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Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 08-12-2020
(08-12-2020, 03:12 PM)Louklouk link a écrit :Là, on a eu droit à "Der Ring", et à notre vieille connaissance... Méphisto.
Moi, je préfère le beau Pâris... et ses aigus.
Merci [member=87]Louklouk[/member].
Il y avait une revue homosexuelle suisse qui s’appelait Der Kreis (Le Cercle) à cette époque et qui m’a inspiré. Comme mon récit est imaginaire, j’ai choisi un titre qui ressemble Der Ring (L’anneau) sans lien avec celui de Wagner.
Je comprends que tu préfères Pâris. Si tu veux le voir, il sera à l’Opéra Comique en mars 2021 (peut-être…).
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 13-12-2020
Pas de nouvel épisode ce soir, je manque d’inspiration. J’ai l’impression d’écrire toujours la même chose, mais les manières de se donner du plaisir ne sont pas infinies et ce sont très souvent les mêmes fantasmes qui me viennent à l’esprit. Il est vrai que la vie n’est qu’un éternel recommencement.
Je vais faire une pause dans ce récit, la plus courte possible je l’espère, l’occasion peut-être d’écrire autre chose pour me changer les idées, et pour commencer un train m’attend sur « À chacun son histoire ».
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 14-12-2020
La Suisse qui baisse les bras ?
C'est les Habsbourg qui vont être contents !
Depuis le temps que l'Helvète les em... !
Courage, mon gars !
Tout le monde écrit toujours la même chose... et utilise les mêmes moyens pour se faire plaisir !
Mais on peut trouver d'autres mots pour le dire : c'est ça, la littérature, n'est-il pas ?
Hardi, petit !
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 14-12-2020
(14-12-2020, 10:25 PM)Louklouk link a écrit :La Suisse qui baisse les bras ?
C'est les Habsbourg qui vont être contents !
Depuis le temps que l'Helvète les em... !
Courage, mon gars !
Tout le monde écrit toujours la même chose... et utilise les mêmes moyens pour se faire plaisir !
Mais on peut trouver d'autres mots pour le dire : c'est ça, la littérature, n'est-il pas ?
Hardi, petit !
Merci pour tes encouragements [member=87]Louklouk[/member].
Je pense que c’est le propre d’un artiste de douter (pour autant que je sois un artiste) et de se remettre en question. Je l’ai déjà fait souvent, sans pour autant changer quelque chose à ma manière d’écrire. Mon envie d’écrire dépend aussi de mon moral et je dois dire qu’avec cette pandémie qui n’en finit pas il n’est pas au beau fixe. Non, les Habsburg ne nous envahiront pas, ils ont la trouille, on a trop de virus…
Je n’ai pas l’intention d’interrompre cette histoire car j’aime bien les personnages et l’univers que j’ai mis en place, c’est l’avantage d’un roman, et j’ai encore des idées. Ce sont surtout les scènes de sexe qui sont répétitives. Ce serait plus simple d’écrire un roman sans scènes de sexe, j’avais d’ailleurs lu un article dans lequel des écrivains célèbres disaient être incapables d’en écrire. Mais comme je désire continuer à publier sur Slygame, je vais continuer à mettre des scènes érotiques.
Je vais essayer de changer ma méthode de travail : écrire chaque jour un peu au lieu d’écrire un épisode entier en une soirée. Et alterner avec des nouvelles plus longues que celles que je publie d’habitude sur ACSH. Ce seront déjà mes bonnes résolutions pour 2021.
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 15-12-2020
Ah ! Les bonnes résolutions !
N'est-ce pas ce qu'il y a de plus agréable à piétiner ?
C'est aussi doux aux pieds qu'à la conscience...
D'autant qu'elles subissent tous les abandons et oublis sans couiner du tout !
Allez, on s'en remet une petite dose, c't'année !
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 21-12-2020
J’ai découvert un anachronisme dans ce récit puisque les actes homosexuels entre adultes et mineurs (moins de 20 ans) étaient interdits à cette époque en Suisse. Je me base donc plutôt sur les lois actuelles avec la majorité à 18 ans.
Rien ne m’empêche de décrire des actes illégaux si ce n’est pas de la pédophilie, c’est cependant peu vraisemblable que des architectes célèbres aient invité à l’époque des jeunes gens mineurs dans leur propriété, ce ne serait pas passé inaperçu et ils auraient eu la visite des gendarmes. Heureusement que dans la fiction tout est possible.
