Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - bech - 19-03-2021 Bonne remarque de Lange2[sup]7[/sup] par rapport au terme "vidéo". Dans le passé, au niveau du cinéma professionnel, il y a eu le 35 mm qui utilisait le même format de pellicule que les diapositives : une pellicule de 35 mm de large avec des perforations des 2 cotés. Simplement, pour une diapositive, le coté le plus long de l'image était parallèle aux perforations, ce qui donnait des diapositives de 36 x 24 mm de coté (rapport de dimension 3/2, alors que pour le cinéma, c'était le coté le moins large de l'image qui était parallèle aux perforations, avec des images de 24 x 18 mm de coté (rapport de dimension 4/3). Beaucoup plus courant, mais encore utilisé par des professionnels, il y avait le format 16 mm (toujours la largeur de la pellicule qui était elle aussi perforée des 2 cotés. Dans les années 60, pour le cinéma d'amateur, de petites bobines de 16 mm étaient vendues pour des caméras double 8. On filmait jusque vers la fin de la bobine, puis on intervertissait les 2 bobines de la caméra pour refilmer jusqu'à de que toute la pellicule soit revenue dans la bobine d'origine. Il y avait 2 séquences sur la largeur du film et le labo après développement découpait le film en 2 parties en son milieu ce qui donnait un film de 8 mm de large, 2 fois plus long avec des perforations d'un seul coté. Par rapport au 16 mm, les images étaient 2 fois plus petites en largeur comme en hauteur, ce qui donnait 4 fois plus de durée de film pour la même quantité de pellicule, mais avec une qualité moindre par rapport au 16 mm. Dans les années 70, il y a effectivement eu le super 8, basées sur un film de 8 mm de large avec des perforation que d'un coté plus étroites que sur le double 8 et le 16 mm. Ça permettait donc des images un peu plus larges et comme le rapport de dimension était le même (4/3), elles étaient aussi plus hautes, ce qui a fait qu'à coût égal pour la pellicule, les utilisateurs de super 8 pouvaient filmer un peu moins longtemps qu'en double 8. A mon avis, le super 8 a juste été un produit marketing pour que le cinéastes en double 8 renouvellent leur matériel. Sinon, entre le 8 et le 16 mm, il y a eu aussi le 9,5 mm dans lequel les perforations étaient au milieu entre 2 images. Assez peu utilisé, il y avait quand même à Albi (près de Toulouse) un club de cinéastes amateurs qui utilisait pas mal ce format, mais c'était à peu près les seuls dans le sud ouest de la France. Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-03-2021 (19-03-2021, 09:58 PM)bech link a écrit :09 mars 2021 Bonjour [member=27]bech[/member] ! Merci pour ton com ! Je ne vais pas reprendre tout ce que tu as lu et commenté. Il y a cette visite chez marie qui est importante, les deux jeunes se découvrent l'un l'autre, nu. C'est pour Marie l'envie de voir un garçon se masturber et éjaculer. Par la suite, c'est la vue de celui qui hante Marie et qui l'épie. C'est en fait Roland qui a été intercepté par Phil. Normalement il ne devrait plus revenir. C'est suite à cet "acte de bravoure" que Phil et Ben sont invités pour le réveillon de Noël chez Marie. Au réveillon Phil découvre que Marie a une petite ami, Isabelle qui est dans la même classe qu'eux. Tout se passe au mieux, distribution de cadeaux dont un pour l'invité surprise apporté par Phil, ile st destiné à Isabelle. Le jour de Noël, dans l'après-midi, après la vision de photos et de films super 8, le papa de Phil annonce une surprise. C'est en fait l'arrivée de Ben ainsi que de Marie et Isabelle. Le papa souhaite qu'ils restent tous le quatre amis pour la vie. La mamy et le papy apprennent que Phil et Ben s'aiment, ils n'ont rien à dire et l'accepte. Ils sont très ouverts d'esprit! Reprise chez les scouts, c'est le mini camp auquel Phil a été convier avec les plus âgés. C'est dans les Fagnes qu'il se déroule. Moins 11 degrés. Un bizutage est organisé pour Phil, il se voit dévêtu à deux reprises de son pantalon de pyjama. Qu'à cela ne tienne, il reste nu et se couche comme ça. Intrusion dans la salle de bain par trois scouts en vue de surprendre Ben et Phil, c'est raté! Les deux familles sont réunies pour le réveillon de Nouvel An. Reprise chez les scouts avec mise au point des incidents du mini camp. Effectivement Bech, j'essaye de parler de beaucoup de choses dans mes suites. Il y a des choses vécues et d'autres "arrangées". Ce qui a été vécu, l'a été par moi et par d'autre de mes connaissances. Merci à toi de suivre le rtécit et de laisser un commentaire. Très bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 20-03-2021 Chapitre 2. Congé de Carnaval. Nous approchions des congés de Carnaval. J’avais hâte d’y être. Nous étions invités Benoît et moi par les parents de Marie à passer trois jours avec eux ainsi que Marie et Isabelle. Benoît lui aussi était heureux de cette invitation, il savait ce que les deux représentaient pour moi et de plus il appréciait leur compagnie. Nous étions tous les quatre sur la même longueur d’onde. Enfin il était grand temps, dans deux jours nous allions être en congé de carnaval. Le jeudi, c’était école et ce jour là nous avions reçu les dernières informations concernant les classes de neige. Nous partions une dizaine de jours dans les alpes suisses, juste après la semaine de congés. Tout était pratiquement prêt, les vêtements, le combi pour le faire du ski, etc. J’avais hâte d’être chez Marie et ensuite nous allions au ski. Enfin le vendredi à 16 heures 30, la fin des cours et congé une semaine. J’étais heureux d’arrivé au week-end et bien entendu nous devions aller chez Marie durant trois jours. Benoît devait venir ce soir à la maison pour y loger. C’est Yves qui allait le conduire. Ding – dong, la sonnerie de la maison. J’étais allé ouvrir car Benoît devait arriver. En effet c’était mon amour. Il avait son sac pour le séjour. Je l’avais embrassé sur la bouche avant de saluer Yves, en lui donnant une bise. Il fait de même. Yves demanda à Ben s’il avait bien toutes ses affaires et s’il avait ses papiers d’identité. Ben avait bien regardé, il avait tout avec lui. Yves avait quitté la maison après avoir discuté avec papa et maman. Nous, Ben et moi, nous étions montés