Récits érotiques - Slygame
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - emmanolife - 04-01-2025

En fait, Louis est peut-être le petit-fils du père Noël ! Le vieux monsieur barbu et bedonnant : c'est lui ! Il est parti nourrir ses rennes, là, en attendant le petit déjeuner.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 04-01-2025

Coucou les gens,

N'oubliez pas de voter pour l'auteur du meilleur "Récit de Noël 2024" via le  lien ci-dessous

https://recit.slygame.fr/showthread.php?tid=359&pid=15801#pid15801:~:text=CONCOURS%20DE%20NO%C3%8BL-,Vote%20concours,-Nouvelle%20r%C3%A9ponse%C2%A0


AVANT LA FIN DU VOTE LE 10/01/2025.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 06-01-2025

[Image: OAgn0zmjNRa_unnamed-14-.jpg]
Comme le veut la tradition chrétienne, on fête l’Épiphanie le 6 janvier, avec la traditionnelle galette des rois.
Je n'ai pas de galette à vous envoyer... mais Balthazar, Gaspard et Melchior, version 2025, ont pris la pose pour vous !



RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 07-01-2025

Le premier, à gauche, est le "Docteur FRO", mage. Le second, au centre, se prénomme Yster : Mage Yster (Heureusement qu'il est adulte Petit enfant, c'était Yster minus. Et tous descendaient pour admirer sa plastique !). Enfin, celui de droite a pour patronyme "Hi" * le mage-Hi, renommé pour son bouillon de poule dont il détient l'exclusivité chez nos amis helvètes.Quant à la galette, à part un moulin parisien assez connu, il en faut pour vivre dignement en payant ses impôts ! Souhaitons qu'on en ait toute l'année.
Bien à vous tous et encore bonne année,
KLO.
-----------------------
* J'ai réellement connu un brave garçon qui portait ce patronyme très court, en 1967, alors que j'étais moniteur de colo.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 07-01-2025

Dans le cas des villes, tu dois savoir qu'il existe plus court avec Y dans le département de la Somme.

Par contre, pour ce qui est de savoir si Y a été jumelée avec Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, les avis sont partagés, ce qui est un moyen d'aboutir à une longueur intermédiaire.

Pour ma part, en classe de cinquième, la prof de français nous avait fait écrire un roman et l'un de mes astronautes s'appelait Jean Elicotopastissonaubeurrebleu.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 07-01-2025

En bien plus viril, celui du milieu ressemble furieusement au vendeur d’IciParisXL qui a emballé le coffret de produits de massage parfumés que j’ai offert à mon copain à Noël… Quelque part, ce sont la myrrhe et l'encens modernes. Ca ferait de lui le mage du massage Big Grin


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 12-01-2025

(04-01-2025, 10:57 AM)bech a écrit : Ce récit, dont l'auteur est sans aucun doute pour moi lelivredejeremy ne fait pas partie des contes de Noël.
… et n’y a jamais prétendu, @fablelionsilencieux avait d’ailleurs judicieusement suggéré d’en postposer la parution jusqu’à un moment plus propice à une histoire de GdB (si tant est qu’il y en ait un) soit bien après un Noël forcément sage, et il n’y a de toute manière pas de sapin décoré dans la maison, de rengaine de Tino Rossi à la radio, ni en fait la moindre référence à cette fête en particulier, donc je ne comprends pas trop la remarque mais soit, merci de l’avoir lue, fut-ce en diagonale.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 12-01-2025

(04-01-2025, 02:06 AM)KLO7514 a écrit : Belle histoire en définitive, joli conte de Noël.
J'ai juste répondu à cette remarque de KLO7514.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 12-01-2025

