Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 21-12-2020 [member=156]KLO7514[/member] ! En tout cas, ce n'est pas de moi ! Bien que je sois abonné à La Vie du Rail depuis plus de 51 ans, et que j'aie autrefois (2005) écrit une scintillante nouvelle appelée : "Le Mari du garde-barrière"... En 2015, j'ai fait : "Isidore prend l'autorail"... Il nous faut donc chercher encore. Anecdote : dans un TGV, j'ai entendu un jeune père de famille dire à son moutard (4 ans) : "Attends Papa !" Il ne m'en a pas fallu plus pour commencer une nouvelle... Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 22-12-2020 Quatrième voyage, Dans les années 30, il se passa des choses bien étranges à bord d'un prestigieux train international reliant la gare Parisienne de la Compagnie du Nord à celle de Stockholm sise non loin du palais royal en cette ville septentrionale. Ce soir-là de début juillet, Carlos-Manuel Rodriguez prit son service de chef de train une bonne heure avant le départ du convoi portant le nom de Nord-Express. Peu de monde sur le quai longeant la rame de voitures-lits, Pulman, restaurant qui allaient s'élancer sur les rails au signal du Chef de Sécurité, "l'homme au fromage blanc" que les simples voyageurs nomment tout bonnement le Chef-de-gare. La réputation maritale de ce brave homme ne souffrirait pas ce jour-là : le cheminot de service n'avait pas convolé avec une belle fille, restant donc officiellement célibataire. Il en était de même pour Manuel. Officieusement, quelques-uns de ses amis savaient son fort penchant pour un joli garçon, jeune employé aux Grands Magasins de la Samaritaine, rue de Rivoli, avec lequel il partageait un modeste logement du XIIIe arrondissement près de la place d'Italie. Avant de rejoindre son poste, devant s'absenter pour plusieurs nuits, il était allé accueillir son amoureux à l'arrêt du tram 93 au coin de la rue de la glacière et du Boulevard Blanqui. Et de là, après avoir rejoint la porte de leur petit immeuble, il avait pris le métro à la station Corvisart pour rejoindre directement la Gare du Nord par cette ligne 5. Carlos-Manuel était fils d'un noble espagnol d'une famille proche du roi Alphonse XIII et d'une mère napolitaine. Malheureusement son père, déjà marié, ne put le reconnaître. Sa mère recevait une modeste pension du papa secret. Mais, grâce à ce dernier, il put entrer à la Compagnie internationale des wagons-lits et des Grands express européens car il était ami d'un neveu de M. Nagelmakers. Manuelito donc, selon son affectueux diminutif, monta dans le fourgon de queue. Nous lirons plus loin que cette qualité de situation en fin du convoi aurait mérité un pluriel... À l'heure dite, le train s'ébranla (Sans jeu de mot déplacé, SVP!), tiré par une puissante 231 "chapelonnisée". Direction Creil puis Saint-Quentin, première gare d'arrêt une heure trente-cinq plus tard. Ces fourgons, reliés par un soufflet à la dernière voiture-lit et prévus pour un voyage au long cours, comportaient également une couchette, des toilettes et aussi une petite douche à disposition des employés de la compagnie. Manuelito, le coquin, avait pratiqué une petite ouverture quasi indétectable entre le local"couchette" et celui voisin réservé aux bagages. Aussi, muni d'une petite caméra 8mm, il pouvait enregistrer les ébats de voyageurs aisés qui voulaient "s'en payer une tranche", profitant des temps de trajet entre deux gares. Il percevait les "royalties" de cette location hors-normes et très encadrée côté horaires. Les premiers à se présenter, dès le dépassement de la gare de Saint-Denis, étaient deux messieurs fort bien de leurs personnes, la quarantaine svelte. Manuelito, sitôt perçue son obole, leur ouvrit la porte du local-couchette, la referma sur eux et s'en fut de l'autre côté de la cloison, tenant la petite caméra. Il ne concentra pas son objectif sur le tas de vêtements de luxe déposé sur le sol rouge de terrazulite mais bien vers une partie plus centrale des deux messieurs allongés. Ah qu'ils en mettaient "un bon coup" ces deux-là! Dommage que les sons ne pouvaient pas-encore- être enregistrés! Ayant terminé leur "petite affaire", les deux messieurs sortirent, n'oubliant pas de remercier, au passage, leur si gentil et appétissant chef de train. Ils le gratifièrent même d'un pourboire, supplément imprévu mais pas refusé non plus : il ne faut jamais vexer une clientèle si généreuse. «Saint-Quentin...deux minutes d'arrêt» entendit-on dans le haut-parleur du quai N° 2. Des voyageurs montèrent à bord des voitures, introduits par les conducteurs de la Compagnie de ce train particulier. 