dans ma chambre. Enfin seuls. J’avais pris Ben par la main et je l’avais conduit vers mon lit. Nous nous étions couchés et nous avions entrepris de nous embrasser fougueusement. Cela faisait une semaine que nous ne nous étions plus vus. Nos langues se cherchaient, elles dansaient entre elles et nous faisaient une sarabande. Avec mes doigts je défaisais la chemise de Ben et la lui enlevais. Ben fit la même chose avec ma chemise. Ensuite je m’étais attaqué à la ceinture de son pantalon et à la tirette de la braguette. Mon amour fit de même avec mon pantalon. J’avais ôté les chaussettes de mon ami et ensuite je lui avais baissé le slip. Son sexe était déjà bien dressé et avait claqué sur son bas ventre. Benoît avait également ôté mon slip. Nous étions nus, heureux d’être ensemble et nos bouches s’étaient encore retrouvée. Puis ma langue s’était attaquée à son cou, elle léchait le lobe de son oreille, elle redescendait vers ses tétons pour arriver à hauteur du nombril. Puis ma langue arriva au sommet du phallus de Ben. Son gland était en partie découvert. Avec ma langue j’avais entrepris de le décalotter. Puis Ben avait virevolté sur le lit. Il s’était placé de façon a pouvoir lui aussi gouter à mon phallus. Nous voilà occupé à nous sucer l’un l’autre. Le gland de Ben était déjà bien humide. Ma bouche s’ouvrait alors pour carrément engloutir l’objet de mon désir. J’effectuais des variations de pressions avec mes lèvres pour donner des sensations à mon amant. Ce brave Ben calquait ses mouvements sur les miens. Il avait pris de l’assurance, il voulait me donner lui aussi du plaisir. Nous commencions à gémir chacun, d’abord en sourdine et puis de plus en plus fort. J’avais peur de signaler au reste de la famille ce que nous faisions dans ma chambre. Mais je pense que mes parents ainsi que ma sœur et mon frère n’étaient dupes. La tension était au maximum, nos corps étaient en harmonie, nos cœurs battaient à l’unisson, nos sensations étaient décuplées. Cette fellation pratiquée par Ben était divine et j’attendais ce moment depuis déjà quelques jours et je n,’étais pas déçu, que du contraire. Ben de son côté semblait lui aussi apprécier mon ardeur à lui donner beaucoup de sensations. Nos corps exultaient, nos âmes elles aussi étaient au septième ciel. Nous nous étions pratiquement cabrés au même moment et dans un râle commun nous avions joui. Ben avait laissé partir cinq à six jets de sperme au fond de ma gorge, j’en avais avalé une partie. Moi-même j’avais laissé partir six jets de semence au fond de la gorge de Ben. Une fois remis de nos émotions, nous nous étions embrassés et nous avions partagé nos spermes, nos langues se délectaient de ce jus de vie. Puis quand l’émotion avait fait place à la détente, nous nous sommes couchés côte à côte, heureux mais fatigué. Après une demi-heure, nous étions allés prendre une bonne douche bien méritée. En sortant de la salle de bain, nus, nous avions croisé Anne qui se dirigeait vers sa chambre. Elle nous avait dit : An : « Alors les amoureux, la vie est belle ! Moi : Oh oui ma sœurette, la vie est belle ! An : Je m’en doute mes loulous, après ce que j’ai entendu ! Ben : Oh désolé, mais tu sais ça fait une semaine que, enfin tu vois ! An : Ne t’inquiète pas Ben, je suis très contente pour vous deux. Allez vous habiller car on va manger dans dix minutes." Le lendemain matin papa m’avait demandé si j’avais tout avec moi ainsi que mes papiers d’identité. Après vérifications, j’avais toutes mes affaires avec moi. J’avais pris également un appareil photo ainsi qu’un second film au cas où. Papa nous avait déposés chez Marie. Nous avions pris nos sacs et nous avions été accueillis par Henriette, la maman de Marie. Papa lui avait fait la bise en lui disant encore merci et que nous avions toutes nos affaires. Personnellement je me demandais pourquoi papa voulait savoir si nous avions notre carte d’identité etc. Enfin c’était une histoire de « grand » comme j’entendais souvent dire ; donc il ne fallait pas essayé de savoir. Marie nous attendait avec un large sourire. Isabelle était déjà là elle aussi. Nous nous sommes tous fait la bise. Papa ayant repris le chemin de la maison, j’allais être avec Ben, être l’invité des parents de ma très chère amie et confidente Marie. Henriette nous demanda d’aller au salon. Nous nous étions assis dans les fauteuils. René entra dans la pièce, nous nous étions levés pour lui dire bonjour en nous faisant la bise. Une fois revenu à notre place, René pris la parole sous le regard amusé d’Henriette et de Marie. Isabelle semblait quant à elle étonnée. Ren : « Bon, bienvenue pour trois jours chez nous, enfin, chez nous, c’est un grand mot. En fait Henriette et moi-même nous avions envie de faire plaisir à Marie pour les congés de carnaval et pour ce faire Marie nous avait demandé de vous inviter tous les trois, Isabelle, Phil et Benoît pour passer trois jours avec elle et nous. Mar : Merci papa pour ce cadeau. Merci à vous trois, vous ne savez pas combien vous êtes importants à mes yeux. Alors, voilà, c’est une surprise pour moi et pour vous aussi. Maman, tu veux bien leur dire ce que nous allons faire ! Hen : Alors mes enfants, nous allons passer deux jours au carnaval de Venise ! Ben, Isa et Moi : Ouah, ouah ! » Nous avions les yeux pleins d’étoiles, nous avions un sourire qui illuminait nos visages. Quelle surprise. Nous étions sous le choc de cette annonce. Nous étions ébahis, nous avions perdu la parole. Je m’étais levé et j’avais été embrassé Henriette et René, des larmes de bonheur coulaient sur mes joues. Ben m’avait suivi, lui aussi très affecté par cette très belle invitation. Isabelle s’était blottie dans les bras de Marie avant d’aller chez les parents de son amie. J’étais aussi allé faire un énorme câlin à ma chère Marie. Du revers de sa main elle avait séché les larmes sur mes joues. Ben et moi nous étions sur un nuage. Nous n’en revenions pas. Mais quelle affaire, quelle surprise, c’était incroyable, il fallait nous pincer pour savoir si nous n’étions pas en train de rêver. Ren : « Bon, vous vous doutez bien que vos parents sont au courant de ce voyage. Ils nous ont donné une procuration que vous nous accompagniez en Italie. Comme