GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. (/showthread.php?tid=19) |
Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 29-08-2020 MYTHOLOGIE UTOPIENNE 8 Petit précis de mythologie utopienne. Huitième partie. DÉMÉTRIA (2/3) Yama, après avoir réorganisé les Enfers à son goût, se chercha une reine. Alors qu'il se promenait à la surface, il tomba sur Perséphone qui se baignait nue dans un torrent, entourée de nymphes. Et il craqua sur elle complètement. Il ne pensait plus qu'à elle, et grava même son nom sur une de ses tables en obsidienne (ce qui lui prit un temps fou), ne mangeait plus, ne dormait plus, et ne prenait même plus plaisir à entendre les cris déchirants des suppliciés des Champs du Châtiment... Même voir Sisyphe pousser son rocher ne l'amusait plus. Mais comment convaincre une jeune fille de quitter la surface pour vivre aux Enfers, entourée de morts ? Yama décida de revenir à la bonne vieille technique divine, qui avait déjà fait ses preuves. Il retrouva Perséphone qui s'était éloignée des nymphes pour cueillir des fleurs, mit son casque d'invisibilité, attrapa la pauvrette, monta sur son char tiré par des chevaux-squelettes qui s'enfonça dans le sol. Tout se passa en quelques minutes. Les nymphes, ne voyant pas revenir Perséphone, partirent à sa recherche. Elles la cherchèrent, la cherchèrent, la cherchèrent, la ch... enfin, bref, mais il ne la trouvèrent pas. Et il fallut avertir môman Démétria. Je ne sais pas quelle punition elle choisit pour les nymphes, et préfère ne rien savoir. Elle partit à la recherche de sa fille pendant 8 jours et 8 nuits. Mais ne trouva pas le moindre indice. Ni aucun témoignage. Jusqu'au jour où elle arriva dans une cité. Elle fut, évidemment, bien accueillie par le roi : - Ô grande déesse, c'est un grand honneur pour moi de te recevoir dans mon palais. Que puis-je faire pour te plaire ? - Me dire si tu as des informations sur ma fille Perséphone. On l'a enlevée... - Enlevée ? Mais c'est terrible ! Mais je n'ai aucune information... cependant... - Cependant ? - Cependant nous avons reçut il y a deux jours la visite d'Hélios... - Et ? - Et il a un peu abusé du picrate lors du grand banquet donné en son honneur... Et... - Et ? - Et il s'est vanté d'avoir assisté à un incident... Une jeune fille enlevée... et... Mais Démétria était déjà partie. Hélios était l'un de serviteurs de Shagma, conduisant le char du dieu. Démétria entra dans le palais de son père, prit à peine le temps de saluer ce dernier, fit irruption dans la garage où Hélios faisait la vidange et vérifiait les freins du char, et lui dit : - On dit que tu as vu ma fille se faire enlever... - Oh, bonjour Démétria... je... j'ai vu... quelque chose... mais... heu... - Parle ! - J'ai vu... Perséphone... se faire... - Par qui ? - Ya... Yama... c'est Yama qui a enlevé ta fille.... - Et tu ne pouvais pas le dire avant ?! Démétria créa le hashtag #balancetonaurige et fila voir Hodin, le roi des dieux et le père de Perséphone. Elle lui raconta tout, et lui demanda d'ordonner à Yama de lui rendre leur fille. Hodin se tortilla sur son trône. - C'est que, c'est que... Yama... notre frère... c'est un beau parti pour ta fille... il a un grand royaume... et est très puissant.... - Notre fille, corrigea Démétria, et qu'elle se retrouve avec son propre oncle ! Encore que ce n'est guère rare dans notre famille, mais c'est ma fille et je veux que Yama me la rende !!! - C'est compliqué sœurette et... - Et rien du tout ! Tant que Perséphone ne sera pas avec moi, je ne m’occuperai plus des cultures des hommes ! Hodin pensa, dans sa grande sagesse, que Démétria se calmerait en quelques jours. Mais c'était mal connaître la céréale killeuse... Les cultures ne donnaient plus de blé, les arbres fruitiers mouraient sur pied et les potagers devenaient stérile. La famine s'étendit sur le monde, des morts de faim encombrèrent les entrées du royaume de Yama. Il regardait la foule grossir depuis son palais, les gémissement des morts d'inanition couverts par les cris de Perséphone : - Laisse moi partir, ordure !!! Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - emmanolife - 29-08-2020 Comment elle parle, Perséphone ! Pas très classe, pour la fille du roi des dieux. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - AL gayman - 29-08-2020 Ohhhhhhhhhhhh que la description de tes vacances m'ont fait une douce chaleur en mon bas ventre Grand Moloch. T'imaginant toi et ton blondinet sur une belle ile grecque et vos corps de rêve mêlés à l'unisson sous l'œil bienveillant de l'astre solaire (Houlà je disjoncte moi et encore plus avec ce chapitre on ne peu plus savoureux, délicieux et jouissif à souhait). Arad, Alam et Burydan, j'étais dans la pièce tant c'était décrit parfaitement (oups j'suis tout mouillé lol)……………. Et ne parlons pas de cette nouvelle page de mythologie Utopienne…………. tu t'es déchainé à mon plus grand plaisir….. (mdr la céréale killeuse) MOLOCH LE GRAND EST DE RETOUR D'énormes poutounes partout partout ALain Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - bech - 30-08-2020 Avec toutes les histoires que je lis en ce moment, je ne me rappelais plus des noms Arad et Alam, mais l'allusion au logement + leurs ancienne activité m'a remémoré cette partie de l'histoire. Vu leur âge, ça fait 10 ans que Burydan leur a laissé ce logement après l'avoir habité avec Martouf. Au premier abord, ça m'a paru beaucoup vu qu'il n'a passé que 5 ans comme chasseur de primes u duc. Mais avant, il s'est fait former à l'épée par Gershaw de Bélothie. Je pensais que ça avait été court, mais avec d'autres formations comme la lecture, ça peut avoir pris quelques années. Donc, 10 ans après, ils sont contents de se retrouver. Et si Arad ne pratique plus le sexe pour de l'argent, et veut bien le faire pour un ami, et ça donne aussi l'occasion à Alam d'essayer. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 30-08-2020 Malendia était vrmt l’endroit parfait, n’était que l’image de Raven est partout dans la maison et la ville :\ Après, pas sûr qu’elle ne le poursuive pas où qu’il aille pdt encore un moment… La proposition de gardiennage est sympa, mais je ne suis pas certain que qui que ce soit se risquerait à couper la moindre fleur dans le jardin de Burydan de Malkchour, hein :o La surprise, je me doutais bien un peu que ce serait le petit Alam devenu un très bel adolescent, mais tjs jeune, je dois être un peu fâché avec la ligne du temps O.O On réalise que le ‘choix’ d’activité d’Arad n’était imposé que par la nécessité et que, statistiquement, la probabilité qu’il soit bougre restait faible, alors celle que les deux frères le soient… Un peu brimant (encore plus pour Burydan que pour moi) mais ça maintient la base de réalisme et de crédibilité que toute fiction doit avoir, et qui ne fait jamais défaut aux tiennes Euuuh… A force d’incestes, les dernières générations de dieux ne sont pas un peu dégénérées ? o.Ô Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 30-08-2020 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms les zamis. Correction effectuée mon gros chat. merci. Pas d'île grecque Al. Avec la Covid... Nous devions au départ rendre visite à la famille de mon blondinet, mais la perfide Albion en a décidé autrement. Nous avons donc dû changer nos plans à la dernière minute. Mais ce n'est pas plus mal, l'été anglais étant ce qu'il est, j'ai préféré passer mes vacances à Biarritz (l'une de mes villes préférée parmi mes villes préférées). Mon cher bech, Burydan, après avoir cédé son logis et Arad et à Alam, a passé 5 ans avec Gershaw, puis 5 ans au service du Duc. A ta place je ferais attention mon renardeau. Traiter de dégénérés les dieux... Peut être que l'ichor est moins sensible que le sang... Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 30-08-2020 CHAPITRE LXXVI
''Quondam iterum ante relinquo'' A onze heures, Burydan se réveilla d'un sommeil peuplé de rêves tout sauf innocents. Il sentait encore sur ses lèvres, sur sa langue et sur sa peau l'odeur de ses deux amants. Il s'habilla et descendit pour prendre son déjeuner. Une fois repu, il fit quelques pas dans la ville puis se dirigea vers les bains publics. L'eau était tiédasse et quelque peu grisâtre, mais c'était mieux que rien. De plus il voulait être tout propre pour son rendez-vous. Il sortit des bains et avança d'un pas décidé. Il repensait à la veille. Il se demandait si les deux frères ne s'étaient pas moquer de lui. Arad prétendait ne pas être bougre. Et pourtant, il s'était pratiquement jeté sur la bite de Burydan. Et il s'était donné à lui sans aucune retenue et avec volupté. Et Alam, qui était censé être ''vierge'', du moins avec les hommes. Il était doué... très doué... trop doué pour que ça ait été vraiment sa première fois Cette façon qu'il