22 H 07, nouveau coup de sifflet, le train redémarra alors que le crépuscule et ses ombres venaient entourer le fumant convoi. Un léger "toc-toc" à la porte de son local-couchette fit se relever Manuelito juste en traversant la gare de Croix-Fonsomme, près de la source de ce petit fleuve donnant la moitié de son nom à la petite commune. Il ouvrit, se trouva face à un couple assez pressé de se retrouver en un endroit sûr. De nouveau, il perçut la modeste somme prévue, sa publicité se faisant discrètement par le bouche à oreille. Un monsieur bien mis et une dame occupèrent donc le local jusqu'aux approches de Maubeuge. Le chef de train ne jugea pas nécessaire de filmer cette séquence, ne désirant que le sexe dit "fort"pour enjoliver ses propres séances en compagnie de son joli vendeur. Maubeuge, deuxième et dernier arrêt en terre de France. Les "locataires" venaient tout juste de regagner leurs compartiments respectifs et, vers minuit vingt, nouvelle arrivée dans le fourgon. Cette fois-ci, deux tout jeunes gars, à peine la vingtaine, montrèrent leurs juvéniles visages de fils de bonnes familles. «Bonjour monsieur, fit l'un, notre ami nous a dit qu'on pouvait...Tenez, voici les cinquante francs promis. -Mais bien sûr, répondit Manuel, ici vous êtes tranquilles jusque à Aix-la-Chapelle. Notre train ne dessert pas la gare de Liège, vous avez tout votre temps. Profitez-en. -Ah, merci, monsieur, vous êtes très aimable. -Pas de souci, je suis à côté, vous tapez contre la cloison de droite en cas de besoin.» Et une fois la porte refermée, "manu" s'empressa aussi pour passer de l'autre côté à nouveau, salivant d'avance pour les belles prises de vues. Il ne fut pas déçu : ces deux jeunes lui firent un tel effet, dans leurs élans, qu'il s'imagina lui-même être avec son chéri et que sa main libre se dirigea vers le haut de son pantalon d'uniforme de la Compagnie des Wagons-lits. Rien n'échappa aux délicates attentions des deux garçons, aucun endroit sensible de ces beaux corps ne fut épargné, des pieds à la tête ou réciproquement, selon les désirs du donneur et du receveur. "Ah, pensait l'employé ferroviaire, on dirait qu'ils ont fait ça toute leur vie !". Et de fait, ce morceau de pellicule restera parmi les meilleurs enregistrés dans la petite boîte noire. On prétend même qu'elle figura bien plus tard dans les archives "vintages" de certains forums spécialisés où elle fit les délices de spectateurs ravis. Mais on n'en était pas encore là. Et ce fut ainsi, dans la voiture de...queues sans quasiment aucun intermède sinon aux escales de ce train qui finit par atteindre la gare de KØBNHAVN -Copenhague en français- avant d'embarquer sur le ferry traversant le bras de la Baltique. Au final Manuel rentra boulevard Blanqui trois jours plus tard, son porte-monnaie ayant pris de l'embonpoint. Il en profita pour rapporter une excellente bouteille de Don Pérignon 1929, remise en douce par le chef-cuisinier de la voiture-restaurant : ce brave homme avait oublié son portefeuille et n'avait trouvé que ce moyen de paiement pour venir occuper le local dorénavant en-tête du convoi de retour, avec un jeune serveur, à la fin du 2ème service. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 22-12-2020 Je dis : Fab' ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 23-12-2020 Hmmm… Vu le souci apporté aux détails (historiques ou techniques), je dirais aussi que c’est la prose du Lion Ça change un peu de lire un narrateur qui ne s’implique pas dans l’intrigue, mais reste spectateur, tiens ! Enfin, pendant le service, c’est très professionnel Ça ne l’empêchera pas de partager la bouteille de champ’ et le visionnage de petits films (malheureusement muets) avec son n'amoureux Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 23-12-2020 Coucou les gens, Passez tous de bonnes fêtes de Noël, même si la pandémie ne permet pas les réunions habituelles, que vous soyez entre petit groupe de cohabitants, simple couple ou solitaire cette année, gardez le moral et restez vigilants ! ;D Gros bizoux à tous. :-* :-* :-* NB : les "défis" vous seront offert en lecture bientôt ! PS : [member=168]lelivredejeremie[/member] - [member=87]Louklouk[/member] ; belle tentative mais le texte n’est pas de moi ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 23-12-2020 C'est impossible : relis bien, et tu verras que ça ne peut pas être de quelqu'un d'autre, voyons ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 23-12-2020 Je vais mettre tout le monde d'accord, le quatrième texte est de [member=156]KLO7514[/member], qui d'autre sait ce qu'est une 231 "chapelonnisée" ? Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 24-12-2020 Ça ne m'a pas frappé, parce que je sais ce qu'est une 231, et que je connaissais le nom de l'ingénieur Chapelon... Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 24-12-2020 Oui, Louklouk a raison : tout le monde peut regarder Wiki et "Nord-Express" ; puis, de là, "investiguer"un peu plus sur les locomotives de ces époques : on "tombera" inévitablement sur le nom de ce monsieur Chapelon. J'en profite pour souhaiter également à tous et vu les circonstances, la meilleure fête de Noël possible, avec l'espoir que la prochaine pourra davantage réunir de gens. Bises à tous, :-* KLO. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 25-12-2020 1/ Participation défi : À moitié réveillé, J'enfile mon bas de pyjama et sors de ma chambre. Je croise papa noël en combijama rouge et vert qui est sur le point d'entrer dans la salle de bain. Il me regarde et aperçoit la protubérance qui déforme mon pantalon de flanelle. Il sourit et me lance : — Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père tel fils, rajoute-t-il, tu lui ressemble de plus en plus. Je baisse les yeux sur le pyjama. Je vois ma pointe de sapin qui tend le tissu ! J'ai honte, le rouge doit atteindre la pointe de mes oreilles et je file aux toilettes ! Un long pipi me fait du bien et calme mon pingouin qui retrouve sa taille normale... ‘O…kaaay’ me suis-je dit en reboutonnant mon pantalon, ‘la remarque sur la… pointe de sapin de papa, c’est fait… C’est surtout que du coup, j’imagine que la légende est vraie, puis un peu que papounet y est passé, comme beaucoup d’autres elfes, et c’était pas indispensable, hein ! Et aussi qu’il va commencer à… explorer dans ma génération, Papa Noël kiffe les twinks, on dirait. Mais quoi, j’ai à peine trois cent douze ans, pour un elfe, la sortie de l’adolescence doit vraiment rimer avec la fin de l’innocence ? J’aurais dû visiter tous les stands d’info à la foire aux carrières en fin de lycée, je commence à me dire qu’un job d’elfe de maison, même au manoir Malfoy, ou même une affectation à la Terre du Milieu… Après, je ne m’imagine pas trop dézinguer de l’Orc à coup de flèches, mais une place de page de Dame Galadriel, ça doit être cool, je me dis. Ou à la limite toy-boy du seigneur Legolas, il n’est pas trop mal foutu du tout, lui, toujours mieux que le gros barbu… Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 26-12-2020 Dans les 3 derniers, j'ai bien aimé l'allusion au signal de queue du 2ème train. Heureusement qu'un train fait du bruit en roulant parce qu'une caméra double 8 en faisait un peu aussi. Néanmoins, avec la sensibilité des films de l'époque (25 ou 40 ASA, rebaptisés plus tard ISO) et la lumière qu'il devait y avoir dans le wagon, C'est à peu près certains que pour l'histoire 4, on ne devait pas voir grand chose sur les films. En cinéma, difficile de descendre en deça du 30ème de seconde pour exposer une image. C'est plus facile en photo de faire une pose longue, mais il faut que le sujet arrête de gesticuler. Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-12-2020 2/ Participation défi : À moitié réveillé, J'enfile mon bas de pyjama et sors de ma chambre. Je croise papa Noël en combijama rouge et vert qui est sur le point d'entrer dans la salle de bain. Il me regarde et aperçoit la protubérance qui déforme mon pantalon de flanelle. Il sourit et me lance : — Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père tel fils, rajoute-t-il, tu lui ressembles de plus en plus. Je baisse les yeux sur le pyjama. Je vois ma pointe de sapin qui tend le tissu ! J'ai honte, le rouge doit atteindre la pointe de mes oreilles et je file aux toilettes ! Un long pipi me fait du bien et calme mon pingouin qui retrouve sa taille normale... Les yeux enfin en face des trous et la vessie vide, je me marre seul de ma rencontre dans la coursive avec notre capitaine, le commandant du vaisseau « l’étoile polaire », petit vaisseau galactique de transport interstellaire que tout le monde appelle papa Noël. Faut dire que naitre un 25 décembre et être prénommé Noël, ça laisse des traces puis mon paternel — qui a fait ses classes à l’académie stellaire avec lui et est son second depuis toujours — se nomme Elfrid, du coup ils ont des ‘elfes’ comme équipage. C’est mon premier voyage — j’ai dû attendre ma majorité pour rejoindre le bord — et malgré que je le connaisse depuis ma naissance, il m’intimide encore, surtout dans ce genre de situation ! Bon, vite me préparer pour être à l’heure au « traineau » — notre navette pour les livraisons — c’est pas le moment d’arriver en retard, on livre des vaccins qui vont éradiquer la maladie qui décime la population de la station et on est attendu comme, comme… ben, comme les cadeaux à Noël ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-12-2020 3/ Participation défi : À moitié réveillé, Fabio enfila son bas de pyjama et sortit de sa chambre. Il croisa Papa Noël en combijama rouge et vert qui était sur le point d'entrer dans la salle de bains. Papa le regarda et aperçut la protubérance qui déformait son pantalon de flanelle. Il sourit et lui lança : — Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père tel fils, rajouta-t-il, tu lui ressembles de plus en plus. Il baissa les yeux sur le pyjama. Il vit sa pointe de sapin qui le tendait ! Il eut honte, le rouge devait atteindre la pointe de ses oreilles et il fila aux toilettes ! Un long pipi lui fit du bien et calma son pingouin qui retrouva sa taille normale... Quand il sortit, ce fut pour voir que Papa avait laissé la porte de la salle de bains grand ouverte, et se savonnait dans la grande douche italienne. Il n’avait jamais vu son père entièrement nu, et eut un mouvement de recul. — Viens ! cria Noël avec un grand geste. J’ai pensé que quand ta mère nous laisse entre hommes, on pourrait arrêter de faire des manières avec nos fringues… d’autant que c’est bien chauffé, ici, et qu’on n’a aucun vis-à-vis ! Alors tu pourrais virer cette culotte de pépé qui te comprime les organes, non ? — Euh… fit Fabio, très gêné. — Allez, viens ! Malgré qu’il en eût, Fabio dut baisser sa flanelle… Papa se saisit alors le prépuce et releva sa bite : — J’ai dit que tu lui ressemblais, m’enfin j’en sais rien ! fit-il en regardant le kiki de Fabio. Ma foi, il me semble que c’est bien le cas ! Attendons de pouvoir faire une comparaison… chiffrée ! Fabio était stupéfait du naturel de son père, sur ces choses intimes. — Pour le reste, y a encore un peu de boulot, hein ? Les deux hommes, trente-huit et dix-huit ans, étaient de taille égale : un mètre nonante. Mais autant le père était harmonieusement découplé et finement musclé, autant le fils était gracile… d’où le surnom d’elfe que lui avait octroyé Papa. Autre différence : Papa était fort joliment velu de sombre, avec une touffe qui fascina Fabio, lequel n’était pas à plaindre non plus en dessous du nombril ; mais sa poitrine débutait seulement dans la poiliculture… Ici doit être précisé que Papa Noël n’était pas le père biologique de Fabio : celui-ci avait plaqué sa mère deux ans après sa naissance, à l’âge de vingt ans… ce qui avait permis à Noël de se placer auprès de Maman, que son vrai père lui avait soufflée à la fac… Et il avait accepté d’élever le moutard, qui le considérait comme son vrai père. On prit donc la douche ensemble, et Papa n’hésita pas à tapoter les petites fesses encore glabres de son lardon… qui se félicita de s’être tripoté juste avant ! Puis on alla à ses affaires. Fabio passa le reste de la matinée à poil, en priant le ciel pour que son père ne vînt pas le caresser… Puis il sortit avec son ami Nicolas, un grand dégingandé de sa trempe… en plus timide encore. En rentrant, il croisa son père, qui était resté nu : il alla donc se déloquer, en espérant que sa belle épée ne se signalerait pas à l’attention des populations ! — J’ai eu un appel de ta mère : les nouvelles sont… moyennes. — Hein ? Il lui arrivé quelque chose ? — Oui, mais… c’est surtout à nous, qu’il va arriver quelque chose. — Mais dis, quoi ! — Elle va prolonger son séjour à New-York au-delà des deux mois prévus — on était début mai. On lui propose un poste intéressant, et elle veut se faire une opinion. — Ha ! — Et aussi… Là, c’est plus délicat. — P'pa ! Tu me dis que ce que tu veux, bien sûr ! — Tu dois savoir. En fait… je crois que… que je suis remplacé dans ses pensées… et dans son lit aussi. — Oh, P'pa ! s’écria Fabio en se collant contre Noël, oubliant toute prévention. Au demeurant, ce qu’il venait d’apprendre lui avait coupé la chique. Papa le prit par le cou, et Fabio posa la tête contre celui de son père. — Moi, je te plaque pas ! Papa déclara qu’il s’y attendait plus ou moins, et décida que les choses étant ce qu’elles étaient, il fallait réagir… et ordonna la tournée de bulles. La première flûte n’était pas terminée qu’il déclara : — Et puis il faut que je te dise des choses entre nous. À propos de ce matin… j’ai vu que tu étais gêné de montrer ta grande forme… Sache qu’ado, la moindre caresse, ou frottement, me donnait la gaule. Je me tripotais jusqu’à cinq, six fois par jour ! Quand j’ai commencé à déborder, je me suis amusé avec les potes du collège… mais à quatorze ans, je suis tombé sur une grande de dix-huit qui m’a déniaisé, et après j’ai eu tout de suite la chance de pas tomber sur des mijaurées, et j’ai pu niquer sans trop de problèmes… ce qui m’empêchait pas de me toucher, aux entractes ! Enfin, tout ça pour te dire que t’as pas à te cacher de bander devant moi ; je sais pas si t’as la couenne aussi sensible que moi, mais t’as plus à t’enfermer aux vatères pour dégouliner quand t’as envie ! Rappelle-toi qu’on est seuls ici… et pour longtemps ! — Merci, P'pa, mais… — Sois pas gêné devant moi, mon grand. Et tiens, tu sais quoi ? Ça m’amuserait de voir comment tu fais, toi. — Oh, je… Je dois pas être très original. — Je te dirai… mon avis de vieux branleur ! — Tu n’es pas vieux ! — Bon : alors branleur, seulement ! On se sourit et l’on retrinqua. Fabio n’en revenait pas de ce qu’il avait appris et vécu depuis le matin ! Voilà un samedi qui resterait dans l’histoire ! D’autant que cet après-midi, le fin Nicolas, un blond foncé apparemment bien monté, s’il en croyait les entrevues aux vestiaires du lycée, lui avait fait une sorte de demi-confidence : Fabio lui avait dit qu’il avait vu son beau-père à poil. — T’as de la chance, toi ! Le mien est super bien foutu, mais à la maison, il se promène même pas en slip ! — Si tu veux voir le mien à poil… tu dors chez moi, et on va se doucher avec lui. Ou on se met tous à poil. — Oh ! Tu rigoles ! Jamais j’oserais un truc pareil ! — Et… avec moi tout seul ? osa un Fabio que sa matinée avait commencé à décoincer. — Oh… J’aurais trop peur de… — Est-ce que tu sais que tous les garçons bandent ? — Pas toujours dans les mêmes occasions… On en resta là, et Fabio demeura songeur. Or donc, le Vouvray — on marchait à la Loire, dans ce canton — faisant son effet, Noël prit Fabio par le cou… et ses doigts frôlèrent un téton dudit, qui eut un frisson. — Oh ! Je te gêne ? — Non, mais… je suis très sensible