dit, parler à Lucas sans le presser, sans le brusquer. Je me demandais comment cela allait se passer. Voilà, nous étions maintenant le mercredi début d’après-midi. Il était treize heures trente environ. J’avais préparé le cours et le bouquin de math pour aider Lucas. J’avais tous mis au living, je pensais que c’était plus neutre que ma chambre pour revoir les cours et parler avec Lucas de ce qui n’allait pas. Ding, dong, c’était la sonnerie de la porte d’entrée. J’étais allé ouvrir, c’était bien Lucas qui était là, planté devant la porte d’entrée. Il avait son cartable avec ses effets et ses cours. Je l’avais fait entrer et nous étions directement allés nous installer au living. J’avais dit à Lucas que c’était plus facile ici car la table était grande pour pouvoir mettre les cours et les livres pour revoir. Nous nous étions mis à revoir le cours de math. Lucas m’indiquait les parties qu’il avait du mal à comprendre et à assimiler. Nous avions revu la trigonométrie, les intégrales et autres équations à plusieurs inconnues. Lucas commençait à bien assimiler ce que je lui montrais. Il avait ensuite fait des exercices qu’il terminait sans erreur. J’avais proposé à Lucas de faire une pause. Nous étions allés prendre un verre de limonade et manger quelques gâteaux secs. Puis, dans la cuisine, j’avais demandé à Lucas de quoi il souhaitait me parler. La tête de Lucas avait changé, il était plus triste et ses yeux étaient un peu plus humides. Je l’avais pris dans mes bras en lui disant : Moi : « Tu sais Lucas, je suis là pour toi, tu peux tout me dire, cela restera entre nous, tu peux me faire confiance ! Luc : Vraiment, tu n’en parles à personne. Juré ! Moi : Oui Lucas, juré ! Luc : Tu sais le week-end dernier j’avais téléphoné à Mathieu pour savoir comment ça allait, il était chez son père et il m’avait donné le numéro. Moi : Oui, et tu as eu Mathieu ! Luc : Oui, j’ai eu Mathieu au téléphone mais avant j’avais eu le papa, il avait l’air surpris et agacé par mon appel. Puis j’ai parlé avec Math environ cinq minutes avant que son père lui demande de raccrocher. Math m’avait alors dit de venir l’après-midi que ce serait plus calme. Moi : Tu as déjà vu le père de Math avant ? Luc : Oui deux fois, à la sortie du club de foot. Il n’avait pas l’air contraire. Moi : Alors tu es allé chez Math l’après-midi ? Luc : Oui, j’étais arrivé chez Math et il était seul. Nous avons été dans sa chambre et nous nous sommes embrassés. Nous nous sommes fait quelques câlins. Heureusement que nous n’avons pas été plus loin car son père est revenu et a ouvert la porte de la chambre. Moi : Il a vu quelque chose ? Luc : Je ne pense pas, heureusement que Math avait une BD ouverte sur le lit, il a juste eu le temps de la poser sur lui. Moi : Alors, il n’a rien dit d’autre ! Luc : Je pense que son père a été surpris de nous voir si près l’un de l’autre. Il a même demandé ce que nous faisions. Math lui a dit que nous lisions la BD! Moi : Et après, il s’est passé quelque chose ? Luc : Tu sais Phil, le père est sorti de la chambre en haussant les épaules. Mais c’est après que nous nous sommes rendu compte que la BD était posée à l’envers ! Moi : Oh là, la bourde ! Luc : Je ne sais pas si son père l’a remarqué. Depuis Math est mal, il ne sait plus quoi penser, il a peur de retourner chez son père dans une semaine ! Moi : Tu ne l’as plus vu Math depuis ? Luc : Non Phil, je ne sais plus quoi faire. Moi : Il est seize heures quarante, Math habite loin ? Luc : Non, c’est à vingt minutes d’ici, de chez sa maman. Moi : Bien, tu laisses tes affaires, on y va, on va aller à vélo, tu prends le mien, je prends celui de ma sœur. Luc : Tu crois Phil ! Moi : Oui, il faut en avoir le cœur net ! » Lucas m’avait suivi. Nous étions en chemin en direction de la maison de la maman de Mathieu. Je savais que sa maman était au courant de l’orientation sexuelle de son fils Mathieu. Lucas saurait donc si le papa de Math avait remarqué quelque chose et s’il en avait parlé à la maman. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 07-10-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Si tout va bien pour Phil et Julien qui ont une énergie inépuisable entre les jambes, il semble que Matthieu ait des soucis. Il est donc temps pour Phil et Lucas de s’inquiéter et d’aller voir ce qui ne va pas. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 07-10-2020 (07-10-2020, 02:56 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui tout va bien pour Phil et Julien. Ils s'entendent bien, ils s'aiment et ils ont tous les deux des familles en or ! Ce n'est semble-t-il pas la même chose pour Lucas et Mathieu. Mathieu a des soucis à se faire, son père se pose des questions et s'il a vu que les deux garçons lisaient une BD à l'envers, il est certain qu'il va y avoir une réaction de sa part! Phil et Lucas vont chez Math pour en avoir le cœur net! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 07-10-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] , deux belles suites. Phil et Julien se donnent du plaisir, en sent bien qu'ils s'aiment. Ils sont aussi très romantiques, ils s'aiment dans une clairière dans la forêt. Je pense bien que c'est une chose très sensuelle que de se donner en pleine nature. Ça m'est arrivé mais, ça reste du domaine privé. Phil aide Lucas pour les mathématiques, à cette occasion Lucas lui dit qu'il y a eu un problème avec Mathieu lorsqu'il était chez lui le dernier dimanche. Ils se sont presque fait chopper par le père de Math. Ils étaient collés l'un à l'autre et ils ont caché leur émoi avec une BD qui malheureusement était à l'envers sur leurs genoux. Phil aide Lucas pour y voir plus clair. Ils se rendent chez Math pour en savoir plus. Les deux loustics sont sur des charbons ardents, ils se demandent ce que le papa de Math a bien pu lui dire après le départ de Lucas. Toujours aussi bien ce récit, j'aime bien cette relecture de suite en suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 07-10-2020 (07-10-2020, 04:51 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] , Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Très heureux de voir que tu apprécies toujours le récit. Très beau résumé des deux suites. On voit bien que Phil est toujours aussi attentif aux autres, il veut aider Lucas et Math. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 09-10-2020 Nous allions arriver. Lucas ralentissait de plus en plus l’allure comme s’il ne voulait pas arriver à destination. Je m’étais arrêté pour attendre Lucas. Je ne savais pas quelle était la maison de la maman de Mathieu, donc il fallait que je l’attende de toute façon. Lucas s’était arrêté près de moi. Je voyais que mon ami était mal dans sa peau. Je pensais que je lui avais forcé la main. Bon il fallait prendre une décision et j’avais encore répété à Lucas qu’il était important de savoir ce qui s’était passé après son départ de chez le papa de Mathieu. Une nouvelle fois j’avais pu convaincre Lucas de ne plus attendre et d’aller de l’avant. De toute façon la maman de Mathieu était au courant que son fils était gay. Lucas se plaça devant moi et me conduisit jusque devant une petite maison bordant le trottoir. Il n’y avait pas de jardinet, la porte d’entrée donnant directement sur le trottoir. J’avais bien fait de prendre les cadenas pour lier les deux vélos à la grille placée devant la fenêtre basse du sous-sol. J’avais laissé Lucas appuyer sur le bouton de la sonnette lui-même. Il n’avait pas fallu quinze secondes que la porte d’entrée ne s’ouvre. C’était Mathieu qui se tenait là debout au-dessus des deux marches d’entrée. Il était très étonné de nous voir Lucas et moi, ainsi devant chez lui ce mercredi après-midi. Puis on avait pu entendre la maman de Lucas qui demandait qui avait sonné. Mathieu avait répondu que c’était deux amis. Il nous fit entrer. Nous nous trouvions tous les trois dans le hall d’entrée quand la maman sorti d’une pièce située sur la droite du hall. Moi : « Bonjour madame, je m’appelle Philippe, ou Phil pour mes amis. Et voilà Lucas, un ami commun. M. Mat : Bonjour, toi je te connais Lucas, c’est toi qui avais invité Math pour aller une semaine à mer durant les vacances de Pâques avec ta famille. Toi Phil, je ne te connais pas. Moi : En fait je suis dans la même classe que Lucas. Puis nous nous étions vus durant le séjour à la mer, car j’y étais aussi avec mes parents, c’est là que j’ai fait la connaissance de Math. M. Mat : Ah oui, je comprends. Math m’avait parlé un jeune et de son ami, Julien si je me souviens bien. Math m’avait expliqué que vous étiez toi et Julien très proches ; que vous êtes tous les deux homos. Moi : Oui madame. Puis j’avais eu l’occasion de parler avec Lucas et votre fils Math et j’avais découvert qu’eux aussi étaient homos ! M. Mat : Ah, tu es aussi au courant. Bon je pense savoir le pourquoi de votre visite ! La maman de Math nous fit entrer dans le living. Elle nous proposa de nous asseoir autour de la table. Elle avait été chercher de la limonade et quelques biscuits. Pendant cela Math était silencieux, on voyait qu’il était anxieux. Il se demandait pourquoi nous avions débarqué ainsi chez lui. Lucas lui aussi était sur le défensive, avait-il peur de la réaction de la maman de son petit ami ? Bref, il y avait une atmosphère pesante. Une fois que nous étions tous assis, la maman de Math avait pris la parole. M.Mat : Merci Phil pour ta franchise et de ne pas tourner autour du pot. J’ai deviné que Math était gay. Puis j’en ai eu la certitude au vu de son comportement. Bref il m’a avoué être gay et qu’il avait un petit-ami, sans donner plus de précision. Je ne savais pas que c’était toi Lucas. C’est le papa de Math qui avait donné l’occasion à Math d’aller à la mer une semaine avec toi et tes parents car il ne savait pas s’occuper de son fils en fonction de son travail. Je suis contente de te voir Lucas. Luc : Merci madame, je suis désolé, je ne sais … M. Mat : Ne soit pas désolé Lucas, j’ai très bien accepté que Math soit gay et puis en te voyant, je suis rassurée, car tu n’as pas l’air d’un voyou. Alors je te demande d’être discret et surtout de ne pas faire de mal à Math. Luc : Mais il n’entre pas dans mes intentions de lui faire du mal, au contraire, je l’aime. Puis c’est un peu Phil qui nous a aidé à faire attention à l’un et à l’autre ! Mat : Oui maman, tu sais Phil est un gars génial. Il nous a tout de suite mis à l’aise et il a été de bons conseils. Et puis tu sais les parents de Lucas sont super, ils ont directement accepté ce que j’étais et ce que Lucas était. M. Mat : Tu sais Math, je l’avais remarqué quand tu es revenu de la mer. Je t’avais trouvé changé, déjà un peu plus mature. Moi : Merci madame pour vos propos. Mais, je suis l’ami de Lucas, je l’aide pour revoir ses cours de mathématique et je l’ai, comment dire, pris sous mon aile ! Alors au début de cet après-midi, Lucas m’a parlé d’un incident qui s’est passé lorsqu’il était avec Math chez son papa. M. Mat : Ah, voilà, nous y sommes. Oui, le papa de Math m’a parlé de ce que Lucas et Math se trouvaient dans la chambre, assez collés l’un à l’autre avec une BD sur les genoux. Il avait trouvé ça un peu bizarre. Puis après le départ de Lucas il avait demandé à Math s’il avait l’habitude de lire des BD à l’envers ! Moi : C’est ce que Lucas redoutait. Il avait eu peur de la réaction du papa de Math ! M. Mat : Math n’a pas su lui répondre et s’est effondré en larmes. C’est lorsque son papa l’a ramené à la maison qu’il m’a expliqué ce qu’il avait remarqué. J’avais tout de suite mis en garde mon ex, enfin mon mari, de ne pas s’en prendre à Math et je savais très bien de quoi il retournait. Il a alors crié : « Il est PD, c’est ça ! » J’ai ajouté à ce moment-là : « Et alors, s’il est heureux comme ça, moi je l’accepte. » Le papa a alors quitté la maison en criant qu’on en reparlerait. Mat : Voilà Lucas, tu sais quoi. Je suis tellement désolé. Si j’avais su je ne t’aurais pas invité. » Des larmes coulaient sur les joues de Math. Lucas n’était pas mieux, il était blanc comme un linge. La maman s’était levée et elle avait pris Math dans