Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) (/showthread.php?tid=74) |
Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 28-02-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Ben a fait son coming out devant les scouts, c’était courageux de sa part. Il me semble que des scouts doivent être tolérants, on ne peut pas faire des « bonnes actions » et en même temps critiquer les autres, mais je suis peut-être trop idéaliste. Si je me rappelle bien du début du récit, tes scouts n’hésitaient pas à se branler ensemble... Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 28-02-2021 (28-02-2021, 07:20 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Ben a fait son coming-out devant la troupe scoute. Les scouts sont souvent tolérants et ouverts, mais pas tous malheureusement. C'était le cas dans l'ancienne troupe de Phil. Comme tu le soulignes, dans l'ancienne troupe de Phil, dans sa patrouille, les scouts se branlaient effectivement ensemble .... Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-03-2021 Chapitre 3. Suspens ! Puis j’avais demandé à Marie de venir près de moi dans le salon. C’est alors que je lui avais demandé ce qui se passait. Je l’avais trouvée assez anxieuse. Je lui avais alors posé cette question : Moi : « Marie, je vois que tu n’es pas bien. Il y a quelque chose que ne va pas, tu peux tout me dire, qu’est-ce qu’il y a ? Mar : Oh Phil, je ne sais pas. Tu sais j’ai l’impression parfois d’être suivie quand je rentre à la maison. Puis quand je suis seule dans la maison, j’ai l’impression que quelqu’un m’épie. Moi : Marie, tu en es sur, qui veux-tu que ce soit. Tu connais quelqu’un qui pourrait ainsi te faire peur ou qui t’en voudrait ? Mar : Non, je ne vois pas qui pourrait faire ça. Puis ce n’est qu’une impression, mais ça me fait flipper. Moi : Bon tu veux que je vienne avec toi pour que tu rentres accompagnée jusqu’à chez toi. Mar : Oh oui Phil, tu veux bien. Moi : Bien oui, évidemment, sinon je ne t’en aurai pas parlé ! Mar : Merci mon Philou, je t’adore. » Marie s’était pendue à mon cou et me couvrait de baisers. Je voyais très bien qu’elle était soulagée à l’idée que quelqu’un, moi en l’occurrence, l’accompagne sur le trajet de retour. Pour ma part je pensais qu’elle avait des impressions ou son imagination, car il commençait à faire noir assez tôt en cette période d’avant Noël. Nous arrivions à avoir les journées les plus courtes de l’année. J’avais averti maman que j’allais reconduire Marie chez elle sans trop insister sur la raison. Maman avait marqué son accord. J’avais donc pris le chemin menant à la maison de Marie en sa compagnie. Il faisait déjà noir et les réverbères n’éclairaient pas fort. Bon, il n’y avait pas de quoi avoir peur. Après dix minutes de marche, nous étions arrivés à destination. Nous étions donc entrés. Marie m’avait proposé quelque chose à boire, j’avais accepté un verre d’eau avec du sirop de citron. Nous nous étions installés Marie et moi dans un canapé du salon. Nous parlions de chose et d’autre. Je la remerciais de ce qu’elle faisait pour moi, soit de m’aider à me rattraper pour les cours et aussi de m’écouter et de me donner son avis. Nous avions parlé ensemble pendant près d’une bonne heure. C’est sa maman qui revenait de son travail qui nous trouva en pleine discussion. Elle fut étonnée de me voir. C’est Marie qui lui expliqua la raison de ma présence. Comme moi sa maman pensait qu’elle devait sentir quelque chose d’imaginaire, qu’il n’y avait rien de bien concret. Puis elle me proposa gentiment de rester pour le repas. J’avais accepté mais il fallait prévenir maman de ce changement de programme. Maman avait bien entendu accepté, j’en étais très heureux. C’est vrai que j’appréciais la compagnie de Marie, elle était ma confidente et pour ainsi dire la seule qui me comprenait et qui avait tout de suite accepté mon homosexualité. Pour cela je ne pouvais que l’aimer comme une très, très bonne amie. C’est donc à l’issue du repas que j’avais pris congé de Marie pour revenir à la maison. En chemin, j’avais rencontré Roland, le scout de mon ancienne unité, celui qui m’avait fait tant de mal en parole. J’étais passé à côté de lui sans le regarder. C’est lui qui m’avait dit bonjour. Je l’avais salué pour être poli mais j’avais poursuivi mon chemin ; Il m’avait demandé d’attendre et je lui avais dit que nous n’avions plus rien à nous dire. J’avais continué à marcher sur le trottoir sans me retourner. Je n’avais pas envie de discuter avec lui, de plus je