Première phrasette de départ,

La neige tombait sans discontinuer depuis dix jours... et autant vous dire que ça l'arrangeait bien, le jeune Alexandre Pavlovitch, héritier du comte Paul. Car il venait d'avoir dix-huit ans, et ses excellents parents avaient jugé qu'il était temps qu'il se mariât, et rien trouvé de mieux que la fille d'un seigneur voisin pour ce faire.
Le boyard était riche, mais sa fille boulotte et peu gracieuse : Alexandre n'en voulait pas, qui avait eu, à de rares reprises, l'occasion de croiser, en maint palais de la ville voisine, de jolies fées de son âge... et autrement plus racées que cette campagnarde !
Bref, cette interminable tempête de neige l'arrangeait au plus haut point, car justement était prévue une rencontre officielle, et sûr que les fiançailles y seraient annoncées dans la foulée...
Naviguant entre ses livres et ses pensées, le fin Alexandre ne s'ennuyait pas chez lui. Il disposait d'un mignon appartement au château, et d'un valet de chambre. Son petit frère Pierre, plus jeune de deux ans, n'en avait pas autant...
Ces deux-ci s'entendaient bien, si la différence de rang condamnait quasi sûrement le second à servir l'armée du Tsar, ou l'Église... Cette dernière option ne le tentait guère, attendu qu'il était, depuis sa puberté, hautement porté sur les choses du sexe... tandis qu'Alexandre jouait les intellos éthérés... sans le vouloir aucunement, d'ailleurs.
Justement, Alexandre allait voir son frère, cet après-midi, non loin de son appartement. Or il entendit des bruits issant de la chambre d'iceluy : et ces bruits... ne laissaient guère de doute sur les activités qui les produisaient !
Ça niquait, là-dedans, et pas qu'un peu ! Alexandre n'avait jamais vu son jeune frère en ses œuvres, aussi fut-il piqué d'une curiosité qu'il ne jugea pas malsaine, malgré sa naturelle probité.
Il ne fut pas déçu ! Car dans la carrée, le musclé Pierre défonçait une servante connue de lui... tout en se faisant bourriquer par une sorte de beauté semblant un peu plus âgée que les deux autres, et qu'il finit par identifier comme un des palefreniers de son père...
Ah ! Quel spectacle ! Il n'en n'avait jamais vu autant ! Certes, il n'était plus puceau depuis deux ans, après qu'une rusée paysanne l'eut piégé un soir de fête, mais là !...
Ça faisait beaucoup, pour une fois ! Scotché à l'entrebâillement de la porte, il se sentit prendre une trique immédiate... et se défit promptement pour se pignoler avec frénésie... d'autant que le trio venait de se dessouder, et qu'il put voir les académies de ce joli monde en toute leur splendeur.
Et celle de son frérot l'épata : car ce mecton était rudement bien ficelé, plus bel encore que son fouteur, une superbe bestiole quand même. Et la fille ne déméritait point. Bref, un trio de choc.
Grâce à un baquet encore fumant, on fit un brin de toilette, puis Pierre s'agenouilla pour sucer l'autre, tandis que la fille lui broutait la rondelle... ce qui effara Alexandre.
Mais l'excita d'autant plus... Puis Pierre en fit autant au grand mec, avant de le bourriner, tandis qu'iceluy défonçait la donzelle...
Il eut alors un moment de surchauffe, le jeune Alexandre ! Et il finit par dégouliner dans ses chausses. Il était fortement retourné quand il regagna son appartement... où il se rinça la quéquette à l'eau du samovar...
Du coup, il se dit que la neige aurait eu ceci de bon qu'elle lui aurait épargné de tomber dans le lit de l'Elena sans connaître les autres possibilités du vaste monde... et il se rebranla longuement en se remémorant les instants magiques qu'il venait de surprendre.
Et il décida d'en parler à son frère : restait à trouver un biais...
Le lendemain, on quittait la cuisine (ces jeunes gens prenaient souvent le thé du matin avec les domestiques, demande du comte) quand Pierre lâcha :
— Alors, grand frère, pas trop fâché du report de tes fiançailles ?
— Oh, ça...
— Pourtant, tu serais pas déçu, tu sais ?
— Quoi ? sursauta Alexandre, tu...?
— Deux fois seulement, j'te jure ! Mais bien, oui !
— Ooooh !... gémit Alexandre. Eh ben.... Eh ben prends-la, toi !
— Oh moi, j'ai d'autres projets pour m'envoyer en l'air !
— Raconte !
— Non, non, pas là... Plus tard, oui, peut-être...
Alexandre eut beau insister, l'autre ne desserra plus les dents. Du moins venait-il de faire un début d'aveu...
Énervé le jeune homme eut envie de sortir : mais dans cette tempête ? Il alla demander au comte, qui ne lui permit que de faire le tour du château à cheval, et avec un valet.
Mais le seul qui était là fut justement Ivan... le rude palefrenier qui avait niqué son frère la veille. Alors il décida de désobéir et fit seller son cheval sans rien dire. Et il sortit seul du château.