là… — Tiens ! Moi aussi. Encore un trait commun, mon lutin préféré ! Et Noël de tripoter sans vergogne les deux tétons de son lutin… qui se sentit bander à vitesse grand V. — T’es beau, mon fils. Tiens, fais-toi du bien… Et de prendre la dextre du lardon pour la lui mettre sur la queue. Fabio ferma les yeux : il était excité au dernier degré, et les savantes agaceries de son beau-père sur ses tétons lui donnaient un vif désir de jouir ; il s’activa donc. — Hep ! Prends ton temps, mon gars ! tempéra Noël. Ainsi fut fait. Repensant à la remarque de son beau-père, Fabio eut à cœur de varier les pratiques… avec une rouerie qu’il ne se fût pas devinée la veille ! Et le moment dura presqu’un quart d’heure. Il explosa comme rarement. — Il est beau, mon p’tit elfe, murmura Papa. Qui bandait ferme, asteur. Mais Fabio n’osa lui proposer de se toucher aussi. Ni le toucher lui-même non plus. — Mon Papa Noël, il est super beau, lui ! — Il va falloir qu’il aille la vendre ailleurs, sa beauté, le Papa Noël ! — Chut ! fit Fabio en lui tendant son verre… et gardant un œil sur la sublime tige de son paternel. Et remarquant in petto que c’était en le caressant, lui, que Papa avait bandé… Noël reprit alors : — T’en es où toi, avec les filles ? — En plein désert, comme un chameau mort de soif. — Ah ! Ah ! Ah ! J’t’adore… Puceau, donc… et j’imagine que c’est pas ton ectoplasme de Nicolas, qui est adorable, certes, qui va t’entraîner à la chasse au minou ! — Papa ! — Excuse-moi. J’ai… un genre d’idée… Et si je te présentais une nana… mignonne comme tout ? — Hein ? Mais… — J’ai une jeune collègue, vingt-quatre ans, qui me fait un rentre dedans pas possible et… — Mais P'pa ! Vas-y, toi, maintenant que… — Et si on y allait… tous les deux, ensemble ? Je crois qu’on est assez proches, maintenant, pour que je te montre des trucs comme ça, non ? — Oh, P'pa ! fit Fabio, saisi… et piégé. Comment refuser ? Du moins, si la chose se faisait, aurait-il des certitudes… en connaissance de cause. Papa échafauda des stratégies… et proposa même de convier Nicolas à la fête ! — Jamais il voudra ! — On se la fait à deux, ma poulette ? Le reste de la fin de semaine fut étrange, pour Fabio. Après le dîner, on se sépara, et avant d’aller se coucher Papa vint le voir en sa chambre, où il était à son ordinateur, et lui pinçota les tétons. — Arrête, P'pa, je vais… — Justement, ça m’amuse de te faire bander ! Au fait, et à propos de bander, si on la convoquait demain après-midi, ma petite saute-au-paf ? — Oh, déjà ? Hmm, hmm soupira Fabio, à qui la trique venait, effectivement. — Touche-toi, bébé ! Ça me fait plaisir que tu sois aussi sensuel que moi… Sexuel, même ! Fabio ne tarda pas à jouir, et quand il se leva, il vit que Papa bandait ferme, lui aussi. Noël arrangea le coup, et la Krystel fut conviée au brunch, à onze heures. Fabio avait été interdit de branlette, et ce furent deux super gourdins qui se frôlèrent dans la douche du matin. De fait, la drôlesse n’était pas farouche, et elle montra tout de suite des signes d’intérêt pour Fabio… surtout quand Noël lui eut soufflé que ce garçon était puceau. Les choses s’engagèrent gentiment et sans fioritures après la première coupe de champagne. De voir Papa en cette occurrence avait vite rendu Fabio dur comme le marbre… en plus chaud. Ce bleu-là alla bravement au feu, et ne fut pas trop dégoûté par la foufoune de la blanche et jolie blondinette. Qu’il fourra avec application, les mains de Papa lui triturant les fesses. Et quel magnifique spectacle que les fesses musclées d’iceluy s’agitant entre les pâles cuisses de la fillette ! Un deuxième service dans l’après-midi vit même ces deux beaux chibres se voisiner dans la dame, un devant et l’autre derrière… ce qui électrisa Fabio ! La conférence qui suivit le départ de Krystel vit Fabio se lâcher. — Merci, Papa, mais… je crois que j’ai eu ma dose. — Hein ? Mais tu t’es bien éclaté, non ? — Parce que tu étais là, mais… tout seul… — Qu’est-ce que veux me dire, là, mon lutin ? — Que… Oh, P'pa, je sais pas trop, mais… — Bon. Champagne. On va fêter le début de notre vie à deux, et de notre confiance entre vrais mecs. Je t’ai choqué, en te forçant à te faire dépuceler ? — Non ! C’était une bonne expérience. — Mais tu préfères sans doute la petite gueule innocente de Nicolas… J’me trompe ? — Et ta gueule moins innocente, Papa Noël ! Noël serra vivement Fabio. Il murmura : — Ça t’a plu, de me voir baiser ? — T’es magnifique, Papa ! Alors Noël fit parler Fabio de ses fantasmes : rien que de très classique, pour un gay puceau ! Il susurra alors : — Et si, Nicolas et toi, vous m’initiiez ? — Hein ? Mais, P'pa ! Lui et moi, on n’a jamais… — Il sait qu’on se balade à poil, ici, et apparemment, ça le titille, le sexe. Faisons d’une pierre deux coups ! Amène-le vendredi soir. Fabio n’eut pas trop de la semaine pour convaincre son prude ami ! Entretemps, il bandait dès que Noël lui mettait la main aux fesses, ou lui prenait les tétons… On riait, et il se branlait comme un petit fou. Ce ne fut que le mercredi que Papa se toucha en même temps que lui : alors