repensais à ce qu’il m’avait dit au début de la réunion, puis bien entendu toute la souffrance par la suite. Je devais maintenant me concentrer pour me préparer à la réunion chez les scouts de dimanche, car j’avais peur de revivre la même chose. De toute façon je n’avais pas encore pardonné à Roland. Un jour peut-être, mais c’était bien trop tôt ! J’étais rentré à la maison et j’avais fait part de ma rencontre avec Roland à maman. Elle avait été étonnée de savoir également que Marie avait peur de rentrer seule chez elle car elle se sentait suivie et épiée. Je me posais aussi des questions, pourquoi Roland était-il dans le quartier, il n’habitait pourtant pas par ici. Ça commençait à m’intriguer. J’avais dit bonne nuit à mes parents et j’étais allé dans ma chambre. J’avais mis un disque de « Yes » et j’avais pris mon bouquin. Nous étions le samedi matin. Je ne savais que faire, il faisait mauvais à l’extérieur il pleuvait. J’avais joué avec Jean au "stratégo" et à d’autres jeux pour passer le temps. Je savais qu’au soir j’allais aller chez Benoît pour loger et ensuite nous irions à la réunion. Je m’étais préparé et papa m’a avait déposé chez Ben. Les deux papas s’étaient salués et avaient pris un verre ensemble. Benoît était heureux de me revoir. Nous nous étions embrassés devant ses parents et papa. Ils n’avaient rien dit. Nous n’avions pas exagéré non plus. J’étais allé mettre mes affaires dans la chambre de Ben et nous nous étions au salon. La télévision été allumée et nous avions regardé le film de cette fin d’après-midi. Le repas du soir ayant été pris, nous avions Ben et moi été prendre notre douche avant d’aller dans la chambre pour la nuit. J’avais une nouvelle fois posé un tas de question à Ben pour savoir comment ça allait se passer à la réunion, pour savoir si Jean-Pierre était gay ou pas, etc. Avant de nous endormir, j’avais regardé mon ange blond aux yeux bleus profonds. J’avais approché mes lèvres des siennes et nous nous étions embrassés langoureusement. Nos langues dansaient ensemble un beau ballet. Nos mains se baladaient sur nos corps nus. Elles allaient et venaient au gré de nos envies. Puis elles s’étaient attardées au niveau de nos attributs dressés. Ils n’attendaient que ça pour prendre encore du volume. Nous nous masturbions avec volupté, avec attention en tachant de procurer du plaisir à notre partenaire. Nos bouches étaient souvent soudées, elles appréciaient de se donner l’une à l’autre. Nous nous aimions, nous aimions être réunis et profiter de nos corps pleins de vigueur. Nous avions découvert chacun ce que notre amour aimait et nous tachions de lui procurer toute l’attention voulue pour qu’il puisse ressentir cette énergie et tout l’amour qui nous habitaient. Puis d’un râle presque commun nous avions joui sur nos abdominaux heureux d’avoir pu procuré du bonheur à l’être cher et bien entendu avoir aussi ressenti ce bonheur si bien partagé. Nous nous étions essuyés avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Au matin, après avoir bien dormi, nous avions été réveillés par le papa de Ben, Yves. Il nous avait ainsi réveillés doucement en nous caressant les cheveux doucement. Il avait un grand sourire aux lèvres qui contrastait avec l’épisode de la salle de bain. Une bonne douche, bien séchés et nous voilà prêt pour enfiler nos uniformes scouts. C’est à ce moment-là que j’avais eu comme un pincement au cœur. Oui, dans moins d’une heure je serais devant le reste des scouts et je serais épié et observé sur toutes les coutures. Mais aurais-je assez de courage ! Ben avait vu ma tête changer alors que nous nous installions à table pour prendre le petit déjeuner. Yves avait lui aussi vu ce changement dans mon attitude. Puis des larmes s’étaient mises à couler sur mes joues. C’est Yves qui s’était levé et qui m’avait pris dans ses bras. Il me consolait en me disant que cela se passerait très bien. Finalement j’avais mangé un petit-pain au beurre et bu une tasse de café. J’avais encore la boule au ventre. Le trajet en voiture avait duré une dizaine de minutes. Yves s’était arrêté à cinquante mètres du local. Il avait dit qu’il attendrait un quart d’heure pour savoir si tout s’était bien passé lors de mon arrivée au milieu des scouts. Ben marchait à côté de moi et nous arrivions devant l’entrée du local. Ben était juste devant moi, il avait ouvert la porte du local et presque tous les scouts étaient déjà présents. Je suivais Ben. Comme à l’habitude nous faisions le tour des scouts assemblés pour les saluer