Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 13-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Très belle suite, merci. Que dire, l'accueil est super, Phil et Ben sont accueillis les bras ouverts. Ils remettent les présents à leurs hôtes. Ils vont prendre l'apéro quand on sonne à la porte, c'est une invitée qui arrive, c'est Isabelle. Elle est dans la même classe que Marie et Phil. Suite à la présentation Phil comprend que Marie et Isabelle forment un couple. Les parents sont bien sûr au courant que les invités qu'ils ont sont soit gays ou lesbienne. Remise des cadeaux. Phil a été prévoyant, il avait un cadeau pour l'invité "surprise", c'est donc Isabelle qui le reçoit. Le réveillon se passe super bien. Il est temps pour tous d'aller rejoindre leurs chambres. Très bon week-end Philou. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 13-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Grosse surprise pour Phil puisqu'Isabelle est la petite amie de Marie. Les deux couples sont sur un pied d’égalité et leurs liaisons resteront secrètes. Ensuite c’est la distribution des cadeaux avec un pour « l’invité surprise ». Après les gâteries sous le sapin (prévenance, présent qui dépassent l’attente de celui qui en est l’objet, selon le Wiktionnaire), pendant le repas (friandise), Ben et Phil seront-ils encore assez en forme pour des gâteries du troisième type avant de s'endormir ? Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 13-03-2021 (13-03-2021, 07:28 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui surprise de taille, Isabelle est aussi invitée car elle est la petite-amie de Marie. Les deux couples sont effectivement sur le même pied d'égalité. Leurs liaisons sont secrètes et le resteront, d'autant plus que trois jeunes sont dans la même classe à l'école! Distribution des cadeaux qui sont sous le sapin. Phil en a prévu un pour l'invité surprise, c'est donc pour Isabelle! En allant de gâteries en gâteries, les deux garçons s'envolent pour la troisième, d'un autre type que les deux premières. Ah, l'élan des corps d'ados en pleine ébullition! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire! Bon week-end! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 16-03-2021 (13-03-2021, 06:09 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé de la suite. On découvre que Marie est en fait amoureuse d'Isabelle. Phil sait maintenant qu'il n'a rien à craindre d'elles. Tout est bien, les jeunes sont super bien accueillis et les parents de Marie aux petits soins. Remise des cadeaux dont celui de l'invité surprise, Phil a bien fait, c'est celui qui est destiné à Isabelle. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 16-03-2021 C’est en voulant nous mettre au lit que j’avais remarqué la présence d’un petit paquet posé entre les deux oreillers. Je l’avais ouvert devant Ben, il contenait des préservatifs et du lubrifiant. J’étais vraiment étonné et puis il y avait un petit bristol sur lequel il était écrit « Bonne nuit à vous deux. Je vous embrasse. Marie ». J’étais émerveillé par ce petit geste. Ben lui aussi n’en revenait pas, il me disait : Ben : « Oh Phil, je savais que Marie était ta confidente, tu m’en avais déjà tellement parlé, mais là, je peux te dire que tu as une perle comme amie. J’en deviendrais jaloux, mais je sais qu’elle aime les filles alors je ne m’en fais pas du tout ! Moi : Merci Ben, tu ne peux pas savoir comme ça me fait chaud au cœur, Marie est une très bonne amie et elle est pleine de ressources, elle m’a aussi redonné le gout de vivre tout comme toi. Merci Ben, merci de m’aimer, ça me permet de voir la vie et l’avenir du bon côté. Ben, je veux t’aimer, je veux me donner à toi, faisons l’amour, maintenant ! Ben : Tu sais Phil j’y comptais, je veux aussi t’aimer, te donner le meilleur de moi. Tu sais que je t’aime ! Moi : Oh oui Ben, je sais que tu m’aime et moi aussi je t’aime. » Nous nous étions rapprochés et nous nous étions embrassés avec fougue. J’aimais mon Ben, il était un rayon de soleil pour moi, c’était mon amour, ma moitié. Je crois, j’en suis sûr, Ben aussi m’aimait, j’étais certain d’être son amour, son amant ! Nous nous étions couchés sur le lit tout en nous embrassant. J’avais pris l’initiative, je mordillais le lobe des oreilles de Ben, je léchais ses pectoraux, je descendais en direction de son ventre. Mes mains caressaient ses cuisses, ma bouche descendait vers son bas ventre tout en continuant à lécher son venter et son nombril. Puis ma bouche était arrivée à hauteur de son phallus déjà bien dressé. Je léchais alors le gland et le frein. Ma langue montait et descendait le long cette belle colonne de chair. Puis ma bouche allait vers les deux valseuses, je les gobais alors avidement. Puis ma bouche était remontée vers cet attribut gorgé de sang, ma bouche engloutissait alors le vis dressé. Ben gémissait déjà, il était déjà en train de ressentir les bienfaits de ce début de fellation. Puis j’avais pris une capote que j’avais déroulée le long du membre dressé de mon ami. Ma rondelle était déjà en partie dilatée car je savais que j’allais offrir mon corps, ma grotte à mon amant. J’avais pris un peu de lubrifiant et j’avais enduit mon anus de ce liquide. Je m’étais alors placé de façon à offrir mon postérieur à Ben. Il se plaça de manière à positionner son sexe à l’entrée de mon anus. Je me donnais entièrement à mon ami Ben, à mon amant, à mon amour. Ben prenait alors possession de mon corps. Son membre me pénétra doucement, lentement, lascivement jusqu’à arriver à la garde. Ma prostate était un peu titillée par les mouvements débutant dans ma caverne. Ben alternait les mouvements lents et rapides. Je gémissais de plus en plus, Ben de son côté prenait lui aussi beaucoup de plaisir à me pilonner l’arrière-train. Nous étions heureux, nous vivions notre sexualité comme nous l’entendions. Je sentais que Ben arrivait au point de non-retour, il allait jouir dans les secondes qui suivaient, il se cabra et laissa partir six jets de sperme au fond du