Joël chez l'urologue (medfet) - Version imprimable +- Récits érotiques - Slygame (https://recit.slygame.fr) +-- Forum : Récits érotique (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=3) +--- Forum : Gay (https://recit.slygame.fr/forumdisplay.php?fid=12) +--- Sujet : Joël chez l'urologue (medfet) (/showthread.php?tid=83) Pages :
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Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 06-02-2021 Les lecteurs qui me suivent depuis longtemps savent qu’un de mes fantasmes est la visite médicale. Je m’imagine, à tort peut-être, que cela peut déranger. Je vous avertis donc que ce récit est basé sur une telle visite, mais j’ai essayé, comme souvent, d'y mettre de l’humour. Je précise également que les personnages ont 18 ans ou plus et qu’ils étaient libres de refuser. On n’est jamais trop prudent de nos jours. Une dernière information, contrairement à mon habitude, il y aura des personnages hétérosexuels, dont un frère et une sœur. Vous êtes prévenus, depuis ici vous lisez à vos risques et périls. — Dis-moi, vous avez déjà eu cette visite chez l’urologue dans ta classe ? demanda Yves. — Oui, la semaine dernière, répondit Joël. — Tu me racontes ? — Tu es curieux. — Seulement si tu veux. — Je plaisantais, je vais te raconter. Nous étions quatre à avoir rendez-vous à 9 heures : Armand, Pierre et André et moi. C’est à l’hôpital universitaire, au département d’urologie, dans un vieux bâtiment. Je suis allé directement depuis chez moi en bus et je me suis annoncé à la réception, elle m’a dit d’aller au deuxième étage et m’a demandé de ne pas passer aux toilettes avant. — Pourquoi, y avait-il une analyse d’urine prévue ? — Je vais y venir. J’ai retrouvé les trois autres gars de ma classe. Nous avons attendu quelques minutes dans une salle d’attente. Une infirmière est venue nous chercher après avoir contrôlé nos noms sur une liste. Elle nous a conduits dans une salle avec une table d’examen au milieu, puis nous a expliqué que ce seraient des étudiants qui feraient l’examen, sous la supervision d’un professeur. Nous avons dû enlever nos chemises et pantalons et les poser sur des chaises. — Pas le slip ? demanda Yves en riant. — Attends, ne sois pas impatient. Nous étions donc en débardeur et slip, tout le monde avait mis des blancs. Nous avions laissé les chaussettes. Nous nous sommes rassis quelques instants, l’infirmière nous a recommandé de nous lever quand les médecins entreraient, ce qui n’a pas tardé. Le professeur nous a salués et s’est présenté, j’ai oublié son nom. L’infirmière lui a tendu des feuilles avec nos dossiers. Il les a lus rapidement avant de les donner aux deux étudiants, un homme et une femme. Il leur a expliqué qu’il allait d’abord contrôler si nous pissions correctement. L’infirmière a demandé son nom à mon voisin de droite, Armand, et lui a dit de baisser son slip jusqu’aux genoux mais de ne pas l’enlever, il fallait toujours le remettre pour s’asseoir, question d’hygiène. — Normal, tu peux avoir le cul sale, heureusement le médecin ne le contrôle pas. — En es-tu sûr ? Bon, je continue. L’infirmière est arrivée avec un récipient gradué. Armand est circoncis et je pensais que cela ne posait pas de problème. — Moi aussi je suis circoncis ! — Tu ne me l’avais jamais dit — Tu ne me l’avais jamais demandé. Continue. — Il a pissé et je le regardais, pas trop discrètement, mais on ne m’a pas fait de remarques. Il avait deux jets. Le médecin a dit à l’étudiant de noter et de regarder plus tard. Armand a remonté son slip. C’était à mon tour, j’ai baissé mon slip. J’étais impressionné de pisser devant d’autres personnes. J’ai demandé si je devais décalotter, ma mère m’a dit de toujours le faire car j’ai un long prépuce. Le professeur a répondu que ce n’était pas nécessaire, c’était pour voir si l’ouverture est assez large. — Et tu as pu pisser ? — Oui, j’avais besoin. Je te conseille de boire un verre d’eau avant. J’ai bien secoué la dernière goutte, c’est aussi ma mère qui me le conseille. Elle dit que le slip reste propre. — Tu en avais mis un propre ? — Bien sûr, c’est mentionné sur la convocation. Ensuite ce sont Pierre et André qui