Récits érotiques - Slygame
GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Version imprimable

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Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 17-10-2020

Bonjour à tous et aux autres.

Merci pour vos coms les zamis.

Merci mon rô minet, corrections effectuées.

Ravi que ça vous ait plu Sohaibe et Nostalgique.

ALain c'est vrai... tu es un petit vicieux lubrique...  ;D les dieux soient loués pour ça...

Mon renard chéri, vivant dans une monarchie, tu ne sais pas que la démocratie n'est pas ''par moment un peu ça'' mais toujours. Comme disait mon vieil ami Winston ''la démocratie est le pire des régimes... si on excepte tous les autres''. Assez amusant de la part du premier ministre de sa gracieuse majesté...

Tout de suite la suite. J'espère qu'elle va vous ''raidir'' également...




Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 17-10-2020

CHAPITRE XCII 


''Hic et nunc''



Burydan, couché sur le dos, se laissait aller aux douces caresses des mains d'Arthas sur son corps. Il prenait ses pectoraux à pleine main, comme pour en tester la fermeté, dessinait du bout des doigts le contour des abdominaux noueux et remontait le long des flancs en d'adorables chatouilles.

- C'était... génial, dit Arthas... ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas baiser comme ça... avec une telle... fougue... avec tellement de... passion...
- J'ai cru remarquer, en effet, que tu as aimé... enfin, entendre plutôt...
- Oui. J'ai gueuler de plaisir... Et toi, tu as aimé ?
- Je n'ai pas crié assez fort ?

Arthas sourit et se pencha vers Burydan pour embrasser ses pectoraux.

- C'était tellement bon, reprit-il, que j'ai très envie de recommencer...

Disant cela il commença à caresser la bite de Burydan du bout des doigts et du revers de la main. Elle commença à durcir et à raidir.

- Prends moi, Burydan, fais moi encore crier comme un dingue...
- Si on inversait les rôles, dit Burydan en saisissant la queue d'Arthas, tu n'as pas idée à quel point j'ai envie de ce monstre en moi...

Arthas paru surpris.

- J'ai... j'ai pas trop l'habitude...
- Tu ne vas pas me dire qu'avec le morceau que tu as entre les cuisses tu n'as jamais baisé un mec...
- Ça m'est arrivé, évidemment... mais je préfère quand même me faire...
- On va essayer, le coupa Burydan, et si tu fais ça très bien... je te ferai de nouveau crier comme un perdu et pleurer de plaisir...

Arthas lui fit un immense sourire.

- Caresse moi, maître d'arme, dit Burydan, caresse moi jusqu'à ce que mon corps brûle de désir et que je te supplie de me prendre comme une bête...

Et les deux hommes se caressèrent un long, un très long moment, de leurs mains, de leurs lèvres et de leurs langues.

Burydan, le corps luisant de la salive d'Arthas et les aisselles léchées et pourléchées, était en transe.

- Baise-moi, Arthas, baise-moi, j'en peux plus.
- Supplie moi...
- Je t'en supplie, maître d'arme, prends moi, défonce mon petit cul...

Arthas sourit. La plupart des hommes qu'il avait couché dans son lit était un peu réticents à se prendre son énorme queue. Aussi s'était-il habitué à être passif. Et il aimait ça. Et la façon dont Burydan l'avait baisé... toute cette force, toute cette puissance, ce corps sculptural, sa fougue couplée à un brin de domination virile... il avait adoré. Il avait adoré s'abandonner complètement à ses assauts... Et là Burydan voulait la réciproque. Et Arthas banda encore plus fort en imaginant qu'il allait posséder ce corps divin.

Burydan, sur les genoux et penché en avant, feula en sentant les 23 pouces d'Arthas le pénétrer. Son cul se rebiffa bien, pour la forme, mais son fourreau épousa intimement les contours plantureux de la colonne de chair qui s'enfonçait en lui. Après 20 pouces, Arthas se cala confortablement, saisit Burydan par les hanches et lui mit les trois derniers pouces d'un petit coup de rein, faisant claquer son bas ventre contre les fesses bien rebondies et arrachant un petit couinement à son amant.

Il commença à le limer lentement, se retirant de plus en plus loin, adorant entendre les gémissements rauques s'intensifier à chaque aller-retour. Burydan se laissait complètement aller au plaisir incroyable que cette bite énorme lui donnait. Chaque pouce de cette queue déclenchait en lui d'incroyables vagues de plaisir qui le faisaient chavirer.

- Tu aimes ? Tu l'aimes ma queue ?
- Oh oui !
- Elle est bien grosse, hein ?
- Oh oui, elle est énorme...
- Tu la sens, là ? Tu la sens aller et venir en toi ?
- Oh oui, je la sens bien... ce qu'elle est bonne ta grosse bite !

Arthas se lâcha complètement. Il sombra dans la chaleur, la douceur et l'étroitesse de Burydan à grands coups de reins. Burydan criait de plaisir. La sensation de cette queue qui le remplissait, le bruit du bas ventre d'Arthas qui claquait contre ses fesses, et ses couilles qui giflaient son cul... c'était indicible.

De plus, Arthas avait un contrôle sur ces instincts qui forçait l'admiration. Dés qu'il sentait qu'il allait jouir, il faisait adopter à Burydan une nouvelle position, faisant redescendre la pression, et le baisait de plus belle, encore et encore.