Neige il y avait, oui-da ! Et plus qu'un peu, encore, mais le cheval d'Alexandre ne rechignait pas à y poser le pied, et il y alla bravement. Sauf que... dans une allée pourtant habituellement dégagée, le bel étalon cala devant une congère infranchissable. Alexandre tenta de le faire reculer, mais en vain. Et il n'allait pas tarder à prendre peur quand surgit une forme humaine qui agrippa soudain le col du cheval, qui se calma.
— Oh! Seigneur, faut pas rester là ! fit alors le garçon — car c'en était un.
Et de saisir la bride du cheval pour lui faire faire demi-tour. Alexandre laissa faire, désemparé. Et un petit quart d'heure plus tard, il entrait, à la suite du mec, un paysan, à voir sa mise, dans une petite maison où il faisait chaud, car un petit feu y brûlait, que le garçon raviva.
— Viens, Seigneur, je sais que tu es le fils de Monsieur le comte et... Viens te réchauffer. On pouvait vraiment plus aller au château. T'aurais pas dû sortir !
Un peu anéanti par le froid, Alexandre était incapable de réagir et se laissa déshabiller, tout en sirotant le thé brûlant.
Nicolaï, le paysan, expliqua qu'il vivait seul dans cette petite bicoque ; comme tout le monde ici, il travaillait sur les terres du comte, et Alexandre, qui ne l'avait jamais vu, fut étonné d'en être reconnu.
Debout dans un baquet, il se laissa bouchonner à l'eau tiède — l'endroit ne pouvait assurément pas faire chauffer de l'eau comme au château ! — par le garçon qui s'était dénudé lui aussi, et dont la rustique académie, lui rappela celle de son p'tit frère, en plus élancé, peut-être.
Encore qu'il ne bandât point, ce gentil mec lui rappela la scène vue chez Pierre... et il se sentit poindre une mignonne dureté... qui lui valut un sourire timide de Nicolaï.
— Tu es très beau, Seigneur, souffla le garçon en passant sa lavette sur le vit d'Alexandre, qui acheva de croître d'un seul coup. Oh ! Oui, vraiment très beau, Seigneur !
Alexandre ne sut que dire ni que penser alors.... mais il comprit qu'il ne dirait rien quand le garçon se mit à le branler doucement. Au reste, le beau paysan afficha dans les secondes suivantes une longue et fine trique qui l'impressionna grandement...
Il ferma les yeux, conséquemment... et sentit presque aussitôt la bouche de Nicolaï se refermer sur son gland. Ouh ! La gracieuse sensation ! Le moment n'était plus aux questions, et il se laissa faire en émettant un immense soupir.
Mais après un moment, Nicolaï cessa et lui souffla à l'oreille :
— Tu veux me prendre, Seigneur ? S'il te plaît !
Derechef, les exploits de son frère lui revinrent à l'esprit, et il accepta d'un sourire. Mignonne séance, en vérité, car le joli Nicolaï était d'une lascivité professionnelle : on eût dit qu'il n'avait fait que ça de toute sa vie ! Et Alexandre le niqua avec célérité comme avec sensualité, attentif à toutes les indications du roué paysan. Qui affirma gravement alors que c'était sa première fois. Tête d'Alexandre ! Qui en était là aussi, comme vous savez...
Et qui même, in fine, eut envie de sucer le jeune homme aux fins de le faire déborder sur son propre poitrail... Puis il accepta de dormir céans : il avait rudement bien fait d'ordonner le silence absolu à son valet... qu'il trouva bien gourdasse, auprès des talents de Nicolaï ! Et sous les douceurs que lui offrit alors le paysan, il commença à songer à la suite...
— Quand la tempête aura cessé, tu viendras au château, et tu me demanderas : je veux te remercier de m'avoir sauvé de la neige, Nicolaï.
— Je l'aurais fait pour n'importe qui, Seigneur.
— C'est tout à ton honneur, oui... mais toi, tu n'es pas n'importe qui, toi, je crois.
Le sourire adorable qu'eut alors le petit blond toucha alors vivement Alexandre... L'autre le perçut, qui s'approcha de lui doucement et vint poser, lentement, ses lèvres sur les siennes, alors que le cœur d'Alexandre battait à tout rompre...
Le patin qui s'ensuivit fut d'anthologie, comme disent les auteurs sérieux, oui ! Et le cœur d'Alexandre sombra.
Ce fut donc après une nuit incroyable qu'Alexandre reparut au château : la neige avait enfin cessé, et son cheval ne renâcla point.
Or il eut alors à assister à un fait qui servit ses nouveaux desseins : il tomba, en entrant dans la carrée de son valet, sur une mignonne scène de genre. Ledit valet était précisément en train de niquer la même servante que son frère... Une luronne, celle-ci !
