JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) (Terminé) (/showthread.php?tid=2) |
Re : Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-08-2020 (30-08-2020, 12:20 AM)bech link a écrit :[quote author=AL gayman link=topic=27.msg2839#msg2839 date=1598738743] En général je ne fais pas attention à mes rêves. Mais une fois, je pissais dans l'herbe et ça faisait du bien. Et puis je me suis réveillé. J'ai encore pissé 2 ou 3 secondes et puis j'ai réalisé ce qui s'était passé. [/quote] Bonjour [member=27]bech[/member] ! Merci pour cette anecdote! Je rêve souvent la nuit. Parfois je rêve que je suis en train de me soulager et je me réveille avant de me pisser dessus. Il arrive parfois que ce soit trop tard et quelques gouttes se soient égarées dans mon lit, mais c'est rare. Une fois, alors que j'avais 19 ans j'ai inondé mon lit. La tête de ma maman au matin quand je lui ai dit que j'avais pissé au lit !!! J'ai fait dernièrement un rêve dans lequel je roulais vers un fossé pour ne pas me faire écraser par un camion qui arrivait vers moi, sur la route. J'ai effectivement roulé dans mon rêve mais aussi dans mon lit: résultat je me suis retrouvé à terre à 4h20 du matin ! Bon dimanche! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 30-08-2020 Il y a quelques années, je faisais très souvent des rêves en relation avec l’envie d’uriner le matin, me retrouvant dans des endroits où c’était très compliqué ou impossible de le faire. J’ai aussi une fois réellement uriné et ça m’a réveillé. La première fois cela fait un choc, après on se dit que c’est l’âge, il faut l’accepter comme on accepte d’autres maladies dues au vieillissement et vivre avec. Quand même un conseil pour les gens de mon âge : allez faire des contrôles chez l’urologue. Et puisqu'on est dans la prévention, n'oubliez pas les coloscopies, une de mes cousines est morte récemment d'un cancer du côlon. Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 30-08-2020 (30-08-2020, 12:29 PM)Lange128 link a écrit :Il y a quelques années, je faisais très souvent des rêves en relation avec l’envie d’uriner le matin, me retrouvant dans des endroits où c’était très compliqué ou impossible de le faire. J’ai aussi une fois réellement uriné et ça m’a réveillé. La première fois cela fait un choc, après on se dit que c’est l’âge, il faut l’accepter comme on accepte d’autres maladies dues au vieillissement et vivre avec. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Tu as tout à fait raison Daniel. A nos âges nous devons prévenir les soucis qui peuvent arriver. Contrôle par prise sang un fois par an et en plus tests pour le cancer colorectal, pour la prostate, etc... Un accident nocturne de pipi au lit une fois tout les deux ou trois ans, pas de quoi fouetter un chat non plus! Bon dimanche Daniel. Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 31-08-2020 Le soir nous avions commencé à faire les bagages car le lendemain nous devions reprendre la route pour rentrer. Au matin nous avions pris le petit-déjeuner pour ensuite charger la camionnette avec les bagages. Papa avait été rapporté la clef du chalet et nous avions pris la route du retour. Le trajet s’était très bien passé. Nous n’avions pas d’embouteillage. Une fois arrivé chez nous, Jacques avait téléphoné à ses parents pour qu’ils viennent les rechercher. Une fois que Jacques fut sur le point de repartir chez lui avec son papa, l’au revoir a été très pénible tant pour Jacques que pour moi. Nous nous étions enlacés en pleur durant au moins cinq minutes. Personne n’osait dire quelque chose. Le papa de Jacques avait remercié mes parents pour avoir pris avec nous Jacques pour une semaine au ski. Papa lui avait répété qu’il l’avait fait de bon cœur et que c’était une manière de montrer qu’il était sensible au lien qui m’unissait avec Jacques. Une fois que la voiture ramenant Jacques chez lui fut sortie de l’allée de jardin, je m’étais effondré en larme. Je savais que je n’allais plus pouvoir passer d’aussi bons moments avec lui, comme nous venions d’en vivre durant une semaine. Maman m’avait pris dans ses bras. Une fois un peu remis de mes émotions, j’avais rejoint ma chambre pour me mettre au lit. Le matin en me levant j’avais comme la gueule de bois, sans avoir bu. J’étais sonné de savoir que Jacques ne serait plus là dans quelques jours. J’avais pris ma douche et ensuite j’avais mangé un bout de pain, je n’avais pas faim. J’étais remonté dans ma chambre pour écouter de la musique. J’étais descendu pour le repas de midi et je n’avais mangé que quelques bouchées, j’avais l’appétit coupé. Ma sœur Delphine voyait très bien que je n’étais pas dans mon assiette, me proposa d’aller faire un tour pour nous aérer le corps et l’esprit. Nous étions allés faire une balade de deux heures. Une fois de retour à la maison maman m’avait averti que Jacques avait téléphoné. Il m’avait