préservatif. Moi de mon côté je ressentais cette décharge salvatrice en gémissant de plus belle. Nous nous étions ensuite couchés côte à côte, le temps de reprendre haleine. Mais Ben était déjà partant, il voulait lui aussi me faire l’amour. Il me caressait tout le corps, il me léchait le cou, descendait avec sa langue vers mon torse et mon ventre, ses mains se baladaient elles aussi, elles arrivaient à mes bijoux de famille. Puis Ben décalotta mon prépuce pour libérer le gland. Il commençait alors une fellation bien appuyée, allant du frein jusqu’à la base de la verge. Puis il avait pris le lubrifiant et me l’avait donné pour je prépare sa rondelle pendant qu’il me caressait la tige. Il m’enfila le préservatif ce qui voulait dire que je pouvais enfin faire irruption dans sa grotte. J’avais présenté mon sexe bandé à l’entrée de la chose tant convoitée, je pénétrais doucement, centimètres par centimètres son antre et puis par des mouvements lents au début je m’appropriais son anus. Je commençais à labourer le joli petit cul de mon Ben. Des gémissements commençaient à se faire entendre ; Ben était semble-t-il aux anges et savourait tout le plaisir que je lui prodiguais. Moi-même je sentais que ma sève allait venir, qu’elle allait se déverser au fond de cette capote. Puis j’avais accéléré le mouvement, j’y allais franchement et Ben gémissait de plus en plus. Je me suis alors cabré et je déversais six jets de semence dans le préservatif. J’étais heureux, je me sentais fatigué amis heureux. Ben de son côté se remettait de mon assaut. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés avec fougue. Ben me susurrait à l’oreille des « Je t’aime » et moi je lui répondais aussi par des « Je t’aime aussi ». Je me demandais si nous n’avions pas trop fait de bruit lors de nos ébats, je n’avais pas envie d’avoir des reproches au petit-déjeuner ! Nous étions allés reprendre une bonne douche avant de nous mettre au lit pour la nuit. Au matin, j’avais été réveillé par un bruit, quelqu’un frappait à la porte de la chambre. Benoît dormait encore. J’avais répondu « Oui, entrez ». C’était Marie qui ouvrait la porte. Elle m’avait dit qu’il était presque temps de se lever car nous allions prendre le petit déjeuner. Je lui avais dit que j’allais réveiller Ben et que nous serions prêts dans un quart d’heure. Marie avait alors refermé la porte de la chambre. J’avais doucement réveillé mon ami Ben en lui caressant la joue et en lui faisant des petits bisous dans le cou. Une fois réveillé, Ben m’avait dit qu’il avait dormi comme une souche. Nous nous étions douchés et ensuite habillés pour rejoindre les autres dans la salle à manger. Ça sentait bon le café et le cacao de plus il y avait comme une bonne odeur de pain grillé et de viennoiseries. La tablée n’attendait plus que nous. Nous avions alors dit bonjour à tout le monde en donnant une bise. Une fois assis à table, j’avais pris la parole : Moi : « Je voudrais m’excuser pour le bruit hier soir. J’espère que cela ne vous a pas trop dérangé ! Hen : Non Phil, ne t’inquiète pas. Marie m’avait prévenue d’un petit cadeau laissé sur votre lit et je me doutais très bien que vous alliez vous en servir. Alors je t’assure que nous n’avons rein entendu ou si peu ! Ben : Merci Henriette, je sais que Phil s’en inquiétait déjà hier soir ! Hen : Mais vous êtes jeunes, alors vous devez en profiter ! Mar : Tu sais Phil, les chambres sont assez insonorisées alors ne t’en fait pas ! Moi : Merci, merci pour cette très belle intention qui nous a fait grand plaisir ! Je voudrais aussi vous remercier Henriette et René pour nous avoir si bien reçus. Je vais ajouter ceci, Marie et Isabelle, je crois que Ben sera d’accord avec moi, êtes vous d’accord d’être nos amies pour pouvoir nous épauler les uns les autres ! Pour toute réponse Marie s’était levée et était venue nous donner à Ben et moi-même une bise sur la joue, et avait ajouté : Mar : Bien sur Phil, on sera vos amies Isabelle et moi. Ben c’est bien sur valable pour toi ! René : Phil et Ben, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Vous êtes ici chez vous ! J’en avais les larmes aux yeux. Ben lui aussi était très ému. Il avait perdu l’usage de la parole, la seule chose qu’on pouvait voir, c’était deux larmes qui coulaient sur ses joues. René : Allez les jeunes, mangeons. Nous ferons une photo de vous après le repas ! » Nous avions tous mangé de bon appétit. Tout le monde avait le sourire aux lèvres. Il y avait des éclats de rires, des sourires, des mots tendres prononcés. Nous étions tous heureux, les parents de Marie étaient très, très, ouverts, ils étaient la bonté même. Je savais que René, mon sauveur, avait un cœur gros comme on ne peut l’imaginer ! A la fin de ce petit déjeuner, nous avions fait une photo à l’orée de la forêt. Nous étions à quatre, deux couples, deux garçons et deux filles. Puis René avait placé son appareil photo avec le retardateur et nous étions donc six, bras dessus, bras dessous pour la postérité ! Papa était venu nous reprendre. Benoît avait été déposé chez lui car la famille se réunissait pour fêter Noël. Nous aussi à la maison nous attendions de la famille. Il y avait mes grands-parents ainsi que mon oncle Pierre. Papa m’avait aussi annoncé une surprise, mais que je n’en saurais rien. J’avais retrouvé Anne et Jean, je les avais embrassés, j’étais heureux de les avoir comme famille avec maman et papa. J’avais encore en tête les mots de René, « Phil et Ben, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Vous êtes ici chez vous ». Marie avait des parents extraordinaires. J’avais donné un coup de main à maman et à Anne pour la touche finale de la table. J’avais aussi aidé papa pour apporter les bouteilles de vin et de champagne. J’avais aidé Jean au dressage de la table de l’apéritif. Maman se demandait ce qui se passait, elle m’avait fait un signe de l’accompagner, je pensais que j’allais l’aider à quelque chose. Maman m’avait alors dit : Mam : « Oh mon Philou, tu es si gentil, si avenant, je crois qu’il s’est passé