Il n'intervint que lorsqu'on eut brâmé de belle façon, et la donzelle ayant fui, il chopa son valet... pour lui signifier son congé immédiat. Puis il alla voir la comtesse, devant qui il inventa une pieuse légende pour excuser son absence de la veille... et dont il obtint, dans la foulée, le remplacement de son valet : elle lui passait tout, cette excellente femme !
Vite, il fallait prévenir Nicolaï de son changement de statut ! Le temps était semble-t-il passé au beau, et malgré les amoncellements de neige, on y voyait clair. Les villageois avaient commencé à dégager les rues, et Alexandre fut autorisé à faire atteler un petit traîneau : il se rua chez le beau Nicolaï... où il ne fut pas déçu du voyage.
Arrivant à la maisonnette, il y vit un cheval qui attendait. Et c'était un de ceux de son père, il le reconnaissait. Et même... celui de son frère, tiens ! Il alla donc se ranger à l'abri des regards, et resta à surveiller l'endroit.
Il n'eut pas le temps de geler, car le supposé Pierre sortit effectivement de l'endroit peu après. Un peu choqué tout de même, Alexandre hésita un moment avant d'oser aller toquer à son tour à la maisonnette. Il fut reçu par un Nicolaï emballé dans un drap, sortant manifestement de son bain... un baquet fumant qu'il découvrit en entrant.
— Mais, Seigneur, j'allais vous voir, là !
— Oui, bon... Je voulais te parler... et j'ai bien fait de venir. Je... n'ai pas le droit de te juger... ni de juger mon frère — Nicolaï baissa le nez — et j'ai besoin de toi. Parle-moi de tes relations... au château.
Où le naïf Alexandre en apprit de belles ! Son frère semblait entretenir un véritable harem mixte dans la seigneurie... Nicolaï lui assura cependant — était-ce la vérité, ou simple rouerie? — qu'il ne se faisait pas sauter par Pierre.
Alexandre le crut, et lui fit sa proposition : l'émotion manifeste du garçon le toucha alors.
— Mais, Seigneur, je ne suis qu'un paysan, moi !
— Et moi, je ne suis pas le prince Télesky ! (ce prince était le grand seigneur de la contrée) Je t'apprendrai. Et d'ailleurs, tu m'as fort bien déshabillé et lavé, l'autre fois...
Message compris ! Le garçon vira son voile, et s'attaqua aux boutons dorés du jeune seigneur. Nouvelle et mignonne séance, croyez-m'en. Alexandre, qui n'était pas une pomme, perçut vite que ce garçon voulait bien faire, eu égard à son nouveau statut, et qu'il avait des possibilités... Il n'était pas con du tout, ce p'tit gars !
On se transporta donc au château, et ce fut revêtu de vêtements moins rustiques que Nicolaï fut présenté à la comtesse, qui l'accueillit avec bienveillance.
Tête de Pierre, qui s'avisa alors d'entrer dans la grand salle ! Mais il ne moufta évidemment pas.
À peine rentré chez lui, Alexandre ordonna à son nouveau valet de s'occuper de lui... C'est qu'il y avait pris goût aux soins délicats de ce jeune homme. Et décidément, Nicolaï savait faire !
Or donc, on quittait la grand salle, le soir après dîner, quand Pierre souffla à l'oreille de son frère :
— Qu'est-ce que tu fais, là ?
— Hein ? Mais j'ai rencontré ce garçon qui m'a sauvé de la neige, et j'ai trouvé qu'il valait mieux que sa condition, c'est tout. Et comme mon valet ne m'allait plus... Quelque chose te chiffonne ?
— Heu... non, non... mais... t'es sûr de lui ?
— M'enfin, p'tit frère, tu le connais ?
— Non, non ! J'l'ai vu au village ou aux champs, c'est tout !
— Donc tout va bien. Oh... qu'est-ce que tu penses d'Elena ?
— Ta fiancée ? Beau morceau, oui... sans te blesser !
— Je te la laisse... elle me barbe.
— Et... Nicolaï ?
— On dira que... pour l'instant, il me va bien... très bien !
Pierre n'ajouta rien, et l'on se sépara. Les jours suivants furent derechef saupoudrés par une vive tempête de neige, aussi dut-on se croiser à l'étroit. Nicolaï avait juré à Alexandre — sans qu'iceluy le lui demandât — qu'il n'avait plus de lien avec Pierre... mais au fond, Alexandre s'en moquait, désormais, tout ébloui par ce qu'il venait de découvrir. Et Pierre mit enfin les pieds dans le plat :
— Tu sais que Nicolaï a des pratiques, qui...
— Mon Dieu ! Il ne serait pas le seul, alors !
Les choses suivirent leur cours. Alexandre forma son nouveau valet... qui n'en fit pas moins de lui, et leur complicité finit par paraître assez évidente pour que Pierre craquât, alors qu'il était désormais décidé que ce serait à lui d'épouser Elena... la comtesse ayant argumenté pour son fils auprès de son époux.
À mots couverts, Pierre fit comprendre à son aîné qu'en échange de la prise en charge d'Elena, il accepterait bien quelques miettes de Nicolaï... et Alexandre accepta... tout en celant son intérêt pour la chose.
Il est désormais prévu que Pierre ne servira pas dans l'armée du Tsar, et qu'Alexandre fera ce qu'il voudra... Merci Maman !