Burydan, couché sur le dos, gueulait comme un dingue. Arthas, couché sur lui, criait comme un perdu. Leurs corps étaient ruisselants de sueur et collés l'un à l'autre. Les cuisses de Burydan étaient enroulées autour des hanches d'Arthas, ses bras autour de son buste et il sentait sa bite comprimée entre leur deux ventres bosselés. Il était à deux doigts du précipice.

Arthas se pencha, mit la tête dans son cou, et se déhancha encore plus lascivement, leur sueur rendant leur étreinte encore plus onctueuse. Et Burydan, par le simple frottement de sa queue entre leurs abdominaux, partit. Dans un grand cri rauque il jouit intensément. Les convulsions de son cul massèrent la bite énorme d'Arthas et celui-ci jouit à son tour, noyant de son foutre chaud les entrailles de son amant.

Ils restèrent ainsi un long moment. Arthas profita des mensurations de sa bite pour rester le pus longtemps possible en Burydan qui était parti loin, très loin, dans les profondeurs abyssales d'un orgasme inouï...

Arthas se dégagea d'un petit mouvement de bassin des confins du corps de Burydan.

- Ça va ? demanda-t-il
- Vous... vous étiez combien pour faire ça ?

Arthas sourit et déposa un bisou tout tendre sur les lèvres de Burydan.

- Libère-moi, dit-il.
- Quoi ?
- Tes cuisses et tes bras...
- Oups, désolé...
- Non, c'est plutôt agréable. C'est juste que j'ai une furieuse envie de lécher ton corps. Je veux goûter ta sueur... et ton foutre aussi...

Et Arthas le lécha sans omettre une seule parcelle de sa peau. Il remonta et emballa Burydan à pleine bouche, lui faisant ainsi goûter la saveur de sa sueur, mêlée à celle de son sperme.

- Tu récupères rapidement ? demanda Arthas.
- Quoi ? Ne me dis pas que tu veux... maintenant ?
- Non, nous allons d'abord nous débarbouiller et manger un morcel pour reprendre des forces... mais, sitôt notre collation engloutie... je veux que tu me prennes... je serai ta chose, ton jouet, et je veux que tu me traites comme tel... et si tu te montres à la hauteur, je ferai encore s'ébrouer ma grosse queue dans ton chaud, doux et étroit petit cul musclé...

Les deux hommes firent l'amour pendant deux jours entiers, se donnant l'un à l'autre sans retenue, et ne s'arrêtant que pour reprendre vent et haleine.

Il était très tôt le lundi matin quand Burydan se réveilla. Arthas était couché contre lui, la tête sur son torse, une main sur son ventre. Il essaya de se dégager, mais ne réussit pas à ne pas réveiller Arthas.

- Qu'est ce que... quelle... balbutia le maître d'arme.
- Désolé de t'avoir réveillé. Il faut que je me sauve.
- Quelle... quelle heure est-il ?
- Encore tôt. Rendors toi.
- Tu... tu ne veux pas rester encore un peu ? J'adore dormir dans tes bras.
- J'en doute.
- Quoi ?
- J'en doute. Comment peux-tu le savoir, vu le peu que nous avons dormi durant ces deux jours...
- Tu... tu regrettes ?

Burydan sourit et se pencha vers lui. Il l'embrassa passionnément.

- Je viens de passer l'un des meilleurs saïpong de ma vie, maître d'arme.
- Alors reste encore...
- Tes serviteurs vont revenir...
- Et alors ? Tu crois qu'ils ignorent que j'aime les hommes ?
- Pourquoi leur avoir donné congé dans ce cas ?
- Parce que j'avais envie que tu me baises dans chaque pièce de cette maison. Ce que tu as fait, d'ailleurs...
- Il faut vraiment que j'y aille. Je dois faire mes bagues.
- Tu... tu pars ?
- Eh oui. Mon voyage ne fait que commencer...
- Tu... tu reviendras ?
- Peut-être. Qui sait. Mais si c'est le cas, je reviendrai ici ventre à terre pour déglinguer ton petit cul si accueillant.
- Tu vas me manquer... tu voudrais pas me laisser un petit souvenir ?
- Euh... comme quoi ?
- Ton sperme, dans ma bouche... et le mien, dans la tienne... j'aime le 69 au petit matin...

Burydan sourit et les deux hommes se sucèrent mutuellement avec lenteur et volupté. Dernier petit bisou et Burydan retourna à son auberge. Il arriva pile pour le petit déjeuner.

Il était en train de ranger ses affaires quand on frappa à sa porte.

- Entrez.

Joachim entra et se figea :

- Oh... vous... vous nous quittez monsieur .
- Eh oui mon joli.
- Dommage. Alix et moi sommes d'accord, faire l'amour avec vous est un pur délice. Tant et si bien que nous l'aurions fait pour rien, juste pour le plaisir...
- La grand merci à toi, petit minet lubrique... et à Alix aussi... Demande à l'alberguière de me préparer ma note et au palefrenier de seller mon cheval, veux-tu ?
- Euh, monsieur, quelqu'un veut vous voir.
- Qui ça ?
- Un capitaine des gardes du palais. Il vous attend dans la grande salle. Il est venu avec une forte escorte.
- Diantre. Que me veut-il ?
- Je ne sais. Mais il veut vous parler.