invité à passer la journée prochaine et la nuit chez lui, c’était son papa qui avait insisté. Je ne savais que penser de cette invitation. Je n’allais pas la refuser, mais j’avais une appréhension de prolonger ainsi l’adieu indéfiniment ! J’avais recontacté Jacques pour lui dire que je serai chez lui le lendemain matin vers 10 heures ; mais Jacques souhaitait que je sois déjà arrivé vers 9 heures ! La soirée m’avait parue interminable. J’étais monté dans ma chambre et je m’étais mis au lit pour la nuit. Bip, bip, bip, c’était le réveil, il était 7 heures et demie. J’étais directement allé me doucher et j’avais mangé un bout avant d’aller prendre le bus pour aller chez Jacques. J’étais arrivé chez lui à 8 heures 45. Jacques m’avait accueilli les bras ouverts, il m’attendait avec impatience. Il avait pris mon sac des mains, il contenait mes effets pour me changer et l’avait déposé dans le coffre de la voiture de son père. Puis en se tournant vers moi, il m’a dit : Jac : Surprise, surprise ! Moi : Quoi, mais … Jac : Ne t’inquiète pas, c’est mon père qui nous fait un surprise. Tu es d’accord de nous accompagner ? Moi : Mais oui, bien sûr ! Jac :« Je ne te dis rien maintenant, tu le découvriras le moment venu ! J’étais franchement intrigué. J’avais vu Alexis qui était d’une excellente humeur J’avais été salué la maman de Jacques, Béatrice. Je voyais qu’eux aussi avaient préparé leurs sacs pour partir. Nous allions donc être à cinq durant deux jours semblait-il ! Nous voilà donc tous embarqués dans la voiture. Nous quittons Bruxelles pour une destination qui m’était inconnue. Alain prenait la direction de l’autoroute des Ardennes vers Liège. Il y avait de plus en plus de neige sur les côtés de la route. Ensuite nous allions en direction de la ville de Francorchamps. C’est là qu’il y avait ce très beau circuit de voitures. Je me souvenais y avoir été à quelques reprises pour voir les 24 heures au virage de Stavelot. Que de souvenirs ! Et ensuite nous avions pris quelques petites routes pour nous retrouver non loin de Malmedy. Nous étions arrivés dans un petit village, nous avions repris une toute petite route menant à l’extérieur de celui-ci. Nous nous étions arrêtés devant une très belle bâtisse en pierres du pays. C’était en fait une grande ferme restaurée. C’était un bâtiment splendide. Jacques et moi nous étions impressionnés, de même qu’Alexis. Alain, le papa de Jacques avait loué cette ancienne ferme pour deux jours. Nous entrions dans un immense hall d’entrée. Puis il y avait un grand living composé d’une salle à manger où une grande table en chêne d’un seul tenant trônait en son centre. Il n’y avait pas moins de douze chaises, elles aussi en chêne. Il y avait également un billard. Puis la partie salon avec plusieurs fauteuils et un divan. Puis par une baie vitrée nous avions pu voir la piscine intérieure chauffée et à température, avec un coin sauna et jacuzzi. C’était dément. Puis au premier étage, il y avait deux grandes chambres avec chacune une salle de bain attenante et ensuite au second étage une autre grande chambre avec une salle de bain, ainsi qu’un dortoir avec trois lits superposés et une grande salle de jeux. Nous avions pu ensuite découvrir le très grand jardin avec une vue imprenable vers les Fagnes. Les parents de Jacques avaient pris une chambre au premier étage ainsi qu’Alexis, Jacques et moi nous avions pris celle du second étage. Une fois installés, Alain avait proposé de s’habiller pour aller faire du ski de fond ! Quelle excellente idée. Nous étions très vite en tenue. Nous avions repris l’auto en direction des pistes de ski de fond. Nous avions loué sur place les skis et les bâtons, qui avaient été réservés. Quelle belle fin de matinée. Jacques et moi nous nous amusions avec Alexis à aller le plus vite possible sur certains tronçons, puis il y avait des descentes, bref nous étions très heureux de pouvoir glisser sur une piste bien enneigée ! Les parents de Jacques suivaient à leur aise derrière nous. A la pause de midi, ou plus tôt celle de 13 heures trente, nous avions remis les skis au loueur. Alain avait réservé une table dans un restaurant de cette station de ski de fond. Nous avions mangé un repas revigorant. Tout le monde était content et heureux de cette matinée ! Nous avions profité du beau temps pour faire un tour à pieds dans les Fagnes. Le paysage était splendide. Nous étions ébahis par le spectacle qui nous était offert par cette nature hivernale sous ce soleil bas qui donnait au paysage des allures lunaires et un peu extraterrestres ! La neige était tombée en abondance et tout, vraiment tout était d’un blanc immaculé ! Une fois que le soleil s’était couché à l’horizon, laissant des couleurs rosâtres sur la neige, nous avions repris la voiture pour rentrer à notre logement. Une fois rentré, j’avais susurré aux oreilles de Jacques l’envie d’aller