Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Tout thème (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=7) +--- Sujet : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (/showthread.php?tid=7) Pages :
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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-11-2023 Deuxième haut de forme, Il était joli comme un cœur, l'homme au chapeau-claque ! Ce jeune homme qui faisait son petit spectacle dans la grande galerie de la ville, superbe vestige du XIXème... comme les vêtements qu'il portait. Il y avait du monde, en ce début de vendredi soir, et l'on ne manquait pas de déposer une pièce ou deux en passant devant sa sébile... souvent même sans prendre le temps de le regarder. Les gens étaient pressés et, dans cette galerie chic, avaient autre chose à faire que s'attendrir sur les mines poétiques que leur offrait ce garçon. Mais on s'arrêtait quand même parfois une seconde ou deux... car il était joli, a-t-on dit. Pierre-Antoine, vingt ans, étaient de ceux qui avaient les moyens de prendre un pot dans cette galerie... ou plutôt d'y dépenser l'argent de ses parents. Qui n'en étaient pas avares : ce garçon était bon élève, et respirait la gentillesse. Or donc il étudiait dans une grande école de la ville. et là, il sirotait une bière en regardant le mignon artiste. qui sembla avoir un coup de mou, soudain, et s'assit sur une marche voisine, se mettant le museau dans les genoux. Comme ça durait, Pierre-Antoine eut envie de savoir quoi, et il se leva — le garçon n'était qu'à trois mètres de lui. — Pardon, Monsieur, ça ne va pas ? L'autre releva un minois ravagé par les larmes. — Oh ! Non, vraiment ! Venez ! Pierre-Antoine ramassa la sébile du garçon et le mena à sa table : — Je marche à l'Orval... Qu'est-ce que je vous offre ? — Oooh... Jupiler, ça ira, M'sieur ! — Non ! Je vous invite... Allez, une Leffe ! Vous n'ignorez pas les bienfaits de ce divin breuvage, que connaissait évidemment Pierre-Antoine. — Oh, M'sieur, vous... — On doit avoir le même âge... alors on se tutoie ? Et dis-moi tout. — J'ai pas de ronds, voilà... et ce coup de bière sera le dernier avant l'eau de la Meuse, je crois, fit le garçon d'une voix sourde en baissant le nez sur la pinte qu'on venait d'apporter. — Ho ! Ho ! Mais qu'est-ce que tu me dis, là ? fit Pierre-Antoine, soudain glacé. — Mes parents m'ont viré y a trois mois, et depuis je galère. Pierre-Antoine apprit dans la foulée que ce garçon étudiait les lettres, et n'avait toujours pas trouvé de petit boulot : c'est qu'à Liège, la concurrence est rude ! — Ils n'ont même pas voulu de moi comme figurant à l'Opéra ! Mais Pierre-Antoine ne sut point la raison du désaccord avec les parents... ni avec l'Opéra. Il gambergea, ce garçon ! Car le mec au chapeau-claque, Stéphane, était intéressant comme tout, quand bien il en était à vouloir se jeter dans la Meuse ! Il se décida soudain : — Bon ! Tu vas remettre à plus tard tes p'tits projets fluviaux, car ce soir, je t'invite. Le garçon protesta, mais en vain. On termina sa pinte, et Stéphane suivit Pierre-Antoine chez lui... un hôtel de maître sis dans un quartier tranquille de la ville. Il logeait au second, et expliqua que l'homme à tout faire était au-dessus, où étaient les chambres des domestiques. La cuisinière n'habitait pas céans. Et il avait obtenu de ses parents qu'ils donnassent des vacances au factotum et à la cuisinière pendant leurs trois mois d'absence, pour les affaires de Monsieur. Il était donc tranquille pour trois mois. Stéphane lui avait dit vivre dans une chambre minable... et il vit que le garçon, visitant celles de l'hôtel, ouvrait de grands yeux. Certes, ces