avait eu de le prendre en cadence en variant les rythmes et en retenant son orgasme le plus longtemps possible pour mener Burydan au paroxysme d'un plaisir inouï... Mais Burydan décida qu'il s'en moquait. Il avait pris du plaisir et c'était le principal. Et il en avait donné aussi. Et c'est ça qui le surprenait le plus. Quand il payait des garçons pour les baiser, il était brusque, exigeant, brutal même, ne pensant qu'à son propre plaisir. Et là, avec les deux frères, il s'était montré doux, prévenant, presque... tendre. Et avait pensé autant à son plaisir qu'au leur. Comme il l'avait fait avec Raven. Il ne savait pas pourquoi, dés qu'il payait un garçon, il estimait pouvoir tout lui faire et tout lui faire faire, même ses envies les plus viles, alors que quand un garçon se donnait à lui juste parce qu'il en avait envie, il se montrait doux et attentionné. Ça le dépassait. Puis une pensée insidieuse se fraya un chemin dans son cerveau. S'il rencontrait Martouf aujourd'hui, comment est-ce qu'il le traiterait ? Comme tous les autres ? Il se montrerait brutal avec lui ? Son petit minet tout mignon, tout fragile, il le baiserait comme une bête, comme la dernière des traînées ? Il chassa ces pensées de son esprit, s'assit sur un banc et attendit... attendit... attendit... et enfin il le vit. Sortant du poste de la milice, Aragorn plaisantait avec certains de ses collègues et souriait. Et il était encore plus beau quand il souriait. Il n'avait pas changé. Toujours les mêmes cheveux brun foncé, mi-longs et ondulés, la même mâchoire carrée qui lui donnait un air extrêmement mâle, viril, les mêmes épaules larges, le même torse massif, la même taille étroite... Aragorn tourna la tête et son sourire s'effaça. Il pâlit, rougit, pâlit de nouveau, les yeux écarquillés et la bouche entrouverte. - Qu'est-ce qui t'arrive, Ara', t'as vu un Yourei ? (1) dit un de ses collègues en regardant vers Burydan. C'est qui ce quidam ? Aragorn ne répondit pas et traversa la rue. Burydan se leva et le milicien se planta devant lui. - Salutations à toi, Burydan de Malkchour, c'est un grand honneur pour moi de rencontrer le plus grand chasseur de prime de Brittania, et le plus grand épéiste de tout Genesia... - Honneur partagé, dit Burydan, entrant dans son jeu. - Puis-je faire quelque chose pour toi ? - Je pense que tu le peux, en effet... - Je t'écoute... - Pas ici. Allons à mon auberge, nous serons plus à l'aise pour discuter de cette affaire. - Est-ce un ordre ? - C'en est un. - Dans ce cas.... Ils cheminèrent silencieusement et montèrent dans la chambre de Burydan. Il referma la porte sur eux et se dirigea vers Aragorn qui attendait au milieu de la chambre. - Alors, qu'elle est cette affaire si importante, chasseur de prime ? Burydan mit une main sur sa poitrine et le poussa contre le mur. D'une main il épingla les poignets d'Aragorn au-dessus de sa tête et planta ses yeux gris dans les siens. Il écrasa ses lèvres sur les siennes et leurs deux langues s'emmêlèrent. Burydan avait oublié à quel point Aragorn embrassait bien. Burydan lâcha ses poignets et les deux hommes s'enlacèrent, et Burydan ne pu retenir un gémissement quand le milicien approfondit encore le baiser. - Appelle moi bébé, et fais moi l'amour, beau milicien. C'est à ton tour de me donner des ordres... Aragorn sourit et l'embrassa de nouveau. - Très bien... déshabille toi... bébé... (1 )Yourei : apparition surnaturelle d'une personne morte. Très semblable au terme ''fantôme''. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - lelivredejeremie - 30-08-2020 Avec les jeunes prostitués, c’est juste un service contre de l’argent, avec le truc du ‘client est roi’, il peut librement satisfaire ses pulsions. Pour le sexe consenti, c’est un échange, ce n’est pas si bizarre ¯\_(ツ)_/¯ Ou alors, il réserve la douceur aux seuls blonds, par préférence… esthétique ? Après, il est p-ê en train de doucement changer, la maturité a lentement calmé sa colère envers la mort de ceux qu’il a vraiment aimés… ‘‘C'est à ton tour de me donner des ordres...’’ Ouais, il n’y a pas à dire, il change, mais c’est parfois bien d’essayer autre chose (¬‿¬) Puis le terme 'bébé' est un insigne honneur qu'il accorde à Aragorn, qui entre dans la plus haute caste de son estime :o Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Tonton Tim - 30-08-2020 Bon, j’ai rattrapé aussi mon retard... Pour moi, récent lecteur de cette fabuleuse epopée, l’histoire d’Arad et Alam était moins enfouie... donc je n’ai pas eu trop de souci avec la ligne du temps .... Les vacances de Moloch avec son blondinet anglais...l’on bien inspiré semble t’il pour nous fournir de jolie scènes très agréables à lire d’une seule main. N’étant pas féru de mythologie grecqu, j’avais eu tendance à les sauter ou les parcourir en diagonale, ne comprenant pas non plus le lien... à part un vocabulaire commun. Les commentaires des mes amis lecteurs m’ont encourageé à découvrir ce qu’il pouvait bien y avoir de marrant là dedans et je dois bien avouer que c’est vraiment tordant à lire... Merci Moloch pour ta prose fantastique... Tonton Tim Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - AL gayman - 31-08-2020 Whoua revoir Aragorn……………… Hummmmmmmmmmmmm quels délicieux moments Burydan va passer là en se donnant l'un l'autre d'égal à égal (même si Burydan est plus puissamment musclé) et les râles de plaisirs vont résonner dans toute l'auberge lol. J'ai adoré leurs retrouvailles avec le petit jeu auquel ils se sont prêtés. En plus ce chapitre est super visuel ce que j'adore tant comme tu le sais (entre les pensées de Burydan puis les retrouvailles avec Aragorn Top de Top). Décidément ces vacances dans le pays Basque t'ont remis une pêche d'enfer…… Chic pour nous Bisous Alain Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 01-09-2020 Bonjour à tous et aux autres. Merci pour vos coms les zamis. Bon retour parmi nous tonton Tim. Tout de suite, la suite. Scène de sayxe et suite et fin de l'histoire de Démétria. Bonne lecture. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 01-09-2020 CHAPITRE LXXVII
''In ulnas'' Burydan se recula de quelques pas et commença à se dévêtir. Lentement... très lentement... Aragorn le regardait faire, les yeux brillants. Une fois nu, la bite déjà dure et dressée, il se rapprocha du milicien. Aragorn saisit sa queue et commença à le masturber lentement sans le quitter des yeux. - Déshabille moi maintenant... tout doucement... Burydan commença à retirer les vêtements de son beau mâle. A chaque fois que sa peau apparaissait, il se penchait pour l'embrasser et la lécher. Une fois l'effeuillage terminé, les deux hommes se retrouvèrent nus. Et Aragorn bandait comme un gaidaro, sa belle queue pratiquement entièrement décalottée sous l'effet de l'excitation. Il embrassa Burydan passionnément et lui dit : - A genoux. Burydan obéit. Aragorn sourit. - Bon garçon... Il fit rebondir plusieurs fois sa bite dure sur le visage de Burydan. - Elle te plaît ma queue ? Burydan hocha la tête. - Dis le ! - Oh oui, elle me plaît ta queue... - Regarde comme elle est dure... tu sens à quel point j'ai envie de toi... et toi aussi tu bandes... toi aussi t'as envie, hein ? - Oh oui, j'ai envie de me faire baiser... - Lèche moi les couilles ! Burydan se mit à laper les couilles rondes et douces d'Aragorn d'une langue baveuse, les suçotant et les pourléchant pendant un long moment. - Oui, vas-y, lèche les bien... tu sens comme elles sont bien pleines... je vais t'en mettre plein le cul, bébé... Les mots salaces d'Aragorn excitèrent Burydan qui banda encore plus fort. Une fois ses couilles poisseuses de salive, Aragorn leva la tête de Burydan et pointa sa bite vers sa bouche. - Vas-y, embrasse la... Burydan couvrit la colonne de chair de baisers mouillés. - Oh oui... lèche la... Burydan donna de grands coups de langue de bas en haut et de haut en bas en s'attardant sur le gland et le frein. - Oh oui, c'est bon bébé... fais la glisser entre tes lèvres... Burydan obtempéra, léchant la grosse queue encore et encore. - Vas-y bébé, suce... Burydan laissa tomber de longs filets de salive sur la bite dure, l'étala de sa main, ouvrit au maximum la bouche, vu le calibre, et avala le gland joufflu, enroulant sa langue autour. - Oh putain ! dit Aragorn Burydan s'attarda sur le gland, le suçant avec application. Il en laissait ressortir une moitié avant de l'aspirer entre ses lèvres serrées. Aragorn poussait des gémissements rauques. Burydan commença à avaler la bite offerte, la prenant de plus en plus profondément dans sa gorge. - Regarde moi, bébé, regarde moi... Burydan regarda Aragorn. Yeux enfiévrés de désir, grimace de plaisir, bouche entrouverte d'où s’échappaient des gémissements rauques. En contre plongée, son corps semblait encore plus musclé, plus