Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 23-01-2021 Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (13) Samedi 25 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil Koen et Frédéric étaient toujours couchés l’un à côté de l’autre sur des chaises longues, avec leurs slips maculés de précum. Le Dr. Freud demanda au Père Emptoire : — Aide-moi à me mettre à genoux sur le sol, je veux me rapprocher de la pine de cette beauté. Le moine aida le vieil homme. — Saleté d’arthrose, pas gai d’être un vieillard gay, mais sucer une bite est une cure de jouvence. — Avale le sperme, c’est un élixir de jeunesse. Le Dr. Freud enfila sa main dans le slip de Koen, parcourut le membre sur toute sa longueur, le décalotta. — Aide-moi encore à enlever le caleçon. Le religieux tira le sous-vêtement jusqu’aux pieds et le suspendit à la branche d’un arbre. Koen bandait à nouveau. — De mon temps, dit le Dr. Freud, elles étaient plus grosses, si ça continue comme ça on ne les verra plus dans 50 ans. — Pourtant, fit Koen, dépité, je suis au-dessus de la moyenne. — Il te taquine, dit Frédéric en lui prenant le bras et lui donnant un bisou, tu as la plus belle queue du monde. — Tu dis ça pour me consoler ? — Non, je le pense sincèrement. Le moine descendit également le slip de Frédéric et le suspendit à côté de celui de Koen. — Ils vont sécher au soleil, on dirait que vous avez pissé tellement vous avez mouillé. — Tu verras quand tu auras mon âge, dit le Dr. Freud, tu auras aussi des fuites. Je n’ai pas dit que la queue de Koen était moche, elle est très belle, bien droite, bien proportionnée, le gland n’est ni trop petit, ni trop gros, le prépuce pas trop long. Koen fut rassuré, cela confirmait son propre jugement, il avait toujours été très fier de sa virilité. Le psy caressait les couilles, il appuya sur le point situé entre celles-ci et l’anus. Il dit : — Difficile de trouver un acupuncteur qui ose mettre une aiguille ici, mais j’en ai trouvé un. — Et ça marche ? demanda le Père Emptoire. — Pas vraiment. — On finira bien par trouver un traitement, dit Koen. — Parle pour toi. Le Dr. Freud serra la base du pénis de Koen avec sa main et sa langue parcourut la couronne du gland et le frein. Le moine demanda à Frédéric : — Je te suce aussi ? — Si cela ne te pose pas de problème de conscience. — Ma place au Purgatoire est déjà réservée, et j’y retrouverai beaucoup de mes confrères. Le moine s’attaqua à la queue du Vaudois. À ce moment-là, Graf & de Bruson arrivèrent sur la plage, ils étaient accompagnés de trois hommes. Il y avait deux jeunes danseurs du fameux Ballet du XXe siècle que les architectes avaient pu inviter pour une représentation exclusive, une chorégraphie du Maître qu’ils donneraient en première mondiale, intitulée Le Boléro II. Le chorégraphe, un peu plus âgé, dans la trentaine, était aussi présent, habillé de noir. — Eh bien, dit celui-ci, on ne s’ennuie pas chez vous. — Nous promouvons en effet l’amour sans tabous, expliqua Graf. — Et sans limite d’âge. — Vous pourriez aussi autoriser l’amour charnel après les répétitions, Maître, dit l’un des danseurs, prénommé Niklas. — Je ne mélange pas le travail avec les fariboles. Le ballet que nous donnerons ce soir est une Œuvre d’art, pas une séance de baise. Une fois sorti du studio, je me fiche avec qui tu couche. Tu peux même le faire avec une femme si ça te fait plaisir. — Pouvons-nous nous baigner, Maître ? demanda l’autre danseur, prénommé Jorge. — Non, pas avant la représentation. Et pas de branlettes non plus. Les deux danseurs étaient frustrés car le spectacle des deux sucés étendus les avait excités, mais ils obéissaient toujours aux ordres du Maître. Koen et Frédéric avaient fermé les yeux et n’avaient pas remarqué les nouveaux arrivants qui les observaient. Quant aux deux suceurs, ils étaient trop absorbés par leur tâche. Koen sentait le plaisir monter et se dit qu’il allait jouir le premier. Le psy ne lâchait pas sa proie et il était fort habile. Koen pensa qu’il devait sucer ses patients pendant les séances, cette