plonger une tête dans la piscine. Jacques m’avait alors dit de prendre sur moi et de le demander moi-même à son père. J’avais alors demandé à Alain : Moi : Alain, je ne sais pas si tu es d’accord, mais j’ai envie, tout comme Jacques, d’aller piquer une tête dans la piscine ! Al : Pour moi pas de problème ! Moi : Alain, je n’ai pas de maillot, j’espère que cela ne te dérange pas si nous nous baignons sans maillot, soit nus Al : Pour moi c’est la même chose, cela ne me choque pas, au contraire ! Moi : Merci Alain, car à la maison, chez nous, nous nageons toujours nus dans la piscine ! Al : Vous faites comme vous voulez ! Hop, ni une ni deux, nous voilà les trois garçons nus au milieu de la piscine. La maman de Jacques préparait le gouter. Alain lui regardait si tout était en ordre pour la nuit. Alain était venu nous rejoindre dans la piscine suivit par Béatrice, en tenue d’Eve et d’Adam. Nous étions tous heureux. Je ne savais pas que les parents de Jacques étaient si ouverts. Nous avions passé un bon moment dans l’eau. Puis Béatrice avait une collation au bord de la piscine. Quelle superbe ambiance très familiale. J’avais remarqué qu’Alexis avait les poils pubiens bien taillés. Je me demandais pourquoi il prenait ainsi soin de sa toison. Il avait un sexe de belle grandeur. Nous nous étions essuyés et j’avais parlé un peu avec Jacques. Nous nous étions ensuite rhabillés pour faire une partie de billard pendant que Béatrice préparait le souper. A un moment j’avais dit à Jacques que nous devrions peut-être donner un coup de main pour mettre la table pour aider sa maman. Alain voyant que nous allions donner un coup de main à Béatrice, il s’était mis en train pour préparer l’apéro et les boissons pour le repas. Alexis s’était occupé de ranger les abords de la piscine. Jacques et moi nous avions dressé la table. Alain avait débouché deux bouteilles de vin. Alexis avait ouvert sachets et les boîtes de chips et de zakouskis. Bref nous étions prêts à passer un bon moment. J’avais encore cette idée de départ de Jacques dans la tête. Je commençais à gamberger. Pourquoi les parents de Jacques m’avaient-ils invité. Jacques était pour moi mon ami, mon amour, ils le savaient très bien. Notre séparation allait être encore plus pénible ! Je ne savais que penser. C’est Jacques qui m’avait dit : Jac : Oh Phil, tu es dans la lune ! Moi : Excuse-moi Jacques, mais je ne sais pas ce que je fais ici avec vous. Tu as oublié que nous serons séparés dans quelques jours ! ’ Jac : Je sais Phil, mais papa voulait nous offrir encore deux jours ensemble ! Moi : Oh Jacques, ça part d’un très bon sentiment, mais ça me fait du mal. Je ne sais qu’en penser ! Je m’étais une nouvelle fois effondré en larme. Béatrice voyant ça s’était approchée de moi pour me prendre dans les bras, même Jacques pleurait aussi. Béatrice comprenait très bien que me faisait du mal ainsi qu’à Jacques. C’est Alexis qui nous avait sorti de ce moment de déprime en sortant des blagues à six sous. Nous étions passés à table, mais l’appétit n’était pas là. J’avais mangé pour faire plaisir à Béatrice et faire honneur à son plat. Je n’avais pris qu’un verre de vin, en suite j’avais bu de l’eau. Je n’avais pas pris de dessert, je n’avais pas le cœur à manger une part de gâteau. Nous nous étions installés dans le salon devant la cheminée où un bon feu de bois brûlait. Il y avait un peu de musique en sourdine. Nous ne parlions pas beaucoup, nous profitions du feu. Alain s’était servi un verre de cognac qu’il sirotait doucement, Béatrice avait pris une infusion et nous les jeunes nous avions des jus de fruits ou de la limonade. Vers minuit, Alain avait dit qu’il était temps d’aller se coucher, pour être debout le lendemain matin vers neuf heures pour ne pas perdre de temps pour les activités. Jacques et moi nous avions souhaité une très bonne nuit au reste de la famille et nous étions montés dans notre chambre. Une fois dans la chambre, j’avais regardé Jacques dans les yeux. Il faisait de même. Je savais qu’il pensait la même chose que moi, que c’était de plus en plus difficile d’être ensemble en sachant que dans une petite semaine nous serions séparés. J’avais avancé ma bouche vers celle de Jacques. Nos lèvres s’étaient frôlées. Puis elles s’étaient une nouvelle fois rencontrées, puis finalement elles se sont unies pour laisser nos langues pénétrer dans la bouche de l’être aimé. Nous nous étions embrassés durant quelques minutes. Nous nous étions déshabillés pour prendre une douche. L’eau était à peine tiède, nous n’étions donc pas restés longtemps sous la douche. C’est donc nu que nous nous étions couchés dans le lit. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Puis Jacques m’avait susurré à l’oreille qu’il voulait se donner à moi. Moi aussi j’avais envie d’aimer Jacques. J’étais alors allé prendre des capotes et du lubrifiant dans mon sac. J’avais enduit la rondelle de Jacques de lubrifiant et avec mon doigt, j’avais bien lubrifié son anus. J’avais même pu entrer deux doigts en même temps. Mon sexe était déjà bandé depuis le début, il ne restait plus qu’à enfiler la capote. J’avançais mon pénis vers la rondelle de mon ami. Puis doucement, tendrement j’introduisais mon phallus dans sa grotte. J’y allais progressivement laissant le temps à Jacques de se sentir bien pour ne pas avoir mal. Puis une fois mon vis enfoncé jusqu’à la garde, j’avais entamé des mouvements lents de va et vient. Je prenais le temps, je m’appliquais et je changeais de rythme en vue de donner du plaisir. Jacques commençait à gémir de bonheur, j’y allais alors de plus en plus rapidement en alternant avec des mouvements plus lents et plus lascifs. Puis je voyais de Jacques appréciait d’être ainsi sodomisé. Moi de mon côté je sentais que j’allais bientôt jouir, je poursuivais mes mouvements de va et vient et puis je m’étais cabré et j’avais éjaculé six jets de sperme au fond de la capote. Jacques gémissait de plaisir ! Nous nous étions ensuite couchés sur le lit, le temps de reprendre nos esprits. Puis c’est Jacques qui avait voulu me faire l’amour. Il avait pris le lubrifiant et une capote. Il m’avait élargi la rondelle avec ses doigts, il avait enfilé la capote sur son membre dressé. Délicatement il avait présenté le bout du gland recouvert de latex au niveau de mon anus. Il commençait alors à me pénétrer centimètres par centimètres. Je sentais son sexe bandé s’introduire au fur et à mesure dans mon anus. Je n’avais aucune sensation de mal, mais bien du plaisir. Jacques s’était alors mis à me pistonné l’anus par des va et vient en alternant la rapidité des mouvements. Je commençais à gémir, je sentais qu’il était très près de ma prostate et je ressentais de plus en plus de sensations agréables et jouissives. J’étais parti au septième ciel. Mon Jacques avait fait des progrès, il savait me procurer du bonheur. Puis j’avais senti mon amant se raidir et ensuite laisser partir au fond de la capote six jets de sperme bien chaud. Je gémissais comme ce n’était pas permis. J’avais peur d’alerter toute la maisonnée. Nous nous étions alors affalés côte à côte sur ce lit, témoin de cette ivresse partagée. Nous nous étions aimés. Nous nous étions donnés l’un à l’autre, sans retenue et sans arrière-pensée. Nous étions allés reprendre une douche, un peu froide, avant de nous coucher dans le lit. Nous nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre jusqu’au petit matin. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - AL gayman - 01-09-2020 Très belle initiative du père de Jacques, même si c'est reculer pour mieux sauter, cela leur laisse encore deux jours pour vivre le plus intensément leur amour. Le bues se fait sentir au plus profond dans la journée, mais une fois seuls ils se donnent l'un à l'autre comme si leurs vies en dépendait… Ces deux jours seront, avec la période de ski, les plus beaux souvenirs qu'ils vont pouvoir garder bien au chaud au fond de leurs têtes et leurs cœurs. Mais tel Icare, la chute n'en sera que plus dure. Gros Bisous ALain Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 01-09-2020 (01-09-2020, 12:15 AM)AL gayman link a écrit :Très belle initiative du père de Jacques, même si c'est reculer pour mieux sauter, cela leur laisse encore deux jours pour vivre le plus intensément leur amour. Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Le papa de Jacques souhaite faire plaisir à Phil et à son fils sachant qu'ils seront séparés dans peu de temps. C'est aussi une façon de remercier pour l'invitation faite à Jacques de passer une semaine au ski avec la famille de Phil! Les cœurs sont lourds, le bleus se fait sentir, la fin de leur idylle est inéluctable. Le soir ils se donnent l'un à l'autre, ils veulent garder un souvenir impérissable de leur rencontre. Il est certain que ce qu'ils ont vécu restera à jamais dans un coin de leur tête ! La chute sera dure comme tu le soulignes! Merci Alain de suivre le récit et de laisser un com! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 01-09-2020 Merci [member=19]Philou0033[/member]. Cette invitation est étonnante et je comprends que Phil soit troublé. Peut-être va-t-il encore se passer quelque chose de spécial le lendemain ? Pour les parents c’était aussi le dernier séjour qu’il faisaient en Belgique avant le départ pour le Canada. Cette ferme leur rappelle-t-elle des souvenirs ? Les poils pubiens d’Alexis m’intriguent aussi… Nous aurons certainement des réponses dans le prochain épisode. Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 01-09-2020 (01-09-2020, 07:32 AM)Lange128 link a écrit :Merci [member=19]Philou0033[/member]. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Oui une invitation étonnante ce qui jette un trouble chez Phil mais aussi chez Jacques par moment! Phil se demande ce qu'il fait là avec eux! Les parents de Jacques veulent profiter d'un dernier séjour en Belgique avant de quitter le pays pour le Canada, ils veulent faire plaisir à leurs deux enfants et aussi à Phil qui a pris une place dans la vie de Jacques. Ils ne pensaient pas que cela allait troubler les deux ados amoureux! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-09-2020 Au matin, nous avions été réveillés par Alexis. En effet nous n’avions pas entendu Béatrice et Alain nous appeler. Alexis était en slip. Je lui avais demandé si sa douche était chaude car en ce qui concernait la nôtre ce n’était pas le cas. Il nous avait répondu qu’hier soir l’eau de sa douche était bien chaude. J’avais alors proposé à Jacques d’aller se doucher dans la salle de bain de son frère. Jacques avait approuvé et Alexis avait lui aussi accepté. Nous étions donc descendus au premier étage pour prendre notre douche. Nous étions Jacques et moi, nus pour aller et venir entre les deux étages. Une fois dans la douche de la salle de bain d’Alexis, nous avions pu nous rendre compte que l’eau était à très bonne température. Nous étions contents d’avoir un peu plus chaud. Alexis avait souhaité nous rejoindre, c’était la première fois que je le voyais nu à nos côtés, hormis la séance de piscine. Il était bien monté, un pénis de 14 cm au repos et quelques poils pubiens bien taillés. J’avais osé demander à Alexis s’il se taillait souvent la toison, il m’avait répondu qu’il se taillait les poils pubiens une fois par mois. Le fait de parler de ça m’avait mis le sexe à l’horizontal. Jacques et Alexis l’avaient bien vu, et Alexis m’avait dit : Alex : Alors Phil, on dirait que ça te fait de l’effet de parler taille de poils pubiens ! Moi : Mais non, c’est juste parce que l’eau est chaude ! Jac : Oui, c’est ça, c’est mon frère qui te fait cet effet-là ? Moi : Mais non Jacques, mais non. Alex : Tu ne dois pas t’inquiéter, ça m’est déjà arrivé dans les douches au foot. Jac : Oui, mais on n’est pas au foot ici ! » Moi : Oui, je suis avec deux frères et puis basta ! Je continuais à me savonner sans m’occuper de Jacques et d’Alexis. C’est vrai que mon sexe avait pris de l’ampleur mais bon je ne bandais quand même pas. Mais c’était sans compter sur l’espièglerie d’Alexis. Il disait : Alex : Je suppose qu’hier soir ton vermicelle était en meilleur forme pour satisfaire mon frère. Jac : Eh Alex, tu es fou oui quoi. Moi : Je ne sais pas, mais je pense qu’Alex n’a pas eu l’occasion de sa satisfaire lui-même. Il pensait peut-être avoir une main salvatrice qui aurait pu le soulager ! Alex : Oui, c’est ça Phil, peut-être ta main ! Moi : Mais non, je pense que tu préfères la main d’une fille ! Alex : Tu n’as pas tort, j’imagine bien une belle demoiselle qui viendrait me titiller le serpent ! Nous avions poursuivis notre douche comme si de rien n’était ! Je savais qu’Alexis n’était pas complexé pour un sou. Nous avions donc fini de nous laver. Une fois séché Jacques et moi nous remontions vers notre chambre. Nous avions croisé Alain qui se demandait ce que nous avions fait dans la chambre d’Alexis. C’est Jacques qui lui avait dit que la douche était trop froide au deuxième étage et que nous étions allés nous doucher chez Alexis. Une fois habillés nous avions mangé les petits pains et les croissants qui avaient été déposés par le boulanger au pas de la porte de la maison. Nous avions aussi pris un bon bol de cacao chaud. Alain avait prévu de faire une autre activité physique en cette matinée. Nous allions faire une balade en raquettes. J’étais enthousiaste, car je n’avais jamais pratiqué la marche en raquettes. Jacques lui aussi été partant pour cette activité. Hop nous avions rejoint l’auto d’Alain et nous étions partis en direction des pistes de promenades en raquettes. Cette matinée s’était très bien passée. Nous nous étions amusés comme des fous sur les pistes. En tout cas on pouvait dire que cet exercice donnait mal aux mollets. Une fois rentrés à la location, Jacques, Alexis et moi nous étions allés faire une séance de sauna. Nous étions restés presque 20 minutes dans la chaleur du sauna. Ensuite nous avions été piqués une tête dans la piscine, tout cela en tenue d’Adam. Nous nous étions séchés avant de nous habiller pour le repas. Béatrice avait préparé un buffet pain – vin – fromages. Il y avait longtemps que nous n’avions pas mangé ce genre de repas ! Le début d’après-midi avait été consacré à faire une partie de billard. Nous avions ensuite refait les valises pour le retour. Nous avions quand même Jacques, Alexis et moi fait une petite balade dans le village alors que la neige recommençait à tomber. C’étaient les derniers moments passés ensemble. Personne ne disait mot. Nous restions silencieux en marchant. Je voyais qu’Alexis avait lui aussi gros sur la patate. Nous étions tous en train de penser