J’ai eu de la peine à écrire cet épisode, je ne désire pas mettre que des scènes de sexe, mais c’est difficile de trouver des sujets de conversation intéressants entre les protagonistes, et, finalement, on en revient toujours au sexe. Je vous prie de m’en excuser et je vous promets que je réfléchirai à une intrigue plus élaborée avant de commencer un nouveau roman. Je continue celui-ci jusqu’au jour où je ne serai définitivement plus inspiré ou lorsque je n’aurai plus de lecteurs.
Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (7)
Samedi 25 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil
Les jeunes gens avaient l’habitude de se lever tôt, ils se réveillèrent à 6 heures. Le professeur ronflait toujours.
— Qu’est-ce qu’on fait ? demanda Peter.
— Je dois me lever, dit Stefan, je ne suis pas en vacances, je dois vous préparer des desserts.
— Ce n’est pas à cela que je pensais, plutôt à nos triques matinales.
— Le masseur a dit de ne pas se branler, dit Koen, et je dois pisser.
— Bon, allons pisser, fit Peter, dépité. Mais j’ai pitié de Stefan qui n’aura pas de massage.
— On va s’en occuper, dit Frédéric, je ne pense pas que le petit-déjeuner soit déjà prêt si tôt.
Ils se rendirent aux toilettes, de hauts urinoirs sans séparations, blancs. Probablement aussi une réplique de ceux de l’internat où Graf & de Bruson s’étaient connus, pensa Frédéric, qui aurait aimé en savoir plus. Cet internat était-il tenu par des religieux ? La discipline était-elle sévère ? La masturbation était-elle prohibée, contraste avec son école où elle était encouragée. Il se demanda s’il oserait aborder ces thèmes avec ses hôtes. Il en oublia même de regarder les bites de ses camarades, mais ce n’était plus une surprise après le concours de la veille.
Les garçons revinrent dans la chambre, ils étaient toujours nus.
— Comment pourrions-nous nous occuper de Stefan ? demanda Peter.
— Nous allons faire une étude sur ses zones érogènes, dit Koen, je vais lui tenir les jambes écartées et Frédéric lui tiendra les poignets. Tu pourras ensuite voir à quel endroit du corps il réagit le plus.
— Bonne idée, je vais aussi le chatouiller.
Stefan n’avait pas l’air enchanté, mais il accepta sans rechigner et se coucha sur le dos. Il était très chatouilleux, il se tordait sans pouvoir se dégager pendant que Peter l’effleurait partout. Les caresses devinrent bientôt plus douces et sensuelles, Koen et Frédéric le libérèrent pour se joindre à Peter. Stefan banda sans que personne n’eût touché sa bite.
Peter eut une idée, il avait vu du gel de massage au local des douches et alla le chercher. Il en enduisit le pénis de son ami avant de le masturber, c’était une sensation nouvelle pour Stefan qui n’en avait jamais utilisé.
— Un massage à trois ? fit soudain une voix, on ne se refuse rien. Moi qui croyais que vous dormiriez toujours.
C’était le masseur, Martin, qui était entré dans le Baisorium. Le professeur s’était aussi réveillé et assistait au spectacle. Il avait une érection, ce qui rassura Koen, à son âge on pouvait encore bander le matin. Les sexes de Frédéric, Koen et Peter étaient également bien réveillés, ils n’osaient pas les toucher, d’autant plus que Martin était là pour les surveiller.
— Je le masse comme il faut ? demanda Peter.
— Ne t’inquiète pas, répondit Martin, tant qu’il a du plaisir.
— C’est vrai que les pénis circoncis sont moins sensibles ?
— Je ne sais pas, j’arrive toujours à faire jouir mes clients lorsque je les masse.
Peter réussit aussi à faire jouir son nouvel ami sans problème.
— Je vous donnerai quand même des conseils ce matin pour varier un peu les mouvements, fit le masseur, et nous pourrons aussi nous occuper de l’autre côté. Avez-vous déjà massé la prostate ?
— Avec un futur médecin comme Koen, c’est inévitable, fit Frédéric en riant.
— Bien, fit Martin, vous pouvez vous doucher et je vous montrerai pour le petit déjeuner. Chacun se sert lui même au frigo, nous ne sommes pas un hôtel.