en guise de bonjour. Nous commencions par les chefs comme de bien entendu. En passant à la hauteur de Jean-Pierre celui-ci me fit un clin d’œil. Puis les autres scouts répondaient à notre bonjour. Ayant terminé les salutations nous nous étions placés Ben et moi au bout de la file. Trois scouts, soit les derniers, étaient entrés et avaient fait à leur tour le tour des scouts déjà présents. Tous les scouts étant maintenant tous présents à l’appel, la réunion pouvait donc commencer. Le chef de troupe donna alors la parole à Jean-Pierre. J-P : « Bonjour à vous tous. Comme vous le savez à l’issue de la dernière réunion, soit samedi dernier, nous avons montré combien Benoît était pour nous un scout à part entière. Il avait d’ailleurs fait devant nous tous, une déclaration qui lui était propre et personnelle. Notre ami Benoît nous disait qu’il était homo et nous l’avons accepté sans problème. Tous les scouts avaient applaudis ! J-P : Je sais que certains d’entre vous se posent la question de savoir si notre nouveau scout, Phil est lui aussi gay. Phil vient d’une autre troupe, je sais ce qui s’est passé pour lui et je respecte entièrement sa décision de changer d’unité et de venir dans notre troupe. Pour ma part je suis très heureux qu’il soit venu chez nous. Je vous demande aussi de l’accueillir comme il se doit. Moi : Bonjour à tous. Merci de m’accueillir dans la troupe. Je suis scout depuis plus de trois ans et comme l’a dit Jean-Pierre j’étais dans une autre troupe. C’est à la première réunion de septembre que j’ai décidé de quitter les scouts. C’est Benoît qui m’a redonné l’envie de poursuivre le scoutisme. Nous étions dans la même chambre d’hôpital à la fin septembre. J-P : Merci pour ces précisions Phil. C’est très bien d’avoir repris le scoutisme. As-tu autre chose à ajouter, sachant que certains scouts ont vu Benoît et son papa chercher après toi il y a deux semaines. Moi : Je ne sais pas si je dois dire, si je dois ….je ne suis….j’ai…peur d’être rejeté comme je l’ai été dans mon autre troupe scoute ! Des larmes arrivaient à mes yeux et c’est au prix d’un énorme effort que je les retenais. Puis reprenant mes esprits, je poursuivais la voix enrouée : Moi : Oui j’ai été rejeté deux fois parce que je suis gay ! J-P : Merci de ta franchise Phil. Alex : Phil, soit le bienvenu à la troupe. Alex s’était avancé vers moi et m’avait serré la main. Il m’avait ensuite fait un salut scout impeccable. Puis les autres scouts se sont eux aussi tous levés pour venir me saluer. Les chefs avaient aussi fait de même. J’avais des larmes qui coulaient sur mes joues, mais c’étaient des larmes de joie et j’avais un large sourire. Mon ami Ben m’avait lui aussi salué. Une fois cette ronde de bienvenue terminée, chacun avait repris sa place. Et c’est Benoît qui s’était levé et qui avait pris la parole. Ben : Jean-Pierre, me permets-tu de dire un mot, je pense que tu sais ce que je compte dire. J-P : Oui bien sûr Benoît. Je demande à tous d’être réceptif et de bien comprendre que ce n’est pas facile pour Benoît et je pense pour Phil. Ben : Merci à vous de m’écouter. Comme Phil l’a dit on s’est rencontré à l’hôpital, nous étions dans la même chambre. Phil était là car il avait fait une tentative de suicide à la suite de son rejet de son ancienne troupe scoute. On entendait des « Oh, non, ce n’est pas vrai » et Ben continuait : Ben : Oui, c’est un scout ou même plusieurs qui l’avaient rejeté. Je vous avais dit la semaine passée que j’étais homo. Eh bien mon ami, mon petit ami c’est Phil. Nous n’en avons jamais fait état et nous sommes toujours restés très correct. Ici à la troupe nous sommes d’abord scouts et le reste c’est en dehors. J-P : Bravo Benoît. Il y a encore certaines choses que Phil n’a pas dites, mais ça le regarde ; il fera ce qu’il trouve bon de faire par la suite, c’est lui seul qui sait quoi. Alex : Phil, comme je le pense et tu l’as remarqué, tu es le bienvenu à la troupe. Si un jour un scout ose avoir des attitudes ou ose tenir des propos homophobes à ton égard ou à l’égard de n’importe quel autre scout, il aura à faire à moi. J-P : Très bien Alex. J’ajoute que le scout qui se comporterait de la sorte se verrait exclus de la troupe sur le champ. » Tous les scouts s’étaient levés et avaient applaudis. Ben était lui aussi au bord des larmes. Puis j’avais vu dans l’ouverture de la porte du local Yves, le papa de Ben, qui pleurait. Il m’avait fait un signe ainsi qu’à Ben et il avait quitté le local pour rentrer, apaisé, chez lui. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 02-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Marie à l’impression d’être suivie. Serait-ce Roland ? Phil fait également son coming out devant la troupe des scouts. Cette fois tout est clair et l’homophobie ne sera pas tolérée. Je m’imagine qu’il pourrait quand même y avoir des commentaires une fois que Phil et Ben auront le dos tourné. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-03-2021 (02-03-2021, 07:49 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member].Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Marie semble être suivie mais par qui. C'est curieux le fait que Phil croise Roland dans le quartier alors qu'il est loin de chez lui ! Phil a fait son coming-out devant la troupe. Cela semble s'être très bien passé. L'homophobie n'est pas admise à la troupe, mais on ne sait jamais la réaction de certains quand ceux qui sont homos tournent le dos ! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 02-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Marie pense être épiée et parfois suivie lorsqu'elle rentre chez elle. Elle en parle à Phil qui fait le trajet avec elle. C'est vraiment intrigant de voir Roland rôder dans le quartier, loin de chez lui. C'est Phil qui le croise et qui se pose la question sur sa présence. Phil est arrivé au local des scouts. Une mise au point est faite par les responsables. Suite à ce qui a été dit, Phil fait son coming-out devant la troupe, indiquant qu'il est le petit ami de Ben. La chose est prise d'une très bonne façon. Les scouts applaudissent. Comme [member=28]Lange128[/member] , je pense qu'il y aura des sous-entendus ds que Ben et Phil auront le dos tourné. Merci Philou pour cette belle suite. Je t'embrasse Philipppe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-03-2021 (02-03-2021, 08:52 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Beau résumé de la suite. Effectivement, pourquoi Roland se trouve-t-il dans la quartier où habite Marie? Est-ce lui qui suit et épie Marie? Nous en saurons plus dans les suites à venir! Phil et Ben ont donc été acceptés tels qu'ils sont. Les animateurs de la troupe scoute ont été très clair, pas de propos homophobes à la troupe. Il est toujours possible qu'il y ait l'un ou l'autre qui ne soient pas d'accord d'avoir des jeunes "différents" à la troupe. Ils savent que s'il se passe quelque chose, ils seront exclu des scouts! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 04-03-2021 Courte suite! Toute cette journée passée aux scouts a été une des plus enrichissantes que j’avais eu à connaître. Lors du trajet effectué à pied depuis le local jusqu’au bois, pratiquement tous les scouts avaient fait un bout de chemin avec moi. Chacun me parlait, me posait des questions, mais des questions intelligentes. Certains m’avaient félicité d’avoir eu le courage de dire que j’étais homo, ils n’avaient rien remarqué ce qui me faisait comprendre que Benoît et moi nous avions su nous tenir et qu’à aucun moment nous n’avions de geste équivoques. Puis à un moment, alors que l’effervescence était un peu retombée, c’est Jean-Pierre qui avait fait un bout de chemin avec moi et Benoît. Nous parlions de choses et d’autres. J’avais une question qui me taraudait et je n’ai pas pu m’empêcher de la poser à Jean-Pierre. Moi : « Jean-Pierre, puis-je te poser une question personnelle, il y a quelque chose qui me vient régulièrement en tête, mais tu n’es pas obligé de répondre. J-P : Oui Phil, tu peux toujours me poser ta question, je verrai si j’y répondrai. Moi : J-P, ne m’en veut pas, mais tu m’as défendu comme tu as aussi défendu Benoît, es-tu homo ? J-P : Oh Phil, je comprends bien ta question et tu as raison de la poser. Je vais même te répondre. Non je ne suis pas gay. En fait j’ai un frère qui lui est homo et je sais donc que ce n’est pas facile de vivre en tant que tel. Alors j’ai toujours fait tout mon possible pour comprendre mon frère, l’aimer tel qu’il est et aussi parfois, quand il le fallait, de le défendre. Tu sais Phil, ce n’est pas toujours rose et je sais que tu en as souffert. Je suis au courant d’une partie de ce qui s’est passé dans ton ancienne unité et puis ton amitié avec Henri. Moi : Un tout grand merci J-P de m’avoir répondu. Tu en connais d’autre des jeunes comme Ben et moi ? J-P : Oh oui Phil, j’en connais et je suis bénévole dans une association qui s’est investie dans la défense des homosexuels garçons et filles, ainsi que des « bi ». Tu vois avoir un