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 13-01-2025

Nul doute pour moi que le texte ci-dessus soit de Louklouk. Le style se reconnaît dès les premières phrases avant même qu'il soit question d'iceluy.

Petit retour dans le passé en Europe du nord avant le réchauffement climatique.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 16-01-2025

Sans perdre son droit d'ainesse, Alexandre se débarrasse du devoir de perpétuer la dynastie sur Pierre, qui échappe à la carrière militaire qu'on lui avait prévue (un troisième frère aurait fini dans le clergé, comme chez les Karamazov), mais ni Elena ni aucune autre fille n'aurait probablement jamais eu les faveurs de son aristocratique semence, qui satisfait pleinement les ambitions sociales de Nicolaï.
Même Madame Mère est satisfaite de l'arrangement, que demande le peuple? (qui, déjà en Russie tsariste, n'avait rien à dire, mais bon...)


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 24-01-2025

Premier défis 10 mots 
Drôle d'attelage que ces deux godelureaux, qui déambulaient sur le quai de la Meuse, en la belle ville de Liège. Jamais ils n'avaient de divergence... sauf l'obsession qu'avait Florent de baiser, baiser enfin !
Quand le réservé Nathan restait muet, sur ce point. Au point que son ami depuis cinq ou six ans ne savait du tout si ce garçon préférait vraiment les filles aux garçons... Pour lui, il savait : depuis qu'il avait été, quelques années plus tôt, amoureux d'un prof de gym à tomber par terre... et pourtant flamand !
Or donc on errait en regardant les péniches d'un œil distrait quand Nathan stoppa net :
— Oh, regarde çui-là !
Un bateau venait de s'amarrer à cet endroit, et le matelot qui avait opéré, torse nu car on était en juillet, était... était... comment dire ? Une splendeur, qui aurait pu faire la pub de nos plus chers parfums ! Bref, Florent stoppa net.
— Mais t'es obsédé, ou quoi ? fit Nathan.
— Ben oui, tu le sais. Sauf que... là, c'est une authentique beauté, non ? Tu peux pas dire le contraire !
Le mec, sur le Fabiola (un grand rhénan de 110 x 11,40 m) regardait les garçons, et leur fit un signe de la main, en souriant.
— Oh ! Oh ! suffoqua Florent, t'as vu ? Il me veut déjà !
— Cours-y vite, obsédé !
Et Florent y courut. Où il fut bien reçu, oui ! Car la splendeur marinière, wallonne, elle, lui fut du dernier charmant.
— On reste là trois jours avant de charger, alors... tu pourrais peut-être me faire visiter le pays ? Je débute, moi, et j'ai jamais quitté Charleroi...
C'était un pieux mensonge, pour un fils de bateliers... mais Florent y coupa.
Baba, le Florent ! Qui suivit le matelot dans sa cabine de l'avant du navire... où les choses ne traînèrent pas.
Ah ! Il n'avait ni tout fait, ni tout appris, le jeune Florent, en revenant à terre... et sur terre aussi, tellement il était secoué !
Il resta même un temps hébété, après ses premières et longues gorgées de Leffe, avant de raconter par le menu (mais non sans galimatias, au début) sa première expérience gay à Nathan. Qui lui-même en resta sans voix.
Mais... il accepta de rencontrer le beau matelot, Stéphane, dès le lendemain matin car Nathan aimait les belles choses, et Florent le pria de lui faire faire le tour des églises de la ville.
Appelé par sa mère au sortir de la cathédrale Saint-Paul, Florent laissa ces jeunes gens, qui allèrent vite fait jusqu'à Saint-Jacques, merveille qui cloua le marinier sur place. Mais pas au point d'oublier de mener Nathan jusqu'à sa cabine... où ce fin hétéro se laissa faire, gentiment. Avant d'y prendre un certain plaisir, puis un plaisir certain.
Mais dans quelle panade ne se retrouvait-il pas, maintenant ! Car pour lui, qui avait la pudeur enracinée au corps, comment conter ses visites avec le beau Stéphane sans mentir ? Depuis toujours, il souffrait de ces archaïques principes hérités de sa famille, quand Florent lui avait mainte fois démontré que la chose gay n'avait rien de rébarbatif : ne venait-il pas de l'expérimenter lui-même ?
Il sortait de la péniche quand Florent l'appela : début des ennuis... Il bafouilla d'abord que les visites d'églises s'étaient bien passées, avant que Florent l'interrompît :
— C'est mes acouphènes, ou tu bafouilles, mon pote ?
— Mais non, !... Euh... Non, non ! Je baf...
— Si. Est-ce que... ça s'est bien passé, avec le beau.... le sublime matelot ?
Nathan resta muet.
— Ho ! Il t'a pas réduit en bouillie, quand même !
— Non, non... souffla Nathan, chaud comme un samovar : oh, qu'il était rouge !
— Bon : tu me racontes... ou tu t'embarques sur le Fabiola sans me dire au revoir ?
— Mais, mais, Florent !... gémit un Nathan à l'agonie, j't'en prie ! Dis pas des trucs comme ça !