pensée lui fit perdre le contrôle et il lâcha sa semence en poussant un cri. Le Dr. Freud la garda en bouche et la savoura. J’ai gagné, pensa Frédéric, ce n’est pas moi qui sucerais le vieil homme. Sucer le moine ne serait pas facile non plus, avec le bijou qui ornait son gland. Frédéric se détendit, il eut quelques spasmes qui indiquèrent au moine que la jouissance était imminente. Celui-ci sortit le pénis de sa bouche et Frédéric inonda son ventre et son torse de sperme, sous les yeux attendris des spectateurs. — Bravo ! s’exclama de Bruson, tu as une belle bite. — Ne dis pas cela, dit Frédéric, Koen sera jaloux. Graf était allé chercher un linge qu’il tendit au moine pour éponger Frédéric. — Vous voulez vos slips ? demanda Graf. On dirait les pavillons d’un navire. — Je pense qu’on va rester à poil un moment, si cela ne choque pas vos invités. — Remettez-les pour traverser le chemin, il y a des promeneurs qui se sont plaints au maire. Et aussi les shorts si possible. Graf fit les présentations. Frédéric fut très étonné : — Vous êtes le grand chorégraphe ? J’ai toujours rêvé d’assister à l’une de vos représentations. — Je vous laisserai des billets de faveur. Vous habitez où ? — À Lausanne. — À Lausanne ? Il faudra que je vienne une fois visiter cette ville. On m’a dit qu’elle était belle. — Je vous mettrai mon nom sur une carte. Je serai heureux de vous inviter chez moi. — Nous allons vous laisser, dit de Bruson, les danseurs doivent prendre leurs marques pour ce soir. Le religieux avait aidé le Dr. Freud à se recoucher sur la chaise longue. Celui-ci avait allumé sa pipe. Koen demanda : — J’ai éjaculé en premier, je vais te sucer. — Me sucer ? dit le Dr Freud en riant, c’était une plaisanterie. Je ne vais pas t’imposer la vue de mon corps décrépit. — Ça ne me dérange pas. — Alors, tu as pitié de moi. Le vieux va bientôt crever et on lui fait une petite gâterie avant pour adoucir ses vieux jours. — Non, je t’assure, je suis sincère. J’ai envie de te sucer. Le psy regarda Koen dans les yeux. — J’ai vu tellement de patients que je sais reconnaître s’ils mentent ou pas, mais toi tu as l’esprit tellement complexe que je ne pourrais jamais savoir. Bon, je te crois, mais tu me déshabilles. Cela préfigurera ma situation lorsque je serai dans un home et qu’une infirmière le fera. Je te rassure, je n’ai pas encore mis de couches. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 24-01-2021 Le cher père a-t-il un gros ventre? cela ne me semble pas signalé. Et Sigismund? À propos de psychologue et pédo-psycho helvétique, voici une anecdote réelle arrivée à l'un d'eux, le célèbre J. Piaget bien connu pour ses écrits et expériences. Il se trouvait un bel après-midi d'été sur une petite plage privée du Léman. Il faisait sa coutumière sieste, en maillot de bain, sur un transat. Il avait, paraît-il, la réputation de s'endormir profondément, ce qui faisait la joie de ses familiers. Une facétieuse nièce paria un jour qu'elle ferait, à cette occasion,...une vinaigrette dans le vaste creux du nombril pédo-psychologique. Elle gagna son pari. La suite ne dit pas le devenir de cette sauce : fut-elle lapée? Pompée? Mystère! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 24-01-2021 (24-01-2021, 12:42 AM)KLO7514 link a écrit :Le cher père a-t-il un gros ventre? cela ne me semble pas signalé. Et Sigismund? À propos de psychologue et pédo-psycho helvétique, voici une anecdote réelle arrivée à l'un d'eux, le célèbre J. Piaget bien connu pour ses écrits et expériences. Il se trouvait un bel après-midi d'été sur une petite plage privée du Léman. Il faisait sa coutumière sieste, en maillot de bain, sur un transat. Il avait, paraît-il, la réputation de s'endormir profondément, ce qui faisait la joie de ses familiers. Une facétieuse nièce paria un jour qu'elle ferait, à cette occasion,...une vinaigrette dans le vaste creux du nombril pédo-psychologique. Elle gagna son pari. La suite ne dit pas le devenir de cette sauce : fut-elle lapée? Pompée? Mystère! Merci [member=156]KLO7514[/member] pour cette anecdote