Burydan était perplexe. Que pouvait bien lui vouloir un capitaine des gardes ? Il descendit dans la grande salle et vit un homme, trapu aux épaules larges, cheveux et moustache noirs, les yeux perçants.

- Avez vous à faire à moi, monsieur ?
- Vous êtes Burydan de Malkchour ?
- Oui, c'est je.
- Dans ce cas, monsieur, j'ai ordre de vous conduire au palais séance tenante.
- Ah... pourquoi ?
- Je ne sais, monsieur, c'est tout ce qu'on m'a dit...
- Très bien je vous suis.

Un carrosse les attendait devant l'auberge. Burydan et le capitaine y montèrent et le cocher joua du fouet.


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 18-10-2020

Héhéhé, le petit chantage aux performances, un peu middle, mais la fin justifie les moyens… Après, qui aurait dit que c’était le cas d’Arthas, mais pour le mec peu sûr de soi, j’imagine que ça peut parfois provoquer un petit miracle, en mode chance du (presque) débutant… ¯\_(ツ)_/¯
Le maître d’armes gagne assez vite en confiance, au final Smile

(17-10-2020, 04:42 PM)Moloch link a écrit :- Vous... vous étiez combien pour faire ça ?
Je te l’emprunte, j’adore Big Grin
Bon, la convocation au palais, ça peut être pour retrouver Rhonin, libéré de l’emprise de sa maquerelle, ou pour une surprise moins agréable  ⚆_⚆  Son homonyme dans notre monde semble être un mec (relativement) correct, on va voir pour le roi…



Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - AL gayman - 19-10-2020

Délicieux Mon Moloch, ces deux jours de folie orgasmiques furent pour Burydan un remontant exceptionnel en plus il est tombé sur un amant exceptionnel également.
Ca me rappelle un peu le we de folie que nous venons de passer chez moi mon homme et moi (toutes les pièces de mon rez-de-chaussée y sont passées alternant les rôles et se mordant pour ne pas éveiller les soupesons pour ne pas avoirs droit aux réflexions de Maman vivant au dessus mdr).
D'ailleurs tu m'as inspiré (à la grande surprise et aux plaisirs de mon homme) Merci Maitre Moloch

Sublime chapitre chaud comme la braise comme tu sais si bien les écrire

Est-ce que Rhonin sera au palais à attendre Burydan prouvant ainsi la parole d'or du Roi?....
La suite prochainement

Mille Bisous bien appuyés et partout mon cher Moloch

ALain


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 21-10-2020

Bonjour à tous et aux autres.

Merci pour vos coms les zamis.

Emprunte, mon renardeau, emprunte. En espérant pour toi que tu aies l'occasion de le dire. Sinon je peux exceptionnellement te prêter mon blondinet, je me suis surpris à lui dire cela plus d'une fois...

En effet mon cher ALain, ça peut être problématique... heureusement nous n'avons pas ce genre de problème: chez nous les chambres sont à l'étage du duplex et nous sommes au sommet de l'immeuble, aucun risque de déranger les voisins, chez mes parents toute la maison est insonorisée et chez les parents de mon petit blond, nous émigrons dans la maison d'amis au bout du jardin. Heureusement d'ailleurs car mon mec est extrêmement... démonstratif, dirons nous... et moi aussi, d'ailleurs... ce qui ne nous empêche pas de nous retrouver avec quelques traces de morsure au niveau des épaules... trahit sua quemque voluptas...

Heureux de t'avoir inspiré... c'est sans doute l'un de plus beaux compliments qu'on puisse me faire... et j'accepte avec volupté des bisous appuyés... même si, au risque de paraître exigeant, je préfèrerais des coups d'une langue baveuse et fureteuse...

Tout de suite... la suite... même si l'intrigue était cousue de fil blanc, vous vous doutez sans doute du cadeau du roi...


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 21-10-2020

CHAPITRE XCIII


''Fortes fortuna iuvat''


Burydan était anxieux. Il se demandait si, finalement, le roi n'avait pas pris ombrage qu'il refuse d'être le maître d'arme du dauphin. Un roi n'a pas l'habitude qu'on lui dise ''non''.

- Monsieur le capitaine, me conduit-on en geôle ?
- Je ne sais, monsieur, avez-vous commis quelque méfait ?
- Euh, pas que je sache, non.
- Ne vous inquiétez pas dit le capitaine en souriant, il est rare que nous conduisions un homme en prison en carrosse... c'est le chambellan de Son Altesse qui veut vous voir...
- Pourquoi ?
- Je ne sais. Il n'est pas dans mon rôlet de poser des questions. J'obéis aux ordres, le reste ne me regarde pas. Mais vous allez bientôt savoir le pourquoi, nous arrivons.

Le carrosse s'arrêta dans la cour du château.

- Monsieur, dit le capitaine, si vous voulez bien me remettre votre épée et votre dague. Les armes sont interdites dans l'enceinte du palais. Vous pourrez les récupérer en sortant. Du moins, si vous ressortez...

Burydan écarquilla les yeux et le capitaine éclata de rire.

Il fut donc délesté de son épée et de sa dague mais il avait toujours sa mini-arbalète au poignet. Elle ressemblait à un bracelet et personne ne sembla savoir ce que c'était.

Un homme en livrée le conduisit dans un dédale de couloirs et s'arrêta devant une porte.