vous avez vos documents d’identité, nous allons pouvoir monter dans la navette pour aller prendre l’avion à Zaventem. Je crois que dans dix minutes nous serons en route. Mar : Vive le carnaval. Merci maman, merci papa. Hen : Mais tu le mérites ma chère fille et ceux qui t’accompagnent aussi. » Je n’en revenais pas. La seule chose que je savais c’est que Marie était heureuse et c’était le principal, car elle le méritait mon amie de plus de dix ans. Nous voilà donc embarqués pour Venise. Les places dans l’avion étaient réservées. Il faut dire que c’était la première fois que je prenais l’avion. Je posais la question à Ben et pour lui aussi c’était la première fois. Au moment du décollage nous nous étions cramponnés aux accoudoirs de notre siège. Une fois en l’air, ça a été mieux, j’avais déjà moins peur. Nous avions chacun une chique en bouche que nous mâchions. Durant le temps de vol nous avions eu un repas. Comme je me trouvais du côté hublot, après une bonne heure de vol, j’avais échangé ma place pour que Ben puisse lui aussi voir le paysage. Finalement nous avions atterri à Venise, à l’aéroport Marco Polo. J’avais eu moins peur qu’au décollage. Une fois descendu de l’avion et après avoir récupéré nos bagages, nous avions pris un autobus pour rejoindre l’hôtel à Venise même, non loin de la place Saint Marc. Nous étions arrivés à l’hôtel. Il y avait pas mal de monde. René s’était présenté à ‘accueil en vue de retirer les clefs des trois chambres qui avaient été réservées. René discutait avec l’hôtesse d’accueil et je voyais qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Au bout de dix minutes, René était revenu près de nous et il nous disait alors qu’il y avait un problème de chambre, que nous n’avions que deux chambres, une avec un grand lit et l’autre avec deux grands lits. En fait les trois chambres devaient avoir chacune un grand lit, mais vu l’affluence l’hôtel avait du nous donné une chambre de quatre personnes. René ne savait plus quoi faire. Il se demandait comme nous allions nous organiser. J’avais susurré à l’oreille de Marie, de dire à son papa, que nous pouvions très bien nous les jeunes occuper la chambre de quatre personnes. Marie en parla avec ses parents. Le problème était la mixité entre nous, l’intimité des couples et les inconvénients. Puis Henriette avait dit qu’il était plus sage de connaitre nos avis sur cette proposition. Pour ma part, il n’y avait pas de problème, pour Marie non plus, vu qu’elle avait fait passer le message, pour Benoît, il avait accepté du bout des lèvres, nous n’attendions plus que la réponse d’Isabelle. Isabelle ne savais pas se décider, Marie lui avait parlé durant cinq bonnes minutes et puis Isabelle avait accepté elle aussi. Henriette et René nous demandaient une dernière fois si cette situation allait nous convenir, nous avions tous répondu qu’il n’y avait pas de problème et que nous trouverions à quatre un modus vivendi pour ce qui concernait la salle de bain et les autres dispositions à prendre pour ne pas nous déranger les uns les autres. Voilà, il ne nous restait plus qu’à prendre possession des deux chambres. La petite chambre au premier étage pour les parents de Marie et l’autre chambre de quatre au troisième étage. La grande chambre était très spacieuse, les lits étaient séparés de deux bons mètres et la salle de bain était très grande. Il y avait une grande douche italienne, une baignoire et deux éviers. Une fois installés, nous nous étions donné rendez-vous dans le hall d’entrée de l’hôtel. Nous étions partis tous les six à la découverte de la ville et des endroits les plus appropriés pour bien voir les défilés du carnaval. Il y avait déjà un défilé nocturne le soir même. J’étais content d’avoir pris mon appareil photo, j’allais pouvoir avoir des souvenirs d’un des plus beaux carnavals du monde. René nous avait ensuite amené dans une boutique de souvenirs et d’accessoires de carnaval. Nous avions chacun choisi un masque que nous allions revêtir pour prendre part à la liesse populaire. C’était une excellente idée. De commun accord Benoît et moi nous avions pris le même masque mais dans deux tons différents. Nous voyant Marie avait proposé de faire de même avec Isabelle. Les filles avaient pris les deux mêmes masques avec certaines nuances de couleurs, ce qui permettrait de les différencier, il en était de même pour Ben et moi. Après un repas italien pris dans une trattoria, bien arrosé d’un bon vin, nous étions allés prendre place à proximité d’un pont pour voir le défilé sur les canaux de Venise. Nous avions mis nos masques et nous avions aussi des petits flambeaux. C’était assez magique, l’ambiance était très bon enfant et tous les gens autour de nous étaient à la fête. Dans la masse des spectateurs j’avais vu des couples se donner la main et parfois s’embrasser. Il faut dire que Venise c’est la capitale de l’amour. En y regardant d’un peu plus près, je m’étais aperçu qu’il s’agissait de couples hétéros et de couples homos. Aussi bien des gays que des lesbiennes. J’en avais fait part à Ben. Il avait lui aussi regardé et en avait tiré la même conclusion. Puis, n’écoutant que mon cœur, j’avais pris Ben par la main. Nous nous tenions comme tous les autres couples. Parfois nous nous embrassions, sans que cela ne choque personne. J’avais expliqué à Marie ce que nous avions vu et ce que nous faisions depuis lors. Marie avait alors affiché un large sourire et elle prenait Isabelle par le main. Nous étions tous les quatre heureux, heureux d’être avec l’être aimé mais aussi heureux d’être à Venise pour en quelque sorte concrétiser notre amour. Henriette et René ayant vu notre comportement, firent de même en se tenant par la main et en s’embrassant. Il y avait un parfum de bonheur et d’amour qui planait au dessus de nos têtes ! Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 20-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. De beaux voyages en perspective, le second sera dans les Alpes suisses, ce qui me réjouit, je viens d’y passer une nuit. C’est magnifique quand il fait beau, un peu moins dans le brouillard… Tout d’abord c’est un vol pour Venise, c’est la première fois que Phil et Ben prennent l’avion, un peu d’inquiétude bien compréhensible. Les jeunes doivent partager une chambre. Il y a deux mètres entre les lits, la distanciation sociale est respectée, mais il n’y avait pas d’épidémie de choléra à l’époque. Y aura-t-il un rapprochement entre les couples, l’occasion de faire un essai hétérosexuel ? Ou feront-ils faire l’amour entre eux tout en jetant un coup d’oeil sur le lit voisin ? Pourquoi de choléra et pas de covid ? Parce que je relis en ce moment la La Mort à Venise, de Thomas Mann, et il parle d’une épidémie de choléra, rien de nouveau sous le soleil. Je t’embrasse et te souhaite un bon week-end. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 21-03-2021 (20-03-2021, 06:16 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement deux voyages sont prévus pour Phil. D'abord le premier pour Venise en compagnie de Ben, de Marie et d'Isabelle. Se sont les parents de Marie qui l'offre aux quatre ados. Bien entendu il n'y a que deux chambres, une pour les parents et l'autre pour les jeunes. Il est clair que c'est l'auteur qui l'a voulu. Cela va peut-être permettre pour certains de découvrir l'amour entre deux filles ou deux garçons selon le sexe et le point de vue où l'on se place. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire! Bon dimanche. Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 21-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Belle suite. Phil et Ben vont partir avec Marie, Isabelle et les parents de Marie à Venise. Les deux garçons se donnent du plaisir. Ils n'ont pas tort. Il est aussi question d'un soucis lors de la réservation des chambres, il n'y en a que deux à la place de trois. Les parents se demandent comment ils vont faire. Les quatre jeunes vont aller dans la chambre de quatre où il y a deux grands lits. Tout semble s'arranger, les couples auront chacun leur lit. Il semble que les jeunes pourront voir et savoir comment cela se passe entre deux garçons ou entre deux filles. Il est peut probable qu'il y ait une tentative de relation hétérosexuelle, mais sait-on jamais, mais j'en doute. La première journée sur place se passe bien, l'ambiance est au rendez-vous. J'aimerai aussi une fois aller à Venise! Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 22-03-2021 (21-03-2021, 05:59 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Une nouvelle fois tu as bien résumé cette suite. C'est un très beau cadeau pour Marie que ses parents lui ont offert, un voyage à Venise avec Isabelle et les deux garçons. La répartition dans les chambres se fait sans problème, les quatre ados allant dans la plus grande où il y a deux lits double. C'est probablement l'occasion de faire des découvertes! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 23-03-2021 Quel défilé, c’était féérique. Plein de lumières, plein de couleurs chatoyantes, des acrobates, des cracheurs de feu, des personnages habillés à la vénitienne, des masques somptueux, nous avions des étoiles plein les yeux. Quelle splendeur, je n’avais jamais vu un défilé aussi beau. Nous étions tous en extase devant ce gigantesque spectacle. Puis il était temps de retourner à l’hôtel pour y passer la nuit. Une fois arrivés dans le hall de ce bel hôtel, j’avais été trouvé Henriette et René pour leur dire bonsoir. J’en avais profité pour les remercier pour ce séjour majestueux à Venise. René et Henriette m’avaient pris dans leurs bras pour me faire un gros câlin. Ben et les deux filles m’avaient suivi pour étreindre les deux parents. Nous étions donc dans notre grande chambre, chambre de quatre avec deux grands lits, et nous quatre, unis deux à deux, même sexe avec même sexe. Marie m’avait dit, lors de notre arrivée et à la suite du problème de chambres, qu’elle savait ce qu’il fallait dire pour que tout ce passe bien. Nous nous étions donc assis sur les deux lits, nous regardant. Marie avait pris la parole : Mar : « Bon, Phil tu te souviens de l’après-midi où tu as pris en défaut Roland qui m’espionnait. Tu te souviens de ce que nous avions vécu avant ton action envers Roland. Moi : Oui Marie, je vois où tu veux en venir. Je n’en ai parlé à personne, tu peux me croire !» Mar : Mais je te crois Phil, je sais que je peux compter sur toi pour ta discrétion et gentillesse. Je suppose que tu vois où je veux en venir concrètement. Moi :« Oui Marie, je ne sais pas si Isabelle sait de quoi on va parler, mais je puis te dire que Ben n’est au courant de rien. Ben : Phil, qu’est-ce qu’il y a, je ne te suis pas. Isa : Moi nous plus, je ne sais pas ce qui se passe, Marie tu m’as dit que ça allait s’arranger. Alors, dis-nous ce qui se passe et n’omet rien. Moi : Ben, je laisse à Marie le soin de dire quoi, j’en assume ma responsabilité. Mar : Bon, voilà, le jour où Phil est intervenu pour prendre Roland qui rôdait dans le jardin, nous avions passé le reste de l’après-midi à deux. Bref alors que j’étais dans ma chambre j’avais demandé à Phil de se montrer, tout bien tout honneur, de se montrer nu pour que je puisse voir son sexe. Par la suite je me suis montrée nue face à Phil pour qu’il puisse voir à quoi ressemblait le sexe d’une fille. Finalement de fil en aiguille nous nous sommes masturbés l’un devant l’autre. Je voulais voir un garçon éjaculer, en fait c’est la seule chose que je voulais voir en vrai. Isa : Marie, mais je ne te reproche rien, c’était de la curiosité, c’était juste pour voir un garçon nu et voir son sexe et le voir éjaculer. Je puis te dire que j’ai déjà eu l’occasion de la voir aussi avec un cousin. Ben : Phil, tu ne m’as rien dit, je suis sûr que tu l’avais juré à Marie et que tu as tenu ta promesse. Je ne t’en veux pas du tout. Mar : Merci à vous. Donc si nous sommes en couples, Phil et Ben ensemble et bien sûr Isa et moi, n’ayons pas de complexe à nous voir nus et si nous batifolons en couple, que cela ne dérange pas l’autre couple. Il n’y a pas de paravent. Êtes-vous d’accord. Isa : Marie, je vais faire l’effort, je crois que je ne vais pas en faire une maladie. Ben : Marie, Isa et Phil, ce sera une première pour moi d’assister à une partie de jambes en l’air sur le lit à côté du notre, mais je vais m’y faire. J’ai déjà vu ma sœur nue, alors ça devrait aller. Moi : Merci Marie, je ne t’en veux