étonnante. J’aurais pu épicer les fellations avec de la vinaigrette, je préférerais une eau-de-vie. Bonne idée, je vais compléter l’épisode précédent. J’ai indiqué que le père avait de l’embonpoint pour respecter l’imagerie populaire, ce serait ennuyeux si tous mes personnages avaient un physique parfait. En y réfléchissant, je verrais bien le Père Emptoire comme Guillaume de Baskerville (Sean Connery) dans Le Nom de la rose, il ne pourrait cependant pas venir sans son novice Adso de Melk (Christian Slater) qui est malheureusement hétéro. Mieux vaut tard que jamais, [member=146]Nostalgique[/member] m’avait suggéré un personnage hétéro, un promeneur. Ce ne serait pas vraisemblable d’inviter un inconnu pour des raisons de sécurité, mais un novice pourrait faire l’affaire. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 24-01-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Une nouvelle suite que j'ai bien appréciée. Koen et le Dr Freud discutent de la taille des appareils génitaux. C'est l'occasion de plaisanter un peu. Le Dr Freud fait finalement des compliments pour ce qui est du pénis de Koen. C'est donc le psy qui se charge de faire une fellation à Koen. Le père se charge quant à lui de s'occuper de celle de Frédéric. Les visiteurs, au nombre de trois, arrivent avec Graf et De Burson. L'un des visiteur n'est autre que le chorégraphe du ballet du XX ème siècle et deux de ses danseurs. Ils découvrent nos deux jeunes dans de belles positions allongés sur les transats et en train de se faire sucer. Le spy s'occupe de faire monter le plaisir chez Koen et finalement reçoit dans sa bouche tout le nectar de jeunesse du néerlandais. Pour le moine, c'est différent, il sent que Frédéric va jouir et il sort son pénis de sa bouche pour le laisser s’épandre sur son ventre et son torse. Ce n'est que quand ils sont remis de leur jouissance, qu'ils se rendent compte de la présence des invités nouvellement arrivés! Frédéric est heureux de rencontrer le chorégraphe, il lance d'ailleurs une invitation à venir à Lausanne. Merci Daniel pour ce bon moment de lecture. Très bon dimanche! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 24-01-2021 (24-01-2021, 12:53 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci [member=19]Philou0033[/member] pour ton résumé complet. Ce chorégraphe que tout le monde aura reconnu s’est installé des années plus tard à Lausanne et vous savez enfin pourquoi. Toute ressemblance avec la réalité ne serait qu’une coïncidence... Incursion dans le monde de la danse que je ne connais malheureusement pas assez pour écrire un récit, nous avions des spécialistes sur Docti. Je te souhaite un bon dimanche ! Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 25-01-2021 Je ne pense pas être vicieux, mais j'aime ces passages où l'un des personnages âgés pose sa main sur l'entre jambe des jeunes, où lorsqu'il tire le pantalon ou le slip de Frédéric ou Koen car, normalement les deux garçons pourraient ressentir un sentiment désagréable d'abus, ce qui ne semble pas être le cas. Mais il serait intéressant, cher Lange, que tu nous décrives ce qu'éprouvent les jeunets au moment où ils prennent conscience de ces échanges directs. Toujours passionnant à suivre ton récit ! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 25-01-2021 (25-01-2021, 04:02 PM)Nostalgique link a écrit :Je ne pense pas être vicieux, mais j'aime ces passages où l'un des personnages âgés pose sa main sur l'entre jambe des jeunes, où lorsqu'il tire le pantalon ou le slip de Frédéric ou Koen car, normalement les deux garçons pourraient ressentir un sentiment désagréable d'abus, ce qui ne semble pas être le cas. Mais il serait intéressant, cher Lange, que tu nous décrives ce qu'éprouvent les jeunets au moment où ils prennent conscience de ces échanges directs. Merci [member=146]Nostalgique[/member] pour ton commentaire. C’est difficile de me mettre à la place des jeunes mais tu as raison, je n’ai pas assez décrit leurs pensées. C’est plus facile pour moi (pour nous) de se mettre à la place de celui qui