- Si vous voulez bien espérer un petit ici, monsieur, je vais prévenir Sa Seigneurie.

Il attendit quelques minutes et le valet revint.

- Sa seigneurie va vous recevoir, monsieur.

Burydan entra dans la pièce, richement décorée.

- Monsieur de Malkchour, que je suis aise de vous revoir...

Burydan lui fit un profond salut en disant :

- Monsieur le chambellan, c'est un grand honneur pour moi.
- Je suppose que vous devez vous demander pourquoi je vous ai mandé céans...
- En effet, même si l'honneur qui m'est fait de vous...
- Point tant de cérémonies, monsieur de Malkchour, point tant de cérémonies... même si ma charge et mon nom font que je rencontre de nombreuses personnes qui disent en cent mots ce qu'on pourrait dire en quatre et qui m'assurent de leurs respectueux respects, je suis de la vieille école. Mon père, les dieux le gardent, m'a toujours appris que l'on doit juger un homme non par sa naissance ou ses titres, mais par ses actes. J'ai plus de respect pour un palefrenier qui fait bien son métier que pour un comte ou un marquis qui n'a jamais rien fait de ses dix doigts...
- C'est une façon de voir émérite mais fort peu courante dans la haute noblesse.
- Hélas, Malkchour, hélas. Mais, comme aurait dit mon défunt précepteur : ''nous ne referons pas l'histoire ce soir''. C'est le ''ce soir'' qui m'a toujours ébaudi... Mais revenons à nos provatos (1). Le roi a été ravi de votre passe d'arme avec maître Arthas et a donc décidé, dans sa grande générosité, de vous faire un petit présent.
- Je remercie Son Altesse pour cela.
- Vous le pouvez, vous le pouvez. Ça n'a pas été simple, croyez le bien, de trouver le-dit présent. Suivez moi.

Le chambellan se leva et Burydan le suivit. Ils empruntèrent de nouveau un grand couloir et s'arrêtèrent devant une petite porte. Le chambellan entra dans la pièce et s'effaça pour laisser la place à Burydan.

- Voici votre titre de propriété, Malkchour...
- Mon... mon titre de propriété ? Mais... de quoi...
- Eh bien de votre cadeau...

Le chambellan fit un geste vers le centre de la pièce. Deux gardes s'écartèrent et là, assis sur une chaise, les yeux hagards et des traces de larmes sur les joues...

- Rhonin ! dit Burydan.
- Ce drôlissou est à vous. Il est officiellement votre esclave et vous pouvez en faire ce que bon vous semble, dit le chambellan avec un petit sourire en coin.
- Mais c'est... c'est... par les dieux... comment puis-je remercier le roi ?
- Eh bien une lettre bien tournée serait une bonne idée. De plus, le roi m'a demandé de vous remettre ceci.

Le chambellan tendit une nouvelle feuille à Burydan. Quelques lignes de la main même du roi, son sceau... c'était une lettre d'introduction pour tous les autres souverains de Genesia.

- Malkchour, je vous laisse avec votre petit cadeau... amusez-vous bien... le carrosse vous attend et vous mènera où vous le désirerez... au plaisir de vous revoir...

Burydan s'était ressaisit et fit un profond salut.

Il s'approcha de Rhonin en souriant. Le petit minet, assis sur une chaise, semblait paniqué. Ses beaux yeux bleus étaient tout embués de larmes.

- Ho, maître, c'est vous, dit-il de sa jolie voix. Qu'est-ce que... qu'est-ce que je fais ici. Ces soldats m'ont sorti de chez dame Alduine et m'ont mené céans. Mais on ne m'a rien dit et dame Alduine avait l'air furieuse... va-t-on... va-t-on me serrer en geôle ? Pourtant je n'ai rien fait de mal... je...
- Viens avec moi, le coupa Burydan. Je t'expliquerai.

Rhonin, tout trémulant, se leva et prit la main que Burydan lui tendait. Ils sortirent du palais et grimpèrent dans le carrosse qui les attendait. Le capitaine qui avait accompagné Burydan au palais était de nouveau avec eux, et il regardait Rhonin avec des yeux de rapace et un sourire gourmand aux lèvres. Burydan avait l'impression de lire dans ses pensées, il imaginait toutes les choses salaces qu'il pourrait faire au minet si on lui laissait l'occasion.

Revenus à l’auberge, Burydan fit un petit salut au capitaine qui lui rendit ses armes et prit Rhonin par la main. Il l'entraîna jusqu'à sa chambre et, sitôt la porte refermée, il l'enlaça tendrement en le serrant fort dans ses bras musclés.


(1) Provato : mâle de la provata. Mammifère ruminant de la race ovine, élevé pour sa laine et sa chair. Très semblable au mouton.




Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 21-10-2020

Oh la suite va être bien chaude


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - AL gayman - 21-10-2020

Certes sans surprise mais plein d'émotion tant pour Burydan que pour Rhonin.

Quand bien même Burydan détiens le titre de propriété de Rhonin, il n'aura jamais le statut d'esclave  et Burydan saura prendre soin de lui dans tous les sens du terme.

Merci Moloch pour cette petite parenthèse enchantée pour notre héro car il mérite de retrouver à nouveau un compagnon fidèle et dévoué.