pas d’avoir tout raconté, Ben est au courant et cela ne change rien à l’amour que j’ai pour lui." Je m’étais penché vers mon ami Ben et je lui avais roulé un de ses patins d’enfer avec salade de langues. Les filles elles aussi s’embrassaient. Finalement après cette mise au point, j’avais ajouté que Marie et moi étions amis depuis l’école primaire pour ne pas dire la maternelle. Nous nous étions tous les quatre déshabillés, sans complexe, les choses ayant été clairement fixées entre nous. Nous nous étions tous retrouvés dans la salle de bain. Les filles avaient fait couler un bain, il faut dire que la baignoire était assez grande avec des jets. Nous les garçons nous avions investi la douche. Nous nous amusions avec les pommeaux de douche, ouvrant ou fermant l’eau. Puis à un moment alors que nous nous embrassions, j’avais senti quelque chose de chaud qui inondait mes parties génitales, j’avais jeté un coup d’œil et je pouvais voir que c’était Ben qui me pissait dessus, oh le dégelasse ! Nous étions dans la douche pour nous laver, alors je m’étais moi aussi laissé aller en lui rendant la monnaie de sa pièce ! J’inondais à mon tour son sexe et ses bijoux de famille. Nous étions partis dans une grande rigolade. Les filles se demandaient ce qui se passait. C’est Ben qui leur avait expliqué le pourquoi de notre hilarité. Elles s’étaient elles aussi mises à rire. Nous nous étions quand même lavés, après avoir fait couler l’eau ; c’était normalement le but quand on prend une douche. Une fois séchés nous nous étions mis au lit. Marie et Isabelle s’embrassaient, Ben s’était rapproché de moi et commençait à m’embrasser. Nous nous étions embrassés avec volupté, nos langues dansaient entre elles et nos corps étaient collés l’un à l’autre. Nous commencions à avoir chaud. Pour être plus à l’aise nous étions au-dessus des couvertures. Nous bandions déjà Ben et moi. Nous nous caressions en nous embrassant. Je jetais parfois un coup d’œil vers le lit des filles, je voyais qu’elles se caressaient les seins en s’embrassant. De notre côté Ben et moi nous nous caressions le dos, les fesses, les tétons et nous arrivions à nous donner quelques sensations. Nos mains s’étaient alors dirigées vers nos membres dressés. Elles caressaient nos bourses et remontaient vers le gland. Puis j’avais pris le sexe de Ben à pleine main et j’entamais des mouvements masturbatoires le long de cette tige engorgée de sang. Ben de son côté avait entamé une masturbation plus voluptueuse de mon sexe. Je ne regardais plus vers le lit des filles, seul le bien procuré à mon amour comptait. Je m’appliquais à lui procurer bien des sensations en alternant la pression ainsi que le rythme des va et vient. Ben lui aussi de son côté avait affiné sa technique et s’attardait depuis quelques minutes au niveau du frein. Nous commencions à émettre des râles de bonheur, c’était d’ailleurs la même chose du côté de nos amies. Nous nous embrassions de temps à autre et nous étions concentrés sur le plaisir procuré à l’être aimé. Nous commencions à arriver à un point très subtil, proche du point de non-retour, nous avions d’un commun accord suspendu quelques minutes nos masturbations que nous reprenions pour aller jusqu’au point limite une nouvelle fois. Nous ralentissions encore une fois nos caresses masturbatoires. Puis ne pouvant plus attendre, nous avions entrepris chacun la masturbation sensuelle du sexe de l’être aimé pour finalement arriver au bord de l’orgasme. Nos corps s’étaient raidis, nos râles étaient plus prononcés, nous nous étions cambrés et sous l’effet du bien-être qui montait, montait en nous nous avions éjaculé pratiquement en même temps, Ben laissant partir cinq jets de sperme sur son torse et moi aussi cinq jets qui s’étaient étalés sur mes abdos et un sur la figure. Ben m’avait alors embrassé en léchant au passage le sperme qui était sur ma figure. Une fois remis de nos émotions, nous étions restés couché côte à côte. J’avais tourné la tête vers le lit des filles, elles étaient elles aussi couchées. C’est Isabelle qui avait pris la parole : Isa : « Alors là les mecs, vous savez vous procurer du plaisir, je n’avais jamais vu ça, merci à vous ! Mar : Oh oui Phil, quand deux garçons se branlent, c’est assez particulier et on voit que vous savez vous y prendre. Moi : Merci les filles. Je dois vous avouer que je n’ai pas trop regardé de votre côté ! Mar : Oui, je m’en étais rendue compte.» Ben : Je dois dire que c’est la première fois que j’ai vu deux filles se donner du plaisir, c’est pas mal non plus. Je n’ai pas raté grand-chose, du moins je le pense. Isa : Je dois dire que je ne regrette pas cette situation, c’est même assez excitant ! Moi : Bon, c’est vrai que ça met un peu de piment. Je ferai plus attention la prochaine fois, si prochaine fois il y a ! » Nous avions alors tous éclaté de rire. Nous étions allés reprendre une douche, couple après couple. Je ne regrettais pas cette expérience. J’avais demandé à Ben et lui aussi avait trouvé ça assez excitant. Il avait ajouté qu’il préférait quand même voir le sexe entre garçons ! Après une bonne nuit, nous nous étions levés. Petite douche et habillage pour la journée. Nous avions été retrouvés les parents de Marie pour prendre ensemble le petit-déjeuner. Nous avions mangé de bon appétit et prendre ainsi des forces pour aller voir le défilé du carnaval. Nous étions partis nous installer près du pont Rialto. Avant cela nous avions fait un passage pas loin du pont des soupirs. Nous pouvions voir le pont des soupirs dont on dit qu’il était le passage des prisonniers qui allaient être présentés aux juges et qui pouvaient voir une dernière fois Venise et le soleil, par les petites fenêtres avant d’être condamnés. C’était pour eux la dernière image de « liberté » avant des années. Dans les rues et ruelles nous avions croisés nombre de personnes en costume noir et porteuses d’un masque blanc. Certains masques étaient plus colorés. Les dames avaient des robes chatoyantes et des masques multicolores. C’était grandiose. Nous étions arrivés près du pont. Nous avions une belle place pour bien voir le passage des barques et ainsi je pouvais faire de très belles photos. La première barque était celle du