pièces n'étaient plus utilisées depuis longtemps, mais elles étaient parfaitement entretenues, servant parfois aux jeunes cousins de passage. Bien que ses parents fussent aux antipodes, il leur écrivait chaque jour, évidemment. Il se contenta ce soir-là de dire qu'il recevait un ami étudiant... d'excellente famille. Il attribua une chambre au garçon, et redescendit, après avoir montré la salle de bains à Stéphane. Et il alla lui-même dans la sienne, laissant les portes ouvertes. Or il allait entrer dans la douche quand reparut le garçon. — Oh, Excuse-moi : Je t'attends dehors ! — Non, non, reste ! Tu ne t'es pas douché ? demanda Pierre-Antoine sans se cacher du tout. — Ben... je peux pas rester... j'ai pas de fringues, là... — Oh ! C'est vrai... Bon... déshabille-toi, tu veux ? On va se doucher ensemble, et je verrai ce que je peux te prêter. Il eut l'air archigêné, ce jeune homme, mais il obtempéra, baissant les yeux. Pierre-Antoine lui fit signe de le rejoindre devant sa grande armoire à glace : — Bien ce que je pensais... On est quasiment pareils de taille et de carrure... Tout ce que j'ai t'ira ! À l'eau ! On passa à la petite douche italienne de Pierre-Antoine, et celui-ci vit que Stéphane se cachait la bite ; il osa : — Te cache pas... tu sais, j'ai la même... enfin... peut-être un peut moins belle, oui ! Mais on est entre nous, Stéphane ! Le mec ôta ses main en regardant ailleurs... et Pierre-Antoine eut sous les yeux une magnifique pièce de musée... effectivement ressemblant à son chibre... mais en plus développé. Une splendeur ! Car il bandait, ce Stéphane. — Ouaouh ! T'es magnifique, tu sais ? Superbe ! Pourquoi tu voulais cacher ça ? — Oh... Oh... Je... Je te dirai, murmura le garçon. On termina la douche et Pierre-Antoine ouvrit ses armoires, qui débordaient de fringues de toutes sortes et il fit vitement des piles sur son lit. — Prends ce que tu veux pour ce soir, et si le reste t'intéresse aussi, on le met de côté ! Mais... vu le Réchauffement... si on restait à poil ? J'vais p'têt' bien réussir à bander comme toi, moi aussi ! Car Stéphane l'avait toujours bien raide. Il ne répondit pas. Pierre-Antoine mena alors son hôte au grand salon, un festival de vieilleries XIXème qui épatèrent Stéphane : — On dirait chez ma grand-mère ! fit-il en souriant enfin. Et il ne refusa pas les bulles de France. Comme on n'avait trop rien dans l'estomac, on ne tarda guère à partir en ribote, riant de tout et de rien. Mais Pierre-Antoine avait son idée, et il mena un interrogatoire serré, entre deux plaisanteries. Et ce garçon l'intéressa furieusement. Petit à petit, son plan prenait forme en ses pensées. Enfin, il proposa le dîner : le congélateur était plein, et ce fut à Stéphane de choisir. Puis on regagna la chambre de Pierre-Antoine. Stéphane avait dès longtemps cessé de bander... et Pierre-Antoine fit ce constat : — J'ai pas réussi à l'avoir droite, moi... M'enfin, ça vaut p'têt' mieux pour mon ego, quand je te vois ! — C'est pas la taille qui fait la vaillance, fit Stéphane. — T'es diplomate, toi ! On se posa sur les crapauds qui meublaient le coin salon de la vaste chambre, et après la grande pizza améliorée, Pierre-Antoine proposa évidemment du péquet [genièvre, en Wallonie]. Stéphane, lui, semblait fort détendu, désormais, et Pierre-Antoine proposa : — Si tu restais ici, tant que mes parents n'y sont pas ? — Oh... c'est gentil, mais je devrai toujours payer ma piaule... et j'ai pas de fric, je t'ai dit ! — Bon... comme j'ai pas l'intention de te poursuivre dans la Meuse à la brasse pour te repêcher à Rotterdam, j'ai pensé à ça : notre jardinier est en vacances aussi... Est-ce que tu te verrais passer