Mille bisous bavouilleux de ma langue agile et experte sur ton corps sculptural

ALain


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 24-10-2020

Bonjour à tous et aux autres.

Merci pour vos coms les zamis.

Mon petit sohaibe, tu es vraiment un petit vicieux...  ;D

Merci pour les bisous et le ''corps sculptural'' ALain.

Tout de suite la suite... et un peu de mythologie pour le saïpong.


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 24-10-2020

CHAPITRE XCIV

''Solum meum est''



Burydan passa un doigt sous le menton de son petit minet et lui fit relever la tête. Il planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus et sourit.

- Maître, dit Rhonin, qu'est-ce qui se passe? Qu'est-ce que je fais céans ? Qu'est-ce que je...
- Déshabille-toi, le coupa Burydan en se reculant d'un pas.

Rhonin aurait pu protester, mais il avait été dressé à être un esclave docile et obéissant. Il commença donc à se déshabiller et se tint bientôt entièrement nu devant son maître.

Burydan le trouva encore plus beau que la première fois. Ses petits pectoraux, à peine dessinés, ses jolis petits tétons roses, son ventre plat, qu'il savait extrêmement doux et chaud, sa mignonne petite bite, recroquevillée pour l'instant mais qui laissait apparaître le bout de son gland joufflu, ses jambes longues et fines... il était... à croquer... et Burydan commença à se sentir à l'étroit dans son sous-vêtement.

- Retourne toi...

Rhonin obéit et Burydan pâlit. Sur le petit dos frêle,  sur la belle chute de reins et sur son adorable petit cul, plusieurs marques violacées se découpaient parfaitement sur la peau de lait. Dix stries rectilignes.

Burydan approcha et les dessina du bout des doigts.

- Qu'est-ce... qu'est-ce que c'est ?
- Tous mes clients n'ont pas été pas aussi doux et tendre que vous, maître...

Burydan pâlit encore plus. Un homme avait meurtri la chair tendrelette de son petit minet à coups de cravache.

- Tourne toi.

Rhonin obéit et regarda Burydan. Celui-ci enleva ses chaussures et ses chaussettes. Il retira sa chemise d'un grand mouvement ample, exposant son torse massif. Il se rappelait que Rhonin avait pris plaisir à caresser ses pecs. Il fit tomber son pantalon. Une phénoménale érection déformait son sous-vêtement. Il retira ce dernier morceau de tissu et sa bite jaillit, dure et dressée.

Burydan vit les yeux brillants de Rhonin caresser les reliefs abrupts de son corps. Il se coucha sur le lit et dit :

- Viens...

''Ah, d'accord, il veut y aller direct'' se dit Rhonin Lui aurait voulu qu'on lui dise ce qu'il faisait là. Bon, c'est vrai, il allait se faire baiser, c'était clair, mais pourquoi ici et pas chez dame Alduine ? Pourquoi les gardes du roi étaient-ils venus le chercher ? Il était paumé. Il se mit à califourchon sur Burydan. Il saisit sa bite. Il aurait aimé que son maître le prépare comme il l'avait fait la dernière fois, mais, apparemment, il était pressé. Il avala sa salive en imaginant la douleur qu'il allait ressentir à se faire prendre à sec. Il allait s'empaler sur Burydan quand celui-ci le saisit par les hanches.

- Non, pas ça... enfin, pas maintenant... couche toi à côté de moi et pose ta tête sur ma poitrine.

Rhonin poussa un soupir de soulagement. Il s’allongea à côté de son beau mâle et posa sa mignonne petite tête sur l'un des pectoraux massifs. D'une main il caressa le ventre bosselé de son maître pendant que Burydan lui caressait doucement le dos.

- Tu es à moi maintenant...
- A... à vous, maître ?
- Oui. Tu es mon petit esclave... officiellement.
- Vous... vous m'avez racheté ?
- Non. Tu es un cadeau.
- Un cadeau ? De qui ?
- Du roi, bébé. Je suis un épéiste, et plutôt bon. Le roi m'a convoqué dans son palais pour que je lui fasse une démonstration de mon art. J'ai combattu son maître d'arme et l'ai vaincu. Le roi a été tellement content de ce duel qu'il m'a proposé un cadeau. Titre, charge, pécunes, tout ce que je voulais. Et tout ce que je voulais, c’était... toi.
- Moi, maître ?
- Oui. J'avais envie de t'avoir à moi, tout à moi et rien qu'à moi...
- Pourquoi moi ?
- Parce que j'ai adoré te besogner... et avoir mon petit esclave sexuel personnel c'est assez... excitant...
- Donc je n'aurai plus a retourner chez dame Alduine ?
- Eh non...
- Me... me forcerez vous à vendre mon petit corps à d'autres hommes ?
- Tu es ma friandise, bébé, et je ne partage pas mes friandises.
- Et... me... me battrez vous ?

Burydan posa un doigt sous son menton et lui fit relever la tête.

- Je te jure que jamais, jamais je ne te frapperai... je te donne ma parole... et sache que Burydan de Malkchour respecte toujours sa parole... Je te donnerai peut-être la fessée de temps à autre, mais tu verras que tu adoreras ça... promis...

Rhonin n'était pas sûr qu'il adorerait ça mais lui fit tout de même un immense sourire, embrassa son pec et y nicha sa petite tête.

- Je suis ravi d'être votre esclave, maître.
- Même ce que ça implique ?