à la séparation qui allait arriver dans les heures à venir. Puis j’avais vu des larmes couler sur les joues d’Alexis. Il était très triste de devoir quitter ses amis, ses copains de classe pour aller au Canada. Je pense aussi qu’il avait mal au cœur de voir son grand frère triste de me quitter. Il n’en fallait pas plus pour que Jacques et moi ne commencions à pleurer. Nous avions l’air un peu con tous les trois à braire au milieu de la route enneigée qui menait à la maison. Une fois de retour, nous avions chargé la voiture des bagages. La porte verrouillée, la clé déposée chez la préposée, nous avions repris le chemin de retour vers Bruxelles. A part la musique de l’autoradio, il n’y avait aucune parole de prononcée. Alain m’avait déposé chez moi, j’avais alors embrassé Jacques à pleine bouche. J’avais envie de pleurer mais je me retenais. J’avais attendu que la voiture ait passé le coin de la rue pour m’effondrer en larme. En entrant dans la maison maman avait vu que je pleurais, elle ne disait rien car elle savait ce qui se passait. Je venais peut-être de voir pour la dernière fois mon ami avant longtemps ! Maman m’avait pris dans ses bras pour me faire un gros câlin ! Delphine venait de sa chambre et elle aussi m’avait vu en pleurs dans les bras de maman. Elle m’avait juste donné un bisou sur la joue sans rien dire, elle avait aussi compris ce qui se passait. J’étais ensuite monté dans ma chambre pour me coucher sur mon lit. Je m’étais endormi sur mon lit. Maman était montée pour me demander de venir manger. Je n’avais pas faim. Je m’étais levé pour prendre une douche et aller dormir. Le réveil sonnait, il était déjà sept heures. Je m’étais levé car il y avait école. Une douche, un bol de café et une tartine de confiture et hop je m’étais habillé pour aller prendre le bus. Arrivé à l’école, je voyais Amandine au loin, elle était avec Joseph. Je les avais rejoints. J’avais la miné défaite. J’étais toujours en train de penser à Jacques. Il devait faire ses bagages car il devait prendre l’avion dans deux jours. Amandine me voyait l’air attristé et elle me demandait : Aman : Bonjour Phil, tu n’as pas l’air bien ! Moi : Oh Amandine, non je ne suis pas bien, Jacques part dans deux jours au Canada et je ne le verrai plus ! Aman : Ah oui, c’est vrai, je n’y pensais plus. Je comprends pourquoi tu fais cette tête-là. Moi : Tu connais la meilleure, je viens de passer deux jours avec Jacques, son frère Alexis et ses parents dans les Fagnes. Je n’arrêtais pas de penser au départ imminent de Jacques et de sa famille, c’était une véritable torture ! Aman : Je te comprends mon Philou, je sais que vous vous aimez et que ce ne sera pas facile, ni pour l’un ni pour l’autre. Moi : Merci Amandine, je vais devoir aller de l’avant et ce ne sera pas facile. Et toi tes vacances de Noël, ça a été ? Aman : Oui, j’ai été une semaine chez mes grands-parents et l’autre je suis restée à la maison. Jos : Et toi Phil, tu as fait quoi ? Moi : Et bien Jacques a passé le réveillon à la maison. Puis il est venu avec nous au ski durant une semaine. Puis j’ai été le dernier week-end dans les Fagnes avec sa famille. Aman : J’espère que tu en garderas de bons souvenirs. Moi : Oui, je vais les garder ses souvenirs dans ma mémoire. Jos : Tu sais Phil si tu veux parler ou quoi, je suis là pour t’écouter. Aman : Moi aussi mon Philou, tu sais que tu peux compter sur moi. La sonnerie annonçant le début des cours retentissait. Jean lui arrivait seulement en courant. Il avait le teint livide. Nous n’avions pas eu le temps de lui parler, nous allions lui demander comment il allait lors des intercours. A dix heures nous avions la récréation. J’avais demandé à Jean comment ça allait. Il m’avait dit qu’il était un peu fatigué. Les vacances s’étaient bien passées et qu’il était resté chez lui. Puis il m’avait demandé où était Jacques. Il avait oublié que Jacques partait pour cinq ans au Canada. Je me demandais ce que Jean cachait, il n’était visiblement pas bien. Le reste de la journée s’était passé sans problème. Je rentrais à la maison ayant encore le bourdon. Je ne faisais que de penser à Jacques. Je ne savais pas si je devais lui téléphoner, si je devais aller chez lui, où je ne sais pas quoi d’autre. J’avais fait mes devoirs dans ma chambre. J’avais mis un disque de Simon et Garfunkel. Puis c’était le moment de manger. Papa tentait bien de détendre l’atmosphère, mais je n’étais pas trop d’humeur. Je sais que ça partait d’une bonne intention, j’avais affiché un petit sourire de complaisance à papa, il avait tout de suite compris. La soirée c’était télévision, juste pour rester auprès de ma famille plutôt que me retrouver seul dans ma chambre. Le lendemain, école, discussion avec Amandine, Joseph et Jean. Jean semblait aller un peu mieux. Puis la semaine s’était écoulée sans avoir de nouvelle de Jacques. De toute façon je n’aurai jamais su aller à l’aéroport pour le saluer une dernière fois. Nous nous étions quittés après le week-end dans les Fagnes et je croyais que c’était mieux ainsi ! Delphine m’avait dit que Stéphanie et ses parents voulaient nous avoir à manger le samedi soir. Je ne savais si j’allais y aller, je n’avais pas envie de quitter la maison. Elle m’avait finalement convaincu d’y aller avec elle, elle me disait que ça me changerait les idées. Ce samedi soir papa nous avait déposé chez Stéphanie. Nous avions un cadeau à offrir à Béatrice et à Pierre pour les remercier de l’invitation. Pour Béatrice il y avait un bouquet de fleurs et un ballotin de pralines et pour Pierre une bouteille de whisky de 12 ans d’âge ! Toute la famille de Stéphanie était là. Julien était venu me saluer en me faisant la bise. Au début nous ne nous parlions pas beaucoup, juste quelques amabilités, sans plus. Au fur et à mesure de la soirée Julien et moi nous parlions d’un peu de tout. Je voyais que Delphine était contente de voir que je m’étais un peu déridé ! A la fin de l’apéritif, Pierre avait pris la parole. Il avait dit qu’il était content que Stéphanie ait passé une semaine au ski avec notre famille. Pierre voulait ainsi remercier Delphine et moi aussi, pour le séjour de Stéphanie avec nous. Pierre nous disait aussi qu’il voulait à son tour organiser quelque chose. Il avait pensé que pour les congés du carnaval il serait possible de partir peut-être au soleil. Il avait dit qu’il nous en reparlerait plus tard. Durant le repas j’étais assis à côté de Julien. Il faisait tout pour être aimable. Il m’avait dit qu’il serait prêt à me soutenir si j’avais besoin de parler ou autre chose à la suite du départ de mon ami Jacques. Je l’avais remercié. Finalement Julien était toujours le même, je crois qu’il veut tenter de faire la paix avec moi et peut-être retenter sa chance auprès de moi. Pour ma part c’était bien trop tôt et puis j’aimais Jacques ! La soirée s’est achevée et c’est Pierre qui nous avait reconduits à la maison. La journée de dimanche était morne, je n’avais pas envie de grand-chose. Papa avait décidé de faire une grande balade en forêt en famille. Nous avions donc été marché en famille dans la forêt de Soignes. Je pouvais me changer un peu les idées. Je pensais à la soirée d’hier, soirée durant laquelle Julien s’était montré très avenant envers moi. Je me demandais si ça ne cachait pas quelque chose. Je pense que Julien voudrait que nous soyons à nouveau amis. Je ne savais palus quoi penser. De toute façon j’allais voir comment les choses allaient évoluer, d’ailleurs j’avais toujours mon Jacques en tête. Je pensais à lui presque tout le temps. J’avais fini par m’endormir en pensant à Jacques, mais parfois des images de Julien me venaient à l’esprit ! Était-ce un signe ou quoi ! J’étais un peu perdu. Le lundi matin c’était retour à l’école. Comme d’habitude Jean était arrivé juste au moment de la sonnerie marquant le début des cours. Jean avait la lèvre inférieure gonflée, je me demandais ce qu’il avait. A la récréation j’avais demandé à Jean ce qui s’était passé pour qu’il ait la lèvre enflée. Il m’avait répondu qu’il s’était cogné à un meuble chez lui. Pour ma part je ne l’avais pas cru. J’en avais parlé à Amandine et à Joseph, ils ne savaient que penser. Le reste de la semaine s’était déroulée de la même manière. Jean était de plus en plus taiseux. Il avait souvent le regard vide. On était le vendredi à la pause de midi et j’avais pris Jean à part. Je lui avais demandé : Moi : Dis Jean, je vois que tu ne vas pas bien, je t’en supplie, dis-moi ce qui se passe, j’ai peur pour toi, j’ai peur pour ta santé. Jean : Ce n’est rien Phil, c’est juste un passage à vide ! Moi : Tu sais Jean, tu peux me dire n’importe quoi, je pense que c’est plus important qu’un moment de fatigue ! Jean : C’est très gentil à toi Phil de t’inquiéter pour moi, mais je t’assure, ça va. Moi : Jean, si tu veux je suis là pour t’écouter. Si tu as le moindre problème tu peux venir me trouver, je serai là pour toi, en toute amitié ! Jean : Merci Phil, je m’en souviendrai. Ne t’inquiète pas. Nous avions ensuite repris les cours. L’après-midi avait été longue, le temps ne passait pas. Il y a des moments comme ça où le temps semble s’écouler tellement lentement qu’on a l’impression qu’il s’est arrêté. Puis enfin cette sonnerie qui marque la fin des cours et le début du week-end. En rentrant à la maison, il y avait une lettre à mon nom. Elle avait été cachetée au Canada, à Saint-Lambert-de-Lauzon. C’était la première lettre de Jacques depuis son départ et son séjour au Québec. J’étais monté dans ma chambre pour la lire. Jacques expliquait que le voyage s’était bien déroulé. Il était installé avec sa famille dans une belle maison à Saint-Lambert-de-Lauzon. Il était à l’école à Québec et qu’il s’était fait deux copains. Il m’expliquait