Lion Ailé, blanc et or. C’était majestueux. Les autres barques débordaient de personnages hauts en couleurs, c’était féérique. Je ne savais plus par où poser mon regard, j’oubliais parfois de prendre l’un ou l’autre cliché. J’avais, tout comme les autres, des étoiles dans les yeux. Henriette était elle aussi émerveillée par le spectacle, mais aussi de nous voir si heureux en compagnie de Marie, sa fille ! C’était un grand moment de bonheur entre quatre amis, unis, semble-t-il pour la vie. Puis Ben m’avait pris par la main, j’étais comblé, mon amour me prenait par la main, j’en avais les larmes aux yeux, surtout dans un décor comme celui que j’avais sous les yeux. J’avais attiré Ben vers moi et je l’avais embrassé. Peu importe le monde autour de nous, c’était mon alter ego, mon amour, j’espère pour la Vie, avec un grand « V ». Le reste du défilé était bien entendu au-delà de ce que j’avais pu imaginer. C’était d’une splendeur, d’une élégance incroyable, j’étais subjugué par tant de belles choses. A l’issue du ce spectacle grandiose nous étions allés nous promener sur la Place Saint Marc. Il y avait de pigeons partout. Sur la place Saint-Marc le spectacle était lui aussi au rendez-vous. Même dans les airs il y avait des personnages qui virevoltaient. Il y avait de la couleur partout, il y avait des rires et des applaudissements. Oh que nous étions contents et heureux d’être présent pour regarder ces myriades de choses plus belles les unes que les autres ! Nous avions toujours des étoiles dans les yeux. C’était majestueux ! Venise était une très belle ville mais, malheureusement, sujette à la montée des eaux qui commençait de plus en plus à détériorer les bâtiments. Le repas du soir avait été pris non loin du grand canal. Nous avions mangé une excellente pizza. Nous étions encore tous sous l’influence de cette très belle cavalcade aquatique. J’avais quant à moi énormément d’images dans la tête. J’étais certains que les autres eux aussi étaient encore sous le charme. J’étais vraiment content d’avoir pris mon appareil photo en vue de garder des souvenirs. Nous avions ensuite une nouvelle fois arpenté les rues et ruelles de cette belle cité lacustre. Le spectacle de cette ville la nuit en valait lui aussi bien le détour. C’était une nouvelle fois féérique. Nous étions tous comme sur un nuage, heureux d’être là, ensemble, quatre jeunes que le destin avait réunis au gré de bons et des mauvais moments de notre simple vie d’ados face à notre devenir en construction. J’avais le sentiment que nous serions à tout jamais unis. Oui nous étions faits pour nous rencontrer, pour nous soutenir, pour nous aimer ! Quel pied de nez fait à nos détracteurs de tous poils, à tous ces homophobes qui voulaient nous séparer. Ici c’était la ville de l’amour, l’amour avec un grand « A » et c’est ici que nous avions tacitement fait pacte d’amitié et d’amour. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 23-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Quelle belle suite. On s'y croirait à Venise. Les quatre jeunes et les parents découvrent de fabuleux spectacles liés au carnaval. De belles descriptions. Les ados n'ont pas oublier de se donner l'un à l'autre par couple. Certains ont regardé vers l'autre lit, d'autres étaient pris par leurs émotions. Ils vont tous rentrés à la maison avec des souvenirs plein la tête. Cela donne envie d'aller visiter Venise. Merci Philou pour cette suite et ton super récit. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 23-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Quelques explications embarrassées sur ce qu’ont fait Phil et Marie, puis les règles du jeu sont définies. Ensuite un passage à la salle de bain pour se doucher et vider la vessie. Les deux couples se donnent du plaisir sur leurs lits respectifs comme d’habitude, sans trop se soucier de ce qui se passe à côté. Très beau dernier paragraphe, l’Amour finit toujours par l’emporter et les ados ont toute leur vie devant eux pour en profiter. Je ne sais pas s’ils seront unis à tout jamais, mais c’est une belle perspective. Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 23-03-2021 (23-03-2021, 05:48 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui Venise doit être magnifique en période de carnaval. Les quatre jeunes ont mes les choses au point. Ils passent par la salle de bain pour être propres pour la suite de la soirée. Ils se sont donnés du plaisir par couple sans faire fort attention sur ce qui se passait sur le lit d'à côté. Il est certain qu'ils auront des souvenirs plein la tête. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 23-03-2021 (23-03-2021, 07:29 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Les quatre ados se concertent pour ce qui est de la suite. Marie et Phil finissent par donner des explications sur ce qu'ils ont vécu il y a quelques semaines. Tout est bien clair entre eux, les rôle de chacun sont définis. Les deux couples se donnent du plaisir, chacun dans leur lit, sans pour autant voir ce qui se passe sur celui d'à côté. Il y a de l'amour dans les deux couples et ceux-ci s'apprécient. Une forte amitié les lie. Resteront-ils unis toute la vie? C'est ce qu'on leur souhaite! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-03-2021 Chapitre 3. Fin des vacances et séjour en classe de neige. Une fois notre belle balade terminée nous étions rentrés à l’hôtel. René nous avait proposé de boire un verre ensemble avant de monter dans les chambres. Nous avions pris deux bouteilles d’asti, vin mousseux italien. Nous avions trinqué à nous et bien entendu à nos amours. J’avais embrassé Benoît qui était assis à côté de moi. Marie avait fait de même avec Isabelle. J’avais pu voir les sourires des parents de Marie, qui eux aussi s’étaient embrassés. J’avais alors adressé un compliment qui disait ceci : Moi : « Merci, merci à vous tous d’être ici présent ce soir. Merci Henriette et merci René pour ce séjour inoubliable, merci Marie d’être mon amie et ma confidente et merci à Isabelle, amie de classe et maintenant amie de cœur et bien sûr merci Ben pour ton amour à mon égard. Je vais garder dans mon cœur tout ce que nous avons vécu de beau et de sincère durant ce séjour. Je