Rhonin releva de nouveau la tête.

- Euh... qu'est-ce que ça implique ?
- Ça implique, bébé, qu'à partir de maintenant, toutes les nuits tu vas te faire baiser comme un dingue, jusqu'à ce que tu demandes grâce...
- Toutes les nuits ?
- Toutes les nuits blondinet, et pour que tu comprennes bien ce qui t'attend, nous allons passer deux jours dans cette chambre et je vais te faire l'amour encore et encore et encore... Mais d'abord...
- D'abord ?
- Dodo.
- Dodo, maître ?
- Oui. Même si je meurs d'envie de m'occuper de ton petit cul, tu as l'air épuisé...
- En effet, maître, le voyage a été harassant et ça fait beaucoup de choses d'un seul coup...
- C'est normal. Donc, dodo. Je te veux en pleine forme pour pouvoir t'épuiser de plaisir...

Rhonin sourit, se cala confortablement contre le corps chaud de son maître et s'endormit au rythme des ses battements de cœur.


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 24-10-2020

MYTHOLOGIE UTOPIENNE 16

Petit précis de mythologie utopienne. seizième partie.


Diana

Fille de Hodin et de la nymphe Cara. Sœur jumelle de Phébus. Déesse de la chasse et de la faune sauvage, protectrice des jeunes filles.

Diana ne détestait pas tous les hommes, mais seulement la plupart. A sa naissance elle eut une révélation qui tenait en cinq mots : les garçons sont des bouffons...

Elle sortit la première du ventre de sa mère. En à peine une minute elle atteignit la taille d'un enfant de six ans et dit aux déesses venues aider la parturiente :

- Bon, connaissant mon frère, ça va pas être simple de la faire sortir. Faites bouillir de l'eau, apportez des linges propres et on va s'y mettre...

Diana devint donc une déesse protectrice des femmes enceintes (fonction qu'elle partageait avec Zara) et prit parfois l'épithète de ''guetotrou''.

Quand son frère, en naissant, se mit à danser et à chanter, Diana leva les yeux au ciel.

- Il ne peut pas s'en empêcher, dit elle, neuf mois avec lui a été pire que le Diyu...
- Et toi, demanda Frigga, tu danses ?
- Ça me ferait mal ! Par contre, tu pourrais m'emmener voir mon père ?

Frigga et Diana arrivèrent donc sur l'Olympe. Hodin était en train d'écouter les rapports hebdomadaires des dieux des vents et s'ennuyait ferme.

- Regardez qui voilà, dit le roi des dieux en interrompant un présentation powerpoint du vent du sud, Frigga et... une gamine...
- Je te présente ta fille, Diana... mais, si tu es occupé...
- Non, non... la météo peut attendre...

Il fit signes au dieux des vents de se retirer et dit :

- Alors ma chérie, viens me montrer à quel point tu es mignonne...

Dina monta sur les genoux de son divin papounet et lui passa les bras autour du cou :

- Oh, mon papa chéri, que je suis contente de te rencontre. Tu es le meilleur papa du monde...

Diana n'aimait pas les hommes, mais savait comment les mettre dans sa poche. Et Hodin fondit.

- Et toi tu es la plus mignonne de toutes les déesses... dis moi ce que tu veux, et tu l'auras...
- Tout ce que je veux ? demanda Diana en minaudant.
- Tout ce que tu veux... je le jure sur le Styx...

La chose à ne pas dire.

La plupart des jeunes filles auraient demandé un poney, le dernier i phone, un budget illimité pour une virée shopping entre copines ou un pass VIP pour le prochain concert de Justin Bieber, mais pas Diana. Elle prit une grande inspiration et dit :

- Promets moi de ne jamais me marier. Et puis je voudrais un arc et des flèches... non, laisse tomber, j'irai plutôt en demander un sur mesure aux cyclopes... je voudrais des suivantes, de huit ou neuf ans... après cet âge, les filles ne pensent plus qu'aux garçons et me seraient inutiles... des nymphes ou des mortelles, peu importe, du moment où elles promettent de rester célibataires... elles pourraient me suivre à la chasse, dépouiller les animaux que j’abattrai, s'occuper des chiens... ah oui, à propos, il me faut des chiens...

Elle s’arrêta, reprit son souffle, et reprit :

- Je veux aussi l'autorisation de chasser les bêtes féroces dans tout Genesia et que les montagnes me soient consacrées parce que c'est là que je passerai la plupart de mon temps. Pour mon temple... eh bien je te laisse le choix de la ville... voilà, je crois que c'est tout...

Hodin, un peu étourdit, éclata de rire :

- Tu es bien la fille de ton père, tu vois les choses en grand ! Tu auras tout ce que tu as demandé et je te consacrerai une trentaine de villes. J'ai idée que tu vas devenir une déesse très populaire...

Et Hodin avait raison. Diana devint extrêmement populaire auprès des femmes enceintes, des jeunes filles et des chasseurs. Du moment où vous chassiez avec parcimonie. Elle était aussi la déesse de la faune sauvage et gare à celui qui tuait pour le plaisir...

Les cyclopes lui fabriquèrent arc, carquois et flèches magiques en astrium et en trinium. Elle alla voir le grand Pan, satyre dieu de la nature et choisit plusieurs de ses meilleurs chiens. Chacun d'eux était rapide comme le vent et capable de tuer un lion. Alors imaginez quand ils chassaient en meute...