ont pissé. — Tu t’étais branlé le matin ? Je le ferai car j’ai peur de bander. — Non, je l’avais fait le soir avant. Mais n’anticipons pas. Je pensais que c’était Armand qui passerait le premier, mais non, le professeur a demandé à l’étudiante quel nom elle avait sur un de ses dossiers, et elle m’a appelé. Joël continua son récit : — L’infirmière m’a dit d’enlever mon slip, le professeur a ajouté que je pourrais aussi enlever mes chaussettes, ce serait plus hygiénique, ainsi que mon débardeur s’il devait examiner les reins. Bref, j’étais à poil. Tu imagines la honte. — Pourquoi ? À l’école tu te douches aussi à poil, tes potes ont déjà vu ta queue. — Il n’y a pas de filles dans le vestiaire, là il y avait l’infirmière, et ce n’était pas une vieille fille revêche comme celle qui nous tâte les couilles au lycée, elle était jeune et belle, et puis il y avait l’étudiante. — Tu ne t’es jamais déshabillé devant une jeune fille ? — Non, je suis puceau. J’ai dû aller vers la table. Elle était spéciale, courte, et on devait mettre ses jambes écartées sur des supports. — Comme chez le gynéco pour les femmes ! dit Yves en riant. Ça s’appelle des étriers. Tu devais avoir encore plus la honte. — Comment tu sais pour le gynéco ? — Ma sœur a dû y aller, elle voulait prendre la pilule pour baiser avec son copain. Je lui ai demandé comment ça se passait. — Elle t’a raconté ? — Pas tout de suite, elle m’a d’abord traité de petit cochon. Ensuite on a passé un marché. Le gynéco a une chaise spéciale où elle a dû s’installer, les jambes écartées. Il lui a enfoncé un truc pour regarder dans son vagin. — Elle était à poil ? — Oui, il lui a aussi palpé les nichons. — Et c’était quoi le marché ? — J’ai dû lui montrer ma queue, elle voulait voir si elle est plus grosse que celle de son ami. — C’est aussi une petite cochonne ! — Elle a été déçue, la mienne est plus grosse. — Au repos ou bandée ? — Les deux, paraît-il. Bon, on parlera de ma queue une autre fois, continue. — Encore une question, elle t’a montré sa foufoune ? — Non, cela ne faisait pas partie du marché. — Je me suis donc couché sur la table. La tête était surélevée, je voyais tout ce qui se passait. L’infirmière est intervenue, elle a rappelé au professeur qu’elle devait prendre la température à cause de l’épidémie de grippe. « Foutaises. » a-t-il dit « Ce jeune homme n’est pas malade, s’il avait eu de la fièvre il serait resté à la maison pour éviter cet examen. Mais le règlement est le règlement, allez-y. » L’infirmière a trempé le bout du thermomètre dans un pot de vaseline et me l’a enfoncé dans le cul, assez profondément. — Vous ne prenez pas la fièvre comme ça à la maison ? — Quand j’étais un bébé, je la prends sous l’aisselle à présent. — Chez moi on a gardé l’habitude de le mettre dans le derrière. — Ce n’est quand même pas ta mère qui te le met ainsi à ton âge ? — Ta question est un peu indiscrète. Continue. — Le professeur a dit qu’il n’allait pas attendre pour commencer l’examen. Il a donc prié l’étudiante de me décalotter. Elle avait l’air empruntée. Elle ne savait pas s’y prendre, alors que mon prépuce coulisse sans problème. Le professeur lui a dit : « Ne soyez pas si prudente, Mademoiselle, imaginez que c’est celui de votre ami. » Elle a finalement réussi, le professeur lui a dit de répéter le geste plusieurs fois et d’aller le plus loin possible. Elle a aussi du écarter le méat. J’ai fini par bander. — Encore la honte, tu as eu droit à la totale ! — Ne ris pas, tu vas aussi y passer. L’étudiante a rougi et a dit : « Monsieur le Professeur, il me semble que le patient a une érection ». Il a répondu : « Et alors ? Il vous faudra choisir une autre spécialité que l’urologie si ça vous dérange. Mais, rassurez-vous, d’habitude ce sont les hommes qui ne bandent plus qui viennent consulter. » L’infirmière et l’autre étudiant ont ri, d’ailleurs ils le faisaient à toutes les plaisanteries du professeur, même aux plus mauvaises. — Et ensuite ? — Elle m’a tâté mon pénis dressé sur toute sa longueur. — Il est long ? — Tu es aussi curieux que ta frangine. Je ne l’ai jamais comparé avec d’autres. Le professeur a expliqué comment voir si j’avais une hernie, elle