massif. Il était beau, fort, viril. Il plaqua ses mains au niveau des tempes de Burydan et, le maintenant ainsi, il lui baisa la bouche, l'étouffant à moitié. Il accéléra encore ses coups de reins, son gland dodu s'enfonçant au fond de la gorge de Burydan. Il retira sa bite tout soudain. Il essuya la sueur de son front d'un revers de bras en regardant l'homme agenouillé à ses pieds, pendant que celui-ci s'essuya sa bouche écumeuse d'un revers de main en regardant la bite dégoulinante de salive qu'il avait sous les yeux. Aragorn s’allongea sur le lit. - Viens, bébé, suce moi encore, c'est trop bon... Burydan s'agenouilla sur le lit et se pencha. Il suça de nouveau cette colonne de chair offerte à sa gourmandise. Aragorn fourragea ses doigts dans ses cheveux pour accompagner ses hochements de tête en gémissant. - Putain bébé, qu'est-ce que tu suces bien... Burydan sourit, sourire un peu déformé par le beau morceau qu'il avait en bouche. Il s'appliqua encore plus. D'une main il maintenait bien droite la belle queue d'Aragorn, de l'autre il caressait son ventre et ses pecs. Il recracha le membre et se jeta sur les couilles, les lapant comme un dingue. Mais il revenait inlassablement sur la bite, comme si rien ne pouvait étancher sa soif de queue. Aragorn gémissait comme un perdu et Burydan pensa qu'il allait lui jouir dans la bouche. Mais le milicien attrapa sa tête et le fit remonter vers lui. Il le coucha contre lui, l'enlaça et l'embrassa passionnément Et Burydan fondit entre ses bras. Les baisers d'Aragorn étaient... étaient tellement... tellement... enfin tellement quoi... Jamais personne ne l'avait embrasser comme ça. Darren embrassait très bien. C'était avec lui qu'il avait échangé son premier baiser et puis... ben c'était Darren quoi... son amour pour les siècles des siècles... Martouf, lui, se laissait embrasser. Enfin, c'était Burydan qui fourrait sa langue dans la bouche de son petit minet pour l'emmêler à la sienne. Nathanaël, c'était plus fougueux. Quand il embrassait Burydan, il l'étouffait pratiquement avec sa langue tellement ses baisers étaient profonds. Mais c'était bon. Il n'avait passé que quelques semaines avec le beau berger, mais il se souvenait de lui. Il avait été là au bon moment et avait donné à Burydan ce qu'il lui fallait après la mort de Darren : de la tendresse. Raven avait été son préféré, sa petite langue rose et frétillante était un pur délice. Burydan adorait la suçoter et l'emmêler à la sienne. Mais Aragorn... Ses baisers étaient tout simplement... divins. Profonds, langoureux et humides. C'est ça qu'adorait Burydan Quand Aragorn sortait sa langue et lui léchait les lèvres, puis la faisait glisser entre et l'emmêlait à la sienne. Burydan tirait la langue et Aragorn la caressait avec la sienne, avant de l'emballer à pleine bouche. Bordel que c'était bon. Les deux hommes, enlacés, se caressaient passionnément Des caresses de plus en plus ciblées. Burydan caressait les muscles fermes et compacts d'Aragorn, ses pectoraux massifs et ses flancs. Aragorn caressait le dos noueux, la belle chute de reins et pétrissait les fesses du chasseur de prime de ses doigts cupides. Burydan frémit quand il sentit les doigts d'Aragorn passer entre ses deux globes charnus et caresser son œillet. Le milicien le regarda intensément. Ce n'était plus un petit feu qui brillait dans ses yeux, mais un véritable brasier. - Allonge toi sur le ventre, bébé, et écarte bien les jambes, j'ai envie de te bouffer la chatte... Burydan sourit et obéit. - Oui, bon garçon, dit Aragorn, ravi de sa docilité. Il embrassa Burydan sur toute la largeur de son dos, de gros baisers mouillés accompagnés de grands coups de langue. Il commença à embrasser, lécher et mordiller les fesses avant de les entrouvrir de ses pouces. Il sentit de long filet de salive s'écouler dans sa raie et la langue de son beau milicien slaloma dans son sillon en butant contre son entrée, brûlante de désir. Et Burydan gémit. Aragorn le lécha un long, un très long moment, s'attarda sur sa pastille, en testa la résistance de la pointe de sa langue, la lapa d'une langue baveuse encore et encore, puis enfin, alors que Burydan se tortillait de plaisir en geignant, il sentit la langue de son beau mâle s'engouffrer en lui. Aragorn fit aller et venir la pointe de sa langue dans le petit trou brûlant aussi profondément que possible, puis la remplaça par un