frère homo m’a ouvert les yeux. Moi : Dis, si un jour j’ai un problème, je peux te contacter ! J-P : Mais bien entendu Phil et c’est la même chose pour Ben. » J’étais soulagé, j’avais découvert que J-P venait en aide aux homos au sens large. Je comprenais pourquoi il m’avait accueilli aussi bien. Je ne savais que penser, j’avais le cœur gros, mais j’avais été pour une fois assez franc avec J-P. J’avais besoin de ça pour me reconstruire. Les jeux au bois s’étaient très bien déroulés, ma patrouille avait terminé deuxième. Tous les scouts étaient contents. Les chefs n’avaient pas du sévir, toute la journée s’était passée dans un climat très bon-enfant. Puis c’était le chemin de retour. Encore une fois des scouts s’étaient placés à mes côtés pour discuter avec moi. C’était tellement positif, c’était très humain sans en faire de trop. Puis c’est Alex qui s’était mis près de moi. Il avait l’air content lui aussi, il m’avait alors dit : Alex : « Alors Phil, cette journée, ça a été ? Moi : Oh oui, très bien Alex. Mais, j’espère que je ne vais pas te froisser, je voudrais te poser une question, libre à toi d’y répondre ou pas. Alex : Oui Phil, tu peux me poser ta question, mais je pense savoir ce que tu vas me demander. Moi : Ah bon, et bien écoute Alex, tu as été si prévenant avec moi et avec Benoît aussi, tu défends les homos, est tu gay ou alors c’est juste comme ça ! Alex : C’est bien ça que je m’attendais à entendre. Non je ne suis pas gay. Tu sais, je ne l’ai pas dit à beaucoup de scouts, Jean-Pierre est au courant et je te demande de ne rien raconter de ce que je vais te dire. Puis-je avoir confiance en toi Phil. Moi : Oui Alex, je garderai ton secret et je ne le dévoilerai pas ! Alex : Eh bien voilà, c’est mon père qui est homo ! Moi : Oh désolé Alex. Je ne t’ai pas vexé au moins ! Alex : Non, mais tu vois je sais ce que c’est que d’avoir quelqu’un qu’on aime et qui est homo. Puis tu le sais que ce n’est pas si facile que ça de vivre sa sexualité surtout pour le moment. Moi : Oh Alex, merci de la confiance que tu me témoignes. Alex : Mais pas de quoi mon ami. Tu vois je ne supporte pas les homophobes, j’en ai déjà tellement vu. Et puis mon père en a souffert. C’est devenu pour moi une raison d’aider les jeunes qui sont en difficulté, comme toi Phil. Je ne connais rien de toi, je savais juste que tu étais le petit ami de Ben et que son papa et lui te cherchaient. C’est tout. Si tu veux qu’on en parle une autre fois, je serai là pour t’écouter. Moi : Merci Alex. Peut-être qu’un jour je t’en parlerai. » Nous avions poursuivi la route jusqu’au local. La réunion allait se terminer. Le chef de troupe avait fait le bilan de cette journée. Il l’avait qualifié de « journée d’ouverture et d’accueil de l’autre ». Par ces mots, il pensait surement à moi et à Ben. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 04-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Courte suite mais très optimiste, cette « journée d’ouverture et d’accueil de l’autre » permet de faire des confidences. Le père d'Alex est homo et il l'a révélé à son fils. J'ai parfois pensé que le mien pouvait aussi l'être, plutôt bisexuel, ce n'est qu'une supposition. Il a eu en tout cas eu deux amis qui l'étaient et cela ne le gênait pas. Dommage que je n'aie jamais pu discuter avec lui de cela. Je t'embrasse. Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 04-03-2021 (04-03-2021, 12:29 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui cette suite est optimiste. Elle annonce des jours meilleurs pour Phil et Ben. Le fait d'être entouré par l'un ou l'autre qui sait ce que vive les "homos", est très important, ils peuvent venir en aide et soutenir ceux qui sont dans le désarroi! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 04-03-2021 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Très belle suite. De beaux dialogues très positifs. Phil se sent très bien, il est accepté tel qu'il est et les scouts savent que c'est le chéri de Ben. Merci pour ces bons moments. Je t'embrasse Philippe Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 04-03-2021 (04-03-2021, 04:00 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonjour [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour ton com ! Très beau résumé, tout y est! Phil sait qu'il est soutenu par des scouts qui ont un père ou un frère gay, ils savent dés lors ce que vivre les personnes "différentes"! Merci Philippe de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois ! Je t'embrasse! Philou Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 06-03-2021 TOME 4 : RENAISSANCE