les déculotte. Je pourrais attendre la fin du week-end pour qu’ils donnent un avis global sur ce qu’ils ont vécu. Je ne pense pas qu’il y ait abus, tout le monde accepte implicitement les règles du jeu. Je ne les ai pas expliquées, mais j'espère que le professeur l’avait fait lorsqu’il avait proposé aux jeunes de passer ce week-end chez les architectes. Pour moi elles sont simples : dans tous mes récits je pars du principe que les personnages sont sexuellement majeurs, que les actes sexuels sont librement consentis et qu’un refus est toujours possible. Les personnages ne refusent évidemment jamais, sinon il n’y aurait pas de récit. Pour le moment Koen et Frédéric ne se posent pas trop de questions. Dans la première partie du récit, ils avaient mis en avant leur envie de faire des découvertes au détriment du romantisme, ils avaient remis à plus tard une décision quant à leur avenir commun. Mes jeunes personnages sont également des surhommes qui peuvent bander et éjaculer de nombreuses fois chaque jour sans jamais être fatigués. Ils ont peut-être des doublures, comme les acteurs de films porno. Cette situation où des hommes de tous âges passent un week-end ensemble n’est pas très réaliste, je ne pense pas que dans la réalité les générations se mélangent aussi aisément. J’ai suivi des cours de massage érotique où la majorité des participants étaient plutôt au-delà de la quarantaine, avec des exceptions pour confirmer la règle. Dans un tel cours on se rend compte que les hommes n’ont pas tous des corps de rêve et cela ramène à la réalité, on accepte chaque être humain comme il est (et on s’accepte aussi soi-même comme on est). J’espère continuer à te passionner, tu me diras quand cela deviendra ennuyeux. Moins de neige ici dans la ville fédérale que chez toi, juste quelques centimètres. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 25-01-2021 Salut Lange ! Je te l'accorde, le terme "abus" ne reflète pas exactement ce que je ressentais . Je pense que dans une relation, occasionnelle ou plus sérieuse, le "jeune" peut ressentir un sentiment mitigé, une certaine gêne vis-à-vis de l'ancien en ayant l'impression qu'il profite de quelqu'un qui n'a normalement plus la pleine possession de ses moyens ni les réactions usuellement attendues. Je ne dirais pas que le mélange des âges n'est pas réaliste mais il est certainement assez rare. Je me souviens d'une rencontre, nous étions une dizaine, où il y avait deux personnes de plus de 60 ans ; je faisais partie des jeunes et il me semble que j'avais beaucoup apprécié le calme et la sérénité propre à l'âge, l'expérience suppléant à la vigueur, la connaissance du corps et de ses zones érogènes pouvant largement largement provoqué des jouissances insoupçonnées ! Merci pour ces échanges de point de vue, j'apprécie. Nostalgique Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 26-01-2021 Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (14) Samedi 25 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil Koen fut soudain gêné de devoir déshabiller le psychiatre qui aurait pu être son grand-père. Était-ce bien raisonnable ? Avait-il effectivement eu pitié du vieil homme ? N’aurait-il pas dû renoncer à cette fellation ? Son côté rationnel et scientifique l’emporta : la libido était un besoin naturel qui ne faiblissait pas avec le temps, même si les organes ne suivaient plus. Et il lui faudrait du temps pour ne plus considérer les hommes comme des pénis à étudier, il était curieux de découvrir celui du Dr. Freud. Koen le déshabilla prudemment, ôtant d’abord la chemise blanche puis les pantalons, il les posa sur sa chaise longue. Le psy avait aussi un slip de deux couleurs, jaune et vert. Koen se demanda où l’on trouvait de tels sous-vêtements. — Un ami tailleur me les faisait sur mesure, dit le Dr. Freud qui avait deviné l’interrogation de Koen, il est malheureusement décédé et ils sont bientôt tous troués. Le corps du vieil homme était pâle et frêle, il avait les os apparents, beaucoup de poils blancs. Koen baissa le slip bicolore et alla