ses bras. Moi de mon côté, je tentais de consoler Lucas. Puis, je ne m’y attendais pas, la maman de Math a appelé Lucas pour qu’il se joigne à eux. J’étais si heureux pour Lucas et Math. Ils avaient une alliée de poids, la maman de Math. Elle venait d’accepter Lucas qu’elle n’avait presque jamais vu et cautionnait la relation que les deux ados venaient de commencer. J’avais les yeux humides, mais je ne voulais pas pleurer, bien que cette scène fût des plus émouvante. Une fois remis de nos émotions, la maman de Math nous informait que pour elle l’important était que Math se sente bien et aidé par ses amis. Elle avait ajouté qu’elle était heureuse de savoir que j’étais prêt à les aider, les deux loustics. Elle avait alors ajouté qu’elle se chargeait de faire changer le papa de Math. Pour ma part, à la suite de sa réaction j’étais convaincu qu’il était homophobe et que rien n’aurait pu le faire changer d’avis. Bon il fallait que je reste attentif à Lucas mais en plus il y avait Mathieu que je ne connaissais pas plus que ça, il avait été avec nous durant les vacances de Pâques mais il avait été tellement distant. Bon j’allais en parler à Julien, il aurait peut-être une idée ou l’autre, il était lui aussi présent à la mer. Je me rendais compte que Math ne savait plus quoi penser, son père le rejetait, comment le droit de visite allait-il s’arranger pour qu’il puisse ne plus aller chez son père. Il y avait un tas de questions auxquelles il était prématuré de trouver une réponse. La seule chose que je savais c’est que je n’allais pas laisser tomber ni Lucas ni Mathieu. J’avais alors pris la parole : Moi : « Math et Lucas, je suis là pour vous et je serai toujours là pour vous. Si vous voulez j’en parle à mon père. Je ne vous l’ai jamais dit, mais au départ mon père m’a rejeté, j’ai même été battu. Bon je n’entre pas dans les détails, mais mon père a fait un énorme travail sur lui. Maintenant il est bénévole dans une association qui s’occupe des gays et des lesbiennes. Je peux toujours lui en toucher un mot. Il aura peut-être une idée lui aussi et de plus il y a un service juridique avec des avocats et des juristes. J’attends de vous l’autorisation de lui en parler ! M. Mat : Merci Phil. Pour ma part je suis partante pour que tu en parles avec ton papa. Math, dis-moi ce que tu en penses ! Mat : Je ne sais pas. Cela peut éventuellement nous apporter une solution, mais je ne te cache pas que j’ai peur de papa ! M. Mat : Je sais Math, mais je vais aussi aller voir un avocat pour savoir ce qu’il en pense, ne fusse que pour le droit de visite. Tu as dix-sept ans, alors je pense que tu peux prendre la décision d’aller ou pas chez ton père ! Moi : Je pense comme vous, mais vous devez prendre toutes les informations possibles pour ne pas vous mettre dans votre tort. Mat : Merci Phil, je savais que je pouvais compter sur ton amitié, tu me l’avais déjà dit lorsque nous nous sommes quittés à la mer à l’issue de notre séjour. Moi : Tu sais que tu peux compter sur Julien, ma sœur Delphine et son amie Stéphanie. Mat : Oui, je le sais et ça me fait chaud au cœur de ne pas être seul. M. Mat : Mais je suis là aussi Mathieu, je suis ta maman et je vais tout faire pour que tu souffres le moins possible. Mat : Merci maman, je sais que tu m’aimes, et je t’aime très fort moi aussi. Luc : Tu sais Phil, tu peux en parler à ton père, je suis certain qu’il fera tout pour que Math et moi nous puissions trouver une solution, pour que Math puisse vivre en toute tranquillité vis-à-vis de son papa. Mat : Merci à vous deux d’être passé à la maison. Je me sens déjà mieux. Vous êtes de véritables amis, Lucas, tu es mon amour, je savais que tu étais avec moi, mais toi Phil, tu es mon ange gardien ! Moi : Non Math, je suis ton ami et avec tes amis nous allons trouver une solution. M. Mat : Merci les jeunes, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Et si un jour vous veniez avec Julien, les deux filles, je serai enchantée de les connaitre aussi. Moi : Pas de problème, je dirai quoi à Lucas