la tondeuse, et arroser par-ci, par-là ? Mes parents seraient contents que je me sois occupé de quelque chose en leur absence, et toi, ça te ferait un peu de sous, non ? — Mais je... je... fit le garçon, les larmes aux yeux. — Je leur écris ce soir, réponse demain : ils sont en Australie, là ! Et demain, on va voir où tu crèches, d'accord ? Là, le garçon pleura franchement, et Pierre-Antoine se leva pour l'entraîner vers le petit sofa qui complétait le salon — du Napoléon III à périr ! Où il enlaça Stéphane qui se laissa aller comme une fontaine... Mais aussi... qui se remit à bander. Et cette fois, Pierre-Antoine se sentit lui aussi pousser des ailes... façon de parler. Quand Stéphane poussa son dernier hoquet, il ouvrit les yeux sur un joli spectacle : deux queues bien raides, et fort ressemblantes... si ce n'est qu'il rendait plus d'un centimètre à son hôte. Qui souffla tout de suite : — Ouais, j'avais raison : t'es mieux équipé que moi. — T'embête pas : t'es absolument magnifique, tu sais ? — On boit... pour fêter ça ? — Et quoi ? — Eh ben ! Que j'aie réussi à bander, tiens ! Stéphane éclata de rire, et l'on trinqua au péquet, le verre en une main... et la bite dans l'autre. Et Stéphane vint mettre la tête dans le cou de Pierre-Antoine. Il murmura : — Jamais j'aurais pensé finir ma journée comme ça... T'es beau, Pierre-Antoine... et j'adore ta bite. — T'es pas difficile ! — Si. Elle est... Je t'ai dit : magnifique. Pierre-Antoine eut alors un long frisson, que remarqua Stéphane : — Je t'ai choqué, je crois. — Non... Non ! Sauf que Pierre-Antoine venait d'être mis devant l'évidence : il bandait devant et avec un joli garçon. Jusqu'alors, il avait soigneusement évité de penser à ce sujet, et là... — On arrête, je crois... souffla Stéphane. — Non, on n'arrête rien, Stéphane, rien du tout ! Et là, ce fut au tour de Pierre-Antoine de fondre en larmes, vite récupéré par la pâle poitrine de Stéphane. Alors ce fut à Stéphane de prendre les choses en mains... à commencer par le beau vit de son hôte. Ce qu'iceluy avait tant espéré, depuis si longtemps ! Car c'était sa première fois. Elle fut intensément tendre, car Stéphane était l'opposé d'une brute et.... Bref, ça se passa bien. La douche redonna ses esprits au joli Pierre-Antoine, et il déclara, d'un ton presque viril : — Merci, mec ! Tu dors avec moi ? — Première fois que je dors avec mon proprio ! La nuit fut tendre, chaude et douce aussi. Au matin, Pierre-Antoine avait carte blanche pour embaucher Stéphane pour deux mois... après le retour des parents. Jusque là, il était en « stage »... On en pouffa gayment, comme bien vous le pensez. Néanmoins, dès le lendemain, Stéphane alla voir le jardin, après qu'on eut été dans sa piaule... Un taudis, aux dires de Pierre-Antoine. Qui fit rompre le contrat sur-le- -champ. — Je t'en fais un au nom de mes parents pour cinq mois, et on a donc le temps de trouver autre chose, si tu veux pas rester ici. Nettement dépassé par la vitesse des événements, Stéphane eut encore sa larme, vite arrêtée par un Pierre-Antoine qui avait appris des choses, ces dernières heures ! Et il avait décidé qu'on demeurerait nu céans... Ces garçons, on l'a dit, ses ressemblaient, quant à la carrure. Aussi pour les poils, finement déployés de haut en bas, et encore pour la quéquette, si celle de Stéphane était un peu plus grande. En réalité, Stéphane n'en savait guère plus que Pierre-Antoine en matière de sexe... mais il avait des idées. Et puis... son art du mime fit merveille ! On y alla donc à petits pas, et il fallut une bonne semaine pour que Pierre-Antoine apprît enfin que Stéphane avait été viré de chez lui pour cause de gaytitude, et l'on