Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Deux cousins - Deuxième partie : Peace and Love (/showthread.php?tid=50) |
Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 23-11-2020 Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! On retrouve bien l'ambiance des douches communes. C'est toujours amusant! J'ai aussi pris l'habitude de pisser dans ma douche, à la maison, ou même lorsque je suis chez un ami. Petit nettoyage de l'anus pour les quatre garçons, le professeur quand à lui est resté de son côté. J'imagine bien les douchettes servant à nettoyer la partie anale, et aussi pour un petit coup sur le service trois pièces. Mais qui sont donc les deux nouveaux venus? Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 23-11-2020 (23-11-2020, 09:20 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire rapide. Ambiance des douches communes, un peu particulière quand même car les participants s’intéressent beaucoup aux corps des autres. L’avantage ici est que tout le monde est gay et qu’il n’y a pas de risques à le faire, pas d’homophobes dans ce récit. On peut donc également pisser et bander sans gêne. Monde idéal que permet la fiction. Le professeur doit se contenter d’être spectateur, le masseur aura plus de chance puisqu’il pourra « toucher » les jeunes gens (s’ils sont d’accord, évidemment, mais ils sont toujours d’accord, j’ai des personnages très coopératifs). Je ne me souviens pas avoir vu des douches avec un jet fixe à la hauteur de l’anus, mais j’ai utilisé une fois des toilettes avec une douchette intégrée. La chute est assez éculée avec l’arrivée de nouvelles personnes, tu as certainement deviné qui c’est. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 30-11-2020 Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (5) Vendredi 24 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil Les propriétaires et concepteurs du Sensorium, les fameux architectes Graf & de Bruson, étaient rentrés de la générale du festival d’opéra. Ils étaient dans la cinquantaine, Graf était maigre, chauve, tandis que de Bruson avait les cheveux longs, grisonnants, et un début d’embonpoint. Ils étaient habillés la même chose, comme à leur habitude : un complet noir avec une chemise rose au col ouvert ce soir-là, pochette assortie. — Bonsoir Messieurs, ne faites pas attention à nous, dit de Bruson, vous pouvez terminer votre douche tranquillement. Et bonsoir Monsieur le professeur, je ne t’avais pas vu. — Bonsoir Messieurs, dit le Dr Latte qui avait mis sa main devant son sexe. Je suis confus de me présenter à vous dans cette tenue. — Ce n’est pas ta première visite chez nous, me semble-t-il, ne joue pas les vierges effarouchées. Et pour une fois que c’est toi qui bandes et pas tes sujets d’étude. — Notre ami est peut-être vierge, fit Graf. Il faudrait être de marbre pour rester indifférent en se douchant avec de telles beautés grecques. — Vous le pensez vraiment ou vous dites cela pour nous flatter ? demanda Frédéric. — Je suis sincère, Frédéric. On t’a déjà dit que tu ressembles à ton père ? — Oui, on me l’a déjà dit. D’autres pensent que je ressemble à ma mère. — Je pensais surtout à ta bite, je ne crois pas que ta mère en ait une, pour le reste je ne suis pas physionomiste. Ici tout le monde se tutoie, même si cela écorche la langue du professeur. — Pour répondre à ta question, continua Frédéric, ces douches me plaisent beaucoup, ainsi que le nouveau mobilier de ma chambre que mon père vous a commandé récemment. — Tu le penses vraiment ou tu dis cela pour nous flatter ? demanda de Bruson. — Je suis sincère. — Nous en reparlerons, dit Graf en bâillant. Je propose à nos autres invités de faire plus ample connaissance demain, il se fait tard et je suppose que vous n’allez pas dormir tout de suite. Bonne nuit, Messieurs ! Les deux architectes se retirèrent. Le masseur distribua des linges pour se sécher. — Mes patrons sont un peu excentriques, expliqua-t-il. — Ils sont arrivés juste au bon moment, fit Stefan. — Ils ont un sixième sens pour débusquer les minets, mais j’espère qu’on vous a dit que les soirées estivales se terminent traditionnellement par un bain de minuit. Ils vous auraient vu à poil demain. — Oui, on nous a dit. — Je vous