Son escorte se constitua très vite, nombreuses étaient les nymphes et les mortelles qui aspiraient à vivre en osmose avec la nature, et surtout éviter le mariage avec un vieux, bedonnant et vicelard qui avait donné à leur père la plus grosse dot, ou se faire harceler par un dieu éperdu d'amour... les suivantes de Diana étaient intouchables, à moins de vouloir se retrouver avec un flèche entre les deux yeux...

Diana se devait d'avoir un char... mais tiré par quoi ? Alors qu'elle chassait un énorme cerf, elle repéra des biches aux cornes d'or. Je sais ce que tu vas dire, lecteur : ''hé, patate, les biches ça n'a pas de corne''. Je sais, je sais... mais celles-là en avaient, je n'y peux rien... Bref, Diana tenta de les attraper, elle réussit à en capturer quatre, la cinquième lui échappant. La déesse décréta que quatre biches suffisaient largement et consacra la cinquième, respectant l'animal qui avait réussit à échapper à la déesse de la chasse. Elle fut l'une des épreuves d'Alcide lors de ses treize travaux.

Diana et Phébus ne se ressemblaient pas physiquement. Phébus avait les cheveux dorés et les yeux bleu azur, Diana avait les cheveux noirs et les yeux gris. C'était peut être dû à leurs attributs.

Petits enfants exemplaires, ils tiraient souvent les chars de leurs grands parents. Phébus celui de Shagma, le dieu-soleil (d'où les cheveux dorés et les yeux azur) et Diana celui de Selena, la déesse-Lune (d'où les cheveux noirs comme la nuit et les yeux gris comme la lune).

Mais, côté caractère, ils étaient identiques. Tous les deux archers émérites, ils pouvaient vous tuer n'importe où, n'importe quand, pouvaient tous les deux vous infliger la pire des maladies où vous guérir.

Beaucoup de cités adoraient Diana. Certaines d'une façon on ne peut plus normale, d’autres un peu moins...

A Sparte, par exemple, on rendait hommage à Diana en attachant un jeune garçon sur son autel et en le fouettant jusqu'au sang... Il faut dire que les Spartiates étaient un peu... spéciaux...

D'autres lui sacrifiaient des animaux, et en particulier... des chiens... alors que Diana adorait les chiens... j'espère qu'elle a puni ces salauds avec une bonne épidémie...

Petite aparté : en Chine, on mange des chiens, et c'esr de là que vient le coronavirus... je dis ça, je dis rien...

Mais ne pas lui faire de sacrifice n'était pas mieux. Oenée, rois d'une ville du nom de Calydon, oublia de lui faire un sacrifice, Diana envoya un cochon-de-la-mort-qui-tue. Gros comme un rhinocéros et doté d'un très mauvais caractère (de cochon) il ravagea la contrée. Méléagre, le fils d'Oenée, rassembla les meilleurs chasseurs et ils finirent par tuer Babe-sous-stéroides. Mais ça ne suffisait par à Diana : elle instilla la jalousie parmi les chasseurs, chacun s'attribuant le mérite de la victoire. Le tout dégénéra en guerre civile.

Mais le pire châtiment, Diana le réservait à ceux qui violaient son intimité. Un certain Actéon en fit les frais.

Alors qu'il chassait avec ses chiens, Actéon tomba sur un spectacle on ne peut plus agréable. Au pied d'un cascade, dans un lac naturel aux eaux cristallines, une sublime jeune fille se baignait. Actéon se tapit dan un coin pour l'observer. Lorsqu'elle sortit de l'eau, son corps ferme et poli et ses  rondeurs alléchantes le subjuguèrent. Et il tomba éperdument amoureux d'elle.

Il s'approcha et dit :

- Salut beauté, je suis Actéon et...

Il se figea. Il venait de la reconnaître.

- Tu m'espionnes au bain ?
- Non, non, ô déesses, c'était un accident... mais... je t'aime... épouse moi...
- Tu me prends pour ta proie ?
- Non, non, bien sûr que non... je...
- Tu veux faire de moi ton gibier et lâcher tes chiens sur moi ?
- Non, je te jure que non... je... je...
- Aucun mortel ne peut vivre après m'avoir vue nue... je suis la chasseresse et tu es la proie...

Actéon se tordit soudainement de douleur et son corps fuma et se transforma. Diana le changea en un grand cerf. Ses propres chiens, dressés pour cela, se jetèrent sur lui et le dévorèrent.

Un certain Sipriotes eut la même mésaventure. Surprenant Diana au bain, il se prosterna à ses pieds :

- Pitié, déesse, pitié, je ne veux pas être transformé en cerf...
- Aucun homme n'a le droit de me voir nue...

Mais Sipriotes n'étais pas un homme mais un jeune garçon. Aussi Diana le changea-t-elle en fille et il rejoignit ses suivantes.

Deux hommes rejoignirent tout de même les chasseresses de Diana.

Le premier fut Orion. Enfin, c'était pas vraiment un homme, mais un demi géant. Demi, parce qu'il mesurait à peine deux mètres. Il avait un peu trop courtiser la fille du roi de Chios, et ce dernier l'avait banni après lui avoir fait crever les yeux.