quelque chose chez Marie pour que tu sois comme tu es maintenant. Moi : Oh maman, les parents de Marie sont des gens extraordinaires, ils sont d’une gentillesse et d’un dévouement hors du commun. Puis ils avaient tout prévu, nous étions comme des VIP. Je ne sais comment te l’exprimer, nous avons formé un groupe de quatre jeunes et nous nous entons très bien. Mam : Un groupe de quatre jeunes ! Moi : Oui, il y a bien sur Marie, Ben et moi et aussi Isabelle, c’est l’amie de Marie, enfin la petite amie de Marie ! Mam : Alors j’ai tout compris. Vous êtes deux « couples » et vous allez vous soutenir les uns les autres ! Moi : Oh maman, tu es géniale, oui c’est ça !» Mam : Je suis très heureuse pour vous. Je vois que ça t’a donné l’envie d’être très ouvert aux autres membres de la famille et je t’en suis fort reconnaissante ! » Maman m’avait pris dans ses bras. Elle m’avait susurré à l’oreille qu’elle m’aimait, tel que j’étais. Je pouvais dire que je nageais enfin dans le bonheur. Une fois l’apéro terminé, nous étions passés à table pour manger le repas de Noël. Toute la famille était réunie autour de la table. J’avais envie que Benoît soit avec nous, mais il était dans sa famille. Bref les discussions allaient bon train. Papy et mamy étaient très contents d’être présents avec nous. L’oncle Pierre s’était un instant assis à côté de moi, il voulait savoir comment j’allais. Je lui disais que j’étais heureux et que mon ami Benoît me comblait, que j’avais une amie et confidente en la personne de Marie et que j’avais pu découvrir qu’elle avait une petite amie, elle aussi. Bref nous parlions de tout. Après le fromage, nous nous étions tous mis au salon où nous avions regardé des photos et des vidéos de nos anciennes vacances. Mais à un moment, durant une trentaine de seconde nous avions pu voir Henri et moi qui nous amusions dans la piscine. Je n’avais pas pu supporter d’en voir plus, je m’étais levé les larmes aux yeux. Maman l’avais de suite remarqué et avait changé de vidéo. Mamy se demandait ce qui se passait, elle s’était aussi levée pour venir me retrouver dans la cuisine. Mamy me voyait dans les bras de maman en train de pleurer. Maman expliqua alors à Mamy que le garçon qui était apparu à la vidéo était décédé et qu’il avait passé huit jours de vacances avec nous en famille. Contre toute attente mamy m’a aussi pris dans ses bras, puis elle m’avait dit dans le creux de l’oreille : « C’était ton petit ami ! ». J’avais répondu « Oui ». Comme seule réponse mamy m’avait fait un gros bisou sur le front. J’avais alors compris qu’elle savait et qu’elle était de tout cœur avec moi. Nous avions rejoint le reste de la famille. Nous bavardions ensemble, Anne et Jean se chamaillaient un peu, juste pour la rigolade. Puis la sonnette de l’entrée avait retenti. Qui pouvait bien venir à cette heure ci. C’est papa qui était allé ouvrir la porte. Puis quelques secondes plus tard, papa entra dans la pièce en disant : Papa : « Voilà la surprise pour Phil ! » Tout le monde regarda alors vers la porte du salon et je pouvais voir Benoît qui entrait. J’étais éberlué, je ne m’y attendais pas ! J’avais les larmes aux yeux. Puis c’était Marie et Isabelle qui suivaient. Mes larmes inondaient mes joues. J’étais pétrifié sur place, je ne savais que dire, je ne savais plus bouger. Mam : Voilà Phil, je crois que ce sera le plus beau Noël. Comme cadeau, nous avons demandé à tes amis de venir fêter Noël avec nous. Moi : Mais, je…merci ...euh… Benoît s’est approché de moi et m’avait embrassé sur la bouche. Mamy avait les yeux qui pétillaient, elle avait été mise au courant par maman. Papy ne disait rien et les autres applaudissaient. Marie et Isabelle étaient venues me faire la bise. Je n’en revenais pas, c’était effectivement un des plus beau Noël. J’avais ma famille et mes amis auprès de moi, j’avais Ben à mes côtés. Que demander de plus ! Papa avait pris la parole : Papa : Voilà Phil, tu sais qu’on t’aime, tu sais qu’on ne veut que ton bonheur, alors nous avions préparé ceci pour toi. Ton ami Ben est là et aussi Marie, ta confidente et bien sur Isabelle, ta copine de classe et surtout l’amie de Marie. Je suis certain que vous allez rester unis pour la vie, c’est tout ce que je vous souhaite. Mamy : Phil, vient près de moi avec Benoît. Vous êtes craquants tous les deux. Je suis heureuse pour vous deux. Je vous aime mes deux loulous. Moi : Merci Mamy. Je t’aime tu sais. Ben : Oh merci, je vais aussi dire Mamy ! » Nous avions embrassé mamy de bon cœur. Papy qui était près de nous nous fit un clin d’œil. Puis il était lui aussi venu nous embrasser, il était heureux de nous voir heureux. Je ne savais pas que mes grands-parents étaient si ouverts que ça, ils n’étaient pas homophobes pour un sou ! Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 16-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Belle suite dans la quelle on remarque que Marie a tout prévu pour Phil et Ben, des préservatifs et du gel dans un petit paquet cadeau posé sur le lit. Les deux garçons se sont aimés. Au matin discussion amusante sur les éventuels bruits dans la chambre. Phil est en famille pour le jour de Noël. Tout se passe bien. Ensuite c'est l'arrivée de Ben, Marie et Isabelle. C'est le cadeau inespéré pour Phil. Ben fait la connaissance des grands-parents de Phil. Ils savent que les deux garçons s'aiment et trouvent qu'ils vont bien ensemble, ils sont acceptés tels qu'ils sont. Merci Philou pour cette belle suite. Je t'embrasse Philippe Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 16-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. J’en avais parlé lors de la première publication : ces deux couples homosexuels qui s’entendent si bien pourraient concevoir des enfants. Je ne sais pas si ce genre d’arrangements était autorisé à l’époque, et cela ne l’est probablement pas encore partout de nos jours. Ce serait mieux qu’avec des donneurs de sperme anonymes. Détail technique : dans les années 1970 la vidéo n’existait pas encore, c’était le Super 8, cela ne change rien à l’émotion que peut ressentir Phil en revoyant Henri. La mamy est très tolérante et ne s’offusque pas de l’orientation sexuelle de son petit-fils, tant mieux. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 16-03-2021 (16-03-2021, 05:54 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé de la suite. Marie est aux petits soins pour Phil et son ami Ben. Elle pense à leurs désirs .... Phil est une nouvelle fois choyé, ses amis sont invités dans le courant de l'après-midi. C'est Ben, Marie et Isabelle. Ben fait la connaissance des grands-parents de Phil. La mamy accepte la liaison de Phil et Ben, de même que l'orientation sexuelle des deux garçons. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 16-03-2021 (16-03-2021, 07:10 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement tu avais déjà parlé de cette possibilité pour les deux couples de concevoir des enfants. A cette époque ce n'était pas envisageable. Maintenant les mentalités ont changé et c'est devenu plus facile, mais pas dans tous les pays malheureusement ! Effectivement c'était du "super8" à cette époque. Ce n'est que fin des années 70 que la vidéo a commencé à se développer. Oui la mamy est tolérante et comprend que son petit-fils puisse être différent et aimer un garçon. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-03-2021 Voilà, j’étais comblé. C’était le moment de prendre le dessert, ou vu l’heure, le gouter. Maman avait déposé sur la table de la salle à manger un énorme gâteau au chocolat. Je n’en revenais pas. Tout ça pour moi. J’avais pris maman dans mes bras et je lui avais donné un gros bisou sur la joue en lui disant que je l’aimais. J’avais aussi été embrassé mon père. Puis j’avais été vers ma sœur Anne et mon frère Jean et je leur avais fait un gros câlin à chacun d’eux. J’avais découpé le gâteau et j’avais moi-même servi toutes les personnes chères à mon cœur. Papa avait apporté des bouteilles de champagne. Tout le monde était content de me voir heureux. Au début de soirée, seul Benoît était resté. Il devait loger à la maison. J’étais une nouvelle fois comblé. Nous étions allés nous doucher avant d’aller dormir. Nous étions fatigués et nous avions fait que nous embrasser avant de tomber dans les bras de Morphée. Au lever du jour, c’est Jean qui était venu nous réveiller. Il s’était placé entre moi et Ben sur le lit et il nous chatouillait. Finalement nous nous étions levés. Après le petit déjeuner papa était allé reconduire Ben chez lui. Je savais que nous allions nous revoir le lendemain pour le mini camp dans les Fagnes. J’avais d’ailleurs hâte d’y être, de retrouver les scouts les plus âgés de la troupe. Je nageais en plein bonheur. J’avais soigneusement préparé mon sac à dos avec tout le nécessaire pour quatre jours. J’avais pris quelques grosses chaussettes de laine car il y avait de la neige et qu’il était important de bien se protéger. Bien sûr des pulls, un bonnet, des moufles, etc. L’après-midi s’était passé calmement avec ma sœur et mon frère. Nous avions joué à des jeux de société auxquels maman participait de temps à autre. Papa était allé travailler, il avait été rappelé pour des soucis de comptabilité dans la société. J’étais allé me mettre au lit assez tôt pour être en forme pour le mini camp. J’avais mis le réveil sur sept heures pour ne pas avoir à me dépêcher. C’est maman qui allait me conduire au local en prenant Ben au passage. Nous étions bien à l’heure pour aller dans les Fagnes. Nous allions être répartis dans quatre voitures. J’allais faire le voyage en compagnie de trois autres scouts. Ben lui allait dans une autre voiture. Jean-Pierre nous avait expliqué qu’il était aussi important d’être en contact avec les scouts des autres patrouilles, raison pour laquelle nous étions un scout de chaque patrouille dans chaque voiture. J’étais dans la voiture de Bruno, le chef de troupe, Ben était dans celle de Ghislain. La troisième voiture était celle de Jean-Pierre et enfin la dernière était celle d’Olivier l’intendant de la troupe. Le trajet jusqu’à notre lieu de destination s’était très bien passé. Il y avait assez bien de neige dans les Fagnes. Nous étions dans les environs d’Elsenborn. C’était dans la vallée de la Warche, petite rivière qui s’écoulait depuis le plateau des Hautes-Fagnes en direction de Malmedy. Nous étions logés dans la grange d’une ferme. Il faisait très froid, à notre arrivée il y avait moins 11 degrés Celsius. Une fois installés, nous avions fait un tour du village. Nous avions ensuite donné un coup de main au fermier. Il était d’ailleurs ravi de cette aide apportée. Nous avions mangé un bon repas chaud au soir, soit des raviolis avec des tartines beurrées. Nous avions fait une veillée improvisée dans la cour de la ferme. Puis nous nous étions installés par la nuit. Je pense que personne n’a pu dormir en fonction du froid qui régnait. Nous avions, dès le levé fait des exercices pour nous réchauffer. Après un très bon petit déjeuner pris dans la cuisine de la ferme (merci à la fermière) nous avions pris la direction des Fagnes en remontant la Warche. Les paysages étaient somptueux avec toute la neige accumulée. Il faisait de plus en plus froid, la température avoisinait les moins 15 degrés. Pour le repas de midi, Olivier avait préparé des saucisses accompagnées de pommes de terre et de haricots-princesses. Nous avions aussi pu avoir du thé bien chaud. Le repas avait été englouti au milieu des Fagnes, dans un endroit splendide et recouvert de neige immaculée. Quel spectacle, c’était d’une beauté remarquable. Nous étions tous en extase face à ce que la belle nature offrait à nos yeux écarquillés. Nous avions ensuite pris le chemin du retour vers la ferme car nous étions gelés pour ne pas dire congelés ! Au soir, le fermier nous avait dit que vu les températures très basses, qu’il avait décidé de nous loger dans une pièce de la ferme, c’était une très grande salle à manger qui servait à faire des repas de chasse ou des repas de famille. Le feu ouvert avait été allumé