— On s’habille comment ? demanda Koen.
— Vous pouvez rester à poil, ça ne me dérange pas, mais je vous propose de mettre une tenue sportive, vous pourrez aller vous promener au bord du lac avant les massages.
Après la douche, Frédéric mit un ensemble polo/shorts blancs, Koen une chemisette classique jaune et des shorts amples bleus, par contre ceux de Peter étaient étriqués. Stefan lui fit la remarque :
— Ils n’ont pas grandi en même temps que ta bite, elle a à peine la place.
— Le masseur se chargera de la dégonfler, fit Peter. Je n’ai pas le temps d’aller dans les magasins. J’espère que tu n’es pas jaloux.
— Jaloux ? Pourquoi ?
— À cause du masseur qui va me tripoter. Je suis ton amoureux maintenant.
— Ah bon ? Ce n’était donc pas un rêve ? Tu m’aimes vraiment ?
— On en reparlera un autre jour… en tête-à-tête.
Stefan n’avait pas encore bien assimilé ce qui lui était arrivé la veille, cela avait été si inattendu. Il passa son habit de cuisinier, se retrouver à la cuisine lui remettrait les idées en place.
Après le petit déjeuner, les trois amis allèrent se promener au bord du lac. Peter demanda :
— L’un de vous aurait-il envie de chanter avec moi ce soir ?
— Je ne suis pas capable, dit Frédéric.
— Moi non plus, fit Koen. Pourquoi ?
— Je vais chanter un duo de La Belle Hélène, je serai Pâris, il me faut une Hélène.
— Dommage que Dominique ne soit pas là, dit Frédéric. Et ton nouvel amoureux ?
— Je lui demanderai. Ce n’est pas nécessaire de chanter juste, c’est juste pour faire rire les spectateurs.
— Tu as des habits pour Hélène ?
— Oui, pour moi également, je serai un pâtre grec. J’ai chanté ce duo lors d’une soirée villageoise avec Vreni.
— Et tu chanteras en français ?
— J’essaierai.
Koen demanda à Frédéric :
— Tu as eu des nouvelles de ton cousin Daniel ?
— Non, il n’a plus le temps de m’écrire depuis qu’il vit chez sa dulcinée.
Koen expliqua à Peter que la dulcinée avait un corps d’homme.
— Ton cousin est donc aussi homosexuel, dit Peter, comme le mien.
— Il y a décidément beaucoup d’homosexuels dans notre histoire, dit Koen. Sais-tu par hasard la longueur de sa bite ? C’est pour mes statistiques.
— Parce que tu penses que j’ai couché avec lui ? fit Peter en riant.
— Une supposition seulement. Connaissant Daniel et Frédéric je pensais que c’était la norme en Suisse.
— Je suis allé le trouver dans sa maisonnette au bord de la ligne du Saint-Gothard, nous avons beaucoup discuté de l’amour entre garçons, mais nous n’avons pas couché ensemble.
Peter trouvait que Koen était trop curieux, c’est pour cela qu’il ne lui dévoila pas tout ce qu’il savait sur l’anatomie de son cousin. Même s’ils n’avaient pas couché ensemble, ils avaient fait quelques comparaisons en se lavant…
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 21-12-2020
Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Belle suite.
Comme chaque fois au matin les garçons ont la trique!
Après le petit pipi du matin, Stefan se fait masser pour son plus grand bien! Oui il est branlé par Peter devant Koen et Frédéric. Martin arrive sur cet entre faite et parle au garçons de différentes manières de faire jouir un garçon.
Le Professeur lui aussi est réveillé et est également équipé de la gaule matinale! Oui à son âge bande dès potron-minet.
Une petite douche pour être en forme suivie d'un bon petit déjeuner.
Balade le long du lac à trois car s-Stéphan s'occupe de préparer les desserts!
Une discussion concernant le couple Daniel et Dominique.
Merci Daniel pour cette suite!
Je t'embrasse!
Philou
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 21-12-2020
...oui, c'est un rêve, un rêve d'amour !
" c’est difficile de trouver des sujets de conversation intéressants entre les protagonistes "
Hello ! Qui te demande de raconter les conversations de tes personnages ?
Un seul but, dans un roman : L'INTRIGUE !