conseille de ne pas vous masturber demain matin en vous levant si vous voulez être en forme pour le massage. — Et ce soir ? demanda Koen. Je ne me suis pas branlé dans la voiture, moi. — Ce soir tu fais ce que tu veux, et pour demain ce n’est qu’un conseil que tu n’es pas obligé de suivre. Je vous laisse, soyez sages. Encore des questions ? — Les batailles d’oreillers sont-elles autorisées ? demanda Stefan. — Oui, mais ne démolissez pas tout le matériel. Bonne nuit ! Le masseur les laissa seuls. — Je vais me laver les dents, dit Koen. Je vous conseille de faire la même chose pour éviter des caries, j’ai du du dentifrice au fluor. — Oui, papa, dit Frédéric, on te suit. Je vais avoir l’haleine fraîche pour te sucer. Une fois cette formalité terminée, les quatre jeunes gens se rendirent dans le dortoir où le professeur les avait précédés. Il s’était installé dans le fond de la pièce. Peter et Stefan se mirent près de la porte d’entrée, Koen et Frédéric en suivant. Une horloge avait automatiquement baissé l’intensité de la lumière au minimum, une ventilation discrète maintenait une température très agréable dans la pièce en cette chaude soirée d’été. Peter demanda à Stefan : — Pourquoi voudrais-tu faire une bataille d’oreillers ? — Pour me venger de Koen. — Qu’est-ce qu’il t’a fait ? — Il m’a obligé à montrer ma queue à tous les élèves de l’école. — Tu étais volontaire, rétorqua Koen. — Parce tes camarades étaient trop chiards pour le faire. (NDA Chiard, helvétisme pour peureux) Stefan prit un oreiller rouge et le jeta sur Koen, essayant d’atteindre l’entrejambe. Frédéric réagit : — On attaque mon maître et seigneur ! Je vais le défendre ! Frédéric se saisit d’un oreiller orange et le lança sur Stefan. Peter réagit et un oreiller jaune s’envola en direction de Frédéric qui l’évita. Koen se lança aussi dans la bataille avec un oreiller vert qui atteignit la bite de Peter. Les jeunes gens s’en donnèrent à cœur joie, des oreillers bleu et violet complétèrent la munition. Après quelques minutes, le professeur leur demanda d’arrêter, il dut essuyer un tir groupé d’oreillers de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Les jeunes gens se couchèrent, hilares et épuisés. — Ça fait du bien de se défouler, dit Frédéric. Je suis en sueur, on reprend une douche ? — Pas le temps, fit Koen, tu m’as promis une gâterie. — Chose promise, chose due. Sans autres préliminaires Frédéric prit le membre de son ami dans sa bouche. Les deux apprentis s’étaient mis sur le côté afin d’admirer le spectacle. — Eh bien, dit Stefan, ils sont rapides ces deux, et pas prudes pour deux sous. — Il semble que les Laurel et Hardy qui nous hébergent fassent tout pour favoriser les rapprochements, j’espère que ce n’est pas pour la caméra invisible. Que penses-tu de tout ceci ? Stefan se coucha sur le dos et ferma les yeux avant de dire : — Il me semble que je suis dans un rêve, dans un autre monde inaccessible au commun de mortels. Pince-moi et je vais me réveiller seul dans mon lit. Peter prit Stefan au mot. — Aïe ! s’exclama celui-ci. Que fais-tu ? — Je te pince le téton, c’est toi qui l’as voulu. — Alors, je ne rêve pas ? Je suis bien dans ce Baisorium ? — Oui, c'est un rêve, un doux rêve d'amour ! Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 30-11-2020 Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Les deux personnages qui entrent sont donc les architectes Graf & de Bruson. Ils découvrent le professeur Latte nu avec les quatre garçons. Petite discussion entre les deux proprio et le Dr Latte mais aussi avec Frédéric. En effet ils ont reconnu Frédéric comme étant le fil de... Retour en chambre pour la nuit. Le masseur propose aux jeunes de ne pas se masturber le lendemain matin pour être en forme pour les messages et autres activités. Ce qui n'empêche pas les garçons de s'amuser en faisant une bataille d'oreillers. Frédéric satisfait Koen en s'occupant de lui prodiguer une fellation sous le regard des deux autres garçons. Il me tarde de lire la suite! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 30-11-2020 (30-11-2020, 10:38 PM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci de ton commentaire. Tu as parfaitement résumé le dernier épisode. Graf & de Bruson semblent surtout intéressés par Frédéric et ils délaissent les autres, intérêt particulier à cause de son père ? C’est aussi parce que vous connaissez l’histoire des autres et que je ne voulais pas la répéter… Le week-end sera long et animé, il faut garder des réserves. Je pense que la fellation de Koen et Frédéric va donner des idées aux deux autres garçons. La suite dès que je l’aurai écrite dans quelques jours. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 01-12-2020 Moi, j'ai bien aimé la citation de "La Belle Hélène" qui constitue la chute... Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - KLO7514 - 01-12-2020 Ohhh, Monsieur l'auteur a des connaissances musicales bien précise de Jacques OFFENBACH : "C'était un rêve (bis), c'était un doux rêve d'amour♪♫♫♪. À part cet intermède, j'espère qu'ils vont bien digérer leur repas du soir et peut-être «l'en-cas» supplémentaire absorbé à l'issue de la saillie...! Bon appétit, les gars! Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 01-12-2020 (01-12-2020, 07:57 PM)Louklouk link a écrit :Moi, j'ai bien aimé la citation de "La Belle Hélène" qui constitue la chute... Je pensais que cette citation passerait inaperçue, c’était sans compter sur le mélomane [member=87]Louklouk[/member]. Cela peut paraître paradoxal, puisque Stefan dit qu’il ne rêve pas, alors que Peter dit que c’est un rêve. C’est exactement la situation dans l’opérette, Hélène et Pâris disent que c’est un rêve alors que ce n’en est pas un. Et Peter est un chanteur, il connaît probablement ce chant (tiens, ça me donne une idée pour la suite…) Je vous conseille cette version que j’ai vue à Lausanne au temps où l’on pouvait encore aller à l’opéra. Que cela semble bien lointain, alors que c’était en janvier 2020. À noter de nouveaux couplets de Pâris exhumés en 2008. https://www.youtube.com/watch?v=lEuv4vMJjUo 1:07:20 Nouveaux couplets 1:10:30 C’est un rêve Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 01-12-2020 (01-12-2020, 08:04 PM)KLO7514 link a écrit :Ohhh, Monsieur l'auteur a des connaissances musicales bien précise de Jacques OFFENBACH : "C'était un rêve (bis), c'était un doux rêve d'amour♪♫♫♪. Merci [member=156]KLO7514[/member], encore un mélomane qui lit mes récits, ce n’est pourtant pas de l’orgue et un peu grivois pour des enfants de chœur. Toujours le même dilemme : doit-on boire la liqueur séminale, ce pourrait être un digestif, ou observer sa dispersion en de nombreux jets puissants, voire en asperger le visage du suceur ? Là j’ai deux couples à disposition, je pourrais varier les plaisirs. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - fablelionsilencieux - 01-12-2020 Après les oreillers en pleine "poire", la belle Hélène est de circonstance ! ??? non ? ;D Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 02-12-2020 (01-12-2020, 11:28 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Après les oreillers en pleine "poire", la belle Hélène est de circonstance ! ??? non ? ;D [member=54]fablelionsilencieux[/member] n’est plus le roi de la jungle, c’est le roi des jeux de mots. J'aurais pu intituler mon récit « Les garçons sans Hélène ». Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 06-12-2020 Chapitre 3 - Week-end culturel et sensuel (6) Vendredi 24 juillet 1964, maison Graf & de Bruson, Kesswil — C’est un rêve ? chuchota Stefan. J’espère que je ne me réveillerai pas juste avant de jouir. — Tu n’as jamais eu de rêve humide ? demanda Peter. Quand on en a plein le pyjama en se réveillant le matin ? — Oui, ma première éjaculation, je me suis demandé ce que ma mère en penserait. — Et qu’est-ce qu’elle en a pensé ? — Elle ne m’a rien dit, on ne parle pas de ces choses dans ma famille. Je me suis ensuite branlé souvent pour que cela ne se reproduise plus. Peter pinça alternativement les deux tétons de Stefan, provoquant une réaction de sa queue qui se dressa. — Tu es sensible, dit Peter en souriant. Qui t’a appris à te branler ? — Mon frère. Nous dormons dans la même chambre, il est plus vieux que moi et j’avais déjà entendu des bruits bizarres, le lit qui grinçait. Peter descendit jusqu’au nombril de Stefan avec son doigt, puis jusqu’au pubis. — Curieux cette ligne de poils, dit-il, je