et il faisait surement bien meilleur que dans la grange ! J’avais dit à Ben qu’il valait mieux que nous ne soyons pas ensemble pour ne pas faire jaser les autres scouts. Ben avait très bien compris. Finalement nous étions tous installés confortablement dans cette très belle salle à manger. Nous avions placé nos matelas pneumatiques un peu partout sans tenir compte des membres des patrouilles présents. J’étais aux côtés d’autres scouts, d’autres patrouilles, que j’apprenais à mieux connaitre. Tous les scouts présents à ce mini camp étaient très sympas et n’avaient aucun animosité envers moi ou envers Benoît. A la suite du repas nous avions fait une veillée durant laquelle nous avions chanté pour les braves fermiers qui nous accueillaient. En effet ils avaient voulu être présents à notre veillée. Ils étaient heureux de nous avoir hébergés. Bien entendu nous étions très reconnaissants de leur accueil en fonction du temps très froid qui s’était abattu sur la région. A la suite de cette veillée nous étions allés nous rafraîchir avant d’aller dormir. Nous étions tous les scouts dans la grande salle à manger de la ferme. Les chefs étaient, quant à eux, avec les fermiers, dans leur cuisine. (Il faut dire que la pièce principale d’une ferme c’est la cuisine.) Ils parlaient entre eux du fait de pouvoir éventuellement faire un camp dans les prochains mois et ainsi apporté une aide à la ferme ainsi qu’au syndicat d’initiative pour refaire deux ponts traversant la Warche pour que les promenades balisées puissent être parcourues sans devoir faire de détours. Nous étions tous ensemble et nous discutions de tout et de rien, bien entendu la conversation était plus tôt branchée sur le prochain camp de Pâques, le grand camp, etc. Puis je m’étais levé pour aller aux toilettes. J’avais fait ma petite commission et je regagnais mon couchage. Puis d’un coup, je ne l’avais pas vu venir, un scout avait tiré d’un coup le pantalon de mon pyjama. Bien entendu je m’étais retrouvé le cul et le sexe à l’air ! Loin de m’offusquer, j’avais remonté mon pantalon lentement. On arrivant près de ma place, une nouvelle fois on m’avait baissé le pantalon de pyjama. Je m’étais dit qu’il s’agissait d’une sorte de bizutage. Loin de moi l’envie de râler, j’avais poursuivit ma progression vers mon sac de couchage le cul et le sexe à l’air. Puis une fois arrivé à ma place, j’avais carrément enlevé mon pantalon avant de me mettre dans mon sac de couchage. J’étais donc à poil dans mon sac. Certains scouts avaient applaudis. De loin je voyais Benoît qui riait plein sa panse. Bref je m’en foutais comme de ma première culotte. Le scout qui était à côté de moi, Augustin, me demanda si je dormais souvent nu dans mon sac de couchage et même chez moi. Je lui avais dit que je ne voulais pas lui mentir, mais que je dormais nu depuis quelques années. J’avais précisé que dans mon ancienne troupe ça arrivait souvent. Il m’avait alors dit que parfois chez lui ça lui arrivait mais qu’il avait peur de le faire chez les scouts. Puis il avait décidé de retirer son pantalon de pyjama ainsi que sa blouse, il était intégralement nu dans son sac. Moi de mon côté j’avais aussi ôté ma blouse. Benoît ayant vu le manège de loin avait fait de même, il s’était mis nu dans son sac. Le jour suivant nous avions fait un tour dans les bois et le long de la Warche avec deux agents des Eaux et Forêts du Canton. Ils nous avaient expliqué ce que nous aurions à faire si nous devions refaire les deux ponts au dessus du ruisseau. Puis c’était l’occasion de nous montrer un tas de chose concernant la faune des Fagnes ! Pour ce qui était de la flore, vu la neige omniprésente, qu’ils ne pouvaient seulement nous parler des arbres et des arbrisseaux. Quelle belle leçon de science naturelle ! Nous avions passé une très belle journée, il faisait un peu moins froid, il y avait seulement moins dix degrés. Pour le repas du soir, nous avions pu manger dans la grande salle à manger qui nous servait de dortoir. Les tables avaient été mises en place par le fermier et Olivier, l’intendant. Nous avions mangé du gibier que la fermière avait préparé avec Olivier. C’était pour nous les scouts un festin de roi. A l’issue du repas quatre scouts avaient été désigné pour faire la vaisselle, j’en faisais partie avec Augustin et deux autres scouts. Pendant ce temps là, les autres remettaient les tables et les bancs en place pour pouvoir remettre nos matelas et nos sacs de couchage. La veillée allait elle aussi se faire dans cette grande pièce. Nous avions chanté de bon cœur, profitant de la chaleur du feu de bois. Au moment du coucher, nous avions préparé nos sacs de couchage. Certains scouts s’étaient dévêtus pour ensuite entrer dans leur sac, nus, comme nous l’avions fait la veille avec Augustin et Benoît. Il n’y avait aucune gêne entre nous. De toute façon les scouts, sachant mon orientation sexuelle et le fait que je savais me tenir, ne voyaient aucun inconvénient à être nus près de moi, ou près de Benoît. Les chefs étaient une nouvelle fois auprès des fermiers dans leur cuisine. Ils discutaient et bien entendu ils prenaient un verre. Pendant ce moment là dans notre dortoir improvisé, les discussions allaient bon train. C’est Augustin qui parlait d’une copine qu’il avait connue en vacances et qui racontait ce qu’ils avaient fait dans les dunes. Ils se seraient caressés etc. Augustin avait alors dit qu’il bandait, Rudy, le scout qui était à côté lui avait dit qu’il n’avait qu’à se branler pour faire baisser la tension. Rudy ajouta que lui aussi bandait. Puis voilà que Rudy et Augustin se mirent à se masturber dans leur sac de couchage. Moi de mon côté j’avais le sexe dressé comme un mat de tente et ça se voyait car j’étais couché sur le dos. D’autres scouts avaient remarqué mon état et les mouvements dans les sacs de couchage d’Augustin et de Rudy, ils avaient alors dit qu’ils étaient temps pour eux aussi de s’y mettre. Voilà alors une dizaine de scouts en train de se masturber allégrement dans leur couchage. Les autres scouts ne disaient rien et nous regardaient les yeux grands ouverts. Il n’avait pas fallu longtemps pour que les premiers éjaculent. Nous avions tous fini notre petite affaire. Nous avions presque tous utilisé notre slip de la journée pour essuyer notre sperme. Puis finalement nous nous étions tous endormis. Au matin c’est Jean-Pierre qui nous avait réveillés. Il nous avait dit que nous pouvions passer par groupe de deux dans la salle de bain de la ferme pour nous laver. En regardant Benoît, je lui avais fait un clin d’œil. Benoît et moi nous nous étions levés les premiers, nous étions nus et nous avons pris de quoi nous habiller après notre toilette. Jean-Pierre avait pu voir les slips à côté des sacs de couchage, il avait très bien compris ce que certains avaient fait en début de nuit. Jean-Pierre avait alors dit aux scouts de ne pas oublier de ranger nos slips « poisseux ». Il avait le sourire aux lèvres. Il se doutait bien que des ados ne savaient pas rester des jours sans se soulager. Jean-Pierre, on le savait, avait une belle ouverture d’esprit. Même les autres chefs ne trouvaient rien à redire. Ben et moi étions entrés dans la salle de bain. Nous nous étions embrassés quelques secondes. Puis j’avais dit à Ben qu’il valait mieux ne pas aller plus loin, car j’étais sûr que certains scouts allaient ouvrir la porte pour voir ce que nous faisions. Ben avait pris place dans la douche et moi j’étais à l’évier. Comme de bien entendu la porte avait été ouverte et trois scouts entraient pour voir ce que nous faisions. Ils étaient donc déçus de voir que rien ne se passait. J’avais dit que j’avais presque fini et que le suivant pouvait prendre ma place. Je m’étais habillé et c’est Ben qui avait suivi après s’être sécher. Les scouts qui s’étaient comportés de la sorte en étaient restés tous sur leur faim, ils n’avaient rien à dire et se sentaient quelque peu honteux de leur comportement. Ben et moi nous avions le sourire aux coins des lèvres. C’était la dernière journée. Nous avions déjà refait nos sacs en vue du départ. La matinée a été consacrée à donner un coup de main au fermier pour le remercier. Puis une dernière balade dans les Fagnes avant de remonter dans les voitures. Retour vers la capitale. Une fois de retour au local nos parents étaient présents pour nous reprendre. Benoît était donc rentré chez lui. De retour à la maison, j’avais raconté à la famille ce qui s’était passé durant ces quatre jours dans les Fagnes. J’avais même raconté l’épisode de la salle de bain et la réaction des scouts. Nous étions le 30 décembre et donc à la veille du réveillon. J’étais content car Benoît et sa famille allaient passer le réveillon du nouvel an à la maison. J’avais demandé à mes parents ce que je pouvais faire pour les aider. J’étais parti avec papa faire les derniers achats chez les commerçants. Ensuite nous étions allés chez le caviste pour dégotter quelques bonnes bouteilles de vin. Tout était prévu pour que ce réveillon se passe au mieux. J’avais eu des nouvelles de Marie, elle passait le réveillon avec ses parents chez Isabelle Le 31 au soir, vers dix-neuf heures, Benoît était arrivé avec ses parents et sa sœur Christine. Nous étions dix à la maison, les quatre de la famille de Benoît, cinq dans notre famille et l’oncle Pierre. Ma sœur avait été placée à côté de Christine, comme cela les filles pouvaient parler entre elles. Nous les garçons nous étions tous les trois de l’autre côté de la table avec l’oncle Pierre, les parents eux occupaient les places centrales. L’apéro et le repas s’étaient très bien passés. Nous attendions que les douze coups de minuit retentissent pour nous embrasser et boire une coupe de champagne. Bien entendu j’avais embrassé mon Benoît sur la bouche sous l’air amusé des filles. Le reste de la soirée s’était déroulé sans aucun problème. C’est vers deux heures du matin que Benoît et sa famille avait quitté la maison. Les vacances de Noël allaient toucher à leurs fins. J’avais été logé chez Benoît. Nous ne nous étions plus retrouvés comme ça depuis le départ au mini camp. Nous en avions profité pour nous aimer. Nous nous étions donnés l’un à l’autre heureux de nous aimer. Nous savions que nous devions attendre une semaine avant de nous retrouver la veille de la réunion scoute. Le lundi j’avais retrouvé Marie et Isabelle à l’école. Elles avaient l’air très heureuses mais elles ne montraient pas qu’elles avaient un certain attachement bien sur. Nous nous étions fait la bise. Nous avions raconté la fin de nos vacances. Les cours avaient repris. C’était la routine qui avait pointé le bout de son nez ! Lors de la première réunion du mois de janvier, un débriefing avait été fait du mini camp ainsi que des prolongations éventuelles. Tous les scouts avaient eu la possibilité de dire un petit mot. Étant encore relativement nouveau à la troupe, j’avais seulement dit que je souhaitais que la troupe puisse s’occuper des deux ponts à réalisé dans le Fagnes durant le camp de Pâques. C’est Benoît qui avait ensuite pris la parole. Il se demandait pourquoi quelques scouts, sans citer de nom, avaient trouvé malin de vérifier si moi et lui n’étions pas en train de faire quelque chose de « sexuel » lors de la toilette du matin. C’est alors que Jean-Pierre avait pris la parole. J-P : « J’étais au courant de cet épisode. Ce que je peux dire c’est que les trois scouts qui ont agi de la sorte m’ont fortement déçu. Je vais ajouter part contre que Phil et Benoît se sont comportés de manière exemplaire. Ben : Merci Jean-Pierre. Depuis le temps que vous me connaissez, je ne comprends pas pourquoi vous avez agit de la sorte. Phil et moi nous avons toujours dit que notre relation était réservée à nous et en dehors des scouts. Alex : Oui Ben, tu as raison et je vous confirme que Phil et Ben savent se tenir. J-P : Je pense que les choses sont claires pour tous. Nous avons la chance d’avoir deux scouts qui ont une autre orientation sexuelle et qui s’assument. Ils se respectent et ils vous respectent. Alors faites la même chose envers eux. Denis : Je voudrais présenter mes excuses à Ben et Phil pour avoir agit bêtement comme je l’ai fait. Je présente aussi des excuses au reste de la troupe et je vous promets que cela ne se reproduira plus. Moi : Merci Denis, excuses acceptées. Ben : C’est bon Denis, excuses acceptées aussi. » Gabriel et Christian s’étaient eux aussi levés et s’étaient excusés de leur comportement inadapté. Voilà, les choses avaient été réglées. Nous avions clôturé cette réunion avec le cantique des patrouilles. La semaine passée à l’école m’a parue interminable. Nous avions eu pas mal d’interrogations et de devoirs. Puis je me retrouvais souvent en compagnie de Marie et d’Isabelle. Emmanuel, un garçon de ma classe venait régulièrement près de nous et nous parlait d’un tas de chose. Je ne savais pas trop quoi en penser, car il était très rare qu’il me parle et qu’il reste ainsi à proximité. Personne ne savait que j’étais gay, donc je ne savais pas pour quelle raison il s’intéressait à nous. Lors de la suivante réunion chez les scouts, Bruno avait annoncé que notre camp de Pâques se déroulerait dans les Fagnes et que le projet prévu pour refaire deux ponts avait été accepté par la commune ainsi que par l’ingénieur du service des eaux et forêts. Copie des plans avaient été adressée à Bruno durant la semaine par le service des travaux de la commune de Malmedy. Tout le matériel serait disponible sur place au moment du camp. Nous étions tous ravis de cette très bonne nouvelle. La réunion s’était une nouvelle fois bien déroulée. Je commençais à bien connaître les scouts de la troupe. Denis et Christian s’étaient un peu plus rapprochés de moi, de Raphaël et d’Alex. Nous parlions de tout, je savais qu’ils s’en voulaient de nous avoir surpris volontairement Benoît et moi, en ouvrant la salle de bain lors du mini camp. Je leur avais pardonné et de leur côté ils avaient pu se rendre compte que j’étais un ado comme les autres ados et que mon orientation sexuelle n’avait pas d’incidence lors de ma présence à la troupe. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 18-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Pas agréable de dormir sur la paille en plein hiver, le fermier les accueille à l’intérieur et cela leur permet de ne pas se geler les couilles puisqu’elles sont souvent à l’air dans tes récits. D’abord un bizutage qui n’a pas marché, cela ne dérange pas Phil de se promener nu. Le lendemain ils sont plus entreprenants, n’hésitant pas à laisser traîner leurs slips aux taches douteuses. Trois scouts trop curieux ont envie de voir comment deux hommes font l’amour, c’est encore raté, Ben et Phil sont prudents. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-03-2021 (18-03-2021, 12:49 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement ce n'est pas agréable de dormir dans la paille en hiver. Le fenil étant en partie ouvert, il y règne la même température qu'à l'extérieur. (cas bien entendu vécu) Bien entendu le fermier, mais je pense plus son épouse, pense qu'il est préférable que les scouts logent dans la ferme, soit dans la grande salle à manger que ne sert qu'aux grandes occasions! Le bizutage de Phil par les autres scouts n'a pas fonctionné. Phil se contrefout d'être nu devant les autres. Certains scouts adoptent eux aussi la tenue de peau pour dormir. Puis ils sont chauds et bien entendus ils bandent. Ça laisse des traces sur le slips. Trois scouts tentent de voir ce que c'est que l'amour entre deux garçons. C'est raté, Phil et Ben sont très sages et savent se tenir, ils savent qu'ils doivent rester très prudent. Ils n'avaient pas tort. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser à chaque fois un commentaire! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 18-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] C'est le départ pour le mini camp scout dans les Fagnes. Il fait froid et il n'est pas aisé de dormir par des températures sous zéro. Le fermier ayant peur pour la santé des scouts ouvre une grand pièce de son logement pour qu'ils puissent dormir dans de meilleures conditions. Phil subi un bizutage qui ne l'atteint pas plus que ça. Trois scouts remettent ça au moment de la toilette. Ils pensaient trouver Phil et Ben occupés à faire "l'amour". Bien entendu il n'en était rien. Merci Philou pour cette suite. Je t'embrasse Philou Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 18-03-2021 (18-03-2021, 06:19 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Mini camp scout au cours duquel Phil, Ben et les autres sont confrontés au froid, à des températures sous zéro degrés. Les conditions s'arrange grâce au fermier qui accueille les jeunes dans un grande pièce de sa ferme. Phil est bizuté, mais cela ne le dérange pas, être cul nu est une habitude chez lui mais pas à la troupe. Oui, il y a toujours l'un ou l'autre gars qui veut savoir ce que c'est que l'amour entre garçons, ils sont déçus, ils n'ont rien vu! Il faut espérer que les scouts qui agissent de la sorte comprennent qu'il y a des limites. Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - bech - 19-03-2021 09 mars 2021 Suite de l'examen anatomique. Marie demande à toucher le pénis de Phil et constate qu'il gonfle. Elle lui demande s'il se branle et lui montre comment elle fait en proposant à Phil de se branler devant elle. Elle veut voir du sperme. Philippe est un peu gêné de voir pour la première fois une fille se masturber et de faire pareil à coté d'elle, mais Marie le rassure. Marie Jouit le première et Phil voit du liquide sortir de son sexe avant d'éjaculer à son tour. Ils se promettent de garder cette expérience secrète. Le soir au moment de fermer les volets, Maris crie qu'il y a quelqu'un dans le jardin. Philippe court après lui. Il l'immobilise au sol. Comme on s'en doutait, c'est Roland. Il dit qu'il épiait Marie dans le but qu'elle convainque Phil de le recontacter vu qu'il n'osait plus l'aborder directement. Philippe reproche à Roland d'avoir failli le faire mourir et Marie dit qu'après ce qu'il lui a fait, elle n'aurait pas voulu demander à Phil de le recontacter. Phil lui demande de partir et de se faire oublier. Roland s'en va. De retour chez lui, Philippe raconte à sa mère ce qui s'est passé. Elle est outrée de l'attitude de Roland et en parle au père pendant le repas du soir. Plus tard, un coup de téléphone des parents de Marie annonce que Philippe est invité chez eux pour le réveillon de noël en remerciement. Philippe considère qu'il n'a rien fait d'extraordinaire, juste aider son amie Marie qui l’a soutenu depuis le décès d’Henri. 11 mars 2021 En plus, Benoît est aussi invité chez Marie. Encore 10 minutes après, c'est Jean Pierre des scouts qui téléphone. Il invite Philippe à un camp entre noël et le nouvel an, en disant que Benoît y sera aussi. Pour terminer, la mère de Phil invite Benoît et ses parents pour le nouvel an. Philippe compte faire des cadeaux lors de réveillon chez Marie. Benoît a aussi emmené des pralines mais trouve son cadeau ridicule par rapport au gros bouquet de fleurs de la mère de Phil. Il y aura aussi 6 bouteilles de vin de Bordeaux pour le papa. 13 mars 2021 Très bon accueil des parents de Marie qui apprécient Phil. Benoît est aussi le bienvenu. Phil a d'autres cadeaux à mettre devant le sapin de noël. Ayant été averti d'un invité surprise, il y a pensé aussi. C'est l'arrivée d’Isabelle qui fait partie de le classe de Phil et Marie. Alors que Phil est un peu inquiet de retrouver une autre fille de sa classe, la mère de Marie dit qu'il suffit qu'ils se parlent entre eux pour qu'il n'y ait plus de problèmes. Et Marie finit par dire qu'Isabelle est sa petite amie. Ils finissent par trinquer à l'amitié et à l'amour. Au moment de l'apéritif, il y a le distribution des cadeaux. Phil en a emmené un pour "l'invité surprise" et un autre pour Benoît qui en a fait un à Phil. Ils s'embrassent sur la bouche sans que personne ne trouve à redire. 16 mars 2021 Lorsqu'ils se mettent au lit, Phil s'aperçoit qu'il y a un paquet de préservatifs entre les deux oreillers. Après avoir parlé de Marie que Ben considère comme comme une très bonne amie de Phil, les deux garçon se disent tout leur amour. Ensuite, ils passent aux travaux pratiques avec les préservatifs. C'est Ben qui commence une pénétration anale de Phil puis le prépare pour que Phil fasse pareil avec lui. Au matin Philippe s'excuse d'avoir fait du bruit, mais à priori, les chambres sont bien insonorisées et il remercie Marie pour l'initiative et ses parents pour l'accueil. Ils vont faire une photo de groupe en forêt avant que chacun soit ramené chez lui. Philippe revient très content de ce réveillon chez Marie. Après le repas de noël, ils regardent des photos et films de vacances. Bonne remarque de Lange128 sur laquelle je reviendrai. A un moment donné, ils voient Phil et Henri en train de jouer ensemble. Ça rappelle des souvenirs à Phil qui sort pour pleurer. La grand-mère est surprise et en apprenant la mort de l'autre jeune pense que c'était son petit ami et réconforte Philippe. Et puis, il y a un coup de sonnette et le père annonce que c'est la surprise pour Phil. Benoît arrive suivi de Marie et Isabelle. Le père émet le voeu qu'ils restent tous les quatre unis pour la vie. La grand-mère appelle Phil et Benoît pour les embrasser, le grand-père le fait aussi. Philippe ne les pensait pas aussi ouverts. 18 mars 2021 Ils profitent tous d'un gros gâteau au chocolat. Benoît reste pour passer la nuit avec Phil. Ils partent au camp scout, un jour après, les organisateurs mettent un de chaque troupe par voiture. Le trajet est vers l'Allemagne en direction et au delà de Liège. Pour la première nuit, ce sera dans une grange de ferme par -11 °C. Puis, ils vont faire un tour dans les Fagnes par des routes enneigées et reviennent à la ferme pour la nuit suivante où ils vont dormir dans une grande salle à manger avec un feu. En revenant d'aller faire ses besoins, Philippe se fait baisser le pantalon du pyjama qu'il remonte, mais près de l'endroit où il va dormir, un autre le lui baisse. Il choisit alors de le quitter pour dormir nu dans le duvet. Certains scouts l'applaudissent. Un voisin de matelas, lui demande s'il dort souvent nu et choisit de faire comme lui, tout comme Benoît. Nouvelle ballade le lendemain où ils apprennent qu'au camp suivant, ils auraient à refaire 2 ponts. Ils peuvent observer les animaux. Repas à base de gibier le soir. Après la veillée suivante, davantage de scouts se mettent nus dans le duvet. Deux d'entre eux se mettent à se branler, du coup, une bonne moitié les imite. Le lendemain, ils peuvent se doucher. Ben et Phil y vont en premier mais évitent d'aller au delà d'un bisou sachant que d'autres risquent d'ouvrir la porte, ce qui arriva. Dernier jour, préparation des affaires, dernière balade et retour à Bruxelles. Les 2 familles passent ensemble la soirée et le réveillon du 31 décembre. Une semaine après, lors du débriefing du camp, Benoît évoque l'incident de la toilette du matin. Jean Pierre dit qu'il était au courant, que les trois scouts qui ont agi de la sorte l’ont fortement déçu alors que Phil et Benoît ont eu un comportement exemplaire. Mais Ben demande pourquoi ils ont agi comme ça. Alex approuve l'avis de Jean Pierre qui va jusqu'à présenter le fait que Ben et Phil aient une orientation sexuelle différente comme une chance. Il dit qu'ils se respectent et qu'il nous respecte et demande qu'on fasses la même chose qu'eux. Du coup, un premier scout présente ses excuses puis les deux autres. Dans la semaine qui suit, à l'école, un garçon de la classe prénommé Emmanuel vient régulièrement passer du temps avec Phil, Marie et Isabelle. Phil ne sait pas pourquoi, mais je pense que c'est un gay ou bi qui cherche du soutien. A la réunion suivante, ils apprennent que le projet des chefs de construire 2 passerelles sur la rivière qu'ils ont longé lors du camp scout est accepté. Les scouts en sont ravis. Voila, c'est un peu comme dans l'odyssée de Julmer, chaque chapitre de cette histoire raconte plein de choses. |