doigt fouineur, puis deux et enfin trois, dilatant le petit cul serré, le préparant à recevoir sa grosse queue. Il retira ses doigts et regarda l’œillet entrouvert qui palpitait. Il tartina copieusement sa bite, dure comme jamais, de salive et posa son gland poisseux contre l'ouverture. Il poussa et son gland joufflu pénétra Burydan, qui empoigna les draps en poussant un petit cri. Aragorn se figea et attendit que le fourreau de Burydan s'habitue à son calibre. Ce qu'il fit. Les parois élastique de son antre épousèrent intimement les pourtours de la queue et Aragorn progressa d'un long mouvement ample, jusqu'à ce que son bas ventre s'écrase sur les fesses musclées et rebondies. Burydan sentit la bite en lui. Tout au fond. Le remplissant. Aragorn commença à aller et venir, en appui sur ses bras puissants. Il se retirait de quelques pouces, en douceur, et les lui remettait, tout aussi doucement. Burydan gémissait et les aller et retour d'Aragorn devinrent de plus en plus amples. Puis Aragorn commença à le marteler et à le pilonner en cadence et Burydan se mit à crier sans retenue. - Oh oui... baise moi... plus... plus vite ! Aragorn augmenta la vitesse de ses coups de bite. - Oh oui... comme ça... plus... plus fort... défonce moi ! Aragorn s'enfonça encore plus profondément en lui, faisant claquer son ventre contre ses fesses. - Oh oui... oui... oui ! Aragorn retira sa queue et dit : - Mets toi à quatre pattes, bébé. Il tartina de nouveau sa bite de salive pendant que Burydan prenait la pose. Il appuya entre ses omoplates et s'enfonça en lui. Il commença à aller et venir en lui, ses couilles claquant contre les fesses de Burydan Variant la vitesse et la force de ses tamponnements, il le baisa ainsi un long moment. Puis, il passa un bras autour du torse musclé de Burydan et le ramena vers lui. Burydan colla son dos en sueur contre la poitrine ruisselante d'Aragorn Celui-ci se déhancha lascivement. Burydan tourna la tête et son beau milicien étouffa ses cris par un baiser langoureux. Burydan émit un petit gémissement de frustration quand Aragorn se retira de nouveau de son cul en feu. - Sur le dos, bébé. Burydan, toujours aussi docile, obéit. Aragorn plia un oreiller en deux et le glissa sous ses reins, attrapa les chevilles de son mec et s'enfonça en lui. Il commença à lui torpiller le cul comme un dingue. Burydan ne savait plus où il était, qui il était. Le monde entier se réduisait à cette colonne de chair qui le fendait en deux... Aragorn enroula les jambes de Burydan autour de sa taille et saisit la queue qui claquait sur le ventre bosselé et commença à masturber le chasseur de prime, en calant ses mouvements de poignets sur celui de ses hanches. Burydan le regardait. La respiration rapide, la sueur ruisselant sur son corps parfait, soulignant encore plus ses muscles ciselés, la grimace de plaisir sur son visage et ses yeux brillants. Et sa bite qui le défonçait. Aragorn regardait Burydan. Son corps divin luisant de sueur, ses cris rauques, ses yeux qui chaviraient et se fermaient de plus en plus souvent. Et son petit cul serré, doux, chaud et accueillant. Les déhanchements et les mouvements de poignet devinrent frénétiques. Burydan criait en continu et une boule de feu brûlait ses entrailles. - Je vais jouir, je vais jouir ! - Vas-y, jouis bébé, jouis ! Et La bite explosa dans le poing d'Aragorn. Burydan jouit intensément en poussant un grand cri rauque. Aragorn se coucha sur lui, l'embrassa passionnément et lui donna un, deux, trois puissants coups de reins. Et il jouit à son tour, noyant les entrailles de son beau mec de son sperme chaud. Ils restèrent un long moment ainsi, enlacés, l'un sur l'autre, l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 01-09-2020 [b][b]MYTHOLOGIE UTOPIENNE 9