n’en ai pas. Tu es mignon. Comment est-ce possible qu’aucun élève de l’école ne t’ait dépucelé ? — Je suis depuis peu dans cette école, j’avais commencé mon apprentissage ailleurs. Ils restent entre eux. — Tant pis pour eux. — Tu vas me dépuceler ? — C’est un rêve… Peter suivit la veine dorsale jusqu’au gland, il continua sa progression en titillant le méat, le frein, longea le raphé médian, les couilles, le point du plaisir et termina à l’anus. — C’est bon ? demanda Stefan. Le matériel est complet ? J’ai tout ce qu’il te faut ? — Il me manque le prépuce, on fera avec. — Ma mère disait que c’était plus propre puisque nous n’avons pas de douche. — Ton frère est aussi circoncis ? — Oui. Peter refit le même chemin, cette fois avec la langue, tout en caressant le pénis maintenant très dur. Sefan jeta un coup d’œil sur sa droite, Frédéric suçait la bite luisante de Koen. L’apprenti cuisinier était content d’avoir déjà vidé ses couilles dans la voiture, sinon il aurait joui trop vite. Il sentait du liquide suinter de son méat. Peter s’arrêta au gland, lécha la couronne et le frein. Stefan se dit que Peter devait déjà avoir de l’expérience et que lui serait bien maladroit lorsqu’ils échangeraient les rôles. Il regretta de n’avoir jamais proposé à son frère de le sucer, mais celui-ci préférait les filles et n’aurait pas voulu passer pour un pédé, c’était mal vu à Zweilütschinen. Peter prit le gland et la hampe dans sa bouche, Stefan frissonna et ferma les yeux pour apprécier les nouvelles sensations que lui procuraient cette fellation, quel rêve agréable ! Koen, lui aussi, profitait du spectacle des deux apprentis tout en regrettant qu’ils parlassent en dialecte, il n’avait rien compris. Il n’oubliait pas non plus de regarder le professeur qui se branlait seul, il eut pitié de lui, il espéra qu’il se trouverait un partenaire le lendemain. Le silence se fit à présent que Peter avait la bouche pleine, on entendait seulement quelques gémissements, le bruit des succions. Le professeur contemplait les corps nus faiblement éclairés, sentait la tension qui montait, qui devenait insoutenable. Il avait déjà tellement observé de corps en extase, suivant les tracés sur ses appareils, qu’il savait à quel moment ils allaient se libérer. Ce fut Koen qui jouit en premier en poussant un cri. Frédéric, qui s’était rendu compte qu’on l’observait, avait sorti le gland de sa bouche afin que les spectateurs pussent voir les jets de sperme qu’il reçut en pleine figure. Stefan fut étonné, son plaisir monta rapidement, il éjacula lui aussi. Peter avait gardé le membre dans sa bouche. — Tu as… tu as avalé mon sperme ? s’étonna Stefan. — C’est plus propre, comme dirait ta mère. Je vais encore te nettoyer. Stefan passa sa langue sur le gland afin d’enlever toute trace. — Comme cela ton pyjama sera propre et ta mère ne sera pas troublée. À moins que tu ne dormes nu à présent ? — Cela me semble la tenue habituelle ici. Frédéric était allé chercher un mouchoir pour se nettoyer. Il revint se coucher vers Koen et lui proposa : — Tu voudrais que je t’encule ? — Je ne me sentirais pas à l’aise en présence de voyeurs, réservons cela à notre intimité. — Comme tu voudras. Peter demanda à Stefan : — Tu désirerais que je te pénètre ? — Que veux-tu dire ? — Que je mette ma queue entre tes fesses ? — Tu l’as déjà fait à quelqu’un ? — Non, jamais, je voulais le faire avec mon premier amour. — C’est moi ton premier amour ? Je rêve toujours ? — C’est un rêve… — Je vais attendre d’être réveillé, cela me dérange un peu de ne pas être seul avec toi. — Alors suce-moi. Stefan se demanda s’il avait bien compris, Peter lui avait-il déjà fait une déclaration d’amour ? Jusqu’à présent, il avait considéré cette fellation comme un jeu, une découverte, comme celles qu’il avait faites en se branlant avec son frère. Chaque chose en son temps, il devait déjà essayer de sucer Peter. Frédéric prit un drap rouge et recouvrit entièrement son corps et celui de Koen. Ils étaient maintenant cachés aux yeux des autres, ils se prirent dans les bras et s’embrassèrent longuement. — Il se rince l’œil ton Dr Latte, dit Frédéric. — C’est son travail d’étudier les orgasmes. — Nous ne sommes pas dans son laboratoire