a dû s’y reprendre à trois fois pour trouver les trous où elle devait mettre les doigts. Ensuite elle m’a palpé les couilles. Elle était trop vigoureuse, j’ai eu mal et ça m’a heureusement fait débander. Le professeur a dit que les testicules sont fragiles, qu’il ne faut pas exagérer, et qu’elle devrait un peu s’entraîner sur ceux de son copain. Les autres ont de nouveau ri, pas elle, ni moi. — Elle ne doit pas avoir de copain. — Je ne lui ai pas demandé. Elle m’a donc tâté les couilles pendant une éternité et le professeur a fait la même chose. Il m’a conseillé de le faire aussi une fois par mois. Il a ensuite appelé l’infirmière et lui a dit d’enlever le thermomètre pour libérer la voie. — Ils voulaient te regarder dans le trou de balle ? Pourquoi ? — J’ai soif, on va se chercher une limonade au frigo ? Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 07-02-2021 — Alors, fit Yves, raconte-moi la suite. — L’infirmière m’a enlevé le thermomètre, j’avais 37,2. Le professeur a dit à l’étudiante de me tâter la prostate. Tu sais ce que c’est ? — Je me rappelle, on en avait parlé au cours de biologie, je ne sais plus à quoi elle sert. — Elle ne doit surtout pas être trop grosse. — Et comment elle te l’a tâtée ? — Elle m’a mis un doigt dans le cul. Le professeur lui a demandé de l’enduire de gel lubrifiant et elle l’a enfoncé, c’était une sensation bizarre, un peu désagréable. Elle a dit : « Monsieur le Professeur, je sens quelque chose de dur. Aurait-il un problème ? » — C’était peut-être de la… Ils auraient dû vous faire un lavement avant. — C’est quoi ? — Quand tu es constipé, on te met de l’eau dans le rectum et tu vas aux toilettes ensuite. — Tu en as déjà eu ? — Souvent, c’était ma mère qui me les faisait. On parlera de ça une autre fois, continue. — Le professeur a dit : « Mademoiselle, vous avez touché le coccyx, votre doigt est à l’envers. » Elle avait l’air confuse. — La pauvre, tu devais être son premier patient. — Elle s’est rattrapée, elle m’a massé longtemps, le professeur lui a dit : « Rappelez-vous la consistance, nous irons examiner plus tard la prostate de la chambre 33, vous verrez la différence. » J’étais gêné car je sentais couler du liquide de mon méat. Elle a dit : « Monsieur le Professeur, c’est normal cet écoulement ou c’est le signe d’une maladie vénérienne ? » « Mademoiselle, en massant la prostate vous avez libéré les fluides. Il faut parfois le faire pour les analyser. Vous devriez masser celle de votre fiancé pour vous entraîner. » — Il est con ce professeur. Humilier ainsi l’étudiante. — Ça doit être l’habitude avec ces mandarins, ils ne doivent pas trop aimer que des femmes deviennent médecins, ce sont des machos. Elle a ensuite retiré son doigt, elle avait l’air dégoûtée en voyant qu’il était un peu brun sur son gant. Le professeur a ensuite contrôlé rapidement lui-même. L’infirmière est venue avec une serviette en papier pour me nettoyer le gland, elle m’a décalotté, puis l’anus pour enlever le gel. Encore la honte. — Tes camarades devaient se marrer. — Non, ils étaient étrangement silencieux, ils savaient qu’ils allaient passer à la casserole après moi. — C’était fini ? Tu as pu te rhabiller ? — J’en avais terminé avec l’examen, le professeur m’a dit : « Tout est en ordre, jeune homme, tu es en parfaite santé, tu peux te lever. ». — Il t’a tutoyé ? — Pour lui nous sommes encore des gamins. L’infirmière m’a dit de remettre mes sous-vêtements et de m’asseoir. J’étais inquiet car je supposais qu’il y aurait encore quelque chose après, mais j’étais content de regarder mes camarades se faire tripoter. — C’était la même chose que toi ? — À peu près. Armand étant circoncis, ça a été plus rapide. Après, c’est l’étudiant qui a examiné Pierre. Il a des problèmes de décalottage, le professeur lui a fait de la réclame pour qu’il se fasse couper. — Comme moi, mais j’étais beaucoup plus jeune. — Pierre n’avait pas l’air convaincu, le professeur a demandé à l’infirmière d’envoyer une lettre aux parents. — Moi, je n’ai pas eu le choix. — Sinon, rien de particulier. Le professeur et les deux étudiants sont sortis en nous saluant à peine. L’infirmière nous a dit de prendre