le suspendre à côté du sien, faisant rire Frédéric et le Père Emptoire qui suivaient ses mouvements. Il observa la bite et les couilles qui étaient ratatinées, mais encore présentables. Il s’agenouilla, prit prudemment la hampe dans sa main et décalotta le gland. — Elle n’est pas en sucre, dit le Dr. Freud en souriant, tu peux la tripoter sans ménagement. Koen débuta ses caresses, d’abord manuelles, puis buccales. Frédéric demanda au Père Emptoire : — Quel est ton prénom ? — Wilhelm, Guillaume si tu préfères, comme notre héros national. — Dans quelle position voudrais-tu que je te suce ? — J’aime bien debout et tu t’agenouilles pour le faire. C’est ce que je le propose aux novices, cela assoit mon autorité de les dominer ainsi. — Tes novices te sucent ? — J’ai dit proposer. Celui que j’ai en ce moment ne veut pas, il dit qu’il préfère les nonnes. Je n’en crois pas un mot. Frédéric obéit et débuta la fellation comme Wilhelm l’avait souhaité. Koen constata avec satisfaction un léger afflux de sang dans le pénis du Dr. Freud. Celui-ci en fut surpris : — Ça alors, tu fais des miracles, j’ai bien fait de venir. Continue, je te dirai quand tu pourras arrêter si je ne jouis pas. Koen continua, s’appliquant du mieux qu’il pouvait, il n’avait pas encore beaucoup d’expérience. Après quelques minutes, le psy le prévint qu’il allait éjaculer. Koen accéléra ses va-et-vient et recueillit le sperme dans sa bouche. — Merci mille fois, dit le vieil homme. Cela ne m’était plus arrivé depuis très longtemps. De bander, sinon je n’ai pas honte à dire que je me branle tous les jours. Viens, je vais te faire la bise. En fait de bise, le Dr. Freud embrassa Koen sur la bouche, un long baiser qui aurait pu rendre Frédéric jaloux s’il n’avait pas été occupé avec la bite du religieux. Il ne s’en tirait pas trop mal non plus malgré le piercing qui lui raclait la gorge. Wilhelm demanda à Frédéric de retirer le gland de sa bouche avant l’éjaculation pour lui projeter le sperme sur le visage. — Ça surprend toujours les novices, dit Wilhelm en riant. — C’est de moi que vous parlez ? fit une voix. Frédéric et Wilhelm tournèrent la tête, surpris. Un jeune novice venait d’arriver, il avait une bure noire avec une capuche malgré la chaleur. — Adso ! s’exclama Wilhelm. Tu as quand même pu venir ? — Je me demande si j’ai bien fait, répondit le novice en faisant le signe de la croix, c’est Sodome et Gomorrhe ici. Vous m’aviez dit que c’était une retraite spirituelle. — Il y aura une célébration œcuménique demain matin pour ceux qui ont les couilles vides, mais tu exagères, il me semble que tu n’es pas pur non plus et que tu voulais aller au couvent des Ursulines pour déflorer ta Mathilde avant qu’elle fasse vœu de chasteté. — Elle m’a plaqué, elle me trouve… pas assez viril. Je serais un peu trop efféminé à son goût. — Toi ? Pas viril ? Elle n’a jamais vu ta queue, je suis sûr que tu bandes. Le Père Emptoire plaqua sa main sur l’entrejambe du novice. — Mon Père ! S’il vous plaît ! C’est une abomination ! — Toujours les grands mots, tu peux repartir, je ne te retiens pas. — Non, je dois résister à la tentation, cela forgera mon caractère et ma foi. Wilhelm fit les présentations : — Adso de Melk, mon novice, un peu timide, mais je vais le soigner. Frédéric, fils à papa. Koen, obsédé de la bite. Le Dr. Freud, vieux pervers encore vert… et jaune. — Enchanté, dit Frédéric, je devrais me laver le visage. On va se baigner dans le lac ? — Bonne idée, dit Koen. Tu viens aussi, Adso ? Mets-toi à l’aise. — Je n’ai pas pris mon maillot de bain. — Ces messieurs non plus, fit Wilhelm. — Je garderai mon slip, dit Adso. — Chacun est libre de faire comme il veut. Wilhelm aida son novice à se débarrasser de sa lourde bure et de sa longue chemise. Celui-ci mit ses mains devant son slip blanc pour cacher son embarras, la bosse était nettement plus grosse que la décence l’imposait. — Au moins tu as mis un slip moderne en coton et pas un de ces caleçons informes en lin écru que nous fournit l’économat. — Euh… C’était en prévision de ma rencontre