ici. — Dans le magazine Der Ring, ils promeuvent l’amour libre, nous sommes dans l’un de leurs temples, semble-t-il. Comme pour confirmer ses propos, Koen prit le pénis de Frédéric dans sa main et joua avec le prépuce. — Oui, acquiesça Frédéric, et ici pas besoin d’intronisation comme dans la Confrérie de Vincelard, tout le monde est le bienvenu. — Il faut quand même être invité. Le membre de Frédéric avait durci et Koen le caressait lentement. Peter était appuyé contre le mur, calé sur des oreillers. Stefan avait débuté la fellation, il essayait de s’appliquer, de ne pas mordre la bite de son nouvel ami. Celui-ci lui passait la main dans les cheveux en l’encourageant. Peter était-il vraiment tombé amoureux de Stefan ou n’étaient-ce que des paroles en l’air, sous le prétexte qu’ils rêvaient ? Il faudrait attendre la fin du week-end pour y voir plus clair. Peter imaginait qu’ils ouvriraient un restaurant d’alpage, Peter fabriquerait le fromage et Stefan ferait la cuisine : des fondues, des raclettes, des croûtes… L’horloge éteignit automatiquement la lumière, il n’y avait plus que des veilleuses qui indiquaient les sorties. Le professeur ne put pas observer l’orgasme de Peter dans la bouche de Stefan qui avala stoïquement le sperme. Les deux apprentis se couvrirent d’un drap jaune, ils rapprochèrent leurs lèvres et se serrèrent l’un contre l’autre avant de partir pour le pays des rêves, rejoints par Koen et Frédéric. Le professeur eut de la peine à s’endormir. Il se sentait vieux et n’avait pas profité suffisamment de sa jeunesse. Il espérait rencontrer un Méphistophélès le lendemain. Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Philou0033 - 07-12-2020 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Belle suite! Les activités dans la chambre où loge nos cinq invités sont de plus en plus chaude. Stefan et Peter se découvrent. C'est un moment où ils apprennent un peu plus l'un de l'autre. Ce sont les confidences. Peter s'occupe du pénis de Stefan, il fini part lui faire un fellation. Koen et Frédéric ne sont pas en reste, Frédéric suce la bite de Koen. Il y en a un qui ne perd rien de ce qui se passe sous ses yeux, c'est le Dr Latte. Il se branle dans son coin. Les uns et les autres finissent par jouir. Ils n'iront pas plus loin ce soir, ils ne se voient pas occupé à faire l'amour devant les autres. Peut-être que le lendemain.... Les quatre jeunes finissent par rejoindre le pays des rêves, ce qui n'est pas le cas pour le moment du Dr Latte, qui regrette de ne pas avoir assez profité de sa jeunesse. Je dois dire que moi aussi j'aurai bien voulu en profiter plus, beaucoup plus, de ma jeunesse! Merci Daniel pour cette suite ! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Lange128 - 07-12-2020 (07-12-2020, 12:36 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire. C’est une situation inhabituelle pour Stefan et Peter de faire des découvertes en n’étant pas seuls et ils ne sont pas prêts à tout essayer. Ce n’est peut-être ni réaliste, ni romantique, mais c’est ce que j’ai choisi pour ce récit. Ce n’est pas inhabituel chez les homosexuels de se retrouver à plusieurs pour se donner du plaisir. Je me retrouve un peu dans chacun de mes personnages. La plupart sont des ados ou des jeunes adultes, je profite donc de la présence d’un personnage plus âgé, le professeur, pour parler de la fameuse crise de la quarantaine, un écho à ce que j’ai vécu (plutôt dans la cinquantaine), où l’on découvre que l’on vieillit et où l’on se pose des questions sur ce qu’a été notre vie (ou surtout sur ce qu’elle n’a pas été). Cela ne m’étonne donc pas que tu aies aussi des regrets. Cette crise a eu au moins un effet positif pour moi, j’ai commencé à écrire et cela m’a permis de faire de très belles rencontres épistolaires avec mes lecteurs. On peut espérer que le Dr Latte va trouver un partenaire parmi les invités mais cela ne pourrait être qu’une relation éphémère. J’espère cependant que le cadre que j’ai imaginé est plus agréable qu’un sauna gay. Je t’embrasse. Daniel Re : Deux cousins - Deuxième partie (gay) - Louklouk - 08-12-2020 Là, on a eu droit à "Der Ring", et à notre vieille connaissance... Méphisto. Moi, je préfère le beau Pâris... et ses aigus. |