chacun triturait un téton de l’autre ; et l’on s’arrangea pour s’arroser l’un l’autre. Ce fut un Nicolas bien emprunté qui arriva le vendredi soir après le bahut. Pour tomber sur un Noël nu, qui lui serra la pince avec chaleur. — Je vous laisse vous doucher, les garçons ? J’ai prévu un apéro dînatoire. Quasi pétrifié, Nicolas suivit Fabio et dut bien se déloquer : oui sa bite était superbe. Et Fabio le complimenta sur sa plastique, avant de faire du genre sous la douche… et de se faire bander. Nicolas l’imita bientôt, sans un mot. Et l’on se séchait en se matant quand parut Noël : — Vous êtes prêts, les garçons ? Je mets des trucs au four, alors. Et vous êtes vraiment beaux, tous les deux ! — Tu vois qu’il y a pas de souci à avoir avec lui ! dit Fabio à son ami, qui sourit faiblement… sans débander. — Apparemment, c’est nettement plus cool avec un beau-père qu’avec un vrai père ! commenta Nicolas, mi-figue, mi-raisin. — C’est p'têt' pas vrai avec tous, mais là, suis tombé sur le bon, tu sais ? répliqua Fabio, tout fier. Noël usa de la perfide méthode (champenoise) des séducteurs de salon : le Vouvray. Et Nicolas ne tarda pas à rire aux éclats aux facéties d’un Noël que Fabio n’avait jamais vu en telle verve ! Et qui pria, plus tard, Nicolas de l’aider en cuisine… où il lui prit les tétons : bingo, le minet adora ça ! Et la suite fut que Noël banda dur, et que… la bouffe faillit brûler. Pour les sens, c’était déjà fait. On s’entresuça à trois avec application, et le rusé Noël ayant prévu un gros bidon de gel (en plus des bulles), on passa à des exercices de grandes personnes. Ou ces trois débutants perdirent leur virginité arrière, et plus d’une fois. Depuis, la maison est devenu un genre de paradis, où Papa baise la Krystel dans le salon, en même temps que Nicolas bourre Fabio… Et Nicolas a même essayé la blondinette… Et Papa Noël les cajole, ses lutins… car il aime les faire bander. Eux savent comment lui rendre la pareille. — Génial, avoua un soir Nicolas : c’est comme si j’avais un beau-père, moi aussi !... — Si ton père t’entendait ! — Qu’il reste dans ses vieux slips kangourou ! Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 27-12-2020 4/ Participation défi : À moitié réveillé, j'enfile mon bas de pyjama et sors de ma chambre. Je croise papa noël en combijama rouge et vert qui est sur le point d'entrer dans la salle de bain. Il me regarde et aperçoit la protubérance qui déforme mon pantalon de flanelle. Il sourit et me lance : — Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père, tel fils, rajoute-t-il, tu lui ressembles de plus en plus. Je baisse les yeux sur le pyjama. Je vois ma pointe de sapin qui tend le tissu ! J'ai honte, le rouge doit atteindre la pointe de mes oreilles et je file aux toilettes ! Un long pipi me fait du bien et calme mon pingouin qui retrouve sa taille… Moi c'est Selfi. Enfin c'est le surnom que mes amis Elfes m'ont donné. Je suis un elfe, un vrai ! J'ai 164 ans ce qui n'est pas très vieux pour un elfe. Ça correspond chez vous les terriens à un ado de 16 ou 17 ans. L'ancien Père Noël m'avait offert un téléphone portable il y a deux ans et depuis je me photographie tout le temps. J'ai tout un tas de cartes mémoire et mes amis en ont marre de moi et de mes photos ! D'où mon surnom. Mais revenons-en à ce qu'il vient de se passer. Depuis que les fêtes de Noël approchent on est tous sur les dents. On travaille plus de quinze heures par jour et je suis crevé moi ! Et ce matin, je me suis réveillé à la bourre et je n'ai pas eu le temps de me faire ma petite gâterie du matin et en plus je rêvais au Père Noël ! Et qui je croise en allant aux toilettes ? Bien sur celui qui me fait fantasmer toutes les nuits ! Encore heureux que j'avais enfilé mon bas de pyjama ! Mais quand il a vu la bosse que j’avais, il a fait une remarque que je n'ai pas compris. Il a dit quoi déjà ? Ah oui : « Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père, tel fils, tu lui ressembles de plus en plus. » Comment il peut savoir que dans la famille on est tous montés comme des ânes ? Et lui avec son combijama rouge et vert qui le moule de partout comme s'il avait deux tailles de moins ! Et en plus il se moque de mon sexe bandé mais il ne s'est même pas rendu compte que les pressions à l'arrière de son combijama sont défaites et qu'on voit ses belles fesses poilues. Faut dire aussi que depuis que Noël a remplacé son père et qu'il a renouvelé l'équipe on n'est plus que des jeunes ! C'est lui le plus vieux mais tout est relatif, il n'a que 250 ans ça correspond à un terrien de 25/30 ans. Il s'est mis au sport parce que quand on voit son père, ventripotent comme il est à juste 1000 ans, il ne veut pas devenir comme lui. Depuis une vingtaine d'années il s'est mis à la muscu et depuis c'est une vraie bombe ! Déjà il a une gueule de ouf, un mélange de beau gosse et de racaille, des beaux cheveux noirs, une barbe de quelques jours qu'il tond régulièrement et ses jolis yeux bleus qui vous transpercent le regard quand il vous regarde dans les yeux. Il a des bras très musclés aussi et des