nos vêtements et de la suivre dans une salle adjacente. Il y avait une table au milieu, couverte de magazines, quatre chaises autour. J’ai cru que c’était une salle d’attente, il y avait aussi des cabines fermées par un rideau. J’ai pensé que c’étaient des cabines de déshabillage qui donnaient sur une autre salle avec des appareils, pour prendre des radios. — Des radios ? De quoi ? — Ce n’était pas ça, nous avons posé nos habits sur les chaises. L’infirmière a apporté quatre verres avec notre nom dessus sur une étiquette. Devrions-nous de nouveau pisser ? Ma vessie était vide. — Je ne pense pas que c’était pour pisser… — L’infirmière nous a dit que nous étions assez grands pour savoir ce qu’il fallait faire avec les gobelets, il fallait ensuite les déposer dans une armoire qui communiquait avec le couloir et sonner. Quelqu’un viendrait les chercher. Ensuite nous pourrions nous rhabiller et quitter l’hôpital en sortant directement dans le couloir, sans passer par la salle où s’était déroulé l’examen. — Logique, il y avait les suivants. Il y avait quoi sur les magazines ? — Ils étaient en suédois et c’étaient des vraies photos pornographiques, pas de l’érotisme comme « Playboy ». Nous nous somme regardés, c’est finalement André qui a dit : « Au travail les gars. J’ai une idée. On le fait tous ensemble au lieu d’aller dans les cabines ? » « Tu es pédé ? » a demandé Armand. « Non, mais je l’ai déjà fait avec des potes. C’est amusant. Je n’oblige personne, mais je pense que n’avons plus rien à nous cacher. » « Montre l’exemple. » a dit Armand. — Il a osé ? — Oui, il a calmement baissé son slip et a commencé à s’astiquer en feuilletant des magazines. Personne ne s’est défilé et on l’a imité. — C’est qui qui a la plus longue ? — Tu es aussi curieux que ta frangine. C’est évidemment André, il avait envie de s’exhiber. — Et vous avez tous juté dans les verres ? — On était assez excités pour le faire, ça n’a pas tardé. — Tu as eu le résultat ? — Ouais, j’ai reçu une lettre, c’est bon, le nombre de spermatozoïdes est normal. Tu as intérêt à ne pas te branler le matin, et personne ne s'offusquera si tu bandes. — Merci de m’avoir raconté. Il me semble qu’on devait faire des révisions cet après-midi. — Oui, il est temps de s’y mettre. Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Philou0033 - 07-02-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Nouveau récit. Visite médicale quand tu nous tient ! C'est un fantasme pour toi, mais j'aime aussi lire les récits que tu as déjà fait paraitre! Tu restes fidèle dans les descriptions faites concernant les "tests" effectués par les deux étudiants. C'est amusant les réflexions faites lors du récit de la visite. Puis c'est la fille qui est mal à l'aise. On ne sait pas si elle a un petit copain, elle est peut-être lesbienne, on ne sait jamais. Je suis curieux de lire la suite. Bon dimanche Daniel. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 07-02-2021 (07-02-2021, 03:46 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Merci [member=19]Philou0033[/member]. Oui, je ne vais pas arriver à me débarrasser de ce fantasme. J’ai écrit ce récit pour un autre site plus « spécialisé », puis je me suis dit qu’il aurait aussi sa place sur Slygame. Il n’y a pas tellement de récits en cours en ce moment. Même si c’est une femme qui fait les examens, c’est raconté du point de vue des garçons. Il y aura encore une suite avec la fin, nous ne serons plus à l’hôpital. Bonne fin de dimanche. Je t’embrasse. Daniel Re : Joël chez l'urologue (medfet) - KLO7514 - 07-02-2021 Chers amis, je commencerai par vous conter la fin d'une suite "médicalo-scientifique" dont le début m'échappe : ça fera presque 55 ans que je l'ai entendue une seule fois! Monsieur notre auteur sera concerné...par la bande (sans jeu de mots SVP! )) Voilà : «Marie parle :.... .... Pierre, passe-moi ton radium que mon cul rie. Et l'ange vint. »(Professeur Paul Langevin, Pierre et Marie Curie...des noms célèbres!). Nos quatre jeunes loulous sont bien sages à cette visite médicale expérimentale. Encore un rappel : (décidément!) «On a gagné, les doigts dans l'nez. On a perdu, les doigts dans l'c.l ». Je suppose