Florent proposa qu'on se vît chez lui dans l'heure, et autant vous dire qu'il avait prévu la réserve de Jupiler, (avec de la Leffe, si les choses tournaient mal) !
Or donc il décida, vu la tronche de son pote, d'attaquer à la Leffe... Et grâce à ce divin breuvage, il n'eut pas de mal à lui faire dire les choses qu'il subodorait...
Ayant laissé parler son ami, il finit par demander, doucement :
— Ça t'a pas plu, tout ça ?
— Oh, si, peut-être... C'est pas facile pour moi, tu sais ?
— Nathan ! Rien ne t'engage à rien ! Tu t'amuses avec un garçon... un très beau garçon, même, et voilà ! Qui ne sera sans doute pas la mère de tes enfants... si décidément tu y tiens ! conclut Florent en pouffant.
— Tu te moques de moi, là !
— Jamais je me moque de toi, mon Nathan, jamais ! J'veux juste te dire que tout plaisir est acquis... et pour toi seul ! On a une chance inouïe non ? On passe devant son rafiot...
— Ah ! Ah ! pouffa Nathan malgré lui, ça vaut plus de deux millions d'euros, un rafiot pareil ! Et il est pas à lui, mais aux patrons... qui sont ses parents.
— Tiens ! Tu sais des choses que j'ignorais, moi... Bref, on passe devant les deux millions de ses parents, et la merveille nous repère, et la merveille nous déballe toutes ses beautés... qu'est-ce que tu veux de plus pour être heureux ? Même sans les millions de ses vieux, c'est le rêve absolu, ce mec-là, non ?
— Oh... Oh... fit Nathan en reprenant une belle gorgée de blonde belge, moi je...
— Est-ce que... t'as joui ? murmura Florent.
Ce genre de chose ne se disait point entre eux... mais Nathan répondit, le regard lointain :
— Ouais... et bien, même.
— Ouf ! Alors j'ai pas rêvé.
Nathan releva le museau, et l'on se sourit... À et instant zinzinula le téléphone de Florent : Stéphane, qui pria les garçons à dîner sur le bateau, ses parents étant de soirée en ville.
Florent accepta tout de suite, malgré les grimaces de son ami.
— Eh ben quoi ? fit-il en raccrochant, tu veux plus le revoir ?
— Si, si, fit mollement Nathan, mais...
Ce que Nathan celait, à ce moment, c'est qu'il n'avait pas envie du tout de se retrouver dans des situations scabreuses avec Florent...
Et ça, Florent venait de le comprendre, lui. Mais il insista gentiment, et obtient l'assentiment de son ami. Tout en se demandant comment les choses tourneraient, sur le bateau de l'entreprenant Stéphane...
Encore qu'ils fussent nés dans le troisième port fluvial d'Europe, ces jeunes gens n'avaient jamais mis les pieds dans le logement d'un automoteur (une péniche motorisée), et ils furent épatés par la superficie et le confort de cet appartement.
Un grand rhénan disposant aussi d'un petit logement à l'avant, Stéphane avait choisi d'y côtoyer (il y avait deux chambrettes) l'autre matelot et mécanicien... pour être tranquille. On avait compris.
Il expliqua aussi qu'il n'avait aucun problème avec ses goûts... ni avec ses parents ; où l'on observa que Nathan s'envoyait deux belles gorgées de Leffe... Mais on ne s'étendit pas sur le sujet.
Le matelot ayant plongé dans les réserves de sa mère, pour la bouffe, et de son père, pour la boive, on ne manqua de rien. Et en tout cas pas, pour finir, de péket (le genièvre wallon)...
C'est d'ailleurs celui-ci qui offrit une porte de sortie à Nathan, quand Stéphane proposa qu'on regagnât sa carrée, péket sous le bras... Le garçon prétexta en avoir trop bu, ce que les autres ne contestèrent d'ailleurs pas.
On aida donc le pauvret à débarquer, et l'on avait à peine atteint la chambre de Stéphane que celui-ci fut prévenu par son père que les pièces à charger n'étant pas prêtes, on resterait à quai trois jours de plus.
— Youpi ! s'exclama le garçon. Des fois, on reste dans des trous perdus, entre les hyènes et les corbeaux, mais alors là !
— Des hyènes, ici ?
— Et même des panthères, qui venaient voir si y avait pas encore des poulets, comme sur les rafiots en bois de mes arrière-grands-parents !
Florent éclata de rire, et Stéphane de se jeter sur lui ; Florent était certes un peu parti, mais bien conscient de sa chance ! De fait le matelot Stéphane était une authentique splendeur : grand, bien musclé mais sans excès, couvert d'un fin duvet doré qui brillait sous les loupiotes de la carrée. Et sa quéquette ! Longue, droite et lisse, elle disposait  d'un long prépuce qui enivra littéralement le Florent...
Cette fois, il fut instruit de la leçon 2 : où il pénétra Stéphane, avec une ardeur qu'il ne se fût pas imaginée.
À l'issue de cette brillante cavalcade, Stéphane reprit :
— Du coup, trois jours de plus me donnent le temps de mener à bien mon p'tit projet, tu vois ?
— Hein ? Mais lequel ?
— Eh ben : te coller avec ton amoureux... Nathan.