pecs de ouf, six jolis abdos mais ce qui est le plus joli dans tout ça c'est sa toison brune qui recouvre tout son torse. Ses jambes sont bien musclées et poilues comme je les aime. Et tout à l'heure j'ai vu ses fesses velues. Ce que j'aimerai bouffer sa raie qui doit, elle aussi, être pleine de poils. Mais bon, faut pas rêver non plus, quoique… il n'y a toujours pas de nouvelle Mère Noël pour le moment. Il dit attendre la bonne. Par contre je l'ai vu plusieurs fois en maillot de bain moule bite et la bosse m'a plutôt déçu ! J'en étais là dans mes réflexions quand la porte de la salle de bain se rouvrit et que Père Noël passant la tête par la porte entrebâillée me vit planté dans le couloir. — Ah cool ! Selfi, tu es encore là, tu veux bien aller me chercher mon combijama rouge, il est sur mon lit, je l'ai oublié. — Oui Père Noël, bien sûr j'y cours. Je n'ai que quelques pas à faire et j'entre dans la chambre juste au moment où Père Noël me rappelle. — Laisse tomber Selfi, je vais garder celui-là. Mais c'est trop tard je suis déjà rentré dans sa chambre et, ô surprise, qu'est-ce que je vois sur son lit bien en évidence ? Un gode énorme, presque aussi gros que ma bite en érection ! Je le prend et à ma grande stupéfaction dessus je lis un nom 'Gernot’ ! (1) Gernot, c'est mon père ! Mais que fait Père Noël avec un gode, non, un moulage de la queue de mon père ? Une voix dans mon dos me fait sursauter. Et je me retrouve face à Noël qui n'a qu'une petite serviette autour de la taille. Et, bien sûr, ma queue fait un bon dans mon pantalon de pyjama. — c'est ton père qui me l'a offert il y a plusieurs années, après m'avoir surpris une nuit dans l'atelier, alors que j'avais le manche de son marteau enfoncé dans mon cul. Et il s'est moqué de moi et de ma petite queue en érection, en me montrant la sienne qui ne bandait même pas et qui faisait le double de la mienne ! Je l'ai supplié de me la montrer en érection. Il ne voulait pas mais il m'a donné ce moulage de sa bite comme cadeau de Noël. — Mais… tu veux dire que tu t'en sers ? — À défaut d'une vraie bite, oui. Tu l'auras compris, je suis gay et passif. Enfin je dirai plutôt bi et passif. Il n'y a que mes parents, ton père et toi maintenant qui connaissent mon secret, alors je compte sur toi et sur ta discrétion pour pas que ça s’ébruite. Je suis terriblement troublé par ce qu'il vient de me dire. Est-ce que je dois lui dire la vérité ? Tant pis je me lance. — Noël, je suis comme toi et je t’aime ! Là c'est lui qui est troublé par ce que je viens de lui dire. — Tu m'aimes ! tu m'aimes comment ? — Tout en toi me fait bander ! Tous les matins et les soirs je me branle en pensant à toi. Et rien que de te voir dans cette tenue j'ai la queue qui bande tellement que j'en ai mal. Je n'ai jamais osé t'en parler. — Tu aurais dû. Selfi, tu veux bien me montrer ta queue s'il te plaît ? J'ai du mal à baisser mon bas de pyjama, tant je suis surexcité. Je défais le bouton et le pantalon tombe sur mes pieds. Noël ouvre la bouche de surprise devant mon sexe qui m'arrive plus haut que le nombril. Il se met à genoux devant moi, prend ma queue à deux mains et commence à me masturber tout en me léchant les couilles. Je ne résiste pas à sa caresse longtemps et j'inonde son visage et ses cheveux de sperme. — Noël je suis désolé c'est parti tout seul. J'ai même pas eu le temps de t’avertir. — C'est pas grave Selfi, dit-il en s’essuyant, c'est des choses qui arrivent. Tu veux bien me prendre, je vois que tu bandes encore dur. — Je… je suis puceau Noël, je ne sais pas comment m'y prendre. — Tu veux dire que tu n'as jamais rien fait ? Pas même des branlettes avec les elfes de ton âge ? — Non Noël, jamais personne ne m'a touché la queue à part toi maintenant. — Mais, tu as bien découvert la masturbation ? — Ça oui ! J'ai surpris mon frère qui se branlait sous la douche et quand je lui ai demandé ce qu'il faisait, il m'a répondu qu'il se faisait du bien et il m'a dit de foutre le camp. Du coup, quand je suis allé prendre la douche à mon tour, j'ai essayé de me faire du bien aussi mais la première fois, ce ne fut qu’un vague plaisir, depuis je le fait plusieurs fois par jour. C’est quand j'ai eu plus de 120 ans que les premiers poils pubiens ont commencé à pousser et c'est à 130 ans que j'ai commencé à éjaculer… puis j’ai découvert mon attirance pour les hommes ! Et toi Noël, tu as beaucoup d’expérience ? — Je suis puceau aussi, Selfi, je n’ai jamais eu de partenaire, tu veux bien qu'on s'apprenne mutuellement à faire l’amour ? Et ce qu'on ne saura pas faire, on ira voir sur internet il y a des tutos très intéressants comme youporn ou pornhub et bien d'autres qui te montrent comment faire. — Oh oui Noël, je ne demande que ça ! Je peux te caresser ? — Mais tout ce que tu veux mon beau Holger (2) approche. Je me serre contre lui et rien que de sentir ses poils caresser ma peau ça me fait jouir une seconde fois. Il recule un peu la tête et me sourit. Doucement il pose sa bouche sur la mienne. Je sens sa langue qui écarte mes lèvres et frotte mes dents. J'ouvre la bouche pour lui