avec Mathilde. Adso entra rapidement dans l’eau pour se calmer. Le Dr. Freud préféra aller se faire masser dans le pavillon. Les quatre hommes restèrent longtemps dans le lac, l’eau était chaude. Ils finirent par sortir, Koen observa attentivement le slip mouillé du novice qui dévoilait plus qu’il ne cachait. — Adso, dit Koen, je comprends que l’homosexualité puisse être contraire à tes convictions, mais si je désire observer ton pénis c’est pour des raisons scientifiques et pas sexuelles, je fais une étude sur leur longueur et cela ne me dérangera pas si tu as une érection. — Vous aimeriez… voir mon pénis ? En érection ? Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 26-01-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Une suite toujours très agréable à lire et qui, comme à chaque fois, m'a bien fait sourire: merci ! Koen s'occupe du Dr Freud. Il le dévêt doucement, et une fois nu, il s'occupe de lui procurer du plaisir. Koen fait une belle fellation au Dr Freud qui bande et fini par éjaculer dans la bouche de Koen. Ils s'embrassent ensuite. Frédéric lui s'occupe du Père, il lui taille une pipe et une fois qu'il est prêt à éjaculer, le Père veut pouvoir laisser sa semence s'épandre sur le visage de Frédéric. Un novice arrive et se demande bien où il est tombé. Dialogue amusant entre tous les personnages. Une bonne baignade dans le lac fini par ramener les pénis à une bonne dimension. Koen, le bitologue de service souhaite voir le pénis du novice. Y arrivera-t-il? C'est toujours un très bon moment de lecture, continue comme ça Daniel, je kiffe ! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 27-01-2021 (26-01-2021, 11:29 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour tes commentaires réguliers. Lorsque j’ai commencé ce chapitre je pensais que la soirée serait la plus importante avec les productions. Finalement c’est toute la journée avec l’arrivée des différents personnages qui a pris le dessus. Je ne pensais pas non plus qu’il serait si long, cela fait bientôt trois mois que je l’ai commencé. À ce rythme je serai aussi vieux que le Dr. Freud lorsque je terminerai ce récit. Le novice est le plus caricatural, mais cela me permet des dialogues amusants, en particulier le comique de répétition avec le « bitologue » Koen. On verra s’il arrive à convaincre Adso de baisser son slip mouillé. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 27-01-2021 Salut Daniel ! A mon tour de te taquiner, tu vois ce n'est pas si difficile de faire cohabiter des personnages âgés avec des plus jeunes ! Ces derniers ne manifestent pas vraiment de gêne, j'ai même l'impression qu'ils prennent un certain plaisir à ranimer les organes de leurs partenaires d'un jour (ou deux). Les seniors, eux sont surpris et réjouis que leurs sexes soient encore capables de se dresser et d'expulser une semence bien présente mais probablement improductive. Cela pourrait être un argument pour que le novice se décoince un peu puisque pour l'Eglise catholique, le sperme ne doit servir qu'à la reproduction de la race humaine ! Toujours amusant ton récit et très plaisant. Je t'embrasse. Ph. Au fait, notre bitologue, s'est-il enregistré dans ses notes et relevés scientifiques ? Quelle est son appréciation de sa personne ? Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 27-01-2021 (27-01-2021, 07:25 PM)Nostalgique link a écrit :Salut Daniel ! Salut [member=146]Nostalgique[/member] ! C’était une bonne idée que de me proposer des personnages âgés et j’ai même laissé la prostate au Dr. Freud puisque j’avais écrit qu’il voulait se la faire masser. Il pouvait donc toujours éjaculer. Il est probable que le novice se décoince puisqu’il n’a pas quitté ce lieu de perdition en courant. Entre la théorie du catéchisme et la pratique il y a des différences. Cela ne me dérange pas si cela se passe entre adultes consentants. J’avais l’idée que Koen fasse une fiche pour chaque personne qu’il aurait « examinée ». Pour le moment, je n’en ai qu’une dans la première partie. J’ai aussi des fiches concernant mes