qu'ils ont dû "perdre", les 4 gaillards! . Bof...ils s'en remettront. Et puis, le "doigt qui chatouille", oui, justement là, c'était peut-être la première fois pour eux : ils s'en souviendront. Re : Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 07-02-2021 (07-02-2021, 04:42 PM)KLO7514 link a écrit :Chers amis, je commencerai par vous conter la fin d'une suite "médicalo-scientifique" dont le début m'échappe : ça fera presque 55 ans que je l'ai entendue une seule fois! Monsieur notre auteur sera concerné...par la bande (sans jeu de mots SVP! )) Merci [member=156]KLO7514[/member] pour cette historiette radioactive. C’était bien mon idée d’une visite médicale « expérimentale » que je situe dans le passé car je n’ai pas utilisé de méthode moderne comme l’échographie et le professeur avait une attitude qui ne passerait plus de nos jours (je peux me tromper…). Et les slips blancs ne sont plus très à la mode, j'ai retrouvé un film porno rétro où tous les acteurs en avaient, c'étaient des scouts... Les visites médicales « ordinaires » n’allaient pas jusqu’à une analyse de sperme, mais comportaient des examens intimes. Les quatre jeunes s’en remettront, cela fera des souvenirs à raconter 40 ans plus tard lors de rencontres d’anciens élèves. Re : Joël chez l'urologue (medfet) - fablelionsilencieux - 07-02-2021 Coucou Daniel, Petite incartade dans le monde médical où ton fantasme récurrent et une pointe d’humour nous fait voyager gentiment, cette fois. L’aspect coquin de la situation reste jusqu’ici sous-jacent… je suis curieux de lire la suite ! Bizoux, herr Doctor N.B.: scouts, slips blancs, vintage : J.D. Cadinot ? Re : Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 07-02-2021 (07-02-2021, 05:22 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Coucou Daniel, Coucou [member=54]fablelionsilencieux[/member] et merci de ton commentaire. La fin sera plus coquine mais aussi plus classique, je n’en dis pas plus, je vais attendre demain pour la publier. Je voulais garder un certain réalisme et ne pas imaginer que l’infirmière allait masturber elle-même ses patients. Je regarde rarement des films, je préfère mettre en scène mes propres idées. Je ne connaissais pas J.D. Cadinot car c’est bien de lui qu'il s’agit (Le jeu de piste). J’ai ri en voyant ces « scouts » plutôt âgés et assez ridicules avec leurs shorts étriqués qui laissaient entrevoir leur contenu. Assez mauvais acteurs en dehors des scènes chaudes. Bisous Daniel Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 07-02-2021 Je n'attends pas demain, comme vous avez été très sages aujourd'hui je vous raconte la fin du conte avant de vous coucher. — On révise quoi aujourd’hui ? demanda Joël à Yves. — On pourrait réviser la biologie, on resterait dans le sujet. — Bonne idée. Yves se leva pour prendre un livre dans sa bibliothèque. — Regarde, dit-il, voici la planche de l’appareil génital masculin. Je comprends mieux où se trouve la prostate et pourquoi l’étudiante s’est trompée. Tu vois, on met le doigt comme ceci. — Exact. Tu voudrais essayer ? demanda Joël en riant. — Il faudrait faire un lavement avant et cela inquiéterait ma sœur si nous allions les deux à la salle de bain pendant un quart d’heure. — Je plaisantais. — Je préférerais… si tu es d’accord, bien sûr, que tu me montres ton prépuce. — Ta sœur a raison, tu es un petit cochon. On va faire un marché… — OK, je devine. Les deux amis décrochèrent leur ceinture, déboutonnèrent leur braguette et descendirent pantalon et slip jusqu’aux genoux. Joël fit coulisser son prépuce pour dégager le gland. À ce moment-là, la porte s’ouvrit. Ils mirent précipitamment les mains devant leur sexe. C’était Valérie, la sœur d’Yves. Celui-ci l’engueula : — Je t’ai déjà dit mille fois de frapper avant d’entrer ! — Désolée, j’étais distraite. Je venais voir quelque chose dans ton encyclopédie. Mais, que faites-vous avec le slip baissé ? Vous êtes pédés ? — Meuh non, on révise la biologie, le sexe masculin. — Je pensais que vous vous branliez. — Je te rappelle que tu as aussi voulu voir ma queue. — Je suis une fille, c’est normal. — Dis-nous plutôt comment s’est passée ta première fois avec ton petit