Tout doit concourir à faire avancer l'action.
Courage... avec ta bande de mignons bandeurs !
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 21-12-2020
(21-12-2020, 09:18 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] !
Belle suite.
Comme chaque fois au matin les garçons ont la trique!
Après le petit pipi du matin, Stefan se fait masser pour son plus grand bien! Oui il est branlé par Peter devant Koen et Frédéric. Martin arrive sur cet entre faite et parle au garçons de différentes manières de faire jouir un garçon.
Le Professeur lui aussi est réveillé et est également équipé de la gaule matinale! Oui à son âge bande dès potron-minet.
Une petite douche pour être en forme suivie d'un bon petit déjeuner.
Balade le long du lac à trois car s-Stéphan s'occupe de préparer les desserts!
Une discussion concernant le couple Daniel et Dominique.
Merci Daniel pour cette suite!
Je t'embrasse!
Philou
Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.
Ils sont déjà en pleine forme au réveil, je me suis inspiré de tes scouts qui ont toujours la trique… C’est Stefan qui en profite puisqu’il n’aura pas de massage. Ensuite la journée va se dérouler tranquillement.
Je t’embrasse.
Daniel
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 21-12-2020
(21-12-2020, 09:19 PM)Louklouk link a écrit :...oui, c'est un rêve, un rêve d'amour !
" c’est difficile de trouver des sujets de conversation intéressants entre les protagonistes "
Hello ! Qui te demande de raconter les conversations de tes personnages ?
Un seul but, dans un roman : L'INTRIGUE !
Tout doit concourir à faire avancer l'action.
Courage... avec ta bande de mignons bandeurs !
Merci [member=87]Louklouk[/member].
C’est le problème, il n’y a pas d’intrigue dans ce chapitre, mes personnages vont glander toute la journée. Il y aura un peu plus d’action dans l’épisode suivant avec les massages.
Lorsque j’ai une idée pour un chapitre de ce roman, je ne sais pas à l’avance ce que cette idée donnera et le résultat est plus ou moins satisfaisant, mais il est trop tard pour changer de cap.
Vivement que 2020 se termine, espérons que 2021 sera meilleure à tous points de vue.
Re : Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 22-12-2020
Merci [member=87]Louklouk[/member].
C’est le problème, il n’y a pas d’intrigue dans ce chapitre, mes personnages vont glander toute la journée. Il y aura un peu plus d’action dans l’épisode suivant avec les massages.
Lorsque j’ai une idée pour un chapitre de ce roman, je ne sais pas à l’avance ce que cette idée donnera et le résultat est plus ou moins satisfaisant, mais il est trop tard pour changer de cap.
[/quote]
Lorsqu'il ne se passe rien, on le dit d'une phrase : ne pas s'acharner à raconter l'inexistant !
Chaque chapitre ne doit être qu'une subdivision de l'intrigue générale, et non exister pour lui-même.
D'où l'intérêt de faire un plan...
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Nostalgique - 22-12-2020
Oui, Louklouk, tu as en principe raison mais je me souviens d'une aventure qui m'était arrivée alors que je fréquentais encore le lycée:
J'avais toujours d'excellentes notes en rédaction, mais contrairement aux instructions, je ne faisais jamais de plan. Pour les rédactions nous avions deux périodes à disposition et j'en passais au moins une à rêvasser avant de m'attaquer au sujet.
Un jour le professeur s'en est aperçu et a exigé le plan. Le résultat avait été catastrophique, heureusement, bon prince, le professeur n'avait pas tenu compte de cette note et j'avais eu l'autorisation de travailler sans plan. Mes notes suivantes ont, à nouveau, été brillantes...
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 22-12-2020
D’accord de faire un plan, mais ensuite il faut encore le suivre, et je n’ai pas l’impression que je le suivrais, j’aurais de nouvelles idées à mesure que j’écris et que le résultat final ne correspondrait plus au plan.
Je pense plutôt que le problème est inhérent au roman-feuilleton. Je vous livre une histoire par tranches de 1’000 mots environ et je ne vous livre pas un roman entier qui a été relu et dont les passages les moins bons ont été coupés ou corrigés. Vous êtes donc dépendants de mon inspiration au moment où j’écris chaque épisode.