demander ce qu'il fait, il vient de me mettre sa langue dans la bouche ! Il la fait tourner contre la mienne. S'il veut un combat de langue, il va en avoir un ! Mais c'est trop bon ce qu'il me fait ! Ça me donne des frissons de partout dans le corps. On continue comme ça un bon moment puis Noël se recule et quitte ma bouche, il commence à me faire des bisous dans le cou, sur les oreilles puis descend jusqu'à mes tétins qu'il mordille. Ça aussi ça me fait jouir une autre fois. Puis il lèche mon ventre et mon nombril et il prend ma queue dans sa bouche enfin pas en entier, juste le gland et quelques centimètres. Il me suce si bien qu'il ne me faut que quelques minutes pour jouir une quatrième fois. Mais je bande toujours aussi dur ! — Selfi tu veux bien te mettre à quatre pattes sur le lit ? — Tu veux m’enculer ? Je sais pas si je vais aimer ça. — Non, je voudrais te montrer une caresse que j'aimerais que tu me fasses, avant de me prendre. Mais plutôt que t'expliquer comment faire, j'aime mieux te montrer. Je suis sur le lit, à quatre pattes. Il me caresse les fesses et je sens sa langue qui joue avec mon petit trou. C'est vrai que c'est bon ça ! En plus sa barbe de quelques jours, un peu râpeuse et douce à la fois, qui frotte contre mes fesses m'excite beaucoup. Il vient d’arrêter. Dommage ! — A ton tour Selfi de me le faire. Il est en position devant moi et ses fesses poilues m'attirent comme un aimant. Je les caresse, je les pétris elle sont à la fois musclées et souples. — Vas-y Selfi, bouffe-moi le cul, oui… comme ça… c'est bien ! enfonce bien ta langue ! Putain oui, c'est bon Selfi ! Mets-moi ta queue s'il te plaît ! — Tu es sur que tu veux que je te baise ? — Oh oui Selfi, vas-y enfonce toi en moi. Bon, j'ai plus le choix. Je me lève, je pose mon gland sur son trou bien ouvert et je pousse un peu. Je n'arrive pas à rentrer ni à trouver le trou, tellement je stress ! Je sens sa main qui vient à mon aide et ça y est j'ai le gland qui vient de rentrer. Je pousse encore un peu et c'est 10 cm de ma queue qui ont été aspirés entre ses fesses. — Vas-y doucement Selfi laisse-moi souffler un peu. C'est bon tu peux reprendre. Ho putain, mais que c'est bon ! Vas-y, enfonce-la en plein. Mais vas-y doucement… Il en reste beaucoup à rentrer ? — Presque encore autant Noël. Plus que quelques centimètres… et voilà je suis tout en toi. — Ha, mmmmmm, oui je la sens bien ta grosse queue. Vas-y commence à aller d'avant en arrière tout doucement pour commencer. Oui c'est bien comme ça continue, vas-y plus fort … vas plus vite … oui c'est trop bon ! Je jouis Selfi ! Je jouis ! Quand il a joui, il a tellement serré ses muscles internes que ça m'a fait jouir aussi et je sais pas combien de giclées j'ai dû lui envoyer mais un paquet parce que quand ma queue a – enfin – débandée et qu'elle est sortie toute seule de son cul il y a plein de sperme qui a coulé. On a récupéré puis recommencé, quatre fois et quand on s'est rendu compte que c'était pas loin de midi, on a vite pris une douche et on est allé manger, moi au réfectoire avec les autres et Noël chez ses parents. oOoOo Maison du Père Noël père. Noël est seul avec son père. La mère Noël est partie faire quelques courses de dernières minutes avec des amies mais sur le feu il y a une marmite qui dégage une bonne odeur. Père Noël senior se rend bien compte que depuis hier soir son fils a changé. Et c'est avec prudence qu'il entame la conversation. — Junior, je te trouve changé depuis hier soir ? Tu es rêveur, tu n'arrêtes pas de gigoter. Qu'est-ce qu'il se passe ? — C'est … j'ose pas te le dire papa. — On est entre homme et tout ce que tu me diras restera entre nous. — Bien ! voilà papa, je viens de faire l'amour pour la première fois de ma vie. — C'est bien mon fils, je suis fier de toi. Alors tu as aimé le faire ? C'était bon ? — Oh oui, papa ! Mais… putain qu'est-ce que j'ai mal au cul maintenant ! fin -(1) Gernot : Gernot est un nom de famille, forme contractée de Gerinot, diminutif de Gerin nom de personne d'origine germanique, issu de Gari qui signifie lance. -(2) Holger : (prononcer Holguèr) – origine scandinave – « puissant avec l'épieu » Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 27-12-2020 Hmmm… Fabio et son beau-père, abandonnés respectivement par leur mère et femme indigne, un puceau gay désespéré et un adulte un peu queutard et ‘ouvert à d’autres ouvertures’, ça aurait pu déraper, sauf que je soupçonne la patte délicate de Louklouk, du coup ça donne un gentil 'roman d’apprentissage' (comment traduire ‘coming of age’ ?) qui fait d’une pierre deux coups en libérant la libido du timide Nicolas Très mignon. Et le dernier, après le twink et le bear, un autre twink et un otter, qui bouscule le cliché, massif, passif et (jusque-là) inactif, tendre et étonnamment timide Pratique d’avoir la fabrique de jouets de papa à dispo, il lui a suffi de reprogrammer une imprimante 3D et hopopop ! il a un avatar en caoutchouc de Gernot, cool ;D Aussi, quel meilleur moment pour faire son CO qu’à la fin du repas de Noël qd on demande qui prend de la bûche : |