les cours qu’il avait, les trajets en bus et la vie sur place. Puis en fin de lettre il me disait qu’il avait été pris à partie par deux élèves qui l’avaient traité de pédale. Il avait eu en fait des regards dans un vestiaire lors d’un cours de sport. Il me disait sa crainte de devoir subir des humiliations répétées. Je n’en revenais pas, j’avais peur pour Jacques, sachant que nous n’avions jamais eu de problème dans notre bahut à Bruxelles. J’avais les larmes aux yeux et en plus j’avais la rage ! Le soir, à table lors du repas, j’avais expliqué à mes parents et à Delphine ce qui s’était passé au Québec avec Jacques. Tous étaient outrés d’apprendre cette forme d’homophobie envers Jacques. Bref nous avions terminé le repas en parlant de la montée continuelle de l’homophobe même chez nous en Belgique. Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Lange128 - 02-09-2020 Merci Philou. La rentrée est difficile pour Phil après ce dernier séjour avec Jacques et sa famille et une petite douche très agréable avec Alexis. Ensuite encore d’autres mauvaises nouvelles : Jean qui semble avoir des soucis et Jacques qui se fait traiter de pédale. Quand même une lueur d’espoir avec Julien. Je pense que Phil ne va pas rester longtemps seul… Je t’embrasse. Daniel Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-09-2020 (02-09-2020, 04:41 PM)Lange128 link a écrit :Merci Philou. Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci pour ton com ! Effectivement Phil a difficile à rentrer à l'école après avoir passer les derniers jours avec Jacques. Il sait qu'il va partir au Canade mais il ne sait pas quand ils pourront se revoir! Jean n'est pas bien, il a des soucis et il ne veut rien dire à ses amis de classe! Il semble presque logique que Julien, sachant que Jacques n'est plus en Europe, retente sa chance auprès de Phil. Les suites à venir nous en apprendrons plus! Merci Daniel de suivre le récit et de laisser un com ! Je t'embrasse! Philou Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Bouffondelalune - 02-09-2020 Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Quel plaisir de relire ton récit. Je redécouvre certain passage que j'avais oubliés. Je suis heureux de voir que tu revois certaines suites. Je t'embrasse Philippe Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - AL gayman - 02-09-2020 Leur séparation s'est faite par un dernier baiser au retour du we avec les parents de Jacques. Puis le silence et quelque part c'est mieux ainsi pour ne pas souffrir davantage. Le retour de Julien se fait par un repas familial mais sans qu'il y ait de tensions ou de tentative d'approche de la part de Julien. Mais le fait que les pensées de Phil soient pour jacques puis que le visage de Julien apparaisse me semble tout à fait naturel (Phil même si il en a beaucoup voulu à Julien a été son premier amour donc il reste quelque chose en lui…………..) Jean m'inquiète car il semble plus avoir des problèmes familiaux qu'autre chose et avec éventuellement de la maltraitance. Bon ressenti de la chappe de peine mais comme dit Phil la vie continue……………….. Bisous ALain Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-09-2020 (02-09-2020, 07:12 PM)Bouffondelalune link a écrit :Bonjour [member=19]Philou0033[/member] Bonsoir [member=197]Bouffondelalune[/member] ! Merci pour topn com ! Je me doute bien que tu ne vas commenter chaque suite, mais n'hésite pas de temps à autre à donner ton avis! Merci mon Ami ! Je t'embrasse! Philou Re : Re : JULIEN (ado - gay) (reprise Docti) - Philou0033 - 02-09-2020 (02-09-2020, 08:04 PM)AL gayman link a écrit :Leur séparation s'est faite par un dernier baiser au retour du we avec les parents de Jacques. Bonjour [member=48]AL gayman[/member] ! Merci pour ton com ! Il parfois souhaitable de rester dans le silence car il n'est pas bon de laisser les choses trainer. Un dernier baiser et puis basta. Il est certain que Jacques teint une place particulière dans le cœur de Phil. Phil revoit le temps d'un repas familial Julien. Rien de particulier, Julien est resté très zen. Pas d'amorce de réconciliation, pas de clin d'yeux, juste comme deux copains qui se revoient avec leurs sœurs. Phil pense encore à Jacques mais il y a aussi des moments où il revoit le visage de Julien. Oui, Julien a été son premier amour et il reste toujours quelque chose dans le cœur de Phil. Tu as raison Alain, Jean n'est pas bien du tout et ça à l'air de venir d'un problème familial, mais lequel? De la maltraitance de la part de ses parents? Des soucis point de vue vie familiale, surement! Merci Alain pour ton compliment. Lorsque j'écris, je vis, je sens les personnages, c'est probablement ça qui fait que le ressenti du lecteur est là aussi. Ce n'est pas facile, j'ai parfois difficile de me remettre d'un passage rédigé et qui me donne la chair de poule et les yeux humides! Je t'embrasse! Philou |