repleura de concert... Ceci renforça Pierre-Antoine dans son projet de donner à ce garçon une position stable, s'il le pouvait : — On ne va pas nous virer pas d'ici pour ça, affirma-t-il un matin. J'ai parlé de toi à mes parents, et envoyé nos photos. Dans la chambre de l'hôtel de luxe de Sidney, on put entendre ce dialogue, ce matin-là : — Chéri... Ton fils est amoureux. — Hein ? sursauta Monsieur, il te l'a dit ? — Pas encore, mais... regarde cette photo. Papa regarda, et frissonna : jamais il n'avait vu son fils si rayonnant ! Qui posait dans le jardin à côté d'un joli jeune homme non moins souriant : le jardinier intérimaire. — Alors ? souffla-t-il enfin. Tu t'en doutais ? — Oui, bien sûr. C'est la vie. Il a l'air gentil, le p'tit... et il est presque aussi beau que notre fils... qui en dit tant de bien... du moins comme jardinier … et ami ! — Sauf qu'ils nous ferons pas de petits, ces mignons... — Chut ! Si tu m'en faisais un, là tout de suite ? — Oh ! T'es folle ! — Oui. Ambiance, aux antipodes ! La relation entre ces jeunes gens s'établit toute seule. Jusqu'au retour des parents, Stéphane ne dormit pas une seule fois au troisième... Et ce fut sous les ors Napoléon III de l'appartement de Pierre-Antoine, que ces garçons perdirent leurs respectifs pucelages... dans un océan de sentiments ! Le retour aux réalités les rendit un peu anxieux... d'autant que la rentrée universitaire avait eu lieu à la mi-septembre. Stéphane s'acquitta de son travail au jardin avec scrupule... et souvent avec Pierre-Antoine... et à poil, toujours. Certes, le retour des parents et des domestiques.allait modifier ces agréables habitudes ! Tout était nickel cependant, et la cuisinière félicita même le jeune Monsieur. Entre-temps, Pierre-Antoine avait eu une autre idée : comme sa mère aidait Papa dans ses affaires, à son rythme, il suggéra que Stéphane lui servît de secrétaire occasionnel. Stéphane avait fait excellente impression, et Maman adopta l'idée aussitôt. Et l'on ne parla de rien d'autre... Il y eut cependant un petit moment d'incertitude, quand on sut le nom de Stéphane : car c'était une famille connue en ville. Maman décida d'assumer tout et le reste ; Papa soupira : — J'avais entendu dire qu'ils avaient eu un problème de famille... Maintenant je sais lequel... et ce n'est pas le nôtre. Pierre-Antoine parlait tellement de Stéphane que Maman décida vite qu'on le prierait à déjeuner et à dîner une fois par semaine. Le charme de ce garçon fit le reste. Il suggéra des recettes à la cuisinière et les prépara avec elle. Cessant de jardiner, il s'occupa des papiers de Madame, où il fut de bon conseil. Bref, il trouva sa place dans la maison... et dans la famille, après qu'on eut enfin abordé le sujet intime, à l'initiative de ce garçon. Où Maman finit par souffler : — On n'aura pas de petits-enfants... mais maintenant, on a deux fils au lieu d'un, je crois... Et franchement, ça pourrait être pire ! Tableau, dans le grand salon ! RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-11-2023 Coucou les gens, Toute personne désireuse de voir une photo de son choix servir de base pour nos auteurs peut me l'envoyer en MP. Celle-ci sera publiée, à condition de respecter la charte de SlyGame, bien évidemment ! RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 17-11-2023 Comme je pense que c'est ce sujet qui est le plus lu sur Slygane, je vous signale un post de @PIGNOUF (Tristan) publié dans l'un de mes récits car il s'adresse à tout le monde : https://recit.slygame.fr/showthread.php?tid=167&pid=14674#pid14674 RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 17-11-2023 Aucun doute que l'auteur du deuxième haut de forme soit louklouk. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 18-11-2023 Outre les bulles de Loire ou les mousses d’abbaye (on passe un niveau avec le peket, là, qui titre 40%vol) il y a régulièrement un personnage hyper-sensible dans les récits de @Louklouk Son Stéphane est émotif à mourir, et adorable, au point de regretter le compliment pour le sexe de P-A, qui n’en avait pourtant pas été avare envers le sien ¬‿¬ Puis la découverte mutuelle, tout en douceur, les parents compréhensifs, c’est juste parfait, le charme de la fiction, et heureusement qu’on a ça, parfois RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 19-11-2023 @fablelionsilencieux ! C'est bien loin, le 10 février... Qu'est-ce qu'on fait, entretemps ? Une fois les marrons glacés dégelés, et les gaufres aussi froides à Bruxelles qu'à Liège, que reste-t-il à l'auteur désœuvré... dont la supérette ne vend pas de péket ? Je viens d'avoir une idée de plus : un concours de phrasettes. Les gagnants seraient celui dont la phrasette a suscité le plus de textes, et celui qui a écrit le plus d'histoires sur l'ensemble des phrasettes proposées. Sachant que tout participant pourrait écrire une ou plusieurs fois sur sa propre phrasette, comme tous les autres sur toutes les phrasettes ! Minimum : 1,5 page A4 Mais aucun auteur de phrasette ne serait obligé d'écrire. Qu'est-ce qu'on me dit de ça, en haut lieu ? RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 20-11-2023 Mon bon @Louklouk, J'ai anticipé la publication des défis de Saint Valentin, afin de donner un maximum de temps aux auteurs. (Tout le monde n'a pas ta promptitude scriptatoire) Je laisse les histoires De Noël au concours organisé par SlyGame. Ceci dit, la machine ACSH continuera à tourner normalement jusque là. Ton idée d'un concours de phrasettes est tentant... donc : Toute personne, auteur ou non, désireuse de proposer une (ou des) phrasette de départ est priée de me (les) l'envoyer avant le 4 décembre via MP. Aucun auteur de phrasette ne sera dans l'obligation d'écrire, bien sûr. En attendant, voici une photo pour le 5 décembre : RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 20-11-2023 @Louklouk Je ne suis que dans un bas lieu, quoique à une altitude plus élevée que Bruxelles, mais je me permets de donner quand même mon avis. Proposer des phrasettes est une bonne idée, mais un concours de l’auteur qui aurait écrit le plus d’histoires ne l’est pas, d’une part parce que tu serais sûr de le gagner, d’autre part, en tout cas pour moi, parce que l’envie d’écrire ou de ne pas écrire dépend de beaucoup d’autres facteurs et que ce n’est pas cela qui me motiverait. Je me suis déjà exprimé à de nombreuses reprises à ce sujet et j’ai bien assez de propositions pour tenir jusqu’à la Saint-Valentin, à Pâques ou à la Trinité. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 20-11-2023 Hello ! (20-11-2023, 08:21 AM)Lange128 a écrit : parce que tu serais sûr de le gagner ...effectivement, je n'avais pas vu cet aspect des choses ! J'oublie que tout le monde n'est pas aussi enragé que moi... Donc une autre idée, beaucoup plus simple : nos amis auteurs ou lecteurs donnent des phrasettes, et les auteurs publient dans ÀCSH, mais chacun sous son nom, et sans faire de concours, juste pour le plaisir. Ceci pour ne pas charger encore notre vénéré Fabrice, qui en fait déjà bien assez ! Une plus grande variété de phrasettes pourrait peut-être inciter plus d'auteurs potentiels ? RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 20-11-2023 (20-11-2023, 08:21 AM)Lange128 a écrit : @Louklouk Je ne suis que dans un bas lieu, quoique à une altitude plus élevée que Bruxelles, mais je me permets