qui se fera un plaisir de vous en parler. Luc : Merci, merci madame, merci Phil. Je suis moins perturbé que tantôt. M. Mat : Vous pouvez m’appeler par mon prénom, moi c’est Josiane. Moi : Très bien Josiane. Bonne fin de journée. Voilà le numéro de téléphone de la maison, je parle à papa de tout ça dès ce soir. Jos : Merci Phil, vient que je t’embrasse. Ensuite Josiane m’a fait la bise et avait ensuite pris Lucas dans ses bras et lui avait donné un baiser sur le front. Lucas était très ému, des larmes coulaient sur ses joues. Puis j’avais salué Math. Lucas lui avait fait la bise, mais Josiane avait dit : « Jos : Embrassez-vous, vous vous aimez et devant moi pas de chichi. » Nos deux loustics s’étaient alors embrassés sur la bouche, sans mettre la langue, bien sûr ! Ensuite Lucas et moi avions rejoint la maison. Lucas avait repris ses affaires et m’avait une nouvelle fois remercié en me disant que j’avais eu une très bonne idée d’aller trouver Josiane, la maman de Mathieu. Il avait été ravi de revoir Math, mais il aurait bien entendu aimé que cela se fasse sous d’autres auspices. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 09-10-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Phil a eu raison de venir avec Lucas pour voir ce qui s'était passé entre Math et père. Le père accepte de laisser Math à sa maman. Il ne veut plus le voir pour le moment mais il lui dit qu'il l'aime et qu'il lui faudra du temps. La maman de Math, Josiane, a de suite accepté que son fils soit gay. Elle accueille d'ailleurs Lucas les bras ouverts. Les deux garçons pourront se voir sans crainte. Bon week-end. Je t'embrasse. Philippe Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 09-10-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Mathieu vit la même chose que Phil quelque temps plus tôt. Espérons que le père de Phil pourra intervenir avec l’association et qu’il pourra ramener le père de Mathieu à la raison. Il me semble que les mères sont beaucoup plus tolérantes dans ton récit. Je ne sais pas comment mes parents auraient réagi si je leur avais annoncé que j’étais gay à l’âge de tes personnages. Je t’embrasse te te souhaite un bon week-end. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 10-10-2020 (09-10-2020, 05:34 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Phil est toujours attentif aux autres, c'est dans sa nature. Il aide Lucas et Mathieu. Mathieu a peur d'être rejeté par son papa. Oui la maman de Math a accepté son fils tel qu'il est. Elle accepte aussi son ami Lucas. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com ! Bon week-end à toi aussi. Je t'embrasse! Philou Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 10-10-2020 (09-10-2020, 06:31 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Math vit la même chose que Phil avec son papa. Phil est donc à même de comprendre. Il va en parler à son papa qui œuvre dans une association de défense des LGBT. Tu as raison, les mères sont souvent (dans mon récit) les premières à accepté leurs enfants tels qu'ils sont! Elle sont les protectrices naturelles et inconditionnelles. Bonne question Daniel. Je ne sais pas comment les miens auraient réagi. Ils sont partis depuis bien longtemps et je n'ai jamais pu leur dire ! Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - AL gayman - 11-10-2020 Coucou, Phil notre "Saint Bernard" continu son périple d'aide et après Lucas il va aider Mathieu par rapport à son père. Bien entourés, ils pourront tous être libres de s'aimer sans peur d'un entourage hostile (le père de Mathieu en l'occurrence). Bisous Alain Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 11-10-2020 (11-10-2020, 02:46 AM)AL gayman link a écrit :Coucou, Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil poursuit son aide envers les autres, après Lucas c'est Mathieu. Il est certain que bien entourés, les deux amis pourront être plus libres et ainsi vivre leur amour sans crainte, surtout du papa de Math. Merci Alain de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou |