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JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable

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Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 22-09-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Toujours aussi agréable à suivre ton récit. Je redécouvre certaines facettes, c'est super.
Merci à toi.
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 23-09-2020

(22-09-2020, 05:36 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Toujours aussi agréable à suivre ton récit. Je redécouvre certaines facettes, c'est super.
Merci à toi.
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

C'est super de ta part de relire le récit.

Merci Philippe, bonne journée à toi!

Je t'embrasse!
Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 23-09-2020

Une fois rentré à l’appartement, nous étions allés prendre une bonne douche. Les deux filles étaient passées par la salle de bain en premier. Julien et moi nous avions regardé la fin d’un film à la télévision avant d’aller nous doucher. Nous étions ensemble dans la douche qui était un peu petite, mais bon, cela nous permettait de nous frôler, de nous toucher. J’avais lavé le dos ainsi que les fesses de mon Julien. Quand il s’était retourné, je voyais bien que son sexe avait pris de l’ampleur, le mien lui aussi par ailleurs. Puis c’était Julien qui avait lavé mon dos et les fesses. Nous rigolions à la suite des chatouilles que nous nous faisions. Une fois séchés, nous nous étions rendus dans notre chambre pour dormir. Enfin dormir c’était peut-être prématuré !

Une fois au lit j’avais dit à Julien :

Moi :  "Que penses-tu des parents de Lucas ?

Jul :  Écoute, ils sont sympas, mais je ne sais pas s’ils sont homophobes ou pas. Dans le doute, il faut s’abstenir de toute démonstration devant eux !

Moi :  Je pense que tu as raison. Ils sont très sympas, le père offre à boire et il a payé les entrées du spectacle de ce soir. Pour le reste je me méfie. Et que penses-tu de Maxime ?

Jul :  Honnêtement je ne sais pas. Il était plus détendu ce soir, mais je n’ai aucune idée s’il est homophobe ou pas. Lucas dit que Maxime ne dirait rien, mais j’attends de voir.

Moi :  Je penses que tu as raison. Lucas semble dire que Maxime sait ne rien dire et qu’il sait garder un secret. Comme toi, je ne sais pas me prononcer. Il faut qu’on fasse aussi attention devant Maxime.

Jul :  Un gars que j’apprécie, c’est Mathieu, il est discret et il sait se tenir. Il a fallu du temps ce midi avant qu’ils n’osent s’embrasser nos deux compères !

Moi :  Oui, tu penses bien que Mathieu voulait être certain de ne pas avoir à faire à des homophobes. Il a vite compris d’ailleurs. Je crois que Lucas aime Mathieu et que c’est réciproque. Je trouve qu’ils vont bien ensemble.

Jul :  Oui, ils sont chou tous les deux. »

Je m’étais alors approché de mon amour, de mon Juju.

Je lui avais fait quelques bisous sur les lèvres puis sur le cou pour ensuite m’attarder au niveau de ses tétons. Julien lui de son côté n’était pas resté en rade, il avait entamé des caresses au niveau de ma chevelure et il s’attardait au niveau de mes épaules et de mon cou. Je m’étais enhardi et j’avais poursuivi la descente de son corps pour arriver au niveau de son nombril. Je pouvais déjà sentir que le sexe de mon amoureux avait déjà pris du volume. Je poursuivais mes caresses buccales pour enfin atteindre l’objet de mes convoitises, soit la hampe dressée de mon Julien d’amour. Son gland sécrétait déjà du précum. J’avais alors léchouillé son gland avec ma langue. Julien laissait déjà échapper des râles de plaisir contenus. J’avais alors accentué mes caresses buccales et j’avais englouti dans ma bouche son sexe dressé. Ma langue parcourait donc cette hampe gorgée de sang. Julien gémissait de plus belle. Puis je sentais que mon amour allait arriver assez vite au point de non-retour. J’avais alors adouci cette belle fellation. Mais mouvements se faisaient plus lascifs. Je continuais à pomper mon Juju, je sentais qu’il appréciait le traitement que je lui imposais. Puis j’avais ensuite poursuivi par une masturbation de son dard dressé jusqu’à ce qu’il éjacule sur son ventre.

Une fois couché à ses côtés, Julien m’avait fait rouler sur lui. Il avait entrepris une masturbation de mon appendice pénien avec ses mains et sa bouche. La langue remontait ainsi mon sexe bandé pour léchouiller le gland et le frein. Ses doigts allaient le long de ma protubérance avec douceur et application. Je lâchais des râles de bonheur, des râles de plaisir. Julien me faisait monter en puissance, il me procurait de sublimes sensations. Je sentais que ma sève allait bientôt monter, c’était après dix minutes de ce délicieux traitement. Voyant que j’arrivais à l’extase, mon amour de Juju m’avait laissé jouir sur son torse et sur son menton. J’avais laissé échapper six jets de sperme sur mon amant. Puis sans vergogne Julien avait pris de ma semence sur son index pour le porter à sa bouche et ainsi gouter à mon élixir d’amour.

Nous nous étions ensuite embrassés avec tendresse. J’aimais cette façon qu’avait Julien de me faire sentir qu’il m’aimait. Moi aussi j’étais follement amoureux de mon Julien. Nous nous entendions très bien tous les deux.

Nous nous étions alors endormis dans les bras l’un de l’autre pour une nuit réparatrice. Nous allions encore pouvoir connaitre une nouvelle journée à la mer, ensemble avec nos sœurs et nos deux amis. Puis il y aurait Maxime, dont nous ignorions presque tout. Pour ma part je sentais que le frère de Lucas ne serait peut-être pas un obstacle lors de cette journée. Il est vrai que nous souhaitions tous pouvoir être en couple et savourer le plus possible le fait d’être ensemble, à deux pour se câliner.

Au matin nous étions allés prendre une bonne douche avant d’aller prendre notre petit-déjeuner en tenue d’Adam. Les filles elles aussi étaient nues. C’était devenu une habitude entre nous de nous balader à poil dans la maison ou dans l’appartement. Ce n’est qu’une fois sur le point de sortir que nous nous étions habillés. Nous avions rendez-vous avec les trois autres au pied de l’horloge de la digue de mer vers dix heures.

Nous avions pris nos vélos et c’est avec une petite appréhension que nous avions rejoints les trois garçons. Maxime était heureux de pouvoir faire quelque chose avec nous. Nous avions décidé de faire un tour à vélo à l’intérieur des terres car le vent était un peu fort sur la digue de mer.

Nous allions souvent deux par deux et c’est Maxime qui lui allait de groupe en groupe. Puis j’avais remarqué qu’il venait souvent à nos côtés, à Julien et moi. Il appréciait semble-t-il notre compagnie. Nous nous étions arrêtés un moment près du moulin à vent. Maxime me posait quelques questions du genre :

Max : « Dis Phil, cela ne fait pas longtemps que tu es ami avec mon frère, pourtant vous êtes dans la même classe.

Moi :  Tu sais Max, ce n’est pas évident d’être ami avec tous les élèves de la classe. Il faut dire que nous n’avons jamais fait plus connaissance que ça.

Max :  Et ton ami Julien, tu le connais depuis longtemps ?

Moi :  Je connais Julien depuis l’été dernier, c’est grâce à ma sœur et sa sœur que nous avons fait connaissance.

Max :  Vous avez l’air de bien vous entendre.

Moi :  Oui, mais que veux-tu dire par là !

Max :  Tu sais, Phil, ne sois pas fâché, mais je crois que c’est plus que de l’amitié. Ce que je veux dire c’est que c’est comme mon frère et Mathieu !

Moi, un peu rouge :  Oui, mais bon, je ne… tu veux dire que tu crois que nous sommes, enfin…ensemble !

Max :  Oui Phil, vous êtes amoureux, ça se voit !

J’étais éberlué par les propos de Maxime. Julien qui parlait avec les filles et les deux garçons n’avait rien entendu. Il vit pourtant que j’étais embarrassé. J’étais rouge comme une pivoine. Maxime avait tout deviné. Je ne savais plus que dire.

Moi :  Bon, tu sais Maxime, ce n’est pas facile. Enfin tu vois, comment dire, je suis, enfin tu sais, j’aime les garçons !

Max :  Je m’en doutais !

Moi :  Et toi Maxime, tu aimes les filles ou les garçons ?

Max :  Je ne sais pas, je suis mal dans ma peau car je n’en sais rien. Je suis attiré par les deux et de plus je suis toujours puceau. Je veux dire puceau pour les deux !

Moi :  Ah, mais tu as encore le temps de savoir ce que tu es, ce que tu aimes. Tu ne dois pas aller trop vite.

Julien s’était approché de nous et il avait plus ou moins compris à la suite de ma dernière phrase prononcée à l’égard de Maxime. C’est Julien qui prenait alors le relais :

Jul :  Dis Maxime, je crois savoir ce que vous vous êtes dit. J’espère que cela ne te dérange pas que nous soyons ensemble Phil et moi !

Max :  Mais non Julien, je trouve même ça très bien. C’est un peu comme si je pouvais voir ce que cela donnerait dans quelques mois pour mon frère et son ami Mathieu.

Jul :  Et bien ça alors, je suis étonné de ce que tu dis. Si j’ai bien compris tu ne sais pas où tu en es.

Max :  Oui, c’est bien ça.

Moi :  Ton frère sait quoi pour tes doutes !

Max :  Non, je n’ose pas lui en parler.

Moi :  Tu veux qu’on lui dise !

Max :  Non, pas maintenant Phil, je veux encore attendre !

Moi :  C’est comme tu veux. Tu sais que je serai toujours là pour toi s’il le faut !

Max :  Merci Phil.

Jul :  Et tu pourras aussi compter sur moi Maxime !»

Max :  Merci à toi aussi. »

Nous reprenions nos vélos afin de poursuivre notre balade. Nous allions au grès de notre humeur dans différents quartiers bâtis de belles villas. Il faisait assez bon, le vent n’était pas trop fort. Nous venions de passer près du golf miniature et nous entendions le paon faire son cri. Nous nous étions arrêtés pour pouvoir l’admirer. Puis d’un coup il s’était mis à faire la roue et tournait sur lui-même. Il nous faisait sa danse nuptiale !
Nous avions poursuivi la balade pour aller manger un bout. Nous avions décidé d’aller manger un paquet de frites avec une viande à la friterie se situant le long de la route Royale. Nous avions pris une grande table, nous étions quand même sept. Le repas s’était déroulé à la bonne franquette. Nous étions tous ravis d’être ensemble à partager un simple repas.

Une fois le repas de midi avalé, nous avions poursuivi notre randonnée jusqu’à Furnes. Nous voulions aller voir les maisons typiques flamandes ! Nous étions tous emballés de faire cette visite de Furnes.

Vers seize heures nous avions remarqué que le temps changeait. Il était temps de revenir. Nous avions repris le chemin de Koksijde. Un peu avant d’arrivé à la route Royale, la pluie s’était mise à tomber. A peine le temps de traverser cette route que la pluie avait redoublé d’intensité. Nous n’étions plus qu’à un petit kilomètre de l’appartement, mais complètement trempés ! Nous nous étions dépêchés pour arriver le plus vite possible. Lucas savait que notre appartement était beaucoup plus proche que celui loué par ses parents, les autres s’en doutaient eux aussi.

Une fois arrivé, nous étions montés à l’étage de notre logement. Nous étions tous dégoulinant ! Une fois rentré, j’avais dit qu’il valait mieux se changer pour ne pas attraper la crève. Les filles étaient allées dans leur chambre. Nous les garçons nous avions commencé à nous déshabiller. Nous étions en slip. Puis regardant Julien, nous nous sommes mis nus. J’avais alors dit :

Moi : « Bon les gars, on ne va se faire de politesses, allez tous à poil et ceux qui veulent prendre une douche, je vous apporte des draps de bain et de quoi vous rhabiller. Ça te va Julien, nous avons de quoi leur prêter des fringues.

Jul :  Pour moi pas de problème.

Luc : OK, c’est bon. Je crois que je vais aller prendre une douche. Tu viens avec moi Mathieu ?

Mat :  Oui, c’est OK pour moi aussi.

Lucas et Mathieu s’étaient eux aussi mis à poil et ils s’étaient rendus à la salle de bain. Maxime était là, toujours vêtu de son slip. Je lui avais demandé :

Moi :  Il te faut quelque chose Maxime ?

Max :  Heu, non, ça va.

Moi :  C’est comme tu veux.

Je voyais qu’une bosse s’était formée sur le devant du slip de Maxime. Il commençait à bander. J’avais laissé Maxime dans le salon pendant que je cherchais des affaires de rechange pour Lucas et Mathieu. J’avais alors apporté deux draps de bain à la salle de bain. La porte n’était pas complètement fermée et en entrant j’avais vu que les deux lascars se masturbaient mutuellement. J’ai fait « oups ». J’avais laissé nos deux compères à leurs petites affaires. J’étais alors revenu près de Julien et de Maxime.
Maxime ne pouvait plus cacher son état, il bandait fortement. Je m’étais alors adressé à Maxime :

Moi :  Dis Maxime, c’est moi ou Julien, ou même nous deux qui te font tant d’effet ?

Max :  Heu…

Moi :  Ne t’inquiète pas si tu savais ce que j’ai vu dans la salle de bain, ils étaient eux aussi très excités.

Jul :  Tu sais Maxime, j’ai compris que tu te cherchais, c’est normal à ton âge. Tu as seize ans et tu ne sais pas si tu es homo ou hétéro.

Max :  Oui, je ne sais pas, mais quand je vous vois comme ça, à poil, vous me faites de l’effet.

Moi :  Mais, tu n’as jamais rien eu comme aventure avec un gars ou une fille.

Max :  Non, juste une fois une branlette avec un copain, mais chacun sa teub.

Jul : Ah bon.

Julien me regardait et me fit un clin d’œil. Je savais ce qu’il avait derrière la tête. Je me doutais qu’il allait proposer à Maxime de venir toucher un pénis. Je le laissais alors faire.

Jul :  Tu veux toucher un pénis ? Si tu veux, tu peux venir près de moi !

Max :  Je ne sais pas si j’oserai 

Moi :  Tu sais Maxime, Julien te le propose, mais si tu préfères, je suis là aussi si tu veux !

Max :  OK, j’ai tellement mal tellement je bande. Et puis ce sera une première pour moi ! "

Max avait alors ôté son slip. Il avait un sexe d’environ 14 centimètres, deux belles couilles à peine poilues et un beau duvet roux qui couronnait son service trois pièces ! Nous nous étions assis dans le divan, Maxime entre nous. Nous bandions aussi en pensant à cette séance de branlette qui allait semble-t-il démarrer. Maxime avait d’abord pris mon sexe dans sa main et il commençait un va et vient. Il savait s’y prendre pour un gars qui n’avait jamais eu que sa queue entre les mains. Julien nous regardait et puis il prit l’autre main de Maxime et la posa sur son sexe dressé. Maxime avait alors un pénis dans chaque main. Voyant qu’il s’occupait de nous et que lui restait la queue dressée sans que personne ne s’en occupe, j’avais pris ce sexe qui ne demandait qu’une chose, c'est-à-dire qu’on s’occupe de lui. Je masturbais notre Maxime qui n’attendait que ça visiblement. Parfois je laissais la place à Julien pour qu’il puisse lui aussi donner du plaisir à Maxime. Il savait s’y prendre le cochon. De notre côté nous nous occupions bien de lui. Maxime commençait à râler de bonheur. Puis c’est au moment où Maxime éjaculait que Lucas et Mathieu entraient dans la pièce. Cela ne changeait rien, Maxime était aux anges. Nous avions fini par éjaculer sous les caresses de Maxime dans les trente secondes qui suivaient.



Luc : « Alors là mes salauds. Vous faites ça à trois !

Moi :  Tu sais Lucas, ça s’est fait comme ça.

Max :  Écoute Lucas, je ne sais pas si j’aime les garçons ou pas, mais je peux te dire que j’avais envie de savoir ce que c’est que de se branler mutuellement et puis je peux te dire que je préfère avoir une autre main que la mienne pour me donner du plaisir.

Luc :  Tu sais mon frérot, je ne te fais aucun reproche. Mathieu et moi nous nous sommes aussi branlés ensemble sous la douche. Puis si c’est toi qui voulait connaître ce genre de chose, et bien je te dis que tu as eu parfaitement raison.

Del : Eh bien les gars, on ne s’embête pas dans cet appartement !

Sté :  Oh là, oui je vois que ça a été le feu d’artifice.

Effectivement nous avions du sperme sur nos ventres. Lucas était venu près de son frère Maxime et lui avait donné bisous sur le front, en disant :

Luc :  Si tu savais comme je suis content pour toi. C’est à toi de savoir si tu préfères les garçons ou les filles.

Max :  Tu sais Lucas, j’avais peur de t’en parler. Je me suis confié à Phil ce matin et il est au courant de tout me concernant. Mes doutes et sous-entendu mes désirs !

Luc :  Je m’en doutais Max, et puis je sais que Phil est super comme copain de classe, je dirai même plus, comme ami.

Max :  Puis tu sais Lucas, tu es homo et tu aimes Mathieu, alors je te dis que je suis content pour toi, ça ne change rien pour moi que tu sois homo.

Luc :  Merci Max, merci de ta franchise. Tu sais pour moi c’est la même chose, que tu sois hétéro ou homo, je t’aime mon p’tit frère.

Moi :  Après ces belles paroles, si nous allions nous rafraîchir les gars. Hop à la salle de bain. »

Une fois la douche terminée, nous nous étions rhabillés. Nos trois amis portaient une partie de nos vêtements en prêt. C’était même assez cocasse. Nous avions ensuite manger un bout en regardant la télévision. A l’issue du film de l’après-midi, nous avions remarqué qu’il pleuvait encore, mais nettement moins fort qu’en début d’après-midi.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 23-09-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

J’ai bien aimé cet épisode où tout le monde s’est donné du plaisir sans complexe, même Maxime qui est encore hésitant quant à son orientation sexuelle. Il a déjà pu se faire une opinion sur deux pénis différents et il devait avoir beaucoup d’expérience avec le sien. Belle ouverture d’esprit de la part de Phil et Julien qui n’hésitent pas à initier les puceaux qu’ils croisent, mais je sais qu’ils se limitent à des branlettes réciproques.

Maxime pourrait aussi faire un essai avec les filles pour comparer, cela m’étonnerait qu’elles acceptent.

Je t’embrasse.
Daniel


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 23-09-2020

(23-09-2020, 09:27 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

J’ai bien aimé cet épisode où tout le monde s’est donné du plaisir sans complexe, même Maxime qui est encore hésitant quant à son orientation sexuelle. Il a déjà pu se faire une opinion sur deux pénis différents et il devait avoir beaucoup d’expérience avec le sien. Belle ouverture d’esprit de la part de Phil et Julien qui n’hésitent pas à initier les puceaux qu’ils croisent, mais je sais qu’ils se limitent à des branlettes réciproques.

Maxime pourrait aussi faire un essai avec les filles pour comparer, cela m’étonnerait qu’elles acceptent.

Je t’embrasse.
Daniel

Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui, une suite où Maxime fait des découvertes. C'est en accord que Phil et Julien initient Maxime aux joies de la masturbation partagée. C'est une manière pour Maxime de découvrir et d’apprécier cette première branlette partagée. Il est gâté car les deux amoureux lui permettent d'avoir plus d'expérience avec d'autre pénis que le sien.
Les découvertes telles que celles que vivent Max avec Phil et Julien font bien entendu partie de l'éducation sexuelle des ados qui se cherchent. Bien entendu Phil et Julien se limitent à initier les puceaux aux branlettes réciproques, pour le reste, c'est aux puceaux de faire leurs découvertes par la suite.

Maxime fera-t-il l'essai avec une fille? Nous verrons!

Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com !

Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - AL gayman - 24-09-2020

Tien tien Phil et Julien s'adonnent à une petite partie de plaisir à trois………………………. Bon ça va c'est pas allé trop loin mais il ne faudrait pas qu'ils en prennent l'habitude car Phil n'est l'homme que d'une seul homme au départ.

Pour Maxime ça sera un bon souvenir et qui sait si il rencontre une fille il pourra mieux s'orienter sexuellement parlant.

Toujours bien sympa ces vacances (des comme ça je signe de suite lol)

Gros Bisous

ALain


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 24-09-2020

(24-09-2020, 11:00 AM)AL gayman link a écrit :Tien tien Phil et Julien s'adonnent à une petite partie de plaisir à trois………………………. Bon ça va c'est pas allé trop loin mais il ne faudrait pas qu'ils en prennent l'habitude car Phil n'est l'homme que d'une seul homme au départ.

Pour Maxime ça sera un bon souvenir et qui sait si il rencontre une fille il pourra mieux s'orienter sexuellement parlant.

Toujours bien sympa ces vacances (des comme ça je signe de suite lol)

Gros Bisous

ALain

Bonjour [member=48]AL gayman[/member] !
Merci pour ton com !

Oui Phil et Julien s'adonnent à un petit plaisir à trois. Bien entendu ça ne va pas trop loin, c'est juste une branlette partagée.
Je ne pense pas que Phil et Julien puissent en prendre l'habitude.
Cela fait aussi partie des rencontres entre jeunes ados!

Maxime gardera un bon souvenir de cet épisode. Il est clair qu'il va probablement aussi s'orienter vers les filles, c'est à lui à faire la part des choses et ainsi trouver sa voie.

Merci Alain de savoir que l'épisode des vacances à la côte belge te plaise. Merci de suivre le récit et de laiser un com !

Je t'embrasse!

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-09-2020

C’est au moment où nous regardions Lucas et moi par la fenêtre que nous vîmes les parents de des deux frères. En effet ils savaient dans quel appartement nous résidions. J’étais allé les accueillir en compagnie de Lucas. Je les avais bien entendu invités à monter. Une fois dans l’appartement la maman avait bien vite remarqué que ses fils ainsi que Mathieu ne portaient pas les mêmes vêtements. Lucas expliqua alors qu’il y avait une très forte averse et que nous étions tous trempés jusqu’aux os et que Phil avait proposé de se changer, de prendre une bonne douche et de leur passer des habits, les siens et ceux de Julien.

Maman Luc : « Je te remercie Phil d’avoir pris cette très bonne initiative. Je savais que je pouvais compter sur toi ainsi que sur Julien et les filles !

Moi :  Oh merci, mais ce n’est pas grand-chose, il était préférable qu’ils puissent se changer que de rester mouiller toute la fin de la journée !

Luc :  Tu sais maman, Phil est un super ami, c’était au départ un bon copain de classe ; maintenant c’est un véritable ami de même que Julien.

Papa Luc :  Tu as bien raison Lucas. Je tiens à te remercier Phil ainsi que vous tous pour votre attitude.

Maman Luc :  Tu as bien fait de le souligner. Mais il me reste une chose à demander. Vous avez passés presque deux jours ensemble, sauf Maxime ; vous avez l’air de très bien vous entendre, et j’en suis ravie, mais je peux te demander Phil, sans vouloir t’offusquer, il y a autre chose qui semble vous unir, une maman voit beaucoup de chose et elle comprend aussi très vite, il me semble que tu es gay !

Moi : (J’étais devenu rouge pivoine. Lucas et Mathieu aussi d’ailleurs) « Heu, je ne sais que vous dires…vous pensez que…

Maman Luc :  Oui Phil, je sens très bien que toi et Julien vous êtes plus que des amis, ce genre de chose se sent tu sais !

Moi :  Je dois vous dire que oui, je suis homo et Julien aussi !

Maman Luc :  Cela ne me dérange aucunement, vous allez très bien ensemble et je vous souhaite beaucoup de bonheur. Mais il y a aussi autre chose, plus tôt deux autres personnes.

Luc :  Maman, tu as aussi deviné !

Maman Luc :  Oui Lucas, j’avais des doutes, mais maintenant je suis certaine. Il suffit de vous regarder Mathieu et toi. Vous respirez et vous dégagez quelque chose de beau, quelque chose comme un amour naissant.

Luc :  Oh maman, papa, je suis désolé !

Papa Luc :  Ne sois pas désolé mon fils, nous en avons discuté avec ta maman, et nous t’aimons tel que tu es ! Puis Mathieu est si gentil avec toi.

Maman Luc :  Oui mon grand nous t’aimons tel que tu es et nous aimons déjà Mathieu car je sais et je sens que tu l’aimes et qu’il t’aime.

Luc :  Oh merci, merci à vous, je vous aime. Vous ne savez pas comme je me sens tellement plus léger, un énorme poids vient de s’envoler.

Lucas était aller dans les bras de ses parents. Il avait des larmes qui lui coulaient sur les joues, des larmes de bonheur. Je pouvais voir que Mathieu lui aussi pleurait. Puis c’est la maman de Lucas qui avait été l’enlacer. Nous étions tous très émus de voir tant d’amour envers Lucas et Mathieu de la part des parents. Maxime ne disait rien et lui aussi était plus qu’ému, il avait les yeux humides, il ne fallait pas attendre que déjà les larmes coulaient sur ses joues empourprées !

Papa Luc :  Bon, voilà les jeunes. Je pense qu’il est temps de fêter ça. Alors je vous invite au restaurant ce soir. Nous aurons encore l’occasion de mieux vous connaître.

Luc :  Merci papa, merci maman, c’est génial !  (Lucas s’était une nouvelle fois effondré en larmes, en larmes de bonheur !!!)

Quelle journée pleine de fortes émotions. Nous nous étions apprêtés. La pluie avait cessé de tomber. Nous avions décidé de nous rendre au restaurant à pied. Les parents de Lucas nous avaient indiqué dans lequel ils nous invitaient. Nous avions parcouru ce trajet entre l’appartement et le restaurant le cœur léger. En chemin j’avais dit à Lucas :

Moi :  Et bien mon ami, je n’ai jamais vécu une telle soirée, ta maman est très finaude en tout cas. Puis comment a-t-elle su que j’étais gay. Puis toi, elle avait compris depuis quelque temps déjà !

Luc :  Je sais Phil, elle est très observatrice. Mais je suis super content que mes parents m’acceptent tel que je suis et qu’il semble apprécier Mathieu. Tu ne peux pas savoir comme ça me fait chaud au cœur.

Moi :  Mais oui je sais ce que ça fait, tu sais que je suis gay aussi !

Luc :  C’est juste, et puis encore merci d’être mon ami et d’être là pour moi.

Moi :  Mais c’est un plaisir d’être ton ami !

Luc :  Heureusement qu’ils n’ont rien dit pour Maxime. Lui qui se cherche. Il faut l’aider et le conseiller, il doit être soutenu et aussi libre de faire les expériences qu’il souhaite.

Moi :  Tu as raison, je serai là, ainsi que Julien s’il le faut.

Luc :  Tu sais Phil, ton ami Julien est extra. Vous allez très bien ensemble. J’ai confiance en toi et bien sûr en Julien.

Moi :  Merci Lucas. Bon pensons à autre chose. Pensons que la vie est belle et qu’elle nous apportera du bonheur. Mais restons discrets, surtout vous deux, nous, nous avons déjà eu l’occasion de savoir ce que cela peut apporter de ne pas faire attention. Il y a des homophobes un peu partout et certains peuvent être dangereux, crois-moi

Luc :  Merci, mais je m’en doutais. Bon nous allons arriver. »

Effectivement nous arrivions au restaurant où nous attendaient les parents des deux frères. Ils nous attendaient devant le resto, c’était un resto gastro, je n’en revenais pas. Il fallait que les parents de Lucas soient tellement aimants et heureux pour Lucas, pour nous inviter tous, avec eux, dans ce magnifique restaurant. J’ai vu des étoiles dans les yeux de Lucas et de Mathieu.

Nous étions rentrés tous les neuf dans le restaurant. Le maître d’hôtel nous avait conduit à une grande table. Tout était luxueux, les tables étaient dressées avec de couverts en argent, des nappes blanches, de la porcelaine ainsi que des vases avec de gros bouquets de fleurs. La salle était assez lumineuse avec ses lustres aux multiples ampoules. Le sol était recouvert de moquette rouge. Bref le cadre était somptueux.

Une fois installés, nous n’avions pas dû attendre longtemps pour avoir l’apéritif et les amuses bouches. Le papa de Lucas avait demandé du champagne. C’est donc la coupe en main que nous avions trinqué à la santé de Lucas et de Mathieu. Puis ensuite le papa avait levé son verre à notre santé à Delphine et Stéphanie ainsi qu’à Julien et moi. Je me devais de remercier les parents de Lucas, j’avais alors dit :

Moi : « Madame, monsieur, je vous remercie pour cette invitation et pour ce toast porté à notre intention. Cela me fait chaud au cœur !

Rob :  Merci Phil, mais c’est normal. Tu as été d’un réconfort pour Lucas et pour Mathieu. Et puis je vais te demander de m’appeler par mon prénom, moi c’est Robert et la maman de Lucas c’est Carine.

Moi :  Oh, heu, oui, merci Carine, merci Robert.

Rob :  C’est la même chose pour vous les autres jeunes, appelez-nous par nos prénoms.

Del :  Oui Robert, je rejoins ce que Phil a dit, merci pour tout ceci.

Car :  Mais pour nous c’est normal. J’ai tout de suite su que vous étiez tous les quatre des jeunes en qui nous pouvions avoir confiance. De plus Lucas m’avait déjà dit après la première journée passée en votre compagnie, qu’il avait enfin trouvé des amis, de véritables amis.

Luc :  Oui Phil c’est vrai. Tu es devenu en un jour un ami pour moi. C’est la même chose pour Julien. Tu sais quand j’étais en classe et que je voyais que tu étais très mal à la suite des souffrances que tu as connues, je savais que tu étais un gars bien. Puis par la suite tu avais osé avouer à toute la classe, pour ne pas dire à toute l’école que tu étais gay, raison de ta souffrance. C’est ce jour-là que j’ai su que tu étais une personne avec laquelle on pouvait avoir entièrement confiance. Je n’avais pas tort. J’ai pu m’en rendre compte le jour où tu m’as vu avec Mathieu dans les dunes. Tu m’as parlé, tu m’as rassuré. Tu m’as même présenté Julien en me disant que c’était ton petit ami, ton amour ! Alors, merci de m’avoir accepté ainsi que Mathieu.

Moi :  Merci pour ce que tu viens de me dire Lucas. Je souhaite que notre amitié se poursuive entre nous, c'est-à-dire entre toi et moi mais aussi avec Julien et les filles, sans oublier Mathieu et bien sûr Maxime.

Car :  Je suis si heureuse de voir qu’une belle amitié soit née durant ces vacances de Pâques. Je veux te dire Phil que je ne savais pas que c’était toi qui avait été si mal mené l’année dernière, je viens de l’apprendre. Lucas m’avait parler d’un copain de classe, sans dire de nom, qui avait été mal mené. Je savais juste que c’était parce que ce copain en question était homosexuel.

Luc :  En fait Phil, j’avais mal pour toi quand je te voyais arriver à l’école si meurtri. Je n’ai jamais osé t’en parler. J’avais peur que tu te méprennes sur mon compte. Puis tu étais avec Jacques à cette époque-là.

Moi :  Merci Lucas de ce que tu viens de dire. Mais je préfère oublier cette période. Tu sais que tout va bien maintenant et c’est bien mieux comme ça.

Rob :  Tu vois Phil, je te trouve déjà tellement mâture. Tes soucis sont loin, et comme Carine l’a dit vous aller très bien ensemble Julien et toi et moi aussi je vous souhaite beaucoup de bonheur. Tu vas avoir 18 ans si je ne me trompe pas !

Moi :  Merci pour ces mots, ça me fait du bien de les entendre. Oui Robert, nous allons avoir 18 ans Julien et moi.

Rob :  C’est pour cela que je te dis que tu es très mâture pour ton âge. Tu as les pieds sur terre.

Moi :  Merci Robert. »

L’apéritif se poursuivait et la conversation était très variée, nous parlions de tout. Nous étions tous bien, heureux de profiter de ce moment avec la famille de Lucas et de Maxime. Maxime savait très bien que nous ne dirions rien sur son mal-être actuel et sur sa recherche d’identité sexuelle, il avait confiance en nous tous et il savait que nous serions là en cas de besoin.

Nous étions attablés dans ce très beau restaurant. Les commandes avaient été passées et nous attendions de pouvoir manger. Robert avait insisté pour que nous ne regardions pas au prix du menu ou même des plats de la carte. Certains d’entre nous avaient opté pour le menu gastronomique et d’autres avaient choisi à la carte. Bref il y avait des soles meunières, des moules ou encore comme plat de résistance, du homard. Robert avait choisi deux vins susceptibles d’accompagner les mets servis. Je dois reconnaitre que Robert savait y faire, les deux vins, mais oui j’avais gouté les deux vins, c’était comme certains disent « le petit Jésus en culotte de velours », quel délice.

Durant le repas les conversations allaient bon train. J’avais discuté avec Lucas et Robert. Nous parlions de la suite de l’année scolaire et bien entendu de cette année de « poésie » qui allait nous amener vers la rhétorique en septembre. Comme Lucas avait des difficultés en mathématique, je m’étais proposé de l’aider. Robert était très content de voir que nous avions pris de bonnes résolutions pour réussir notre année scolaire.

Julien de son côté parlait avec Mathieu et Maxime. Ils avaient tous l’air d’apprécier l’instant présent. Ils parlaient de sport et de musique. Je pouvais voir que Carine était attentive à cette conversation amis aussi à celle que j’avais avec Robert et Lucas. C’est vrai qu’on dit et qu’il est reconnu que les femmes peuvent faire plusieurs choses à la fois, et donc suivre deux conversations en même temps.
Le repas était excellent. Il restait encore à choisir le dessert. Nous avions choisi soit dame-blanche, soit coupe brésilienne ou alors profiteroles. Nous étions vraiment tous heureux d’avoir passé un si bon moment avec la famille de Lucas et Maxime. Nous avions tous remercié Robert pour ce repas au restaurant.

Après avoir salué nos amis et avoir fixé un rendez-vous pour le lendemain, nous avions regagné l’appartement. En chemin nous échangions nos impressions entre nous quatre. Nous avions trouvé que les parents étaient franchement extra et très ouverts. Je pensais que ce n’était que le début d’une belle amitié entre les deux familles. J’avais déjà envie de les inviter dans quelques semaines à venir faire un barbecue à la maison et de profiter de la piscine. Delphine était elle aussi de mon avis.

Une fois arrivé à l’appartement nous n’avions qu’une idée Julien et moi, c’était de prendre une bonne douche avant d’aller au lit. Nous n’avions pas bu trop de vin, mais nous n’en avions pas l’habitude en soirée. Nous nous étions relayés entre la douche et le lavabo où nous nous brossions les dents. Une fois séchés nous allions nus dans la chambre. Les filles étaient quant à elles devant la télévision, elles regardaient une émission de variétés.

Julien était déjà étendu sur le lit et son sexe était mi- bandé. Il n’en fallut pas plus pour que le mien commence à prendre vigueur. Julien me disait :

Jul : « On dirait que je te fais de l’effet.

Moi :  Mais non, si peu. Tu te prends pour un apollon.  (Sur le ton de la plaisanterie)

Jul :  Mais oui, je suis un très bel adonis qui n’attend que la venue de son chevalier servant.

Moi :  Oui, bien sûr, je suis à votre service votre seigneurie.

Jul :  Venez près de moi mon beau chevalier à l’étrange dégaine. Mais vous êtes nu !

Moi :  Mais c’est comme vous votre altesse, c’est nettement plus agréable et cela facilite grandement les relations et le rapport entre gens avisés !

Jul :  Venez, n’ayez pas peur, nous n’avons que de la tendresse à donner !

Moi :  Si c’est ainsi, j’accours, je vole, je suis déjà là ! »

M’étant placé à côté de Julien, j’avais pris sa tête pour tourner son visage vers le mien. Ma bouche s’était alors attardée sur ses lèvres, elle descendait sur son cou et remontait vers le lobe de ses oreilles. Julien avait les yeux mi-clos et semblait savourer ce moment. Puis c’est à pleine bouche que nous nous étions embrassés. Nos langues étaient entrées dans une belle sarabande, elles dansaient entre elles toutes contentes de s’être retrouvées. Mes mains s’aventuraient sur le torse de Julien, elles allaient et venaient sur ses pectoraux, sur ses abdominaux. Julien lui aussi de son côté commençait lui aussi des caresses sur mon corps avec ses mains. Nos mains devenaient de plus en plus fébriles, elles s’aventuraient de plus en plus près du pubis. Mes doigts caressaient maintenant les poils blonds du pubis de mon amour. Julien lui aussi était arrivé au même endroit sur mon corps. Nos appendices sexuels étaient quant à eux bandés au maximum.

Déjà mon gland était tout humide. J’avais alors pris la colonne de chair de mon amoureux et je commençais à y exercer quelques pressions lascives. Je sentais aussi la main de Julien se poser sur mon mat qui pointait vers le plafond. Nous nous caressions doucement, tout doucement. Puis j’avais susurré à l’oreille de Julien :

Moi : « Juju, j’ai envie de te faire l’amour !

Jul :  Oh oui Phil, prends-moi, fais-moi l’amour, je me donne à toi !

Moi :  Passe-moi une capote et le gel veux-tu !

Jul :  Voilà, je t’aime Phil.

Moi :  Moi aussi Juju, je t’aime. »


Suite ci-dessous.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-09-2020

Suite.

Julien s’était placé de façon à présenter son postérieur vers moi. J’avais pris un peu de gel pour préparer l’entrée de sa grotte accueillante. J’avais introduit un doigt et puis à force de massages anal, le second doigt passait. Je savais que c’était bien suffisant, n’ayant pas non plus une bite très large. J’enfilais alors le préservatif sur mon sexe. Puis doucement j’avançais mon boute joie vers l’entrée de la cavité préparée à m’accueillir. Mon gland butait sur la corolle anale de Julien, puis doucement mon vit entra peu à peu pour arriver à la garde, mes bourses étaient posées contres ses fesses. J’entrepris alors de donner du plaisir à mon amour de Julien. De vas et vient tantôt lents et puis rapides, j’accentuais par moment la pression. Juju de son côté lâchait quelques râles de bonheur. Sa respiration était plus rapide. De mon côté je me contrôlais au maximum pour retarder le plus tard possible l’éjaculation. Mes couilles frappaient sans cesse les deux fesses de mon amour. Mais ce qui m’importais le plus c’était la joie et les sensations ainsi prodiguées à mon ami. Pour moi, il fallait qu’il se souvienne de cette soirée si prometteuse. Julien râlait de plus en plus fort, il criait presque, c’était comme de petits cris étouffés qu’il faisait entendre. Je savais que les filles allaient entendre les bruits émanant de notre chambre et ainsi savoir ce que nous faisions, mais je n’en avais cure ; elles en avaient déjà assez entendu lors d’autres séances aussi sonores, elles pouvaient bien une nouvelle fois entendre que nous étions en pleins ébats et bien sûr que nous nous aimions. Puis au fur et à mesure de mon pilonnage, je sentais que ma sève allait monter, que j’allais déverser ma semence, je ralentissais donc l’allure des mouvements dans cette antre bien chaude. Puis, étant arrivé au point de non-retour, j’avais laissé passer six jets de sperme qui étaient venus s’écraser au fond de la capote, et ce dans un râle émis par une jouissance bien ressentie. Julien lui aussi était aux anges. Nous nous séparions pour nous affaler sur le lit, heureux de ce rapport tant attendu.

Nous étions restés un bon moment ainsi, reprenant notre souffle. J’étais heureux d’être avec mon ami Julien. Cela faisait quelques jours que j’attendais de pouvoir l’aimer, de pouvoir prendre possession de son intimité, de sa caverne d’amour. Lui de son côté souriait aussi, il avait bien apprécié ce moment partagé. Puis nous nous étions une nouvelle fois embrassé à pleine bouche. Nous étions heureux. Nous nous caressions et comme de bien entendu, nos sexes avaient repris vigueur. C’est alors que Julien m’avait fait un clin d’œil, pas besoin de parler pour savoir qu’il voulait lui aussi m’aimer, me prendre par derrière, envahir ma caverne et me procurer du plaisir et pour lui c’était enfin le moment de jouir et d’apprécier cette sodomie tant attendue.

Julien avait pris le gel lubrifiant et m’enduisait l’anus, il me préparait à recevoir son vit dressé, à me montrer son amour, à me posséder. Il avait pris de l’assurance et avait même introduit trois doigts dans mon anus. J’étais bien préparé à le recevoir, à recevoir tout son amour, à être aimé ! Une fois le préservatif placé sur son vit gorgé de sang, mon amour, mon Juju avait avancé son sexe vers l’entrée de mes entrailles. Son gland était positionné à l’entrée de l’antre. Il n’avait pas fallu attendre longtemps pour sentir que la barre de chair était entrée dans son écrin, dans son réceptacle. Julien n’avait pas attendu et me pilonnait en rythme tout en alternant la cadence. Il savait y faire le bougre, il avait décidément fait beaucoup de progrès. Je sentais cette énergie distillée tout au long de cet acte d’amour. Je ne pouvais pas retenir les râles de bonheur ; parfois c’étaient des petits cris de jouissance que je laissais passer, j’étais aux anges, j’étais heureux de m’offrir à mon ami, à mon amour. Je sentais que son sexe était encore plus gros que d’habitude, je sentais que Julien prenait lui aussi beaucoup de plaisir à me pilonner, à m’aimer. Je sentais que c’était une des premières fois que je ressentais autant de plaisir à me faire défoncer de la sorte. Puis la respiration de Julien s’était accélérée, je sentais qu’il allait arriver à l’apothéose, à la jouissance extrême. Puis dans un cri non retenu, mon amour de Juju avait laissé jaillir sept jets de sperme tandis que je criais aussi de ressentir tant de belles choses dans mon corps entièrement donné et ouvert à l’amour.

Julien s’était alors affalé à côté de moi. Nous étions tous les deux en transpiration, nous avions connu le nirvana. Jamais je ne n’avais tant apprécié ce moment de communion entre nous. C’était semble-t-il la même chose pour Julien. Bien qu’étant exténué par sa chevauchée fantastique, il affichait un sourire béat, montrant le plaisir qu’il venait d’éprouver.
Il nous avait fallu un bon quart d’heure pour redescendre sur terre.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 25-09-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Les vacances continuent à se dérouler très bien, Julien et Phil sont invités dans un restaurant gastronomique. Était-ce une découverte pour eux, aussi une "première fois" ? Pour faire un mauvais jeu de mots, il n'y avait pas seulement des étoiles dans leurs yeux, aussi dans les guides gastronomiques. J'aurais aimé être à leur place (même s'il m'arrive aussi de fréquenter ce gendre d'endroits, mais pas avec des éphèbes).

La soirée se termine par une belle scène d'amour dont tu as le secret.

Je t'embrasse et te souhaite déjà un bon week-end. J'espère qu'ils sera moins pluvieux que chez moi.
Daniel



Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 25-09-2020

(25-09-2020, 12:05 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].

Les vacances continuent à se dérouler très bien, Julien et Phil sont invités dans un restaurant gastronomique. Était-ce une découverte pour eux, aussi une "première fois" ? Pour faire un mauvais jeu de mots, il n'y avait pas seulement des étoiles dans leurs yeux, aussi dans les guides gastronomiques. J'aurais aimé être à leur place (même s'il m'arrive aussi de fréquenter ce gendre d'endroits, mais pas avec des éphèbes).

La soirée se termine par une belle scène d'amour dont tu as le secret.

Je t'embrasse et te souhaite déjà un bon week-end. J'espère qu'ils sera moins pluvieux que chez moi.
Daniel

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Merci pour ton com !

Oui c'est probablement une découverte pour les jeunes que de se restaurer dans un restaurant gastronomique!
Il est vrai que ce n'est pas donné à tout le monde et qu'une fois en passant cela donne du relief et des souvenirs à ce moment entre parenthèses !

J'ai déjà eu l'occasion de manger dans de tels restaurants, mais pas couramment.

Merci pour tes compliments qui me vont au cœur !

Très bon week-end à toi aussi !

Je t'embrasse !

Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 26-09-2020

Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Deux belles suites. Les parents de Lucas sont très ouvert.
La maman a bien compris que Phil et Julien formaient un couple, les deux garçons ne doivent pas s'en cacher. Elle a aussi dit à Lucas qu'elle savait pour lui et par conséquent pour lui et Mathieu.
Ils vont en avoir des souvenirs les six ados ainsi que Max.
Toujours très agréable à lire.
Bon week-end
Je t'embrasse
Philippe


Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 26-09-2020

(26-09-2020, 09:15 AM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member]
Deux belles suites. Les parents de Lucas sont très ouvert.
La maman a bien compris que Phil et Julien formaient un couple, les deux garçons ne doivent pas s'en cacher. Elle a aussi dit à Lucas qu'elle savait pour lui et par conséquent pour lui et Mathieu.
Ils vont en avoir des souvenirs les six ados ainsi que Max.
Toujours très agréable à lire.
Bon week-end
Je t'embrasse
Philippe

Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] !
Merci pour ton com !

Oui les parents de Lucas ont bien compris à qui ils avaient à faire. Phil et Julien forment effectivement un couple et il s'en sont rendus compte tout comme pour Lucas qui a Mathieu comme petit ami.
Cette acceptation est importante pour Lucas, il sait que ses parents l'aiment tel qu'il est et aussi qu'il a des amis comme Phil, Julien et les deux filles.
Il est évident, comme tu le mentionnes, que les sept jeunes vont avoir des souvenirs plein la tête de ce séjour à la mer.

Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un com !

Très bon week-end à toi aussi!

Je t'embrasse!
Philou


Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-09-2020

Après une bonne nuit de repos, nous nous étions réveillés vers les neuf heures. Nous étions Julien et moi enlacés, dans les bras l’un de l’autre. Nous avions donc passé la nuit collés l’un à l’autre. Comme bonjour j’avais eu droit un baiser de la part de Julien. Je lui avais rendu et ensuite nous nous étions embrassés. Une fois enfin levés nous étions allés nous doucher. Nous étions tous les deux bandés. Il n’avait pas fallu trente secondes pour que nos mains trouvent l’endroit sensible pour y appliquer la solution permettant de faire tomber la tension. J’avais pris la colonne de chair de Julien et je m’appliquais à lui donner les caresses attendues. Julien faisait de même avec mon membre viril. C’est donc de cette façon que nous nous étions cajolés sous l’eau qui coulait du pommeau de douche. Nous avions pratiquement laissé partir nos semences en même temps. Nos doigts en étaient éclaboussés. Nous nous étions alors embrassés avec fougue.

Ensuite nous nous étions savonnés l’un l’autre sans bien entendu oublier les attributs et les fesses. C’était en fait une nouvelle façon de nous laver lorsque nous étions à deux sous la douche.

Nous avions rejoint les filles pour prendre le petit-déjeuner. Nous étions comme d’habitude tous les quatre nus. C’est Delphine qui nous avait dit :

Del : « Alors les garçons, vous ne vous êtes pas embêtés hier soir !

Moi :  Oui je sais frangine, mais tu sais c’est plus fort que nous. Tu sais bien que nous nous aimons et de ce fait nous sommes comme dans une bulle, comme hors du temps, alors les bruits, on n’y a pas pensé !

Sté :  Les garçons, ce n’est pas grave. Je dois dire que j’aime vous entendre. Puis je sais que vous vous aimez et cela me fait chaud au cœur. Vous êtes des amours !

Jul :  Merci les filles. On va essayer de faire attention la prochaine fois, mais ce n’est pas garanti.

Moi :  Oui merci pour votre compréhension. On vous aime comme vous êtes, ne changez rien ! "

Éclats de rire. Nous étions tous heureux d’être ensemble entre frères et sœurs. Nous savions que nous pouvions compter les uns sur les autres. Il était temps de passer à table, nous avions une faim de loup, cela devait être l’air de la mer et l’iode qui avaient eus raison de nous.

Le repas étant terminé, nous nous étions préparés pour retrouver nos amis sur la digue de mer, au pied de l’horloge. Nous avions pris nos vélos et nous étions en route vers le point de rendez-vous. Nous trois amis étaient déjà là. Je pouvais voir qu’ils avaient l’air heureux. Lucas et Mathieu affichaient un large sourire. Nous nous étions salués. Puis j’avais pris Lucas par le bras pour lui demander la raison de cette bonne humeur !

Moi : « Oh Lucas, tu es bien joyeux ce matin !

Luc  Oui Phil je suis très heureux, c’est la première fois que mes parents m’ont donné l’occasion de passer la nuit avec Mathieu dans le même lit !

Moi :  Tu sais Lucas, je suis content pour vous deux. Tu sais tes parents sont formidables, ils ont très bien compris.

Luc :  Mathieu et moi les avions remerciés ce matin pour cela.

Moi :  Je te reconnais bien là.

J’en avais bien entendu déduit qu’ils avaient pu encore une fois se câliner l’un l’autre. Je ne souhaitais pas avoir de détails, mais j’étais content pour eux. J’avais aussi dit :

Moi :  Allez les amoureux de tous poils, il est temps de faire quelque chose, ça vous dit d’aller vers Ostende pour voir le port.

Luc :  Oh oui, c’est super.

Les filles, en cœur :  C’est génial, OK, on est partantes.

Mat et Max :  Oui, ça va être génial.

Moi :  En piste alors, direction Ostende et son port ! »

C’est donc dans la bonne humeur que nous avions pris la direction d’Ostende en empruntant la piste cyclable qui longe la côte pour atteindre Ostende. Nous étions sur place vers les dix heures trente. Ce n’est pas souvent que nous avions l’occasion de voir le déchargement des bateaux de pêche à leur retour, après la pêche en mer. C’était un spectacle inhabituel. Nous pouvions les cagots remplis de poissons et les seaux pleins de crevettes. C’était formidable. Puis par la suite, c’était la vente au bord du quai. Évidemment en entendait parler flamand et parfois c’était même du patois régional.

Nous nous étions baladés dans les environs du port et nous avions pu monter sur le « Mercator », le voilier école de la marine nationale. Cette visite était assez intéressante. Nous avions même pu voir un scaphandre.

A midi nous étions allés manger des moules dans un petit restaurant proche du port. Nous étions très heureux à nous sept. Nous étions devenus des amis, une véritable amitié était née entre nous depuis trois jours. J’avais vraiment envie que nous puissions le rester. J’avais envie d’être en quelque sorte comme un « guide » pour Lucas, Mathieu et Maxime. Je voulais être là pour les aider en cas de besoin.

Le reste de la journée s’était très bien déroulée. Nous avions poursuivi notre balade à vélo pour revenir vers notre station balnéaire. Bien entendu nous nous étions une nouvelle fois arrêtés chez « Siska » pour y déguster une gaufre avec soit un café ou soit un chocolat chaud. La semaine de vacances se déroulait à merveille. Nous étions heureux d’être ensemble. Maxime lui de son côté s’était un peu plus ouvert, il avait pris de l’assurance ; c’était beau à voir. Comme quoi une amitié sincère peut changer un ado s’il est bien, accepté au sein d’un groupe !

Nous arrivions à la fin de notre séjour. Nous avions décidé de reprendre le train le samedi dans l’après-midi pour ne pas être dans la cohue du dimanche. Les parents de Lucas et de Maxime avaient eux aussi choisi de repartir le samedi après-midi. Pour la soirée du vendredi, soit la dernière soirée, Carine nous avait invité à prendre le souper dans leur location. Robert quant à lui nous invitait ensuite à prendre le verre de l’amitié dans notre taverne favorite. Nous avions accepté de très bon cœur.

Nous avions pris la journée de vendredi pour refaire les baguages et nettoyer quelque peu l’appartement. Puis cela laissait aussi un moment en famille pour nos amis. De toute façon nous allions nous retrouver en soirée. Nous avions chacun pris en main les tâches à exécuter pour remettre l’appartement en ordre. Puis nous avions décidé d’apporter un petit cadeau à Carine et à Robert pour leur gentillesse !

Nous étions en route vers l’appartement de Carine et Robert. Nous avions pris un paquet de babeluttes pour Carine et une bouteille de whisky pour Robert. Une fois sur place nous avions été accueillis très chaleureusement, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours. C’est Delphine qui avait offert les bonbons à Carine tandis que j’avais sollicité Julien pour qu’il remette la bouteille à Robert. Bien entendu, ils avaient dit qu’il ne fallait pas, etc., etc.

Nous avions pris l’apéro ensemble pour ensuite manger une paëlla royale. C’est délicieux. Nous étions heureux de nous retrouver. Les discussions allaient bon train. Nous nous étions échangés nos adresses et nos numéros de téléphone en vue de rester en contact. J’avais dit à Lucas de na pas hésiter en cas de problèmes rencontrés en math, que j’étais disposé à l’aider, d’autant plus que nous arrivions dans la dernière ligne droite de l’année scolaire. Carine et Robert étaient heureux d’entendre ça. Pour moi c’était le minimum que je pouvais faire pour aider mon nouvel ami.

Une fois le repas et la vaisselle terminés, nous nous étions rendus pour prendre ce verre de l’amitié à la taverne. Les serveuses commençaient à nous connaître. Elles étaient toujours aux petits soins pour nous servir. C’est Robert qui avait pris la parole :

Rob : « Bon les jeunes, je veux porter un toast pour célébrer cette belle amitié qui vous unis. Nous avons découvert, Carine et moi, quatre jeunes gens plein de vie mais surtout rempli d’amour et prêt à ouvrir leurs bras pour accueillir leurs nouveaux amis.

Moi :  Merci Robert, mais tu sais je suis toujours très attentif aux autres, cela fait partie de moi, de ma façon d’être, de ma personnalité !

Car :  Oui Phil, je l’avais remarqué. C’est d’ailleurs ce qui te rend important aux yeux des autres. C’est le cas pour mes deux garçons ainsi que pour Mathieu.

Rob :  Nous en avons parlé ce matin ensemble lors de notre déjeuner. Vous quatre vous êtes comme des balaises d’espoir pour les autres. Merci de rester comme vous êtes, ne changer rien !

Moi :  Merci, je ne sais que répondre.

Jul :  Merci à vous de nous avoir accepté. Puis merci à Lucas, Maxime et Mathieu d’être devenu nos amis.

Luc :  Vous savez que vous m’avez apporté beaucoup en quelques jours. Vous nous avez apporté votre bonne humeur, votre amitié et en plus votre cœur est ouvert aux autres. Je suis certain que nous resterons amis pour la vie.

Car :  C’est tout ce que nous vous souhaitons, c’est de rester amis pour la vie.

Rob :  Bon, après ces belles paroles, buvons ce verre de l’amitié. Santé et Bonheur !

Tous :  Santé et Bonheur ! »

Nous avions bu ce verre avec délectation. Il représentait beaucoup. C’était comme nous venions tous les sept de signer une charte d’amitié « un pacte par le sang ». Nous avions presque tous les yeux humides, prêts à pleurer, mais pleurer de joie ! La soirée s’était achevée sur cette note positive. Nous allions avoir beaucoup de choses à raconter à nos parents respectifs à notre retour à Bruxelles.

Nous étions rentrés à l’appartement, heureux de cette soirée. Heureux de voir comment une simple rencontre dans les dunes avait pu changer le sort de sept jeunes. Un vent de fraîcheur, un vent d’amitié et de bonheur flottait dans l’air. Nous étions tous marqués par ce moment d’intense sensibilité et d’amour.



Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 28-09-2020

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Ils ont vraiment passé de belles vacances après cette rencontre dans les dunes et tu nous donnes envie de découvrir la côte belge. Je dois cependant dire que c’est très rare que je passe une semaine au bord de la mer. Je ne recherche pas la chaleur méditerranéenne, je suis au contraire plutôt attiré par le nord, donc pourquoi pas en Belgique si l’occasion se présentait ?

Mon récit actuel se déroule aussi dans des lieux que je connais. Les voyages sont aléatoires pour le moment, rêvons à d’autres horizons en lisant.

Je t’embrasse.
Daniel