Partie 1 : EPANOUISSEMENTTous les scouts avaient alors entonné « le cantique des patrouilles » avant de nous quitter. C’était pour moi un très beau chant plein de belles choses. Puis chaque scout avant de quitter le local, allait saluer les chefs. En passant à hauteur de Jean-Pierre, celui-ci m’avait fait un clin d’œil ! J’étais heureux, jamais je n’aurai pu m’imaginer vivre une telle réunion scoute comme celle que je venais de vivre. J’avais été accueilli comme si j’avais toujours été un des leurs. J’avais presque les larmes aux yeux tellement c’était poignant pour moi. Ben l’avait vu et m’avait dit : Ben : « Alors Phil, tu es très sensible mon ami. Moi : Oui Ben, oui, je n’avais jamais connu une telle réunion avec une telle ouverture d’esprit. Je suis heureux Ben, enfin. Ben : Oui, je l’avais remarqué Phil. Tu sais pour moi aussi puisque maintenant tous les scouts sont au courant que je suis ton petit ami. Moi : C’est vrai, tu as toi aussi dû avoir un peu peur des réactions des scouts à la suite de cet aveu. Ben : Je vais être franc, oui, j’avais la boule au ventre. Moi : Merci Ben, merci d’avoir été là pour me seconder, pour m’épauler à la troupe et puis bien sûr, merci de m’aimer. Ben : Oh Phil, mais je sais que toi aussi tu m’aimes. » Nous nous étions enlacés, sans plus, pour ne pas heurter les scouts qui partaient ainsi que les passants éventuels et puis nous avions rejoint la voiture d’Yves. Il nous attendait avec impatience. Même à 20 mètres de la voiture dans la pénombre de ce début de soirée, il pouvait voir que nous avions le sourire, que nous étions tous les deux heureux. Ben et nous avions pu voir son visage s’éclairer d’un large sourire. On voyait qu’il était content, heureux lui aussi de nous voir si émerveillés. Yves avait demandé comment la réunion s’était déroulée, je ne savais que dire et j’avais laissé la parole à Benoît. Il expliquait alors de long en large le déroulement de la journée. Il disait ce qu’il avait ressenti et parfois je répondais par des « Oui, c’est vrai », ou alors « Non Ben, c’est comme ceci ou comme cela ». Finalement nous étions arrivés à la maison. J’avais demandé à Benoît et à Yves de venir quelques minutes en vue de saluer mes parents et ainsi de parler un peu. Ils avaient accepté. Papa et maman nous avaient vus entrer dans le salon où ils se trouvaient avec Anne et Jean. Dès le premier regard tous avaient vu mes yeux qui pétillaient ainsi que ceux de Ben. C’est Anne qui s’était levée et était venue nous enlacer. Papa avait été salué Yves qui restait un peu en retrait. Papa avait vu que Yves avait les yeux humides, et ils se sont eux aussi enlacés. Maman et Jean restaient assis, le regard posé sur nous et sur nos pères. J’étais allé rejoindre maman et dans ses bras je me suis mis à pleurer de bonheur. Ben était lui aussi venu près de maman et elle nous avait alors dit : Mam : « Oh mes deux loulous, que je suis heureuse de vous voir comme ça. Ce n’est pas la peine de vous demander comment la réunion s’est passée, il suffit seulement de vous regarder et on a compris. Yves : Oui, il suffit de les regarder pour comprendre. Je suis moi aussi très heureux de les savoir si bien accepté par les autres scouts. Papa : Bon, Yves, un petit apéro pour fêter ça, cela ne se refuse pas. Yves : Bon, ça va, je suis partant. » Papa avait été cherché deux bouteilles de champagne. Maman avait coupé un bloc de fromage en dés et un saucisson sec en fines tranches. Nous avions alors tous trinqué à notre santé à Ben et à moi. Jean et Anne étaient eux aussi super contents de voir que nous étions heureux. Je savais qu’enfin la vie pouvait maintenant nous sourire un peu plus. Papa avait alors pris la parole en ayant regardé maman peu avant. Il avait dit : Papa : « Yves, penses-tu que ce serait intéressant que de faire le réveillon de Noël ensemble. Je t’invite toi et ta famille à venir réveillonner avec notre famille ici le 24 décembre ! Yves : Oh Jean-Claude, c’est une très belle intention, j’en serai ravi, mais je dois m’entretenir avec Arlette à ce sujet. Je te recontacte dans un jour ou deux, mais si cela ne tenait qu’à moi, c’est oui de suite ! Papa : C’est bon, tu nous dis quoi et on s’organise ! Mam : Oui, Jean-Claude ce sera l’occasion de mieux nous connaître. Yves : Merci Jacqueline, c’est parfait Jean-Claude, mais je pense que ma chère et tendre sera d’accord ! Moi : Oh, ce sera un réveillon unique, jamais on