— Quoi ? Mais.... qu'est-ce que tu dis ?
— Ça crève les yeux que vous n'attendez que ça... et moi je sais pas quand je repasserai à Liège sur mon frêle esquif...
— Ah ! Ah ! pouffa Florent, paraît que ça vaut deux millions, ton esquif ! Ah ! Ah !
— Oui. Mais bon : nous, dans la batellerie, on a le million voyageur ! Bref, il faut agir, et vite !
— Mais... pourquoi?
— Me dis pas que t'as pas vu qu'il était amoureux de toi ?
— Quoi ? sursauta Florent, mais t'as vu ça où ?
— Ben... dans ses yeux... et le fait qu'il ait eu la trouille là !
— Mais... Mais... bêla Florent, désemparé, t'es sûr ?
— Il ose pas te le dire, c'est tout. Il est adorable, non ?
Florent en convint, avant de céder derechef aux charmes enivrants du beau marinier... qui entreprit de lui habituer la rondelle à de gentes intrusions dépassant le coup de langue...
Ce fut bien retourné (au figuré, quoique...) que Florent regagna ses pénates : Nathan en pincerait pour lui ? On était proche, pourtant, et il ne s'était rendu compte de rien ?
Alors il commença à penser à son ami... de plus près.
Dès le lendemain, c'était au tour de Nathan d'apprendre semblable nouvelle... qui, encore qu'il vînt de jouir de la langue de Stéphane, fondit en pleurs... vite récupéré par le scintillant poitrail d'iceluy.
On avait poursuivi la visite des églises de la pieuse ville de Liège, enfin, pas trop, avant que le frêle enfant se laissât attirer sur le Fabiola par l'envoûtant matelot... où il en eut donc pour son argent.
— Mais... finit par articuler le pauvret, après la déclaration de Stéphane, comment tu peux dire ça ?
— J'ai vu comment il te regarde, et puis je vous ai vus ensemble : vous semblez si proches, tous les deux ! Ce serait un crime de pas vous aider à y voir clair, vraiment !
— Mais... fit Nathan, troublé, t'es sûr de ce que tu dis, là ? C'est grave, tout de même !
— Ce qui serait vraiment grave, ce serait de rater l'occase, les mecs, tu le comprends, ça ? Ose me dire qu'il te plaît pas, ton p'tit pote Florent !
Nathan dut sourire, en baissant les yeux... et le rude matelot sut qu'il avait vu juste. Il embraya aussitôt :
— Et si on se faisait un genre de p'tit pique-nique, ce soir, tous les trois ?
Son charme fit le reste, et rendez-vous fut pris.
L'un des minets se pointa avec du péket, et l'autre avec des gaufres de Liège (vous savez, celles qui sont meilleures que celles de Bruxelles !), ce fut bien emprunté qu'on descendit dans la carrée de Stéphane.
Il y faisait chaud, et le beau marinier y évoluait en boxer fluo moulant, et rien d'autre. Les minets se regardèrent, et durent se sourire.
La suite fut douce, Stéphane étant d'une exquise délicatesse. Certes, les garçons n'étaient pas ignorants de ce qui les attendait... et qui les effrayait autant qu'il les émouvait, par avance. M'enfin, les choses prirent leur petit train, et la lascivité de Stéphane fit le reste.
Il commença par prier ses invités de retirer le haut... mais en le faisant l'un à l'autre... Les garçons duernt se regarder, et se sourire.
Puis Stéphane leur offrit un verre de crémant français, au fond duquel ils durent bien se regarder en face... chacun. Avant d'échanger un regard timide... suivi d'un timide sourire.
Or donc, l'art de Stéphane opéra de nouveau : il enlaça les garçons, leur caressant doucement le dos. Mais aussi, il leur prit les mains pour qu'il s'en fissent autant. Et ça marcha.
Ils étaient bien émus, ces garçons-là, au moment de se regarder en face, et de s'enlacer délicatement.
— Ça va, les garçons ? susurra-t-il.
Un double soupir lui répondit. Sans qu'ils le regardassent, les jeunes gens sentaient sur eux les mains de Stéphane, qui les poussaient à bouger, timidement, certes, mais efficacement... et auxquelles ils n'opposèrent aucune résistance.
Difficile de décrire cet étrange moment ; il parut que ces garçons n'avaient jamais attendu que ça, qui semblèrent alors, sous l'œil réjoui de Stéphane, oublier le reste du monde.
Il allait se rhabiller pour rejoindre le logement de ses parents quand Nathan souffla :
— Non ! Reste avec nous, s'il te plaît !
Notez qu'à cet instant, nul n'était encore entièrement nu... Stéphane pria les garçons de le dévêtir, puis de s'en faire autant l'un l'autre.
Tout à son rôle d'initiateur, il guida les gestes des impétrants, sans refuser pour autant leurs caresses... et l'instant fut de la plus exquise douceur... unissant, pour finir leurs deux jeunes et jolies queues dans son petit trou.
Bref, les trois jours qui suivirent menèrent ces garçons à des sommets peu imaginés par nos deux Liégeois...
Puis la batellerie reprit son cours... d'eau, évidemment. Mais désormais, quand le Fabiola s'amarre alentour, on y file, et vite !