ami. — Ne me parle plus de ce… Il m’a plaqué avant. — Pourquoi ? — Il en a trouvé une autre qui a des plus gros nichons et un plus gros cul, ce sont ses termes. — C’est mieux ainsi, dit Joël, il voulait seulement coucher, il ne t’aimait pas vraiment. — C’est certain, dit Valérie, je ne veux plus entendre parler d’hommes jusqu’à la fin de ma vie, tous des cochons et des machos. — Tu vas te retirer dans un couvent ou devenir lesbienne ? demanda Yves. — On verra. Bon, encore désolée, je vais vous laisser à vos branlettes, à moins que… Joël, il paraît que tu n’es pas circoncis, alors que mon ex et mon frère le sont. — Qui t’a raconté ça ? — Euh… mon ex, il est dans la même classe que toi et t’a vu à poil à l’hôpital. — C’est Armand ? Il t’a raconté ? — Je ne prononcerai plus jamais son nom. Pourrais-tu enlever tes mains ? — Je croyais que tu ne voulais plus jamais entendre parler d’hommes, fit Yves en riant. — J’ai changé d’idée. Ce n’est pas très réjouissant de finir au couvent. Joël obéit et exposa son sexe. — Tu pourrais te lever, que je la voie mieux ? demanda Valérie. Elle s’assit sur le lit de son frère, Yves se plaça devant elle et décalotta son gland. — Intéressant, dit-elle. — Tu peux la toucher, dit Yves, Joël a l’habitude depuis l’hôpital. — C’est vrai ? Je peux ? Ça ne te gêne pas ? — Puisque ton frère te le dit, vas-y, dit Joël. Valérie prit le pénis dans sa main et joua avec le prépuce, ce qui provoqua des effets collatéraux. — Elle est plus longue que celle de mon ex, j’aimerais la comparer avec celle de mon frère. Yves soupira : — Tu as de la chance de ne pas avoir de sœur, c’est une vraie calamité. Il se leva et se mit à côté de son ami. Valérie caressa les deux membres simultanément et put rapidement faire des comparaisons. — C’est amusant, dit-elle, elles ont la même longueur. Bon, je vous laisse à vos révisions. — Attends, dit Yves, tu ne vas pas t’en tirer comme ça, finis ce que tu as commencé. — Tu aimerais… que je vous branle ? Jusqu’au bout ? — Si Joël est d’accord. Joël rougit et acquiesça. Valérie savait déjà comment faire monter le plaisir chez un homme, elle avait fait quelques essais avec son ex, elle fut cependant surprise quand les deux amis éjaculèrent sur son chemisier, en même temps. — Zut, vous auriez pu me prévenir, à présent je vais devoir le laver moi-même, sinon maman pourrait se poser des questions. — Quand on veut jouer à des jeux interdits, on doit en assumer les conséquences, fit Yves, je vais vous donner des mouchoirs pour vous nettoyer, maman à l’habitude que les miens aient des taches douteuses. — Elle t’a fait des remarques ? Yves ne répondit pas et dit après s’être rhabillé : — Maintenant, on va vraiment réviser, sinon on va rater le bac. — Une minute encore, fit Valérie. Joël, tu es libre ? — Que veux-tu dire ? — As-tu une petite amie ? — Euh… non. — Il est encore puceau ! ajouta Yves. — Parfait. Pourrais-tu m’inviter à dîner un de ces quatre ? — T’inviter à dîner ? — Ouais, je pense qu’on devrait faire connaissance. — Il me semble que c’est déjà fait, dit Yves. À moins que tu veuilles encore lui montrer ta foufoune ? Valérie jeta un regard noir à son frère et se dirigea vers la porte. — Ce soir ? proposa Joël. Lorsque nous aurons fini de réviser ? Valérie et Joël se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Yves découvrit qu’il était homosexuel, il ne se maria pas, n’eut pas d’enfants et vécut quand même heureux, avec Armand qui n'avait pas osé avouer à Valérie qu'il était gay lorsqu'elle l'avait dragué. FIN Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Philou0033 - 08-02-2021 Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Suite très humoristique! La sœur de Yves, Valérie, tombe à pic. Elle voit son frère et Joël, le slip sur les mollets, occupés à inspecter leurs zizis. La discussion est assez amusante entre la fille et les deux garçons. De fil en aiguille elle finit par s'occuper des deux pénis. La fin est assez rapide, mais bon, le principal c'est que les jeunes aient trouvé "chaussure" à leur pied. Yves avec Armand et Valérie avec Joël! Merci Daniel pour cette histoire assez amusante. Je t'embrasse! Philou Re : Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 08-02-2021 (08-02-2021, 12:25 AM)Philou0033 link a écrit :Bonsoir [member=28]Lange128[/member] ! Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton résumé. La fin est rapide, en y réfléchissant j’aurais aussi pu raconter comment Armand et Yves ont débuté leur relation. Yves avait une raison de discuter avec lui pour lui demander pourquoi il avait rompu avec sa sœur. Une nouvelle ne devrait cependant n'avoir qu’un seul évènement et la rencontre entre les deux n’aurait plus de rapport avec la visite médicale initiale. Ce serait aussi un autre genre, d’une histoire plus ou moins hétérosexuelle on passerait à un récit gay. Je mets l’idée en réserve pour un nouveau récit, sans garantie que je l’écrive un jour. Une rencontre entre deux garçons est un thème que j’ai abordé des dizaines de fois et plus très original. Je viens d'avoir encore une autre idée qui me permettra de compléter l'épisode précédent tout en respectant l'unité de temps, de lieu et d'action. Je t’embrasse. Daniel Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 08-02-2021 Voici donc une fin alternative qui m’est venue à l’esprit en lisant le commentaire de [member=19]Philou0033[/member]. Nous sommes à l’instant où Valérie commence à masturber son frère et Joël. Joël rougit et acquiesça. Valérie savait déjà comment faire monter le plaisir chez un homme, elle avait fait quelques essais avec son ex. À ce moment-là, on frappa à la porte. Yves dit d’entrer. — Tu es fou ! s’exclama sa sœur, et si c’était maman ? — Bah, elle doit déjà avoir vu des zizis bandés, au moins celui de papa. Désolé, j’ai répondu sans réfléchir. Ce n’était pas leur mère, c’était Armand, l’ex, un bouquet de fleurs à la main. — Euh, balbutia-t-il, je vous dérange ? — Pas du tout, répondit Yves. Entre. — Je peux revenir plus tard. — Non, reste, cela ne va plus durer très longtemps, et referme la porte, s’il te plaît. Armand regarda Valérie qui caressait habilement les deux garçons, il se remémora les branlettes qu’elle lui avait faites, il banda. Valérie fut surprise quand les deux amis éjaculèrent sur son chemisier, en même temps. — Zut, vous auriez pu me prévenir, à présent je vais devoir le laver moi-même, sinon maman pourrait se poser des questions. — Quand on veut jouer à des jeux interdits, on doit en assumer les conséquences, fit Yves, je vais vous donner des mouchoirs pour vous nettoyer, maman à l’habitude que les miens aient des taches douteuses. — Elle t’a fait des remarques ? Yves ne répondit pas, il s’adressa à Armand : — Tu sais que ma sœur est fâchée, elle ne veut plus te parler. — J’ai été grossier avec elle, je viens lui présenter mes excuses. — Je crains que cela soit trop tard, dit Yves en regardant Joël, elle t’a déjà trouvé un remplaçant. — Non, je ne viens pas pour reconquérir son cœur, juste pour m’excuser. — J’accepte tes excuses, dit Valérie, mais dis-moi qui est cette fille aux gros seins et au gros cul ? Celles que je connais sont déjà prises. — Je… je t’ai menti, elle n’existe pas. Je n’ai pas osé te dire la vérité. — Tu peux me la dire à présent, on restera bons amis. — Je n’aurais jamais dû accepter quand tu m’as proposé de sortir avec toi, mais tu étais la première fille à le faire, je voulais faire comme tout le monde et perdre mon pucelage. — Tu aurais pu me dire qu’il y avait eu une erreur de casting, que nous n’étions pas faits pour vivre ensemble. — Je sais. Je vais vous avouer la vérité. Je préfère les garçons. — Tu est homosexuel ? fit Joël, je te comprends, ce n’est pas facile de le dire. Bravo d’avoir osé. — Promettez-moi de n’en parler à personne. — Je te le promets, dit Valérie en lui faisant la bise et en prenant les fleurs. Merci de ta franchise. Je vais te laisser avec mon frère. Joël, remonte ton pantalon et viens dans ma chambre, j’ai quelque chose à te demander. — Tu veux lui montrer ta foufoune ? demanda Yves. Valérie jeta un regard noir à son frère et se dirigea vers la porte, suivie de Joël. — Encore désolé de vous avoir dérangés, dit Armand, mais tu m’as dit d’entrer. — Pas de souci. Ça a dû t’exciter de voir deux mecs se faire branler. — Euh, oui, j’ai bandé. — À