personnages, mais je ne les mets pas à jour régulièrement. Koen a probablement commencé ses relevés alors qu’il était jeune en examinant ses camarades d’école sous la douche. Je le faisais aussi, pas sur papier, dans ma tête. Il y a un peu de moi dans chacun de mes personnages. J’ai écrit ceci pour Koen : Nom complet : Koen Grotelul (grosse bite) Famille : Un frère (plus âgé ?), qui a une petite amie, et dont il a vu la queue en érection. Ville de domicile : Gouda Date de naissance : 12.03.1946, 18 ans Particularités physiques : Koen était grand, au moins 1m80, assez maigre au niveau du ventre, plus musclé au niveau du buste, il avait les cheveux bruns, coiffés en arrière. Pénis : Le pénis était de taille moyenne (repos), l'ouverture du prépuce assez grosse ne laissait pas apparaître le gland. La veine dorsale était bien visible. Plus long que Frédéric (en érection), 16,4 cm Testicules : Les couilles pendaient à la même hauteur que la pointe. Sous-vêtements : slip bleu ciel, slip blanc (chez Dominique) Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 30-01-2021 Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (15) Samedi 25 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil Adso chuchota quelque chose à l’oreille de Koen, puis enfila sa longue chemise qui lui arrivait aux genoux. — Tu es Néerlandais ? demanda Koen dans sa langue maternelle. Je pensais que tu venais de Melk, en Autriche. — Non, mon nom vient du lait, mes parents sont des fabricants de Gouda. — Tu parles bien l’allemand, sans accent. — Ma mère est allemande. — Alors, tu es d’accord de me montrer ton pénis ? — Le ciel m’est témoin que je ne le fais que pour aider la science, et je le montre seulement à toi. Je ne veux pas que le Père Emptoire le voie, il me drague tout le temps. Je ne suis pas homosexuel, moi. Koen voulut lui demander pourquoi il était resté, il se retint. Ils s’éloignèrent de la plage et se cachèrent derrière un bosquet. Adso remonta sa chemise et dit à Koen de lui baisser son slip. Il bandait déjà, son gland était humide. Le futur médecin examina le pénis avec attention, notant mentalement ses caractéristiques et sa longueur, sans faire de commentaires. — Merci, dit-il, ta contribution est précieuse. — Puisque tu le dis. Ne me remets pas le slip, il est mouillé. Adso sécha son entrejambe avec un pan de sa chemise. Ils revinrent vers le pavillon. Le novice mit le slip mouillé dans la poche de sa bure et la passa. Frédéric et Koen décidèrent de retourner à la maison des architectes, ils remirent leurs shorts pour traverser le chemin pédestre qui faisait le tour du lac. — Alors ? demanda Frédéric à Koen. — Alors quoi ? — Il a une grosse bite le novice ? — Je ne vais pas te le dire, secret médical. — Tant pis. J’en ai vu assez d’autres aujourd’hui. — Je pense qu’il va évoluer sur l’échelle de Kinsey d’ici la fin du week-end, il a déjà passé de zéro à un ou deux. Tout espoir n’est pas perdu que tu la voies. Frédéric eut la surprise de retrouver son chauffeur sur la terrasse de la maison. — Urbain ! Vous avez pu vous libérer et venir déjà ce soir ? — Monsieur, une soirée chez Graf & de Bruson est un privilège que je ne manquerais pour rien au monde. Je pense qu’on peut se tutoyer ici. — Oui, bien sûr. Tu connaissais déjà cet endroit ? — Je suis ami avec Martin, il est là ? — Il masse le Dr. Freud au bord du lac. — Je vais y aller, il aura peut-être le temps de s’occuper de moi. Koen et Frédéric se rendirent au Sensorium. Alexandre, le pianiste, était couché sur le dos, vêtu d’un seul caleçon. Il étudiait une partition. — Désolé de te déranger, dit Frédéric, sais-tu où sont Peter et Stefan ? — Ils sont dans leur chambre, ils ne vont pas dormir ici. — Déjà en train de baiser, fit Koen. — Tu es jaloux ? Non, ils répètent pour la soirée, ils vont faire un duo surprise. Il est doué, Peter. Il pourrait devenir un grand chanteur d’opéra. Comment s’est passé votre après-midi ? — La routine, dit Frédéric, quelques gâteries. — Tu en voudrais une ? demanda Koen. — Une quoi ? Une gâterie ? — Oui, on a le temps