Petit précis de mythologie utopienne. Neuvième partie. DÉMÉTRIA (3/3) [/b][/b] Perséphone ne décolérait pas. Elle se retrouvait retenue de force dans un endroit sinistre, servie par des zombis et tout ça par son oncle ! Yama était pourtant doux, tendre et attentionné. En tant que maître des profondeurs, il avait accès à tous les gisements de pierres et de métaux précieux, et couvrait Perséphone de cadeau somptueux. Des fleurs à tige d'astrium et à fleur aux pétales d'adamantin (diamant), de smaragdie (émeraude), de roumpini (rubis) et de zaphiri (saphir). Il lui faisait servir les mets les plus succulents et le picrate le plus délicat, mais Perséphone refusait tout, cassait la vaisselle et tempêtait encore et encore. Yama se montrait patient. Elle avait beau le traiter de tous les noms, il restait stoïque et le regardait avec des yeux pleins d'amour. - Laisse moi partir ! - Cela ne se peut, ma belle, je t'aime... - Mais moi je ne t'aime pas ! - Pas encore, mais avec le temps... - Le temps n'y fera rien. Libère moi. Je ne t'aimerai jamais ! Et en plus enlevée par mon propre oncle ! Quelle honte ! Remarque stupide, son père lui-même était son propre oncle... (tout généalogiste, devant faire l'arbre des Olympiens, s'immolerait par le feu). Perséphone errait dans l'immense palais de Yama. Arrivant dans la salle du trône, elle vit Yama en grande conversation avec un mort fraîchement arrivé. - C'est terrible, certes, dit Yama, mais la solution pour éviter la mort des humains m'est intolérable... - Qu’est-ce que tu as dit, demanda Perséphone, qui vas-tu encore tuer ? - Personne, mon amour, c'est ta mère... - Quoi ma mère ? - Depuis que tu es ici, elle ne s'occupe plus des cultures... et les hommes meurent par milliers... de faim... - Tu mens, maman ne ferait jamais ça... - C'est la plus stricte vérité, dit le mort, Démétria nous a abandonné et la famine décime le monde... Perséphone était tiraillée entre deux sentiments : d'abord, sa mère l'aimait tant qu'elle était prête à faire mourir l'humanité pour la retrouver, mais faire mourir des innocents... - Elle va venir ici me rechercher et tu passeras un sale quart d'heure ! - J'en doute, mon cœur, Démétria n'osera jamais me défier dans mon propre royaume... - Et tu préfères laisser mourir l'humanité plutôt que de me rendre ma liberté... - Je t'aime. Je préférerais rejoindre la file des morts et subir toutes les souffrances du Diyu plutôt que de te perdre... Perséphone se raidit, se retourna et partit à grands pas. Tout à sa colère, elle emprunta un couloir qu'elle ne connaissait pas, franchit une porte et resta stupéfaite. Un immense jardin était là, devant elle. Des bordures en astrium délimitait une petite allée bordée de fleurs multicolores. Des vraies fleurs comme à la surface. Des arbres fruitiers et un petit ruisseau... et le parfum enivrant des roses, du jasmin, des violettes... ici, dans la profondeurs de Genesia, sans la lumière de Shagma... - Ça te plaît ? demanda la voix grave de Yama dans son dos. - Tu... tu as fait ce jardin... pour moi ? - J'avais espéré qu'il serait prêt plus tôt... Yama sourit et Perséphone se dit qu'il était très beau quand il souriait. Et personne ne lui avait jamais fait un cadeau aussi magnifique... - Ascalaphe ! Un zombi, tenant un sécateur, apparut. Ascalaphe avait été un excellent jardinier durant toute sa vie, et, maintenant qu'il était mort, il s'occupait des jardins luxuriants des Champs Élysées et des Îles des Bienheureux. Et du jardin de Perséphone, à présent. - Oui Seigneur ? - Le jardin de mon épouse est-il terminé ? - Tout à plein... je viens de finir de tailler les rosiers... Ascalaphe se retourna, fit un profond salut à Perséphone et dit : - J'espère qu'il est à votre goût, votre Altesse. Perséphone n'en revenait pas. Elle fit un petit sourire à Ascalaphe et un autre à Yama. - Je... je n'en reviens pas... tout ça pour... moi... - Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée, mon amour. Avec toi à mes côtés, je ne regretterai plus jamais la lumière du jour. Tu seras mon ciel et ma lumière... Perséphone dut admettre que Yama savait tourner les compliments. Il en était presque... touchant... Un des gardes zombis de Yama vint lui glisser quelques mots à l'oreille. Il pâlit... enfin, encore plus qu'il ne l'était déjà... - Je te laisse un instant, ma douce, j'ai un visiteur... - J'ai quelque chose pour vous, dit Ascalaphe en souriant, le seigneur Yama m'a dit que c'était votre péché mignon... Il sortit une énorme grenade (le fruit, évidemment, pas l'arme), la coupa en trois et la posa sur une assiette. - Goûtez, dit-il, elle est mûre à point. Perséphone hésita. Elle savait que si elle mangeait quelque chose aux Enfers, elle devrait y rester. C'était la loi. Mais cette grenade avait l'air si savoureuse. - Allez, juste un grain, se dit-elle, ce n'est pas grand chose... un tout petit grain... Elle tacha ses jolis doigts avec un grain, puis un deuxième puis un troisième, et le tiers de la grenade disparut dans sa jolie bouche... Yama pâle et défait réapparut, suivi par Chronop'Ost, le messager des dieux. - Salut ma chère demie-soeur, ça roule . Papounet m'a envoyé pour te ramener à ta mère. Les humains crèvent de faim et nous mêmes, tout dieux que nous soyons, nous manquons de farine. Et tu sais comment est papa, sans les cookies de Zia... Perséphone sourit et était à deux doigts de sauter de joie. Mais elle se brida, en voyant le voile de tristesse sur le visage de Yama. Il l'avait enlevée et séquestrée, certes, mais avait été tellement bon avec elle... - Quelques questions d'abord, dit le messager des dieux, tu comprends, la bureaucratie... D'abord emmènes-tu un animal quelconque avec toi ? - Euh... non... - Bien. As-tu plus de 10 000 lunars en devises étrangères ? - Euh... non... - Très bien. Dernière question, mais c'est juste pour la forme, je suis sûr que tu es assez intelligente pour ne pas avoir fait ça, as-tu mangé quelque chose ici ? - Euh... - Montrez lui vos main, dit Ascalaphe. Perséphone montra ses jolis doigts à Chronop'Ost, tous tachés de jus de grenade. - Aïe, dit le dieu-messager, la boulette. - Je... je n'ai mangé qu'un tiers de grenade... - Elle peut rester, dit Yama avec un grand sourire. Non, elle doit rester... Chronop'Ost se gratta la tête. - Il faut que je vois ça avec le Big Boss... à plus. Ayant appris les tenants et les aboutissants de l'affaire, Démétria créa le hashtag #balancetonjardinier. Elle le maudit pour avoir tenté sa fille. Sa colère était telle que sa malédiction se propagea jusqu'aux plus profond du monde souterrain et transforma le pauvre Ascalaphe en gecko. Pourquoi un gecko ? Eh bien, à vrai dire, je n'en ai aucune idée. Demandez à Démétria si vous la croisez un jour. Hodin décida que la situation avait assez durée. Il convoqua Démétria et Yama sur l'Olympe. Démétria agonisa son frère d'injures. - Rends moi ma file, ordure ! - Ta fille a mangé un fruit aux Enfers, elle est obligé d'y rester et je l'aime et en ai fait ma reine... - Je vais te... - Ça suffit ! dit Hodin. Démétria, Yama a raison. Ta fille à manger de la nourriture aux Enfers... - Juste un tiers de grenade... - Ça ne change rien. Elle doit y rester, c'est la loi, et même moi je ne peux aller contre... - La solution est pourtant simple, dit une petite voix. Tout le monde se retourna. C'était la petite Frigga qui venait de parler. Elle était tellement discrète que personne ne l'avait remarquée. - La solution est pourtant simple, répéta-t-elle de sa jolie voix flûtée, Perséphone n'a mangé qu'un tiers de grenade aux Enfers, eh bien qu'elle ne reste qu'un tiers de l'année avec Yama et les deux tiers restants avec sa mère... Aussi étonnant que ça puisse paraître, Yama et Démétria acceptèrent. - A la bonne heure, dit Hodin, je suis ravi d'avoir réussit, dans mon immense sagesse, à régler tout ça... - Humm Humm, toussota Frigga - Avec ton aide évidemment, petite sœur. Perséphone passa donc un tiers de l'année avec son époux et les deux tiers avec sa môman chérie. Et c'est depuis ce jour qu'il y a des saisons. Quand Perséphone est aux Enfers, Démétria se languit d'elle, et la terre devient stérile. C'est l'hiver. Quand elle revient, Démétria est folle de joie et c'est le printemps et l'été. Et tout ça parce qu'un dieu est tombé amoureux. Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - AL gayman - 02-09-2020 Heureusement que la chambre donne sur l'arrière………………… Mais malgré tout vu le plaisir qu'ils se sont donnés et qu'ils ont exprimé vocalement parlant (c'est vrai que parfois il est dur de se retenir quand le plaisir nous submerge et qu'il vaut mieux être dans une maison aux murs bien épais que dans un appartement mdr). Toujours est-il que là ils ont pété tout le budget des feux d'artifice de la ville lol Pour ne pas rester insensible à ce chapitre il faut être acète, moine pur et dur ou avoir une libido à -10...……………. La deuxième partie de Démétria est succulente comme toute les pages de la mythologie Utopienne. Un pur régal de dilatement de la rate……………….lol Superbes moments Merci Maitre Moloch Bisous ALain Re : GENESIA - récit érotique gay médiéval fantastique. - Moloch - 03-09-2020 Bonjour à tous et aux autres. miaou mon gros matou, corrections effectuées. Merci pour ton commentaire, ALain. Maître Moloch t'en prie et te remercie en retour de prendre le temps de lire et de commenter ce petit récit. Tout de suite la suite... |