Je pourrais renoncer à écrire les jours où je ne suis pas inspiré, mais je ne pense pas que ce serait la solution, ce serait plutôt une incitation à la procrastination. Et je vous rappelle que je ne suis qu’un écrivaillon de province qui a perdu tout espoir de recevoir le prix Goncourt.
Ne pas s’acharner à raconter l’inexistant ? C’est peut-être la conséquence de la pandémie, j’ai constaté que ma vie est inexistante depuis qu’on m’a enlevé tout ce qui en faisait sa saveur : un repas au restaurant, une soirée au théâtre, une visite au musée, un petit voyage à l’étranger. Vous me direz qu’il me reste le sexe… Je n’ai plus 20 ans et la vigueur de mes personnages.
Je vais cesser de faire mon autocritique, nous ne sommes pas dans la Chine maoïste, je vous promets donc que tous les épisodes suivants seront géniaux et ne décriront pas l’inexistant, tant pis si vous ne me croyez pas.
Passez de bonnes fêtes de Noël malgré les circonstances et que la force soit avec vous (nous). Et n’oubliez pas de jeter un coup d’œil sur « À chacun son histoire » après le 25, il y aura un petit cadeau de ma part.
PS : Merci à [member=146]Nostalgique[/member] d’avoir passé.
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 26-12-2020
Je prends le train avec quelques jours de retard : tant pis pour moi! J'ai comme l'impression d'avoir ces jours-ci entendu sur ARTE, je pense, un concert donné par l'orchestre de Paris où des œuvres de compositeurs autrichiens et français (les Strauss, Offenbach) étaient données de fort belle façon. C'était sans doute une rediffusion car personne ne portait ce désagréable accessoire...sur le museau et l'on voyait derrière les sièges, des gens valser. Or nous profitâmes de ce fameux duo entre Hélène et Pâris dont il fut question plus haut. Serais-je le seul parmi nous (et par...minou?) à l'avoir entendu?
Allez, mon cher Lange, patience et bon courage : les périodes néfastes ne sont pas éternelles, Dieu merci. Nous retrouverons bien notre liberté un de ces jours! Bien à toi,
KLO.
Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 26-12-2020
(26-12-2020, 09:13 PM)KLO7514 link a écrit :Je prends le train avec quelques jours de retard : tant pis pour moi! J'ai comme l'impression d'avoir ces jours-ci entendu sur ARTE, je pense, un concert donné par l'orchestre de Paris où des œuvres de compositeurs autrichiens et français (les Strauss, Offenbach) étaient données de fort belle façon. C'était sans doute une rediffusion car personne ne portait ce désagréable accessoire...sur le museau et l'on voyait derrière les sièges, des gens valser. Or nous profitâmes de ce fameux duo entre Hélène et Pâris dont il fut question plus haut. Serais-je le seul parmi nous (et par...minou?) à l'avoir entendu?
Allez, mon cher Lange, patience et bon courage : les périodes néfastes ne sont pas éternelles, Dieu merci. Nous retrouverons bien notre liberté un de ces jours! Bien à toi,
KLO.
Merci [member=156]KLO7514[/member].
Je n’ai pas vu ce concert et il ne semble pas disponible en VOD sur Arte Concert. Par contre le spectacle de la « Belle Hélène » dont j’avais donné le lien y sera disponible dès le 28/12.
Pour retrouver la liberté, je vous offre le final de l’opéra « Guillaume Tell », de Rossini et probablement un nouvel épisode cette année encore. Il faudra aussi que j'écrive une version homoérotique de cette histoire.
Bien à toi
Daniel
Livret de Étienne de Jouy et Hippolyte-Louis-Florent Bis
L'orage, entièrement dissipé, laisse voir, dans toute sa beauté, une partie de la Suisse. Une multitude de barques pavoisées voguent sur le lac des Quatre-Cantons. Les montagnes qui dominent Flüelen, et surmontées encore par les grands glaciers frappés des rayons du soleil, couronnent le tableau.
GUILLAUME
Tout change et grandit en ces lieux.
Quel air pur!
HEDWIGE
Quel jour radieux!
JEMMY
Au loin quel horizon immense!
MATHILDE
Oui, la nature sous nos yeux
Déroule sa magnificence.
GUILLAUME
À nos accents religieux,
Liberté, redescends des cieux,
Et que ton règne recommence!
TOUS
Liberté, redescends des cieux,
Et que ton règne recommence!