de donner quand même mon avis. Proposer des phrasettes est une bonne idée, mais un concours de l’auteur qui aurait écrit le plus d’histoires ne l’est pas, d’une part parce que tu serais sûr de le gagner, d’autre part, en tout cas pour moi, parce que l’envie d’écrire ou de ne pas écrire dépend de beaucoup d’autres facteurs et que ce n’est pas cela qui me motiverait. Je me suis déjà exprimé à de nombreuses reprises à ce sujet et j’ai bien assez de propositions pour tenir jusqu’à la Saint-Valentin, à Pâques ou à la Trinité. Pas de panique, cher ami, Je n'allai pas faire une surenchère de phrasettes. J'estime qu'il faut laisser aux auteurs - occasionnels ou réguliers - le temps d'écrire et aussi de vivre, chacun ayant ses propres occupations. Il y a la photo en cour puis celle des gars dans la neige et après celle de saint Nicolas (6 décembre). Ensuite, suivant le nombres de phasettes reçues entretemps, je voulais proposer que toute personne inspirée par l'une(s) ou l'autre(s) de celles-ci publie son (ou ses) récit, directement, sur ACSH et ceci jusqu'à fin janvier. (la même phrase pouvant être réutilisée, si besoin, plusieurs fois) Ainsi, chacun son rythme et ses envies, tout en aménagent son emplois du temps et ses préparations des festivités de fin d'année. C'est t'y pas une bonne idée, ça ! Comme ça : @Louklouk content, toi content et moi très content Des bizous, saint Daniel des alpages RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 20-11-2023 @Louklouk @lelivredejeremie @Lange128 @bech @gaetanbg @KLO7514 @Nostalgique @stuka132 @emmanolife et les autres. Qu'en pensez vous ? RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 20-11-2023 Si tout le monde sont content, Louklouk être content itou ! RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 20-11-2023 On pourrait philosopher à l’infini sur le temps qui passe, je donne tout de suite une phrasette : Longtemps, je me suis couché de bonne heure Non, je crois qu’un auteur l’a déjà utilisée et écrire un récit si long surchargerait le serveur de Slygame. Il faut trouver l’équilibre entre stimuler les neurones des auteurs pour éviter qu’ils ne procrastinent tout en leur évitant un stress inutile. Ce n’est pas facile, j’en conviens, mais le roi silencieux des savanes est un sage et je suis sûr qu’il saura gérer tout ça. Saint Daniel ? Je me souviens d’un séjour dans la fosse au lions, mais ils ne m’ont pas dévoré, étais-tu parmi eux pour les calmer ? PS En général je suis invité pour les festivités de fin d’année, ce ne sera pas une excuse pour ne rien écrire. RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 20-11-2023 (20-11-2023, 07:01 PM)Lange128 a écrit : On pourrait philosopher à l’infini sur le temps qui passe, je donne tout de suite une phrasette : Il y a moyen de faire très court : Longtemps, je me suis couché de bonne heure... mais endormi très tard, a cause de Marcel ! Quand à la fosse aux lions, si mes souvenirs sont exacts, nous avions fait une sacré orgie la veille et mes congénères, entrés dans l'arène, pensaient surtout à se recoucher. Certaines affinités ayant eu lieu pendant la nuit, ils préféraient retourner baiser, plutôt que grignoter un rouquin. Ceci expliquant cela ! RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 21-11-2023 Je pense (donc j'essuie : signé Pascalitou) comme nous le demande," une fois ", notre ami le Lion, que chacun de nous soit libre de phraser à sa guise* et quand il le peut. *Rappel : Maître Folasse, le notaire des Tontons Flingueurs s'exclame, suite au marron envoyé par Monsieur Fernand au gardien de la péniche, «C'est curieux comme les marins aiment faire des phrases». Bien à vous, KLO. |