ne pourra être aussi heureux de nous retrouver, merci Papa ; merci Yves de bien vouloir insister auprès d’Arlette pour que ce soit oui ! Ben : Oh oui papa, il faut que nous soyons tous réunis. Je compte sur toi ! Yves : Oh les garçons. Nous verrons ce que ta maman dira Benoît ! Papa : En tout cas, j’espère que ce sera oui. Yves : Merci Jean-Claude, je crois que nous allons vous laisser en famille. Ben, il est temps de rentrer, demain il y a école ! Ben : Oui Papa, on va y aller. » Ben m’avait dit au-revoir, nous nous étions embrassés délicatement sur la bouche sans que cela ne gêne quelqu’un. Nous savions que les vacances de Noël allaient arriver, il ne restait qu’une semaine avant les congés. La soirée s’était donc terminée en famille, tous réunis devant la télévision. Nous étions allés nous coucher. Bip, bip, bip, … c’était ce satané réveil qui sonnait. Il était temps de se lever pour aller à l’école. Une douche, le petit déjeuner et en route pour la dernière semaine de cours avant les vacances de Noël. En descendant du bus, j’avais vu que Marie attendait au niveau de la grille d’entrée du bahut. En me voyant elle m’avait fait un large sourire. Une fois auprès d’elle je lui avais fait la bise. Moi aussi j’avais le sourire. Nous étions entrés dans la cour et ensuite sous le préau. Je lui avais demandé comme elle allait et si elle avait encore eu des craintes concernant la personne qui l’épiait. Elle m’avait dit que depuis la dernière fois ça semblait s’être calmé. Moi de mon côté je commençais à expliquer mon week-end à Marie lorsque la sonnerie du début des cours avait retenti. J’avais dit à Marie que je lui expliquerais tout durant l’heure de midi. Au matin nous avions eu notre dernier examen écrit. C’était math et je me débrouillais très bien dans cette branche. Le reste de la matinée nous avions eu un cours d’éducation sexuelle. C’était un cours très basique avec des diapositives reprenant des planches d’anatomie avec des découpes frontales montrant l’appareil masculin, soit le pénis, les bourses, ainsi que les canaux (urètre, le spermiducte) la vessie, la prostate, l’anus, etc. Et bien entendu ensuite nous avions eu droit à l’appareil féminin, soit la vulve, les lèvres, le vagin, l’utérus, les ovaires, les trompes, etc. Il y avait très peu de questions de la part des élèves. Pour ma part j’avais déjà vu toutes ces planches d’anatomie depuis longtemps. Puis mes parents m’avaient eux aussi expliqué tout de long en large. Je sais que pour certains élèves de la classe c’était une première. A midi, j’avais mangé à la même table que Marie. Les autres copines de Marie n’y trouvaient rien à redire, ça arrivait de temps en temps, elle savait que Marie et moi nous étions amis. A l’issue du repas Marie et moi nous nous étions mis dans un coin du préau en vue poursuivre la conversation entamée au matin. J’expliquais donc le déroulement du week-end et bien entendu la réunion et l’accueil qui avait été le mien et celui de Benoît. Marie était heureuse pour moi. Elle me posait des questions auxquelles je répondais. L’après-midi s’était aussi passé très rapidement. Les profs étaient un peu plus relax. J’avais raccompagné Marie jusqu’à chez elle. Nous n’avions rien remarqué de particulier. Ensuite après être resté avec elle une demi-heure, j’étais rentré chez moi. J’avais proposé à Marie de la reconduire chaque jour. Et donc le mardi nous avions fait le même chemin. Rien de particulier non plus, malgré le brouillard qui tombait. Ce mercredi midi, à l’issue des cours je rentrais avec Marie jusque chez elle, car j’avais été invité pour le repas de midi par sa maman. Nous avions fait le trajet cette fois en pleine journée et il ne s’était rien passé. Nous étions attendus par la maman de Marie pour le repas. Après avoir lavé nos mains, nous étions passés à table. La maman de Marie avait préparé un excellent repas. Elle avait fait du poulet avec des chicons braisés le tout accompagné de frites. Comme dessert nous avions chacun pris une bonne poire bien juteuse. J’étais invité à rester un peu chez Marie. Sa maman me trouvait très gentil et elle me connaissait. Elle avait confiance en moi car elle savait que j’étais gay et que sa fille était en sécurité avec moi car je la respectais et que je la raccompagnais chaque jour depuis une petite semaine. Marie m’invita à aller dans sa chambre. Je n’avais pas eu l’occasion de la voir. C’était une chambre aux teintes pastelles. Les meubles étaient d’un blanc cassé et de belles poupées en ornaient les tablettes. Il y avait quelques posters aux murs ainsi que des photos d’animaux. C’était une véritable chambre de jeune fille. Elle avait aussi un très beau bureau sur lequel elle devait faire ses devoirs. Quelques livres de cours y étaient d’ailleurs posés ainsi que quelques romans. Marie me parlait encore de sa peur d’être surprise lors des trajets de retour, car au matin c’est son papa ou sa maman qui allait la conduire au bahut. Vers 15 heures sa maman était montée pour nous dire qu’elle devait s’absenter jusqu’à plus ou moins 18 heures. J’avais proposé de rester avec Marie si elle le voulait. Marie avait de suite accepté. Sa maman était contente que je reste auprès de sa fille. Il faut dire que Marie était fille unique et donc elle n’avait pas l’occasion d’avoir un frère protecteur et il semblait que c’était ce rôle que je jouais depuis peu. J’en étais d’ailleurs ravi. Nous continuions à discuter de choses et d’autres. Puis Marie m’avait regardé dans les yeux. Elle voulait me dire quelque chose, mais elle semblait hésiter. J’avais alors pris les devants en lui demandant : Moi : « Marie, je vois que tu veux me demander quelque chose mais je vois que tu n’oses pas. Mar : Oh Phil tu es bien observateur. Je suis gênée, je ne sais pas ce que tu vas penser de moi ! Moi : Mais Marie, je suis ton ami et tu es mon amie. Tu m’as beaucoup soutenu à la suite des épreuves que j’ai subies. C’est à mon tour de t’aider si tu le souhaites. Alors tu peux me demander ce que tu veux. Mar : Voilà, ne te fout pas de moi, tu sais à la suite du cours de ce lundi matin, soit le cours de sexualité, je voudrais savoir comment c’est fait un sexe de garçon ! Moi : Oh là Marie, mais tu deviens osée, tu voudrais que je me dessape pour te montrer mon sexe ! Mar : Oui Phil, mais c’est toi qui décide. Moi : Tu sais Marie, à la maison, en famille on se montre souvent nus, en vacances on fait du naturisme, alors ce n’est pas ça qui me dérange. Je vais te faire ce plaisir et je te montre tout. Mar : Oh Phil tu es mignon. Tu sais je vais faire la même chose pour toi si tu veux. Moi : OK, pour moi, pas de problème. » Ayant promis à marie de tout lui montrer, je n’étais déshabillé en terminant par le slip. Une fois nu devant Marie, elle avait regardé mon sexe et mes bourses. Puis elle s’était elle aussi déshabillée. Elle ôtait en dernier sa petite culotte. Nous étions tous les deux nus, l’un devant l’autre au milieu de sa chambre. Je montrais donc à Marie mon pénis. Je l’avais décalotté pour faire apparaitre le gland, ensuite je lui avais montré le frein et bien entendu mes deux couilles. Mon sexe était resté au repos. Je lui expliquais que quand il était gorgé de sang il se dressait et ainsi il pouvait enter dans le vagin de la fille. Marie était satisfaite de mes explications. A mon tour je lui demandais si elle voulait bien me montrer ce que je n’avais jamais vu, soit ce qui ne se voit pas quand une fille reste les jambes jointes. Marie me montrait alors les grandes lèvres et les petites lèvres, l’entrée de son vagin et aussi son clitoris. C’est vrai que je voyais ma sœur Anne ou maman nues, mais jamais je n’avais pu voir ces détails en vrai. J’étais ravi de voir que Marie était contente d’avoir pu voir un sexe masculin et de m’avoir fait découvrir son intimité. Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 07-03-2021 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Le cours d’éducation sexuelle se poursuit chez Marie. Ce moment intime va renforcer leur complicité, même si c’est habituel pour Phil de se déshabiller en présence d’autres personnes. L’examen des organes génitaux est un peu plus poussé que dans un camp naturiste. Cela va peut-être donner envie à Marie de trouver un petit ami. Je t’embrasse Daniel Re : Re : Au camp scout (Ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 07-03-2021 (07-03-2021, 08:03 PM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement le cours d'éducation sexuelle de l'école a des suites inattendues chez Marie. Les deux ados sont de plus en plus complice. Marie sait que Phil étant gay n'aura pas de geste déplacé à son encontre. Phil est adepte du naturisme, il a donc l'habitude être nu devant les autres. Marie a confiance. C'est alors la découverte plus approfondie des organes mâles et féminins. Marie connait maintenant le sexe masculin et sera donc à quoi s'attendre quand elle aura un petit copain. Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un commentaire à chaque fois! Je t'embrasse! Philou |