propos, vous avez déjà eu cette visite chez l’urologue dans ta classe ? — Oui, la semaine dernière, répondit Armand. Pourquoi ? — Tu me la racontes ? Je l’aurai bientôt. — Volontiers, tu ne veux pas… remonter ton slip avant ? — Ben non, on va jouer au docteur, toi tu seras le docteur et tu vas me faire tout ce qu’on t’a fait. Après, on échangera les rôles. Tu es d’accord ? — Même le doigt dans le cul ? — Tout ! Il y a mon livre de biologie sur le bureau si tu ne sais pas dans quel sens enfiler ton doigt. Valérie et Joël se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Yves et Armand ne se marièrent pas, n’eurent pas d’enfants et vécurent quand même heureux. FIN Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Philou0033 - 08-02-2021 Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Heureux de t'avoir donné l'envie de revoir la fin très rapide pour mettre Armand en situation avec Valérie, Joël et Yves, pour nous permettre de savoir comment Armand s'est dévoilé aux trois autres ! Les deux garçons ont joué au docteur tandis que Joël et Valérie faisaient plus ample connaissance! Je t'embrasse! Philou Re : Re : Joël chez l'urologue (medfet) - Lange128 - 08-02-2021 (08-02-2021, 02:52 PM)Philou0033 link a écrit :Bonjour [member=28]Lange128[/member] ! Bonsoir [member=19]Philou0033[/member]. Merci de ton commentaire. En lisant les tiens et ceux d’autres lecteurs cela me donne souvent de nouvelles idées pour faire progresser mes récits, même si ce n’est pas une suggestion précise. Ce récit me fait penser à une pièce de théâtre de boulevard où les personnages arrivent toujours au mauvais moment. Après Valérie, voici donc Armand qui débarque en pleine séance de masturbation, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Je t’embrasse. Daniel Re : Joël chez l'urologue (medfet) - KLO7514 - 08-02-2021 Monsieur Nicolas Boileau*...pardon, Daniel...bonsoir, Merci pour cette petite et agréable historiette bien menée. Le premier cité en ce début de "com' " fut un petit peu contemporain, bien que plus jeune, d'un très célèbre fabuliste du XVIIe. Il se servit du truchement d'animaux, bien souvent mais pas à tout coup, pour illustrer des travers de ses contemporains et d'autres humains de toutes les époques (Ce qu'il nous conte est toujours d'actualité!). Alors, pourquoi ne pas, toi aussi, utiliser nos amies les bêtes pour mettre en scène des histoires de liaisons "dangereuses" ou non? On a bien eu «La Planète des Singes»...alors, pourquoi pas celle des souris, de la carpe et du lapin qui pourraient "passer un moment ensemble" histoire de faire mentir le dicton? --------- *«Qu'en un jour, en un lieu un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.» ------------------------------------------- Histoire vraie de mon adolescence. Nous avions, à la maison, sur la table du séjour, un aquarium avec un poisson rose (pas rouge : peut-être sa maman avait déteint?) et une chatte Persane-Bleue angora, jolie "bestiau". La féline passait des quarts d'heure entiers, accroupie à regarder Jonas passer entre les rochers de sa petite baignoire. Un jour, nous apercevons une mini flaque d'eau à la base de l'aquarium. Une fuite! Donc, il faut faire réétanchéifier l'objet. Le pauvre Jonas se retrouve dans une bassine avec son rocher pour se distraire, toujours sur la table et l'aquarium chez le vitrier du coin. Avec mon frère aîné, nous étions confortablement assis dans les fauteuils clubs de la pièce voisine quand nous voyons la chatte s'approcher de nous en miaulant comme elle ne l'avait jamais fait! Elle repart dans le séjour et revient trois minutes après en miaulant encore de la même façon. Intrigués, nous nous regardons et mon frère me dit : «Il y a quelque chose!» On se lève, la chatte fait demi-tour et part la première vers l'autre salle puis nous la voyons sauter sur la table. Et là...le pauvre Jonas , sur la toile cirée, se tortillait comme il pouvait! Illico et délicatement, on le remet dans l'eau de sa bassine. Il n'a pas dit merci mais on a bien compris que "sa copine" venait de lui sauver la vie! Par contre, pourquoi se trouvait-il sur la toile cirée? À 67 ans d'écart, je me pose toujours la question! |