avant l’apéro. — Ça me détendrait, je suis toujours très nerveux avant un concert. Alexandre déboutonna son caleçon, en sortit sa queue, puis reprit l’étude de sa partition en chantonnant la mélodie. Koen prit le membre dans sa bouche et débuta ses caresses. — Il est déchaîné ton ami, dit Niklas, le danseur. — Ils doivent vaporiser un aphrodisiaque dans la ventilation. Tu en voudrais aussi une ? demanda Frédéric. — Jamais avant un spectacle, je ne dois pas perdre mon influx. — Et je pense que Jorge est ton amant. — Lui ? Pas du tout, chasse gardée, il couche avec le chorégraphe qui doit être en train de l’enculer. Nos relations sont purement professionnelles. Adso entra à ce moment-là, une petite valise à la main, il fit le signe de croix en voyant Koen penché sur la bite du pianiste. Frédéric lui demanda par acquis de conscience : — Tu en voudrais aussi une ? — Je ne vois pas de quoi tu parles. — Dommage. Tu ne sais pas ce que tu perds. Tu veux vraiment laisser ta bure toute la soirée ? Il fait trop chaud. Je te prêterai une chemise et des pantalons. — Tu as peut-être raison. — Je vais te montrer où sont les douches. — Nous nous sommes baignés dans le lac. Raté, se dit Frédéric, en sortant un pantalon et une chemise aux couleurs psychédéliques de sa valise. Il les tendit au novice. — Ça te va ? — Un peu voyant. — Je la mettrai, tiens, voici une chemise noire plus sobre. Adso s’installa à côté d’Alexandre. Il passa un slip sec sous sa bure avant de se changer. Frédéric se déshabilla et sortit prendre une douche, vexé car personne ne voulait de gâterie. Il croisa Urbain. — Tu n’es pas en train de te faire masser ? — Martin est à la bourre, il a déjà le curé sur la liste d’attente. — Tu voudrais que je te suce ? — Bonne idée, je te rejoins aux douches. À 18 heures, tout le monde se retrouva sur la terrasse pour l’apéritif. Quelques personnes supplémentaires étaient arrivées. Le traiteur avait préparé des plats d’amuse-gueules, un extra servait le champagne. Au bout d’une demi-heure, Graf fit un discours : — Messieurs. Je vous souhaite la bienvenue pour notre traditionnelle soirée de la mi-été, avec un peu d’avance cette année. Je salue tout particulièrement notre doyen, le Dr. Freud, et les jeunes qui sont là pour la première fois, ce sont eux qui assureront l’avenir de notre Ring. Il y a encore beaucoup de travail à accomplir pour les droits des minorités sexuelles, ils verront peut-être le mariage pour tous avant leur mort, pas nous. Je rappelle les règles du jeu : pas de drogues illégales, pas de sexe sans consentement mutuel, pas de pratiques extrêmes et pas de pénétrations anales sans préservatifs. Il n’y a jamais eu de problèmes jusqu’à présent et je sûr qu’il n’y en aura pas ce week-end. Après le plat principal, nous aurons la prestation de Peter, un jeune chanteur, accompagné par Alexandre au piano. Et une surprise avec Stefan, qui a aussi préparé les desserts. Applaudissements dans le public. — Ensuite, après ces desserts, nous aurons la première mondiale de Boléro II, création du Ballet du xxe siècle. Je salue son fondateur et chorégraphe qui nous fait l’honneur de sa présence. Nouveaux applaudissements. — Et, pour débuter la soirée, j’ai le plaisir d’accueillir M. Koen Grotelul qui va vous faire un exposé sur le pénis. Rires dans l’assemblée, puis applaudissements. — Moi ? s’étonna Koen, faire un exposé sur le pénis ? Ce n’était pas prévu. Tu le savais, Frédéric ? — Non, je pense qu’ils ont voulu te faire une farce, mais je suis sûr que tu es capable d’improviser. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 31-01-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Toujours très agréable à lire et avec le sourire aux lèvres en plus! Le novice est quelque peu coincé mais il devrait se détendre et peut-être que l'un ou l'autre y parviendra-t-il. Koen est toujours au taquet, le "bitologue" de service. Le voilà servi, il va devoir faire un exposé sur le pénis devant tous les participants à cette fête d'été. Merci Daniel pour ce moment agréable. Je t'embrasse! Philou |