me sens vraiment heureux et c’est grâce à vous ! Des larmes coulaient sur mes joues, mais des larmes de bonheur. Marie et Ben eux aussi avaient les larmes aux yeux. Henriette était elle aussi sur le point de pleurer. René avait pris la parole et avait dit : Ren : Oh Phil c’est très touchant ce que tu viens de dire. Sache que la porte de notre maison te sera toujours ouverte ainsi qu’à Benoît. Je suis certain que tu es et que tu resteras un ami très, très, fidèle de notre fille, à ton amie Marie, et ça je le sais depuis que vous vous connaissez. Mar : Oh Phil, je ne te savais pas si émotif et si cœur tendre, comme toi je souhaite que nous restions tous les quatre unis pour la vie. » Marie s’était levée et était venue me prendre dans ses bras. Nous avions été rejoints par Isabelle et Benoît. J’avais vu Henriette écraser une larme, elle aussi avait compris que nous étions désormais unis, tous les quatre, pour la vie ! Nous avions souhaité une très bonne nuit aux parents de Marie, ensuite nous étions montés dans notre grande chambre. Une fois installé sur nos lits, nous avions commencé à parler, à nous remémorer tout ce que nous avions vu durant toute cette très belle journée. Nous avions tous les quatre un large sourire. Puis nous avions décidé de nous faire un brin de toilette avant d’aller dormir. Nous avions laissé les filles les premières pour qu’elles puissent aller prendre leur douche. Nous avions emboîté le pas dès qu’elles étaient revenues, séchées et prêtes à aller au lit. Ben et moi avions pris une douche rapide, pour nous laisser plus de temps pour le reste de la soirée, avant de dormir. Nous nous étions couchés, nus au-dessus de la couverture. Les filles elles aussi étaient nues sur leur lit. Elles s’embrassaient à pleine bouche et leurs mains virevoltaient sur leurs corps. Voyant ça, Ben avait pris l’initiative. Il avait posé délicatement ses lèvres sur les miennes. Nous nous faisions des petits bisous d’amoureux. Puis nos lèvres s’étaient ouvertes pour laisser le passage à nos langues qui attendaient de pouvoir danser entre elles ! Nos mains allaient sur nos bustes, nos fesses, elles caressaient le moindre centimètre de peau. Nos bouches allaient elles aussi dans nos cous, suçaient les lobes des oreilles, descendaient vers les tétons et puis nos lèvres se soudaient les unes aux autres. Nos membres érectiles n’étaient pas en reste, ils avaient pris de l’embonpoint, ils se dressaient vers nos nombrils. Nous ne faisions pas attention au lit des filles, nous nous concentrions sur nous, sur notre bienêtre. Parfois on entendait les filles râler de bonheur, mais pas une fois nous n’avions regardé en direction de leur nid d’amour ! Je m’étais alors arrangé pour que nous nous trouvions Ben et moi tête bêche. Nous avions chacun le sexe de l’être aimé à portée de bouche. Le phallus de Ben était bandé au maximum. J’avais commencé par léchouillé son gland déjà humide. Ben de son côté s’appliquait à me suçoter le gland. Nous nous faisions plaisir l’un l’autre. Nous avions le temps de faire les choses avec volupté, sans empressement. J’avais englouti la queue dressée de Ben. J’entamais des mouvements d’aller et retour le long de sa protubérance, Ben commençait à émettre des râles de bienêtre et lui de son côté s’appliquait à me sucer profondément. Nous voulions donner un maximum de plaisir à notre partenaire. Puis l’ivresse du moment aidant nos râles se faisaient de plus en plus entendre. Puis nous poursuivions notre fellation d’enfer, nous étions comme hors du temps. Puis nos corps de braises s’étaient arqués, nos muscles se contractaient et puis dans un râle commun, nous arrivions à l’instant suprême, l’instant tant attendu, l’instant de jouir, de libérer sa semence et en même temps Ben et moi nous avions éjaculé dans la bouche de l’être aimé. J’avais avalé une partie du sperme de Ben, lui de son côté avait semble-t-il fait de même et ensuite nous nous étions embrassés en mélangeant nos semences de vie. Puis, comme des chevaux fourbus nous nous étions couchés l’un à côté de l’autre pour reprendre nos esprits. Les filles nous regardaient. Après cinq minutes, le temps de nous reprendre, Isabelle avait dit : Isa : « Alors là les mecs, vous nous avez scotché ! On voit que vous savez vous donner du plaisir ! Mar : Oh oui Phil, vous êtes incroyables, et on sait que vous vous aimez ! Moi : Désolé les filles, mais je n’ai pas regardé vers vous ! Isa :« Ce n’est pas grave Phil, on ne sait jamais, la prochaine fois ! Ben : Moi j’ai jeté un œil de temps en temps, mais Phil est un si bon amant que je suis resté concentré pour lui procurer un max de plaisir. Mar : Oui Ben, ça je l’ai bien remarqué. » Nous étions alors partis dans un grand fou-rire. Nous étions tous les quatre très heureux. Nous étions très complices et cela scellait notre amitié ! Nous nous étions couchés et nous étions tombés dans les bras de Morphée. Nous nous étions levés assez tôt en vue de pouvoir une dernière fois visiter Venise. Le papa de Marie avait loué un bateau, un bateau en bois avec moteur pour voir Venise depuis les canaux. Nous avions vite pris notre petit-déjeuner et nous étions prêts sur le quai près de l’hôtel. Quelle très belle visite de Venise par bateau, c’était extraordinaire. Les bâtiments étaient magnifiques ! Les palais eux aussi ressortaient autrement vu du bateau que par l’autre côté, soit celle des rues et des ruelles. Je ne m’imaginais pas que cette ville avait autant de trésors ! Puis il a bien fallu quitter cet endroit idyllique pour redescendre les pieds sur terre, façon de parler ! Oups ! Oui il était temps de rejoindre l’aéroport en vue de monter dans l’avion qui devait nous ramener en Belgique. Le vol s’était très bien passé. J’avais eu nettement moins peur que lors du vol aller. Nous avions atterri sans encombre à Zaventem. René avait commandé un taxi pour nous reconduire, Benoît et moi chez mes parents car la navette n’était pas présente. Marie et les autres avaient pris un autre taxi pour rentrer. Une fois à la maison, nous avions été accueillis par mes parents, ma sœur et mon frère. Benoît et moi n’arrêtions pas de parler de tout ce que nous avions visité et vu durant notre séjour. Finalement Ben