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 25-01-2025

Scènes fluviales et batelières! Il s'en passe des choses sur l'eau. Beau petit récit d'un maître devant habiter près d'un "canal plus"(?) pour être si versé sur les caractéristiques du bateau. N'y manque plus que la description des deux moteurs (1200 CV au total, à vue de nez, peut-être un Baudoin qui doit aussi servir, par un système de poulies, à faire tourner les deux hélices d'étrave pour mieux permettre l'accostage du "frêle esquif" pouvant charger 4200 tonnes de fret. À vrai dire, ce bateau n'a rien à voir avec un petit Freycinet pour 350 tonnes et 38,5 mètres sur 5...À noter que ce genre de bâtiment garde le nom bien indiqué par ailleurs «d'automoteur de rivière» et non de ..."péniche" nom ancien des bateaux de bois, tombé en désuétude dans le milieu batelier et les professionnel de la voie d'eau.Je soupçonne le beau Stéphane d'avoir réalisé de nombreuses conquêtes chez les garçons au cours des escales depuis Hambourg jusqu'à Fos (à condition que les écluses de l'est de la France le permettent ce qui n'est pas encore prouvé, faute de liaison à grand gabarit entre Mulhouse et le Doubs.) Alors, n'ayons pas peur d'anticiper...


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 25-01-2025

A les observer distraitement des quais de Meuse, j'avais conclu que la profession était protégée, et que, tout comme les stewards, les coiffeurs pour dames et les toiletteurs de leur chienchien doivent impérativement être gay, les mariniers devaient présenter un acte de naissance encore rédigé à la plume et attester d'une bedaine et/ou d'une calvitie naissante pour y accéder, sans trop avoir réfléchi à ce que les candidats faisaient entre l'école de batelerie et le moment où on leur confiait une péniche. Eh bien voilà, ils sont les Cupidons 2.0, en version sexuée et moins gratuitement altruiste ^^


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 25-01-2025

Pour ce texte fluvial, les 2 premières phrases m'ont déjà fait penser à louklouk comme auteur, et la suite l'a confirmé.

Edit : J'ai fait quelques recherches pour trouver les taux d'alcool des Leffe et Jupiler, n'étant pas connaisseur dans ce domaine.