Dans son errance, il rencontra Kagutsuchi, à qui il raconta son histoire. Le dieu des forgerons, touché, lui offrit une paire d'yeux mécaniques. Grâce à ces yeux, il devint un excellent chasseur (vision nocturne, visée automatique, capteur de chaleur, nombre de point qu'une bête peut rapporter à Warcraft). Mais Orion fut un jour prit de frénésie et se mit à tuer tout ce qui bougeait... Genesia en prit ombrage et lui envoya un scorpion géant qui le piqua en plein milieu du torse.

Quand Diana le retrouva, elle le plaça dans le ciel où il devint la constellation D’Orion, juste à côté de celle du... Scorpion.

Le deuxième s'appelait Hippolyte, il était le fils de Thésée. Diana accepta car ce garçon, très beau par ailleurs, ne s'intéressait qu'à une seule chose : la chasse.

Angelina, la déesse de l'amour, en prit ombrage :

- Nom de moi-même ! Un garçon beau comme lui qui se retrouve seul avec 80 jeunes filles et il ne se passe rien !! Je ne peux le supporter !!!

Hippolyte retourna voir son père. Celui-ci, aiguillonner par Angelina, ordonna à son fils de se marier pour perpétuer sa lignée. Hippolyte refusa, les esprits s'échauffèrent, Thésée tira son épée et tua son fils.

Diana l'apprenant prit le corps du jeune homme et parcourut tout Genesia à la recherche de son neveu, Asclépios, fils de Phébus.

- Tiens, salut tantine...
- Je viens te voir pour lui. Guérit le, s'il te plaît...
- Il a quoi ?
- Il est mort...
- Ah, ça c'est une maladie toujours fatale. Je vais voir ce que je peux faire...

Et Asclépios ressucita Hippolyte. Mauvaise idée : Angelina s'en plaignit (oui, elle a la rancune tenace), Yama lui même s'en plaignit et Hodin foudroya Asclépios.

Mais, après coup, comme c'est souvent le cas avec Hodin, ils se rendit compte du bien qu'Asclépios avait fait aux hommes et le plaça dans le ciel où il devint la constellation du Serpentaire.

Diana en voulut toujours à Angelina... mais ça, c'est une autre histoire...





Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Tonton Tim - 24-10-2020

Ah, j’ai enfin rattrapé mon retard sur ce récit.
Et même si c’est très plaisant à lire, à la longue cela finit par faire mal et il faut bien se soulager ....
Heureusement les chapitres de mythologie utopienne viennent à point pour faire retomber la pression un peu comme les changements de position en plein coit...
Notre héros a une sacré santé et une endurance hors du commun...sans parler de ses capacités d’absorption, tant par la bouche que par derrière ... 23 pouces... faudrait que je retrouve la règle de conversion ....j’espère que le pouce de ton récit  est plus près du centimètre que du pouce impérial .
Et puis une des grands plaisirs de ce récit est aussi la lecture des commentaires adorables du Renardeau à qui je fais un coucou en passant.
Dois je faire un résumé de ce que je viens de lire? Je pourrais me contenter des prénoms des heureux élus de ces derniers chapitres Rhonin, Joachim, Alix, Arthas Et j’en oublie certainement ...
Donc un meilleur résumé serait trique et sexe à gogo... on sent que l’auteur a testé toutes les scènes de sayxe en vrai avant de les écrire (pour le plus grand plaisir de son blondinet... )
Un dernier compliment concernant le vocabulaire de vieux Français parfumé de fantaisie molochienne  et le choix des noms propres...

Tonton Tim




Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 25-10-2020

Mmmmmmm tout les jours il va le faire hurlé de plaisir


Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Sohaibe - 25-10-2020

Oui 23 pouce combien de cm


Re : Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 25-10-2020

Je rejoins [member=46]Tonton Tim[/member] (kikoo, tonton Wink ) sur le langage joliment suranné si élégant – ajd j’ai appris ‘trémulant’ -  qui ajoute une dimension… disons poétique faute d’un meilleur terme à l’histoire, et une forme de politesse respectueuse car – dans le chef du chambellan et du roi, déjà – indépendante de la naissance, mais basée sur les seuls mérites de chacun  Smile 
L’un comme l’autre se perdent un peu, c’est dommage…
Il a récupéré Rhonin, et les retrouvailles sont touchantes, dans mon souvenir, il lui faisait un amour tendre, et mm si les scènes plus ‘musclées’ sont – différemment – efficaces, c’est ce que je préfère légèrement Smile
Après, Burydan n’a tjs pas senti de vibrations dans la poignée de son épée, le garçon n’est pas encore son kohaï, son rôle sera ailleurs…  (¬‿¬)  Compte tenu des perspectives pour le sensei au terme de l’écolage, tant mieux, longue vie à lui Wink
(24-10-2020, 06:12 PM)Moloch link a écrit :Je te veux en pleine forme pour pouvoir t'épuiser de plaisir...
Logique, aussi, baiser un zombie comateux… ¬_¬

Diana fait penser aux enfants qui grimpent sur les genoux des Père Noël de centre commerciaux et font consciencieusement la liste des articles indispensables pour l’année qui vient Smile)))) 
Encore un chapitre mythologie où les anecdotes ne commencent (presque) sérieusement que pour trouver une fin cocasse, ça m’amuse bcp à chaque fois, merci, m’sieur !  Big Grin