était resté souper à la maison avant que papa ne le reconduise chez lui. Les deux – trois jours qui restaient avaient été consacrés à préparer mes bagages pour les classes de neige. Nous devions aller en Suisse, dans le Valais à Val D’Illiez. Pour être certain d’avoir toutes mes affaires maman m’avait aidé à faire ma valise. Une liste avait été fournie par l’école. Nous y avions fait attention pour ne pas oublier l’une au l’autre chose. Nous devions quitter Bruxelles en train couchettes le samedi soir vers vingt-deux heures trente. Il était donc temps que tout soit prêt. Nous voilà dans le train. J’avais pris un compartiment dans lequel il y avait Romain, Emmanuel, Justin, Sébastien et Romuald. Il n’y avait pas de fille avec nous car elles étaient réparties dans d’autres compartiments. Marie et Isabelle étaient ensemble, j’étais content pour elle. Le voyage était assez long, nous avions très, très mal, dormis dans le train. Nous étions arrivés à Aigle, gare aux pieds du Valais et des stations de ski. Après le trajet en car jusqu’à Val d’Illiez, nous étions très contents de pouvoir déposer nos affaires dans l’hôtel qui avait été réservé par l’école. Nous étions accompagnés de trois profs. Bien entendu, sur place, nous avions fait la connaissance des deux monitrices qui devaient s’occuper de nous en dehors des heures de cours. Les heures de cours étaient données le matin et nous avions ski durant l’après-midi. Nous devions intégrer les chambres, en vue d’y déposer nos affaires. La liste avait été communiquée oralement dans le hall d’accueil. Finalement j’étais installé dans une chambre de quatre, j’étais avec Emmanuel, Romain et Justin. Le tirage au sort était pour ma part assez mitigé. J’étais content d’avoir avec moi Romain, un gars qui était très ouvert et qui respectait les autres, puis le brave Justin, il était un peu taiseux et ensuite Emmanuel, je ne le sentais pas, je me posais des questions sur lui et sa façon de regarder les autres de haut. Je pouvais me tromper sur son compte. Nous devions être dans la même chambre durant plus de dix jours ! J’avais donc l’occasion de mieux le connaître. J’étais super heureux de pouvoir faire du ski. Nous prenions chaque après-midi un bus pour aller dans la station de ski liée à la commune de Val D’Illiez. Nous avions de cours donnés par de moniteurs suisses. Le gars qui s’occupait de nous, les bons skieurs, c’était André. C’était un gars super sympa. Il nous expliquait certaines techniques. Les séances de ski nous semblaient trop courtes. Dans la chambre, l’ambiance était mitigée. Je bavardais souvent avec Romain, parfois avec Justin. Emmanuel ne me parlait presque pas, il était fourré avec Romain quand je n’étais pas avec lui. Bon je ne m’en faisais pas trop. La chambre de Marie et Isabelle était située trois chambres plus loin dans le couloir. Cela me permettait de les voir un peu plus que sur les pistes ou lors des cours du matin. Nous parvenions à discuter entre nous et parfois avec Romain. Nous nous entendions bien. Évidemment nous ne parlions pas de nos orientations sexuelles, les filles ou moi. J’avais fait part de ma méfiance envers Emmanuel à mes deux amies, je n’avais rien dit à Romain. Je ne sentais pas Emmanuel, il me semblait faux, à la limite traitre qui va rapporter ce qu’il a vu ! Bref Marie m’avait dit de ne pas m’en faire. Le troisième nuit, ou plus tôt le troisième soir, alors que nous étions dans la chambre Emmanuel discutait avec Romain de filles et de baisers échangés avec certaines d’entre elles lors de vacances à la mer. Puis Emmanuel avait dit tout haut qu’il commençait à bander. Justin lui avait dit : Jus : « Si tu bandes, il ne te reste plus qu’à te branler. Emm : Oui c’est ça, toi avec ton vermicelle tu n’en es même pas capable. Jus : Chiche, et puis tu n’oserais pas monter ton petit spaghetti ! Emm : Oui c’est ça, regarde. Emmanuel avait baisé son pantalon de pyjama et avait montré son sexe, environ seize centimètres ! Romain et Justin avaient dit : Jus et Rom : Oui évidemment ! Emm : Alors les gars, ça vous en bouche un coin. Dis Phil, tu ne dis rien, tu n’as pas grand-chose entre les cuisses alors ! Moi : Oui c’est ça, tu veux la voir. Tiens ! » Je baissais mon pantalon et je montrais mon sexe au repos de près de neuf centimètres. Bien sur ce n’était pas beaucoup, mais quand même ! Puis, l’atmosphère aidant nous commencions tous à bander. Emmanuel fut le premier à mettre sa main sur sa protubérance et à s’astiquer. J’avais aussi la gaule et j’avais suivi le mouvement, j’avais été excité par cette discussion qui avait été lancée par Emmanuel. Romain s’y était mis aussi et enfin suivi par Justin. Nous étions tous les quatre en train de nous masturber. C’était une scène assez amusante, je me doutais que cela allait arriver tôt ou tard lors de ce séjour. Nous avions éjaculé dans les cinq minutes. Une fois essuyés, nous nous étions couchés pour la nuit. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 25-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Le séjour à Venise se poursuit et se termine bien . Les deux couples se sont une nouvelles fois "envoyés en l'air". Les deux filles ont été surprise de voir combien les garçons s'aiment et qu'ils se donnent un super plaisir partagé. De retour à la maison, c'est pour Phil la préparation des classes de neige. Le voyage en train couchette est fatiguant. Le ski se passe bien pour Phil qui aime semble-t-il dévaler les pentes enneigées. Comme tous les ados, dans la chambre de Phil où il y a quatre gars, c'est une branlette parti qui s'engage. Les ados se libèrent et jouissent après deux ou trois jours d'abstinence. Merci pour cette suite Philou. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-03-2021 (25-03-2021, 08:55 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Oui le magnifique séjour à Venise prend fin. Les deux couples ont fait l'amour l'un à côté de l'autre. Après le retour au bercail, Phil part en wagons-lits pour les classes de neige. Il fait du ski. Dans un chambrée de quatre, les possibilités de se donner du bien arrivent après quelques jours. Une branlette collégiale est organisée par Emmanuel. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou |